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#cherche-midi
philoursmars · 2 years
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 55000 photos (nouveau compte approximatif. On se rapproche du présent !).
2015. A part la dernière (Longuenesse près de Saint-Omer (Pas-de-Calais), le reste est lors de la sortie scolaire de 6ème à Escaudain.
Des pyrrhocores (ou gendarmes), des cynorrhodons (ou ...gratte-cul, fruits de l’églantier), des champignons...
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Pyrrhocore - Il doit son autre nom de gendarme au motifs rouges et noirs sur son corps, faisant penser aux habits des gendarmes au XVIIème siècle.
Lieu : Chez moi - Hauts-de-France
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OSCAR WILDE (1854~1900)
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Les questions ne sont jamais indiscrètes. Seules les réponses le sont parfois.
*Nul homme n’est assez riche pour racheter son passé !
*Je ne confie un secret que si on me fait la promesse de le répéter à tout le monde.
*Seules les personnes médiocres peuvent briller au petit déjeuner.
*Les gens bien élevés se contredisent les uns les autres. Les sages se contredisent eux-mêmes.
*La conversation doit toucher à tout et ne tenir à rien.
*Nous n’avons été conçus que pour développer le sens de l’humour.
*Toute influence est mauvaise. Les bonnes sont les pires.
*J’adore parler de rien. C’est le seul domaine où j’ai de vagues connaissances.
*Un gentleman ne fait jamais d’exercice.
*Il faut contempler les génies et écouter les beautés.
*Le travail est à la racine de tout ce qui est laid.
*La paresse est la mère de la perfection.
*Une seule chose est pire que l’injustice : la justice sans son glaive.
*Un poète peut survivre à tout, sauf à une faute d’impression.
*Le simple fait d’avoir publié un livre de sonnets médiocres rend un homme tout à fait irrésistible.
*L’optimisme commence par un large sourire et le pessimisme finit par des lunettes aux verres bleutés.
*Il est absurde de séparer les gens en vertueux et en corrompus. Les gens sont soit charmants, soit ennuyeux.
*Le seul péché, c’est la bêtise.
*L’ambition est le dernier refuge des ratés.
*La vie n’est qu’un mauvais quart d’heure fait de moments exquis.
Pensées, maximes et anecdotes, le cherche midi, 2000, 2015
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youraufildespages · 5 days
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A l'ombre de Winnicott de Christian Niemiec et Ludovic Manchette
 8/10 Sussex, Angleterre, 1934. Alors qu’ils viennent d’emménager dans le manoir de Winnicott Hall, Archibald et Lucille Montgomery confient à Viviane Lombard, une Française à l’attitude et au franc-parler peu ordinaires, l’éducation de George, leur jeune fils aveugle. Tandis que la préceptrice et l’enfant apprennent à s’apprivoiser, un doute s’instille peu à peu chez eux comme chez…
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alapagedeslivres · 3 months
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Personne n’était censé mourir pendant ces vacances de Catherine MACK
Merci NetGalley pour cette lecture offerte – Merci pour les éditions CHERCHE MIDI pour ce service presse : ces partenariats sont vraiment l’occasion pour moi de me lancer dans des lectures que je n’aurais peut-être pas acquises. J’ai l’infini plaisir de vous offrir mon avis dans cette chronique, en espérant vous apporter l’envie de découvrir ce roman à la couverture azur… de quoi ensoleiller…
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aforcedelire · 4 months
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Comme dans un roman d’été, Emily Henry
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January est une autrice de comédies romantiques et aime offrir à ses personnages les happy ends qu’ils méritent ; Augustus, lui, penche pour la littérature « sérieuse » et n’a pas peur de réserver à ses personnages des destins épouvantables. Ils se connaissaient de leurs années de fac, mais ne s’étaient pas revus depuis plusieurs années ; jusqu’à cet été. Cet été où chacun doit écrire un roman avant la rentrée, alors qu’ils n’ont aucune inspiration. Jusqu’à ce qu’ils se donnent un défi : January devra écrire un grand roman littéraire pendant que Gus s’essayera au romantique. Et bien-sûr, aucun des deux ne s’imagine tomber amoureux…
… pour mon plus grand plaisir ! Et malgré le macaron TikTok douteux IMPRIMÉ SUR LA COUVERTURE et leurs noms tout droit sortis de Wattpad. Bref. J’ai souvent vu passer cette autrice sur les réseaux anglophones, et j’avais vraiment envie de découvrir son univers. J’ai adoré ! Ça m’a fait penser à du Ali Hazelwood, quoi qu’un plus plus « sérieux », et littéraire plutôt que scientifique ! J’ai beaucoup aimé suivre January et Gus, perdus à la fin de leur vingtaine, à jongler entre déboires et espoir. C’était tout mignon ! J’ai particulièrement aimé que, outre l’inévitable histoire d’amour, Emily Henry aborde des sujets beaucoup plus graves et sérieux ; par le biais de Gus, qui écrit un roman sur ce sujet, on parle des sectes et de leurs dérives. Et via January, on aborde aussi le thème du deuil et des secrets familiaux. Et EN PLUS, on a un roman dans l’univers du livre et des auteur.ice.s. J’étais comblée !
