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#commentaire personnel
fnielaubin · 7 months
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Crise du logement et Airbnb.
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french-ao3 · 4 months
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Lore.FM, ou pourquoi créer un "Audible pour Archive of Our Own" n'est pas une bonne idée
Ce blog n'a pas l'habitude de couvrir des sujets d'actualité, mais qui sait, peut-être le devrait-il. Du fait du caractère récent des évènements dont je vais parler ici, je ne peux pas espérer atteindre le niveau de détachement et d'objectivité que je tente d'avoir dans mes autres posts, donc je vous invite à vous renseigner de votre propre côté. Je ferai de mon mieux pour ajouter des sources à ce post dans un avenir proche.
Que se passe-t-il ?
Lore.FM est un projet d'application mobile et de site web qui vise à produire des versions audio de fanfictions publiées sur le site Archive of Our Own. La créatrice du projet est particulièrement active sur Tiktok, où elle décrit le projet comme un "Audible pour Ao3". Le projet affirme avoir été créé dans une optique d'accessibilité pour les personnes malvoyantes ou celles qui préfères les formats audio. U
Il y a pourtant quelques gros, GROS problèmes inhérents à ce projet.
Le consentement des auteur.ices dont les fanfictions seraient importées sur lore.fm ne semble pas être un facteur pris en compte. C'est pour moi le plus gros problème de ce projet, qui semble destiner à faire du profit sur le travail d'autres personnes, et ce sans leur accord.
Du fait que leur travail se trouverait sur une application séparée d'Ao3, les auteur.ices ne seraient pas en mesure de recevoir des retours sur leur travail. Ni commentaires, ni bookmarks, ni kudos, pas même une simple vue.
D'après les propos de la créatrice, il serait possible de demander de faire retirer sa fic... en donnant des informations personnelles afin de prouver que l'on en est bien propriétaire, dont votre adresse, numéro de téléphone et adresse mail.
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Je ne crois pas devoir expliquer pourquoi donner des informations de ce genre à des gens qui, on l'a établi, ne semblent pas se soucier du consentement d'autrui.
Quid des auteur.ices décédé.es ? Quid des personnes ayant cessé d'utiliser Ao3 ? Quid de celles qui fréquentent peu les réseaux sociaux, et pourraient ne pas avoir vu passer l'information ? Comment feront ces personnes pour défendre leur travail ?
Ce procédé est malhonnête et irrespectueux. Ce n'est pas un projet au service de la communauté, puisqu'il ne profite pas aux auteur.ices.
Un deuxième axe qu'il me semble important de mentionner est le fait que le logiciel qui transformerait le texte des fics en média audio incorpore certainement de l'intelligence artificielle partiellement ou totalement. La créatrice affirme le contraire, mais de sérieux doutes ont été émis à ce sujet.
Dans une communauté qui tourne autour de la volonté des fans à créer de leur propres mains, je ne pense pas que l'IA mérite notre attention.
Que faire ?
Tout d'abord, ne pas paniquer. Il ne sert à rien de courir supprimer toutes ses fics et de s'enfermer dans une caverne tel un ermite parce le monde est trop décevant. Ce projet, même s'il est d'une éthique douteuse, reste un simple projet, qui n'a pas encore été matérialisé.
Si vous avez peur que vos fics se retrouvent sur cette application, il existe un moyen de défense : Verrouillez vos fics. Elles ne seront plus accessibles qu'aux utilisateur.ices possédant un compte Ao3, ce qui réduit grandement le risque que vos fanfictions soient collectées par des bots, ce qui sera probablement la méthode de collecte de ce projet.
(Si vous souhaitez un tutoriel à ce sujet, n'hésitez pas à envoyer un message ou une question à ce blog)
Si vous tenez à supprimer vos fics, assurez-vous d'en garder une sauvegarde. Rien ne vous interdit de le reposter à un moment plus propice, et il serait dommage de priver le monde de tant de belles œuvres.
Si l'idée de fanfictions audio vous tente et que vous souhaiteriez en faire l'expérience de manière éthique, je vous encourage à vous pencher sur le travail de la communauté des podficcers, des fans qui se spécialisent dans l'enregistrement de version audio de fanfics, avec le consentement des auteur.ices. Vous pouvez les trouver sur Ao3 via le tag Podfic et sur Tumblr sous le tag du même nom.
Portez-vous bien, et à bientôt pour des sujets plus agréables !
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rollinginthedeep-swan · 6 months
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En ajout au texte important de @crococookie juste ici
Je voulais reblog et poster à la suite mais mon texte est vraiment trop long.
Poster ça, ça m'angoisse énormément. J'ai toujours peur qu'on m'interprète de travers. J'ai donc hésité longuement mais j'ai envie de rebloguer parce que même si j'ai pas été diag de troubles dys liés à la lecture et l'écriture (ce qui ne veut pas dire que je n'en ai pas, l'errance médicale, tout ça) je suis terriblement étourdie. Et si je me décide à l'écrire, c'est parce que l'an dernier, une personne a osé me demander de me relire et de corriger mes fautes, sur un paragraphe que j'ai écris rapidement en étant au téléphone un jour où j'étais sollicitée toutes les deux minutes. Avec les troubles qui me sont propres, mon vécu et j'en passe, j'ai mis du temps à me réconcilier avec l'orthographe et la grammaire. Le scolaire ne m'a pas aidé (du tout).
C'est le RP qui l'a fait.
Attention, il n'y a aucune agressivité dans ce poste (je pense que maintenant vous avez assez pigé mon mood de meuf pacifiste qui lève le drapeau blanc et veut qu'une chose : LA PAIX BORDEL.) , je partage juste mon expérience et mes conseils sur le sujet des fautes et du rapport à L'orthographe dans la commu RP. C'est aussi un petit appel à la bienveillance et à une direction vers un comportement plus chill envers vos partenaires qui font des fautes.
L'autre raison qui me pousse à poster, c'est parce qu'à la minute où j'écris je n'arrête pas de me relire. Et ça montre bien que je suis encore marquée par mes débuts dans la sphère du RP.
J'aimerais beaucoup vous dire que c'est exclusivement grâce à la bienveillance d’autrui, mais ce serait mentir. En quinze ans et surtout au début, j'ai eu le droit à des commentaires assez (trop) désagréables. C'est la capacité des autres à ne rien laisser passer qui a heurté ma confiance en moi et qui m'a donné l'impulsion de ne plus leur donner aucuns prétextes pour me reprendre. Et vous savez, je ne leur en veux même pas, à ces personnes. Je leur pardonne même assez facilement et je suis persuadée qu'iels ne sont pas tous-tes malveillant-e-s. L'humain est plus complexe que ça.
Ce qui m'a poussé à ne plus vouloir faire de fautes, c'est mon foutu caractère et ma tendance à vouloir contredire les personnes qui ne laissent rien passer. (Parfois ça peut être un problème, d'autre, un vrai coup de pied aux fesses pour faire face aux détracteurs. Et là, notez toujours qu'on parle de mon expérience personnelle avec mon profil à moi. Je ne parle pas pour tout le monde. Pitié, ne demandez pas à une personne dys de 'faire un effort', c'est validiste et grossier. Et si vous avez du mal, on a beaucoup de personnes concernées qui sont là pour donner des sources et aider à comprendre.)
