Tumgik
#bande de bras cassés
perduedansmatete · 6 months
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comme chaque année on dit c’est l’année psy pour nous quatre on verra bien qui finira par y aller la première
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sinvulkt · 1 month
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Find the english version here.
Nemo arracha le fusil des mains du naufragé hébété et tira. Une fois, deux fois. Les balles ricochèrent sur la peau du monstre, sans lui faire le moindre mal. L’anguille secoua la tête comme pour se débarrasser d’un fourmillement désagréable, puis se précipita sur le naufragé que Nemo venait de désarmer. L’homme n’eut pas le temps de pousser un seul cri qu’il avait disparu dans la gorge de la créature.
Nemo recula d’un pas, le cœur battant à tout rompre. Blaster et Humility devaient s’approcher de la plage maintenant, sans avoir remarqué qu’il s’était arrêté pour distraire le monstre. Bientôt, ils auraient atteint le navire et Nemo pourrait courir à son tour, ou l’anguille serait morte. Il rengagea son fusil.
Un œil vicieux et rempli de haine le fixait, le défiant de lui tirer dessus. Nemo l’obligea.
Le coup parti, touchant la créature sur la peau tendre près de la paupière. Le monstre se tordit de douleur. Les arbres tressaillirent sous la puissance des coups, semblables à un tremblement de terre. Le sol semblait se dérober sous chacun des pas de Nemo, le faisant trébucher alors qu’il tentait de s’éloigner du son assourdissant. Un bourdonnement continu emplit ses oreilles.
Il n’eut pas le temps de reprendre son équilibre que, folle de rage, l’anguille ouvrit grand la gueule et se jeta sur lui. Le talon de Nemo se coinça dans les racines d’un arbre, et son fusil partit valser dans la nature. Un souffle chaud caressa son visage,  fétide rappel que le monstre se rapprochait. Les secondes s’écoulèrent lentes et rapides à la fois tandis que Nemo s'acharnait en vain à déloger son pied. Il se rendit finalement à l’évidence : il ne pourrait pas esquiver.
Utilisant son seul recours, il leva le pistolet qu’il avait gardé à sa taille et tira de nouveau. Et encore. Et encore. Sans effet. La gueule restait grande ouverte, tel un inarrêtable gouffre béant, quelque soit les coups qui la perçait. Il rechargea. Déjà le monstre se tenait à moins d’un mètre, le piège de ses mâchoires masquant la lumière du soleil. Puis, juste comme Nemo tira la dernière balle droit dans l’œsophage se précipitant sur lui, la créature fut parcouru d’une convulsion. 
Les mâchoires aiguisées de dents longues comme son avant bras se refermèrent autour de lui, le plongeant dans une pénombre totale. Nemo cligna des yeux, s’attendant à ce qu'à tout moment la gueule se referme, le broyant sous ses crocs ou l’étouffant dans l'acide gastrique. Mais, contre toute attente, le silence continua, pas même brisé par une respiration sifflante ou le flux et reflux de l’haleine fétide qui l’entourait.
Le monstre était mort.
Nemo essaya de soulever l’une des dents. La mâchoire était lourde et, profondément enfoncée dans le sol, elle ne bougea pas. Nemo se gaina. Ses pieds s'écartèrent, son bassin se baissa, ses muscles se tendirent et, d’un effort surhumain, il poussa. Un rayon de lumière récompensa ses efforts puis la gueule retomba, lourdement, l'entraînant avec lui. Nemo s’étrangla sur la poussière et l’atmosphère putride de la gueule. Les souvenirs de sa cellule à Kalpani lui chattouillèrent l’esprit. Pour chaque seconde qu’il passait dans ce piège cadavreux, il lui semblait devenir un peu plus claustrophobe. Porté par l’énergie du désespoir, il reprit ses efforts pour soulever la dent. Cette fois, la mâchoire s'entrouvrit, laissant une profonde traînée dans le sable. C’était juste assez pour que Nemo rampe au dehors, ce dont il ne se fit pas prier.
Il commençait à peine à se dégager quand il remarqua que la chair du museau était restée collée à ses doigts. Il secoua ses mains, en vain. Le museau tout entier y semblait accroché. Nemo tira de toutes ses forces, sans plus de résultat. Une pointe d'inquiétude crispa ses traits. Il appuya son pied contre la mâchoire pour plus d'appui et, lâchant un juron, tira au point de se déboîter l’épaule. La peau du monstre s’allongea comme un vieil élastique, déformant la tête triangulaire de l’anguille, mais elle resta obstinément accrochée. Aussitôt qu'il s'arrêta, pantelant et exténué, son bras s'enfonça avec un bruit répugnant dans la peau de la créature jusqu'au coude.
Sa main le brûlait. Nemo serra les dents contre la vague de douleur qui lui remontait le poignet. Il avait l’impression que le membre était plongé dans l’acide. Au vu du caractère surnaturel de la créature qui le coinçait, qui sait si ce n’était pas le cas. Nemo fixa la masse de chair grouillante qui s'étendait sur son bras. D’ici quelques minutes, elle aurait atteint l’épaule.
Son cœur se durcit. Il porta la main à sa ceinture et en tira son poignard, puis fourra le bas de sa chemise dans sa bouche. La lame, parfaitement aiguisée, entama la chair sans mal. Elle ne tarda pas à atteindre un nerf, lui arrachant un cri étouffé. Nemo serrait les dents si fort que sans la chemise suintant la sueur qu’il avait glissé entre ses mâchoires, il se serait déjà coupé la langue.
Un soudain pic de douleur au niveau de son pied l'arrêta dans son agonisante besogne et lui fit baisser les yeux. Le pied qu’il avait posé sur une des dents de la créature pour y prendre appui n’était plus posé, mais encastré. Une secousse de la cheville lui confirma ce qu'il craignait. Une goutte de sueur coula sur son front. Son pied était autant collé que son bras, comme si l’ivoir avait fondu autour de sa chaussure, et que cette dernière s'y enfonçait doucement. Déjà, une brûlure semblable à celle qui lui dévorait le poignet enflammait sa jambe.
Il ne pouvait plus sentir ni ses doigts, ni ses orteils.
Le poignard glissa mollement de sa main libre. Nemo fixait béatement ses membres se faire dévorer, avec l’impression de regarder la mort en face. Puis, pris d’une soudaine fureur fiévreuse, il se baissa pour récupérer sa lame, et ré-attaqua son épaule. Nemo ne craignait pas la mort. La plupart des gens qu’il avait aimé l'attendaient là, dans l’après vie, et mourir ne serait que les rejoindre. Mais si Nemo ne craignait pas la faucheuse, il ne se livrerait pas sans combat à elle pour autant; pas tant que la Compagnie existait impunément et que sa famille restait invengée.
C’était trop tard, bien trop tard. Nemo avait à peine entamé l’os que la masse grouillante recouvrait son poignard, puis son autre main. Que la chair étrange s’emparait de son entrejambe, son bassin, son torse. Que l’espèce de mousse rosâtre grimpait le long de son cou, puis de son visage, lui coupant la respiration. Nemo était immobile, paralysé dans cette prison organique qui semblait le digérer vivant.
