Tumgik
#ce soir pour la partie de la nuit
wine-dark-soup · 2 years
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Jour 1 partie 1. 1h40 d'écriture
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sabinerondissime · 19 days
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Journal
Il y a 20 ans, tout commençait entre nous. Nous nous sommes connus sur un site de discussion, comme il y en avait beaucoup au début des années 2000. J'étais en vacances dans le sud et nous avons dialogué jusqu'à mon retour en Normandie. Mon divorce venait tout juste d'être prononcé. Nous nous sommes rencontrés au début du mois d'aout et cela a tout de suite fonctionné entre nous. Mais ce mois ci, il y avait les jeux olympiques et ta passion pour le sport est passé avant ton envie de me voir. Vexée, je t'ai dis que je préférais qu'on en reste là. Le 29 aout, tu m'as envoyé un message pour me souhaiter ma fête et le dialogue a reprit. Tu es venu me voir le 6 septembre et nous ne nous sommes plus jamais quitté. Les premiers mois ont été superbes. Nous sortions beaucoup, tu m'emmenais faire des choses que je n'avais jamais faites comme voir un concert d'artiste que je ne connaissais pas (Mes souliers sont rouges) aller à La nuit du Zapping au Zenith de Caen, ou voir des matchs de Hockey sur glace. Nous aimons les choses simples alors nous faisions des pique niques en bord de mer, avec juste du pain et du camembert. Nous allions aussi dans pas mal de restaurant découvrir la cuisine du monde. Et comme je vivais toujours sous le même toit que mon ex-mari, nous allions dormir à l'hotel régulièrement. Tu prévoyais toujours une surprise. Un soir, je suis arrivée après toi et tu avais pavé le couloir de l'hotel de pétales de roses, jusqu'à la chambre ou je devais te retrouver. Quelques mois plus tard, j'ai emménagé dans ta ville, dans la même rue. Mais comme mes 3 enfants vivaient avec moi et que toi, tu n'avais jamais eu d'enfant, nous avons préféré garder chacun notre appartement au cas où. En 2007, nous avons eu notre fils mais nous avons tout de même conserver nos appartements. La naissance de notre fils a changé beaucoup de chose dans notre couple et 3 ans plus tard, afin d'éviter la rupture, nous avons pris la décision de nous laisser la liberté de vivre d'autres choses. Nous avons vécu ainsi quelques années. En 2020, mes 3 premiers enfants étant partis de la maison et le confinement arrivant, tu es venu t'installer chez moi. Nous avons continuer à faire chambre à part. De toute façon, il y avait déjà quelques années qu'il n'y avait plus de relation sexuelles entre nous. Nous sommes des amis, des parents mais plus des amants et probablement plus des amoureux. Nous aimons la façon de vivre de l'autre, le calme, la tranquillité et l'âge venant, nous avons décidé de nous marier, pour mettre à l'abri celui de nous deux qui restera en vie le plus longtemps. Demain, je porterai ton nom. Même si nous sommes très différents dans nos gouts et nos passions, nous en avons une qui nous lie depuis près de 18 ans, notre fils ! Je sais, parce que tu me l'a prouvé, qu'en cas de coup dur, mes enfants et moi nous pouvons compter sur toi. Désormais, nous avons un petit-fils qui, même s'il est le fils de mon fils t'appelle Papi et se moque bien qu'il n'y ait pas de lien du sang entre vous. Alors oui, il me manque la tendresse, la passion, l'amour, les mots doux, les compliments, les câlins, la sensualité, le sexe, la séduction, les projets, les voyages à deux et tout ce qui se rattache au sentiment amoureux. Mais je sais à quel point les sentiments sont éphémères. On dit "Marriage plus vieux (et non pas pluvieux) mariage heureux" parce que justement, on a souvent fait une croix sur la folie de la passion que recherche encore les plus jeunes. Ce qui est important désormais, c'est la stabilité et la confiance et cela, tu me l'apporte jour après jour depuis 20 ans. Merci d'avoir pris soins de moi et de mes enfants. Merci d'être l'homme que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Demain, ce sera OUI, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare.
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ernestinee · 3 months
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5h45 et ça fait 1h que je suis réveillée pcq Nougat s'est réveillé dans la pièce d'à côté, il en a marre d'être seul. Alors pour lui c'est suffisant de dire "chuuuttt nougat encore dodo" mais ça réveille les deux autres qui voient ça comme un "go la journée peut commencer", qui commencent à courir partout, se battre etc. et moi je ne sais pas me rendormir bien sûr. Et c'est comme ça que toutes les journées commencent depuis qu'il fait clair un peu plus tôt, j'en suis à espérer la fin de la saison.
Lundi il y a eu le briefing pour la semaine de stage de cirque en camping. Je me disais "une semaine sans chat whouhou" bah on se lève à 6h, un peu plus tôt si on veut une douche tranquille, et le feed back de la journée est à 23h. Alors moi je ne vais pas faire de cirque cette semaine là, j'y vais dans l'équipe d'intendance, qui est en fait l'équipe de profs dans l'école de cirque où je jongle. On va faire les courses et les repas pour les 130 jeunes et animateurs du camp. Ça va être une semaine de dingue et c'est assez bien payé. L'ado participe au stage chez les jongleurs mais on ne se croisera pas beaucoup en journée, et les nuits, il a une tente avec ses potes.
Les examens continuent, il en reste trois. Pour l'instant ça va mais on sent la fatigue et les erreurs d'inattention qui arrivent. Je continue de trouver cette période de l'année totalement inutile. Les remplir comme des seaux et les faire vomir le tout en fin d'année au lieu de fonctionner avec des bilans. Mon amie, qui est prof en supérieur, trouve que c'est important de pouvoir ingurgiter des grosses quantités comme ça. Ça les prépare aux études supérieures. Je trouve qu'il n'y a pas de rapport entre faire son boulot convenablement dans sa vie professionnelle et utiliser sa mémoire de manière aussi intensive et endurante, jusqu'à la nausée. Les études supérieures aussi pourraient segmenter la matière et leur éviter cette période de stress. Elle a utilisé comme argument "si je devais me faire opérer, j'aimerais que le chirurgien soit assez endurant au cas où" et je n'ai quand même pas vu le rapport avec la gestion d'une session d'examens du coup je trouve cet argument complètement claqué.
Il y a une psy de l'un des centres pluridisciplinaires où je bosse qui est partie récemment, il y a aussi l'animateur des ateliers BD et là c'est une logopède qui quitte bientôt l'équipe. A chaque fois c'est parce qu'iels ont trouvé une place comme salarié.e.s. Ce centre était déjà en questionnement, par rapport au fait que beaucoup d'indépendants partent (ça coûte très cher d'être indépendant en Belgique) et donc il n'y a pas suffisamment de loyers qui rentrent pour les bureaux et ça se pourrait que le centre ferme bientôt. Pour moi ça ne représente qu'une petite aprèm mais l'amie qui a ouvert ce centre et qui y met énormément d'énergie depuis des années est dévastée. On est en juin, les nouveaux professionnels sont diplômés et vont chercher une patientèle, j'essaie de la rassurer comme je peux mais on verra. Ce soir on a une réunion-barbec justement avec toute cette équipe, l'ambiance va être bizarre.
Je suis moi aussi dans une remise en question, une impression de ne pas être bonne dans mon job en ce moment. Les examens de l'ado me stressent et me font faire le taxi et j'ai l'impression que mon cerveau est totalement absorbé par ça , je n'ai pas de longue période "pour moi" dans la journée du coup mes factures ne sont pas envoyées, mes bilans ne sont pas faits, je n'ai pas harcelé les médecins pour avoir mes prescriptions signées. J'ai été absente 3 semaines en mai, j'ai l'impression d'avoir abandonné mes patients à un moment où ils avaient besoin de moi. Et il y a ce petit bonhomme dont le bégaiement revient alors que d'autres choses se règlent.
Et mon alarme sonne dans 2 minutes.
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fieriframes · 7 months
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[Farewell vicious night. The Ancient Fire calls your name. The invisible spiral will always remember the responders to the Midnight Caller. The ones who write the stories. And to whom the stories go. Perhaps the eternal moon will rise again. Perhaps the darkness has reached its end.]
XIV - La Ville Invisible
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
Des années de mystère m'avaient amené à ce seul paragraphe. Un voyage où, à chaque étape du chemin, j'espérais une conclusion, mais j'ai reçu davantage de questions à la place. Cette fois ne faisait pas exception.
Je l'ai répété encore et encore dans mon esprit. C'était enivrant. Ça ressemblait à une incantation pour des esprits puissants, comme écrit dans les livres. Mais les esprits ne sont jamais venus à moi. Même mes rêves avaient commencé à échapper à ma mémoire, comme l'amnésie dans une berceuse.
J'ai appris autant que possible sur la partie la plus significative du paragraphe : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus. Je fus Daphnis, habitant des bois, d’où mon nom s’est élevé jusqu’aux cieux. Cette épitaphe qui apparaît sur de nombreuses pierres tombales arcadiennes. Les origines mêmes de l’expression Et In Arcadia Ego. Les mots qui ont précédé les ténèbres.
J'ai appelé Mars Éditions encore et encore, personne ne répondait. Je suis allé au 12 Rue Jacob, mais l'enseigne au néon était éteinte et il n'y avait personne à l'intérieur. J'ai appelé The Library of Babel à Londres où j'ai acquis Nuit Sans Fin, sachant exactement à quoi m'attendre. C'est-à-dire pas de réponse.
Il me semblait que j'étais vraiment seul.
Dès le début, on avait eu l’impression que quelqu’un, ou peut-être l’univers, essayait de parler sans voix. Si j'étais honnête avec moi-même, aussi fou que ça puisse paraître, j'avais l'impression que Leonora elle-même essayait de me dire quelque chose. Chaque fois que j’arrivais dans une impasse, j’avais l’impression de la laisser tomber.
Cette ultime impasse n’a fait qu’intensifier mon intérêt pour cette phrase latine particulière et tout ce qui l’accompagnait. J'ai plongé non seulement dans le monde de l'épopée romaine et de la mythologie celtique, mais aussi dans celui de Leonora et d'autres artistes surréalistes. Livres, expositions, cours du soir, documentaires, tout ce que je pouvais trouver.
Je dois admettre que le rayon de ce nouvel intérêt s'est élargi de jour en jour et j'ai découvert de nouvelles avenues et de nouveaux mystères à explorer. Remedios Varo, Dorothea Tanning, Noëmi Manser, Kati Horna, Hilma af Klint, Julia Soboleva ont tous transformé ma vie en un rêve ambulant et ont ajouté une touche de magie à ma façon de penser et de voir le monde. Comme si mes yeux s'étaient ouverts sur “l'autre Paris”, l'invisible, les passages secrets entre les couches.
Malgré cela, Leonora ne m'a jamais quitté. J'ai une obligation envers elle que je n'ai pas remplie. Je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, mais j'espère plus que tout qu'un jour je pourrai répondre à l'appel. Que si je peux enfin être là pour elle. Pour son esprit. Pour jouer mon rôle. Il y a une raison pour laquelle elle m'a trouvé, mais je ne la connais pas encore.
En attendant, je la garde dans ma vie. Dans mes rêves, en cette nuit sans fin. 𑁍
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e642 · 5 months
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J'ai pas dormi de la nuit. Pas trop de nouvelles de mon copain, il devait rentrer ce soir de vacances et on devait se voir demain. Mais je sais pas je sentais qu'un truc se tramait. Pour pas m'auto gâcher la surprise je fais juste une insomnie sur d'autres sujets existentiels. Ce matin je vais donc au partiel, je me fais détruire comme prévu (j'aimerais bien avoir 8 mes critères sont si bas depuis que jsuis à la fac c'est fabuleux). Je sors de l'enfer et il me bombarde d'appels. Il m'appelle souvent après chaque partiel pour avoir mon ressenti (j'apprécie ça). Et jlui dit "ouais je réponds plus tard je discute avec les meufs du groupe". Bon à un moment donné ça m'a saoulée et jsuis partie, mais genre ça a duré 30 min de discussion stérile à propos des réponses de chacune (je déteste les debrief, c'est se mettre du sel dans la plaie tout seul). Je rentre un peu saoulée et il me re appelle. Donc je décroche, il me demande si ça a été, la basique. Et il me dit "purée il fait grand soleil". Moi jlui dis "c'est bizarre il fait pas beau au 3/4 de la France". Et là je capte doucement. Du coup jlui rep "après à nice c'est vrai qu'il fait très très beau aussi". Eh il rigole. Long silence et il me dit "qu'est ce qu'il te va bien ce pantalon vert purée, ça te fait un de ces culs". Et là je capte vraiment. Jle cherche, il était derrière moi. Omg trop heureuse. Mais jvous qu'il a pas d'affaires jme dis bizarre. On rentre, la vaisselle est faite, mes habits sont pliés, un gros bouquet de fleurs, les courses sont faites, et ses affaires sont dans mon appartement. En fait, le mec a tracé paris-nice de nuit, et il a attendu que je parte en partiel pour s'installer et m'attendre. Non en vrai dinguerie. Ça m'a fait tellement plaisir. Je le vois changer et faire mieux et être capable et c'est vraiment plaisant. J'ai de la chance qu'il ait fait ça. Voilà je suis reconnaissante. Et je me pose moins de questions concernant une rupture. Mais pas juste grâce à aujourd'hui, grâce à quelques semaines où il se montre capable d'avoir une relation mature avec un autre être humain, moi en l'occurrence.
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mailamoon · 9 months
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Pour bien finir l'année, voici une petite fantaisie inspirée par l'AU Lyon de @sibmakesart. One Piece dans la capitale de la gastronomie française, Sanji alsacien, Zoro breton ❤️
Pour les francophones qui passent par ici, je vous invite à aller visiter son Tumblr, elle est super douée et son délire sur Lyon est absolument délectable (moi je plonge dedans les yeux fermés !).
C'est parti pour une petite soirée lyonnaise avec nos pirates préférés !
Un soir à Lyon...
