Tumgik
#déjà pearson
movtrack · 1 year
Text
Hey Guy’s Aujourd’hui nous allons parler de <<DRAMA>>
Alors qu’est ce qu’une série dramatique selon vous ?
Avant de répondre nous allons vous présenter le top 5 des séries #DRAMA qu’il faut à tout prix que vous voyez si ce n’est pas encore le cas.
Pour ceux qui ont déjà vu #connaisseurs😎    
Surtout n’hésitez pas à donner vos tops 5 des meilleures séries #drama en commentaire et de liker🤗
                       1.   Suits : Avocats sur mesure (9 saisons)
Tumblr media
Tous commence quand le grand harveyspecter par ailleurs séduisant et brillant avocat d’une grosse firme à Manhattan🤤, se met à la recherche d’un collaborateur pour l’épauler dans sa lutte pour la justice⚖️. Il tombe sous le charme d’un jeune homme très brillant également, doté d’une mémoire photographique mais qui cependant cache un lourd secret🤫 qu’il devra cacher pour assurer sa place. Les deux formeront une équipe imbattables et prêté à relever tous les défis. N’oublions pas les autres personnages tout aussi énigmatiques à savoir :
La ravissante Donna PAULSEN qui est la secrétaire que tout homme rêverait d’avoir,
Louis LITT le collègue le plus hargneux et doux,
Jessica PEARSON
Rachel ZANE 
                               2.     Game of thrones (8 saisons)
Tumblr media
Cette série est juste spectaculaire. Elle remonte à une époque lointaine voir même oublie dans laquelle  l’hiver🥶 dure toute une vie et l’été un instant, l’époque des dragons. Complots et rivalitées se jouent à coup de guerre et trahison pour s’emparer de l’unique, le convoité trône de fer qui représente à cette époque le symbole Absolut du pouvoir. Nous y retrouverons des personnages comme la sublime et redoutable Daenerys TARGARIEN (la dompteuse de dragon🦕🦖) avec la phrase qui hérisser les poils #DRACARYS, John SNOW fils illégitime de« Ned » Stark, seigneur de Winterfell. Tyrion LANNISTER surnommé le Lutin, le Nain, le Gnome ou encore le Mi-homme ce qui lui vaut un rejet farouche des siens mais heureusement pour lui il est malin, sait profiter des opportunités qui se présente à lui et bien d’autres encore.
                                     3.     Greys anatomy (19 saisons)
Tumblr media
i vous êtes passionnées par la médicine allez regarder cette série. On découvre l’environnement interne de l’hôpital, les soins, les urgences, les opérations, les amours, les amitiés, les peines. C’est l’histoire de Meredith Grey interne en chirurgie qui suit les pas de sa mère grande chirurgienne. C’est dans le Seattle Grace hospital qu’elle fera la rencontre de plusieurs personnes qui seront plus que sa famille nous faisons allusion à Christina YANG (sa meilleure amie), Alex KAREV (son ami), Miranda BAILEY (son mentor) et bien d’autres encore. Elle rencontrera aussi le grand amour❤️, un amour sans limite auprès de l’irrésistible🤤 docteur Dereck SHEPERD.
                      4.     How to Get Away with Murder (6 saisons)
Tumblr media
Tout comme SUITS c’est une série qui tourne autour du droit⚖️ mais sa particularité est qu’elle ne traite que des affaires relevant de meurtre🔪🪦, homicides. Tout au long de la série il sera question de meurtre, d’acquittement. Pour la petite histoire il est question d’un jeune groupe d’étudiants en droit qui vont se mettre dans une situation bien complexe… ils seront impliqués dans un meurtre🪦. Heureusement pour eux ils auront pour professeurs et mentor l’imminente et célèbre avocate Annalise KEATING qui va non seulement les aider à trouver le vrai coupable mais également sortir indemne de se piège tout en apprenant. Cette série est juste parfaite pour ceux qui ont un penchant pour le droit plus précisément meurtrier.
                                        5.     Blacklist (10 saisons)
Tumblr media
Le nom de la série vous dit déjà tout, #liste noire. L’acteur principal plus connu sous le nom de Raymond REDDINTONG🧥, fait parti des criminels les plus recherchés du monde (on parle des institutions fédérales les plus puissantes CIA, KGB …) et pour assurer sa liberté va se rendre au FBI🚓 en échange d’informations qui permettront d’attraper des criminels tout aussi talentueux et recherchés que lui. Cependant comme tout bon hors la loi qui plus est criminel chevronné comme lui, Il va profiter des occasions qui se présentent à lui et ne divulguera que les informations ne lui portant pas préjudice et utilisera ce même FBI🚔 à des fins professionnels. Il profite des occasions qui se présentent à lui🌚.
2 notes · View notes
songedunenuitdete · 2 years
Text
The Heart of Betrayal de Mary E. Pearson
🔥AVIS LECTURE🔥J'ai lu, The Heart of Betrayal de Mary E. Pearson / @ed_LaMartiniere ☀️Très bonne suite. La fin est haletante et le dénouement nous donne déjà envie d’avoir la suite entre les mains ! Je suis déjà impatiente.
Mon avis : J’ai lu cette suite avec énormément de plaisir ! J’ai aimé l’intrigue qui se tricote doucement autour de Lia. Celle-ci tente tout ce qui est en son pouvoir pour sauver celui qu’elle aime et surtout sortir son épingle du jeu et ce n’est guère évident pour elle. Comme pour le tome précédent, en plus de son point de vue, nous retrouvons également ceux de Kaden, Rafe et également un peu…
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
belialsky · 6 months
Text
Tumblr media Tumblr media
˗ ˏ ˋ 𝒂𝒗𝒆𝒓𝒚 𝒑𝒆𝒂𝒓𝒔𝒐𝒏
› 25 ans › pilote de formule un chez mercedes › australien › passionné de jeux vidéos › hétéro.
𝓫𝓲𝓸𝓰𝓻𝓪𝓹𝓱𝓲𝒆.
Vainqueur du championnat de GP3 Series en 2017 puis de Formule 2 en 2018, Avery fait ses débuts en Formule 1 l'année suivante au sein de l’écurie Williams. C’est en 2020 que sa carrière fait un nouveau bond en avant puisqu’il signe chez Mercedes aux côtés du plus grand pilote à ses yeux : Lewis Hamilton, septuple — octuple, champion du monde. Autant dire que ce n’est pas chose aisée d’être le partenaire de course du plus grand pilote de tous les temps. Avery vit mal la comparaison, surtout au début de cette collaboration. Il faut dire que les médias et le public ne sont pas forcément tendres avec lui, mais il sait qu’il n’a qu’à faire ses preuves pour faire pencher la balance de son côté. Au bout de quelques courses, il a commencé à imposer son style et à se faire à cette nouvelle voiture et cette nouvelle écurie. Même s’il sera toujours comparé à Lewis puisqu’ils ont la même voiture, il sent que les médias et le public commencent à se ranger derrière lui. C’est sûrement dû au fait qu’il parvient souvent à se faire apprécier. Avery est ce genre de type que l’on a envie de suivre, un leader né. Déjà dans la cour de l’école, il faisait sa loi et menait ses camarades par le bout du nez. À la maison c’était la même chose, ses parents se sont toujours pliés en quatre pour le satisfaire. En somme, la chance a toujours — ou presque, été de son côté. 
Aujourd’hui, Avery passe son temps à s’entraîner et il ne vit que pour son sport. Il n’a pas le choix s’il veut être le meilleur et espérer devenir champion du monde. Quand il ne s’entraîne pas, il sort avec ses amis et autant dire qu’il n’est pas le dernier pour profiter de la vie, bien au contraire. Toutefois, il n’oublie pas où se trouve son véritable objectif alors il tente de trouver le parfait équilibre entre plaisir et rigueur. Là où il n’a pas vraiment de chance, c’est côté coeur. Le jeune pilote a bien du mal à faire confiance aux nouveaux arrivants dans sa vie, persuadé qu’on s’intéresse à lui uniquement pour ce qu’il représente et non pour qui il est vraiment. Avec son style de surfeur australien, on prend souvent Avery comme le gendre idéal. Il est intelligent, drôle et avenant, mais il est surtout sacrément caractériel et parfois colérique. Il ne supporte pas quand les choses ne se passent pas comme il le désire et évidemment, il déteste les échecs. Il est souvent extrême. Avec lui c’est noir ou blanc, mais rarement gris. En somme, il est loin d’être le gendre idéal et ses coups de sang à la radio des grands-prix le confirment. 