La substance remonta contre ses yeux, le priva un à un du goût, de l’odorat, de la vue, de l'ouïe, du toucher. Tout n’était que brulure fourmillante et âcre, si étendue qu’il était incapable de dire si la sensation était réel, ou un écho de souvenir s’accaparant de son imagination. Nemo était totalement incapable de distinguer où se terminait son propre corps et où commençait la masse grouillante qui l'entourait. Il n’eut pas à s'en soucier bien longtemps. Après un ultime sursaut de conscience, le néant l'enveloppa.
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Nemo se réveilla, la vue troublée.
Son esprit tournait au ralenti. Il se tenait à cette frontière entre éveil et sommeil, où l’on se souvient encore du surnaturel des songes et où on ne questionne pas l’absurdité de la réalité. Il lui semblait vaguement être mort, dévoré par le cadavre d’un gigantesque reptile, mais l’idée semblait si saugrenue qu’il lui était difficile de croire que tout cela était un souvenir, et non pas l’effet de quelques plantes hallucinogènes de l'île.
Il essaya de battre des paupières pour éclaircir sa vision, mais aucun muscle ne lui répondit. Son corps, lourd et engourdit, répondait par tressaillement. Nemo avait l’impression d’avoir les bras et les jambes coincés dans un immense sac, et il peinait à se mouvoir. Il parvint tout de même à tourner la tête. Une forme blanche et brillante ressemblant fort à un minuscule squelette humain se refléta dans ses pupilles.
Une sensation de picotement attira son attention. Nemo huma l’air salin, regrettant que le soleil soit si fort et qu’aucune paupière ne vienne protéger ses yeux. Il était parcouru de l’étrange certitude que les picotements correspondaient aux membres de son équipage, et que ces derniers avaient atteint la bordure de la mer. 
Son corps se mouva entre les arbres humides, l’instinct le guidant dans ses contorsions. Il ne questionna pas la taille étrangement réduite de la végétation, ou la sensation ténue de la terre qui craquait et glissait sous sa peau, ni ce nouveau picotement qui le guidait. L’attention embrumée du sommeil de Nemo était focalisée sur l’idée de retrouver sa cabine sur le Nautilus, et d’en finir avec cette île maudite.
Il atteint la plage et s'arrêta, perdu. Les picotements avaient cessé. Après un instant de recherche, il arriva à distinguer un point flou qui se déplaçait sur l’eau : une barque. Nemo ouvrit la bouche pour les appeler, mais seul un vrombissement grave en sortit. Quelques instants plus tard, des voix criardes et distordues surgirent de la barque, frappant ses tympans. Voyant que le point flou ne s’approchait pas, et, qu’au contraire, il s’éloignait de plus en plus vite, Nemo s’élança dans les vagues.
L’eau glissa délicieusement le long de son corps. Elle l’acceuillit comme on accueille un vieil ami, s’écoulant sans effort le long de son coup, de son torse, de sa queue. Elle remplit ses branchies, chassant l’air qui s’y était douloureusement coincé, et Nemo eut la sensation de respirer pour la première fois.
La confusion se mêla à l’effroi. Nemo n’avait pas de queue, il avait des jambes. Il n’avait pas de branchies, il avait des poumons. Et il n’avait jamais, au grand jamais, nagé aussi vite.
Une décharge cent fois plus forte que les picotements qui l’avaient guidée plus tôt déferla sur son cerveau. C’était comme si une lanterne de la forme du Nautilus était apparue devant ses yeux, l’appelant comme la torche attire l’insecte. Nemo se précipita sur la zone ressemblant au pont, espérant trouver l’écoutille. Il y trouva un cri d’effroi. La naufragée qui les avait aidés un peu plus tôt affichait une expression de terreur en le regardant.
La confusion l’empli de nouveau.
C’est moi, Nemo !
Un grondement fut le seul son qui s'échappa de sa gorge. La naufragée se carapata et disparut à l’intérieur du vaisseau. Peu de temps après, le son familier des moteurs du Nautilus remplit ses oreilles. 
Un pincement désespéré lui tordit le cœur. Ils allaient partir sans lui. 
Le nautilus est à moi !
Son corps réagit de lui-même. Avant qu’il ne le réalise, Nemo s'était enroulé fermement autour du Nautilus, son long corps sinueux . Il lui vint à l’esprit que si le Nautilus était si petit, et lui si grand, jamais il ne pourrait passer par l’écoutille. Et pourtant il pouvait se voir sans mal tendre les bras, faire tourner la roue qui scellait la porte, puis se glisser à l’intérieur de l’échelle qui le mènerait à son navire. 
Sa tête se colla à la baie vitrée qui constituait le devant du sous-marin. Plusieurs taches de couleurs le fixaient, sans bouger. 
Je suis votre capitaine !
L’un d’entre eux s’activa soudainement, se précipitant vers la zone contenant les balais de commande. Le bouclier se mit en mouvement avec un crissement effroyable qui vrillait les tympans. Nemo s'écarta du son horrible d’un coup sec, permettant ainsi au bouclier de se refermer. Il fixa le métal un instant, choqué de l’impudence de son équipage, sa queue toujours possessivement enroulée autour du reste du navire. 
C’est alors qu’il remarqua le reflet qui s’affichait dans la surface polie. La créature qui le dévisageait n’avait ni cheveux, ni barbe, ni oreilles. Elle n’avait pas de bras ou de jambes, juste un long cou sinueux couvert d’écailles qui se perdait dans l'océan. C’était la tête triangulaire d’un monstre sans visage, semblable à celui qu’il avait abattu un peu plus tôt.  
Des années plus tôt, durant ses longs mois d’emprisonnement à Kalpani, il avait déposer son nom auprès de la tombe immatérielle de sa femme et sa fille, et s’en était choisit un nouveau. Un nom qui le séparait de l’agonie du passé. Un nom qui promettait de consacrer sa vie à son vœu de vengeance.
Nemo…
Le nom latin dont il avait été si fier lui semblait ironique désormais. Après tout, qui prendrait le temps de considérer la nature humaine d’un monstre marin ? Désormais, aux yeux du monde, il était réellement “Nemo”.
Personne.
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gerceval · 1 year
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bon. un imprévu car rendu pour demain, travail de groupe, gens après qui il faut courir, tout ça. mais je jure que j'ai vraiment pas pour projet de décaler les chapitres du choix au mercredi vraimeeeent
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House of the Dragon 2x02: Review
The opening music was incredible! The violin's note untenable.
Poor Viserys' model of Valyria.
Aegon is gone literally crazy, or more like a child throwing a tantrum.
Poor Helaena! So innocente!
Everything was made for every details, going as far as the horses' armour.
The greens are fucking hypocrite, when they have inflicted the same to Jace.
Aille Aille Daemon what have you done? Sorry Daemon is the most hilarious character ever.
To my opinion, Daemon is best the character in the ASOIAF universe. Also, he truly loves his wife.
I didn't like Rhaenyra's opinion thrown at Daemon. She was acting like a hypocrite. She well knew what she said in this council room in front of Daemon. Also, how can she not believe her husband. She knows him since when she was a child.
But the scene between the two of them was incredible. So well done.
I don't understand Rhaenyra doesn't know that Daemon is one of her best sword so far.
I love the room in Dragonstone. Everything is in the detail. But I don't understand Rhaenyra change rooms? She a beautiful balcony last season.
The music is truly beautiful.
Again poor Helaena with her deranged family. Nevertheless, I was expecting another prophecy coming from her.
(Ser) Criston Cole is such a hypocrite, the biggest of Westeros.
