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#bleu de perse
chicinsilk · 4 months
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Christian Dior Haute Couture Collection Fall/Winter 1955-56. Marie-Hélène Arnaud wears “Bleu de Perse” set in “Musky” by Rodier. L'Officiel September 1955.
Christian Dior Collection Haute Couture Automne/Hiver 1955-56. Marie-Hélène Arnaud porte "Bleu de Perse" ensemble en "Musky" de Rodier. L'Officiel septembre 1955.
Photo Philippe Pottier.
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chic-a-gigot · 8 months
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La Mode illustrée, no. 36, 4 septembre 1870, Paris. Toilettes de Mme Fladry, 27, Faubj. Poissonniere. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Description de toilettes (Bibliothèque Forney):
Costume en toile perse-cretonne fond mais, à grands bouquets de fleurs des champs. Le costume se compose de la jupe ronde, garnie d'un volant surmonté d'une ruche à la vieille; à cette jupe se rattache tin corsage décolleté par-dessus lequel on pose un fichu de mousseline blanche. Tunique pareille à la jupe, montante par derrière, ouverte par devant, garnie d'une ruche à la vieille. Cette tunique est drapée de chaque côté en arrière des bras; manches demi-larges; deux nœuds en ruban de velours noir au corsage, un même nœud à chaque manche.
Robe de faye bleu vif, garnie de trois volants. Corsage montant et manches justes. Tunique très-longue, à corsage ouvert par devant, et manches larges, fendues, faites en gaze de soie bleue un peu épaisse, à rayures satinées; cette gaze est de même teinte que la robe de faye; la tunique est garnie d'une large frange bleue, même frange autour des manches. Chapeau de paille garni de ruban bleu et d'un gros pavot rose.
Suit in Persian-cretonne canvas, but with large bouquets of wild flowers. The suit consists of the round skirt, trimmed with a flounce surmounted by an old fashioned ruching; attached to this skirt is a low-cut bodice over which is placed a white muslin fichu. Tunic similar to the skirt, rising behind, open in front, trimmed with an old fashioned ruching. This tunic is draped on each side behind the arms; half-wide sleeves; two black velvet ribbon bows at the bodice, the same bow at each sleeve.
Bright blue faye dress, trimmed with three flounces. High bodice and straight sleeves. Very long tunic, with bodice open in front, and wide, slit sleeves, made of slightly thick blue silk gauze, with satin stripes; this gauze is the same color as faye dress; the tunic is trimmed with a wide blue fringe, even fringe around the sleeves. Straw hat trimmed with blue ribbon and a large pink poppy.
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gogmstuff · 8 months
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More images of 1912 fashion -
1912-1913 Afternoon dress.
1912 (Winter) Jeanne Paquin evening gown (Helen Larson Historic Fashion Collection, FIDM Museum - Los Angeles, California, USA).
1912 (Winter) Jeanne Paquin evening gown (Helen Larson Historic Fashion Collection, FIDM Museum - Los Angeles, California, USA).
Left 1912 Lucile dress (V&A). From omgthatdress.tumblr.com/post/654088327176306688/evening-dress-lucile-1912-the-victoria-albert 1280X1707.
Center and right ca. 1912 Chantilly lace dinner dress front quarter and back (location ?). From whitakerauction.smugmug.com-Fall2012-Clothing-ID-22-140-i-b3kCXfz 3068X2895
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1912 Lady in Furs, Mrs. Charles A. Searles by Cilde Hassam (location ?). From tumblr.com/catherinedefrance 900X1090.
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1912 Lady wearing a large hat sitting by Franz von Stuck (auctioned by Sotheby's). From their Web site 1753X1991.
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1912 Mrs J., by Józef Męcina-Krzesz (location ?). From godsandfoolishgrandeur.blogspot.com/2016/11/randomly-ix.html; shadows 60% and fixed spots w Pshop 750X975.
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1912 Mrs. Ernest Guinness by Sir Francis Bernard Dicksee (auctioned by Christie's) From www.pinterest.com/nouvellegiselle/vintage-inspiration slightly cropped & fit to screen 924X1500.
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1912 Mrs. John Lawrence by Edmund Tarbell (private collection). From cutlermiles.com/mrs-john-lawrence-edmund-tarbell/ 992X1280.
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Left 1912 Princess Elena of Greece, nee Russia, in 1912, wearing the diamond and pearl tiara she later gave to her daughter as a wedding gift From pinterest.com/inara0798/aristocrats/ 602X960.
Center 1912 Princess Paley in a dinner dress with fancy headdress. From Sacheverelle's photostream on flickr 488X983.
Right 1912 Vizcondesa de Termens From laalacenadelasideas.blogspot.com/2012/12 1018X1316.
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1912 Robe de Visite de Paquin (pl.5, La Gazette du Bon ton 1912-1913 n°2) by George Barbier. From edition-originale.com/en/prints-engravings-photographs/ 1682X2518.
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Left ca. 1912 Frau Prinzessin Rupprecht in Bayern, Marie Gabrielle in Bayern, by F. Grainer. From eBay fixed spots w Pshop 1017X1600.
Right ca. 1912-1913 Olga de Meyer wearing the famous Paul Poiret coat La Perse, photograph by Baron de Meyer. From facebook.com/144304418968266/photos/a.397639360301436/1143579645707400/?type=1&theater 1123X2048
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Left 1912 Winifred, Duchess of Portland by Philip Alexius de László (Portland College - Ravenshead, Nottinghamshire, UK). From books0977.tumblr.com/post/111045895147/the-duchess-of-portland-1912-philip-alexius-de 999X1280.
Right 1912 New Book by Walter Bonner Gash (location ?). From tumblr.com/larobeblanche/742427773413556224/the-new-book-c-1912? 876X1024.
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Left 1912 Le Manteau bleu by Xavier Gosé (location ?). From tumblr.com/mote-historie/744587745354301440/painting-by-xavier-gos%C3%A9-le-manteau-bleu-1912?.
Center 1912 Fourrures Max (Max Furs) in the catalogue 'Fourrures Portraits Minatures' by George Barbier. From tumblr.com/mote-historie/732453186620866560/george-barbier-illustration-for-the-catalogue?source=share& 1939X2541.
Right 1912 Man and woman in evening dress by Coles Phillips (NYPL). From tumblr.com/sartorialadventure/747029584815489024?; fixed flaws & spots w Pshop 764X1000
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ca. 1912 a Femme chic, Supplément by A. Souchel (Rijksmuseum). From their Web site; fixed flaws & spots w Pshop 3229X5315.
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Les mots entre parenthèses sont les titres des œuvres de Jacques Prévert.
Venez donc découvrir la piste et ses artistes.
Le spectacle est offert, même les ''Cancres'' sont acceptés, surtout eux ! Je me présente, ''Barbara'', c’est moi qui détiens les ''Clés de la ville''
et sous ce chapiteau, je fais '' La pluie et le beau temps'' alors prenez place sur les strapontins et écoutez donc ma complainte.
Ce soir ''Les enfants de la bohème'' sont parmi nous, Il est hors de question de voir que '' Le désespoir est assis sur un banc''.