Je fais encore des fautes d'étourderie aujourd'hui. Je vous raconte pas le nombre de fois où j'édite des postes parce que j'ai vu une boulette d'étourderie. (Rien que ce matin j'ai dû éditer un petit poste d'intrigue parce que j'ai réalisé que j'avais oublié un fuc$$ng mot pour que ma phrase fasse sens.) Y a un truc que je peux conseiller pour les gens maniaques de l'orthographe (dont je fais partie, faut pas croire) : S'il-vous-plaît (vraiment, je demande gentiment) attendez qu'on vous demande ? (En supposant que ça puisse arriver.) C'est frustrant et même blessant. Et si on vous demande : Ne pas jouer les profs avec des formules telles que : 'Ceci ne s'écrit pas comme ça, mais comme ci'. Vous partez ainsi du principe qu'on ne sait pas. Et même si c'est le cas, n'oubliez pas que les troubles dys existent et que vous ne connaissez ni la personne ni son vécu. Derrière l'écran, c'est toujours un être humain.
J'rp par exemple avec une personne Dys qui me pond les textes les plus élaborés et qui passe un temps fou à se relire. Chaque profil est différent. N'oubliez pas qu'on est aussi souvent crevé-e-s de nos semaines et que même s'il y a des gens qui pondent des textes sans fautes hyper facilement, c'est pas le cas de tout le monde et derrière, on peut se retrouver à être nombreux-ses à complexer, à vouloir poster des trucs parfaits parce qu'on a encore le souvenirs de ces remarques qu'on ne veut plus affronter. Même si derrière, on a les partenaires les plus adorables et les moins regardants de la sphère. Ça peut gâcher le plaisir d'écrire, alors que le RP est un loisir. Pas un job. On ne va pas publier nos écrits, on le fait pour se changer les idées et s'amuser. Un rappel constant de nos étourderie ne va rien arranger, ça ne va rien changer. Même si vous pensez sincèrement bien faire, et quand c'est le cas - parce qu'on ne peut pas espérer que ça le sera toujours malheureusement - merci de vouloir aider, même si c'est maladroitement. (Mais écoutez les conseils svp)
Bref, restons indulgent-e-s et humain-e-s, on a une passion commune vraiment géniale. <3
Si vous avez tout lu, merci d'avoir pris le temps pour ce pavé qui complète un poste à lire absolument !
Des bises,
Swan (qui va lutter contre l'envie de relire et éditer ce texte pour la cinquantième fois.)
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crococookie · 7 months
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Tips pour RP avec des personnages ayant des troubles dys.
Je parle surtout avec mon vécu et les difficultés que je retrouve au quotidien.
(Mon texte ne sera pas corrigé via un correcteur en ligne. Risque de faute.)
• Éviter un maximum d'utiliser des polices avec des empâtement.
C'est aussi agréable pour nous que lire un pavé barré. (Lexend de Google font... Just perfect).
• Prenez le temps de séparer les lignes de dialogue du reste du texte.
Changer de couleur ne suffit vraiment pas. Sautez au moins une lignes avant et après. Surtout si l'espacement des lignes est petite.
• l'écriture inclusive c'est ok, mais pas pour tout. Le mélange de mots (celleux, createurices etc...) c'est juste une difficulté en plus pour nous.
Comme certains point médian ! Au mieux, demandez a la personne avec qui vous jouez si iel préfère le •, le . ou encore le bon vieux - (mon pref ! Celui qui le convient me mieux). Et le TOP DU TOP ! Utilisez des mots neutres, tout simplement. Genre "Les hommes et les femmes" dire "les personnes" aux lieux de celleux. (C'est mieux si l'écriture inclusive était vraiment inclusive pour un max de gens).
• Essayez d'être assez bref.
Genre ça sert vraiment a rien de broder le texte en rajoutant des mots inutiles pour dire que Eugène mange une tranche de pain de mie. Joliment le décrire, oui. En faire une tonne, non. Pas besoin de remonter jusqu'à la pouce du blé.
• Si on répond a côté de la plaque, nous le dire avec bienveillance.
Il arrive (souvent) qu'on lisent mal une phrase, ce qui peut changer le sens de la réponse qu'on nous a envoyé. Ce n'est pas un manque d'attention mais juste que parfois, certains mots se changent en d'autre mots, ce qui est problématique pour la conpréhension su texte.
• Écrire et surtout lire nous prend plus de temps et plus d'énergie.
Nous pressez ne sert a rien a part nous mettre mal. Quand le texte devant vos yeux, même avec la plus grande concentration au monde, est illisible (fatigue, stresse...). Bah on ne peut rien y faire.
• Nous rattraper sur nos fautes sans notre accord peut être... Extrêmement vexant et baisser notres estimes de nous.
On sait qu'on fait des fautes, et même avec une super explication on l'a refera au premier coup de fatigue. Écrire est surtout un plaisir, on n'as pas forcément envie d'avoir un court de français, même si de base le geste était bienveillant.
• Surtout... SURTOUT laissez nous une chance.
Personnellement j'ai souvent ressenti de la honte a cause de ça. Je fais des fautes, je passe mes RP au correcteur orthographique, mais certaines fautes restes.
Bien-sûr, chaque dys est unique. Certaines choses dites ici ne sont pas valable pour tout le monde. C'est surtout mon vécu et ce que j'ai pu entendre en parlant avec d'autre dys rpgiste (trop rare malheureusement, souvent pas honte).
C'est pour ça que le mieux à faire, c'est d'en parler en amont. A vous, personnes dys, de prévenir en cas de problème. Et a vous, les autres, d'être cool pour que tout le monde puisse partager un passe temps/passion dans la joie et la bonne humeur.
Les dys (et autres), n'ayez pas honte. Ce n'est pas parce que votre écriture n'est pas parfaite que vous écrivez mal. Nous ne sommes pas bête, pas fainéants, et non, nos troubles dys ne sont pas une "simple excuse pour mal écrire" mais bien un handicap.
N'hésitez pas a rebloguer si vous voulez rajouter quelque chose (surtout des petits conseils) ou a tout simplement le dire en commentaire.
Et soyez bienveillant, il y a déjà trop de colère en ce moment.
La bise ! ♥
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rown-cheese · 9 months
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Mes lectures de 2024! ✧⁠◝⁠(⁠⁰⁠▿⁠⁰⁠)⁠◜⁠✧
Quelque chose que j'ai très fort envie de faire pour la nouvelle année, c'est répertorier toutes mes lectures que je ferai cette année (romans, BDs, etc...)! Rien qu'aujourd'hui, j'ai pu lire deux petites BDs et finir un tout petit roman (je n'aurai pas tout le temps ce rythme) mais il est tard, ahah, alors je pense que j'en parlerai demain, parce que ça me permettra de faire tout ça correctement, eheh
Je ne sais pas trop comment parler de mes lectures pour l'année à venir alors si vous avez un conseil, je prends, mais je vais au moins faire mes présentations comme ceci:
Nom du livre et de l'auteurice
Photo du livre
Résumé du livre avec mes mots à moi
Prévention sur les CW/TW potentiels qui m'ont marqué, et si le livre prend la peine de nous prévenir pour ça
Commentaire personnel sur le livre et à quel point je l'ai aimé ou non, et si je le recommande ou non
Aussi! Je me suis mis pour objectif de lire 35 livres cette année, donc un rythme de 2-3 livres par mois alors voyons si j'y arrive!
Et puis, si vous voulez me conseiller un livre, faites donc mais je ne confirme en rien de si/quand je vais l'acheter et de quand je le lirai, ahah :'))
J'espère que je pourrai réussir à vous intéresser avec ma future liste, et peut-être même que je vous donnerai envie de découvrir certains d'entre eux!
(je ne crois pas avoir le savoir infini, bien sûr, et ce n'est pas parce que j'ai un avis sur un livre qu'il est universel, vous pouvez ne pas être d'accord, bien sûr)
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empiredesimparte · 10 months
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Charlemagne: Glad to hear your honeymoon went well. Napoléon V: Thank you, Sir. It was a real change of scenery. We're delighted to be back in Paris. Charlemagne: Sire.