Big foreshadowing : the two future Kings of Westeros.
Ser Criston Cole saying to Alicent : "What do you take me for?" Alicent should have replied : "My bitch!"
Biggest hypocrite of the series.
Ser Criston Cole is also a fucking bastard. There is nothing glorious about that.
I wasn't expecting Aemond in a brother, more likely in his sister's bed. Very strange scene (WTF?). Maybe to show us, that Aemond is still a boy compared to Daemon?
I liked that they show a bit of small folks, the normal people.
Why the score is important?
The landscape at the beach was beautiful.
Fortunately the dog is still alive and well (poor doggy).
When Otto entered the room, at first I thought it was because of Visery's model.
"My grandson is a fool" : Otto finally realising what he has done! The truth of the situation. Quelle bande d'incapable et de bras cassés.
Poor Otto. Him who thought he had done what was good for the country. He has finally realised what terrible mistake he has made.
When Otto said to Aegon, "You will regret this" : I believe those words to be true.
I like the terrible twin twist. Poor Erryk.
Big news, Daeron is alive.
Why Otto do not want to hear that Alicent has sinned?
Rhaenyra doesn't learn from her mistake.
Youth against mature people.
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claudehenrion · 4 months
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Les dangereuses ''Européennes''
Que toutes les européennes, mes sœurs en origine, en histoire partagée (le plus souvent en se tapant sur la gueule, mais on dit que ça rapproche, à la fin du compte), en cultures --en réalité assez proches-- et en ''métissages croisés'', se rassurent : ce n'est en aucun cas contre elles que je porte ce jugement lapidaire. Elles, au contraire, je suis prêt à les aimer toutes, puisque nous voici unis dans ce qui risque d'être une catastrophe majeure de la grande Histoire : l'effondrement de la plus immense civilisation ayant existé ! Je parle, dans ce titre ambigu, des élections éponymes !
Et à notre habitude, je vais me hâter de mentionner leur importance exclusivement continentale pour aussitôt ne parler, limité par la taille de ce blog, que de leur aspect ''franco-français''. Sans que j'en tire la moindre fierté, je constate que tous les candidats et toutes les listes présentes à ces ''JO pour politicards éclopés'' (c'est un autre format du ''Paralympisme''!) semblent avoir les mêmes limites de taille que moi : pas un seul ne dit un mot des autres nations concernées, ni des autres peuples engagés dans la même quête d'un futur-que-l'on-cherche-dans-la-mauvaise-direction, la seule où on soit sûr de ne pas le trouver..
La question se pose aussitôt de savoir s'il est dans le rôle d'un pauvre petit ''blogueur'' de quartier de donner son avis, de recommander, ou d'exclure... et les lecteurs un peu anciens connaissent la réponse : ''Certainement pas'' ! A la rigueur, je puis dire à la petite communauté des lecteurs de ''Comprendre demain'' pour qui je vais voter, pourquoi je vais le faire et surtout pourquoi cet aveu n'engage que moi... mais cela va me permettre de critiquer sévèrement ceux qui n'ont ni la modestie, ni la prudence (ni l'intelligence ?) de ne pas confondre leur vide cérébral avec LA Vérité éternelle. En France, le journaliste moyen (et Dieu seul sait à quel point ils le sont, moyens !) semble avoir posé une fois pour toutes un signe ''égal'' entre ses pauvres idées, pour la plupart superficielles, absurdes, ou fausses, et ladite Vérité éternelle : Dame... tous sont de Gauche !
Avez-vous prêté attention à ce que blatèrent les soi-disant ''leaders'' (et principalement les ténors ou prétendus tels) de cette pseudo-campagne où je n'ai rien entendu qui réponde aux défis posés aujourd'hui ou pour demain ? Il ne s'agit que d'un vaste concours (si j'osais, j'ajouterais ''entre cons courts''!) pour savoir qui va oser la connerie la plus … conne contre ce que ces perroquets s'escriment à décrire comme ''l'extrême droite'' (NB : pour ces cuistres incultes, toute pensée à droite ne peut être que ''extrême'', puisque les idées fixes de la Gauche le sont, l'ont toujours été, en vont l'être de plus en plus, partie comme elle l'est... et que la Droite finit toujours par s'aligner sur elle !).
Nos finances sont à la dérive, notre industrie est ''au 36 ème dessous'', notre école foutue, notre sécurité intérieure insécure, notre diplomatie bafouée par la Terre entière, notre moral tombé au niveau de notre morale, nous sommes derniers en tout ou presque, rien ne va plus, aucune solution n'est en vue, nous sommes submergés par des vagues d'immigrants qui ne rêvent que de nous voir disparaître, on détruit l'un après l'autre les fondements de notre magnifique ''corpus'' civilisationnel, qualifié de mots incongrus pour les (mauvais) besoins de la (mauvaise) cause, et il ne tourne dans les têtes que de (très) mauvaises idées... Résultat : le pays avance comme un canard sans tête, sans but, sans direction, sans sens et surtout sans bon sens... Mais nos génies en rupture complète d'intelligence ne savent disserter, dans leur vide sidéral , que du fait que ''le projet des autres (= les imbéciles qui ne pensent pas comme eux) est flou, pas bon, pas clair, etc...''.
On croit cauchemarder : les bandes de bras cassés qui nous ont précipités, en moins de dix ans, des sommets dans le classement des nations à une place honteuse parmi les losers, les ratés, les nuls et les corrompus, qui n'ont rien proposé d'autre que des mauvaises solutions, qui ont fait, à peu de choses près, tout ce qu'il ne fallait pas faire... se permettent de se proposer, eux, comme solution pour demain, alors que la seule vraie question qui se pose est : ''Devant leurs résultats calamiteux, qui aurait fait pire ? Devant tant d'échecs cumulés et tous azimuts, on est en droit de se demander si on n'a pas eu tort de ne pas faire passer Marine le Pen à la Présidentielle précédente : même en admettant qu'elle ait été très limitée pour le job, tout permet de croire que Macron, le soi-disant ''Mozart de la finance '' (= le pire faux mozart qu'on puisse imaginer ! Même pas un Salieri !), a fait bien plus de mal qu'elle n'aurait pu en faire, dans les mêmes circonstances !
Disons-le tout crûment : la nullité encyclopédique de notre mozart en matière financière (citez-moi une seule bonne chose qu'il ait faite dans ce domaine ?), a totalement ''cramé la caisse''. Le tiroir est vide et on continue à promettre monts et merveilles à l'Ukraine... On continue à raconter des craques sur le covid... qui n'a pas été une catastrophe du tout (même leurs mensonges odieux ne convainquent plus personne) : ce qui a été catastrophique c'est la façon dont un problème extrêmement mal posé a été encore plus mal traité ! A l'étranger, après avoir détruit notre ''Corps diplomatique'', Macron a fait perdre tout crédit à la France, mais cela n'est rien : son inexpérience puérile nous rapproche chaque jour, par son orgueil mal placé, d'un méga-conflit que personne ne pourra plus contrôler : cette faute-là risque d'être définitive ! Arrêtons là : ça fait trop mal !