Il vont faire jongler vos soucis et les envoyez aux cieux, rejoindre les ''Pages d’écritures'' qu’ils ne feront jamais. A gauche, vous pourrez apercevoir,'' Fatras'', ''Ma petite lionne'', qui nous reviens de son ''Voyage en perse''. Elle à connu "Le temps des noyaux", mais aujourd’hui, c’est'' Le temps des festins'' car ici ''Les animaux ont aucun soucis''.
Puis à coté de Monsieur Loyal, ''Les mystères de la chambre noire'',qui le feront disparaître peut-être a jamais. Prenez place a ces cotes, si vous l’osez! '
'Les visiteurs du soir'' seront ''Les enfants du paradis'', ils nous feront les ombres chinoises des temps modernes, puis, certaines ''Choses et autres''aprés, ils repartiront pour un autre spectacle.Si cela vous intéresse, ils seront ''Quais des brumes''.
Vers minuit, sous le soleil de nuit, ''Les feuilles mortes'' disparaîtrons dans une piste aux ''Sables mouvants''. Spectacle unique au monde qui ne s’apprend pas '' L’école des beaux arts'' ! Pour les amoureux, nous les emmènerons '' Rue de la seine'', nous leurs présenterons'' Les temps modernes'', Nous vous assurons que ''L’affaire et déjà dans le sac''.
Monsieur Merlin l’enchanteur se fera un plaisir de vous faire disparaître dans cet autre temps. Ici il n’y a pas de '' Désespoir ni tristesse à notre fête foraine, venez et un jour, '' L'orgue de barbarie'' vous fera écouter les bruits de la nuit, il vous emportera vers le ''Ciel bleu de méthylène''. Vous pouvez voyager partout.
Garder votre imaginaire le plus longtemps possible, alors, entre ''Noces et banquets'', nous ferons la transhumance du bonheur,
 Avec ''Monsieur Prévert'', je vous offres SES mots.
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yeyouche · 1 year
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Le Bleu Deck
Théodore Deck né le 2 janvier 1823 à Guebwiller et décédé le 15 mai 1891 à Paris, était un céramiste français connu pour son « Bleu Deck » ou « Bleu de Deck ».
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En 1841, Deck suit un apprentissage chez un poêlier à Strasbourg, suite à cette formation il effectue un tour des ateliers dans plusieurs pays, dont l’Autriche qui le remarquera pour son travail de qualité. Suite à la révolution, Théodore ouvre un petit atelier de terres cuites dans sa ville natale, il y réalise des bustes, statuettes, vases, lampes et copies d’antiques célèbres. Il retourna à Paris où il sera employé comme contre-maître par la veuve Dumas, fille du faïencier Vogt pour qui il avait déjà travaillé auparavant. La fabrique remporte une première médaille à l’Exposition universelle de 1855. En 1858, il fonde la fabrique Deck avec son frère Xavier où ils n’y font que des revêtements de poêles dans un premier temps, avant de se diversifier et explorer la céramique pour revêtement des bâtiments et les pièces de forme.
Les techniques acquises au fil de son parcours lui permettront de créer une palette d’émaux inédits, ces émaux font écho à son inspiration pour la Renaissance italienne, la Grèce antique, le naturalisme japonais et l’Orient islamique. Il se spécialise dans le style oriental et plus précisément le style d’Iznik. Le « Bleu Deck » lui a été inspiré par un tesson Perse, il analysa sa composition et créa sa propre teinte, un mélange de potasse, de carbonate de soude et de chaux associés à des glaçures alcalines. Un puissant mélange à la frontière entre le bleu turc, le bleu persan, le bleu égyptien et le bleu chinois, créant un bleu turquoise profond, opaque, moins vitrifié qui a la particularité d’être plus où moins intense selon les couches appliquées.
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En 1861, il révèle ses années d’expérience et de recherches à l’Exposition universelle des arts et industries, il y expose des pièces à décor d’incrustation dit « Henri II » et d’autres pièces recouvertes de son nouvel émail ou d’un décor dans le style des céramiques d’Iznik. Il y remporte une médaille d’argent.
En 1862, à l’Exposition universelle de 1862 à Londres, il présente son Vase de l’Alhambra qui mesure 1,36m de hauteur pour 2,25m de circonférence qui sera acheté par le South Kensington Museum quelques années plus tard.
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Deck perfectionne encore ses émaux et parvient en 1864 à présenter des œuvres non craquelées.
En 1875, il est nommé à la tête de la commission de perfectionnement de la Manufacture de Sèvres.
En 1880, il explore la tradition chinoise et collabore avec Raphaël Collin, un professeur à l’académie des beaux arts reconnu pour son habilité à joindre l’art français à l’art japonais dans les domaines de la peinture et la céramique et en 1887, Théodore publie un « traité sur la faïence ».
Artiste, décorateur et chimiste artisan, Deck a enrichi le monde de la céramique européenne grâce aux techniques exotiques qui l’ont influencé. Il a créé une large gamme de techniques nouvelles comme la glaçure sur feuille d’or, le bleu turquoise et le bleu Deck.
Un musée lui rendant hommage a été créé en 1933, dans sa commune de naissance Guebwiller, il est nommé « le musée Théodore-Deck et des pays du Florival ».
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philoursmars · 2 years
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Série poissons. Ici, on passe de l’art roman à la Renaissance, du flamand au perse...
- Oloron Sainte-Marie (Béarn) - la pêche du saumon
- Lille, cuisine de l’Hospice Comtesse
- Marseille, MuCEM, expo  “Aventuriers des Mers" - Rashid Al-Din: “Jonas et la Baleine" - Tabriz,1314  (OUI, je sais, la baleine n’est pas un poisson....)