Au cœur de la nuit, dans la ruelle, une porte s’ouvrit, laissant de la lumière éclairer la rue sombre. Un jeune homme en franchit le seuil en s’allumant une cigarette, un sac en plastique à la main.
- Hé, l’aubergine, tu sors cette nuit ? Lança une voix autoritaire depuis l’intérieur.
Le jeune homme se retourna en soufflant sa fumée.
- En quoi ça t’intéresse vieux shnock ? Fit-il d’un ton ennuyé.
- Encore ce breton ?
- C’est pas tes oignons.
- Ah, claqua la voix, fais gaffe à toi !
- C’est ça, bonne soirée, àbgenutzdi.
-HÉ !
Le jeune homme referma la porte sans attendre de savoir ce que l’autre voulait répondre. Il regarda autour de lui, visiblement à la recherche de quelque chose, mais la ruelle était déserte. Un soupir bruyant quitta ses lèvres et il grommela quelque chose qui ressemblait à « encore en retard dawer säckel de breton ». Il donna un coup de pied à une cannette qui traînait tristement sur l’asphalte. Une sonnerie retentit de sa poche et il en sortit son téléphone.
- Allo ?
- Allo, Sanji ? Fit une voie féminine.
- Nami ! T’as pas vu Zoro ?
- Beeeeh si, justement, c’est pour ça que je t’appelle.
- Il est avec vous ? Demanda-t-il en entendant Usopp et Luffy se disputer derrière elle.
- Non il est pas… TAISEZ-VOUS ! Putain, j’essaie de parler au téléphone ! Je te disais, non il n’est pas avec nous. Il m'a dit qu’il devait passer te prendre à la fin du service mais il a fait tomber son portable dans le Rhône cet après-midi. Je sais que t’avais enregistré les coordonnées du bouchon dedans…
Sanji leva les yeux au ciel.
- Donc il est perdu ?
- Tu le connais, il n’est pas capable de distinguer sa gauche de sa droite. Bref, je voulais juste te prévenir, pas que tu l’attende et… VOUS ALLEZ VOUS CALMER ! LES VOISINS VONT ENCORE APPELER LES FLICS SI VOUS CONTINUEZ ! Pardon Sanji, je te laisse.
La communication se coupa.
-GOPFERDAMMI ! Cria Sanji en donnant un coup de poing dans le vide. Il tira rageusement sur sa cigarette. C’était GRAND Lyon, qui sait où ce connard de primate avait bien pu aller ?!
Sanji se mit en route, la nuit promettait d’être longue.
C’est au petit matin que l’alsacien retrouva enfin le breton. Après avoir parcouru la ville de long en large et en travers. Après avoir espéré que non, non, non ce bon à rien ne s’était quand même pas aventuré dans les sous-sols de Lyon… Il avançait enfin vers lui.
Zoro était accoudé à la rambarde de Fourvière en train de contempler les rayons du soleil qui commençaient timidement à pointer le bout de leurs nez sur la ville.
Après de longues heures de recherches, Sanji sentait une certaine fatigue gagner ses jambes. Il s’avança sans bruit derrière son petit ami.
- Hé, nixnutz !
L’homme aux cheveux vert ne sursauta même pas. Il tourna la tête vers Sanji. Malgré ses yeux cernés, un sourire éclaira son visage.
- Te voilà enfin cuistot !
Sanji roula des yeux. L’autre lui sortait ça comme si cette fichue basilique avait été leur point de rendez-vous depuis le début. Il appuya son dos contre la rambarde en frôlant le coude de Zoro.
- Tu m’as encore fais courir, fit-il en s’allumant une cigarette et en soufflant sa fumée dans l’air cristallin du petit matin.
- Genaoueg ! Je savais que t’arriverais à me retrouver.
Sanji lui tendit le sac qu’il avait transporté avec lui la moitié de la nuit. Zoro l’ouvrit pour y trouver une bouteille de chouchen et des bretzels enveloppés dans un papier kraft. Il prit la bouteille et sortit de sa poche un couteau suisse pour la déboucher.
- Pas de verre. Constata-t-il.
- Non, pas de verre. J’ai pas envie qu’on en casse d’autres. Le vieux va encore criser si les stocks continuent de diminuer.
Zoro porta la bouteille à sa bouche pour boire au goulot. La saveur lui rappelait sa région. Il passa ensuite le chouchen à Sanji qui bu à son tour.
- La prochaine fois j’amène du schnaps.
- C’est quoi ça ?
- C’est plus fort, ça devrait te plaire. Même si je préfère un bon pinot gris vieille vignes…
- Qu’est-ce que tu marmonne ?
Le blond lui sourit et, sans un mot, s’avança vers lui pour l’enlacer en collant son corps au sien. Ils s’embrassèrent puis s’appuyèrent de nouveau à la rambarde, coude à coude en se passant le chouchen et les bretzels. Ils restèrent là à regarder le lever de soleil sur Lyon en savourant ce petit déjeuner alcoolisé improvisé.
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olympic-paris · 27 days
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saga: Soumission & Domination 254
Reprise 2013 PH reprend la danse
Les cours reprennent. Mes collègues flashent sur ma nouvelle montre et la bague qui orne mon annulaire. Je les sens brulants de me demander comment je l'ai eu, mais ils se retiennent, me sachant discret sur la provenance de mes " richesses ".
Quand je passe chercher PH le soir même, il me dit avoir été l'objet des mêmes remarques et attentions. Ses collègues nous bousculent un peu alors que nous nous roulons un patin sur les marches de sa fac. Certains, nous chambrent gentiment, nous demandant quand nous allions nous marier. C'est dans l'air du temps !
Nous retrouvons avec plaisir le Blockhaus et notre intimité. Seuls tous les deux, nous apprécions le retour au calme de la maison. Cette nuit là, nous faisons l'amour avec la tendresse qui nous submerge dès que nous sommes tous les deux seuls. Quand nous sommes trois ou cinq, avec Marc et/ou Ernesto et Hervé, c'est pas pareil. Avec Marc, il y a le souvenir qu'il a été mon premier mec et que c'est lui qui m'a poussé à assumer mes choix, plus son coté dominant, ça écarte souvent mes rares élans/ besoins de tendresse. Et avec Ernesto et Hervé, surtout quand ils sont ensemble, c'est sacrément sexuel !
Enfin ! Le temps file à une vitesse folle. Ma société marche bien et le volet service aux femmes seules commence à se développer. Heureusement que mes p'tits gars savent y faire aussi avec le sexe féminin ! La cliente de l'aéroport m'a apporté une demi-douzaine de ses amies. Du coup, mes Escorts ont des plannings bien chargés et des comptes en banques qui se remplissent. Ils doivent gérer leurs emplois du temps au plus juste et même Victor doit assurer plus que ses seuls contrats d'Escort-traducteurs. Ça me permet aussi de tester le petit dernier, François, sur des plans " meuf ", uniquement. Il s'y entend bien lui aussi.
Je maintiens quand même, le mardi soir au blockhaus, la soirée sport. Ils sont d'ailleurs tous présents ces soirs là. Jona nous coach dans la partie entrainement au close combat et après nous nous dispersons sur les appareils de muscu et la piscine pour la nage à contre courant. Même si nous sommes tous légèrement vêtus, shortys, boxers ou jocks, la fatigue physique freine nos excitations sexuelles et les bandaisons disparaissent vite !
Si pour certains, nous visons juste un bon tonic musculaire (Maxou) les autres cherchent à obtenir une silhouette bien faite avec des volumes intéressants à regarder.
Dernièrement, pour leur faire plaisir et parce qu'ils insistaient, PH et moi nous les avons accompagnés en boite. Notre arrivée a été remarquée ! 9 jeunes beaux mecs bien foutus et habillés sex qui passent ensemble l'entrée, c'est pas si courant. Je me suis aperçu que ma " petite bande " était quand même assez connue !! Le temps de traverser la piste et des consommations nous attendaient sur le bar, offertes par des clients, dixit les barmen. Je prévenais mes Escorts qu'on était là pour s'amuser mais de faire quand même attention. Tous m'ont gentiment dis qu'ils savaient faire attention à eux en ajoutant un " bien papa " vexant. Mouché, je les ai laissé se faire draguer. Ce n'est pas les plus moches ni les plus vieux qui cherchaient à s'accrocher à mes p'tits jeunes. J'ai pu remarquer aussi qu'ils ne se laissaient pas faire et savaient garder leurs distances. Quand j'en faisais la remarque à Simon en lui disant que c'était parce que j'étais là qu'ils se tenaient bien, il m'a tout de suite détrompé. Le fait qu'il soit en couple avec Morgan suffisait à ses besoins autres que sexuels qui eux étaient couverts par mes clients et que c'était la même chose pour les autres. C'était pas secret que Jona s'était trouvé avec François et que Benoit se faisait régulièrement Clem et inversement. Ils connaissaient tous le Nicolaï de Viktor. Et ils surveillaient Maxou comme s'il était leur petit frère à tous ! Les rares fois ou ce dernier s'était laissé aller vers un mec qui ne leur revenait pas, ils avaient géré et tout s'était bien fini. Faut dire qu'il n'y a personne d'assez inconscient pour se frotter à leur groupe.
Il me dit que par contre mon petit Maxou, finissait toujours ces soirées là dans le lit des uns ou des autres. J'apprends la chose. Cela me surprend mais il m'assure qu'ils font bien attention à lui. Je le laisser aller danser. Il rejoint Morgan et c'est Clem qui me rejoint au bar. Il me confirme qu'il a une petite histoire avec Benoit et qu'ils font tous bien attention à Maxou, conscients qu'il est plus fragile qu'eux psychologiquement. Je le remercie et c'est alors qu'ils arrivent tous pour nous pousser PH et moi sur la piste. Nous prenons le rythme, surtout PH qui se lâche. Je l'observe. La danse lui manque c'est sûr ! Il s'est collé à mon tempo et j'ai cru bêtement que cela lui suffisait, même s'il passe pas mal de temps à faire des exercices à la barre. Je m'aperçois ce soir là que ses yeux brillent plus que d'habitude. Je l'attrape et le serre dans mes bras et stoppe ses mouvements pour lui rouler un patin. Cela le surprend, même s'il sait que je ne crains pas l'exhibition ! Je lui glisse à l'oreille qu'il devrait reprendre des cours de danse classique. Il écarte l'idée d'un mouvement de tête. Je fixe mon regard dans ses yeux bleus, l'embrasse doucement sur ses lèvres et lui dis que je vois bien que cela lui manque trop, même s'il ne désire pas être danseur à l'opéra de Paris, son corps en a besoin !
Il me serre fort et avoue que cela lui manque un peu ! Je le traite de petit con, il avait toute latitude pour recommencer à danser. Comme si j'allais lui interdire quoi que ce soit !!
Dans la semaine qui suit, il explore les possibilités de " classiques " de la région. Il rencontre les professeurs, et cherche celui avec qui le feeling passe. Il revient un soir, enthousiasmé par sa rencontre. Il me décrit le cours et son professeur, 35 ans, issu de la formation de l'opéra de Paris. Je fais mon jaloux. PH me serre dans ses bras et me dit qu'il a passé l'âge de tomber amoureux de son prof. Il me dit qu'il l'a d'ailleurs invité pour l'apéritif samedi prochain, comme ça je pourrais me faire une idée du mec. En attendant, il est tout content de se remettre à la danse. Il revient le vendredi soir de sa première séance ravi à plusieurs titres. Premièrement il n'est pas trop rouillé et deuxièmement il a impressionné son prof par le niveau de la démonstration qu'il lui a faite. Les heures passées à la barre d'exercices n'ont pas été inutiles. Comme il ne s'est pas changé, il m'excite un maximum dans ses collants. Je l'attrape et lui roule une pelle. J'ai le plaisir de voir sa bite gonfler et déformer le tissu ! Je le balance sur mon épaule et descend d'un étage pour le pousser sous la douche tout habillé. Bagarre et je me retrouve avec lui sous les jets croisés. Les vêtements trempés s'accumulent sur le carrelage et nous alternons les savonnages avec les caresses. Nous nous suçons alternativement alors que l'eau continue à couler sur nous. Après l'avoir sucer une dernière fois, je l'empêche de se remettre à genoux. Je le pousse en avant et il comprend de suite que je veux son cul. J'attrape le flacon de gel sur la tablette à coté et m'en enduit la queue alors qu'il écarte ses fesses. Je l'attrape par les hanches et me plante en lui. Nous crions ensemble notre plaisir. Son anneau bien serré m'accueille avec toute la résistance propre à augmenter nos sensations. Nous jouons à qui sera le plus fort de ma bite ou de sa rondelle. Par moment, il arrive à bloquer ma progression et alors mon élan le plaque sur le carrelage de la douche. Nous faisons l'amour comme nous l'aimons, avec une pointe de soumission / domination qui pimente nos jeux. Mon PH se cambre et il bascule la tête en arrière suffisamment pour que mes lèvres puissent se poser sur les siennes rien qu'en me penchant. Ça m'excite au point de me faire jouir. Alors que je le rempli encore, je sens des contractions anales propres à l'orgasme. Je fini de me répandre en lui alors que son sperme coule sur les carreaux.
Le lendemain soir, son professeur arrive vers les 19h. Il nous dit avoir hésité à sonner, il n'imaginait pas qu'un logement puisse exister derrière la façade industrielle en béton. Je suis qu'à moitié rassuré, le mec est non seulement beau mais intelligent ! Il fait plutôt 30ans que 35 et j'ai du mal à dissimuler mon inquiétude. PH fini par s'en apercevoir et vient s'installer entre mes cuisses et se lover entre mes bras. Alexandre ne s'en offusque pas, il avait deviné qu'il y avait plus qu'une colocation entre nous. Il nous dit que lui-même est en couple avec un homme. PH s'excuse de n'avoir pas su et de ne pas lui avoir dit de venir avec. Je tranche et demande à notre invité si son mec est libre à ce moment là et comme sa réponse est positive, je lui dis de l'appeler et de lui dire de nous rejoindre. Comme il hésite PH lui dit que ce n'est pas nous qui allions l'outer auprès de ses autres élèves ! Il finit par l'appeler et lui explique comment venir au Blockhaus. Il nous rejoint un quart d'heure plus tard. Nous sommes surpris par sa jeunesse et sa beauté quand il sort du monte-charge. Il doit avoir tout juste 18 ans ! PH comprend la réticence d'Alexandre, son petit copain est aussi un de ses élèves.