En face de ça, une gauche qui a perdu toute raison d'être est en train de nous rejouer le coup de l'ancien ''Parti de l'étranger'' par tropisme historique avec une extrême gauche qui n'a plus d'électeurs potentiels que parmi celles des populations immigrées qui refusent la France, la rejettent et la vouent aux gémonies... En face, la Droite –systématiquement (dis)qualifiée ''d'extrême'' par une Presse d'une malhonnêteté intellectuelle ''pas croyable''-- présente pour une fois des figures attrayantes : Bellamy est excellent et courageux. Propulsé au Pouvoir, il pourrait faire des merveilles, comme l'aurait fait Fillon sans ''le scandale d'Etat le plus honteux de notre histoire''.
II reste (''last but not least'', diraient nos amis britanniques) les tandems Marion Maréchal/ Eric Zemmour et Bardella/ Marine le Pen. Les deux jeunes ''loups'' ont beau être des ''louveteaux'', que de talents dans ces jeunes-là, structurés par les arcanes électorales au lieu d'avoir été isolés du monde réel par les bureaux bien chauffés de la Compagnie Rothschild. Je reste persuadé que ni l'un ni l'autre n'aurait fait aussi mal que les dégâts irrattrapables causés par le duo de cavaliers de l'Apocalypse que sont Macron et Le Maire.
Et puisque je vous avais promis de vous révéler ''mon'' secret de l'isoloir (étant entendu que ce n'est que ''mon avis personnel, que je partage''), c'est dans ce sens là que me portent mes envies. S'il n'y avait pas l'ombre portée de ''Marine'' derrière Bardella, j'aurais hésité longuement. Mais elle est là, et elle appartient tellement à l'ancien monde que je vais donc faire confiance (hors de toute fausse science électorale et de tout calcul soi-disant savant qui fait tourner le dos à ses convictions pour un vote qu'on croit ''utile'' mais qui se termine toujours en ''attrappe-couillon''), sur le concentré d'intelligence vraie et rare que constituent Zemmour et Maréchal pour essayer de dynamiter cette Europe pourrie, nocive, néfaste et mortifère dont, au fond, personne ne veut, et, semble-t-il, avec juste raison : il faut revenir aux fondamentaux, vite !
J'espère ne pas trop m'attirer les foudres de ceux qui pensent autrement. A ceux-là, je veux dire qu'un des facteurs initiaux de ma ''dérive dans ce bon sens'' a été dans l'immensité des reproches et critiques contre ces deux-là (qui n'ont jamais –je dis bien jamais-- été confirmés ni vérifiés) dont notre Presse gauchère se fait une spécialité... cette Presse sans foi ni loi dont dont il semble de plus en plus que ''il faut et il suffit de faire le contraire de ce qu'elle dit pour ne pas se tromper''.
H-Cl.
PS – J'aurais dû vous dire : ''A demain, pour des sujets plus pacifiés... ''. Mais (comme je vous l'avais annoncé la semaine dernière), il se peut que le nombre de km à parcourir pour aller d'un mariage à un autre me fasse faire ''faux bond'', demain. Je vous en demande pardon, si c'est le cas.
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billingualpoems · 7 months
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Liens sans fin
Ah quelle belle bande de bras cassés
On se disait
La paire on faisait
Et silencieuse j'ai longuement été
Jusqu'à que je vous rencontre
Vous mes paires, mes zigotos
Avec vous j'aime être
Et loin de vous je n'ai plus les mots
J'aime d'autant plus votre chaos
Que le bruits des oiseaux
Qui parle tout haut
Perché au dessus de l'eau
On y ressemble un peu
Aux oiseaux de différents lieux
On vient de tout les horizons
Mais on en reste pas moins que des cons
On est peut être que des mômes
Mais on en a profité
On a fait les fous
Et détroussé tout les loups
Je vous aime mes têtes brûlées
Je vous aime plus que vous ne le pensé
Je vous aime autant ivre
Qu'avec l'esprit libre
Je ne saurais jamais comment vous remercier
De tout ces moments passés
Ici sans pressé
À moi de leur raconter :
Merci mes zigotos
Merci mes petits fléaux
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gaelle-kashiira · 2 years
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Tout est là faute de Togashi...
La rencontre entre deux bébés araignées...
***************
Drôle de gosse.
Il ne dit jamais rien et regarde le monde d'un air perpétuellement malheureux.
*
Quand Phinks l'a aperçu pour la première fois, il n'avait nulle part où aller. Un des types du bidon ville, tirait un gamin, presqu'un bébé. Minuscule, il luttait pourtant à chaque pas et le bras du vieux pervers était couvert de morsures.
Phinks n'avait pas réfléchi, il avait fait exprès de se jeter dans les jambes du type et avait chopé le poignet du gosse avant de détaler.
Ils ne s'étaient pas arrêtés avant d'avoir le souffle trop court pour courir encore. En tout cas, le vieux ne les avait pas suivis.
— Je m'appelle Phinks. Et toi ?
Le gosse avait levé les yeux vers lui, la bouche entrouverte et… l'air triste. Ça l'avait mis en colère et il l'avait poussé. L'autre enfant avait volé par terre avant de se relever. Les lèvres tremblantes mais étroitement serrées, il s'était approché avant de lui balancer son pied dans le tibia. Il était pieds nus, ça n'aurait pas dû faire mal, surtout venant d'un maigrichon pareil. Puis, il était parti en courant.
Phinks n'avait pas cherché à le rattraper. Il s'était juste dit qu'il avait perdu son temps à le sortir de la mouise. Il était reparti en essayant de chasser la sensation de malaise qu'il avait ressentie en tenant son poignet. Il avait eu l'impression de tenir un petit oiseau au creux de sa main. S'il avait serré un peu plus, il lui aurait cassé le poignet, il en était sûr.
Puis, le temps avait passé.
*
Ça fait plusieurs mois qu'il a croisé la route de ce gamin à la peau pâle et aux yeux étirés vers ses tempes.
À ce gosse fragile comme un moineau qui est sûrement mort.
Phinks boite bas et rumine. Il s'est pris une rouste de la part d'Uvo. Franchement, il va falloir qu'il trouve un moyen d'en imposer. Il est quasi aussi fort que l'autre débile auto-proclamé roi d'il ne sait trop quoi et que Franklin.
Ce dernier traîne tout le temps avec ces morveux de Chrollo et Shalnark. Il a déjà son équipe. Uvo a pris Machi sous son aile et…
Phinks se sent seul. Il n'a pas besoin d'une bande mais parfois, il aimerait avoir juste quelqu'un avec qui traîner, avec qui il ne se sentirait pas menacer.
Il y a quelqu'un assis sur le coffre de la vieille voiture qui lui sert d'abri, ces derniers jours.
Ça y est : Phinks en a ras-le-bol ! Il fonce sur le nouveau venu. Il va pleuvoir des gnons, ce soir.
— Hey ! Toi ! Tu te crois où au j…
Il s'interrompt soudain en reconnaissant les yeux de chat du gosse. Ses cheveux sombres tombent dans son visage mais il peut voir les sourcils arqués en une expression perdue et triste.
— J'te reconnais.
L'autre enfant ne répond pas, il se contente de le regarder sans mots dire, penche la tête sur le côté.
— Si tu veux rester là, va falloir raquer, mon vieux. Allez ! Aboule !
L'argent n'a pas de valeur ici. Mais tout ce qui peut être troqué est une denrée recherchée. Avec ça, on peut obtenir de la nourriture de meilleure qualité, des soins. L'autre gosse observe la main tendue avec attention avant d'y deposer la sienne.
— Phinks, dit-il d'une petite voix aiguë.