- Lille, cuisine de l’Hospice Comtesse
- Marseille, MuCEM, expo  “Aventuriers des Mers" - André Thevet : “'Le Vlétif" - France,1575
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aigrefinmedia · 5 years
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Mes chers compatriotes, Nous sommes plutôt habitués à être généralement traités de monstres et nous sommes considérés comme particulièrement monstrueux parce que, au sujet d’une question qui rend nerveux certains gentilshommes en Allemagne, nous allons droit au but : concrètement, au sujet de la question de l’opposition aux Juifs. Notre peuple comprend beaucoup de choses, mais ce problème, personne ne veut le comprendre, en particulier parce que, comme un travailleur l’a déjà expliqué, quel rapport y a-t-il entre les travailleurs et la question juive, quand en réalité la plupart des gens ne comprennent pas ce que ce problème veut dire ? La plupart des gens se laissent guider par leurs sentiments et disent : « j’ai vu de bonnes et de mauvaises personnes parmi eux, exactement comme parmi nous ». Très peu ont appris à voir le problème, libéré de toute émotion, dans sa forme pure. Je vais commencer avec le mot travail. Qu’est-ce que ça veut dire – le travail ? Le travail est une activité réalisée non pas par libre consentement, mais pour le bien de ses propres compagnons. S’il y a une différence entre l’homme et l’animal, c’est tout particulièrement au sujet du travail, qui ne procède pas d’un instinct, mais découle de la compréhension de la nécessité. Aucune révolution n’a un impact aussi profond que celle qui lentement transforme l’homme fainéant de sa jeunesse, en homme qui travaille. Puisque nous parlons de travail, nous pouvons affirmer que cette activité suit trois phases. Premièrement, un effet de simple instinct de conservation que nous voyons aussi chez les animaux ; plus tard, il se développa en une seconde forme de travail, celle du pur égoïsme. Celle-ci a progressivement été remplacée par la troisième : le travail par sens éthique du devoir, où un individu ne travaille par parce qu’il y est forcé. Nous le voyons partout, Des millions de gens travaillent sans y être constamment forcés. Des milliers d’intellectuels sont parfois attachés à leurs études des nuits entières, jour après jour, bien qu’ils ne réalisent aucun gain matériel. Des centaines de milliers de travailleurs allemands, après la fin de la journée, vont jardiner. Et généralement, nous voyons aujourd’hui des millions de gens qui ne peuvent pas imaginer vivre sans une forme d’occupation ou une autre. Quand je dis que ce processus représente une lente révolution mais aussi peut-être la plus grande de l’histoire humaine, alors on doit admettre que cette révolution a une cause, et que cette cause est la plus grande déesse de la terre, celle qui est capable de fouetter les hommes pour tirer le maximum d’eux, la déesse de l’Épreuve. Nous pouvons voir cette épreuve au début de la préhistoire, par dessus tout, dans la partie septentrionale du monde. Avec ses énormes déserts de glace où seule l’existence la plus élémentaire était possible. Ici les hommes ont été obligés de lutter pour leur survie, pour des chose qui, dans le midi luxuriant était disponible sans travail, en abondance. En ces temps, l’homme a fait peut-être sa première grande découverte. Dans ces plaines froides, l’homme a été forcé de trouver un substitut au seul don du ciel qui rend la vie possible, le soleil. Et l’homme qui a produit artificiellement la première étincelle est plus tard devenu un dieu pour l’humanité, Prométhée, le porteur de feu. Le Nord a forcé les hommes à plus d’activité : production de vêtements, de demeures. D’abord, c’étaient de simples cavernes, plus tard des huttes, puis des maisons. En résumé, il a créé le principe, le principe du travail. La vie n’aurait pas été possible sans lui. Même si le travail était encore simple, il devait déjà être planifié et chaque individu savait que s’il n’accomplissait pas sa part, il mourrait de faim l’hiver suivant. En même temps, un autre développement a suivi : les terribles épreuves sont devenu un moyen de produire une race. Quiconque était faible ou malade ne pouvait pas survivre à la terrible période de l’hiver et mourait prématurément. Ceux qui restaient étaient une race de géants, forts et en pleine santé. Puis, une autre caractéristique est apparue : là où l’homme était limité extérieurement, où son rayon d’action était limité, il a commencé à se développer intérieurement. Limité extérieurement, il devint illimité intérieurement. Plus l’homme en raison des forces extérieures devait dépendre de lui-même, plus il développait sa vie intérieure et plus il se tournait vers lui-même. Ses trois réalisations : premièrement, le principe du travail comme devoir, comme nécessité, pas seulement par égoïsme, mais pour la préservation de l’ensemble de la communauté, d’un petit clan ; deuxièmement, la nécessité d’un corps sain et donc également d’une bonne santé mentale ; et troisièmement, une profonde vie spirituelle. Toutes ces choses ont donné aux races nordiques la capacité de parcourir le monde et de bâtir des États. Si ce pouvoir n’a pas pu trouver son expression complète dans le grand Nord, il est devenu apparent quand les entraves de glace ont fondu et que l’homme est allé au Sud, vers une nature plus heureuse et plus libre. Nous savons que ces peuples du Nord ont un symbole en commun : le symbole du soleil. Ils ont créé des cultes de la lumière et ils ont créé des symboles inspirés des outils pour faire le feu : la baguette de bois et la croix. Vous pouvez trouver ces croix gammées aussi loin qu’en Inde ou au Japon, gravées dans les piliers des temples. C’est le svastika qui était jadis le signe de l’établissement de communautés et de cultures aryennes. Ces races, appelées aujourd’hui aryennes, ont créé les grandes cultures de l’ancien monde. Nous savons que l’Égypte s’est hissée au niveau culturel qui fut le sien par l’action d’émigrants aryens, ainsi que de la Perse et de la Grèce. Ces émigrants étaient des Aryens blonds aux yeux bleus. Et nous savons qu’en dehors de ces États aryens, aucun État civilisé n’a été fondé. Des mélanges émergèrent entre les races du Sud au teint sombre, aux yeux et aux cheveux noirs, et les émigrants, mais ils n’ont pas réussi à créer des États pourvus d’une culture élevée et créative. Pourquoi les Aryens possédaient cette capacité à créer des États ? Cela était presque exclusivement dû à leur attitude envers le travail. Ces races qui avaient les premières cessé de voir le travail comme le résultat d’une contrainte, et le voyaient plutôt comme une nécessité née de centaines de milliers d’années de difficultés, étaient devenues supérieures aux autres peuples. Et en outre, cela les avait amenées à se rassembler et à se répartir le travail entre eux. Nous connaissons ce moment où le travail d’un individu cesse d’être consacré à sa seule survie, pour s’inscrire dans une communauté, une communauté qui tendait à assigner un travail particulier à ceux particulièrement doués, et avec la division des tâches, il devint nécessaire pour toujours plus d’individus de s’associer en groupes, toujours plus gros. Donc, c’est le travail qui a d’abord créé les races, puis les tribus, puis plus tard, la création d’États. Si nous regardons comme premier prérequis pour la création d’États la conception du travail comme devoir social, alors le second ingrédient nécessaire est la santé et la pureté raciale. Et rien n’a plus aidé les conquérants du Nord contre les races pourrissantes et fainéantes du Sud que la force sélectionnée de leur race. Les États resteraient un vaisseau vide s’il n’était décoré de ce que nous appelons habituellement la culture. Si nous supprimions tout, à