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Napoléon V: I've read the files you left with me. Charlemagne: Do you have any comments to make?
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Napoléon V: I notice that there are anti-monarchist movements all over the French territories. Charlemagne: There always will be, Sire. That's what democracy is all about. Napoléon V: Stop your provocations, Prime Minister. I intend to extend the duration of the state of emergency for attacks on French territory: our armed forces must take the time to analyze the situation before my coronation.
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Charlemagne: That's a good idea, Your Majesty. The event is imminent and the danger still exists. Napoléon V: In the meantime, I'll keep a few commitments in Europesim and abroad. Charlemagne: Your father fought long and hard to march on French soil again; you should, Sire, follow his example.
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Napoléon V: I'll be renewing my ties with the French soon during and after my coronation. I'll discuss all this with my personal chief of staff. Charlemagne: As you wish, Your Majesty.
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⚜ Le Cabinet Noir | Paris, 18 Messidor An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
His Imperial Majesty, Emperor Napoléon V of the French, today received the Prime Minister Charlemagne de Maupas in audience at the Tuileries Palace. The two men agree to extend the state of emergency in Francesim, which gives more executive powers to the government and allows military forces to be deployed in all institutions.
⚜ Traduction française
Charlemagne : Heureux d'apprendre que votre lune de miel se soit bien déroulée. Napoléon V : Merci Monsieur. Ce fut très dépaysant. Nous sommes tout de même ravis de retrouver Paris. Charlemagne : J'en suis enchanté, Sire.
Napoléon V : J'ai pris connaissance des dossiers que vous m'avez laissé. Charlemagne : Avez-vous des commentaires à formuler ?
Napoléon V : Je remarque qu'il existe un peu partout des mouvements anti-monarchistes dans les territoires français. Charlemagne : Il y en aura toujours, Sire. C'est cela, la démocratie. Napoléon V : Arrêtez vos provocations, Premier Ministre. Je compte allonger la durée de l'état d'urgence attentat sur le territoire national : nos forces armées doivent prendre le temps d'analyser la situation avant mon sacre.
Charlemagne : C'est une bonne idée, Votre Majesté. L'événement est imminent et le danger toujours existant. Napoléon V : D'ici là, je tiendrai quelques engagements en Europesim et à l'étranger. Charlemagne : Il ne faudrait pas que cela suppose que vous craignez les Français. Votre père s'est longtemps battu pour marcher à nouveau sur le sol français ; vous devriez, Sire, suivre son exemple.
Napoléon V : Je ne crains rien, je renouerai bientôt avec les Français après mon couronnement. Je discuterai de tout cela avec mon chef d'état major personnel. Charlemagne : Comme vous le souhaitez, Votre Majesté.
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sh0esuke · 1 month
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" Puppy Love "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Arlong The Saw.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Malgré les actes cruels qu'il commettait depuis son retour à la surface, Arlong avait le cœur tendre. Il le cachait, brisé et piétiné par le passé. Cependant, en sa présence, sous son regard d'une innocence pure, il ne savait plus comment taper du pied et s'affirmer. Elle, son amie de longue date, la fille qui avait fait chavirer son cœur et qui continuait de le mener par le bout du nez, malgré les années et les monstruosités dont il avait été témoin.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟏𝟔𝟓.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Sous les yeux pétillants de Arlong, la jolie sirène gloussa. Elle camouflait son sourire derrière sa main, les yeux clos, et son cœur battant à tout rompre. Elle en sentit chacune de ses palpitations. Arlong, quant à lui, avait les pieds plongés dans l'eau, il était assis sur le bord de sa piscine personnelle donnant accès à la mer, la sirène devant lui étant dans l'incapacité de le rejoindre sur la terre ferme.
Les autres hommes poissons habitants Arlong Park, compagnons et amis de Arlong, avaient depuis longtemps disparu, séparés en plusieurs groupes qui s'en étaient allés récolter leurs dûs dans les villages de l'île Conomi. Une fois le bâtiment vidé, Arlong avait rejoint la sirène et, sans s'en être rendu compte, une heure et demie s'était déjà écoulée. Trop occupé par son rire et son savoir enthousiaste, l'homme poisson requin scie en aurait presque oublié la rage qu'il portait envers le monde des hommes, et, ainsi, il ne songeait qu'à elle. Cela fut la raison pour laquelle Arlong regardait la sirène, ou plutôt : la raison pour laquelle il ne l'a quittait plus du regard.
« Tu es tellement drôle, Arlong. » miaula la demoiselle, des étoiles dans les yeux. « Les garçons dans le district des hommes poissons ne sont pas comme toi. Ils sont ennuyants et si faibles... Il n'y a que toi qui sait te montrer aussi parfait. »
L'ego de Arlong s'en retrouva boosté, l'homme poisson bomba le torse, un sourire carnassier dessiné sur ses lèvres humides. La jolie sirène, elle, occupée à l'admirer, s'accouda contre le bord de la piscine. Elle reposa sa mâchoire contre la paume de sa main et fit parcourir ses pupilles qui brillaient d'admiration sur le splendide visage de Arlong. Elle se mordit la lèvre inférieure à la vue de son fier torse marqué au fer rouge, aucunement tâché par des cicatrices. Car Arlong n'était pas le type d'homme à tomber au combat, il n'était pas le type de garçon à essuyer des coups, il était celui qui les assénait.
« Le district des hommes poissons, ça me rappelle des souvenirs. »
« Oh, tu devrais y revenir un de ces jours ! » s'exclama la sirène. « Je suis sûre que tout le monde serait ravi de te voir ! »
« Après tout ce temps ? J'en doute. »
Arlong déposa une main sur le crâne de la demoiselle, sa paume était si grande et ses doigts si longs que le tout vint presque recouvrir sa tête. La jeune femme gloussa à ce geste, sa queue tressaillit et son cœur bondit dans sa poitrine. Elle serra ses poignets contre sa poitrine. Ses yeux donnèrent l'impression de s'être changés en cœur, Arlong pensa même qu'elle s'était métamorphosée en roc. Cependant, l'intensité avec laquelle elle le regardait lui certifiait le contraire.
« Tu seras accueilli en héros, même le roi Neptune devrait se déplacer ! » affirma-t-elle. « Tu as fait tellement pour nous protéger, jamais nous ne pourrons assez t'être reconnaissant. »
Arlong grinça des dents, il retira sa main d'elle et la plaça ensuite sur le bord de la piscine. Il savait que son admiration avait un côté pervers. L'obsession qu'elle lui vouait était malsaine, Arlong n'était pas quelqu'un de bien. Arlong prenait plaisir à torturer enfants et femmes. Il en avait même tués. Aveuglé par son désir de vengeance, il se savait monstre et non héros. Cependant, être vu de cette manière par la fille dont il était épris depuis l'enfance lui faisait de l'effet. Aussi innocente que splendide, elle lui vouait un amour aveugle auquel il répondait par les mêmes symptômes. Arlong voulait juste profiter de ça, encore un peu plus longtemps, il voulait qu'elle continue à le regarder avec ces gros yeux globuleux semblables à des cœurs qui ne battaient rien que pour lui.
C'était égoïste, mais Arlong l'était, égoïste. Qui avait-il de mal, alors, à profiter de la situation ? C'était tout ce dont il avait toujours rêvé. Il était servi.
« T'es bien gentille, mais ça fait longtemps que l'équipage de Fisher Tiger n'est plus vu en héro. Il faut te faire une raison. »
« Je suis sûre qu'un jour on vous rendra justice. »
Glissant la paume de sa main sur sa joue, la demoiselle pencha la tête sur le côté afin d'avoir accès au profil de Arlong. Elle lui sourit de manière stupide, toujours avec ce regard intense et accompagnée par les battements rythmés de son organe thoracique. Arlong en rougit. Il détourna le regard et se racla la gorge.