Le garçon cligne des yeux sans bien comprendre ce qu'il se passe.
— T'es une fille ?
L'autre l'observe à nouveau avec attention avant de répéter :
— Phinks. Fille.
— Hein ?
Un instant, il a envie de retirer sa main brusquement. De se détourner de ce regard qu'il devine à présent aussi perdu que lui se sent pour le moment.
— Tu comprends rien à ce que je dis hein ?
L'autre gosse penche la tête sur le côté.
— Hein ?
Phinks ne peut s'empêcher de rire. Il récupère sa main et s'installe à côté de l'enfant. Il lui donnerait quatre ou cinq ans, sauf que ses mouvements et la vitesse avec laquelle il s'est fondu dans le décor quelques mois plus tôt, plaident pour quelques années de plus. Il doit avoir sept ou huit ans. Du haut de ses onze ans de Phinks ne sait pas bien quoi faire de cet enfant à l'apparence si fragile.
— Ok. Phinks…
Il appuie son pouce contre son torse.
— C'est moi.
— Et toi ?
— Phinks… moi et toi ?
— Heiiin ? Non ! Non.
Il recommence les présentations, bien plus patient avec ce gosse dont il ne connaît rien qu'avec n'importe qui d'autre. Il ne s'en rend pas compte. Il ressent juste une fierté un peu absurde lorsque son petit compagnon le pointe du doigt :
— Phinks.
— Ouais ! T'as compris !
Le gamin ramène son doigt vers son propre visage.
— Feitan.
Phinks ne peut s'empêcher de se sentir ému aux larmes. L'autre gosse… Feitan l'observe d'un air vaguement inquiet. L'aîné des enfants commence à deviner que c'est son expression par défaut. Le grand blond essuie son nez sur sa manche avant de sauter au sol.
— Viens ! Il commence à faire froid.
— Froid…
— Ouais !
Phinks se frotte les bras en frissonnant et se sent quand même un peu ridicule. Alors à la place, il ouvre la portière pour se glisser à l'intérieur. L'endroit commence à devenir un peu étroit avec sa poussée de croissance. Mais pour ce soir, il conviendra.
Du coin de l'œil, il voit le gosse s'encadrer dans l'ouverture.
— Feitan vient ?
L'accent est difficile à comprendre mais il comprend vite.
— Ouais. Viens.
Feitan monte dans la voiture avant de se frayer un chemin jusqu'au genoux de Phinks.
— Heyyy ! Tu fais quoi là ?
— Feitan froid, explique le môme.
Phinks ouvre la bouche pour protester mais lorsqu'il croise les yeux gris et trop sérieux, il admet sa défaite.
— Ouais… froid, marmonne-t-il avant de refermer les pans de sa veste rapiécée autour du minuscule corps de son nouvel ami
Demain, il l'emmènera voir la moto qu'il répare… d'ailleurs, faudra qu'il lui trouve un siège. Puis, ils chercheront ensemble un nouvel abri.
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disparate-gallery · 2 years
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La malédiction du gringo par JUJU " Duty-Fred zone sous les tropiques avec son pote El Mosco et leur nouvelle bande de bras cassés. Ils font la fête, boivent et vivent de petites magouilles faciles au jour le jour pour subvenir à leur consommation de marie-jeanne. En gros ils ont la belle vie. Malheureusement un trafic pas très légal avec des "nativos" du coin va réveiller une vieille malédiction : celle du gringo. Ils vont se retrouver malgré eux embarqués dans une aventure dont le déroulé va leur échapper et vont tour à tour disparaître. Les survivants vont découvrir les secrets de notre galaxie, faire face à la mort et rencontrer les dieux. " Éditions Infinies www.editionsinfinies.fr Prix : 21€
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metablood · 2 years
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Aizawa mysterious injury (En/Fr)
In English
I have this idea...
That one day Aizawa appeared in the teacher's lounge sporting a black eye and a brocken collarbone. His arm tucked in his own capture weapon, he explained that Recovery Girl wanted him to have more sleep before she heals him.
As Aizawa pours himself a glass of water and take his pill, other teachers prey on Present Mic to get more informations. He won't budge.
Aizawa made him promise not to tell, and Yamada has the intent to use his secret as leverage for later... You never know when you are going to need a favor from Eraser Head!
The truth is Recovery Girl is outraged by the way he hurt himself and is now pestering him about his lifestyle. "You cannot go on patrol every night with a day job ! Naps and coffee are not a substitute for proper sleep !"
Hizashi laughed so much his ears are still ringing... One could expect more support from the love of one's life.
Other heros don't dare ask the terrible Eraser Head what happened, they know how reckless he can be in battle.
They should never know that he was simply too sleepy coming back from a patrol, so he tripped and fell in the stairs. The next step would me Midnight calling him "grandma" and urging him to be careful not to slip in the showers...
En français
J'ai cette idée…
Qu'un jour Aizawa est apparu dans la salle des profs avec un oeil au beurre noir et une clavicule cassée. Son bras calé dans sa propre bande de capture, il a expliqué que Recovery Girl refusait de le soigner tant qu'il n'aurait pas dormi.
Alors qu'il se sert un verre d'eau pour prendre un médicament, les autres profs se précipitent sur Present Mic pour gratter plyus d'informations. Il refuse de céder.
Aizawa lui a fait promettre de ne rien dire, et Yamada a bien l'intention de garder le secret pour s'en servir plus tard… On ne sait jamais quand on aura besoin d'une faveur d'Eraserhead !
La vérité, c'est que Recovery Girl est parfaitement outrée par la façon dont il s'est blessé et à présent elle le harcèle au sujet de son mode de vie. "Tu ne peut pas patrouiller toutes les nuits alors que tu as aussi un emploi de jour ! Les siestes et le café ne sont pas des substituts à une vraie nuit de sommeil !"
Hizashi a rit aux larmes, ses oreilles sonnent encore… On pourrait s'attendre à un peu plus de soutien de la part de l'amour de sa vie.
Les autres héros n'osent pas demander au Terrible Eraserhead ce qui est arrivé, ils savent combien il peut être brutal durant la bataille.
Ils ne doivent surtout jamais apprendre qu'il est simplement rentré trop fatigué d'une patrouille, a trébuché, et est tombé dans l'escalier. La prochaine étape serait que Midnight l'appelle "grand-mère" et l'enjoigne de faire atention à ne pas glisser dans la douche…
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yespat49 · 3 months
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Le maire DVD de Castres appelle à voter Guilhem Carayon (LR-RN) : “Je ne peux pas apporter mon soutien à tout ce qui est apparenté à Macron ou à la bande de bras cassés avant lui.”
“Tout sauf Macron”. C’était le message que Pascal Bugis, le maire divers droite de Castres, avait fait passer avant le 1er tour des élections législatives. Continue reading Le maire DVD de Castres appelle à voter Guilhem Carayon (LR-RN) : “Je ne peux pas apporter mon soutien à tout ce qui est apparenté à Macron ou à la bande de bras cassés avant lui.”
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toscan-sukima · 4 months
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ETF Gold Argent Money Invest Bitcoin Bourse Shareholders Bank
La montée brutale du prix de l'or, c'est un putain de signal d'alarme. Si tu ne pige pas ce qui se passe, tu vas te faire bouffer. Alors, on se sort les doigts du cul et on regarde les faits.
Pourquoi ça grimpe ?