Je vois dans ses yeux que leur couple lui rappelle sa propre expérience. D'ailleurs il ne peut s'empêcher de demander à Alexandre si les parents de Kamal sont au courant de leur relation. Si Alexandre est surpris par la sécheresse de la question, il comprend aussitôt que PH lui explique son histoire. Il le rassure, sa mère est au courant et accepte la situation.
Ce nuage passé, je déshabille le dernier venu du regard. Un peu moins grand que nous et plus fin musculairement, il arbore une bonne tête, les cheveux noirs très courts, ses lèvres sont pulpeuses et ses yeux bleus pleins de curiosité. Si je me souviens bien, son nom veut dire perfection, beauté ! Sa mère ne s'était pas trompée lorsqu'elle a choisi son prénom.
A son tour, Alexandre nous demande comment nous vivons. En quelques phrases, je résume notre situation. Kamal ouvre de grands yeux au fur et à mesure de la description de notre façon de vivre. Le courant passe bien entre nous quatre et les retenues de départ s'estompent. Du coup je leur demande s'ils ont quelque chose de prévu après auquel cas ils pourraient rester diner avec nous. Ils acceptent, ça nous fait plaisir !
L'arrivée de Samir et Ammed nous oblige à quelques explications de plus. Kamal est complètement éberlué par la situation. Quand ils sont sortis du monte-charge comme d'habitude en shorty cuir, il s'est étouffé avec son toast !
Nous continuons à parler ensemble alors qu'ils préparent le diner. Je déduis de nos échangent qu'ils sont ensemble depuis déjà plus d'un an. Alexandre admire nos oeuvres d'art alors que Kamal est plutôt attiré par les tableaux vivants de nos amis. Alors que PH et Alexandre discutent danse et se disputent rapport à un obscure danseur, Je m'approche de Kamal et lui demande si son prof de danse est aussi son premier mec. Il me confirme mon intuition alors que son regard reste fixé sur les " déjeuner sur l'herbe " en photomontages.
Je sens que les images l'excitent. Il se tourne vers moi, les joues rouges et me demande depuis combien de temps je suis homo. J'ai le temps de lui dire 5 ans que Samir vient nous convier à passer à table.
Pendant le diner nos convives se décoincent et les échanges deviennent plus intimes. Kamal en arrive à reprocher à Alexandre leur relation exclusive alors qu'il s'aperçoit à notre contact que le monde est plus vaste que ce qu'il imaginait.
Alexandre se défend d'avoir voulu le brider, il pensait que leur relation le satisfaisait. Nous sommes gênés, PH et moi ! J'ai pas vu le moment où ça a dérapé ! Avant que la situation empire, je prends Kamal à part. Même à l'autre bout du salon, je le sens tendu. Je cris à PH et Alexandre que nous descendons d'un étage.
Arrivé dans une chambre d'amis, je l'oblige à s'assoir et à se calmer. Il commence à vouloir me raconter leur histoire. Je le stoppe et l'oblige à réfléchir pour savoir si c'est vraiment ce qu'il veut que je sache tout d'eux deux.
Il reste silencieux un bon moment et avoue que finalement, c'est pas ce qu'il veut !
Il semble tout fragile et tombe dans mes bras secoué de sanglots. Je le laisse s'épancher sur mon épaule. Quand je sens que ses sanglots s'espacent, je l'écarte de moi et, à bout de bras je m'aperçois qu'il est sacrément mignon et que je me mets à bander. Lui aussi le voit et avant que je n'ai pu l'en empêcher, il tombe à mes genoux en arrachant mon pantalon et il me suce direct. Je le repousse mais il revient à la charge ! Après tout c'est lui qui le veut et sa gorge me masse aussi bien que celle de PH. Pendant qu'il me suce, je lui dis que s'il va jusqu'au bout nous devront le dire à nos partenaires respectifs. Il me fait signe qu'il a compris et continu quand même. Je le repousse au moment où je jouis et lui en fous plein le visage. Il se branle et jute sur le sol.
Un brin de toilette plus tard, nous remontons. Maintenant que l'excitation est tombée, Kamal est tout penaud ! Il tombe dans les bras d'Alexandre et lui déballe tout dans le désordre. Il commence par lui demander pardon et comme l'autre ne comprend pas pourquoi il lui dit qu'il vient de me sucer.
PH m'engueule en me disant que c'était pas la meilleure chose à faire. Je lui réponds que si justement et que ça a évité qu'il aille faire des conneries avec n'importe qui.
De l'autre coté, Alexandre demande à Kamal si c'est ce qu'il veut de faire d'autres expériences. Comme j'entends qu'il répond positivement, je regarde PH dans les yeux et leur propose de rester avec nous cette nuit. Il hoche la tête et me dit que je suis incorrigible. Je prends ça pour un accord et secoue tout le monde, imposant ma décision. Alexandre me regarde et après un coup d'oeil à son petit mec qui semble ravi, accepte.
Cela fait, l'atmosphère se détend et nous finissons de diner.
Jardinier
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iranondeaira · 4 months
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Combien j’ai apprécié chaque moment passé avec toi ...
Pardon .
J’aurais voulu avoir une autre chance de te dire combien je t’aime quand bien même il est trop tard maintenant que l’histoire n’est apparemment plus à suivre ...
Notre histoire ...
Je me réveille la nuit, une douleur liquide qui coule dans tout le corps, cherchant l’erreur que j’ai pu commettre... les jours sont restés les mêmes, ils se suivent ... les nuits se sont transformées en vertige, ton absence est trop présente pour que je puisse tenir ton souvenir hors de moi , la vie est courte mais lente et donne à espérer ...
je ne te cherche pas ... tu es là ... oui certains soirs tu me fais mal ... je m’imagine marchant dans les rues, nos rues ... à la recherche de ton fantôme ... Je sais qu’une part de ma vie d’homme vient de marquer le pas, elle restera là... longtemps... à ne plus pouvoir passer la porte de ces lieux ... à attendre que le temps efface les traces ... à attendre ... de sentir imperceptiblement l’indifférence atténuer la douleur ... avec le temps ...
Je sais que je ne pourrais plus dire je t’aime, je me sens étranger à moi-même, une part de moi est partie avec toi ... je t’ai laissé aller là où personne n’avait trouvé le chemin ... j’en étais moi-même heureux de la surprise de me découvrir à travers tes yeux, sentir mon corps devenir vivant sous ta chaleur... j’y ai cru si fort ...
Toi seule pouvait te faufiler là où j’étais ... Toi seule pouvait trouver le chemin de ce jardin que la vie m’avait donné à fermer ... j’y ai cru à cette promesse ... nous étions amants ... j’y ai cru à nos cœurs à corps ... j’y ai cru à cet amour, il venait de tellement loin ...
je porterai le deuil de cette histoire, un bout de mon histoire ... ce sont les choses de la vie paraît-il ... je vais apprendre à vivre sans toi, je me souviendrai de ton goût de pommes de cerise et de lilas, je me souviendrais du parfum de verveine, de vanille de ce petit bonheur tout doux ... Je dois vivre sans tes bras, avec le souvenir de ton sourire, de tes yeux ... Ma raison renoncera mais je sais que ma mémoire est marquée au fer rouge tel le tatouage qui coure sous ma peau ... oui je t’ai dans la peau , les jolies danses sont rares , tu étais, tu es ma plus belle danse ... notre histoire est, était ... un moment ... bien.
Il me faudra du temps pour ne plus être frappé par cette panique de la raison si je devais te revoir même par hasard ... Je te vois danser sur les quais dans cette petite robe noire ... je sais que je n’aurai pas la force et pourtant je voudrais te revoir .
Avons-nous bien vécu la même histoire ? Oui, parfois je reste immobile les yeux dans le vide et de me demander si ce n’était pas un rêve, juste un joli rêve .
Mon amour est abîmé ... tu n’aurais qu’à ouvrir les bras pour tout recommencer... tout reconstruire ... une nouvelle histoire ... Nôtre histoire ...
Toi sinon personne
.. .’ ....
🎨 : Gleb Gloubetski
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ltalaynareor · 4 months
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Aimer
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Le soleil se couchait sur les remparts de Jérusalem, peignant le ciel d'une douce teinte orangée. Baudouin se tenait au bord de la muraille, le regard perdu dans l'horizon lointain. À ses côtés se tenait Alix de Tripoli, sa meilleure amie et l'amour de sa vie, bien qu'elle ne soit pas au courant de fait. Ils avaient tous les deux 15 ans, et une complicité indescriptible les unissait depuis l'enfance.
Malgré la maladie qui le rongeait, Baudouin ne pouvait s'empêcher de regarder Alix avec amour. Elle était la lumière qui éclairait ses jours sombres, la seule qui le comprenait réellement. Et ce soir-là, alors que le vent caressait doucement leurs visages, Baudouin prit une grande décision.
Il se tourna vers Alix, et d'une main tremblante, lui tendit une magnifique fleur sauvage qu'il avait cueilli sur le chemin de la muraille. Les yeux brillants de bonheur, Alix prit la fleur et la porta à son visage, en humant son parfum délicat.
"Merci, Baudouin", murmura-t-elle, un sourire éclatant illuminant son visage.
Baudouin sentit son cœur battre la chamade, mais il savait que ce moment ne pouvait durer éternellement. La lèpre gagnait du terrain chaque jour, et il savait que son temps était compté. Mais pour l'instant, il voulait juste profiter de cet instant de bonheur avec celle qu'il aimait.
Ils restèrent là, silencieux, à contempler le soleil qui disparaissait lentement derrière l'horizon. Leurs mains se frôlaient, et un frisson d'émotion parcourut l'échine de Baudouin. Il savait qu'il ne pourrait jamais être avec Alix comme il l'aurait souhaité, mais il était reconnaissant d'avoir pu lui offrir cette fleur, aussi sauvage et belle que la dame de son cœur.
Et alors que la nuit tombait sur Jérusalem, Baudouin et Alix restèrent là, immobiles, savourant l'instant présent, conscient que leur amour était éternel, même si leur histoire ne ferait pas partie des livres d'histoire.
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pourprecry · 1 year
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Lundi dernier j’ai vu un mec de la fac, que j’avais croisé en boîte en mai. Je lui avais demandé quelques infos pour les masters.
On s’est revu, on a bien parlé, on a beaucoup bu aussi, et puis on a fini par aller s’acheter de l’alcool a l’épicerie de nuit pour finir la soirée. On est allé chez moi. Et puis, il m’a embrassé. On a couché ensemble.
Et puis, depuis 2/3 jours, c’est a dire depuis qu’il est parti en vacances avec son pote, il est hyper distant par msg. Hier soir il m’a envoyé un msg, comme quoi il ne se sentait pas d’une relation sérieuse pcq il avait besoin de temps vu que ça fait 4 mois que c’était fini avec son ex. Ok. Il m’a demandé si j’avais des attentes particulières. Je lui ai répondu par msg à minuit trente environ. Et ça va faire 24h qu’il n’a pas ouvert, et qu’il continue à poster des storys.
Je suis au plus mal. Je peux pas dire que je l’aime, parce que je ne l’aimais pas encore. Mais j’ai l’impression une nouvelle fois qu’on m’a utilisé, piétiné et sali. J’ai l’impression que ce schéma se répète en boucle, sans cesse, sans pause et sans trêve. Je lui en veux, comme je m’en suis tjrs voulue, d’avoir fait confiance alors que la seule chose qui les intéresse toujours c’est mon fucking corps.
J’hésite à désactiver mon fb et messenger. Juste pour disparaître.
Je ne pensais pas que je serai blessée à ce point, non je n’aurai jamais pu imaginer après la merveilleuse soirée de lundi me retrouver comme une conne, à nouveau à attendre un msg de quelqu’un qui ne me propose rien d’autre que d’être son plan cul.
Ce soir j’ai mal, et putain que je déteste ce monde.Je pourrai pas vous expliquer, mais c’est une plaie à vif qu’il a reouverte, et je ne l’avais pas vu venir.
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bleucommemonstre · 2 months
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5 juillet 2024
J’ai passé trois jours dans la maison de famille d’un copain pas loin de Montpellier. Il m’avait proposé de venir pour voir la mer, sachant que je bassine tout le monde avec ça. Le premier jour, il est venu me chercher à mon appartement en voiture. J’avais le cafard, mais en même temps tellement hâte de voir le bleu à perte de vue que c’est passé inaperçu je pense. Sur la route, j’ai bu une bière et on a écouté de la musique. Je me suis sentie vraiment en vacances quand je regardais par la fenêtre le paysage défiler pendant qu’il me rappelait le programme. En arrivant, on a pris des pizzas qu’on a mangées au bord de la piscine puis après, on s’est baignés avant qu’il fasse totalement nuit. J’ai joué avec ma machine à bulles puis j’ai laissé les fourmis me grimper dessus. On s’est baladés et il m’a fait visiter son village - en même temps, on jouait à Pokémon Go, c’était sympa - en me racontant des trucs. Les étoiles se voyaient beaucoup car là-bas, ce n’est pas très pollué et avec le bruit des cigales c’était très beau.
Le lendemain, on est allés à la mer ! On a retrouvé un copain à lui et son amie puis on a mangé au restaurant en bord de plage. Ça me fait bizarre car le type travaille et gagne pas mal d’argent alors qu’il a notre âge, sa pote aussi. Elle nous a même proposé de passer quelques jours dans une « villa » mais perso, je ne pouvais pas, je devais aller garder ma grand-mère à Paris. Bref, ils sont partis et on s’est baignés. Allongée sur le sable, j’ai réalisé qu’avec lui à ce moment-là, face à la mer, il y avait une douceur qui m’enveloppait et c’était beau. Aussi, il a le don de me faire sentir jolie alors que je ne m’aime pas, c’est apaisant.