l’exception des chemins de fer, des navires, etc., si nous supprimions tout ce que nous considérons comme de l’art ou des sciences, un tel État deviendrait vide et nous comprendrions le pouvoir créateur des tribus nordiques. Au moment où leur imagination immense et illimitée pouvait agir dans de grandes zones, elle a créé des œuvres immortelles. Nous voyons ce processus se répéter continuellement, même à la plus petite échelle. De la même façon, nous savons que les grands esprits naissent souvent au plus bas de l’échelle sociale, incapables de se développer mais, à la moindre opportunité offerte, ils commencent à croître et à devenir des leaders dans les arts, les sciences et aussi en politique. Nous savons aujourd’hui qu’il y a une relation très étroite et intense entre l’État, la nation, la culture, l’art et le travail, et que ce serait de la folie de penser qu’un seul d’entre eux pourrait exister indépendamment des autres. Prenons les arts, considérés comme un domaine international, et nous verrons qu’il est inconditionnellement dépendant de l’État. L’art fleurit dans les endroits où le développement politique l’a rendu possible. L’art de la Grèce a atteint le plus haut niveau quand le jeune État a triomphé des armées perses qui l’envahissaient. La construction de l’acropole a commencé à cette époque. Rome est devenue la cité des arts à la fin des guerres puniques et l’Allemagne a construit des cathédrales, comme à Worms, Speyer ou Limbourg, quand l’empire allemand sous les Saliens a réalisé ses plus grands triomphes. Nous pouvons suivre cette connexion jusqu’à notre époque. Nous savons que l’art par exemple, la beauté des villes allemandes, dépend toujours du développement de ses villes et que ce sont des considération politiques qui ont poussé Napoléon III à créer les grands boulevards, ou Fréderic le Grand, Unter den Linden. Pareillement à Munich, où il était évident que la ville ne pouvait pas devenir un centre industriel, l’art fut choisi pour élever le statut de la ville, laquelle aujourd’hui doit être visitée pour quiconque veut connaître l’Allemagne. Identiques sont les origines de la Vienne actuelle. Le cas est similaire pour les autres arts. Au moment où de petits et impuissants États ont commencé à s’unir en un seul État, alors l’art allemand fier de lui-même a commencé à grandir. Les œuvres de Richard Wagner sont apparues dans la période où la honte et l’impuissance ont été remplacées par un grand empire allemand unifié. Et donc, il n’y a pas que l’art qui soit dépendant de l’État, de la politique de l’État. La même chose est vraie pour le travail lui-même, parce que seul un État sain est en position de donner une opportunité à ses citoyens et de les laisser utiliser leurs talents. Mais pour ce qui concerne la race, c’est l’inverse qui est vrai. Un État avec une race pourrissante, malade, malsaine, ne pourra jamais produire de grandes réalisations artistiques ou faire de la grande politique ou à tout le moins, pas en abondance. Tous ces facteurs dépendent les uns des autres. Seulement quand tous ces composants se complètent pouvons-nous dire qu’il y a harmonie dans l’État, de la façon dont les personnes de souche germanique le comprennent. Les Juifs peuvent-ils construire un État ? Maintenant, nous devons nous poser la question : qu’en est-il du Juif comme bâtisseur d’État ? Le Juif possède-t-il le pouvoir de créer un État ? Nous devons d’abord examiner son attitude face au travail, découvrir comment il perçoit le principe même du travail et – excusez-moi si je prends un livre appelé la Bible. Je ne dis pas que tout son contenu est nécessairement vrai, puisque nous savons que la juiverie a pris de grandes libertés en l’écrivant. Mais une chose en tout cas est certaine : elle n’a pas été écrite par un antisémite. Ceci est très important car aucun antisémite n’aurait pu écrire une plus terrible accusation contre la race juive que la Bible, l’Ancien Testament. Prenons le temps de jeter un œil sur la phrase : « C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain ». Et il est écrit que c’est là une punition pour la chute de l’homme. Mesdames et Messieurs, déjà ici vous voyez que l’univers entier nous sépare. Nous ne pourrions jamais concevoir le travail comme une punition ou bien alors nous serions tous des condamnés. Nous ne voulons pas concevoir le travail comme une punition. Je dois ici faire un aveu : je n’aurais jamais pu exister sans travail et des centaines de milliers et des millions n’auraient pas été capables de vivre pendant trois ou cinq jours, peut-être dix, mais pas quatre-vingt dix ou cent jours, sans aucune activité. Si ce paradis existait réellement, la fameuse terre d’abondance, alors notre peuple y aurait été malheureux. Nous, Allemands, recherchons constamment la possibilité de faire quelque chose et si nous ne trouvons rien à faire, du moins, de temps en temps, nous nous tapons dessus. Nous sommes incapables de supporter le repos absolu. Donc vous voyez ici une grande différence. Parce qu’un Juif a écrit ceci, que ce soit vrai ou faux, c’est sans importance, parce que cela reflète tout de même l’opinion de la juiverie au sujet du travail. Pour eux, le travail n’est pas un devoir éthique évident mais au mieux un moyen de subsistance. À nos yeux, ce n’est pas du travail, parce que toute activité guidée par le seul instinct de conservation sans regard pour nos frères ne peut pas être appelée du travail. Et nous savons que ce travail dans le passé, consistait à piller des caravanes et aujourd’hui à planifier le pillage de fermiers, d’entrepreneurs et de travailleurs endettés. La forme a changé mais le principe est le même. Nous n’appelons pas cela du travail, mais du vol. J’ai déjà expliqué que durant leur long séjour dans le Nord, les races se sont purifiées. Cela veut dire que tous les inférieurs et les faibles ont péri graduellement et seuls les éléments sains ont survécu. Ici aussi, le Juif diffère de nous parce qu’il ne s’est pas purifié, mais a au contraire pratiqué l’endogamie. Il s’est multiplié, mais seulement au sein de cercles étroits et sans sélection. En conséquence, nous voyons des générations affligées par des défauts causés par la consanguinité. Finalement, le Juif ne possède pas le troisième facteur : la vie spirituelle intérieure. Je n’ai pas besoin d’expliquer ici à quoi ressemble généralement un Juif, vous le savez tous. Vous connaissez son agitation qui ne lui laisse jamais la possibilité de se concentrer et d’avoir une expérience spirituelle. Dans les moments les plus solennels, il cligne de l’œil et l’on peut voir durant l’opéra le plus beau qu’il est en train de calculer ses bénéfices. Le Juif n’a jamais eu son art propre. Son propre temple a été bâti par des bâtisseurs étrangers. Le premier fut bâti par des Assyriens et pour bâtir le second, ils eurent recours à des artistes romains. Il n’a rien laissé qui puisse être appelé de l’art, aucun bâtiment, rien. En musique, nous savons qu’il est seulement capable de copier l’art des autres, nous ne devrions pas cacher qu’aujourd’hui, il y a de nombreux chefs d’orchestre célèbres qui peuvent remercier la presse juive pour leur célébrité. Quand une nation ne possède pas ces trois traits, elle ne peut pas bâtir d’État. Et c’est vrai car durant des siècles, le Juif a toujours été un nomade, il n’a jamais eu ce que nous pouvons appeler un État. C’est une erreur très répandue de nos jours que de dire que Jérusalem était la capitale d’un État juif ou d’une nation juive. D’un côté, il y a toujours eu un grand fossé entre les tribus de Juda et Caleb et les tribus d’Israël au nord et seul David pour la première fois a réussi graduellement à dépasser ce fossé grâce au culte unitaire de Yahvé. Nous savons précisément que ce culte a choisi très