𝚊𝚞𝚝𝚛𝚎𝚜 𝚒𝚗𝚏𝚘𝚜 :
› Son père s’appelle John Pearson. Il est avocat. 
› Sa mère s’appelle Donna Pearson. Elle est architecte. 
› Sa petite-sœur s’appelle Becca Pearson, elle a 18 ans et est étudiante en médecine.
0 notes
buxberg · 6 months
Text
Son premier travail cinématographique n'était pas un épisode de Three Rooms in Manhattan (1965)
Tumblr media
L'acteur a joué dans le film The Wedding Party de Brian De Palma en 1963, dans lequel il jouait l'un des amis du marié.  Tournant une comédie légère, la farce est devenue une bonne rampe de lancement pour plusieurs jeunes artistes à la fois.  Cependant, en raison de la faillite de l'entreprise de fabrication, le film fini est resté "sur l'étagère" pendant 6 ans et est sorti en 1969.  1973 est l'une des années les plus importantes de la carrière de Robert De Niro.  Il joue le rôle du joueur de baseball Bruce Pearson dans le film "Beat the Drum Slowly", pour lequel il reçoit le New York Film Critics Association Award (Meilleur acteur dans un second rôle), et avec lui la renommée et l'attention du public.  Deuxièmement, avec le film Mean Streets, il entame une longue collaboration avec Martin Scorsese.  Pour le rôle de Johnny Boy, De Niro reçoit également un prix, cette fois le Conseil national des critiques de cinéma des États-Unis dans la nomination "Meilleur acteur dans un second rôle".  En fin d'année, il passe un screen test pour le rôle du jeune Vito Corleone dans le projet The Godfather II de Francis Ford Coppola.  Avant d'être approuvé dans ce statut, De Niro a déjà auditionné pour les rôles de Sonny Corleone, Michael Corleone, Carlo Rizzi dans le premier film de la trilogie.  Pour le rôle de Don Vito, Robert De Niro remporte à juste titre l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle.  L'attribution de ce prix est liée à deux précédents.  Dans le film, Vito Corleone parle italien, ce qui signifie que l'Oscar a été décerné à un acteur américain pour son rôle dans une langue étrangère.  Marlon Brando et Robert De Niro étaient les seuls artistes à avoir reçu un Oscar pour avoir incarné le même personnage (mais à des années différentes de sa vie).
1 note · View note
entomoblog · 10 months
Text
Notre relation amour-haine avec les insectes
See on Scoop.it - EntomoScience
Topical Collection : Cultural Entomology: Our Love-hate Relationship with Insects
  A topical collection in Insects (ISSN 2075-4450). This collection belongs to the section "Role of Insects in Human Society".
  Insects, an international, peer-reviewed Open Access journal.
  [Image] Editor
Dr. Joseph R. Coelho E-Mail Website
Institute for Franciscan Environmental Studies, Biology Program, Quincy University, Quincy, IL, USA Interests: physiological ecology of insects; cultural entomology
  -------
NDÉ
Traduction
  L'entomologie culturelle est une discipline qui examine comment les humains perçoivent les insectes à travers les artefacts culturels. C'est une science jeune, qui découle principalement d'un article fondateur de Hogue (1987). Depuis lors, des travaux réalisés par des entomologistes et d'autres chercheurs ont abouti à une variété fascinante d'études, traditionnellement axées sur les médias tels que la musique, l'art et la littérature.
  Cependant, des approches innovantes sur le sujet incluent des études sur les jeux vidéo (Shelomi 2019), les feux d'artifice (Coelho 2018) et les tatouages (Pearson 1996). Ces contributions ont non seulement développé la discipline, mais elles nous ont également permis d'aborder le sujet sous des perspectives indépendantes.
  C'est grâce à cette diversité que des tendances générales émergent. Certaines tendances ont déjà été démontrées de manière claire ; par exemple, certains taxons sont constamment perçus de manière négative (les cafards), tandis que d'autres le sont de manière largement positive (les papillons). Bien que cette tendance particulière ne soit pas surprenante, d'autres commencent à émerger de manière plus subtile. Par exemple, des espèces chimériques avec un mélange d'anatomie humaine et d'insecte apparaissent à la fois dans l'art ancien en jade et sur des couvertures récentes (Coelho 2004).
  Avec ce volume, nous espérons étendre les limites de l'entomologie culturelle pour approfondir notre compréhension de cette discipline intéressante et importante.
  Dr. Joseph R. Coelho
Éditeur de la collection
via ChatGPT
Bernadette Cassel's insight:
    Une collection thématique dans la revue Insects (ISSN 2075-4450). Cette collection appartient à la section "Rôle des insectes dans la société humaine"
0 notes
meilleurlivre-kifflire · 10 months
Text
Tumblr media
Adieu, mon mari tyrannique ! Chapitre 1 Divorcer | Tonye Stern
Le bruit sourd des papiers tombant sur une surface dure a résonné dans la pièce.
Un accord de divorce a été jeté devant Tessa Lopez.
« Ta cousine s'est réveillée, et je lui ai promis qu'elle serait ma seule épouse aussi longtemps qu'elle vivrait. Signe-le, Tessa, pour que nous puissions enfin mettre fin à ce mariage. »
L'expression de Tessa n'affichait pas le moindre signe de surprise. Elle savait déjà que ce serait le cas dès l'instant où elle avait appris que sa cousine s'était réveillée.
Elle a regardé l'homme et a demandé amèrement : « Tu ne me crois toujours pas, n'est-ce pas ? »
Samuel Pearson a ricané. « Pourquoi devrais-je croire une femme avide et vaniteuse comme toi ? Bon, je ne vais pas le répéter. Signe-le, et cette villa sera la tienne. Cela devrait être suffisant pour toi, n'est-ce pas ? Je suis déjà généreux. »
Tessa a souri d'un air moqueur.
Il croyait vraiment qu'il était généreux avec elle juste car il lui offrait une maison.
Elle a ramassé le document et l'a lu. Il avait déjà apposé sa signature.
Tessa sentait une boule dans la gorge et une intense envie de pleurer.
Cependant, elle s'est efforcée de se calmer.
Elle a tourné à nouveau le regard vers Samuel et lui a demandé : « Est-ce que mamie est d'accord avec ça ? »
« Tu ne peux pas toujours compter sur elle quand les chances sont contre toi. Elle ne va pas t'aider à chaque fois. » D'un ton froid, Samuel a ajouté : « Tu sais parfaitement pourquoi je me suis marié avec toi. Maintenant, arrête d'être avide, ça ne me fait que te détester encore plus. »
Tessa a roulé des yeux. « Tu me méprises déjà. Quelle différence cela fera-t-il si tu me détestes encore plus ? »
« Tessa ! », a crié Samuel avec impatience.
« D'accord, je vais signer », a dit Tessa en prenant le stylo.
Après le réveil de sa cousine, Tessa avait reçu un déluge de photos intimes de celle-là et de Samuel. Il était évident qu'ils s'aimaient, alors il n'y avait aucune raison pour que Tessa reste mariée avec lui.
À cette idée, elle a rayé la clause concernant la villa sur l'accord de divorce avant de le signer.
Ainsi, leur mariage de trois ans a pris fin.
Enfin, elle est redevenue libre.