J’avais pris mon journal alors je l’ai dessiné puis j’ai cherché avec lui des coquillages et des plumes après avoir mangé une glace. C’était marrant, c’était un peu comme une chasse au trésor. Il m’a même ramené une plume de mouette ! Ça m’a fait très plaisir car les mouettes, c’est mes oiseaux préférés : elles me rendent nostalgique de mes vacances en Normandie tous les étés quand j’étais petite, le seul moment de l’année où je voyais la mer. À un moment, il m’a fait la remarque qu’on dirait une enfant quand je suis à la plage et c’est vrai. Je me sens toute petite et émerveillée pour un rien là-bas, j’ai l’impression de rattraper une jeunesse qui m’a été arrachée. Mais je crois que me voir contente comme ça, ça l’a rendu heureux de m’avoir invitée.
Le soir, on a fait une petite soirée en jouant à des jeux d’alcool, c’était sympa mais j’étais crevée. Le lendemain, avant de prendre la route, j’ai cueilli une fleur dans son jardin pour mettre dans mon journal.
C’était un petit voyage qui m’a guérie un peu du mal-être qui, jusque-là, grandissait en moi.
Dans pas longtemps, il m’a invité avec un groupe de copains à aller dans une maison dans les Cévennes quelques jours : j’ai dit oui évidemment.
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Ps: Le dernier jour on s’est baladés. Je me suis allongé sur un banc au point de vue où il m’a emmené. J’ai mis de la musique et on a regardé le ciel. Il m’a dit qu’il voyait un truc — je ne sais plus trop quoi — dans les nuages et, sur le coup, je ne voyais rien. Plus tard, en rentrant, j’ai regardé la photo que j’avais prise de la vue et j’ai dessiné un monstre mi-autruche, mi-je-ne-sais-quoi qui m’apparaissait dans le ciel.
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marie-swriting · 10 months
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Tout Ira Bien - Emily Prentiss [1/2]
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Masterlist
Speak Now TV Masterlist
Partie deux
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Quand Emily apprend que Ian Doyle s'est échappé, elle sait qu'elle doit tout faire pour te protéger, même si ça veut dire briser ton coeur.
Warnings : commence pendant le 6x13 et se finit pendant le 6x18, mort de personnage (pas la reader), angst, rupture, fin triste, funérailles, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.9k
Chanson qui m'a inspiré : Last Kiss (Taylor's Version) par Taylor Swift
-Ian Doyle s’est évadé de prison. Interpol n’arrive pas à le retrouver.
La phrase de Sean retentit dans les oreilles d’Emily. Elle n’arrive pas y croire. Ian Doyle devait faire partie de son passé. Son nom ne devait plus qu’être un souvenir. 
-Quoi ? Qu’est-ce que tu veux dire ?
-On ne sait pas où il est, Emily.
-Est-ce que tu crois qu’il va venir ici ? demande Emily avant de marquer une pause. Je suis en danger ?
-On l’est tous.
L’inquiétude prend place sur le visage d’Emily, comprenant la gravité de la situation. Ce n’est qu’une question de temps avant que tout tourne mal, elle en a conscience. Elle doit réfléchir à la façon dont elle doit agir pour se protéger. 
Ses pensées sont interrompues par la sonnerie de son téléphone. Elle détache les yeux de Sean et sort son portable. En voyant ton prénom et ta photo sur son écran, elle est d’abord attendrie avant d’avoir une prise de conscience. Elle doit aussi te protéger. Ian Doyle pourrait s’en prendre à toi pour se venger. Elle s'éclaircit la gorge puis répond en prenant un ton naturel.
-Allô, Y/N, tout va bien ?
-Hey, Em’, je t’appelle pour savoir si je t’attends ou si tu vas rentrer tard, expliques-tu et Emily peut entendre que tu es en train de rentrer dans ta voiture.
-J’ai encore de la paperasse à faire. Je ne pense même pas que je dormirai à la maison. Je dois régler quelques détails avec l’équipe.
-Oh, d’accord, dis-tu en essayant de cacher ta déception. Tiens moi au courant. Tu me manques.
-Toi aussi. 
Sur ces mots, tu raccroches. Emily regarde pendant quelques secondes son écran avant de discuter avec Sean des informations qu’Interpol possède sur l’évasion de Doyle. En l’écoutant, son cerveau fuse à mille à l’heure, cherchant tous les plans pour arrêter Doyle et protéger ceux qu’elle aime. 
En quittant son ancien collègue, Emily passe la nuit dans un hôtel. Elle a besoin d’être seule pour réfléchir. Elle doit réfléchir à une solution pour que tu sois saine et sauve. Le problème, c’est qu’elle ne peut pas te parler de Doyle. Elle doit t’éloigner sans que tu saches la réelle raison. Emily en vient à la triste conclusion qu’elle doit te briser le cœur - et le sien par la même occasion. Elle préfère vivre une peine de cœur et te voir respirer plutôt que te garder près d’elle et te voir mourir sous la main de Doyle. Elle ne peut pas prendre ce risque. Elle doit rompre avec toi.
Le lendemain, Emily se réveille avec difficulté. Son sommeil n’a pas été reposant. Elle n’a pas cessé de réfléchir à ce qu’elle pourrait te dire. 
Elle va dans votre appartement quand elle sait que tu es partie au travail, voulant t’éviter jusqu’à ce que tu rentres le soir. En t’attendant, Emily prépare quelques affaires.
Quand tu passes le pas de la porte de votre appartement, le visage d’Emily prend une expression neutre. Elle ne doit montrer aucune émotion. Elle ne doit surtout pas laisser ces mêmes émotions parler. Elle sait ce qu’elle doit faire. Avec un grand sourire aux lèvres, tu te diriges vers Emily, prête à la prendre dans tes bras. Toutefois, quand tu vois son visage impassible, tu fronces les sourcils.
-Em’, tout va bien ? questionnes-tu en posant ton sac.
-On doit parler, Y/N.
-De quoi ?
-Je pense qu’on devrait s’arrêter là, annonce Emily de but en blanc et il te faut quelques secondes pour répondre.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Ça ne sert à rien de continuer. Ces derniers temps, j’ai été pas mal occupée avec mon travail. Et puis, je ne serai jamais capable de te donner la vie que tu mérites. C’est mieux pour tout le monde.
-Qu-quoi ? Tu n’es pas sérieuse ? Emily, ça sort d’où ça ? 
-Je cite juste un fait. Je suis presque tout le temps en déplacement, ça ne sert à rien de perdre notre temps.
-D’accord, tu es souvent ailleurs, mais on ne perd pas notre temps. Notre relation fonctionne. On a un équilibre. Pourquoi tu veux tout abandonner maintenant ? demandes-tu, perdue et avec les larmes aux yeux. 
-J’y pense depuis un moment. 
-Mais, tout allait bien entre nous. Enfin, c’est ce que je croyais. J’ai fait quelque chose ? 
-Ce n’est la faute de personne, c’est juste ce qu’il y a faire de mieux, affirme-t-elle en te regardant droit dans les yeux.
-Selon qui ? 
-Y/N, on savait toutes les deux que cette relation était vouée à l’échec. Elle n’était pas faite pour être durable. Pas quand on fait mon métier.
-JJ y arrive très bien pourtant. 
-Ce n’est pas pareil. De toute façon, ma décision est prise. 
-Donc, tu veux même pas essayer d’en parler ? De régler le problème ? Tu baisses les bras aussi vite ?
Emily sait que tu n’abandonneras pas. Tu as un air déterminé sur ton visage, malgré tes yeux larmoyants. Emily prend une grande inspiration avant de dire la phrase la plus compliquée qu’elle ait eu à dire : 
-Je ne t’aime plus, Y/N. Tu es quelqu’un de bien, mais je n’ai plus de sentiments pour toi.
-Ce n’était pas l’impression que tu donnais il y a encore quelques semaines, contredis-tu, incrédule. 
-J’ai essayé de retrouver mes sentiments pour toi, mais c’est impossible.
Tes yeux analysent Emily, cherchant une preuve que les mots qui sortent de sa bouche ne sont pas la réalité. Toutefois, Emily a sorti son plus beau jeu d’acteur ; tu dois croire à ces mots tranchants. Comprenant que tu as bien entendu ce que t’a dit Emily, tes larmes commencent à couler sur tes joues. Tu n’y prêtes pas attention, essayant encore de trouver une solution pour rester auprès d’Emily. En voyant ton cœur se briser sous ses yeux, à cause d’elle, Emily se retient de t’avouer la vérité. Cependant, elle se répète que c’est la chose à faire. 
-Je… J’irai dans un hôtel pour les prochains jours. Je vais sûrement devoir repartir dans ce laps de temps, ça te donnera largement le temps de reprendre tes affaires, informe doucement Emily en prenant deux sacs. 
Tu ouvres un peu plus grand les yeux à sa dernière phrase. Bien évidemment, tu ne pouvais pas t’attendre à vivre encore avec elle si vous êtes séparées, mais tu pensais que vous alliez en parler, savoir si vous vendiez l’appartement ou qui le garderait. 
Emily se sent mal en te virant de votre chez vous, mais elle sait qu’elle ne peut pas te le laisser. Doyle le trouverait en une recherche sur Emily et elle ne peut pas risquer qu’il vienne chez vous alors que tu y habites encore. Elle doit te garder loin d’elle et loin de votre appartement. 
-Em’, je t’en prie.
Emily lutte pour te prendre dans ses bras en t’entendant la supplier. Elle ne te répond pas avant de te dépasser pour passer la porte de votre appartement. Elle retient un sanglot jusqu’à ce qu’elle arrive dans sa voiture. 
De ton côté, tu restes debout, toujours sous le choc, les yeux fixés sur la porte d’entrée. Tu n’arrives pas à croire que ta relation avec Emily est réellement finie après cinq ans. Tu n’aurais jamais cru entendre ces mots. Tu n’avais pas prévu qu’Emily change d’avis sur vous. Pour toi, elle est - elle était celle avec qui tu allais finir ta vie. Il faut croire que ça ne sera pas le cas.
Un mois s’est écoulé depuis votre rupture. Dans une tentative désespérée, tu as essayé de la contacter pendant les premières semaines de votre séparation, sans aucune réponse de sa part. Tu n’as pas l’air de lui manquer autant que toi, elle te manque. Tu ne sais pas quoi faire pour que tu lui manques. Alors, à contrecœur, tu as fini par abandonner. Tu n’arrives toujours pas à t’en remettre. Tu n’arrêtes pas de repenser à votre relation, cherchant ce que tu aurais pu faire de différent pour éviter cette fin. 
Tu n’aurais jamais pensé que vous finiriez de cette façon. Tu n’aurais jamais imaginé que tu ne saurais plus sa routine, où elle est, quelle enquête elle fait. Tu n’aurais jamais cru que tu ne la serrerais plus contre toi. Tu n’aurais jamais cru que vous auriez un dernier baiser. 
Tu essayes de faire bonne figure, même si au fond de toi, tu restes dans cet état d’engourdissement. Mais ça doit changer, tu dois apprendre à avancer. Pour cela, rien de mieux que de sortir avec des amis. 
Tu retrouves Penelope dans un café non loin de ton lieu de travail. Penelope est celle dont tu es le plus proche de son équipe avec Rossi. Tu la considères comme une sœur et c’est réciproque de son côté. Penelope était choquée en apprenant votre séparation et elle a essayé de faire changer d’avis Emily, sans succès. 
En arrivant dans le café, tu prends Penelope dans tes bras. Tu arrives à lâcher un soupir de soulagement en la serrant contre toi. Ces câlins ont un pouvoir, tu en es sûre. Vous vous installez après avoir passé commande. Au début, votre discussion évoque des sujets banals - vous ne vous étiez pas vues depuis un petit moment alors vous rattrapez le temps perdu. Puis vient un moment où Penelope raconte une anecdote drôle sur l’équipe où elle mentionne Emily. À la mention du prénom de ton ex, tu baisses le regard, ignorant le pincement dans ton cœur. Penelope s’arrête de rire quand elle voit ta réaction. 
-Oh, mon Dieu ! Désolée ! Je… Je n’ai pas réfléchi. Je n’aurai pas… Je suis désolée, s’exclame Penelope, embarrassée.
-Ce n’est pas grave. Ça fait un mois, après tout, la rassures-tu avec un faux sourire.
-Mais quand même. Vous êtes restées longtemps ensemble. C’est normal si ça te fait encore mal. 
-Je sais. Comment elle va, Emily ? 
C’est plus fort que toi, tu avais besoin de poser cette question, elle te brûlait les lèvres depuis un mois. Tu as besoin de savoir si ton impression est une réalité. Penelope prend une grande inspiration avant de te répondre. 
-Elle ne montre rien, mais je suis sûre qu’elle souffre tout autant. Parfois, elle est un peu plus discrète. Elle semble être plus souvent perdue dans ses pensées, ce qui est compréhensible au vu de la situation.
-C’est elle qui a dit qu’elle ne m’aimait plus, rétorques-tu séchement. Désolée, je n’ai pas dit ça pour que tu prennes mon parti ou autre, te reprends-tu avec un air coupable. Je suis juste encore surprise par comment tout a basculé du jour au lendemain. 
-Vous vous retrouvez. C’est une certitude, affirme-t-elle en serrant ta main.
-Je n’y crois pas trop. Elle avait l’air déterminée à rester loin de moi. 
-Y/N, l’amour que vous aviez ne peut pas se perdre. Quand ça sera le bon moment, vous serez de nouveau ensemble et tout ira bien. 
Tu vois au visage de Penelope qu’elle croit dur comme fer à ses mots. Elle ne les dit pas juste pour te faire te sentir mieux, elle est persuadée d’avoir raison. Penelope a tendance à tout voir en rose, c’est vrai, mais tu as besoin de ce petit espoir.
En rentrant chez toi, tu poses ton sac à côté de ton entrée puis, tu t’installes sur ton canapé. Tu balayes ton appartement du regard, indifférente. Malgré tous tes efforts, tu n’arrives pas à te sentir chez toi. Chez toi, c’était ton appartement avec Emily. Chez toi, c’était Emily. Mais tu n’as plus Emily et tu ne l’auras plus.