« Tu resteras toujours mon héros, moi. » avoua-t-elle. « Après tout c'est toi qui m'as sauvée la vie lorsque ces stupides humains ont cherché à m'enlever. Je m'en souviens comme si c'était hier. »
De cet acte charitable, en était née une obsession. Ce fut une journée banale où un Arlong très jeune, enfant, avait vu la jolie sirène, plus jeune de quelques années que lui, se faire emprisonnée par un groupe de pirates. Elle s'était débattue aussi fort qu'elle avait pu. Elle s'était souvenue de ce que ses parents lui avaient dit à propos des humains, de leur dangerosité et de leur avidité, alors, lorsqu'elle s'était retrouvée face à eux, elle avait immédiatement cherché à s'enfuir. Et si Arlong ne les avait pas sauvagement assassinés ce jour là, elle serait sûrement morte aux mains d'un dragon céleste ou utilisée comme décoration dans un aquarium.
Arlong était devenu bien plus que son sauveur, il était devenu son Dieu.
« C'est rien. J'allais pas les laisser t'emmener. »
Émue, la sirène déposa sa main gauche sur la sienne. De l'eau gouttait de ses doigts, la main de Arlong finit aussi trempée que la sienne. La demoiselle profita de son silence pour entremêler ses doigts aux siens. Arlong déglutit. Il jeta un coup d'œil à sa main et serra ses doigts entre les siens tout en relevant son regard dans le sien. Ce contact physique les reliant fit tambouriner leur deux cœurs à vive allure, Arlong déglutit de nouveau tandis que la jolie jeune sirène, elle, fut incapable de respirer autre chose que son odeur et de contempler autre chose que son faciès.
« Tu as un si grand cœur, pas étonnant que tu sois arrivé à faire tout ça. » songea-t-elle en faisant référence à Arlong Park. « Tu me garderas avec toi lorsque tu auras conquis tout East Blue, n'est-ce pas ? »
« Pourquoi pas. » répondit-il.
« Oh, oh ! Comme c'est excitant ! J'ai hâte de voir à quoi ressemble le reste du monde ! » elle s'enthousiasma. « Est-ce que tu crois qu'il y a des parcs d'attraction comme sur l'archipel Sabaody ? J'aimerais tous les essayer ! »
Arlong sentit ses doigts s'accrocher aux siens, la sirène était si heureuse à l'idée d'enfin pouvoir profiter de la terre ferme qu'elle fut incapable de contrôler sa force. C'était avec des étoiles dans les yeux qu'elle déblatérait son désir de profiter des constructions humaines, et Arlong l'écoutait attentivement. Il tendait l'oreille, hochant la tête lorsqu'elle citait le grand huit, les auto-tamponneuses, la nourriture à base de sucre; tels que la barbe à papa ou la pomme d'amour, et se rapprochait d'elle lorsqu'elle tirait avidement sur son avant-bras de sa main libre.
« C'est réel, Arlong ? Tu vas vraiment faire tout ça ? »
« C'est que justice. » répondit-il.
« C'est fantastique. Tu es fantastique ! »
Elle avait suffisamment approché l'homme poisson requin scie pour que, finalement, elle puisse embrasser son menton. La sirène l'avait attrapé, puis elle remontait sa paire de lèvres jusqu'à la commissure de sa bouche. Et enfin, sa joue. Elle baisa cette partie avec des yeux clos et sa peau poisseuse toute chaude. Arlong rougit face à ce geste. Il la regarda avec surprise, serra sa prise sur sa main un peu trop fort, sentit ses yeux s'écarquiller et son souffle se couper. C'était agréable. Son odeur, sa peau, ses doigts, ses lèvres, tout ce qui se passait autour d'eux, et ce silence aussi... Arlong et la sirène étaient, à s'y méprendre, seuls au monde. Il n'y avait qu'elle et l'amour de sa vie. Lui et la fille de ses rêves.
Et alors qu'elle se recula de manière brusque, le regard fuyant à cause de son geste spontané qu'elle regretta subitement, elle apportait ses mains hésitantes à sa poitrine, et détournait le regard. Ce fut avec une certaine honte qu'elle regarda partout sauf dans la direction de Arlong.
« Pardon. Je n'aurais pas dû. »
« Non. Non, c'est rien. »
Arlong avait avoué cela tout en apportant ses doigts à sa mâchoire, il les avaient ensuite remontés sur sa joue. Sa joue tachée par son rouge à lèvres, sa joue toute rosie par un joli sentiment d'embarras qui s'emparait de lui. Les pupilles de Arlong tremblèrent. L'homme poisson tremblait de tout son être à vrai dire, son cœur fou en était à coup sûr le responsable. Et tandis que la demoiselle fut incapable de regarder son premier amour dans les yeux, ce dernier, quant à lui, fut incapable de cesser de la contempler.
« Je suis heureux de savoir que tu as confiance en moi. »
Arlong déposa de nouveau sa main sur le sommet de son crâne, il força la sirène à planter ses yeux dans les siens et refusa de la laisser partir.
« Tu plaisantes ? » s'étonna celle-ci. « Bien sûr que j'ai confiance en toi, Arlong ! Tu es le futur héros de l'île des hommes poissons, un grand avenir t'es destiné. Et je n'ai pas besoin de voir dans le futur pour le savoir. »
Enroulant ses doigts autour de son poignet, la jeune femme apporta la main de Arlong entre ses seins.
« Mon cœur, c'est lui qui me le dit. Et j'ai autant confiance en lui que toi. »
Un sourire carnassier prit place sur les lèvres de Arlong.
« J'en doute pas. Après tout, y'a qu'un pirate de ma trempe qui régnera sur les quatre mers. C'est mon destin. »
À ces mots, la sirène frémit.
« Oui, c'est ça. »
Apportant le dos de ses doigts contre sa joue, la jolie demoiselle sourit plus fort. Elle sentit le pouce de Arlong caresser sa joue, elle zieuta sa main d'ici et resserra sa prise sur son poignet dans l'optique de le faire continuer. Elle ne voulait plus le lâcher. Et ce n'était pas comme si Arlong désirait le contraire. Il la toisait de toute sa hauteur, contemplant l'état docile et amoureux sans lequel elle se trouvait. Et il la trouva splendide, il la trouva si belle qu'il en terminait bouche bée.
« Il n'y a que toi qui puisse le faire, Arlong. Il n'y a que toi qui puisse tous nous sauver... »
Et ce fut sur ces mots rempli d'espoir, que la demoiselle ferma les yeux et poussa un long soupir. Arlong, quant à lui, resta muré dans un silence dont la jolie sirène ne compris point le sens. Mais il fut si réconfortant qu'elle y porta peu d'importance.
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equipe · 2 months
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La mention "Publier vers un autre blog ou une communauté" n'apparaît plus systématiquement lors de la rédaction d'un nouveau billet.
Pendant un bref laps de temps, les utilisateurs non connectés ne pouvaient pas consulter les communautés publiques.
Correction d'un bug qui pouvait empêcher les utilisateurs d'ignorer les notifications relatives aux communautés durant une courte période.
La fenêtre d'invitation aux communautés a été améliorée en clarifiant notamment ses indications.
Les textes de quelques notifications Push sont maintenant plus explicites.
Dans la section Trafic, l'avatar présent sur des activités combinées est mieux positionné pour améliorer la lisibilité de l'ensemble.
🚧 En cours
Pas d'incident à signaler.
🌱 Prochainement
Les administrateurs des communautés seront prochainement en mesure d'exclure complètement des membres de ces dernières, s'ils le souhaitent.
Vous rencontrez un problème ? Consultez les problèmes connus ou écrivez-nous (en anglais) et nous reviendrons vers vous aussi vite que possible.
