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#abri lesbian
aquariclione · 2 years
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[ID: 5 stripe flag colors are warm black(?), dark pink, pink, light pink, and light minty green]
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abri lesbian flag repost 👍👍👍👍👍👍👍😭😭😭😭😭😭
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mouthsewedshut · 2 years
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Some whiteboard doodles I did fromdefinitelynotat4amwdym
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Made an abri lesbian flag!! For those who are abri and lesbian!
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Abri-: Similar to abro-, it's an orientation that changes. The feelings of the orientation don't change, just the label changes.
why it look like kurama (kinda)
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historyl3sbian · 3 years
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Lets talk about Pride Month
It’s almost that wonderful time of year when gay people feel proud to embrace who they are. It’s the one special month out of the year when gays and queers step out onto the street to protest how long they had to suffer. but it’s also that time of year that veterans gets thrown around in the cross fire of homophobia. 
many gay and lesbian men and women served in WWII and the Vietnam war. the military was a place a lot of queer people could prosper. it was not only patriotic and beneficial to their country, but helped them identify who they could trust and who they couldn’t. sometimes it didn’t work out well. some queer’s who were discovered received a blue discharged which left a mark on their record and withheld them from any GI benefits after the war. 
due to the closeness the queer men and women developed, they created a sub-group of GI’s who performed drag shows. they were performed on every warfront and were enjoyed by a lot of servicemen. 
Many lesbians joined the WAAC to complete their service. Phyllis Abry, a lesbian in the WAAC, is featured in a propaganda picture alongside her lover. Abry remarked later on how she thought it was ironic they selected two homosexuals to represent the WAAC. 
in 1953, during Eisenhower’s time as president, he signed the executive order 10450 which banned homosexuals from federal employment. this caused over 5,000 people to loose their jobs due to allegations of homosexuality. 
after the raid on stonewall in 1969, a gay rights movement sparked in the US. The queer men and women who fought against military discrimination built a cornerstone for the gay rights movement. and until 2010, gay men and women were unable to serve their time as openly gay. 
Alan Turing is another important queer person in history. he is considered the father of modern day technology and broke the Enigma code during WWII. He was arrested after the war for accused homosexuality and was chemically castrated instead of serving prison time. he later claimed his life with a cyanide covered apple. 
queer people have played massively important roles in our history and our military. please do not pull veterans into the conversation of gay pride. veterans have two months of the year dedicated to themselves; May and November. And there are plenty of queer veterans out there who celebrate all three months. June is a time of protest as LGBTQ+ rights are continuously stripped away due to ignorance. The LGBTQ+ community is a community dedicated to love. do not block it and destroy it with ignorance. 
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arfran · 4 years
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#Repost @sejogabg • • • • • • É 30 de Outubro. Você pega suas correspondências. Um pequeno envelope com selo vermelho chama sua atenção.💌 Você sequer precisa abri-lo, já sabe seu conteúdo. É o tão esperado convite para o baile de Halloween na grande mansão no topo da colina...🌌🏰🎃 🎲 É isso mesmo, nessa 6ª, dia 31, às 15h (14h EDT), a poderosíssima @minhavidageekbr vai dar continuidade às mesas do #RPGay na Gen Con!⚡🤹‍♀️📜 🎲 Usando o Arquivos Paranormais, do @valpacosjorge, a narradora te chama pra um baile assustador.💃🕺 Você é um agente disfarçado, pronto para descortinar os mistérios dessa festa.🕴️🕴️🕴️ Mas nem tudo é o que parece ser, e você não sabe se deve mesmo confiar em seus sentidos...👁️👄👁️ 🎲 Animou? Pois se inscrever é moleza!🍮 No site da Gen Con in Portuguese (link no perfil), procure pelo evento de ID RPG20189782 e clique em “Get Tickets”🎟️🎟️ 🎲 Daí você já vai poder entrar em contato com a narradora para tirar quaisquer dúvidas!👍 Mas são vagas limitadas, então corra e garanta seu lugar!🏃‍♂️🏃‍♀️ Só não tire a oportunidade de alguém jogar ao pegar um ticket se não for participar, heim?!🙅‍♀️ Nos vemos lá!👍👍 ❤️🧡💛💚💙💜 #sejoga #sejogabg #gencon #gencon2020 #genconinportuguese #rpg #roleplayinggame #lgbt #lgbti #lesbian #gay #bisexual #trans #gaymer #geek https://www.instagram.com/p/CDMf4hBgI-c/?igshid=cp0wzluhu9g3
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fleurerotique · 7 years
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LESBIENNES SOUS LE IIIE REICH: DISPARAÎTRE OU MOURIR
Bien peu d’historiens se sont intéressés au sort réservé aux lesbiennes durant le IIIe Reich. Rafles, internement, viols, «thérapies» par la prostitution, tel était leur lot sous le régime nazi. Les travaux d’une chercheuse allemande, Claudia Schoppmann, révèlent des pratiques peu connues du grand public.