Autre point aussi hyper positif, je n’ai eu envie de secouer personne par les épaules, comme ça m’arrive parfois avec des personnages de romance. Leur relation tient debout, et on ne se demande pas comment ils en sont arrivés là (on est loin, mais loiiiin d’une relation trop-rapide/charnelle/tirée-par-les-cheveux à la Icebreaker, qui moi me dérange et m’agace plus qu’autre chose). J’ai adoré, et je pense que si ça m’a autant plu, c’est aussi parce que ce n’est pas un roman « que » romantique. C’est complet, ça se lit hyper facilement, ça se lit jusqu’à tard dans la nuit pour savoir la suite, et en plus c’est complètement chou. J’ai adoré, et maintenant j’ai envie de lire tous les autres livres de Emily Henry…
05/06/2024 - 07/06/2024
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boulevardbd · 7 months
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? N°285
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, c’est l’heure du “C’est lundi que lisez-vous” je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. C’est lundi par le menuJE RÉPONDS…
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gnossienne · 9 months
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The home of Fred Hughes at Rue du Cherche-Midi in Paris
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olympic-paris · 6 days
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saga: Soumission & Domination 272
Arcachon 3
Dans les 18ans (j'espère), châtain clair ébouriffé, imberbe et déjà bien bronzé avec un shorty très court. Dans les 1,75m plutôt fin mais avec des muscles bine dessiné quand même. Je tombe à genou à coté de lui et sort mon plus beau sourire. Il se pousse pour me faire une place sur sa serviette. Je m'assois dessus et en profite pour poser ma main sur son ventre. Il ne la repousse pas, du coup je la laisse et commence même à caresser lentement son torse, le maintenant au sol. Il me dit s'appeler Jules et m'avoue avoir remarqués notre groupe hier après midi déjà.
Je lui demande s'il n'est pas déçu que ce soit moi et pas un autre qui soit venu le voir ? Il ferme un oeil et, après avoir tourné le visage vers les autres occupés à jouer à une 15aine de mètre, me dis que non bien que le grand bronzé et baraqué avec qui je suis venu lui plaisait bien aussi. Je lui fais préciser et il me montre Ernesto. Je ris et lui dis qu'il a, non seulement bon goût, mais aussi un gros appétit. Comme il n'a pas l'air de comprendre, je lui dis que mon ami est très, très bien équipé.
C'est lui qui me demande si nous sommes là pour un moment. Il semble déçu quand je l'informe que nous seront repartis avant la fin de la semaine. Je lui propose alors de ne pas perdre de temps et de m'accompagner derrière le premier rideau d'arbre. Il hésite et me dis qu'il y a pas mal de vieux qui y trainent. Je lui fais part de mon étonnement vu que sur la plage il n'y a que des jeunes. Il m'explique alors qu'il connait bien le coin et qu'ils arrivent par une autre route et rodent en attendant les jeunes mecs qui vont se soulager. Je me penche alors et pose mes lèvres sur les siennes. Et j'attends qu'il fasse le premier pas. Rapidement je sens sa langue glisser sur mes lèvres, s'insinuer entre elle et taper mes dents comme pour me demander l'autorisation d'entrer. J'entrouvre et c'est une véritable furie qui s'empare de ma bouche. Son bras est venu autour de mon cou pour me maintenir serré contre lui alors que sa langue virevolte dans ma bouche, cherchant la mienne et faisant bataille avec elle. Bien que cela fasse un bon moment déjà que nous sommes sur la plage, sa langue est fraîche et je prends du plaisir à lui rouler ce patin. Après un temps qui m'a paru court mais qui, selon la position du soleil, serait plutôt de pas loin d'une heure, je lui demande ce qu'il fait, tout seul.