Vous souhaitez nous faire part de vos commentaires ? Rendez-nous visite sur le blog Work in Progress et participez aux discussions de la Communauté (en anglais).
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claudehenrion · 3 months
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Des escouades de pieds nickelés lancés à l'assaut de ruines
J'ai eu la chance, ces jours derniers, en lisant un de mes ''quotidiens-du-matin'', de tomber sur deux textes que j'ai trouvés excellents, au point de m'en inspirer plus que largement et de soumettre des parties de leur contenu à votre curiosité, comme nous le faisons de temps en temps. L'un d'entre eux est signé par Vincent Trémollet de Villers et l'autre par Arnaud Benedetti, tous deux chroniqueurs au Figaro : la finesse de leurs analyses comme les mots choisis m'ont semblé fournir une description particulièrement juste du drame potentiel que traverse notre France.
Non seulement, affirme le premier, la politique n'est pas un jeu, mais c'est une matière sensible et dangereuse, qui peut parfois exploser dans des violences imprévisibles et inattendues. Une décision impulsive peut déchaîner des dégâts en chaîne, sans que personne ne puisse arrêter la mécanique de destruction lancée. Nous y sommes. Des ministres ''zombifiés'', des députés dépités, des conseillers désemparés : la majorité avance, exsangue, vers une bataille qu'elle ne s'attendait pas à mener, pour laquelle elle n'est pas prête, et qu'elle a de fortes chances de perdre.
A Gauche, l'esprit manœuvrier des trotskystes l'emporte sur la morale la plus élémentaire : oubliées les déclarations assassines des Insoumis sur Israël et sur Gaza, et oublié aussi l'antisémitisme d'atmosphère qui entache la Gauche radicale... Le nouveau ''Front populaire'' ne s'encombre pas de principes, il veut un maximum de circonscriptions. C'est le génie de la soi-disant ''Gauche morale'' : faire des remontrances à la terre entière, en piétinant allègrement les pseudo-vertus qu'elle professe. Mais il y a longtemps qu'il est de notoriété publique que la Gauche sait, toute honte bue, se regrouper pour se présenter ''unie'' (que ne fait-on dire aux mots !) lors des ''distribution des sièges''...
A Droite, à l'inverse, ce sont les retrouvailles avec les grandes déclarations et les querelles microscopiques, les accords signés sur un coin de table et les manifestes des caciques-à-plumes... Après des années de silence, Laurent Wauquiez s'auto-extrait de sa tanière pour se précipiter dans une bataille partisane d'arrière garde, qui est de toute façon perdue d'avance, Après des mois de présidence, Eric Ciotti scelle une alliance dans la logique des choses et de son histoire personnelle, que rejettent les galonnés mais qui enchante une majorité des électeurs et des militants... qui l'espéraient depuis longtemps. LR n'est plus qu'un petit groupe de notables déconnectés du réel. Ce mouvement, analyse Arnaud Benedetti, s'est fracturé de l'intérieur, s'encalminant dans une indécision prudente et s'immobilisant dans le vain espoir d'un rebond. Il agonise sous nos yeux, faute d'avoir choisi.
Au gouvernement, les ministres vont chercher des insultes hors sujet au plus profond d d'analogies paresseuses et absurdes : ''collaboration'' (sic ! Il faut ne pas savoir de quoi on parle, pour oser !) ''Munich'' ou ''fascisme'' (mêmes commentaires) pour dénoncer une clarification qu'Emmanuel Macron appelle depuis longtemps de ses vœux et que nous voyons se mettre en place ''en direct''. Les ''demi-habiles'' qui prétendent conseiller le chef de l'Etat se frottent les mains devant les premiers effets de cette folle décision (Raphaël Glucksmann humilié par une Gauche qui perd son honneur, et une Droite qui s'entre-déchire...), en refusant de voir que c'est eux qui sont les vraies victimes de cette partie de ''à qui perd, perd''. Il faut remonter à 1968 et à toutes ses folies pour trouver une crise d'une violence comparable, où le pire ne fait plus partie des ''impossibles''.
Le très problématique et encore plus improbable ''dépassement'' (ça veut dire quoi ?) soi-disant souhaité par Emmanuel Macron (qui ne voit là qu'un gadget pour affaiblir ses opposants !) rétrécit comme peau de chagrin, et le clivage ''Gauche-Droite'', dont il avait annoncé la fin puis proclamé le Requiem, renaît de ses cendres, mais sous une forme plus radicale et infiniment plus violente. La France, à cause de cette faute majeure, est en passe de se retrouver réduite à deux blocs solides et sauvagement hostiles l'un à l'autre, l'un sous la tutelle ombrageuse de Marine le Pen et l'autre, ballotté entre les ''plus-disants'', selon les impressions de vote plus ou moins utile ici ou là... entre lesquels coule sans direction le magma informe et ratatiné de ce qui ose encore se prétendre ''une majorité''... de plus en plus minoritaire !
En résumé, nous assistons à un face à face dans le grand bordel créé par cette décision absurde, entre, écrit Benedetti, le dernier des Mohicans (LR) qui continue à s'astreindre servilement à la ruse mitterrandienne (ruse en forme de piège vicelard, comme il l'était lui-même) du ''cordon sanitaire''... et une Gauche qui continue à se prétendre ''de gouvernement'' mais qui n'hésite pas, pour quelques sièges de plus, à s'allier avec des formations dont le degré de diabolisation (réelle, elle) est beaucoup plus nocif que celui –à peu près inexistant-- du Rassemblement national.
Le tout, au milieu d'un peuple français dont les quatre cinquièmes refusent d'écouter un seul mot de ce que tente de lui raconter un Président que plus de 80 % des électeurs rejettent, mais qui, confisquant la parole publique (pendant des heures d'ennui profond pour ceux qui n'ont pas tout de suite éteint leur récepteur), est le seul à n'avoir pas compris que, loin d'être une solution, c'est lui qui est ''LE'' problème......
H-Cl.
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amandav09 · 10 months
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Hello! Today I’m going to shout
Pour remettre les pendules à l’heure. Les gens écrivent ce qu'ils veulent. (Dans les limites légales) Mais de toute façon, chaque écrivain écrit celle qu'il veut avec les moyens qu'il veut, dans la langue qu'il veut. Maintenant, tous les gens qui n'aiment pas une histoire pour quelque raison que ce soit, il suffit de passer à une autre histoire et gardez vos commentaires de **** pour vous Vous sentez-vous intelligent d'écrire des commentaires qui peuvent être démoralisants et ne servir à rien ? Oui, ce message s'adresse à une personne en particulier. Je sais que tu t'en fous de mon message, comme tu t'en fous de toutes les autres personnes qui t'ont répondu et tu t'es amusé à te moquer
Moreover, if we had to make characters in their real behavior, they would never be with us On n'a pas besoin d'un esprit simple ici Maintenant ce message est pour le écrivain : Ne faites pas attention aux messages haineux, il y a toujours des gens qui aiment faire des conneries. Mais vous avez écrit de belles histoires qui vous plaisent et qui plaisent à beaucoup de gens. Vous n'êtes pas obligé de baisser vos normes d'écriture pour les gens qui s'en foutent. Les personnes qui n’aiment pas écrire d’histoires ne sont pas obligées de passer à une autre. Chacun a ses goûts, mais les messages démoralisants ne les placent pas sur un site de partage. Alors ceux qui n'aiment pas ça, font mieux et se taisent. Non en fait il faut juste la fermer. Une histoire est personnelle, écrite par des gens formidables, les gens n'ont pas le droit de critiquer
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21stdilema · 7 months
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Les effets manipulateurs des réseaux sociaux : comment s'en protéger ?