Bouclier contre l'inflation :
L'or, c'est le rempart ultime contre l'inflation. Quand les prix s'envolent, les gens balancent leur fric dans l'or pour éviter de se faire dépouiller.
Chaos géopolitique et économique :
Les tensions mondiales, les crises financières, ça fout les jetons. Les investisseurs, ils cherchent un refuge, et l'or, c'est leur planque préférée.
Taux d'intérêt de merde :
Les taux d'intérêt sont à chier. Du coup, les placements traditionnels comme les obligations, c'est pour les losers. L'or, lui, il te protège en cas de merdier.
Dévaluation des monnaies :
Les banques centrales impriment du pognon comme des tarés. Les gens perdent confiance dans les billets de Monopoly et se ruent sur l'or.
Que faire avec ton fric ?
Diversification, bordel ! :
Ne mets pas tout dans le même panier. Diversifie. Achète de l'or, mais balance aussi des thunes dans des actions, des obligations, de l'immobilier et autres matières premières.
Or physique :
Lingots, pièces, peu importe. L'or physique, ça te protège vraiment. Mais faut un endroit sûr pour le planquer, et c'est pas toujours facile à refourguer.
ETF sur l'or :
Les ETF, c'est pour avoir de l'or sans les emmerdes du stockage. Tu les achètes et les vends comme des actions, facile et rapide.
Actions de mines d'or :
Miser sur les entreprises qui extraient l'or, c'est risqué mais ça peut rapporter gros. Faut juste pas que leur management soit une bande de bras cassés.
Obligations indexées sur l'inflation :
Ça te protège de l'inflation sans les montagnes russes du prix de l'or. Moins glamour, mais efficace.
Reste à l’affût :
Ouvre les yeux et suis les tendances économiques et géopolitiques. Le monde change vite, et l'or réagit en conséquence.
Conclusion
Le prix de l'or grimpe parce que le monde est en vrac. Si tu veux pas te faire baiser, il faut être diversifié et attentif. L'or, c'est important, mais faut pas miser que là-dessus. Mélange les investissements et surveille les signaux. C'est comme ça que tu protégeras et feras fructifier ton capital.
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mali-umkin · 2 years
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So my girls are old ladies now (9 and 8) and because of her arthritis Paquita can't dig dens for the both of them anymore, so I've allowed them to go below the garden shed and I love watching them living their best rabbit life
Only problem is I close this when Marnie is outside and she's found her way in anyway so I've sent them to get her out, and they're just coming out complaining like "mum why is the guinea pig in our home"
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imanes · 4 years
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bon op-ed sur le néolibéralisme en temps de pandémie
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lespenseesdepandee · 5 years
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GENTLEMAN JACK - Episode 1x08
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En vrai ça me tue que l'on ne puisse rien faire. On a une bande de dingues en train de détruire des ados (Alena a annoncé aujourd'hui qu'elle s'est cassé le bras gauche, après le bras droit il y a moins de deux mois) et on peut rien faire.
Le seul petit espoir que l'on pourrait avoir c'est début mars, avec les débuts des "transferts" ou certaines pourront peut-être partir. Et peut-être que certaines enquêtes et poursuites juridiques donneront quelque chose. Mais il ne faut pas trop espérer non plus, même après un scandale de dopage Eteri est la favorite de tout le milieu, au Kremlin, et à l'International Skating Union.
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belphegor1982 · 3 years
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OR DONC. *claps hands* La BO de Kaamelott Premier Volet. Petit regard post-film.
Lire la liste de morceaux avant et après avoir vu le film, ça me rappelle quand un livre Harry Potter sortait et que je commençais par aller voir la table des matières : les titres de chapitres sans contexte, les mots et les noms inconnus, c’était pas vraiment du spoiler étant donné que je ne comprenais pas grand-chose. Une fois le livre fini, forcément, c’était “Aaaah, bon sang mais c’est bien sûr” et on voyait ces mots d’un autre œil :D C’est ce que je fais ici.
Comme non seulement je n’ai pas la science infuse mais qu’en plus j’ai une fâcheuse tendance à louper des trucs, je risque de beaucoup demander “et vous, vous avez compris quoi?”
Déjà, la musique est superbe. Ça brille, c’est profond, c’est narquois, c’est épique, et il y a des côtés Star Wars ou Le Seigneur des anneaux sans copie ni clin d’œil appuyé. J’ai adoré et il me tarde de pouvoir décortiquer les thèmes avec le contexte avec des petites impressions de temps en temps (histoire de me les rappeler plus tard).
A propos de contexte, voyons la liste morceau par morceau:
1. Abordage en Mer Rouge
La musique du teaser, super build-up, et mine de rien ça rappelle où l’action se passe. Et quand !! On a une date :D C’est en 434, donc.
LES CORS AU TOUT DÉBUT. Je les attendais si fort au cinéma et ça a fait TELLEMENT de bien 😭
2. Le Péché de Lancelot
Quel est le péché de Lancelot, d’abord? D’avoir abusé du pouvoir qu’Arthur lui a confié? De ne pas avoir “péché”, justement, avec Mevanwi? (je suis d’avis qu’il ne l’a jamais touchée - parallèle avec Arthur et Guenièvre, peut-être pour presque les mêmes raisons! - et que c’est pour ça qu’elle n’a pas de descendant.) D’avoir livré le Royaume de Logres aux mercenaires saxons?
Quoi qu’il en soit, on sent bien la mélancolie de Lancelot, la dépression qui le guette. Ce n’est pas un tyran qui profite, c’est un tyran triste qui gueule sur ses sous-fifres qu’il traite avec bien moins de patience qu’Arthur.
3. Sept Jours de Marche
Quarto et ses deux Wisigoths dans le désert à la recherche du gars à qui il avait vendu Arthur. Au passage, la discussion sur les godasses entre les deux rigolos c’est vraiment du pur Kaamelott et c’est parfait.
4. Le Wadi
Un wadi c’est un oued, un cours d’eau d’Afrique du Nord, et l’image qu’on a dans le film (le moment où Algazar va chercher Arthur chez Damian le Sassanide) c’était pas forcément celle que j’en avais, mais bon - Arthuuuuur ;___; Les quelques notes du thème du Livre V pour suggérer son personnage m’ont descendue.
5. L’Augure de Fraganan
Franagan, c’est la sœur de Leodagan ! Le nombre de personnages dont on découvre une sœur, un frère, et qui disent “ben ouais, je l’avais juste pas dit” - mdr monsieur Astier, ce serait pas un petit message aux fans? :P Super personnage, cela dit, j’ai bien aimé. Et sa dynamique avec son frère et sa belle-sœur était chouette.
6. Hydromancie
Continuation de la scène avec Franagan où Elias la backup sur l’hydromancie. Et elle a raison - le roi Arthur (enfin, “le fils Pendragon”) va bien revenir au Royaume de Logres.
7. Sous la Bretagne
Mes émotions ;___; Le tavernier qui revient sur les ruines de sa taverne, où on a passé tant d’heures avec Perceval et Karadoc, qui était le nœud de tout ce qui concernait le petit peuple, la vie quotidienne, les paris à la con, tout ça. Mais la mélodie et le rythme changent quand on se rend compte qu’il y a une trappe qui permet d’accéder aux souterrains que Karadoc et Perceval font creuser depuis 10 ans ! Et mine de rien, ce morceau (si je ne me goure pas trop c’est un de ceux qu’on entend dans la bande-annonce), il claque. Même si les deux couillons restent nos deux couillons, ils ont quand même droit à de la dignité à travers la musique (donc la narration) et ça c’est super.