tardivement Jérusalem comme seul siège. C’est alors seulement que le peuple juif a choisi un centre, comme Berlin, New York ou Varsovie aujourd’hui. C’était une ville dans laquelle le Juif, grâce à ses talents et caractères, a progressivement établi sa domination, partiellement par la force des armes, partiellement par le pouvoir des trompettes célestes. En outre, les Juifs déjà à cette époque vivaient comme des parasites dans le corps des autres peuples et il devait en être ainsi, parce qu’un peuple qui ne veut pas travailler – le travail souvent si difficile de construire et maintenir un État – de travailler dans les mines, dans les ateliers, dans le construction, etc. ; tout cela était déplaisant pour l’Hébreu. Un tel peuple n’établira jamais un État mais préférera vivre dans un autre État où les autres travaillent et où il agit comme intermédiaire dans les affaires. Un trafiquant dans le meilleur des cas, ou en bon allemand, un voleur, un nomade qui se livre à la razzia, comme durant les temps anciens. Et maintenant, nous pouvons comprendre pourquoi tout l’État sioniste et son établissement n’est rien d’autre qu’une comédie. M. le grand rabbin a récemment déclaré à Jérusalem : « l’établissement de cet État n’est pas le plus important ; il n’est pas du tout certain que ce soit possible ». Cependant, il est nécessaire pour la juiverie qu’elle ait ce quartier général spirituel, car la juiverie est « matériellement la maîtresse de plusieurs États que nous contrôlons. Nous les contrôlons financièrement, économiquement et politiquement. » Et donc l’État sioniste sera un grain de sable dans l’œil. De grands efforts ont été fait pour expliquer que tant et tant de juifs voulaient aller là-bas pour y devenir fermiers, ouvriers et même soldats ! Si ces gens ont réellement de tels besoins pressants en eux, l’Allemagne actuelle a besoin de ces hommes idéaux dans l’extraction de la tourbe ou dans les mines de charbon. Ils pourraient participer à la construction de barrages… mais l’idée ne leur vient pas. La totalité de l’État sioniste ne sera rien d’autre que l’université parfaite pour leurs criminels internationaux, et c’est de là qu’ils seront dirigés. Et chaque Juif, évidemment, aura l’immunité en tant que citoyen de cet État en Palestine tout en conservant bien sûr, notre nationalité. Mais lorsqu’il sera pris en flagrant délit, il ne sera plus un Juif allemand, mais un citoyen de Palestine. On peut pratiquement dire que le Juif ne peut pas s’en empêcher, parce que tout cela émane de sa race. Il ne peut rien y faire et en outre, qu’il soit bon ou mauvais n’a aucune importance, car il doit agir conformément aux lois de sa race, exactement comme le font les membres de notre peuple. Le Juif est partout un Juif, consciemment ou inconsciemment, il représente résolument les intérêts de sa race. Ainsi nous pouvons voir les deux grandes différences entre les races. L’aryanisme signifie la perception éthique du travail et tout ce que nous entendons si souvent aujourd’hui – le socialisme, l’esprit communautaire, le bien commun avant le bien individuel. La juiverie signifie l’attitude égoïste face au travail et donc le mammonisme et le matérialisme, l’antithèse même du socialisme. En raison de ses caractéristiques, que le Juif ne peut pas « dépasser » car elles sont dans son sang, comme il l’admet lui-même, se trouve la nécessité pour le Juif de comporter inconditionnellement comme un destructeur d’État. Il ne peut pas faire autrement, qu’il le veuille ou non. Et donc il est incapable de créer son propre État car cela nécessite beaucoup trop de sens social. Il est seulement capable de vivre en parasite dans l’État d’autrui. Il vit comme une race parmi d’autres races, comme un État au sein d’autres États. Nous pouvons très précisément voir quand une race ne possède pas les qualités nécessaires par nature héréditaire, que celle-ci non seulement ne peut pas créer d’État, mais qu’elle doit encore agir en tant que destructrice, peu importe si tel individu est bon ou mauvais.
Adolf Hitler (Pourquoi Nous Sommes Antisémites,1920)
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milka-oh-milka · 5 years
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j'ai reve d'un immense faisceau lumineux bleu
dans le ciel
en dessous c'etait beau 
ça venait d'une maison entouree de chats
et la lune sur le sol
dans l'hopital il y a
le bassin ou je soigne mon corps plus maigre qu'une branche
les vieilles femmes se coupent les cheveux 
et deviennent aussi belles que les jeunes filles
je parle le perse
et je porte un autre prénom
un garçon m'achete un fusil pour me séduire 
les infirmieres disent que l'hopital est petit
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sortilegio · 5 years
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"Ah, ces lois terrestres! Cette association de mots signifie-t-elle encore quelque chose quand deux êtres se décident à s'aimer?
Marie répondit avec douceur: "L'amour est un infant de bohème, qui n'a jamais, jamais connu des lois.. Si tu ne m'aimes pas, je t'aime, et si je t'aime, prends garde à toi!"
Les mojitos se posaient sur la table. La menthe s'étirait dans le rhum comme s'étire un chat perse dans des draps de velours, les particules de sucre disparaissaient dans la glace pilée comme des étoiles filantes. Il regarda ses yeux bleus depuis ses yeux à moitié clos et murmura: "Exactement, il y a des équations qui ne se soumettent à aucune lois terrestre". "
- Yamen Manai
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chicinsilk · 11 months
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US Vogue September 15, 1957
Marie-Hélène Arnaud in traffic on Place de la Concorde in a Lanvin-Castillo suit. The dress with rounded hips, waist jacket in blue tweed, with collar and cuffs in black Persian lambskin.
Marie-Hélène Arnaud dans le trafic sur la Place de la Concorde en tailleur de Lanvin-Castillo. La robe à hanches arrondies, veste à la taille en tweed bleu, avec col et poignets en agneau de Perse noir.
Photo Wiliam Klein
vogue archive
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chic-a-gigot · 1 year
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La Mode nationale, no. 49, 5 décembre 1896, Paris. No. 14. — Toilettes de mariage. Bibliothèque nationale de France
Explications des gravures:
(1) Toilette de cérémonie pour dame de 40 ans. Robe princesse en épingline miroir lilas de Perse. Petite veste genre boléro formant deux pans carrés devant, en velours améthyste. Col évasé doublé de dentelle. Plastron de guipure rebrodé de paillettes.
Garniture de boutons artistiques sur le boléro. Manches de velours améthyste. Chapeau garni de satin bleu pâle et de bouquets de violettes. Manchon de zibeline.
(1) Ceremonial ensemble for a 40-year-old lady. Persian lilac mirror pin princess dress. Small bolero jacket forming two square panels in front, in amethyst velvet. Flared collar lined with lace. Guipure bodice embroidered with sequins.
Artistic button trim on the bolero. Amethyst velvet sleeves. Hat trimmed with pale blue satin and bouquets of violets. Sable sleeve.
Matériaux: 14 mètres de veloutine, 5 mètres de velours, 16 mètres de doublure.
(2) Toilette de cérémonie pour dame de 50 ans. Robe princesse à traîne ronde en velours gris argent. Revers et panneau du devant en satin gris perle brodé d'acier.
Une frange de soie et perles d'acier garnit le devant du corsage dans le haut et retombe en blouse jusqu'à la taille. Manches larges en velours, drapées dans le haut.
Chapeau en broderie d'acier garni de violettes de Parme et d'une aigrette blanche.
(2) Ceremonial ensemble for a 50-year-old lady. Princess dress with round train in silver gray velvet. Lapel and front panel in pearl gray satin with steel embroidery.