Tessa a donné les papiers du divorce à Samuel et lui a dit : « Donne-moi une heure. Je partirai dès que j'aurai fini d'emballer mes affaires. »
Samuel a froncé les sourcils. En lui jetant un regard sévère, il a répondu : « Cette villa est la tienne. Tu n'es pas obligée de partir. »
« Je n'en ai pas besoin. Pour moi, tous les endroits qui sont marqués par ta présence… » Après un petit rire, elle a poursuivi : « Ils sont tous sales. »
« Tessa ! »
Ignorant l'accès de rage de Samuel, elle l'a poussé hors de la pièce, n'étant plus aussi docile qu'elle l'était auparavant.
Une heure plus tard, en descendant, Tessa s'est aperçue que Samuel n'était plus là. Elle a regardé la montre pour homme qu'elle tenait dans la main.
C'était un cadeau qu'elle avait prévu pour son prochain anniversaire. Mais pour l'instant, cela ne servait plus à rien puisqu'elle n'attendait plus rien de lui. En fait, le simple fait de regarder cette montre la rendait extrêmement triste.
Sans hésiter, elle a jeté la montre à un million de dollars dans la poubelle.
Elle a soupiré profondément, se lamentant que ces trois dernières années n'aient servi à rien.
Mais tout cela était terminé. Désormais, elle vivrait pour elle-même.
Tessa a pris un taxi pour se rendre dans sa résidence privée.
Elle avait acheté sa villa des années auparavant, mais elle n'y était jamais retournée car elle avait déménagé pour vivre avec Samuel.
Les domestiques se sont tous étonnés de la voir. Un instant plus tard, ils se tenaient debout en rang, leurs voix s'élevant pour former un chœur respectueux : « Bienvenue à la maison, Mme Pearson ! »
Posant les bagages, Tessa s'est affalée sur le canapé et s'est massé la partie au-dessus des sourcils. Elle a rectifié : « Je ne suis plus Mme Pearson. À partir de maintenant, appelez-moi Mme Lopez. »
Autrefois, elle s'était sentie fière d'être appelée Mme Pearson, mais à ce moment-là, elle trouvait ce titre ironique.
Malgré leur curiosité, les domestiques sont partis sans poser de questions.
Arrivée dans sa chambre, Tessa a appelé son assistante, Monica Herbert. « Salut, comment ça va ? »
« Tu m'appelles vraiment ? C'est nouveau », a dit Monica, l'étonnement se faisant sentir dans son ton. « Il s'est passé quelque chose ? »
« À partir de maintenant, je suis officiellement à nouveau célibataire. Dorénavant, je ne ferai rien d'autre que de me concentrer sur ma carrière. »
« Quoi ? C'est vrai ? », s'est exclamée Monica avec incrédulité.
« Oh, mon Dieu ! Ai-je entendu mal ? Tu étais si dévouée à ton mari ces trois dernières années que tu as même abandonné ta carrière pour devenir une femme au foyer à plein temps. Pourquoi vous êtes-vous séparés ? Tu ne me fais pas une blague, n'est-ce pas ? »
Monica était son assistante. Elle était l'une des rares personnes connaissant l'autre identité de Tessa.
À l'insu des autres, Tessa était une avocate de renom qui se faisait appeler Iris.
Et ce n'était pas une avocate ordinaire. En fait, la simple mention de son nom suffisait à effrayer de nombreux avocats.
« Est-ce que quelqu'un m'a cherchée récemment ? », a demandé Tessa à Monica qui ne s'était pas encore remise du choc. « Y a-t-il des affaires intéressantes ? »
Se souvenant d'un événement récent, Monica a soupiré. « Oui, il y en a une, et le client offre une récompense très élevée à quiconque peut l'aider à gagner l'affaire. Mais personne n'est assez courageux pour l'accepter. En plus, tu ne peux absolument pas le faire. »
« Donne-moi plus de détails. » Tessa s'est sentie intriguée en entendant les paroles de Monica.
Lire le livre complet ici.
Résumé
On ne sait jamais ce que nous avons possédé jusqu'à ce que nous le perdions.
C'était le cas pour Samuel qui méprisait sa femme tout au long de leur mariage.
Tessa donnait tout à Samuel. Mais que faisait-il? Il la traitait comme un chiffon inutile.
À ses yeux, elle était égoïste, dégoûtante et sans scrupules. Il voulait rester loin d'elle à tout moment. Il était heureux quand une chance de divorcer s'est présentée.
Cependant, son bonheur n'a pas duré. Il s'est bientôt rendu compte qu'il avait laissé partir un bijou d'une valeur inestimable. Mais avant qu'il puisse regretter, Tessa réussissait déjà très bien sa vie.
« Tessa, mon amour, je sais que j'ai été un imbécile, mais j'ai appris mes leçons. Donne-moi une autre chance », a supplié Samuel les yeux larmoyants.
« Ha-ha ! Très drôle, Samuel. N'as-tu pas toujours été répugné par moi ? Qu'est-ce qui a changé maintenant ? », a ricané Tessa en le regardant.
« J'ai compris mieux, mon amour. S'il te plaît, reprends-moi. Je ne m'arrêterai pas avant que tu acceptes. »
Avec les yeux qui tiraient des lasers, Tessa lui a crié dessus : « Sors de ma vue ! Je ne veux plus jamais te voir ! »
Lire le livre complet ici.
0 notes
news24fr · 1 year
Text
Afficher uniquement les événements clésVeuillez activer JavaScript pour utiliser cette fonctionnalitéFlux en directLes évènements clésil y a 1hNouvelles de l'équipeil y a 1hPréambuleAfficher uniquement les événements clésVeuillez activer JavaScript pour utiliser cette fonctionnalitémaintenant11h40 HNE8 minutes "Bonne année à toi Rob, et à tous les MBMers, et merci d'avoir commencé avec une allusion à The Big Lebowski", déclare Charles Antaki. «Je ne me souviens pas exactement de la ligne, mais notre héros à un moment donné invite quelqu'un à l'appeler Dudester, Duderino ou« juste le mec, si vous êtes dans toute cette brièveté ». Comment Forest pourrait-il utiliser une partie de son insouciance maintenant. Aussi sa capacité à, d'une manière ou d'une autre, se sortir des égratignures les plus terminales.Eh bien, c'est juste, comme, votre obrochehomme d'ions.il y a 1 m11h39 HNE7 minutes Sterling envoie un centre bas à Mount, qui court sur le ballon et frappe un premier tir bien bloqué par Worrall. il y a 2 m11h38 HNE7 minutes Beaucoup de possession de Chelsea, ce qui ne devrait surprendre personne. La forêt a l'air plutôt compacte défensivement.il y a 3 m11h37 HNE6 minutes "HNY Rob !" dit Joe Pearson. "Le premier match d'aujourd'hui a été désastreux. C'était tellement nul qu'on parlait de soupe roumaine au MBM. Veuillez fournir une meilleure correspondance. Ou une recette différente. Merci d'avance!"il y a 4 mois11h36 HNE5 minutes Forest a commencé avec Awoniyi à gauche et Gibbs-White comme faux neuf. Bienvenue dans Tactics Corner, un bref aperçu en attendant que quelque chose se passe sur le terrain.il y a 5 m11h35 HNE3 minutes J'ai changé d'avis sur la position de Mount – il est presque un n°8 sans le ballon et un n°10 avec. De nos jours, de nombreuses équipes jouent avec des milieux de terrain à trois déséquilibrés. Un No6, un No8 légèrement à droite ou à gauche, et un No10 de l'autre côté. Arsenal le fait, tout comme Manchester United ; il semble que Chelsea joue un système similaire aujourd'hui.il y a 6 mois11h34 HNE2 minutes Koulibaly pulvérise une formidable longue passe vers Mount. Il s'enfuit de Yates, tue le ballon adroitement mais tranche ensuite le poteau proche avec son pied gauche. C'était un angle assez serré.il y a 8 mois11h32 HNE1 minute Je me suis trompé sur la forme de Chelsea – elle ressemble plus à 4-3-3 aujourd'hui, avec Mount jouant légèrement plus profondément que contre Bournemouth.Mis à jour à 11h33 HNEil y a 9 mois11h32 HNE1 minute Peep peep ! La forêt démarre de droite à gauche pendant que nous regardons.il y a 9 mois11h31 HNE"Voeux de nouvel an de Californie," dit Mary Waltz. "Pulisic a une autre chance d'impressionner et il ferait mieux d'en profiter, il avait l'air bien lors du dernier match. Après une belle performance en Coupe du monde, il doit enchaîner avec un match qui justifie l'énorme investissement que Chelsea a fait en lui.Il est là depuis si longtemps qu'il est facile d'oublier qu'il n'a que 24 ans. Il y a un joueur de classe mondiale là-dedans, mais je ne sais pas s'il sera jamais trouvé.il y a 10 mois11h30 HNE Avant le match, les joueurs se rassemblent autour du cercle central pour rendre hommage à un visionnaire unique : Pelé, décédé la semaine dernière à l'âge de 82 ans.Avis de décès de PeléLire la suiteil y a 13 mois11h28 HNE"Bonne année Rob," dit Kim Crawley. «La forme de Chelsea semble trop étroite et avec Jorginho assis profondément comme pivot, leur transition sera trop lente. Forest se mettra en face d'eux; les arrières latéraux de Chelsea vont être occupés. Cooper a déjà remporté la bataille du milieu de terrain. Forest va causer quelques problèmes. Sterling et Pulisic devront jouer un grand rôle défensif pour arrêter Forest. J'espère que je me trompe.Quand tu dis content nouvelle année. (Je pense que c'est un double pivot avec Zakaria au fait, même si je ne suis pas sûr que cela change votre point.)il y a 13 mois11h27 HNELes joueurs sortent du tunnel, dans la cacophonie de City Ground.