Tu te lèves de ton canapé avant de te diriger dans le placard de ta chambre. Tu l’ouvres et prends un carton qui est placé en haut. Tu le saisis et t’assois par terre puis, tu cherches au fond du carton, à la recherche de quelque chose de précis. En tombant sur le cadre, tu le retournes afin de pouvoir regarder la photo à l’intérieur. 
Cette image date d’il y a deux ans, c’était au début du mois de juillet, vous êtes en train de vous embrasser devant la Tour Eiffel. 
Vous étiez partis à Paris pour vos vacances - par miracle, Emily avait réussi à avoir deux semaines de repos. Vous aviez passé un séjour inoubliable. Le fait le plus marquant de ce voyage, selon toi, est Emily parlant en français. Tu sais qu’elle parle un nombre incalculable de langues et tu fonds à chaque fois qu’elle parle l’une d’entre elles. Cependant, ce n’est pas souvent alors quand tu as pu l’entendre parler français pendant deux semaines complètes, tu étais aux anges. 
Un soir, vers la fin de vos vacances, vous étiez restées dans votre chambre d’hôtel. En temps normal, vous profitiez aussi de la soirée pour visiter un peu plus Paris, mais ce soir-là, vous étiez trop fatiguées pour marcher dix pas de plus. 
Vous vous étiez assises sur votre balcon, admirant la vue, la Tour Eiffel illuminée au loin, et vous étiez en train de parler de l’avenir. Vous faisiez des projets en tout genre, imaginant à quoi ressemblerait votre vie dans un an, cinq ans, dix ans, même dans trente ans. 
-J’ai si hâte de vieillir avec toi, avait déclaré Emily avec un sourire.
-Moi aussi. Tu serais magnifique avec les cheveux grisonnants, avais-tu dit en caressant ses cheveux. 
-Je ne sais pas.
-Crois-moi, tu le seras. 
-Et toi, tu serais magnifique dans une robe blanche, avait-elle affirmé en plongeant ses yeux dans les tiens.
-Quoi ?
-On en a jamais vraiment parlé, mais j’adorerais qu’on se marie. Pas maintenant, sois rassurée ! avait précisé Emily en voyant tes yeux grand ouverts. Je n’ai pas de bague et ça, ça n’est sûrement pas ma demande en mariage, mais je peux nous y voir, en train d’échanger nos vœux et de nous embrasser devant nos proches.
-Je peux nous y voir aussi. J’adorerais t’épouser un jour, avais-tu avoué, prenant sa main dans la tienne. 
-Tant mieux, comme ça, je serai sûre que tu ne pourras pas te débarrasser de moi.
-C’est toi qui en auras marre de moi avant, avais-tu rigolé et Emily avait secoué la tête.
-Jamais. Je t’aime trop pour me lasser de toi. 
Et sur ces mots, vous aviez partagé un baisé langoureux rempli d’amour. Tu n’avais jamais été aussi sûre de votre relation que ce soir-là. Tu savais que c’était fait pour durer et tu n’avais qu’un hâte, créer de nouveaux moments aussi romantiques que celui-ci. Malheureusement, tout comme vous avez eu un dernier baiser, vous avez eu un dernier moment romantique. Ces instants ne sont plus que des souvenirs placés dans un cadre.
Quelques semaines plus tard, alors que tu es plongée dans ton travail, tu reçois un appel. Tu prends ton téléphone en te demandant qui peut bien t’appeler aussi tard. En découvrant le nom de JJ, ton estomac se tord. Elle ne t’a presque jamais appelé. Si elle le fait, c’est qu’il y a quelque chose de grave. Avec appréhension, tu réponds. 
-JJ, qu’est-ce qui se passe ? Emily va bien ?
-Tu dois venir à l’hôpital tout de suite. Emily est en train de se faire opérer, informe JJ d’une voix tremblante.
-Qu’est-ce qui s’est passé ? demandes-tu en te levant de ta chaise.
-Je t’expliquerai à l’hôpital, c’est trop long par téléphone. Je te rappellerai si les médecins donnent des informations avant que tu n’arrives. 
-Je serai là dans vingt minutes grand maximum. 
Tu raccroches et te dépêches de te préparer avant de courir jusqu’à ta voiture. Pendant le trajet, tu es contrôlée par ton anxiété. Tu n’as jamais roulé aussi vite de ta vie. Dans ta tête, tous les scénarios défilent, te faisant monter les larmes aux yeux. Le manque d’informations de la part de JJ n’aide pas à te calmer. 
Tu cours à travers de l’hôpital, à la recherche de l’équipe d’Emily. Tu les trouves assis, une expression inquiète sur leur visage. Hotch te voit arriver en premier et vient à ta rencontre, JJ sur ses talons. Hotch garde la tête froide même s’il peut ressentir ton stress au plus profond de son être. Il t’invite à le suivre dans un endroit plus discret de l’hôpital alors que JJ va te chercher un verre d’eau. Quand elle te le donne, Hotch est en train de te raconter l’évasion de Ian Doyle. Au fil de son récit, tout prend du sens dans ta tête. 
Tu comprends enfin pourquoi Emily s’est éloignée si soudainement, pourquoi elle a été si dure dans ses mots. Elle pensait te protéger de Doyle en restant loin de toi, mais en le faisant, elle n’a pas pensé à se protéger, elle. Emily est dans un état critique et tu ignores si tu auras jamais l’occasion de lui reparler, de la sentir contre toi à nouveau. 
Quand tu es au courant de toute l’histoire, tu retrouves le reste de l’équipe. Rossi t’informe qu’aucune nouvelle n’est encore arrivée. Tu t’assois à ses côtés et commences à te ronger les ongles. Tu attends avec agonie un médecin qui va très probablement t’annoncer une mauvaise nouvelle. 
Tu aimerais être nulle part qu’ici. Tu aimerais que tout soit un mauvais rêve. Tu aimerais être dans votre appartement, à toi et Emily, enlacées dans votre lit alors que le soleil se lève comme vous aviez l’habitude de le faire.
Un matin, environ un an après votre voyage à Paris, Emily avait eu un jour de repos, vous permettant ainsi de rester au lit jusqu’à tard. Tu t’étais réveillée en premier - chose assez rare - et tu t’étais mise à la regarder. Son visage était complètement relaxé alors que sa main droite était posée sur ta hanche. Tu ne sais pas combien de temps tu étais restée ainsi, tu voulais juste profiter de la présence d’Emily. À un moment, Emily avait commencé à se réveiller et avait souri en remarquant que tu avais passé ton temps à la regarder.
-Tu me regardes depuis longtemps ?
-J’en sais rien.
-Pas du tout flippant, avait-elle blagué en te rapprochant de son corps. 
-C’est pas un crime d’admirer ma petite amie quand même ! 
-On a arrêté des stalkers pour moins que ça.
-Tu vas finir par dormir sur le canapé, avais-tu rétorqué avec un faux air énervé.
-Tu n’oserais pas.
-Ne me tente pas. 
-Tu m’as manqué, avait soudainement déclaré Emily.
-Toi aussi. 
-J’espère qu’on aura encore l’occasion de se réveiller ainsi pendant longtemps.
-Je veillerai personnellement à ce que ça soit le cas, avais-tu affirmé avant de te blottir contre Emily. 
Tu avais relevé la tête vers Emily avant de l’embrasser tendrement. Elle t’avait répondu avec passion et vous aviez fini par passer la majorité de votre journée au lit. 
Maintenant, tu passes la majorité de ta soirée sur une chaise inconfortable d’hôpital. Tu as le regard perdu sur le sol alors que tu continues à penser à des moments heureux avec Emily tout en te disant que tu n’en auras sûrement plus jamais. 
JJ apparaît dans la pièce, une expression grave sur son visage, les yeux rougis. Vous n’avez pas besoin qu’elle prononce un mot pour comprendre ce qu’elle va vous annoncer. Toutefois, tu ne veux pas y croire. Certes, tu n’étais pas optimiste sur l’état d’Emily, mais une partie de toi espérait, priait, pour que tout aille bien et que vous laissiez cette histoire derrière vous. Penelope murmure un “non” désespérée pendant que tu continues à fixer JJ. Elle n’ose pas te regarder quand elle prononce la phrase que tu redoutes : 
-Elle est morte pendant l’opération.
Immédiatement, les larmes coulent sur ta joue. Tu sanglotes fortement, sous le choc alors que Rossi se penche vers toi pour te serrer contre lui. Tu acceptes son étreinte, versant toute ta douleur. Tu entends Spencer se lever, mais tu n’y prêtes pas attention, essayant de comprendre ce qu’il vient de se passer. 
Tu pensais que ton cœur s’était brisé quand Emily avait rompu, mais tu avais tort. Cette fois, la douleur est pire dans ta poitrine. Tu n’as même pas l’impression que ton cœur se brise. Ton cœur ne bat plus et il ne battra plus jamais. Comment pourrait-il ? Tu ne pourras plus jamais voir le sourire d’Emily, entendre son rire, toucher sa main. Elle est morte et ton cœur est parti avec elle. 
L’enterrement d’Emily est quelques jours plus tard. Pour la première fois depuis l’annonce de sa mort, tu te prépares. Contrairement au moment de la rupture où tu semblais insensible à tout ce que tu faisais, tu ressens chacun de tes gestes. Ta douleur n’est pas qu’émotionnelle, tous tes membres sont lourds et te font souffrir. 
Rossi est celui qui vient te chercher. Depuis la mort d’Emily, il fait attention à toi. Rossi a toujours considéré Emily comme sa fille et il t’a tout de suite adopté quand vous vous êtes mises ensemble. Il déteste te voir aussi misérable, il aimerait pouvoir prendre ta douleur et l’ajouter à la sienne. 
En voyant l’équipe porter le cercueil d’Emily, ta douleur se décuple un peu plus. Tu ne peux pas croire que la femme que tu aimes soit enfermée dans cette boite. Tu n’arrives pas à comprendre comment votre histoire ait pu se finir ainsi. 
Tu n’écoutes pas le sermon du prêtre, tu gardes tes yeux fixés sur les fleurs blanches posées sur le cercueil. Si Emily avait pu voir ce moment, elle aurait dit que tout est trop solennel à son goût, tu souris doucement à cette pensée. Penelope te tient la main jusqu’à ce que tu ailles poser une rose rouge en premier sur son cercueil, les joues baignées de larmes. Tu restes à côté d’Emily alors que l’équipe imite ton geste. Rossi place une main sur ton dos pour te réconforter et tu fais tout pour ne pas fondre en larmes dans ses bras. Par tu ne sais quel miracle, tu arrives à rester debout alors qu’Emily s’enfonce dans la terre. 
En rentrant chez toi, tu n’as pas le courage de t’allonger dans ton lit. Tu t’assois sur le sol de ta chambre après avoir mis un tee-shirt d’Emily. Tu l’avais mis dans tes cartons sans faire exprès et comme Emily ne l’a jamais réclamé, tu l’as gardé. Tu apportes le tissu à ton nez, espérant sentir l’odeur familière d’Emily, mais elle a déjà disparu. De nouvelles larmes coulent sur tes joues réalisant que bientôt, toute trace d’Emily aura à jamais disparu. Elle ne sera plus qu’une partie de ton passé.
Tout le reste de la journée, ton esprit est tourmenté par les souvenirs avec Emily. Tu repenses surtout à la fin de votre relation. Tu repenses à tous ces derniers moments que tu as vécus avec elle sans savoir qu’il n’y en aura pas d’autres. Si tu avais su ce qui allait se passer, tu les aurais appréciés un maximum et si tu le pouvais, tu aimerais pouvoir en changer certains comme votre dernier baiser.
C’était un matin, très tôt - trop tôt pour toi -, tu t’étais réveillée après Emily. Tes yeux se fermaient tout seul alors que tu te rendais dans votre cuisine. Tu préparais ton café quand Emily avait fait son apparition. Tu lui avais fait un rapide sourire alors qu’elle t’annonçait qu’elle devait vite partir au boulot. Elle t’avait embrassé chastement et tu avais à peine pris le temps de lui répondre, encore trop endormie. Elle t’avait lancé un “je t’aime” avant de prendre son sac et de quitter son appartement. Tu lui avais seulement marmonné une réponse, ayant besoin de ton café pour parler. 
Tu aurais aimé que votre dernier baiser soit différent. Tu aurais aimé pouvoir l’embrasser avec passion, apprécier le mouvement de ses lèvres contre les tiennes et lui dire clairement “je t’aime”. Malheureusement, tu ne peux pas changer le passé et tu n’auras plus jamais de nouvelles chances. Ce baiser est condamné à être votre dernier tout comme tu es condamnée à vivre sans Emily pour le restant de tes jours. Et tu es condamnée à avoir son nom à jamais sur tes lèvres tout comme votre dernier baiser. Finalement, Penelope avait tort, rien n’ira bien.
Partie deux
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alioversus · 2 months
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Non Uccidere il Pesce d'Oro
Julien Ash & Antonella Eye Porcelluzzi | Mahorka | 2024
1. Fin août, tard le soir, dans une zone balnéaire pas que jolie, qui bientôt se dépeuplera. Elle en a un grand souvenir d’autrefois, et d’autrement. Le temps transforme tout. Voilà. C'est la pleine lune. Sentiments contradictoires. Ou tout simplement l'un qui aimait plus que l'autre, ou plutôt l'une en l'occurrence. Retenir ou laisser partir, sempiternelle question. Retenir et soumettre, se rendre minable… Ou laisser partir — et mourir de tristesse sur une plage sale, couverte de cadavres de 8.6 et de 1664. 
2. Heureusement, elle pouvait compter sur l’anesthésie du clubbing, l’illusion de la résilience, l’hypertrophie de l’ego, sage, autonome, conquérant… Des projecteurs dansaient au-dessus d’eux qui dansaient, tantôt fous dans la lumière, tantôt dévastés dans la pénombre. Une sensualité trouble pour dernier filet. Le contact de deux ou trois corps inconnus. Et dans l’inconscient déjà le germe du regret futur. Les lieux de fête sont des lieux de blues. C’est dans ce genre d’endroit que vomissait Gainsbourg quand il oubliait de porter son masque. Miroirs et rasoirs dans les couloirs, les toilettes… Mieux vaudrait peut-être faire couler le sang. Plutôt flinguer son flair est le choix dominant. 