Il me raconte : il vient de fêter ses 18ans, des parents au travail qui, l'été, s'installent dans la station où nous avons loué et qui font les trajets tous les jours à Bordeaux et un frère plus âgé qui bosse comme saisonnier dans un restaurant un peu plus loin sur la cote.
Je conclue qu'il est donc relativement libre de son temps. Il me le confirme et me dis que ses parents acceptent qu'il rentre tard où plutôt tôt le matin, après tout c'est les vacances. Je lui demande s'il serait intéressé par une invitation à une soirée privée chez nous ce soir même. Il accepte avec empressement et me demande s'il pouvait intégrer notre " groupe " dès maintenant.
Je n'en vois pas d'impossibilité mais avant de rejoindre tous les autres je passe un petit moment à lui préciser qui est qui : le groupe des parisiens et le mien sans lui dire que les deux Ducatistes sont gendarmes.
Quand je le ramène, il se fait siffler et chahuter par nos parisiens alors que mon groupe l'intègre sans chichis. Je vois qu'il a de la suite dans les idées car c'est auprès d'Ernesto qu'il cherche la sécurité !
Quand nous nous séparons, avant de nous retrouver plus tard, nous emmenons Jules avec nous. Amusant, il s'aperçoit que nous avons loués à 3 maisons de chez lui. Ernesto me glisse que le p'tit mec que j'ai trouvé n'était vraiment pas farouche et qu'il avait fait les quelques km du retour avec sa main (à Jules) sur sa bite (à lui). Je lui dis alors qu'il (lui) avait tapé dans l'oeil de Jules. Tout content, Ernesto me dit que lui c'est plutôt dans sa rondelle qu'il ira lui taper.
Le portail refermé et nous nous mettons à poil le temps de traverser la maison. Jules hésite mais quand il voit que certains ont leurs culs touts blancs, et bandent déjà, il baisse son maillot et nous fait découvrir son outillage. Comme il est tout raide, j'estime une bite de 18cm par 4/5, circoncise, avec un beau gland plutôt ovale avec deux petites couilles rasées. Quand Ernesto se retourne, il reste quand même bloqué, le regard fixé sur les attributs de notre espagnol. C'est sur que tâtés par-dessus le tissu du maillot de bain ou les voir dans toute leur nudité, c'est pas pareil !
Nos gendarmes l'attrape, un de chaque coté et le portent jusqu'à la piscine dans laquelle ils le projettent. Alors qu'il remonte à la surface, il est éclaboussé par tous les autres qui tombent autour de lui. Nous jouons, nous nous pourchassons, caressons. Il veut nous montrer qu'il n'est pas une " oie blanche " et pour cela entreprend de sucer Ernesto sous l'eau ! Nous le sauvons de la noyade alors qu'il s'étrangle avec son gland ! PH lui glisse à l'oreille qu'il n'a rien à prouver avec nous. En attendant, nous préparons la réception du soir. Jules m'aide et comme il me fait bander grave, je l'attrape et le pousse dans le bureau du ré de chaussée.
Il a compris tout de suite et se colle à moi tout bandant lui aussi. Je suis penché et lui sur la pointe des pieds. Il fini par me sauter dans les bras ceinturant ma taille de ses cuisses. Ma queue se dresse sous ses fesses. Il se trémousse alors que nous nous roulons toujours un patin, jusqu'à ce que mon gland tape sa rondelle. Il ondule du bassin et comme je le sens s'ouvrir, je le pose sur le bureau et me kpote rapidement avant de le reprendre dans les bras. Ma bite trouve aussitôt le bon chemin et je me sens m'enfoncer dans son cul. J'adore ! Rondelle ferme sans être fermée, Jules appui pour bien s'enfoncer ma bite en lui. Il relâche mes lèvres et halète un peu sous l'effort. J'ai droit à son superbe sourire quand nos os se collent.