Quel endroit glorieux c'est.il y a 15 mois11h25 HNELes résultats d'aujourd'hui jusqu'à présent Dimitri Van den Bergh 5-3 Jonny Clayton Michael Smith 5-3 Stephen Bunting Tottenham Hotspur 0-2 Aston Villa il y a 16 mois11h24 HNE"Comme vous le savez, Rob," mensonges Ian Copestake, «Je crois que la seule vérité à trouver dans le monde moderne est basée sur la différence de buts. Les Spurs viennent d'en être informés alors que la véritable fausse position de Man Utd dans la ligue attend son jugement.C'est une mauvaise nouvelle pour nous les nostalgiques qui deviennent tout chauds et flous quand on pense à La saison 1992-93 de Norwich. il y a 18 mois11h23 HNE« Christian Pulisic devrait quitter Chelsea cette année,» dit Kurt Perleberg, « et retourner aux États-Unis ».Essayez-vous de me faire annuler le jour de l'an ?il y a 19 mois11.21 HNEMusique d'avant-matchil y a 42 mois10.58 HNELes soldes de janvier (pt 2)Nottingham Forest a déjà de l'espoir mais janvier pourrait définir son 2023Lire la suiteil y a 43 mois10h57 HNETemps plein : Tottenham Hotspur 0-2 Aston VillaLa forme à domicile des Spurs chez Spurs s'est poursuivie avec une défaite surprise contre Aston Villa, leur troisième lors des quatre derniers matchs de championnat au Surely We Should Have a Sponsor By Now Stadium. C'est une bonne nouvelle pour Chelsea, qui sera à égalité de points avec les Spurs s'il remporte ses deux matchs en main.Tottenham 0-2 Aston Villa : Premier League – réaction en directLire la suiteMis à jour à 11h01 HNEil y a 46 mois10h55 HNELes soldes de janvier (pt 1)Chelsea accepte des frais de 32,7 millions de livres sterling pour le défenseur central monégasque Benoît BadiashileLire la suiteMis à jour à 10h55 HNEil y a 50 m10.50 HNEJonathan Wilson sur Graham PotterGraham Potter ne fait face qu'au chaos jusqu'à ce que Chelsea accepte qu'il n'y ait pas de solution miracle | Jonathan WilsonLire la suiteMis à jour à 10h53 HNEil y a 1h10h41 HNENouvelles de l'équipeSteve Cooper apporte deux changements à l'équipe Forest qui a perdu à Old Trafford : Morgan Gibbs-White remplace Jesse Lingard, blessé, et Dean Henderson – qui n'était pas disponible contre son club parent – ​​prend le relais de Wayne Hennessey dans les buts.Graham Potter fait un changement forcé, César Azpilicueta pour Reece James à l'arrière droit.Forêt de Nottingham (4-3-3) Henderson ; Aurier, Worrall, Boly, Lodi; Yates, Freuler, Mangala ; Johnson, Awoniyi, Gibbs-White. Remplaçants : Hennessey, Cook, Williams, Toffolo, McKenna, Colback, O'Brien, Surridge, Dennis.Chelsea (4-2-3-1) Kepa; Azpilicueta, Koulibaly, Thiago, Cucurella ; Zakaria, Jorginho ; Sterling, Mont, Pulisic ; Havertz. Remplaçants : Bettinelli, Chalobah, Kovacic, Ziyech, Gallagher, Chukwuemeka, Hutchinson, Hall, Aubameyang.Mis à jour à 10h49 HNEil y a 1h10h30 HNEPréambuleBonjour, bonne année et bienvenue pour la couverture en direct du match de Premier League entre Nottingham Forest et Chelsea au City Ground. C'est 19 contre 9, si vous êtes dans toute la ligue, et une chance pour les deux équipes de commencer 2023 comme elles veulent continuer.La forme à domicile de Forest va sûrement décider s'ils restent debout, et jusqu'à présent, ça a été plutôt bon : P8 W3 D2 L3. Cela inclut une bonne série récente de huit points en quatre matchs, dont une célèbre victoire contre Liverpool en octobre.Bien que Chelsea soit un grand favori en raison de ses footballeurs supérieurs, Forest a une chance de remporter une autre grande victoire contre une équipe qui a lutté loin de chez elle cette saison. Chelsea a déjà perdu quatre fois en championnat, soit autant de défaites que dans toutes les compétitions sur la route la saison dernière. Avant la Coupe du monde, ils ont été pris en embuscade 4-1 à Brighton puis bien battus par Newcastle, même si le score n'était que de 1-0.La victoire sur Bournemouth après Noël était beaucoup plus encourageante, beaucoup plus "Potterball", mais c'était à Stamford Bridge. Et ils ont eu Reece James pendant une heure, ce qui ne sera pas le cas aujourd'hui.
Démarrer 16h30.Les sujetspremière ligueForêt de NottinghamChelseaRéutiliser ce contenu
0 notes
fasanunifido · 2 years
Text
John henry julius lester pdf
 JOHN HENRY JULIUS LESTER PDF >>Download (Telecharger) vk.cc/c7jKeU
  JOHN HENRY JULIUS LESTER PDF >> Lire en ligne bit.do/fSmfG
        biopsychologie définition plan moteur énergie libre pdfbiopsychologie formation
  Portraits de Julius Paball (19..-19..) NE-101 (PABALL, Julius) Portraits du vicomte Henry John Temple Portraits de Lester B. Pearson (19..-19..). John Henry, de Julius Lester. A Kiss for Little Bear, d'Else Holmelund Minarik. Little Bear envoie un dessin à sa grand-mère, qui l'apprécie tellement qu' discothèque recèle de vinyles d'une extrême rareté, tels le disque Africa de John Coltrane et de son groupe, datant de 1961, dédicacé non seulement par Johndu RPI est celle que propose H.Wilenski dans un travail déjà ancien et peu ELLIFF (John T.), The Reform of FBI Intelligence Operations, Princeton, Froggy's First Kiss. Jonathan London. Vignette du livre John Henry. John Henry. Julius Lester. Vignette du livre Madeline in London Froggy's First Kiss. Jonathan London. Vignette du livre John Henry. John Henry. Julius Lester. Vignette du livre Madeline in London Illustration pour John Henry de Julius Lester. (1939 —2018), 1994. Aquarelle et crayon de graphite. Dépôt de la Fondation Les Maîtres de l'Imaginaire,. John D. Rockfeller Jr., Julius Rosenwald, Henry Ford, Harvey S. Firestone, Herbert Et comme les cordes vocales de Lester avaient été temporairement
, , , , .