Une partie de l’Europe fête le 60e anniversaire de la libération de l’occupation nazie. Pour l’occasion, on édite de nouveaux ouvrages sur cette période, de nouvelles analyses et de nouvelles biographies. Pourtant un aspect du régime nazi reste obscur, une page de l’histoire du IIIe Reich n’a pas été lue. Que sait-on de la vie des lesbiennes sous le régime nazi? Pratiquement rien. Le sort des lesbiennes a rarement intéressé les chercheurs. On dit même souvent qu’elles n’auraient pas souffert. Étonnant quand on sait que l’idéologie nationale-socialiste considérait l’homosexualité comme une tare et que toute femme ne respectant pas son rôle de femme mariée et de mère pour perpétuer la race pure, attirait les soupçons.
Rendre compte de la persécution des lesbiennes, en l’absence de documents concrets, de lettres, de témoignages, reste un défi pour les historiens. Presque seule à s’intéresser à ce versant de l’Histoire, une chercheuse allemande, Claudia Schop-pmann, nous livre pourtant de précieuses informations(1). Faute de données, Claudia Schop-pmann se tourne en effet vers le témoignage pour restituer une image de l’histoire collective des lesbiennes qui, autrement, risquerait de se perdre. L’un de ses ouvrages, Zeit der Maskier-ung: Lebensgeschichten lesbischer Frauen im «Dritten Reich», traduit en anglais(2) mais malheureusement pas encore en français, est un recueil de récits poignants qui dessinent une histoire de la répression des lesbiennes allemandes sous le joug nazi. Dans ces témoignages, on retrouve l’effervescence et l’ambiance euphorique du Berlin lesbien des années 20. La ville compte un nombre impressionnant de bars, de clubs, d’associations, de magazines destinés aux lesbiennes. Cet essor et ce dynamisme se heurtent malgré tout à de virulentes attaques lesbophobes. Dès 1909, le gouvernement essaie d’inclure les femmes dans le fameux paragraphe 175, qui condamne les activités homosexuelles entre hommes. Plus tard, pendant des années, des juristes, des criminologues, des théoriciens du parti nazi font de nouveau pression pour que l’homosexualité féminine entre dans le paragraphe 175. Pour eux c’est «une menace morale à la pureté de la race», une façon de «soustraire les femmes aux hommes et à l’institution du mariage». Le lesbianisme n’entrera pourtant jamais dans le paragraphe 175, pour plusieurs raisons: dans la société allemande, les femmes sont exclues des postes politiques et administratifs importants. Leur influence est donc peu redoutée. De plus, d’après des conclusions médicales de la fin du XIXe siècle, l’homosexualité féminine ne serait pas antinomique avec le désir de se marier et de fonder une famille. Cette théorie conforte l’idéologie nazie qui préfère croire que l’homosexualité se soigne. La thèse d’une homosexualité innée répandue en Allemagne pourrait mettre à mal le concept de «race maîtresse pure». Enfin, les relations «intimes» entre femmes sont trop courantes, trop difficiles à identifier. Le meilleur moyen de ne pas «encourager la diffusion de l’épidémie» chez les femmes est donc de la passer sous silence. Les lesbiennes échappent ainsi aux graves condamnations infligées aux hommes homosexuels: 50 000 d’entre eux sont condamnés sous le paragraphe 175, parmi eux, 15 000 sont internés en camps de concentration et les deux tiers n’en reviennent pas. En revanche, ce silence autour des lesbiennes ne permet pas de mesurer l’étendue de leur persécution, le plus souvent cachée sous des prétextes divers, ni de dégager des chiffres.