A fringe of silk and steel beads adorns the front of the bodice in the top and falls in blouse up to the waist. Wide velvet sleeves, draped at the top.
Hat in steel embroidery trimmed with Parma violets and a white aigrette.
Matériaux: 16 mètres de velours, 4 mètres de satin, 16 mètres de doublure.
(3) Toilette de mariée en satin royal blanc nacré. Jupe à traîne arrondie garnie devant de guirlandes de fleurs d'oranger. Corsage de satin recouvert de mousseline de soie froncée. Ceinture corselet en satin très ajustée. Garniture en volant de point d'Alençon fixé sur les épaules et formant un boléro.
Col Médicis en dentelle et satin. Manches en satin, tout unies avec volant de dentelle dans le bas. Voile de tulle illusion.
(3) Pearly white royal satin bridal ensemble. Skirt with rounded train trimmed in front with garlands of orange blossoms. Satin bodice covered with gathered silk chiffon. Very fitted satin corselet belt. Alençon point ruffle trim fixed on the shoulders and forming a bolero.
Medici collar in lace and satin. Satin sleeves, all plain with lace flounce at the bottom. Illusion tulle veil.
Matériaux: 18 mètres de satin, 20 mètres de doublure.
(4) Toilette de jeune femme en armure de soie vert coque d'amande. Jupe unie à godets derrière. galons brodés sur les coutures. Haute ceinture corselet, très ajustée, en armure encadrée de galon. Larges revers en peau de soie ivoire, recouverts d'un volant d'application d'Angleterre coquillé sur les épaules. Gilet de mousseline de soie noire plissée sur transparent rose. Manches en armure de soie.
Toquet de dentelle. Plumes et aigrette noires. Boucle de strass.
(4) Ensemble of a young woman in almond shell green silk armor. Plain skirt with godets behind. braids embroidered on the seams. High corselet belt, very fitted, in armor framed with braid. Wide lapels in ivory silk skin, covered with a shell appliqué flounce on the shoulders. Vest in pleated black silk muslin on transparent pink. Silk weave sleeves.
Lace cap. Black feathers and egret. Rhinestone buckle.
Matériaux: 15 mètres d'armure, 16 mètres de taffetas rose pour doublure.
(5) Toilette de demoiselle d'honneur pour fillette de 8 à 10 ans. Robe en bengaline bleu lumière froncée. Pélerine et garniture du corsage en application de guipure jaunie sur transparent de velours bleu lumière encadré d'une petite bande de zibeline. Jupe montée à fronces, garnie dans le bas d'une haute bande de velours incrustée de guipure. Large écharpe de satin Liberty crème en ceinture.
Toque Rembrandt en velours noir bouillonné, garnie de plumes Choux de satin bleu lumière. Grosse rose devant.
(5) Bridesmaid toilet for 8-10 year old girl. Gathered light blue bengaline dress. Pelerine and bodice trim applied in yellowed guipure on transparent light blue velvet framed with a small strip of sable. Gathered skirt, trimmed at the bottom with a high velvet band encrusted with guipure. Wide cream Liberty satin scarf in belt.
Rembrandt toque in bubbled black velvet, trimmed with light blue satin cabbage feathers. Big rose in front.
Matériaux: 6 mètres de bengaline, 5 mètres de velours, 9 mètres de taffetas pour doublure.
(6) Robe de peau de soie tilleul. Petite veste roumaine en velours mousse brodé de jais. Manches en peau de soie. Haute ceinture de satin noir drpé. Chapeau de feutre à fond drapé en velours rose de Chine. Plumes noires avec choux de satin drapé.
(6) Linden silk skin robe. Little Romanian jacket in moss velvet embroidered with jet. Silk skin sleeves. High waistband in black dripped satin. Felt hat with draped bottom in Chinese pink velvet. Black feathers with draped satin puffs.
Matériaux: 12 mètres de peau de soie, 3 mètres de velours, 14 mètres de doublure.
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yes-bernie-stuff · 2 years
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Verset du jour et ses passages
Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde. Jean 9.5 Jean 9.1-17 1 Jésus vit, en passant, un homme aveugle de naissance. 2 Ses disciples lui posèrent cette question: «Maître, qui a péché, cet homme ou ses parents, pour qu'il soit né aveugle?» 3 Jésus répondit: «Ce n'est pas que lui ou ses parents aient péché, mais c'est afin que les oeuvres de Dieu soient révélées en lui. 4 Il faut que je fasse, tant qu'il fait jour, les oeuvres de celui qui m'a envoyé; la nuit vient, où personne ne peut travailler. 5 Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde.» 6 Après avoir dit cela, il cracha par terre et fit de la boue avec sa salive. Puis il appliqua cette boue sur les yeux [de l'aveugle] 7 et lui dit: «Va te laver au bassin de Siloé», nom qui signifie «envoyé». Il y alla donc, se lava et revint voyant clair. 8 Ses voisins et ceux qui l'avaient vu mendier auparavant disaient: «N'est-ce pas celui qui se tenait assis et qui mendiait?» 9 Les uns disaient: «C'est lui.» D'autres disaient: «Non, mais il lui ressemble.» Mais lui affirmait: «C'est bien moi.» 10 Ils lui dirent donc: «Comment [donc] tes yeux ont-ils été ouverts?» 11 Il répondit: «L'homme qu'on appelle Jésus a fait de la boue, l'a appliquée sur mes yeux et m'a dit: 'Va au bassin de Siloé et lave-toi.' J'y suis donc allé, je me suis lavé et j'ai pu voir.» 12 Ils lui dirent: «Où est cet homme?» Il répondit: «Je ne sais pas.» 13 Ils menèrent vers les pharisiens l'homme qui avait été aveugle. 14 Or c'était un jour de sabbat que Jésus avait fait de la boue et lui avait ouvert les yeux. 15 A leur tour, les pharisiens lui demandèrent comment il avait pu voir. Il leur dit: «Il a appliqué de la boue sur mes yeux, je me suis lavé et je vois.» 16 Là-dessus, quelques-uns des pharisiens disaient: «Cet homme ne vient pas de Dieu, car il ne respecte pas le sabbat», mais d'autres disaient: «Comment un homme pécheur peut-il faire de tels signes miraculeux?» Et il y eut division parmi eux. 17 Ils dirent encore à l'aveugle: «Toi, que dis-tu de lui, puisqu'il t'a ouvert les yeux?» Il répondit: «C'est un prophète.» Guérison d'un aveugle-né