En plus le morceau en lui-même a un petit côté Lac des cygnes dans les premières secondes (les cinq notes vers 0:12) et j’aime beaucoup ce genre de musique qui commence tout doux et prend de l’envergure. En plus avec les cordes qui arrivent au changement de rythme, accompagnées ensuite par les cuivres et les percussions pour montrer que ces gars, THEY MEAN BUSINESS, c’est génial 💜💜💜
8. Les Héros de la Résistance
On continue avec le thème des souterrains et de la Résistance (dirigée par Perceval et Karadoc.
9. Merlin le Cartographe
OK, là la musique s’ouvre et prend de l’ampleur. Vous devriez écouter Merlin quand il vous dit qu’il faut cartographier les souterrains, les gars ! En même temps, les cartes ça n’a jamais été le fort de Perceval (ou Karadoc)...
10. Marche Aquitaine
Sans doute mon morceau préféré. Je l’ai eu dans la tête on et off depuis le film mardi soir ^^ Il va tellement bien au Duc! Pour celleux qui connaissent Carmen, je lui trouve un petit côté “La garde montante”, militaire mais avec de la fantaisie, des jolis violons, des clarinettes et des clochettes. Et ce qui me tue, c’est que c’est une marche (“Musique au rythme régulièrement cadencé, permettant de régler ou d'accompagner le déplacement d'un cortège lors d'une procession, d'un défilé ou d'une parade”, dixit le Wiktionnaire), mais mine de rien si je me plante pas ça illustre aussi une marche - celle du Duc et d’Arthur à travers l’Aquitaine, vers Gaunes :D GIMME ALL THE PUNS PLEASE
11. Furadja !
Alors. Personnellement, les flashbacks je les ai trouvés esthétiquement très plaisants, les couleurs chaudes sont magnifiques et les costumes superbes, mais ils m’ont bien, bien perdue. On manque cruellement de contexte. Qui est Furadja? Une cheffe locale? (politique, religieuse, les deux?) Visiblement elle a du pouvoir, puisque les deux officiers romains qui supervisent Arthur et ses jeunes collègues obéissent (en râlant, mais tout de même) à ses ordres. Et qui est-elle envers Shedda? Est-ce que Shedda est son esclave, sa fille, sa pupille, sa future successeuse?
En tout cas, le dépaysement sonore est complet. On sait qu’on est dans un univers différent aux premières secondes rien qu’aux instruments. BTW, la Maurétanie césarienne correspond à une zone géographique à cheval entre le Maroc de l’est et l’ouest de l’Algérie.
12. Une Clairière près de Gaunes
...où la nouvelle garde des Chevaliers a installé une nouvelle Table Ronde 💜 La musique les traite avec tendresse, même si on peut sourire, parce que dans leur genre ils font autant bras cassés que la Résistance en souterrain (mais ils essayent, aussi !!). Et on en parle, des nouveaux chevaliers? Bédivère! Lucan (le Bouteiller dans la légende arthurienne, Chevalier Seiche ici), qui est effectivement un frère de Bédivère! Gareth, frère de Gauvain et fils de Loth et d’Anna d’Orcanie! A un moment Astier va nous dropper Galahad (et Mordred) sur le coin du museau et ça va faire bizarre XD
13. Une Attaque Burgonde
Vous les aviez vus venir (à Kaamelott), les Burgondes? Ben pas moi! Je pensais qu’on allait chez eux, pas l’inverse - mais j’avais oublié que le Roi Burgonde essayait régulièrement d’envahir le Royaume de Logres. “Artooouur! La guerre est une illusion! ...Artooouuur! La guerre est un salsifis!” ...never change, dude.
14. L’Intrigante à Bouclettes
Mevanwi, of course. Avec des coups de cloches qui font penser au glas. Au passage, je note que “intrigante à bouclettes” c’est le MEILLEUR terme pour décrire Mevanwi et que le Jurisconsulte traite Lancelot de “gros (/vieux?) lézard tout moisi” et c’est tellement parfait :P Les méchants ont de chouettes répliques, hein ?
15. La Nouvelle Table Ronde
Comme la clairière, c’est doux, timide, hésitant, comme les premiers pas d’Arthur vers son rôle de roi. Parce que oui, elle ne paye pas de mine, cette table ronde, mais qu’elle est touchante. Pour moi on peut placer les personnages de Kaamelott sur une échelle de “is trying” à “gives no fuck/a arrêté de give des fucks” et Arthur est toujours touché par la première catégorie même quand il tombe dans la deuxième.
Et le scare chord quand les Saxons débarquent, ça fait très très penser à un mélange de cartoon Tex Avery et le sketch “The Spanish Inquisition” des Monty Python :D
16. Les Jeunes Aventuriers
Okay, j’avoue, le jeune moustachu qui se la joue résistant en braillant qu’il veut résister je lui trouve un peu une tête à claques. ‘Tit peu. Mais c’est logique, c’est son défaut personnel :P
17. Léodagan et l’Arsenal
Stop the presses, c’est la scène romantique ultime. (ok, je déconne, mais pas tant que ça, en fait.) Leodagan qui retrouve des armes de jet en mode 🥺 c’est émouvant et tellement parfait ^^
18. Les Ravins de la Mort
Les retrouvailles Arthur & Perceval ;____; La musique est toute douce, on sent vraiment l’émotion de Perceval et des autres qui se rendent compte que c’est Arthur, là, devant eux, dans la cage. Le thème de la résistance revient faire un clin d’œil, mais dans l’ensemble ça reste solennel et plein d’émotion.
19. Mevanwi aux Geôles
Who comes to gloat? Mevanwi! Et récupérer ses filles dans le plus grand des calmes (filles qui refusent tout net, bravo les petites). Je peux pas m’empêcher de penser que la cloche qu’on entend ici et dans “L’intrigante à bouclettes” est du foreshadowing.
20. Le Talent de Iagu
...est visiblement d’être un pickpocket tout à fait efficace! Man after my own heart :D Iagu chope les clés de la cage à un sbire de Mevanwi et permet de libérer le roi. Good for you, dude 👍
21. Kolaig l’Étrangleur
Kolaig (et sans déconner, j’ai compris “collègue” la première fois) s’est donné comme noble tâche de courtiser Guenièvre et de la libérer de la tour où l’a enfermée Lancelot. Et comme on est dans Kaamelott, l’amour courtois c’est une jolie idée en théorie mais un peu merdique en pratique, et le Kolaig en fait les frais. Manque de motivation pour grimper à la tour, même si ça ferait plaisir à Guenièvre (qui à force n’y croit plus vraiment, mais ça fait passer le temps).
22. L’Épaule de Shedda
Ça commence par un flashback d’une douceur 💜💜💜 Un peu amère, parce que l’épaule de Shedda est abîmée et qu’on se rend compte qu’elle est battue. On revient au “présent” avec la cloche et le thème de la résistance, et si je me souviens bien c’est le moment où Arthur monte les escaliers pour demander à Guenièvre si elle veut être libérée (et tant pis pour le boulet qui essaye de grimper aux racines et qui n’y arrive pas, y a plus le temps!).