3. Dans l’enfance, dans son pays d’origine, les matinées étaient tendres, pétillantes, à peine perturbées par une brise ensoleillée. La vie n’était pas plus facile, mais avec le recul, on lui trouverait des côtés candides, sincères, authentiques… C’est parce que les gens de là-bas sont souvent morts à présent. Et parce que l’enfant qu’elle y était est morte également, d’une certaine façon. Elle y retournera un jour — pour y renaître encore une fois. 
4. Elle fait partie de ceux qui ont un sens décalé de la chronologie. Son passé et son présent se réinventent constamment, en fonction de sa qualité de conscience ; et il n'y a jamais de travestissement. Tu vas voir. Tu vas entendre. Cela ne sera pas logique, mais cela aura le poids de l’évidence. Cela résonne depuis un lointain trauma. Scie circulaire et ouroboros. Éros et Thanatos. Yin et Yang. Cela a le ton du reproche et celui de la proposition franche. Cela prendra le temps qu’il faut. Suspension, vibration : harmoniques… Ce qui reste dans le cœur et le cerveau, bien après qu’a cessé la parole. Et voici bientôt que s’ouvre un passage. Le coulissement obscur des grandes portes métalliques — d’un paradis ? Patience encore. Ça y est, les anges trinquent, incontinents : une ola de coupes dressées, hémoglobine dyonisiaque — en l’honneur de leurs faiseuses persécutées. Puis dans un grincement de plomb et d’airain, la nuit de l’Autre se recroqueville sur eux. 
5. Il existe une sonate au clair de lune, et nous voulons faire tout l’inverse, ou presque : une bourrée au soleil noir. Le moment n’est-il pas venu de faire basculer l’essence dans la structure, dans la sculpture — comme un poisson dans l’or ? Le moment de déverser l’Étoile condensée sur tous les réseaux ? Leur binaire pourrait devenir ternaire par notre seule volonté. Mais hélas, par derrière, au point limite de pénétration de l’interface, cette satanée nostalgie qui affleure… Comme un vinyle qui craque. Il nous faudrait être plusieurs. Mais comment éviter le délitement de ce qui se sépare ? Comment ne pas tuer le Poisson que l’on veut voir nager dans un métal en fusion ?
6. Révélé, un secret perd tout son pouvoir. L’important n’est pas ce qui est caché, ce qui est tu en soi, l’important n’est pas la clef du mystère, l’important est le souci de garder quelque chose, de le préserver, de le chérir — douloureusement. De la famille jusqu’à Dieu… Plutôt le silence qu’une lumière aveuglante. La blessure se chuchote, l’initiation se murmure, l’humilité se scande. 
7. La faute était nécessaire, c’est elle qui a permis de sauver son monde. Au petit matin, comme un second printemps, la liberté s'est mêlée aux scintillements de la Méditerranée. Sur le port, les pêcheurs installent leur marché. Elle sourit à la puissance qui la dépasse, physiquement et intellectuellement, mais qui la propulse vers la vie, de tout son cœur rassuré. Rinçage des pavés à l’eau claire. Odeur de marée. Aux mâts inébranlables ne flottent plus que des voiles de mariée.
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Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
"sur la route de l’Espagne..".
Une autre soirée avec Ana, peu de temps après avoir quitté Toulouse et notre adorable amie Elena (je vous raconterai prochainement nôtre dernière soirée commune avant notre départ, mais aussi la suite de cette soirée préhispanique) fut aussi propice a réellement me conforter dans mon attirance, que dis-je ma conversion et ma future dévotion au Candaulisme...
Nous avions promis à Elena de passer au retour sur Toulouse.
Elle était déjà impatiente de nous retrouver et surtout, au vu de nos inclinaisons actuelles, elle comme nous, qu’on puisse se raconter et partager nos aventures de vacances. Ce serait assurément un moment grandiose.
Nous nous mîmes en route tôt pour Perpignan et plus exactement Paulilles, une petite anse de bord de mer magnifique sur le littoral, entre le cap Béar et le cap Oullestrell.
Un site classé en réserve naturelle avec un paysage à couper le souffle et l’immensité d’un parc très agréable d’une ancienne usine désaffectée (Usine Nobel, fabricant de dynamite).
Des plages magnifiques. Bref un petit coin de paradis à côté des immenses et parfois trop impersonnelles stations de la côte Catalane.
L’un de mes amis proches, Robert, y avait été affecté pour l’été à la surveillance des plages.
Je lui avais promis de passer lui dire bonjour et Ana qui avait fait sa connaissance quelque mois plus tôt l’avait beaucoup apprécié.
Aussi avions-nous convenu d’un rendez-vous le soir même en bord de plage où il y avait depuis peu un restaurant et une petite boite de nuit.
Nous avons déjeuné et passé une partie de l’après-midi dans la superbe ville de Perpignan et j’étais réellement fier de m’y promener avec Ana qui pour l’occasion s’était vêtue d’une très belle et courte robe d’été...
Elle était réellement superbe...
Tous les hommes la remarquaient et j’avoue que cela me rendait heureux tout comme elle, qui semblait si heureuse et épanouie. Encore plus me semblait-il depuis l’épisode de sa dernière rentrée universitaire et le fait qu’elle se sache avec moi maintenant complétement libre, libérée et en peine confiance...
C'était ça et aussi surtout ça le Candaulisme pour moi.
Nos dernières soirées Toulousaines et son séjour chez Elena, avaient amplement confirmé nos choix de style de vie : Hot-Wife pour elle et Candaulisme certifié pour moi.
Comme déjà évoqué, nous ne portions jamais de sous-vêtements et si pour moi ce n’était pas si flagrant de le remarquer, pour Ana qui s’amusait si subtilement et savamment à en jouer c’était beaucoup plus évident et nous donna l’occasion de « teaser » un jeune serveur du restaurant où nous avions déjeuné.
Ana bien que ne portant absolument rien avait gardé par habitude et précaution un string blanc et minuscule dans son sac à main.
Aussi lui vint l’idée de faire semblant et d’être surprise à le retirer lorsque le serveur vint prendre la commande...
Elle le fit si bien qu'il en rougit et cela amusa Ana.
J’étais spectateur et si heureux en l’instant de l’être.
Là aussi le Candaulisme me l'avait appris...
À chacun de ses passages à notre table, elle s’amusait à prendre en main ostensiblement ce tissu affriolant mais aussi à en parler suffisamment fort pour qu’il entende (je pense même que les tables voisines entendaient...) quelques phrases du genre :
« Tu vois Chéri, je l’ai fait...Je l’ai enlevé comme tu le souhaitais... Tu sais que je ne peux rien te refuser mon coquin...Tu me veux salope...je suis ta salope... ! »
Mais aussi :
« Il était si mouillé – elle avait versé dessus de l’eau de la carafe avant l’arrivée du serveur à notre table- j’ai tellement toujours envie de toi, tu sais mon Amour... »
Elle termina par lui laisser comme pourboire, bien en évidence sous un billet de cinq Euros...
« Tu crois qu’il va bander, me dit-elle en m’embrassant et tout en le fixant du regard et lui adressant un sourire de vraie chienne... ? Peut-être même aller se branler de suite dans les toilettes... ? Non... ? »
Bref, ça plus quelques autres provocations dans la rue en remontant négligemment sa robe sur ses fesses altières et autres audaces vestimentaires déboutonnant de plus en plus sa robe que ce soit en bas ou en haut, rendaient l'après-midi très savoureux et délicieusement chaud et coquin...
Ses seins magnifiques débordaient d’amour et offraient le vertige aux passants tandis que son déhanché naturel accentuait irrémédiablement l’ouverture du bas de sa robe et la vue quasi immanquable de la naissance du galbe de ses fesses mais également parfois de sa vulve...
Sans trop s’en rendre compte (?), c’est aussi et surtout moi qu’elle avait « teasé » tout au long de l'après-midi... !
Aussi, le reste du parcours après avoir repris la route, je ne pu m’empêcher de la doigter...
Son sexe largement ouvert était d’une chaleur, d’une douceur et d’une moiteur absolument folles...
Elle jouit... Je bandais...
J’avoue que j’aurais aimé et même sûrement mérité qu’on aille plus loin et qu’on fasse l’amour...Mais je n’étais pas si impatient...Je savais que nous en aurions la possibilité très rapidement et j’aimais beaucoup aussi, tout comme elle, à jouer à nous « chauffer » et à rester dans une « zone d’attente », tout à la fois coquine et frustrante mais si délicieuse pour qui sait guetter et attendre l’instant paroxysmique qui en découlait immanquablement à chaque fois...
Nous adorions en jouer l’un et l’autre...C’était trop bon...
 Robert, Bob pour nous, ravi de nous revoir, venait de terminer son service et nous invita au café restaurant de la plage pour nous désaltérer. Il était beau, bronzé, charmant et très attentionné.
Il nous fit part de son idée et de ses projets pour la soirée, nous indiquant qu’il serait vain de vouloir se reposer avant deux heures du matin vu la proximité et les horaires de la boite de nuit jouxtant la cahute où nous devions passer la nuit. Il nous informa également, si cela ne nous embêtait pas, que deux de ses récentes amies se joindraient à nous.
Nous lui avons indiqué, pardon, Ana lui a indiqué que nous étions à sa disposition et que plus il y avait de fous, plus il y avait de plaisirs...
Ana était ainsi et ce dont on aurait fait comme reproche de sans gène à d’autres personnes et dont on aurait pu se moquer, Ana faisait passer cela avec un si beau sourire et avec une telle candeur, qu’on la pardonnait volontiers tous ses lapsus...
Elle avait une mémoire assez approximative et souvent « arrangée » des maximes et interprétait souvent à sa façon les citations...
Parfois même elles se transformaient en suggestions quasi explicites de ses sentiments et cela pouvait être torride...
Je pense que Bob en avait plutôt été amusé et le connaissant, ravi...
Je poussais parfois des petits « oh... ! » devant ses répliques spontanées et dynamiques, mais j’en était absolument toujours amusé et bien souvent même, au final, très heureux.
On ne s’ennuyait jamais avec Ana !
Dans l’attente de l’arrivée de ses amies, Clara et Laura, nous avait-il annoncé, Bob nous emmena faire une balade en zodiac avant de diner.
 Nous en avons apprécié la fraicheur après cette longue journée de route due aux bouchons des vacanciers et touristes – nous étions un samedi - jour des arrivées et départs des locations-
Cependant être bloqué et retardé sur une des plus belles routes en corniche de bord de mer desservant de très nombreux et pittoresques villages, n’avait pas non plus constitué un enfer insurmontable, ce d’autant que je j’avais pu ainsi doigter Ana tendrement et très longtemps.
Nous pûmes, et Ana apprécia réellement, prendre un bain un peu plus au large où la fraicheur de l’eau nous requinquât facilement de cette journée passée dans la ville et la voiture.
Personne n’avait prévu de maillot mais aucun d’entre nous ne fut en peine de se mettre nu pour se baigner.
Je remarquais qu’entre Ana et Bob les regards corporels étaient réciproques et je m’en amusais délicieusement.
Bob était généreusement doté par la nature et son physique entretenu sur un bronzage parfait le rendait réellement sexy...
Je les connaissais tous les deux intimement, j’avais fait beaucoup de sport avec Bob, et si nous devions aller plus avant dans nos échanges, je savais que cela serait plaisant pour tout le monde...
Peut-être même l’espérais-je secrètement...
C’était aussi cela mon Candaulisme...
Oser faire profiter ses amis de ses "trésors" et les partager... !
En serais-je capable ?
Bob était un ami... ! Un très bon ami !
Nous n’en avions pas parlé avec Ana mais depuis cette histoire de la rentrée universitaire passée et tout ce que nous avions vécu à Toulouse, ce n’était pour moi qu’un détail que mes pensées même les plus osées soient parfois devancées par les audaces et l'imprévisibilité d'Ana, tant notre relation avait évolué favorablement vers nos désirs les plus profonds et secrets entre elle et moi.
Il s’était instauré une si belle et tendre complicité, parfois même sans concertation et tout en provocation ou test (l’expérience du serveur de ce midi m’en était la preuve...)
Nous n’en avions nullement discuté. Nous étions sur la même longueur d’ondes et même si ses audaces, que j’appréciais au plus haut point chez Ana et que j’apprécie chez les femmes en général, me surprenaient souvent, je ne tardais jamais à la rejoindre tant cela correspondait à ma nature profonde...Mon éducation m’avait parfois retenu ...Elle, elle savait me toucher au plus profond de mon être, me faire réfléchir et sortir, pour mon bonheur, le sien et celui de notre couple, de ma zone de confort...
Je ne l’ai jamais regretté...
Les amies du moment de Bob, charmantes, étaient arrivée à la cahute à notre retour de Zodiac.
Maître-nageur facilite manifestement les contacts et intérêts, et nous préparâmes pour aller au restaurant avant que la boite de nuit n'ouvre vers 23 heures.
 Elle fermait vers 2 heures du matin, arrêté municipal oblige, Bob nous l’avait indiqué mais les échanges entre les fêtards se produisaient en amont et surtout après sur cette même plage...
Il y avait déjà beaucoup de monde qui attendait...Il devait être un peu plus de vingt et une heures.
Ana était vraiment charmée par Bob, je le voyais. Je m’en réjouissais même.
Bob était vraiment un ami.
Ce que nous avions vécu à Toulouse que ce soit dans le restaurant Tex-Mex et surtout après (je vous le raconterai plus tard) avec Elena et quelques-uns de ses amis m’avait conforté dans mes désirs et envies Candaulistes tandis que je remarquais qu’Ana s’y retrouvait tout autant sinon plus encore que moi ...
Elle aimait être belle et elle l’était, être au centre des attentions, parfois même provoquer...
Elle était belle radieuse, lumineuse, détendue, heureuse...