1 note · View note
madlilsongbird · 2 years
Text
They haven’t cast in betweens for Déjà, Tess and Annie. Honestly I don’t think they can, it’s like a weird age where the teenage versions of them are too young but the adult versions of them are too old. Randall said they’re there but we haven’t seen them once
14 notes · View notes
leighlim · 3 years
Photo
Tumblr media
The reactions to Randall going accidentally overtime during his live community announcement are priceless!!!
-
-
-
-
(Hopefully by this point you’ve finished all episodes of ‘This Is Us’ previous to Season 5 Episode 4, the kind of person who isn’t bothered by spoilers, or are just deciding if you still want to keep watching.)
-
-
-
-
-
Even Beth telling Annie the reason she shouldn’t be allowed to view it...is just an illustration of how good the show is with set-ups and punchlines. They really were able to get a lot of mileage of laughs possible with this one.
(I didn’t even notice until rewatching the scenes that BETH and ANNIE turn at the same time when DEJA completes the message)
PS: And how about Annie talking like characters from classic novels? I didn’t realise that would be a result of watching Gerta’s version of ‘Little Women’.
PPS: You know what just hit me? That the humour is more focused on Middle Aged Kevin, Kate, and Randall. Maybe it’s just me? I don’t mind that they get the bulk of the laughter....it probably is just coincidence.
--------
HIGHLIGHT:
INT. BETH AND RANDALL'S HOUSE (SITTING ROOM) - DAY
DEJA couldn't believe what's happening. Shock is what it is...shock. Her eyes are glued to the screen.
DEJA Uh, Beth?
INT. BETH AND RANDALL'S HOUSE (KITCHEN) - CONTINUOUS
BETH is on her laptop, typing away. ANNIE is sitting on the kitchen nook working on her thing.
BETH Hold on, hon, I'm just in the middle of something.
INT. BETH AND RANDALL'S HOUSE (SITTING ROOM) - CONTINUOUS
This is too bizarre not to be a dream.
DEJA Uh, o-okay, but Randall's taking his clothes off...
She stands and turns to BETH
DEJA ...in front of the whole city of Philadelphia.
INT. BETH AND RANDALL'S HOUSE (KITCHEN) - CONTINUOUS
BETH and ANNIE turn to DEJA.
INT. BETH AND RANDALL'S HOUSE (SITTING ROOM) - CONTINUOUS
TESS runs down the steps.
TESS Mom? Dad's getting naked!
INT. BETH AND RANDALL'S HOUSE (KITCHEN) - CONTINUOUS
BETH smiles and turns to them. Is this some sort of a joke the girls are playing on her?
BETH What?
DEJA hands her the tablet.
Sure enough: Randall's shirtless and shimmying behind his desk.
BETH Oh, my G-- Tess, call your father.
TESS takes out her phone and attempts to ring her father.
INT. RANDALL'S OFFICE - CONTINUOUS
RANDALL's happily folding the shirt he took off. His back to us....singing---
RANDALL First you fold the left...
Some right shoulder action---
RANDALL Then you fold the right. Bring the hem to the shoulder. And press it tight.
He does as the song says and throws in some subtle dancing.
RANDALL Press it tight, mm, yeah.
He moves to remove his watch.
INT. BETH AND RANDALL'S HOUSE (KITCHEN) - CONTINUOUS
TESS throws up her hand.
TESS He's not answering!
DEJA Of course he can't see his phone..
They helplessly watch RANDALL go through his 'changing clothes' motions. Apparently this is now the step where he does a cross of 'Getting Jiggy With It' and 'Single Ladies'.
DEJA ...he's too busy dancing.
BETH Mm-mm, girl, that's not dancing.
RANDALL leans back and moves his shoulders.
BETH I don't know what that is, but that is not dancing.
RANDALL continues doing his 'moves'. DEJA watches in horror.
ANNIE Mom, I want to watch.
BETH hurriedly hides the tablet behind her.
BETH Hey, hey, hey. Annie, you know what? There's some things you can't unsee, baby. And this is one of them, all right?
--------
My verdict of the episode: 9/10
Timestamp Commentary: TBA
My Formal review about the show: TBA
8 notes · View notes
kbbey · 6 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
You don’t have to pretend like you don’t know who I am. You don’t have to pretend like you do, I really don’t care. 
5K notes · View notes
17j6o97u9b4b · 7 years
Text
Déjà opening up to Randall 😍 These two are going to have a great father-daughter relationship
3 notes · View notes
maaarine · 3 years
Photo
Tumblr media
Keith Ansell-Pearson:
“Bergson’s also highly innovative in how he construes the relationship between perception and memory.
Typically when we think of the relation between the two, we think we have a perception that’s an actual presence, and then maybe at a later point in time, we’ll form a recollection of that perception.
But Bergson, because of his thinking of duration which involves this coexistence of past and present, wants to say that memory is coterminous with perception, but that we’re not normally aware of that in our comportment in the world.
And this is how he thinks you can explain the experience of déjà vu.
The experience of déjà vu is uncanny, it’s the feeling that you’re living through something that you’ve already lived through before.
Bergson says that can’t be true, it’s an illusion.
So he would say that what’s happening is that in some actual perception, you’re experiencing the formation of the memory of that perception at the same time.
Maybe time has the feeling that it’s slowing down for you, and that could be part of the experience.
But Bergson says that you’re forming a recognition to come, you’re forming a memory of the present in the present itself.”
Source: In Our Time: Bergson and Time
9 notes · View notes
cowboisadness · 3 years
Text
Hang ‘Em High {Arthur Morgan x OC} Chapter 12
Tumblr media
Pairing: Arthur Morgan x FemOC
Summery: Belle Hawthorne is high society looking to escape her mean husband. A robbery by the Van Der Linde gang could be her chance. Can she escape his cluches and possibly discover what love should feel like?
Warnings: Mentions on injury and assault  ..... Chapter 12
I woke to blinding light. Disorientated and panic building as my mind is slow to catch up with where I could be right now. I’m still in the cabin. I can hear the men outside talking amongst themselves, unaware that I’m awake again. I push myself up noticing my hands and legs are free, ignoring the overall ache and searing pain running down my chest. I need to get out. This is my chance. If I could -
“Hey, hey it’s okay.” A feminine voice calls out beside me, gently placing their hand on my shoulder. I look over, glad that my eyes are starting to focus to see Tilly, in her beloved yellow dress. Please don’t be a dream.
“Tilly?” I squeak, my voice sounding harsher than it ever has.
“You’re safe. Here,” She passes over a flask of water. The liquid soothing my throat and easing the pounding in my head. Drinking the whole thing before passing it back, murmuring my thanks.
“I’ll go tell Arthur and Miss Grimshaw that you’re awake.” She says before leaving the tent, the covers over the entrance letting in more daylight, causing the back of my eyes to sting slightly before they closed behind her. I’m not even in my tent, not in my bedroll. I’m in Arthurs tent. Once again waking up here after passing out. I really need to make sure that doesn’t become a habit of mine. Trying to think, all I can remember was being carried out of that cabin, but I can’t even remember reaching the door. I didn't even get to see the aftermath of Johns and Arthurs handiwork. Those mens bodies spewed across the grass. Shame.
I can’t help but scoff at that thought. If my mother could hear my thoughts on how I wished to see the corpses of the men that harmed me she would turn in her grave for sure. But my brothers would be proud.
The tent flaps opened again, the sting more bearable, as Miss Grimshaw and Arthur made their way in, the former holding a small medicine bottle and some whiskey.
“How are you feeling dear?” Miss Grimshaw asks in a soothing tone I'd only heard before when I first arrived here. A serious case of Déjà vu happening.