Ezéchiel 27.1-25 1 La parole de l'Eternel m'a été adressée: 2 «Toi aussi, fils de l'homme, prononce une complainte sur Tyr! 3 Tu annonceras à Tyr, à celle qui habite à l'entrée de la mer et qui fait du commerce avec les peuples et de nombreuses îles: »Voici ce que dit le Seigneur, l'Eternel: Tyr, tu disais: 'Je suis d'une beauté parfaite!' 4 Ton territoire se trouve au coeur de la mer; ceux qui t'ont construite t'ont donné une beauté parfaite. 5 Ils ont construit toute ta coque en cyprès de Senir, ils ont pris du cèdre du Liban pour te fabriquer un mât, 6 ils ont fait tes rames avec des chênes du Basan et ton pont avec de l'ivoire venant d'Assyrie et importé des îles de Kittim. 7 Du fin lin d'Egypte avec des broderies te servait de voiles et de pavillon, des étoffes teintes en bleu et en pourpre des îles d'Elisha formaient tes tentures. 8 Les habitants de Sidon et d'Arvad étaient tes rameurs, et les plus experts de chez toi, Tyr, constituaient tes navigateurs. 9 Les anciens de Guebal et ses ouvriers experts se tenaient là pour réparer tes avaries, tous les bateaux de la mer et leurs marins se retrouvaient chez toi pour négocier tes marchandises. 10 Ceux de Perse, de Lud et de Puth servaient dans ton armée, c'étaient des hommes de guerre. Ils suspendaient leurs boucliers et leurs casques chez toi, ils te procuraient du prestige. 11 »Les habitants d'Arvad et tes guerriers garnissaient partout tes murailles, et des hommes de Gammad occupaient tes tours. Ils suspendaient leurs boucliers partout sur tes murailles, ils rendaient ta beauté parfaite. 12 Ceux de Tarsis traitaient avec toi à cause de tous les biens que tu avais en abondance. Ils donnaient de l'argent, du fer, de l'étain et du plomb en échange de tes denrées. 13 Javan, Tubal et Méshec faisaient du commerce avec toi. Ils donnaient des esclaves et des objets en bronze en échange de tes marchandises. 14 La communauté de Togarma donnait des chevaux de trait, des chevaux d'attelage et des mulets en échange de tes denrées. 15 Les habitants de Dedan faisaient du commerce avec toi. Les affaires commerciales de beaucoup d'îles passaient par toi. On te payait avec des cornes d'ivoire et de l'ébène. 16 La Syrie traitait avec toi à cause de la quantité de tes activités. Elle donnait des escarboucles, de la pourpre, des broderies, du fin lin, du corail et des rubis en échange de tes denrées. 17 »Juda et le pays d'Israël faisaient du commerce avec toi. Ils donnaient du blé de Minnith, du millet, du miel, de l'huile et du baume en échange de tes marchandises. 18 Damas traitait avec toi à cause de la quantité de tes activités et à cause de tous les biens que tu avais en abondance. Elle te fournissait du vin de Helbon et de la laine blanche. 19 En échange de tes denrées, les Danites et les Grecs, depuis Uzal, donnaient du fer forgé, de la casse et du roseau aromatique qui faisaient partie de tes marchandises. 20 Dedan faisait avec toi le commerce de couvertures pour s'asseoir à cheval. 21 L'Arabie et tous les princes de Kédar te fournissaient en agneaux, en béliers et en boucs. Pour tout cela, ils étaient tes fournisseurs. 22 »Les marchands de Séba et de Raema faisaient avec toi le commerce de tous les meilleurs aromates, de toutes sortes de pierres précieuses et de l'or, en échange de tes denrées. 23 Charan, Canné et Eden, les marchands de Séba, d'Assour et de Kilmad faisaient du commerce avec toi. 24 Ils faisaient avec toi le commerce d'habits de luxe, de manteaux teints en bleu, de broderies, de tapis, de tissus de couleur, de cordes tressées et résistantes qui figuraient sur tes marchés. 25 »C'étaient des bateaux long-courriers qui transportaient tes marchandises. Tu étais au comble de la richesse et de la gloire, au coeur de la mer.
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Pour nettoyer les bijoux de saphir, l'eau chaude savonneuse est sûr et devrait enlever tout résidu ou dust. Lorsque vous portez des bijoux surdimensionnée, Ne pas hésiter à des audacieux ou à motifs. La pierre a été également soupçonné d'éviter des arguments, assurer la fidélité et d'avertir l'utilisateur de l'imminence du danger en changeant les couleurs. Bien que le ton de la peau est un facteur important à considérer, la couleur des cheveux est encore plus crucial pour l'intégration réussie des accessoires aux couleurs vives. my walt disney world paris romain antique populaire a estimé que si la topaze était près empoisonné la nourriture ou boire allait changer la couleur et donc alerter les pierres porteur du danger. Whether vous êtes un minimaliste dédié ou ceci est votre première écoute de la parole de temps, le minimalisme est une tendance amusant à Disney Soldes Mode utiliser avec des bijoux, car il vous fait penser à des bijoux et de l'espace différemment. Certains emplois Disney Spider-Man peuvent avoir des restrictions de garde-robe, mais pour ceux qui ont la liberté de choisir, suivez ces conseils simples pour les accessoires de bureau. Le numéro un leçon à tirer des colliers de piste est simple audacieuse et contemporaine est le meilleur. En outre, les Perses anciens croyaient que le ciel bleu est causé par la réflexion d'un saphir géant sur lequel on croit la terre rests. Incorporer les accessoires de teintes vertes pour créer une garde-robe colorée et unique été. Les trois principales tactiques de manucure sont étonnamment simples nue, appariement et pop de la couleur. suites de pierres précieuses de couleur correspondants sont la voie à suivre afin de capturer la Rita Hayworth allure. Aussi, après avoir connu un ami au cours de quelques années vous donne un meilleur aperçu du genre de bijoux de créateurs qu'ils aimeront, tels que les pierres de couleur, des anneaux de créateurs, ou pendants. Par exemple, le bon plan disneyland paris pas cher Ring Flower Rose Cut correspond à toutes les tenues et toutes les occasions, ce qui rend la folie parfaite. Allant dans la couleur du jaune au violet profond lumineux, des bouquets de mariage sont garantis pour servir une belle addition à une robe de mariée. Voici le Dos spécifique et Don'ts. Pour utiliser un moins est plus d'attitude avec vos choix de bijoux, suivez le guide below. Réminiscence du soleil et de journées d'été remplis Soldes Disney Jouets de sable, il semble que l'orange est la couleur parfaite pour le plaisir d'été. www.officieldisney.com/no%C3%ABl-cadeaux
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merzbow-derek · 7 years
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POST-SCRIPTUM 808
DASHIELL HEDAYAT, Obsolete (1971)
Sous la pochette rose gaufrée illustrée se cache une sorte de croisement musical entre La Machine molle de Burroughs et À rebours d’Huysmans, mâtinée de Manifeste électrique aux paupières de jupe. Inspiré par un auteur de polar américain et un poète perse suicidaire, le nom du signataire s’impose d’emblée une invitation au voyage, alors qu’il s’appelle en fait Daniel Théron.
Peu de temps avant la réalisation d’Obsolète, enregistré au printemps 1971 bien que déjà composé dès 1969, sous le patronyme de Melmoth cette fois (du nom d’un roman gothique irlandais fait d’analepses mises en abyme), Dashiell Hedayat enregistre La Devanture des ivresses, disque dépravé au succès d’estime dans les milieux branchés, curieusement auréolé du grand prix de l’Académie Charles Cros.