Introduction :
Les réseaux sociaux ont pris une place prépondérante dans nos vies, nous permettant de rester connectés en permanence avec nos proches, de partager nos expériences et de découvrir de nouvelles informations. Cependant, derrière ces écrans se cachent des effets manipulateurs qui peuvent avoir un impact néfaste sur notre bien-être et notre santé mentale. Dans cet article, nous allons explorer les différents mécanismes de manipulation utilisés sur les réseaux sociaux et vous donner des conseils pour vous en protéger.
1. La création d'une dépendance :
Les plateformes de réseaux sociaux sont conçues pour nous garder engagés et accrochés à nos écrans le plus longtemps possible. Des fonctionnalités telles que les notifications incessantes, les likes et les commentaires génèrent une gratification instantanée qui nous pousse à revenir régulièrement pour obtenir notre dose de validation sociale. Cette dépendance peut affecter notre productivité, nos relations personnelles et même notre estime de soi.
2. La manipulation de l'algorithme :
Les réseaux sociaux utilisent des algorithmes sophistiqués pour personnaliser notre expérience en ligne. Cependant, ces algorithmes sont également utilisés pour manipuler nos comportements et nos opinions. En fonction de nos interactions passées, les plateformes nous présentent du contenu ciblé qui renforce nos croyances existantes et nous enferme dans des bulles de filtrage. Cela peut nous pousser à adopter des points de vue extrêmes et à polariser notre vision du monde.
3. L'influence des influenceurs :
Les influenceurs sur les réseaux sociaux ont un pouvoir considérable sur leurs abonnés. Leurs recommandations, leurs modes de vie idéalisés et leurs produits sponsorisés peuvent nous pousser à prendre des décisions basées sur l'envie et la comparaison sociale. Il est important de développer une conscience critique et de ne pas se laisser influencer aveuglément par ces personnalités en ligne.
4. Stratégies pour se protéger :
Pour se protéger des effets manipulateurs des réseaux sociaux, il est essentiel de prendre certaines mesures. Tout d'abord, il est recommandé de limiter le temps passé sur les réseaux sociaux et de définir des moments précis pour les consulter. Ensuite, il est important de diversifier nos sources d'information et de suivre des comptes qui présentent des points de vue différents. Enfin, il est crucial de développer une conscience critique et de remettre en question les informations que nous trouvons en ligne.
Conclusion :
Les réseaux sociaux peuvent être des outils puissants pour rester connectés et partager des moments précieux. Cependant, il est essentiel de prendre conscience des effets manipulateurs et néfastes qu'ils peuvent avoir sur notre bien-être mental. En suivant les conseils de cet article, vous serez en mesure de vous protéger et de profiter pleinement d'Internet tout en préservant votre santé mentale
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souvenirsdesmercier · 1 month
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Quelques extraits d'un récit que j'ai toujours adoré.
Christine a 36 ans. Elle reprend, à Ste Marie, ses études interrompues dix-huit ans plus tôt. Elle y sera soumise au même régime que ses condisciples plus jeunes.
A few extracts from a story I've always loved
Christine is 36 years old. She resumed her studies at Ste Marie, having interrupted them eighteen years earlier. She will be subject to the same regime as her younger classmates.
"Ma belle-mère ne me faisait même pas confiance, comme souvent. Étant en quelque sorte habituée des lieux, je savais que les tenues pour Ste-Marie faisaient partie du rayon enfants. Renseignements pris et confirmés par une employée du magasin, je suivis ma belle-mère jusqu’au rayon enfants. Ma belle-mère s’adressa directement à la vendeuse du rayon, une femme à qui j’aurais donné un peu plus que la quarantaine:
– Bonjour, c’est pour ma belle-fille… Il lui faut la totale pour Ste-Marie…
– Certainement Madame, lui répondit la commise. Nous avons l’habitude des grandes élèves…
Évaluant ma taille et sans même me la demander, la vendeuse prit deux jupes et les confia à ma belle-mère.
– Allez les lui faire essayer… Je vous amène les chemisiers.
J’emboîtais le pas de ma belle-mère jusqu’aux cabines d’essayage. À ce rayon, elles étaient beaucoup plus simples et moins intimes qu’au rayon mode féminine. Plutôt que des portes avec loquet, un simple rideau fermait chaque box à mi-hauteur. Heureusement en cette période de vacances, le rayon enfants était quasiment désert et les cabines l’étaient tout autant. Ma belle-mère entra avec moi dans la cabine et entreprit de me déboutonner la jupe, chose que je pouvais faire moi-même.
– Laissez-moi faire Christine, me dit-elle.
Rapidement, elle fit glisser ma jupe et me l’ôta.
– C’est une belle culotte que vous avez là, Christine ! Sobre, classique, Vraiment vous avez du goût. Mais je ne suis pas certaine qu’à Ste-Marie… Les Sœurs ne vous ont pas contrôlée ? Elles ne vous ont rien dit ?
– Si belle-maman. La Préfète de discipline a juste fait la remarque que les petites dentelles étaient de trop… mais guère plus…
Bon, nous verrons ça aussi, continua ma belle-mère. De toute façon, pour la vraie rentrée il vous faudra autre chose…
Lorsqu’elle vit mieux mes cuisses encore marquées, ma belle-mère ne put s’empêcher d’ajouter remarques et commentaires :
– Eh ben ! Ce sont de belles traces… Les Sœurs ne vous ont pas loupée…" [....]
La vendeuse tira autoritairement le rideau et laissa la cabine béante.
– Allons donc, dit-elle. Elle a encore sa culotte et son soutien-gorge…
Ma belle-mère fit comme un signe de dépit.
– Elle ne veut pas, elle préfère faire l’essai dessus…
– Madame ! continua la vendeuse, je n’ai pas de leçon ni de conseil à vous donner mais je trouve que votre belle-fille répond sur un ton désagréable et, personnellement, ça ne me plaît guère. Il y a des fessées qui se perdent, si vous voyez ce que je veux dire…
– Excusez-moi, répondit ma belle-mère. Je n’avais pas réalisé…
Ce disant ma belle-mère m’empoigna fermement, me ramena à elle, me fit pivoter d’un demi-tour et m’arracha le soutien-gorge plus qu’elle ne le dégrafa. Je me retrouvais les seins nus que je protégeai rapidement de mes deux mains. Je n’avais plus cette protection qu’auraient pu offrir mes mains pour le reste de mon corps et c’est par surprise que ma belle-mère me descendit prestement la culotte à mi-cuisses. Je n’eus que le temps de garder un bras devant mes seins et de placer mon autre main devant mon sexe qu’une première claque s’abattit. Je venais de pousser ma belle-mère à bout.
Seule ma mâchoire inférieure fut prise de tremblements et ma tête sembla hoqueter. Je pleurais silencieusement. La vendeuse esquissa un sourire complice à l’adresse de ma belle-mère, elle allait être en mesure de poursuivre l’essayage en toute sérénité. C’est même elle qui termina de me descendre la culotte et la fit passer.
– Christine ! S’il vous plaît, intima ma belle-mère en me tirant sur les bras et en me les plaçant croisés dans le dos.
– En plus elle se rase ! s’écria la vendeuse, visiblement peu emballée à la vue de mon pubis et du haut de ma vulve imberbe.[...]
"
Vous permettez, Madame ?
Et sans même attendre, elle devança la réponse, alliant le geste à la parole :
– Voilà ce que je fais aux filles qui sont insolentes et se permettent de répondre !
Elle me fessa de cinq bonnes claques sur les fesses"
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Plagier des idées.
(Je bloque les reblog de ce poste, néanmoins, on peut discuter en commentaires tant que c'est dans le respect.) Je vous préviens, les dramas sont interdits suite à ce poste. Je ne veux aucun buzz, aucun déchaînement, juste qu'on lise ce que j'ai à dire sur le sujet.