Je m'adosse au bureau (les fesses contre le plateau). Jules en profite pour poser ses pieds dessus et des bras autour de mon cou, il se lime tout seul sur mon pieu. C'est trop bon ! Il est vraiment très chaud et j'apprécie sa façon de baiser. Son sexe se frotte à mes abdos et son gland devient violacé. Je le laisse faire quelques minute et reprend la main. Je le porte sur ma bite jusqu'au canapé et accompagne sa chute dessus. Je lui relève les jambes jusqu'à les passer sur mes épaules avant de me mettre à labourer sa rondelle. Il apprécie mes longs coups de rein et quand je fais des sorties complètes avant de me renfourner au chaud. Il attire ma tête et me roule un nouveau patin. Sa langue m'excite un peu plus et j'ai du mal à me retenir quand je sens, projeté sur mes abdos, son sperme. Je lâche les vannes et callé tout au fond de son cul, je me vide dans ma kpote. Je m'écroule sur lui. Il est encore plein d'energie et me lèche le cou, les oreilles tout en serrant son anneau. Je me retire avant de débander. Notre entrée dans la cuisine n'est pas resté discrète. Faut dire que la kpote pleine dans la main, j'aurais eu du mal a contredire le fait que nous venions de baiser. PH me la retire et passe un Sopalin entre les fesses de Jules avant de jeter le tout à la poubelle. Revenant vers nous PH lui demande si son mec, en l'occurrence moi, l'avait bien baisé. Jules me regarde, effaré, puis bredouille à PH qu'il ne savait pas pour lui et moi. Il comprend que c'est sans importance quand nous nous mettons à rire tous les deux. PH s'approche de lui et se penche pour lui rouler un patin, histoire de bien lui faire comprendre notre façon de fonctionner. Les deux gendarmes nous rejoignent à ce moment là. Ils encadrent Jules, le soulèvent et profitant de la situation, le font redescendre mais en le plantant sur G22 (Gendarme 22cm). Heureusement que j'étais passé avant, comme ça Jules a pu bien profiter, sans douleur, de la fougue militaire. PH et moi sommes restés au spectacle. Dès que Jules a été bien calé sur G22, G21 (Gendarme 21cm) l'a penché en avant jusqu'à enfoncer ses 21cm dans sa bouche et sa gorge.
Après la triple prise de plaisir, j'ai demandé à Jules si le programme était à son goût. Il me saute au cou et me dit qu'il ne lui était encore jamais arrivé un plan pareil. Ça le changeait des locaux de son âge. Je lui dis de garder des forces pour ce soir et nos invités. Je l'envoi se doucher. Il nous revient tout frais.
Vers 20h30 nos invités arrivent. Les bras pleins de bouteilles. Les bouchons sautent et les bulles coulent à flot. Ernesto surveille Jules et compte bien se le garder ce soir. Le BBQ chauffe et les grillades roussissent. Le diner est entrecoupé de séances de baises selon les affinités de chacun et le degré d'excitation du moment. Contrairement à la veille chez eux, pas de mêlée commune, mais des actions par petits groupes. Quand Ernesto est " violé " par un parisien en manque de grosse bite dans son cul, il nous confie, à nous ou à nos gendarme la garde de Jules. Ce dernier est d'accord pour se garder pour Ernesto.
J'ai deux fois profité des invités en recto comme en verso, tout comme PH. La deuxième fois, j'ai enculé le mec qui le sodomisait et quand le mec en question s'en est offusqué, arguant qu'il était plutôt actif, je lui ai répondu que c'était le prix à payer pour baiser mon mec ! Il a bien fallu qu'il s'en satisfasse coincé entre nous deux.
Finalement je crois que tout le monde a été content qu'ils partent. Il sont beaux, jeunes et bons baiseurs mais ne peuvent s'affranchir d'une certaine condescendance qui revenait souvent soit dans leurs comportements soit dans leurs propos. Je ne me suis même pas abaissé à leur mettre dans la vue nos relations dans la capitale !
Comme prévu, Ernesto s'est isolé pour le reste de la nuit avec Jules et à en croire les bruits venant de leur chambre, ils ont veillé jusqu'à très tôt. PH et moi avons fini la nuit dans les bras de la maréchaussée.
Arcachon 4
Je me réveille en même temps que G22. Nous laissons nos mecs respectifs dormir ensemble et descendons. Nous sommes les premiers. Je décide d'aller faire quelques courses. G22 m'accompagne. Je lui laisse le volant de la SL, il en mourait d'envie. Malgré les risque de tomber sur quelqu'un de sa connaissance, il roule jusqu'à Bordeaux rien que pour le plaisir de piloter l'engin. On refait les pleins (essence, champagne, viennoiseries et barbaque) et rentrons le pied dedans. Nous arrivons alors que le reste de la maison s'éveille. Ils nous aident à décharger les courses. G21 et G22 nous quitterons ce soir ! Du coup nous restons à la villa pour profiter d'eux jusqu'au bout et réciproquement.
Sans savoir ce qu'ils font dans la vie, Jules leur dis qu'il sera content de les revoir sur la plage. G22 qui se rappelle la douceur de son petit trou lui dit qu'ils reviendront dès qu'ils pourront. En attendant, G21 lui fait connaitre son coup de rein et Jules y semble aussi sensible qu'à ceux de son collègue.