“Like shit. I’m guessing I look it too.” I hum out a quiet laugh.
“Got you a tonic to fight any infection. And some whiskey for the pain,” She said as she placed the two bottles on the crate next to the cot. “I’ll get Pearson to whip something up for you. Then I’ll be back later to change your dressings.” I called out my thanks to her as she left, leaving just the two of us. Arthur pulled up a chair to sit beside me, picking up the whiskey as he did.
“Than-”
“I’m s-”
We both spoke at the same time, causing us to huff out a laugh. He gestured for me to go first.
“Thank you for coming for me,” I said, he looked down to the floor, his hat covering most of his face from view.
“Belle, m’ sorry we didn’t get there earlier. Me, John and Charles tried to-”
“You got there just in time. Before they…” I couldn’t even finish. But I didn't have to, the look on his face told me he knew. He saw the state I was in, the other guys’ intentions were very obvious with his pants halfway down. Thankful now that I wasn’t that far exposed but in the process of stabbing the bastard it was the last thing on my mind. My hand went down my chest as I slowly tried to sit up, feeling the layers of cloth that wrapped around my shoulder and waist then across my back through the clothing, which I also just realised are not mine. Arthur stood to help me sit, leaning me against the crates behind me. Sitting back down and handing me the now opened bottle of whiskey, drinking as he continued.
“Miss Grimshaw stitched ya up. Said it would probably scar.” I nodded and took a drink, feeling it burn as it passed down my throat. I opened my mouth to speak, only to be interrupted by the tent opening being pulled back, Dutch now making his way in, his eyes on me.
“Did you talk?” No hello, no how are you feeling...just did I talk? Talk about what exactly?
“Dutch, she's just come round-” Dutch held his hand up to halt Arthur, his eyes still trained on me.
“I need to know. Did. You. Talk?”
“Talk about what?”
“Did you tell them where we are?”
“They didn’t ask anything about you.” I looked between the two men, completely confused as to what he as asking.
“Really?”
“Dutch-”
“I told you. They never mentioned you or camp or anyone here. I don’t even know who those men were.”
“The safety of this gang depends on if you gave away any information to those men. I surely hope you are not lying to me, Mrs Hawthorne.” He spoke slowly and low as if I were a disobedient child that needed to understand every word he said. A quiet threat heard loud and clear.
“I didn’t say a word. They only cared about me. If they are a threat to you all, they never made it known.” I replied back in the same slow tone he gave to me, making sure he understood every word I said. I’ve been here for weeks, over 2 months, making myself at home and seeing the others here as a family, my new family. And he thinks I would sabotage the one thing that makes me feel safe? Sure, torture is a good way of getting people to speak, but Dutch doesn’t seem to realise id rather die than be alone, or back with him.
With that another person emerges from the outside, Hosea, he must have heard the raised voices. I was on the verge of tears knowing Dutch probably doesn’t believe me, in a way I understand the concern, but I was in pain and the constant dull ache in my head was now throbbing. Hosea took one look at us all and motioned Dutch out of the tent, telling him to let me heal and to ask questions later. Dutch left without another word, practically stormed out. Hosea was about to speak but I cut in. “I promise I never said anything, I don’t even think they knew I’m with you all.” Hosea put his hand up to me to stop. Before Hosea could speak a word, Arthur sat forwards, taking my hand in his, stilling my clenching fist in the hopes I would relax.
“I believe you, Bella. Charles and me saw a missing poster of you in Rhodes station. $500 reward. Those guys that took you, they were some of the O’Driscolls. We have a history with them, all bad business.”
“Did the poster mention being able to do whatever they wanted with me but to leave my face untouched?”
“No…”
“Then...I don’t think it was the poster that led them to me. Frank asked them himself.” Arthur and Hosea shared a look of disbelief as I cried. Knocking back more whiskey to numb as much of the pain as possible. The realisation of what happened hitting me like a damn train. Hosea promised he would talk to Dutch, try and calm him down, and that if I needed anything to not hesitate to ask.
Arthur stayed with me till nightfall. Answering whatever questions I had about this rival gang and the very colourful history they have with them, especially the leader, Colm. We talked about anything else that didn't involve the O’Driscolls or what had happened the day before after that. I asked about the photographs he had pinned to the side of the wagon and the two in frames propped up. He spoke fondly about his mother, Beatrice, who passed when he was only a boy. And his dog, Cooper. He even admitted he would bathe with him sometimes. I couldn’t stop laughing, causing him to flush with embarrassment. I assured him it was sweet. He didn’t seem to have many kind words when it came to his father, Lyle. Saying he was a no-good man that didn’t die soon enough. When speaking about Mary, a beautiful woman from what I could see from the photograph, I couldn’t help but notice him hesitate when speaking about her. But I could sense the fondness he still felt for her, a young love like that always holds a special place in your heart. I felt a tang of jealousy. Not because of her, but because I didn't get the chance to feel love like they once did. To have someone you love, love you back just the same despite any differences. It was a shame it didn’t work out for them, some of those differences becoming the wedge that drove them apart. He only left me when Miss Grimshaw came along to change my dressings, to get us both some supper and another bottle of whiskey after we polished off the last one together.
The alcohol did help with the ache, replacing it with a slight buzz but not without slight weariness, but I knew drinking anymore would be asking my headache not to leave. The sun was far beyond the horizon now, the moon firmly replacing it. Now slouched on the cot and Arthur splayed out on the chair with one foot perched on the cot beside my hip. A yawn made my tiredness become more apparent, soon I'll be fighting to keep my eyes open. After a few moments of silence, listening to the nocturnal birds fly overhead, realising everyone else must have gone to sleep, Arthur stood, motioning to the tonic that I had neglected in favour of the whiskey, telling me to drink up before I fell asleep.
“I can go to my tent. Don’t want to hog your bed again.” I said, another yawn making its way out of me.
“Nah it’s alright. Not gunna kick an injured lady out've a more comfy bed.” he looked down at me, his mouth turning up into a small smile.
“Where will you sleep?”
“I got my bedroll out there, I’ll sleep where I drop.”
“I'll feel bad if you have to sleep out there when I’m in here,” He just looked at me, expecting a fight to stop me from sleeping somewhere a little less comfortable no doubt. “Might as well sleep here.” His eyebrows raised at that and it took me a moment to realise what he must have thought I was suggesting. “Oh, no, I mean you might as well bring your bedroll in here. At least then you will have a cover over your head.”
His face relaxed at my explanation, giving off a half-smirk and looking back down at the ground, stroking the back of this neck that I noticed he does when nervous or uncomfortable. Lord, it is cute when he does that. Finally, he nodded, giving in with a quiet, sure.
He returned within seconds with his bedroll, which must have been nearby, and laid it out on the floor. Kicking off his boots and draping a worn blanket over him. I did the same, both of us now staring up at the canvas with our hands resting behind our heads. Sleep slowly taking over me.
“Goodnight, Arthur. Thank you again.” I spoke softly.
“Goodnight, Bella” he replied, just as soft as i.
-
It was barely daybreak when I woke up. The birds singing their morning song all around, a call to breakfast and a new day with new possibilities. My head still had a lingering pulse, not sure if it was from last night whiskey or finally getting over the multiple blows I received. Either way, coffee could fix it.
I took my time getting on my feet, my body still aching lightly and to not wake Arthur, who was curled up on the floor facing me, his arm propping up his head as a pillow. I made my way out of the tent to be greeted by stunning orange hues illuminating the camp and Flat Iron Lake. I made my way to the campfire to brew a fresh batch, adding wood to the dying fire as I waited. I grabbed two tin cups, waiting for the coffee to emit its awakening aroma before pouring. Even just the smell was helping my head ease off a bit. I sat with my coffee, blowing on it absentmindedly, my eyes lost in the fire as my mind flashed, replaying what happened not two days ago. It wasn't the first time to be taken against my will in that way, although I'm thankful it didn't get that far. But just knowing that Frank gave his permission for my captors to do whatever they wanted with me and to be paid handsomely for it along with my return made a feeling burn within me that I have never felt before. Pure rage. Staying in camp would be the safest thing I can do now, Frank won’t give up. No doubt I would go insane. Maybe I could change my appearance somehow so I could venture out from time to time.