Ça fait 15 ans pratiquement que je fais du rpg et 22 que je graph. Ces mots que je pose ici, ça n'est jamais arrivé. Je tiens bien à le souligner, que vous vous rendiez bien compte. Je n'ai jamais posté ce genre de messages, affirmé ce que je vais affirmer. Je le précise par prévention pour toutes formes de Gaslighting potentiel. (Je vais clairement pas avoir la patience pour ça.) J'ai toujours laissé le bénéfice du doute (Bon en vrai j'estime que les gens n'ont en général aucun intérêt à s'inspirer de mon taf dans tous les cas, l'herbe est plus verte ailleurs) et, en toute franchise, je suis persuadée que moi-même, inconsciemment et avec ce fichu mécanisme d'adaptation, j'ai déjà sûrement involontairement reproduit des trucs. C'est un peu ma hantise personnelle car on a beau me dire que mon style et reconnaissable et unique, il n'en reste pas moins que je suis humaine, neuroA et qu'on se laisse tous-tes influencer par notre quotidien, ce qu'on voit et ce qui nous fait vibrer. Et parfois, on se trouve juste à avoir des goûts très similaires ou à choisir les mêmes types d'identité graphique. C'est comme ça, ça arrive. Ça fait même de belles rencontres, parfois.
Pourtant, il y a quelques mois, je me suis rendu compte qu'on m'avait plagié une idée. Certes, pas révolutionnaire, sûrement déjà utilisée dans d'autres domaines que les avatars 400x640, mais une idée chouette que j'étais hyper contente d'avoir réussi à mettre en place. Et contente de vous l'avoir montré. Je ne dirais pas quelle idée, je ne dirais pas quelle personne. (Et merci de ne pas me demander, de ne pas chercher, de ne pas faire je ne-sais-quoi sans mon consentement. Je ne tolère aucune forme de harcèlement.) Ce que je partage ici, c'est assez difficile comme ça. J'ai peur d'en parler alors même que je sais être légit. Mais on sait tous-tes que ce sujet - tabou partout dans le rpg et surtout dans le graphisme - déchaîne les passions. J'ai toujours voulu en rester très très loin de mon côté.
Et je le répète, je n'ai jamais affirmé une telle chose en plus d'une décennie de RPG. En deux, dans le graphisme. Les inspirations ici et là, ça arrive à tout le monde. J'en ai déjà parlé dans un poste sur l'art, d'ailleurs. Ici, c'est surtout dans la manière dont les choses se sont déroulés. Le timing, le combo, le tout. J'ai même eu beaucoup de mal à grapher durant quelques semaines après cette découverte. J'ai attendu très très longtemps avant d'écrire ce poste, j'ai sincèrement pris le temps de la réflexion pour ne rien écrire à chaud. Et parfois encore, mon manque de confiance me chuchote que je me suis fait des idées. Que c'est moi, et donc, complètement illogique. Mais ce soir, je lui colle une baffe, à ce moi belliqueux.
Honnêtement, que ça soit le cas ou pas, il n'y a qu'une conclusion à ça pour moi : Si vous voulez vraiment et volontairement reprendre une idée, que c'est complètement conscient, gros comme une verrue sur un pif, dites-le ? Si c'est inconscient, ça arrive ! Mais tout le processus ici fait que ça me paraît vraiment, vraiment improbable.
Citer une personne en mention, juste pour dire 'Voilà, je me suis volontairement inspiré-e d'untel-le', ça ne mange pas de pain et en vrai, ça fait même plaisir. C'est même pas honteux tant que la personne en face est d'accord avec ça. Si iel vous dit 'Écoute, je suis flâtté-e mais pas à l'aise avec ça', et bien vous aurez tenté et vous saurez que ça ne sera plus possible avec iel.
Ce poste va dormir, le temps que je me décide et que je sache si oui ou non, je vais le publier.
Si je vois que ça part en vrille, je supprimerais ce poste !
En attendant j'espère que vous passez un super été, et courage à celleux qui bossent sous cette chaleur. Hydratez-vous !
Edit : J'ai clairement attendu assez longtemps. Décidé de ne rien poster et puis, je ne sais pas, ce soir, je me dis que je suis légitime. Mais aussi que c'est normal d'être en rogne dans ce genre de situation et de taper un peu du poing. J'essaie juste de le faire de manière utile et constructive. J'espère que ce poste peut aider. Je me dis qu'il faut souligner certaines choses, mettre les points sur les i, parfois. Je déteste ça. Mais je n'arrive toujours pas à passer outre. Vraiment pas. Je ne prétend rien changer. Mais j'ai besoin de le dire "à voix haute'.
Bonne soirée,
Swan.
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birbliothecaire · 9 months
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J'ai un peu de capacités cérébrales mais pas complètement donc prenez ce que j'arrive à régurgiter, mais on suit les intrigues des nobles et jamais le monde qu'ils influencent. On sait que le duc de trémontaine est pris pour un idiot, et qu'il propose des choses ridicules à l'ordre du jour, mais du coup qu'est-ce qui est discuté, et à la place de quoi ? Il dit que lord Ferris appuie des lois qui vont dans son intérêt personnel, parce qu'il est quasi ruiné et que ses terres sont hypothéquées, mais est-ce que ça aide ou dessert la famille Talbert, dont on nous dit au début qu'elle est sur le point de sombrer dans la même situation ? L'intégrale situation de la famille Talbert n'est présentée que comme le fait du duc, sa volonté qui s'exerce sur eux en particulier, par le biais de ses avocats. Et c'est pas un problème si Katherine ne s'intéresse pas au droit, et donc ne sait pas si les avocats changent de stratégie au gré des changements de législation, mais le font-ils ? Katherine s'entraîne pour devenir le garde du duc, dont la personne est mise en danger par son habitude à énerver les autres lords. Quand est-ce qu'il est mis en danger dans le texte ? Au final, Katherine est bretteur pour elle-même. Et sur ce point, pas de réaction non plus, alors que ça semblait devenir le centre du récit : personne ne s'offusque d'une femme bretteur au-delà d'un commentaire alarmé, et personne ne s'offusque d'une femme défendant l'honneur bafoué d'une autre femme. On nous présente le monde comme sexiste, on nous présente la violence masculine comme systématique à défaut d'être systémique, mais aucune ruée dans les brancards à l'idée que les dames puissent se soustraire à l'autorité de leurs maris et de leurs pères, en engageant elles-mêmes des femmes pour défier leurs violeurs ? Rien ne vient après ça ? Katherine obtient juste de vivre dans sa belle maison avec son "assistant personnel" et son amie non mariée ? (Est-ce qu'elles habitent ensemble ? Ou juste se rendent visite ?) Désolée, c'est pas surprenant comme fin mais en même temps c'est trop bizarre comme fin.
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deesseashley · 1 year
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Tumblr media
25/09/2023 -- Photo 5 :
VOICI LA FOIRE AUX QUESTIONS ( Petit tuto : Pour me poser une question en commentaire, appuyez sur le bouton Note et ensuite l'espace commentaire s'ouvre à vous )
DERNIERE LIGNE DROITE AVANT LA FIN DE LA F.A.Q. !!!
Alors je vais vous dire ce que j'autorise et interdit juste après vous avoir expliquer le déroulement.