Nous touzons tranquillement toute l'après midi. Ils nous quittent vers les 21h, non sans que nous ayons échangés nos n° de portables et la promesse qu'ils passent nous voir dans le " nord ".
Nous partons le lendemain pour Barcelone avant de rejoindre Sitges. Déjeuner à la frontière et nous arrivons tranquillement en début de soirée à l'appart d'Ernesto.
Marc et Hervé nous rejoignent, enfin en vacances. C'est génial.
Jardinier
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renauddeputter · 7 months
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"The Spirit of Eden", enamel sulphide, 2024, 8cm x 8cm x6cm, (c) Renaud De Putter and Richard Loesel
to see in my exhibition « Objets de désir »  – Atelier Lardeur Paris – 13-17/03/24 - beware! new dates:
Wednesday 13/03 – Friday 15/03: 15-21h (vernissage : 13/03 - 18h)
Saturday 16/03 – Sunday 17/03: 13-18h
Talk with the art critique Henri Guette: 14/03 – 19h
Au plaisir de vous revoir à cette occasion ! It will be a pleasure to see again!
Atelier Lardeur79 rue du Cherche-Midi (Paris 6e) Code 26845 – au fond de l’impasse [email protected]
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chic-a-gigot · 4 months
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La Mode illustrée, no. 22, 1 juin 1902, Paris. Robe de chambre de campagne en linon, foulard ou voile. Modèle de Mlles Sauveur, rue du Cherche-Midi, 67. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Notre gravure représente une robe de chambre de campagne, agréable à porter grâce à sa forme Empire et rendue assez élégante par ses garnitures.
Le modèle est exécuté en linon écru a pois blancs, posé sur un transparent rose; la jupe est montée sur un petit corsage plissé complété par un empiècement en guipure sur filet posée sur de la mousseline et décolleté en carré; on mosque la jonction de la jupe et du corsage sous un ruban pompadour terminé devant sous un nœud à longs pans. Les manches, plissées dans le haut, sont garnies de guipure, ainsi que les poignets retenant les bouillonnés.
Our engraving represents a country dressing gown, pleasant to wear thanks to its Empire shape and made quite elegant by its trimmings.
The model is made of ecru lawn with white polka dots, placed on a pink transparency; the skirt is mounted on a small pleated bodice completed with a guipure yoke on net placed on muslin and square neckline; we mosque the junction of the skirt and the bodice under a pompadour ribbon finished in front under a bow with long sides. The sleeves, pleated at the top, are trimmed with guipure, as are the cuffs holding the ruffles.
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fashionbooksmilano · 10 months
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René Gruau L'art de la publicité The Art of Advertising
Réjane Bargiel, Sylvie Nissen
Le Cherche Midi, Paris 1999, 128 pages, 23x28cm, English/French, ISBN 9782862746951
euro 90,00
email if you want to buy [email protected]
Un G surmonté d'une étoile, griffe d'innombrables images appartenant à la mémoire collective. Des lèvres spirituelles qui attendent le baiser, des jambes sublimes jaillissant d'un nuage de plumes, des bras qui se tendent vers vous, des yeux splendidement expressifs qui plongent dans les vôtres. Voilà autant d'images emblématiques et célébrissimes de Gruau, affichiste et illustrateur qui constituent des repères incontournables de l'art publicitaire du XXe siècle. Autodidacte, nourri d'une culture classique et graphique à travers les travaux des grands peintres et illustrateurs du XIXe siècle, il a créé un style. Admirable synthèse graphique, son trait épuré parent de la calligraphie extrême-orientale, le chic de ses femmes mutines, toujours en mouvement symbolisent internationalement l'élégance. Depuis 1947, il imagine la publicité des parfums Dior, réinvente depuis plus de 30 ans l'affiche de music-hall pour le Bal du Moulin Rouge et le Lido. A 90 ans, René Gruau, très actif professionnellement symbolise à la fois l'héritage de l'art graphique et publicitaire du XIXe siècle et la modernité de la fin du XXe siècle. Gruau's trademark, the letter G crowned with a star, bas become a part of our collective memory. It has marked many memorable images: a spiritual set of lips just waiting to be kissed, a sublime pair of legs emerging from a cloud of feathers, arms that stretch out invitingly, splendidly expressive eyes like bottomless pools. Gruau's famous, emblematic images are at the core of twentieth-century advertising art. An autodidact thoroughly familiar with classical painting and graphic art, Gruau drew on the work of the great artists and illustrators of the nineteenth century in order to create his own unique style. In short, his work represents an admirable graphic synthesis. The purity of his line recalls Oriental calligraphy, while his chic, saucy women, always in motion, are an international symbol of elegance. He has been the creative force behind Dior perfume ads since 1947. For over 50 years he has reinvented the dancehall poster for the Moulin Rouge and the Lido. Still a working professional at 90 years old, Gruau symbolizes both the heritage of nineteenth-century modernism.