Je la voyais en permanence rire, sourire et cela me convenait parfaitement. Cela m’enchantait et me faisais en retour le plus grand bien...
Je me sentais tellement heureux, en confiance, encore plus homme... !
C’est assez paradoxal de dire cela tandis qu’on autorise d’autres mâle à courtiser sa femelle et même parfois à la saillir, mais cela me rendait dix fois plus sûr de mon attrait, ce qu’Ana me confirmait jour après jour en me revenant quoiqu’il arrive encore plus et toujours amoureuse.
Je ne doutais plus de moi...Je ne doutais plus d’elle...On partageait tout en confiance et en bonheur...Et même les partages en devenaient plus intenses et s’inscrivaient dans le temps de par les souvenirs tendres qu’ils nous laissaient immanquablement...C’était comme si, au lieu de les vivre une fois, de « consommer » un ou des plaisirs, ils s’additionnaient sans cesse et se potentialisaient.
J’avoue alors que j’étais maintenant sans cesse curieux, voire excité, tant je connaissais les regards de mon amie, ses attitudes, ses envies qui rejoignaient, voire anticipaient, bien souvent les miennes... Je les vivais avant, pendant, après...
Le candaulisme avait pour moi cette vertu de catalyser, d’exacerber nos relations et les rendaient irrésistibles, divines, mille fois plus intense...
C’était comme savoir perdre ou lâcher pour gagner plus encore...Plus encore même que l’on peut imaginer...Oui c’était réellement un bénéficie tel que même nos imaginaires ou plutôt nos habitudes s’en trouvaient chamboulées, rendues caduques devant tant de jouissances et réjouissances proposées et surtout vécues...
Oui, c’était tout cela qui se manifestait à moi et devant moi maintenant, devant Ana, devant nous.
Un espace incommensurable de libertés, de bonheurs, de récompenses...
Mon ami Bob, mâle assuré et extraverti n’avait aucune peine à voir que nous étions heureux.
Il était également heureux que nous nous soyons arrêtés...
Il nous avait indiqué qu’il ne fallait pas s’attendre à un grand confort dans ce qui lui servait de logement, en fait le local SNSM du site, et s’en était par avance excusé nous disant que nous n’aurions que des matelas gonflables dans un espace exigu pour trois pour toute couche et que la douche ne serait que celle de la plage une fois les vacanciers partis où avant qu’ils ne reviennent.
Je connaissais auparavant les lieux car j’y avais moi-même été Maître-Nageur quelques étés auparavant et Ana avait trouvé que cela serait sûrement une expérience intéressante et sympathique, en tout cas certainement un agréable souvenir...
La soirée fut assez arrosée et les esprits ne tardèrent pas à s’échauffer...
Bob nous proposa à l’issue du restaurant et dans l’attente que la boite n’ouvre de goûter un petit Banyuls qu’une charmante plagiste qu’il avait parfaitement comblée et sautée lui avait récemment offert...
Bob était un « chaud-lapin » et un insatiable baiseur.
C’est d’ailleurs ce qui nous avait fait nous rencontrer et même détester dans un premier temps au sein de notre club de musculation puisque nous avions jeté notre dévolu sur la même et accorte jeune femme....
Nous avions à terme sympathisé et fini par proposer à la belle de l’époque un plan à trois qu’elle n’avait pas accepté, nous traitant publiquement et en peine séance de cardio dans une salle pleine, de dépravés, pervers et autres amabilités...
Elle ignorait que c’est ce qui nous fit devenir encore plus amis et même, si elle avait su la belle, nous offrit de multiples occasions de trios et autres parties fines avec quelques femmes ayant assisté à l’esclandre mais qui elles, loin de nous juger, profitèrent pleinement de nos désirs, saisissant l’opportunité de savoir que deux libertins gaillards pouvaient proposer ce genre de chose...
Ce qui me rassurait aussi de lui.
Je savais qu’il était tout autant partageur que moi et que seul le sexe l’intéressait...
Il aurait pu faire un parfait Candauliste s’il n’avait pas accordé trop d’importance au challenge, à la compétition et donc aussi souvent au jugement et à la jalousie...
Un trop plein d’égo jouait aussi en sa défaveur ainsi qu’une culture « machiste » exacerbée par une éducation stricte à l’Italienne donnée par son beau-père pour admettre un instant que d’autres que lui puissent toucher celle qui serait sa « Madonne »).
Dans l’attente de l’ouverture de la piste de danse, il nous invita à nous installer sur une petite digue bétonnée surplombant l’anse un peu à l’écart et permettant d’admirer le coucher de soleil...
Chacun d’entre nous s’installa ainsi sans ordre pré-établi mais pour autant, c’est en quinconce que nous nous retrouvâmes : une femme, un homme (moi), une femme (Ana en l’occurrence), un homme (Bob) et enfin sa seconde amie ...
Nous nous étions serrés du fait de l’angle de vue du soleil couchant à cet endroit et nous étions très proches les uns des autres...
Bob déboucha la bouteille de vieux Banyuls à la couleur mordorée.
Nous admirions la beauté du site et la descente lente et majestueuse du soleil dans la mer... On aimait ainsi toutes et tous la beauté et le charme du lieu. La soirée était vraiment très agréable.
La gourmandise du vin gorgé de sucs et de soleil, d’un bonheur et une douceur incroyable, ne tarda pas à nous enjouer plus encore...
Ana m’embrassait de temps à autre et se lovait tendrement contre mon épaule...
Bob n’était pas en reste avec sa voisine de droite...
À un moment celle-ci osa même caresser et taquiner Bob, d’abord sur ses cuisses fuselées et musclées, puis par-dessus son short au point de le rendre assez visiblement bandant...
Ana s’en aperçu aussi et me demanda à l’oreille si, et c’était son péché mignon que de caresser un sexe offert et tendu près d’elle ou vers elle, elle pouvait se joindre à la belle pour profiter pleinement de l’instant :
« On est là aussi pour ça, non, c’est les vacances ? me dit-elle en me glissant un clin d’œil... ça t’ennuie si c’est avec Bob ? Profite aussi mon chéri...L’autre amie de Bob, Clara je crois, serait déçue de ne pas participer...Tu as vu comment elle te dévorait des yeux pendant le dîner ? Elle est belle non, me dit-elle en riant ? Je sais qu’elle te plait tout comme tu sais que Bob me plait... ! »
Que lui répondre, je n’en eu pas le temps d’ailleurs, si ce n’est qu’en lui adressant un vrai regard complice et un baiser tendre et passionné, lui signifiant entre autres :
« Va ma belle, sois belle...Sois heureuse, fais-toi plaisir...Prends et donne du plaisir...Je suis si amoureux et fier de toi...Que puis-te refuser... ? »
« T’inquiètes...dit-elle partant d’un éclat de rire que tout le monde put entendre, je m’occupe de lui et reviens vers toi aussi, tu connais ma gourmandise... ! »
Aussi, Ana saisi de sa main gauche mon membre qui n’avait pas lui non plus tardé à gonfler au travers de mon léger pantalon de soirée, le sortit de son écrin (on ne portait ni elle ni moi aucun sous-vêtement en été...) et commença à me masturber adroitement et plaisamment.
Dans le même mouvement et alors que l’amie de droite de Bob avait elle aussi dégagé le splendide sexe de Bob de son short trop moulant pour le caresser plus aisément, Ana se pencha et engloutit avidement l’engin de mon ami, grillant un peu la priorité à Laura en impatiente gourmande...
Laura, l’amie audacieuse de Bob ne s’en offusqua pas et caressa même tendrement les cheveux ondulés d’Ana tout en encourageant son initiative en aidant le mouvement de tête de ma belle prenant à pleine bouche l’engin majestueux de mon ami...De son autre main elle dégagea habillement les pointes déjà hautes et acérées des seins sublimes d’Ana pour les caresser en les effleurant...Ana émettait déjà de doux et si plaisants gémissements qui ravissaient tout le monde...
La nuit nous avait fort heureusement déjà légèrement couverte de sa discrétion et peu de personnes malgré le monde présent sur la plage pouvait nous voir ou nous entendre...
Aurait-ce d’ailleurs été un drame tant il me semble que le spectacle que l’on offrait pouvait être assez sensuel et beau...
Ana étant néanmoins de nature partageuse, ne tarda pas à laisser et partager le sexe de Bob qui devenait turgescent et impatient...
Ana revint ainsi comme promis vers moi et m’engloutis à mon tour tout en attrapant la main de Clara, l’autre amie de Bob assise à ma gauche, pour la diriger vers la base de mon sexe complétement sorti et accessible. Elle lui signifia de me caresser les couilles que j’avais par nature fermes et développées...
Pendant ce temps, mes mains avaient elles aussi pris le chemin de la chatte de ma voisine que je trouvais entrouverte et déjà humide sans aucun sous-vêtement sous sa courte jupe d’été...
Ses seins dardaient également sous le mini haut qu’elle portait et mes lèvres furent irrépressiblement attirées par ses pointes majestueuses...
Nous formions alors un îlot et une chaîne d’amour.
Je crois que c’est aussi réellement cette capacité de partage absolu et d’amour du beau qui définissent le Candaulisme...J’en suis convaincu.
Le soleil s’était maintenant éclipsé en grande partie tandis que nous ne commencions qu’à nous élever vers nos plaisirs et jouissances partagées et à nous engouffrer dans une pleine et entière nuit d’amour...
C’était certain...
Bob osa un : « On n’est pas bien là... ? », et la nuit débuta...
Bob s’était levé et les deux belles, Ana et Laura s’étaient mises à genoux devant son mat « bordé » à mort pour l’emboucher et le partager savamment tour à tour...
Il les accueillait dignement et de ses mains les encourageait à venir au plus loin de son bout...
De son côté Clara, à peine Ana m’avait-elle délaissée pour goûter pleinement au fier mât de Bob, s’était directement empalée sur mon dard le recouvrant de son cul et l’insérant adroitement dans sa fente déjà brûlante et inondée...
Je l’aidais délicatement en prenant à pleines et douces mains ses fesses charnues en la levant selon ses désirs et les rythmes qu’elle souhaitait...
Ana se redressa et se mit debout, laissant Bob se laisser dévorer par sa copine et vint placer au plus près de ma bouche sa chatte impatiente : « Dévores-moi mon Amour...Bouffes-moi la chatte comme tu sais si bien le faire...Chauffes-moi...Rends-moi liquide et chaude comme cet après-midi dans la voiture...Je veux que Bob quand il aura joui une première fois dans la bouche de sa copine me prenne en levrette devant toi... Je te sucerai aussi en même temps quand Clara aura bien fini de t’exciter...
Nos copines nous caresserons alors de partout avant que chacune d’elle vienne prendre ma place, que vous les honoriez, les baisiez et qu’on vous fasse jouir comme jamais vous n’avez joui vous les hommes... »
Souvent, les audaces et envies d’Ana dirigeaient les ébats...Il en fut encore le cas ici...
Les deux amies de Bob s’exécutèrent comme captivées et envoûtées par les désirs d’Ana qui venait les encourager tout à tour de ses mots crûs et choisis qu’elle leur glissait à l’oreille et des caresses adroites et précises de ses mains...
Ce fut une apothéose de jouissances avant qu’Ana, une nouvelle fois directrice, nous invite à la suivre dans le noir bleuté de la mer si proche, pour un bain de minuit revigorant...
J’ai pu la prendre tendrement un instant dans mes bras tout en la perforant de mon sexe de nouveau bandant et partageant nos « je t’aime » tout aussi vrais qu’intenses...
Bob s’occupait de ses deux amies pas très loin de nous dans cette mer si belle et accueillante...
Nous nous rhabillâmes tranquillement au milieu d’autres personnes dont la nuit maintenant tombée pouvait à peine nous cacher les ébats et nous dirigeâmes vers la cahute de la SNSM pour tous nous refaire un visage humain à la lumière d’une frontale avant de rejoindre la boite et sa piste bondée où nous nous mirent à danser et de nouveau à picoler...
La soirée n’était visiblement pas terminée...
Il devait être une heure du matin maintenant...
Un peu avant et pendant qu’Ana se refaisait une beauté, elle était incroyable d’aisance dans ce domaine tant en peu de temps et avec peu de chose elle semblait sortir tout droit d’un magasin chic, fashion et à la mode..., je discutais avec Clara et Laura de leurs vacances dans cet endroit...
Elles y étaient pour une semaine et avaient rapidement fait connaissance de Bob qui les avait déjà invitées dans la boite de nuit et s’étaient retrouvées à le câliner à deux, une première pour elles m’avouèrent -elles, dans cette même cahute que nous devions occuper ce soir avec Ana et Bob, un ancien casot de la vigne proche où nous aurions à passer la nuit.
« Ne t’inquiète pas me dit Clara avec son franc sourire et sa confiance tout en adressant un clin d’œil à Laura, il y a de la place pour trois...Il faut juste être comme nous partageurs et visiblement vous l’êtes, me dit-elle, en me caressant l’avant-bras... C’est bien...Ana est superbe, tu as beaucoup de chance »
« Est-elle réellement bi, me demanda innocemment Laura (?) ou est-ce juste par jeu qu’elle nous a caressée ? Clara et moi le sommes. Nous vivons aussi en couple, comme vous, et nous autorisons à draguer les hommes, souvent le même, ce soir étant une exception car vous êtes deux avec une si charmante femme, nous nous ressemblons tellement dans nos goûts... 
Oui, je te demande ça car Ana est vraiment douée pour caresser les femmes...on en a parlé avec Laura et on ne sait pas si elle est bi...Quand nous dragons une femme bi, ce qui est très rare car il faut vraiment qu’elle nous plaise à toutes les deux, nous nous demandons la permission avant et il faut que toutes les deux on accepte...C’est notre code et notre conduite ...Là, vous nous avez un peu surpris et nous ne savions pas toutes les deux si nous pouvions nous lâcher avec elle... Bob ne nous avait parlé que d’amis venant le rejoindre... ! On n’en avait pas parlé avant, Bob et toi étaient là et nous ne savions pas si vous aussi vous aimiez voir et regarder des femmes entre elles...On ne connaissait pas Ana et ne savions pas si elle aimait les femmes... ? Il semble que oui...ou en tout cas ce serait dommage qu’elle ne soit pas bi... Vraiment dommage... !