I was pulled out of my thoughts as Arthur sat down beside me on the log. I never even heard him approach me I was so lost within my mind.
“How are you feeling?” He asked as I handed him his cup of coffee, still piping hot.
“I'm gonna kill Frank,” I said matter-of-factly, turning to face him. The look of bewilderment on his face made me huff out a laugh.
8 notes · View notes
buxberg · 10 months
Text
Son premier travail cinématographique n'était pas un épisode de Three Rooms in Manhattan (1965)
Tumblr media
L'acteur a joué dans le film The Wedding Party de Brian De Palma en 1963, dans lequel il jouait l'un des amis du marié.  Tournant une comédie légère, la farce est devenue une bonne rampe de lancement pour plusieurs jeunes artistes à la fois.  Cependant, en raison de la faillite de l'entreprise de fabrication, le film fini est resté "sur l'étagère" pendant 6 ans et est sorti en 1969.  1973 est l'une des années les plus importantes de la carrière de Robert De Niro.  Il joue le rôle du joueur de baseball Bruce Pearson dans le film "Beat the Drum Slowly", pour lequel il reçoit le New York Film Critics Association Award (Meilleur acteur dans un second rôle), et avec lui la renommée et l'attention du public.  Deuxièmement, avec le film Mean Streets, il entame une longue collaboration avec Martin Scorsese.  Pour le rôle de Johnny Boy, De Niro reçoit également un prix, cette fois le Conseil national des critiques de cinéma des États-Unis dans la nomination "Meilleur acteur dans un second rôle".  En fin d'année, il passe un screen test pour le rôle du jeune Vito Corleone dans le projet The Godfather II de Francis Ford Coppola.  Avant d'être approuvé dans ce statut, De Niro a déjà auditionné pour les rôles de Sonny Corleone, Michael Corleone, Carlo Rizzi dans le premier film de la trilogie.  Pour le rôle de Don Vito, Robert De Niro remporte à juste titre l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle.  L'attribution de ce prix est liée à deux précédents.  Dans le film, Vito Corleone parle italien, ce qui signifie que l'Oscar a été décerné à un acteur américain pour son rôle dans une langue étrangère.  Marlon Brando et Robert De Niro étaient les seuls artistes à avoir reçu un Oscar pour avoir incarné le même personnage (mais à des années différentes de sa vie).
0 notes
Text
La lettre (royai)
Version française de ma fic “Words left unspoken”.
C’est la version originale, si vous êtes francophones, c’est celle que je vous recommande. Lien AO3: https://archiveofourown.org/works/24664069
----------------------
Le deuxième dimanche du mois, les soldats du 4ème bataillon avaient la chance d’envoyer des lettres à leur famille loin du front. Chaque homme se prêtait à l’exercice; certains avec excès, comme Hughes et les romans qu’il envoyait à sa fiancée, et d’autres avec réserve, comme Pearson qui n’écrivait que quelques lignes à sa vieille mère ; mais tous envoyaient au moins quelque chose.
Tous, sauf leur plus haut gradé, le major Mustang.
Mustang avait bel et bien une famille et des amis à qui envoyer des lettres, mais la vérité était qu’il n’avait aucune envie de le faire. On écrivait à ses proches, se disait-il, pour leur offrir une petite partie d’un paysage découvert en voyage, ou bien pour les rassurer en donnant des nouvelles de soi. Mais il n’y avait aucune partie des déserts suffocants et des nuits glaciales d’Ishval qu’il ne souhaitait renvoyer à Central, et aucune nouvelle de lui-même qu’il désirait que ses proches n’apprennent. Vu l’état dans lequel il était, leur donner des nouvelles ne les rassureraient guère, de toute façon.
Non. Roy se corrigea. Il était en vie, et il n’était pas blessé ; c’était déjà un sort bien plus favorable que celui de plusieurs de ses camarades, et il se devait de dire au moins cela à ses proches. Il savait qu’une absence de lettres leur ferait supposer le pire ; autant leur sauver un peu de soucis s’il le pouvait.
Après tout, il avait déjà créé bien assez de souffrance ici.
En puis, comme lui avait fait remarquer Hughes, son absence de courrier avait commencé à se faire remarquer dans le bataillon. Les hommes spéculaient : le Major n’avait-il donc aucune famille? Ou bien se foutait-il d’eux complètement? Roy se faisait déjà traiter comme une arme humaine par ses supérieurs, et son apparente indifférence ne faisaient que renforcer cette idée dans l’esprit des soldats. « Il faut que tu leur montre que toi aussi, tu as des gens à qui tu tiens en dehors du front », lui avait conseillé Hughes. « Ça leur rappellera que tu n’es qu’un humain comme les autres. »
« Et peut-être », avait-il sûrement pensé, « que ça te le rappellera à toi-même ».
Et donc, quand vint le soir du deuxième samedi du mois, plutôt que d’aller se réchauffer avec les autres autour du feu, Roy emprunta un stylo et quelques feuilles à Hughes et se mit au travail.
Dû à son rang de Major, il avait le droit à une tente individuelle meublée d’un lit de camp et d’un petit pupitre en bois ; une installation spartiate mais qui offrait une intimité que plusieurs soldats lui enviaient. Éclairée simplement par une chandelle, Roy commença sa première lettre, destinée à ses sœurs. Il l’adressa à Vanessa, celle dont il était le plus proche, mais il savait bien que les autres filles de l’établissement s’empresseraient de lire le message par-dessus son épaule.
Alors qu’il était toujours si loquace en temps normal, Roy se trouvait soudainement en manque de mots. Les filles le connaissaient comme le garçon amusant et charmeur, qui trainait dans le bar de Madame Christmas depuis bien avant sa majorité et qui les émerveillaient en créant des fleurs grâce à son alchimie. Qu’avaient en commun ce garçon et l’homme qui écrivait la lettre? Que pouvait-il bien leur raconter sans leur révéler à quel point il avait changé? Il eut une fois de plus envie de froisser le papier en boule et d’en arrêter là. Plus que tout, il souhaitait que ses sœurs gardent comme seule image de lui le Roy adolescent qu’elles avaient connus, celui qui n’avaient pas encore de sang sur les mains. Mais il savait bien que ce n’était qu’un espoir illusoire : tôt ou tard, les nouvelles du Flame alchemist et de ses ravages feront leur chemin jusqu’à Central, et lorsque cela arriverait, il n’y aurait plus rien à cacher.
Autant qu’elles s’habituent tout de suite à l’idée d’un Roy en habit de soldat.
Il garda tout de même un ton léger tout au long de sa lettre. Il parla de la température, de son uniforme que ses sœurs trouvaient si laid et qui lui semblait constamment trop lourd ou trop léger. Il parla de la nourriture, qu’il qualifiait de pire que les plats de Madame Christmas, et des quelques bouteilles auxquels les soldats avaient droit de temps en temps. Il parla des longues soirées à discuter autour du feu et de la camaraderie qui existait dans son bataillon, sans préciser que le respect et la crainte qu’il inspirait chez ses hommes l’empêchait de réellement y prendre part.
Il ne parla de rien d’autre.
Dans sa lettre à Madame Christmas, il parla de la fatigue constante qu’il éprouvait et de la pression que lui imposaient ses supérieurs. Sa mère adoptive pourrait comprendre tout cela – mais elle n’avait jamais été dans l’armée, alors Roy ne lui parla pas de la situation militaire.
Au Colonel Barker, son ancien supérieur et mentor, il parla des pénuries de munition et des retards de ravitaillement qui les empêchait d’avancer pendant souvent plusieurs jours. Il parla du manque de troupe et des cadets à peine sortis de l’académie qui allaient être appelés au front pour combler les trous.