06/12/23
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ellednorih · 1 month
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Si je n'avais pas pratiqué l'écriture comme je le fais, quotidiennement, sur papier, ordinateur, smartphone, dans mes pensées, partout, tout le temps, je crois que ma voix serait restée coincée à l'intérieur de moi. Pétrifiée par le regard des autres, le contrôle social, embarrassée par mon enveloppe corporelle. Elif Shafak, cette écrivaine turque que j'aime tant, me l'a dit un jour, comme une mise en garde : « Nous, les femmes, nous avons notre corps à porter. » Écrire m'a libérée de ce poids, m'a fait sortir du petit carré dessiné à la craie qu'on avait prévu pour moi et à l'intérieur duquel j'aurais mené une vie muette.
– Astrid Éliard, Une vie à écrire (Le Cherche Midi, 2023)
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weiwuxiankinnie · 10 months
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“What about me?’ said Grantaire. ‘I’m here.’ ‘You?’ ‘Yes, me.’ ‘You? Rally Republicans! You? In defence of principles, fire up hearts that have grown cold!’ ‘Why not?’ ‘Are you capable of being good for something?’ ‘I have the vague ambition to be,’ said Grantaire. ‘You don’t believe in anything.’ ‘I believe in you.’ ‘Grantaire, will you do me a favour?’ ‘Anything. Polish your boots.’ ‘Well, don’t meddle in our affairs. Go and sleep off the effects of your absinthe.’ ‘You’re heartless, Enjolras.’ ‘As if you’d be the man to send to the Maine gate! As if you were capable of it!’ ‘I’m capable of going down Rue des Grès, crossing Place St-Michel, heading off along Rue Monsieur-le-Prince, taking Rue de Vaugirard, passing the Carmelite convent, turning into Rue d’Assas, proceeding to Rue du Cherche-Midi, leaving the Military Court behind me, wending my way along Rue des Vieilles-Tuileries, striding across the boulevard, following Chaussée du Maine, walking through the toll-gate and going into Richefeu’s. I’m capable of that. My shoes are capable of that.’ ‘Do you know them at all, those comrades who meet at Richefeu’s?' ‘Not very well. But we’re on friendly terms.’ ‘What will you say to them?’ ‘I’ll talk to them about Robespierre, of course! And about Danton. About principles.’ ‘You?’ ‘Yes, me. But I’m not being given the credit I deserve. When I put my mind to it, I’m terrific. I’ve read Prudhomme, I’m familiar with the Social Contract, I know by heart my constitution of the year II. “The liberty of the citizen ends where the liberty of another citizen begins.” Do you take me for a brute beast? I have in my drawer an old promissory note from the time of the Revolution. The rights of man, the sovereignty of the people, for God’s sake! I’m even a bit of an Hébertist. I can keep coming out with some wonderful things, watch in hand, for a whole six hours by the clock.’ ‘Be serious,’ said Enjolras. ‘I mean it,’ replied Grantaire.
drawing by me
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rinconliterario · 9 months
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¿El abismo no es más que un aniquilamiento oportuno? No me sería difícil leer en él no un reposo, sino una emoción. Enmascaro mi duelo en una huida; me diluyo, me desvanezco para escapar a esta compacidad, a este atasco, que hace de mí un sujeto responsable: salgo: es el éxtasis. Sartre Rue du Cherche-Midi, después de una noche difícil, X… me explicaba muy bien, con una voz precisa, con frases acabadas, apartadas de todo inexpresable, que deseaba a veces desvanecerse; se lamentaba de no poder nunca desaparecer a voluntad. Sus palabras decían que esperaba entonces sucumbir a su debilidad, no resistir las heridas que le hace el mundo; pero, al mismo tiempo, sustituía esta fuerza desfalleciente por otra fuerza, otra afirmación: asumo a despecho de todo una negativa de entereza, por lo tanto una negativa de moral: eso decía la voz de X.. Discurso amoroso. Roland Barthes, 1977.
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