Elle est si attirante, belle, radieuse et lumineuse...Laura est d’accord aussi pour la draguer et aller plus loin avec elle...Tu penses que c’est possible ?
Que répondre à ces gourmandises ?
Il y a quelques mois, j’aurais pu hésiter mais là non...
Plus du tout même après tout ce qui s’est passé à Toulouse avec Elena et d’autres encore ...
« Oui, oui et oui les filles, mais attention, elle est aussi douée avec et pour les femmes que pour les hommes...C’est à vos risques et périls...Tu as vu tout à l’heure comment elle est capable de prendre les choses en main... »
Cette expression la fit éclater de rire tandis qu’Ana apparaissait effectivement magique et envoûtante...
« On parle de moi..., dit-elle d’un sourire faussement jaloux...Attention, j’aime ou je pourrais aimer !
Tu peux y aller mon Chéri...
Venez les filles, pendant qu’ils se préparent à leur tour, on va dire du mal de nos hommes, de la soirée et pourquoi pas se faire un plan cul entre filles vu qu’on les a déjà sûrement pas mal usés...Et pourquoi pas aller mâter d’autres mecs... ? Il doit bien y en avoir des canons dans cette boite... Et les nôtres sont certainement déjà fatigués », ajouta-t-elle, fidèle à son goût de la provocation...
Laura et Clara étaient rassurées, riaient aux éclats, déjà séduites et impatientes du reste de la soirée...
Oui, c’était vrai que j’étais chanceux d’être le partenaire d’Ana et plus encore depuis cette soirée estudiantine et le début de nos vacances de cette année...
Ana avait franchi un cap vers son épanouissement sexuel dont je profitais et me ravissais avec délectation et gourmandise tant c’était également ce à quoi j’aspirais depuis toujours...
Mon Candaulisme longtemps refoulé et surtout mal cerné m’apparaissait aujourd’hui au grand jour, et vu qu’il était pleinement et entièrement partagé par Ana, que pouvais-je demander de mieux... ?
J’étais aux anges et sur mon petit nuage depuis quelques jours et l’avenir, déjà cette soirée, s’annonçait réellement radieux.
Suite prochaine...
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ekman · 11 months
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Ah, le joli mois d’octobre ! La déplorable situation au Proche-Orient – disons en Palestine pour préciser les choses –, révèle, en Occident essentiellement, les peurs, les lâchetés, voire les renoncements de bien des populations et de leur gouvernement. Ce que j’observe, avec amusement autant qu’avec inquiétude, c’est l’immaturité des réactions de la plupart des nations de “l’Occident global” face aux derniers développements de problèmes pourtant vieux comme Mathusalem. Le fond, comme la forme, sont désespérants. L’Europe, et la France en particulier, attestent l’effacement définitif de leur rôle historique dans le bassin Levantin. Les médias, comme c’est leur habitude, hystérisent les événements et prennent aveuglément le parti de leurs actionnaires. “Israël ! Israël ! Israël !” entends-je partout, à tout bout de champ, tout le temps. Il faut défendre Israël avec les Israéliens, parce qu’Israël, c’est le rempart de notre civilisation contre les sauvages musulmans. Quand Israël sera tombé, c’est tout le continent qui sera attaqué, la nuit, à l’aube, au couteau, à l’AK. Nous serons tous pogromisés, kippa ou pas, pour le seul crime d’être des kafirs.
Je résume là ce qui me semble être, plus ou moins explicitement, plus ou moins bruyamment, le mot d’ordre – ou plutôt la “parole de panique” – qui s’installe sous nos latitudes. Et je joins quelques capsules mnésiques liées à ces événements :
• Il est navrant le spectacle de cette aube automnale si belle qui dévoile le défilé des assassins à moto, bouchers amateurs partis massacrer des familles endormies. Éternel recommencement de l’insupportable injustice frappant les populations prises à parti, flinguées, étripées, égorgées – cadavres et scènes de crimes arrangés à des fins de terrorisme par l’image. “Allah u-akbar”, comme toujours, ici ou là-bas. Tout  a été filmé, par les caméras d’inutile surveillance des victimes et les go-pros des instigateurs. Tout a été montré. • Scènes à peine croyables – je dis bien “à peine croyables” – des commandos palestiniens faisant détonner des explosifs contre des murs en béton et des rideaux de barbelés pour pénétrer des périmètres de sécurité placés sous surveillance automatique 24/7. Les drones qui ont largué leurs charges explosives au-dessus des relais de communication et autre appareil de détection, volent sans ambage d’un pylône à l’autre. Pouvait-on être plus prévisible ? Des ailes volantes motorisées sillonent le ciel, ouvrant le feu sur tout ce qui court en dessous. Pouvait-on être moins discret ? Et pourtant, la petite base armée prise d’assaut regorge de cadavres en slip, tirés du lit dans la panique, la plupart n’ayant même pas eu le loisir de défendre leur peau face aux assaillants brailleurs.
• Grand rassemblement décadent, scènes et chapiteaux. Les fumeurs de oinjes, les raveurs, les filles et fils de bobos, les zoneurs à dreadlocks et leurs meufs à cheveux bleus fuient dans le désert pour échapper au flinguage venu du ciel. Grand Bataclan à ciel ouvert. On a tous rêvé de débarquer dans une rave en Hummer pour remettre un peu d’ordre. Mais là, je vois courir tous ces hébétés et je pense aux parents qui, dans quelques heures, recevront qui un coup de téléphone, qui la visite d’amis ou d’officiels venus leur annoncer ce qu’aucun parent, jamais, ne devrait être contraint d’entendre.
• Un prof a été égorgé dans un lycée français, le deuxième et certainement pas le second. Héros, hommage, hugs. Les trois “H” du cancre élyséen. À la lumière des “massacres du Hamas”, de nombreux chroniqueurs ne peuvent s’en empêcher : mais combien sont-ils chez nous, nous les braves et pacifiques Français, à attendre le grand soir et son fameux croissant de lune ?
• Prendre parti. Ceux qui déplorent les Palestiniens écrasés sous leurs immeubles à coups de bombes sont d’infects islamo-collabos. Les chroniqueurs, chefs de plateau et autres inutiles s’agitent bruyamment, distribuent des bons points et offrent à qui en veut une tournée de moraline. Ça va de “j’ai d’excellents amis Juifs” à “et la Shoah alors, vous en faites quoi ?”. Pathétiques agitations, pitoyables guignolades.
• Je n’entends quasiment personne rappeler ce qu’était encore la diplomatie française d’après guerre. Ce que nous avions perdu en puissance militaire, nous pouvions encore le compenser en influence. Le refus d’être inféodé, comme l’obsession de la souveraineté, allait favoriser l’émergence d’une autre voie – le non-alignement –, unique chemin vers la préservation d’une forme d’indépendance géopolitique dans un monde violemment bi-polaire. L’exceptionnel domaine ultra-marin de la France lui conférait alors une dimension internationale quasi naturelle, préservée des affres d’une décolonisation dramatique. Que reste-t-il de tout cela ? Rien. Absolument rien. La France a perdu partout, elle qui est maintenant devenue une colonie du tiers-monde, le champ d’expérimentation européen du globalisme assassin.
• Pathos, pathos, pathos ! J’ai du pathos à pas cher, en voulez-vous ? L’heure est donc à l’effroi et à l’indignation. Idéal pour nous rappeler que le peuple juif est un peuple héroïque. Légèrement dominateur – comme nous le rappelait le grand Charles – mais courageux, combattif, résolu. Idéal aussi pour déshumaniser le Palestinien de base et fermer les yeux sur les tonnes de bombes balancées sur des gens qui rêvaient sans doute d’égorger des Juifs mais qui, étant donné leur condition physique nouvelle, n’auront pas le temps de passer à l’acte. Je sais, je fais du mauvais esprit. Précisément. Ce qui est triste, là-dessous, c’est le cautionnement inconditionnel de la scénarisation tous azimuts. Ces gens-là, Monsieur, n’ont honte de rien. Ceux qui montrent avec le regard fixe, la mâchoire d’acier, le geste calme, et ceux qui regardent, le teint livide, la bouche ouverte, l’œil mouillé et la gorge nouée. Images de salle à manger transformée en abattoir, de jardinet jonché de tripaille, de trainées de sang chaud dans les couloirs. Ça change des parents gris qui beuglent comme des bougres avec le cadavre tout cendré de leur môme de quatre ans et demi dans les bras. “Oui, mais en même temps, il y a les agresseurs et les agressés, hein, non ?”. Et dire qu’ils sont payés pour oser proférer de telles ignominies.
• François Cevert est mort le 6 octobre 1973 sur le circuit de Watkins Glen. C’était le jour du commencement de la guerre du Kippour. Un demi-siècle plus tard, alors que je raconte à qui veut bien m’écouter la carrière fulgurante et la mort tragique de celui qui fut mon idole, le Hamas fourbit ses armes pour son attaque du 7 octobre. Coïncidence ? Je crois bien, oui.
J.-M. M.
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perduedansmatete · 11 months
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vendredi j'ai pris des anxios pour dormir sinon j'allais juste passer une mauvaise soirée et j'ai bien fait c'était une de mes premières vraies nuits depuis bien des semaines.
samedi j'ai tout fait sauf travailler, puis je devais sortir le soir mais finalement j'ai suivi mes grands-parents chez ma sœur parce que son mec m'avait invité et c'était super. j'ai beaucoup de chance de pouvoir passer ce genre de moments avec eux, on a encore parlé d'alsace et on a vendu la mèche à ma grand-mère en lui disant qu'on voulait lui faire une surprise et l'emmener visiter notre strasbourg avant d'aller dans son bled, elle a râlé en en disant que ça avait trop changé et que c'était n'importe quoi et blablabla tout en voulant y retourner va chercher à comprendre. au détour de nos discussions généalogie on a parlé de sa mère et de ses mémoires (puis surtout de la partie manquante, celle où elle parlait de son mari et qui commençait à peu près comme ça "je pensais pouvoir vivre le vrai amour, découvrir celui que je n'ai jamais pu recevoir de ma mère") elle a été très émue comme souvent avant de nous dire qu'elle était trop dure en pleurant alors qu'elle est tout l'inverse, pour la rassurer on a eu toute une discussion sur mon absence de cœur présumée et ça les a beaucoup faire rire elle et mon grand-père.
puis ils sont partis et ne restait plus que nous trois, après avoir vidé plusieurs bouteilles de vin pendant le repas, ils m'ont sorti du grand marnier, pour moi c'était simplement quelque chose qu'on mettait sur les crêpes mais ils m'ont fait un cocktail puis deux puis... et on s'est posés devant tom sawyer en alsace et je crois que je n'avais pas ri comme ça devant quelque chose depuis longtemps. dans nos pérégrinations on s'est retrouvés devant black sheep de scott pilgrim en découvrant avec affront que ma sœur ne l'avait jamais vu. puis par je ne sais quel chemin on s'est mis à écouter le groupe d'un assassin (noir désir) et c'est dur parce que j'ai grandi en écoutant même si le mal était déjà fait et c'est rattaché à tellement de choses. j'en parlais il n'y a pas longtemps avec ma mère car il passait à la radio et que ça m'énervait et elle me disait que c'était quand même vachement dur pour elle de ne pas écouter avec nostalgie parce que ça faisait partie des premiers groupes qu'elle avait vu avec mon père. bref on en a écouté plein ma sœur et son mec chantaient à pleins poumons et moi j'étais là non je refuse mais... ahhhh... c'est vrai que c'était bien purée. on a discuté religion aussi et malgré le fait que l'environnement familial dans lequel j'ai grandi n'est pas le plus pieux pour ne pas dire qu'il exècre la religion (coucou papa) et bien quand même ça me fascine assez cette rigueur qu'on peut s'imposer, ces principes à respecter, quelque chose dont je serais incapable et je sais plus trop comment ça c'était conclu mais c'était assez intéressant de parler de tout ça en sirotant mon délicieux bloody mary.
puis après on est revenu au sujet des hommes violents des agressions sexuelles et de l'horreur des hommes gentils qui se croient tout permis ou qui croient que tout leur est du. on s'est encore plus éloignés du quart d'heure de folie devant tom sawyer en alsace parce qu'on a discuté du fait de détester être un homme ou une femme puis du simple fait d'être et avant de partir le mec de ma sœur m'a dit mais tu sais les antidépresseurs ça change vraiment la vie je peux t'en donner si tu veux (je lui avais répondu quelques heures plus tôt un truc du style "tu sais je crois que je n'ai pas été heureuse depuis mes onze/douze ans, c'est un truc de fille je crois" (mdr) quand il m'avait demandé si j'étais dépressive et qu'il m'avait parlé de sa dépression avant que ma sœur ne sorte des toilettes). sinon on a découvert qu'on avait les mêmes limites en terme de cul à savoir qu'on en avait pas (enfin si mais très peu et la même ce qui nous a bien fait rire) on s'est d'ailleurs fait une giga déclaration d'amitié en buvant nos je sais pas combientièmes verres de quetsche ça m'a fait trop de bien on était vraiment trop mignons puis en parlant d'amis j'ai parlé de vous en disant que j'avais des copains sur tumblr en plus de ceux dans ma tête ce qui m'a permis d'avouer à ma sœur que je l'avais bloqué dessus il y a des siècles et évidemment elle était absolument scandalisée.
mais du coup avec tout ça je suis rentrée au petit matin et je me suis réveillée en sursaut à quatorze heures avec une gueule de bois atroce et l'angoisse de devoir être très rapidement là où on s'était donné rendez-vous avec mes amies que je n'avais pas vu depuis trop longtemps à mon goût, au final j'étais presque à l'heure mais le café qu'on voulait tester était imaginaire (fermé) donc on a bu des chocolats chauds dans un autre en se racontant nos vies et en rigolant beaucoup avant de se balader dans tout paris et la conclusion de tout ça c'est qu'elles aussi j'ai de la chance de les avoir dans ma vie (et qu'on devrait toutes consulter aussi).
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