Moins sombre, Obsolète fonctionne par associations libres inspirées du cut-up tel que mis au point par William S. Burroughs et Brion Gysin, ce qui en fait également une sorte d’équivalent musical du culte Rose Poussière de l’écrivain Jean-Jacques Schuhl, source d’inspiration des dandys Yves Adrien, Alain Pacadis et Patrick Eudeline. On y retrouve la même obsession pour les paradis artificiels que chez le poète électrique Michel Bulteau (du groupe Mahogany Brain pendant un temps) et le « dernier des immobiles » Matthieu Messagier, des ambiances sonores proches de Soft Machine habillant un flow (presque toujours) parlé, dont le timbre envoute et agit tel un narcoleptique.
Dans cet univers fantasmatique subtilement désuet, Dashiell Hedayat parait littéralement jouir de sa décadence en se perdant volontairement dans les méandres oniriques d’un rêve paranoïaque et drogué, comme en témoignent des images d’entretien captées pour la télévision française et l’émission Discorama de Denise Glaser. « C’est tout de suite un piège, « Qui êtes-vous ? » On n’est pas vraiment quelqu’un. Personne n’a vraiment une identité. Je suis plutôt sur le voyage de la schizophrénie… Alors, tout de suite, « Qui êtes-vous ? » coupe toute conversation possible. On n’est pas seulement ce qu’on fait, Dieu merci ! »
Dans Obsolète, Dashiell Hedayat évoque le speed (« horse power »), le sexe à n’en plus finir (« entre ses seins et ses cuisses, je sombre »), et un drôle de trip (« les chats dans l’escalier »). Soutenu comme tous les autres morceaux par une des meilleures formations alignées par Gong (Daevid Allen, Gilli Smyth, Didier Malherbe, Christian Tritsch, Pip Pyle), Chrysler Rose devient un hit underground (mérité) régulièrement repris dans les anthologies dignes de ce nom consacrées aux années 1970 françaises.
Malheureusement, Dashiell Hedayat n’enregistre plus après ce disque sorti par le label du mécène Chantal Darcy, elle-même financée par le marchand d’art Aimé Maeght et conseillée par le critique visionnaire Daniel Caux, enseigne également éditrice (entre autres) de La Monte Young et Charlemagne Palestine. Après avoir traduit Tarantula de Bob Dylan, il se consacre entièrement à la littérature, d’abord expérimentale, sur les excellents Selva Oscura, Le Bleu, le bleu, Jeux d’intérieur au bord de l’océan et Le Livre des morts-vivants, variations convaincantes des univers de William S. Burroughs et Claude Pélieu ; puis commerciale, sous le pseudonyme (un de plus) de Jack-Alain Léger ; et enfin controversée, sous l’identité de Paul Smaïl, auteur d’Ali le magnifique et Tartuffe fait ramadan.
« Qui êtes-vous ? » lui demande dans une belle intuition la douce et stylée Denise Glaser en 1969… Disons qu’on n’en sait guère plus aujourd’hui qu’à l’époque, sinon que… « Tout est si vague… Je ne sais même plus si pense… J’étais à contempler les anneaux de Saturne… Les os friables de la came… J’étais le singe du travelo... Mon cul comme une plaie ouverte… Mon nez où s’engouffraient les autos comme dans un tunnel… Des étoiles qui tournaient partout… » On est tous défoncés.
( Yves Adrien, par là )
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vide-et-sans-forme · 7 years
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Pendant que nous parcourons le Caucase Et que dans un écrin d’asphyxie La Koura court comme une attaque aux gaz Vers l’Aragve tordu sous les cimes, Pendant que vers le marbre du ciel d’août, Comme feraient les décapités, Les châteaux châtiés allongent le cou, Pommes d’Adam sur le ciel d’été,
Oui, pendant que, la tête à la renverse, J’observe ces fortifications Qui, voguant dans le grand ciel bleu de Perse, Vont au néant des générations, Pendant qu’au lieu des frondaisons des frênes, Les buissons bas frisent sur les pierres, Que suggère, que me souffle ton haleine, Caucase, ô Caucase, que dois-je faire ?
Étreinte de plus d’un millier d’étreintes, D’où vient ton succès, si assuré ? Et qui donc vise ta verve et ta feinte, Kazbek à l’œil malin, mais fermé ? Quand le cœur à être si haut vous manque, Qu’oscillent les encensoirs des monts, Penses-tu, ma lointaine, ô mon aimante, M’avoir déplu de quelque façon ?  Et là-bas, près des Alpes, ---------------------------- en Germanie, Où trinquent à mêmes chocs les rocs, Mais où les cris sont plus brumeux qu’ici, Crois-tu m’avoir dit un mot qui me choque ?
Vie roulant dans le flot des jours les flots Du genre – on m’y a un jour jeté, Mais y tailler ma vie veut plus d’efforts Que fermer ciseaux sur l’air léger. N’aie pas peur des songes, ------------------------------ oublie tes souffrances, Je t’aime, je médite et je sais. Vois : même les rivières, l’existence Refuse de les penser séparées.
1931
Boris Pasternak (in Seconde naissance).
Traduction : Jean Durin
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smyl12-blog · 7 years
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Ma vie à l'écrit !
Yo, je viens d'arriver sur Tumblr je vais vous raconter tous sur moi , c'est partie ! Salut je m'appelle Jessie Quaker ( mon prénom et mon nom son anglais ) j'ai 15 ans je suis Anglaise ; j'ai une petite soeur qui s'appelle Luna ( qui ce prononce Louna en anglais ) et j'ai un frère qui s'appelle Jason , ma mère s'appelle Kelly et mon père s'appelle Jack ; ils ont tous les deux 34 ans Oui ils m'ont eu jeune . Je suis blonde aux yeux bleu ; je fait 1m 66 et j'ai un IPhone 6+ rose gold . J'habite à Marseille . Le métier que j'aimerais beaucoup faire ça serais d'être Architecte d'intérieure ! J'ai un chien et un chat qui s'entende plutôt bien ensemble . Ma chatte s'appelle Jelly et ma chienne s'appelle Manga . J'ai un petit copains qui a 15 ans comme moi , il s'appelle Lucas Miler il a une petite soeur Louana très jolis prénom et un grand frère Eliot il a 17ans bientôt 18 . Ses trois meilleures amis sont Jason (mon frère ) , Hugo ( mon meilleure ami ) et Jordan ( le frere de ma meilleure amie ) . Lui il aimerait bien être dessinateur de Bande Dessiner . Ma meilleure amie s'appelle Jade Writter elle est chatain claire avec les yeux vert ; elle a un persing au ventre . Elle a pas de petit copain , elle a une petite soeur Katia et un grand frère Jordan . Mon meilleure ami s'appelle Hugo , il est brun claire avec les yeux bleu ces meilleures amis sont Lucas , Jordan et Jason. Maintenant je vais vous parlez de mes passions ! J'adore le dessins même si je trouve que je dessine pas très bien ; j'adore les animaux et spécialement les chiens et chats . J'aime la Nature, le soleil . J'adore me baigner et marcher sur la plage. Dans la catégorie sport j'aime trop le ski et j'aime bien la gymnastique . J'adore le trapèze ! Voilà je crois que je vous est tous dit sur moi en détails !!!! Gros bisous tous le monde
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