RAFLES DANS LES BARS
L’arrivée au pouvoir d’Hitler en 1933 frappe de plein fouet la communauté lesbienne. Les rafles dans les lieux lesbiens sont si fréquentes qu’ils ferment tous rapidement. A Berlin, seuls deux ou trois bars – des arrières salles – ouvriront dans la clandestinité. La presse lesbienne est interdite, les associations dissoutes et un témoignage prouve que les nazis dressent des listes de lesbiennes. De nombreux témoignages recueillis par Claudia Schoppmann montrent que les lesbiennes vivent dans la peur des dénonciations. Elles craignent également, à juste titre, les licenciements, car les lesbiennes sont licenciées quand elles sont «découvertes» sur leur lieu de travail. La plupart des femmes interrogées racontent qu’afin de passer inaperçues, elles changent leur apparence et adoptent une allure féminine correspondant aux canons nazis. La pression sociale sur les lesbiennes est telle que nombreuses sont celles qui se marient, certaines avec des homosexuels. Finalement, le seul moyen de ne pas être persécutée en tant que lesbienne, c’est de rentrer dans le rang… et de ne plus l’être. On sait que de nombreuses lesbiennes sont pourtant arrêtées, emprisonnées ou envoyées en camps de concentration. On trouve dans Zeit der Maskierung le récit de Lotte Hahm, une des plus grandes militantes lesbiennes berlinoises, arrêtée avant la guerre et envoyée en camp de travail pendant plusieurs années en raison de ses activités, entre autres la gestion d’associations et de clubs. La présence de blocs réservés aux lesbiennes est attestée dans certains camps, comme à Bützow (ex-R.D.A.) où les lesbiennes étaient maltraitées et humiliées. Les SS incitaient les prisonniers du camp à les violer. Dans le camp de femmes de Ravensbrück, les lesbiennes portaient un triangle rose avec le sigle «LL» (Lesbische Liebe, amour lesbien)(3). Mais le plus souvent, les lesbiennes portent le triangle rouge des «asociales». Ce terme désigne tous ceux qui ne se conforment pas aux normes; il comprend les sans abris, les chômeurs, les prostituées, les homosexuels, les tsiganes.
CONTRAINTES À LA PROSTITUTION
Claudia Schoppmann rapporte le témoignage d’un homosexuel(4), Erich H, qui a rencontré Else (on ne connaît pas son nom de famille) dans un camp. Elle travaillait à Potsdam comme serveuse et vivait avec son amante. Elle est arrêtée apparemment en raison de son homosexualité mais est enregistrée à Ravensbrück comme «asociale». Elle est ensuite emmenée au camp de Flossenbürg où la plupart des prisonniers sont des hommes «asociaux» ou «criminels». C’est au bordel du camp qu’ils se rencontrent, en 1943. Des bordels sont en effet mis en place, à partir de 1942, dans bon nombre de camps de concentration. On y voyait le moyen d’accroître l’efficacité des travailleurs forcés dans l’industrie de l’armement. D’après Claudia Schoppmann, Himmler considérait aussi les bordels comme un moyen de combattre l’homosexualité masculine. Un grand nombre de prisonnières sont forcées d’entrer dans les bordels des camps. D’après Erich H «les nazis aimaient tout particulièrement faire travailler des lesbiennes dans les bordels. Ils pensaient que ça les remettait dans le droit chemin.» Après avoir passé plusieurs mois au bordel de Flossenbürg, on pense qu’Else a ensuite été déportée dans un camp d’extermination (Auschwitz) et qu’elle y est morte. C’était en effet le sort réservé au bout de six mois à toutes celles qui étaient envoyées dans les bordels.
Si elles ont le malheur d’être juives, les lesbiennes sont évidemment particulièrement menacées. Claudia Schoppmann évoque le cas d’Henny Schermann internée en mars 1940 et de Mary Pünjer internée en octobre 1940, toutes deux à Ravensbrück. Elles sont sélectionnées par Friedrich Mennecke, qui les déclare «indignes de vivre», comme des dizaines de milliers d’autres «patients». Le «diagnostic» d’Henny Schermann la décrit ainsi: «lesbienne compulsive; fréquentant seulement ce genre de bars et de clubs. N’utilisait pas son prénom Sara. Juive apatride(5).» Quant à son avis sur Mary Pünjer: «Lesbienne très active. Fréquente sans cesse les clubs lesbiens et s’exhibe avec ses congénères.» Elles sont envoyées à la chambre à gaz au début de 1942.
Combien de lesbiennes ont-elles été tuées comme elles sous le IIIe Reich? Combien ont été violées, combien ont dû se cacher parce qu’elles étaient lesbiennes? La lesbophobie, qui n’est pas une prérogative du IIIe Reich, rend aujourd’hui toute évaluation impossible. Pourtant, il serait dangereux de minimiser la persécution des lesbiennes, sous prétexte qu’elle a été effacée par leurs tortionnaires et par l’Histoire. A quand d’autres ouvrages aussi intéressants que ceux de Claudia Schoppmann?
1/ Lire aussi les travaux en allemand de la sociologue Ilse Kokula 2/ Days of Masquerade: Life stories of lesbians during the Third Reich 3/ Ilse Kokula, Der Kampf gegen Unterdrückung, Verlag Frauenoffensive 4/ Tiré de Ganz normal anders. Auskünfte schwuler Männer aus der DDR de Jürgen Lemke 5/ A partir de 1941, tous les juifs sont déchus de la nationalité allemande
-  Edna Castello
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neesayy · 7 years
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2017
The craziest year I've had so far. So many things happened this year that I could've never imagined. Both good and bad.