23. Robobrole !
“Robobrole” c’est un de ces jeux du Pays de Galles dont Perceval (et son frère Lamorak!) ont le secret, et j’avoue que je suis un peu déçue qu’Arthur ne sache pas y jouer, étant donné qu’on sait qu’il connaît des jeux gallois! C’est très court, juste l’ouverture façon cuivres qui claquent, l’entrée des gladiateurs/le début du match de Quidditch, juste avant le gros bordel.
24. Excalibur Morte
Arthur retirant Excalibur du rocher - une nouvelle fois. On retient toustes son souffle ^^ Mais cette fois, elle s’enflamme, puis elle s’éteint. Ma théorie? Arthur ne croit plus suffisamment à sa tâche, à son rôle et en lui-même. Il faudra qu’il fasse un travail sur lui-même, qu’il se remette psychiquement de sa dépression et de sa tentative de suicide, pour qu’Excalibur retrouve sa couleur d’origine.
25. Arthur et les Musiciens
Là c’est marrant, parce que dans cette scène/ce morceau (Arthur qui a un moment “Eurêka” en regardant jouer les musiciens burgondes - en fait ils sont bons en musique, donc ils sont capables d’opérer en rythme!), on a un mélange de musique diégétique (à l’intérieur de la narration, donc ce que jouent les musiciens à l’écran) mélangée à de la musique extradiégétique (à l’extérieur de la narration, les cordes qui soulignent ce qu’Arthur pense à ce moment). Et puis il est sympa, ce morceau. Petit côté hippie des années 1970.
26. La Martyre
La martyre, c’est Shedda, qu’Arthur découvre blessée et battue dans les flashbacks. Je ne sais pas quel instrument est utilisé ici, mais c’est le même que dans “Furadja !” et c’est cool, parce que ça te place immédiatement dans un autre temps et un autre lieu. Et on sent, à la fin du morceau, que ça ne va pas bien finir, cette histoire...
27. Arthur à la Tour
Look, I’m basic. Donnez-moi un morceau au piano solo et je suis aux anges. Et “Arthur à la Tour”... C’est délicat, c’est doux, c’est grave, on sent le poids des années de complicité et d’intimité émotionnelle avec Guenièvre, pour qui il a fini par ressentir de la tendresse, et pourquoi pas plus? Cette scène, mes aïeux. J’avais les mains sur le cœur bien après le fondu au noir 🥰
28. Une autre Attaque Burgonde
Qui commence comme la première, sauf que là il y a du changement - c’est moins bordélique ! Et on passe direct à -
29. Désenchevêtrement
Now we’re cooking with gas, comme disaient les Angliches il y a cent ans. Le rythme est pareil que la précédente (et il me semble qu’on l’entend dans le trailer), mais là on va quelque part et ça s’entend :D
30. Excalibur Noire
Arthur vs. Lancelot. Et Excalibur qui flamboie froid. Pourquoi, ma foi, ça j’en sais rien...
31. Juste Judex
Mélange du flashback où Arthur découvre Shedda morte sous les coups de Furadja et tue Furadja pour la venger, et du présent où il se bat contre Lancelot en duel et décide de l’épargner. Autant je ne suis pas fan du flashback et en particulier de sa résolution, autant cette musique claque méchamment. @nael-opale​ m’a très justement (hah) fait remarquer que le texte vient du Dies Irae, un texte liturgique longtemps chanté dans la messe de Requiem. Les paroles en latin ça donne :
Juste Judex ultiónis, donum fac remissiónis ante diem ratiónis
Ce qui donne traduit littéralement,
Juste Juge de votre vengeance, faites-moi don de la rémission avant le jour du jugement
et si on préfère une traduction plus littéraire :
Tu serais juste en me condamnant, mais accorde-moi ton pardon lorsque j'aurai à rendre compte.
Arthur n’a pas pu/voulu pardonner Furadja pour le meurtre et le martyre de Shedda, et il ne l’a pas épargnée ; pas sûre qu’il veuille/puisse pardonner Lancelot, mais - comme Lancelot qui vient pour le tuer à la fin du Livre V et qui finit par le sauver - il refuse finalement de le tuer/juger.
Pour moi cette musique à ce moment c’est l’équivalent du “Duel of the Fates” de l’épisode I de Star Wars. En plus, juste avant on a les quatre notes qui font penser au générique de début du Livre V, histoire de bien enfoncer le clou dans nos cœurs 😭
32. La Mor le Roy Artu
Le moment qui fait mal ;___; D’abord parce que ce n’est pas la première fois qu’Astier utilise ce titre qui vient du Lancelot-Graal. Le Lancelot-Graal, ce sont des textes du 13ème siècle, d’auteur inconnu, racontant le roman de Lancelot, Arthur et Guenièvre, et l’effondrement final du royaume de Logres. D’après la version anglaise de la page Wikipédia, “The ruin of Arthur's kingdom is here presented as the disastrous direct consequence of the sin of Lancelot's and Guinevere's adulterous affair. Lancelot dies too, as do the other protagonists who did not die in the Queste, leaving only Bors as a survivor.” Whohoo! 🙃 Donc AA avait utilisé ce titre dans le Livre I, quand pour renflouer les caisses du royaume le Père Blaise faisait visiter “le tombeau” d’Arthur Pendragon, qui avait moyennement apprécié la blague. Là, le morceau est sombre, doux, et on voit qu’Arthur n’en a pas fini avec sa dépression, il ne s’est pas débarrassé de ses démons personnels pendant ses années d’exil, et la mort le taraude et le tente toujours. Il est sauvé in extremis par une des filles de Karadoc (Mehgan ou Mehben?) et son prétendant à moustaches et barbichette. La petite se doute visiblement qu’il y a quelque chose qui ne va pas (”Vous foutiez quoi, couché sur la table [avec la forteresse qui s’écroule sur vous]?”) mais pas le temps de tergiverser, il faut se casser, là, tout de suite.
La mort le Roy Artu raconte, ben, la mort d’Arthur, tué par Mordred. J’ose espérer qu’AA n’utilisera pas ce titre une troisième fois... 😬
33. Horsa !
Sting était super dans ce film 🥰 Même si des fois fallait un peu s’accrocher pour comprendre les dialogues. Si je me souviens bien, ce morceau correspond au moment où Horsa (et Wulfstan) négocient pour récupérer/garder l’Île de Thanet qui leur a été promise par Lancelot. Fun fact : d’après la page Wikipédia, “L’île fut cédée en 449 par le Britto-romain Vortigern aux chefs Jutes Hengist et Horsa, qu'il appela à l'aide contre les incursions destructrices des Pictes et des Scots. Ayant voulu les en chasser, Vortigern fut battu à Aylesford en 455.” On ne sait pas si Horsa (et Hengist) ont vraiment existé ou pas. Mais bon, ça fait des belles histoires !
34. Prêts pour l’Aventure
La fin du film, où on fait le point sur les personnages. On a de nouveaux Chevaliers de la Table Ronde, on a Arthur et Guenièvre unis, Lancelot qui se réfugie dans la tour en ruines où il avait enfermé Guenièvre et tombe sur... le fantôme de son père ? Et PAF, c’est là-dessus que le film se clôt. Mi-inquiétant, mi-triomphant, et la musique s’arrête net. J’aurais préféré un petit truc qui enchaîne avec le générique :-/ Mais ça donne sacrément envie de voir (d’avoir) KV2 😁
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