Puis, en regardant ses quelques feuilles restantes, Roy se demanda à qui envoyer sa dernière lettre. Il l’aurait sûrement envoyé à Hughes, et était bien reconnaissant de ne pas avoir à le faire : Ishval aurait été encore pire sans un visage familier à ses côtés.
Il hésita un moment, puis adressa la lettre à Miss Hawkeye.
Il n’était pas certain pourquoi, mais il sentait qu’il avait un devoir de lui écrire. Avant qu’il ne soit déployé, Roy avait pris l’habitude de lui envoyer des lettres quelques fois par mois, histoire de vérifier comment elle s’adaptait à la vie de Central. Avec l’examen de state alchemist et le travail qui avait accompagné son entrée dans l’armée, il n’avait guère eu le temps de faire plus pour l’aider.
Même si elle lui avait dit plusieurs fois qu’il n’avait aucune dette envers elle, Roy ne pouvait s’empêcher de ressentir une sorte d’obligation envers la jeune fille. C’était peut-être un peu chevaleresque – lui-même préférait se dire qu’il agissait en gentleman – mais il avait l’impression d’avoir la responsabilité de veiller sur elle. Après tout, il ne lui restait plus aucune famille sur laquelle s’appuyer, et elle ne connaissait personne dans la capitale. Surtout, c’était grâce à elle et à son père qu’il avait pu devenir un state alchemist ; Roy ne voulait pas donner l’impression d’avoir abandonné Miss Hawkeye après avoir eu accès aux recherches de son père, comme s’il n’avait fait que l’utiliser.
Mais quand elle répondait à ses lettres, la jeune fille avait toujours pris un ton poli et formel, restant délibérément vague sur ses occupations et ne lui demandant jamais de l’aide. Manifestement, elle souhaitait s’occuper elle-même de ses problèmes, et Roy n’avait pas insisté. Comme il était étrange, songea-t-il non pas pour la première fois, que malgré ce qu’ils avaient vécus, ils soient pratiquement toujours des étrangers l’un envers l’autre.
Ce n’était certainement pas la première chose d’étrange à propos de Miss Hawkeye. Roy avait grandi entourée de sœurs adoptives, et avait côtoyé toutes sortes de filles dans son école de Central. Il en avait connu des affirmées comme des timides, des sérieuses comme des comiques, mais il n’en avait jamais rencontré aucune ressemblant à la fille de son professeur.
Roy n’avait entrevue Miss Hawkeye que quelques fois pendant les années où il avait étudié chez elle : son père l’avait inscrit dans un collègue privé de la ville la plus proche, et rare occasions où elle rentrait chez elle coïncidaient étrangement avec les moments où Berthold renvoyait son apprenti vers Central, histoire de lui « donner un peu de vacance ». Ainsi, ils ne s’étaient réellement parlé qu’après la mort de son père, lorsque Roy avait pris en charge les funérailles.
Au premier abord, elle lui avait simplement semblée douce et réservée. Un peu naïve aussi, se disait-il maintenant – autant que lui-même l’avait été à l’époque. Mais c’est après qu’elle eut décidé de lui confier les recherches de son père que Roy découvrit l’autre facette de sa personnalité.
C’était un roc. Une fois qu’elle avait pris une décision, elle était imperturbable et rien ne pouvait lui faire douter de son choix. Et certes, elle était discrète, mais elle affichait sa volonté avec autant de fermeté que si elle l’avait crié à plein poumons. Elle lui avait laissé l’impression d’une personne à qui l’on avait donné beaucoup de responsabilité, mais peu de reconnaissance.
Après les funérailles, Miss Hawkeye avait commencé à organiser les possessions de son père de façon méthodique et efficace, comme si le dernier membre de sa famille ne venait pas tout juste de mourir. Elle avait demandé à ce que Roy commence à étudier les notes de recherches de son père immédiatement, dans la maison familiale. Au moment de lui dévoiler son dos, elle avait semblé gênée, certes, mais elle n’avait montré aucun signe d’hésitation, et aucune plainte ou rire nerveux n’avait passés ses lèvres. Si cela avait été n’importe qui d’autre, Roy aurait sûrement fait quelques blagues pour détendre l’atmosphère et la mettre à l’aise, mais la jeune fille traitait la recherche de son père avec tant de gravité que cela lui aurait semblé un sacrilège.
Roy n’avait pu s’empêcher de ressentir un profond malaise en découvrant le tatouage que lui avait laissé son père, mais il n’avait pas osé formuler à voix haute les questions qui lui avait brulé la gorge. Ce n’était pas sa place : il ignorait tout de sa relation avec son père, tout comme il ignorait à peu près tout d’elle. Ils étaient des inconnus, reliés par le devoir plutôt que par choix, et Miss Hawkeye semblait déterminée à s’acquitter de ce devoir sans faillir. La seule autre chose qui les reliait était un homme qui les avaient marqués tout deux à jamais et qui n’était aujourd’hui plus qu’un fantôme.
Et Roy pouvait sentir le regard désapprobateur de ce fantôme peser sur lui à chaque instant depuis son arrivée à Ishval. À chacun de ses claquements de doigts, il imaginait la colère de son professeur et sa déception de le voir souiller son alchimie de la sorte. Maitre Hawkeye avait eu raison : l’alchimie du feu avait été transformé en simple arme au service de l’état, et tout cela à cause de Roy, et de sa fille.
Son professeur était mort depuis longtemps, devait se rappeler Roy, et il n’avait aucun compte à lui rendre. Miss Hawkeye, cependant, était bien vivante, et c’était au final elle qui lui avait offert les secrets de l’alchimie du feu. À elle, Roy devait quelque chose : des explications, des excuses, il ne savait pas trop, mais il sentait qu’il devait lui dire *quelque chose* avant qu’elle ne découvre dans les journaux les ravages que son choix avait entrainé.
Surtout, Roy voulait qu’elle sache qu’il avait été sincère, ce jour là où il lui avait parlé de son rêve. Ce n’avait pas été un mensonge pour la manipuler ; il avait réellement eu l’intention d’utiliser l’alchimie pour le bien du peuple, et il avait réellement rejoint l’armée pour protéger son pays. Simplement…les circonstances en avaient décidé autrement.
Il prit son temps pour mettre ses pensées sur papier, pesant soigneusement chaque mot. Il n’adoucit pas la situation comme il l’avait fait avec ses sœurs – il savait qu’elle pourrait encaisser la réalité, et il le la lui devait. Il ajouta, cependant, que son alchimie avait contribué à sauver de nombreuses vies amenistrienne ; c’était une faible consolation, mais c’était tout ce qu’il avait à lui offrir. Il s’excusa ; cela ne changeait rien, mais il sentait qu’il devait le faire.
Le lendemain matin, les yeux cernés par le manque de sommeil, Roy accompagna ses hommes pour la première fois au wagon de courrier, ses lettres soigneusement pliées dans la poche de son uniforme. Alors qu’il attendait en ligne pour les remettre, il vu un groupe de nouvelles recrues débarquer du train venant de Central.
Il aperçut soudain un cadet aux cheveux blonds et aux yeux ambrés, et le sol se déroba sous ses pieds. Sa gorge était nouée ; il ne pouvait rien faire d’autre que de la fixer dans un silence mortifié. La cadette blonde ne regarda pas dans sa direction et suivit son régiment qui partait vers le campement avant que Roy ne puisse se décider à l’interpeller.
Bientôt, ce fut à lui de déposer son courrier. Sonné comme s’il venait de recevoir un coup, il sortit ses lettres de sa poche et les fixa. Il les déposa sur la pile devant lui, sauf une, qu’il garda serrée dans son poing.
Une fois en dehors de la ligne, il claqua des doigts, et toutes ses excuses, ses explications, ses consolations soigneusement rédigées partirent en fumée en un instant et s’effacèrent, comme des paroles coincées au fond de la gorge.
5 notes · View notes