January I was still talking to Ej and was so happy but I didn't know that soon I would "have my heart broken". This month was also the first and last time I encountered Dante and Andrew. I remember shitting bricks when Dante grabbed me and thinking Andrew was gonna rape me. I also went to pax this month and I had an amazing time.
February was nothing but good to me.
March is when things started going downhill. A big group of us went to ugly god and had a great time but after that everything changed. Rumors were being spread, lies were told and everyone was being irrational. Andy came into my life this month and I wish he didn't because I broke his heart.
April is when things changed. Bella and Emily weren't close anymore and bella and I became super close. I felt stuck in the middle a lot and didn't know who to "side with". I also went on a triple date for Cat which I will never do again. Marshall wouldn't leave me alone for the longest time and even though I was a lesbian.
May was Abri's second birthday! I'm honestly so blessed God put her in our lives because she always cheers me up. This month was also the last Spring show. The last one with Rios and I didn't know it at the time but my last one at Ywla. In May I also remember being very upset at my friends. Peyton also came into my life this month. all that ever happened was him showing me his dick. Around this time I started to realize that NHI wasn't for me. I had regretted my decision big time.
June was honestly a great time for the most part. The beginning was shit because my dad made me see a therapist. He thought I was a lesbian. He noticed my change recently and wanted to help but I hated going to the therapist. Little did I know she was going to help me get out of Ywla. She's the ticket I so desperately wanted out. Ms.Becky was a blessing in disguise. The rest of that month was a blast. I spent lots of time with friends and family.
July my dad made me quit NHI and I sent my application to health Professions.
August I got accepted into fox tech and then Edison. What I had wanted since he 6th grade was finally happening. I also had my first day of school and totally cried that night. That whole first week I had so much regret because I felt out of place. That was change and I hate change.
Honestly everything after that started to just melt together. Sometime along the way Louis sweet talked his way into my life but didn't stay. I also distanced myself from everyone because I felt that I didn't have my friends support. As of right this moment I'm content. I have a reason to smile everyday. The people that are currently in my life mean a lot to me.
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aquariclione · 2 years
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[ID: abrilesbiangender flag: a rectangular flag with 5 equally-sized horizontal stripes and colors in this order, top to bottom: light minty green, warm black(?), dark pink, pink, light pink. END ID]
[ID: neptuniclesbiangender flag: a rectangular flag with 5 equally-sized horizontal stripes and colors in this order, top to bottom: pink, teal, light teal, light turquoise, offwhite. END ID]
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abrilesbiangender and neptuniclesbiangender flags in the style of my flags
abri lesbian flag link here
neptunic lesbian flags link here
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Abri M-spec Lesbian flags
Bi lesbian | Pan lesbian | Poly lesbian | Omni lesbian | Abro lesbian
Abri- : When your orientation stays the same, but the label changes.
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huoahn · 7 years
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ilS
SONT CHIEN COMME MON COUSIN
MON GRAND COUSIN
ILs ME RAPPELons BEAUCOUP DE LUI
QUI SEST MARIE A 27 ANS AVEC SA 
WONDER WOMAN
SON PREMIER AMOUREUSE 
meanwhile
 SON PETITE SOEUR A ETE UNE LESBIAN DEPUIS TOUJOURS
IL PENSE QUE IL EST INTELLIGENT VU QUE IL A BEAUCOUP D’HONTE VERS CE MONDE DEPUIS ADOS.
LUI AVEC SON WONDER WOMAN 
UNE MARRIAGE SOUS LA PRESSION DE NOTRE FAMILLE
 CAR ILS PARTARGEONT LA MEME RELIGION DE MERDE
BRAVO 
ET JE PENSE CEST LA NATURE DE HUMAINE 
TOUT LE MONDE VEUX TROUVER SON ABRIS
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neopronouns · 3 years
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can you make a flag banner with my abri-lesbian, neptunic lesbian flags as well as the lunian, aurora lesbian, trixic and the 3rd straightbian flag on the LGBTA wiki? preferably for a twitter banner. i can provide the first 2 flags thru submitting if thats ok since ik asks cant contain links!
could you give me links to or submit images of the first two flags?
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Abri lesbian | Abri gay
Labels for when you are both abrisexual/abriromantic and lesbian or gay.
Abri- : When your orientation stays the same, but the label changes.
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aquariclione · 2 years
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reminds me did i ever repost my abri lesbian flag? 😭
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aquariclione · 3 years
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abri veldian flag time
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supposed to go with my abri lesbian flag
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Made an abri lesbian flag!! For those who are abri and lesbian!
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Abri-: Similar to abro-, it's an orientation that changes. The feelings of the orientation don't change, just the label changes.
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