Vous avez jusqu'au lundi 9 octobre pour me poser vos questions, je limite à 3 questions par personnes pour éviter que ça prenne trop de place dans la journée du mercredi 11 octobre qui sera le jour où je pourrais répondre à tout le monde. Toutes les questions doivent obligatoirement être posées en COMMENTAIRE DE CETTE PUBLICATION, tout ce qui sera mit ailleurs ne sera pas comptabilisé. J'interdis aussi tout ce qui est question trop personnelles ( combien je gagne par mois ou mon adresse exacte si je dois donner un exemple ) et sexuelles. Je vous donne les thèmes de la FAQ si dessous
Vie personnelle
Vie professionnelle
Travail Artistique
Passion
Ce que j'aime et déteste ( dans le cinéma, la musique, jeux vidéos ect )
Projet futur
Et voilà, pensez bien à lire l'intégralité de la publication pour tout connaitre sur le fonctionnement.
Des bisous ^^
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elodieamet · 4 months
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Comment trouver l'inspiration quand on est constipé ?
Je me souviens de ces fois où je cherchais l’inspiration et combien je me prenais la tête, voire la torture que je m’infligeais. J’étais obsédée par la forme, par l’apparence de mes écrits, plus que par le contenu. D’ailleurs, je n’arrivais pas à trouver le contenu, le fond de la racine de ma source. Je galérais à entrer dans la profondeur et la densité de moi-même : je flottais à la surface. Y’a rien de pire comme sensation que la constipation créative, parce que tu te sens comme une merde inachevée. Tu sais qu’il n’existe aucun remède et que personne ne peut t’aider. 
J’étais en galère donc, puis je me suis mise spontanément à écrire à quelqu’un et là tout s’est débloqué. J’écrivais comme je parlais, des lettres fleuves qui circuitaient ma réflexion. Je m’adressais à une personne en particulier parce que j’avais BESOIN de cette connexion à l’autre, j’avais BESOIN de cette communication extraordinaire, à la fois profonde et ultra légère. Dès qu’une phrase me saoulait, BING je passais à autre chose. Je faisais du zapping littéraire dynamisant. J’incrustais aux écrits, des photos, des dessins et parfois même la lettre prenait corps en se changeant en colis avec plein de trucs dedans. Ma correspondante était une nana qui kiffait mes lettres et je kiffais de lui écrire. J’avais l’impression d’envoyer des missiles dès que j’appuyais sur ENVOYÉ. Je recevais en retour, sa joie d’avoir reçu une attention dédicacée. Je n’attendais pas qu’elle me réponde la même quantité de mots, j’attendais juste qu’elle ait du plaisir à me lire. Elle était mon public privé et j’adorais ça. Nos deux besoins se complétaient parfaitement. Ça fonctionnait parce que LE BESOIN REMPLAÇAIT LA RECHERCHE. Je n’avais plus aucune prise de tête ni sur la forme, ni sur la valeur de mes écrits puisqu’ils avaient une FONCTION. 
Il y a un terrible conditionnement sur l’inspiration.
Le conditionnement, c’est que l’on se met à rechercher quelque chose dans notre imagination, on se met donc à CHERCHER et à RÉFLÉCHIR. L’imagination et la recherche font mal à la tête. Ils te contraignent à forcer un processus et cela n’est pas naturel (on retrouve cette même torture du forcing dans le développement personnel, où c’est la mode de chercher à ‘’sortir de sa zone de confort’’ alors que le but, c’est justement de trouver sa zone de confort ! Sortir plutôt de sa ZONE D’INCONFORT, de ses blocages internes !) Dans l'imagination, on cherche dans ce qui est DÉJÀ INSCRIT en nous, quelque chose qui pourrait être dit, mis en forme, organisé, rendu intelligible, présentable : on se met dès la base une pression en pensant à la manière dont on sera perçu, jugé, validé, ou aujourd’hui, liké. On pense aussi à tous ceux qui ont déjà fait des trucs avant nous - pis on se dit qu’on n’est pas de taille. Alors on se positionne en dessous des autres en faisant des citations, des commentaires…En se disant qu’il faut rester humble !
L’inspiration n’est pas un don réservé, c’est une nécessité. Au sens littéral, elle désigne le fait d’aspirer de l’air pour RESPIRER. 
Pour trouver l’inspiration, tu dois te centrer sur ce qui te fait respirer toi-même, dans ton être. Te centrer sur ce qui te permettrait de prendre une profonde inspiration, d’aller vers l’AIR NOUVEAU. L’air nouveau est toujours difficile à inhaler, au début. Comme les bactéries qui sont sorties de l’eau pour se développer sur terre ont mis du temps à s’adapter aux nouvelles lois physiques. Mais leur besoin était là. Pour cela, tu dois percevoir OÙ TU ASPHYXIES et TROUVER UNE SOLUTION À TON ASPHYXIE. La solution à ton asphyxie, ce sont les outils que tu te crées pour transformer ton impasse en atelier.
Tout homme, tout être humain devient un génie dès lors qu’il est poussé aux limites, donc à l’asphyxie de sa propre vie. C’est ce qu’ont découvert les nazis quand ils ont fait leurs expériences dans les camps de concentration : ils ont découvert qu’un être humain active sont plein potentiel quand il est acculé, quand il n’a plus d’issue et qu'il se retrouve en mode survie, face à la menace de mort. Ces expériences ont été forcées par des scientifiques psychopathes mais elles se vérifient à moindre échelle dans les situations concrètes de la vie : quand un individu est dans sa nécessité vitale, il déploie ses pleins pouvoirs et devient un surhomme. 
Nous vivons dans un monde très lourd, très pesant. C’est un monde fait de limites et de contraintes. Un monde bien relou, il faut le dire. Mais la contrainte et la limite sont justement ce qui permettent le développement et la croissance d’un corps, d’un organisme. La racine fraie son chemin dans la terre au travers des pierres pour aller puiser son eau. Les feuilles mutent et sont en perpétuelle transformation : elles cassent de la limite pour grandir. La limite et la contraintes sont les cadres qui permettent de contenir la vie, comme le corps est le contenant de l’être (ce que d'autres appellent l’âme.)
Trouver l’inspiration, c’est en fait apprendre à utiliser sa contrainte, sa limite. C’est utiliser son asphyxie pour en faire un moteur de développement, de croissance, de transformation ; Sans chercher à la fuir, en l'utilisant.
Plus un artiste est réduit dans ses moyens, plus il exprime des choses profondes.
L’asphyxie dans l’être humain est lié aux mémoires émotionnelles, c’est-à-dire à tout ce qui n’a pas pu être exprimé au cours de l’enfance et de l’adolescence. Nous sommes bloqués, empêchées, contraints par nos émotions tues. C’est cela ‘’la mort dans la vie’’ : l’émotion tuée. La colère, la honte, la culpabilité sont les émotions les plus régulièrement tuées. L’inspiration, l’aspiration de l’air nouveau va donc se trouver l’expression de ces émotions tuées.
L’origine du pouvoir créateur se trouve dans notre part d’ombre ; ‘’Seuls ceux qui traverseront les ténèbres veront la lumière’’ est écrit dans la Bible. Ce n’est pas un mouvement évident car nous voulons tout de suite aller dans la lumière. Mais celui qui va d’abord dans la lumière avant d’aller dans ses ténèbres, ira dans une fausse lumière : la lumière des autres. C’est-à-dire qu’il deviendra un imitateur, un copieur, un simulateur. Son art sera peut-être talentueux et brillant mais sans aucun contenu et sans aucune authenticité. 
A l’inverse, toute personne qui développe ses propres outils pour s’aider elle-même à respirer et à sortir de son asphyxie, développera un art unique. L'art vrai, authentique est toujours UTILE. Il a toujours une fonction, celui de permettre la respiration et l'expansion de l'être.
Celui qui fabriquera ses propres outils pour sortir de son asphyxie, trouvera quotidiennement l'inspiration et sans aucun forcing. Avec le temps, il améliorera la connexion avec son être et développera en plus de son intuition, des capacités extrasensibles, de clairvoyance et de télépathie.
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