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#je suis fatigué des con
superiorkenshi · 1 year
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I post one Edit of Mihawk/Shanks and look at the comment-
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People are so dumb and full of hate for nothing 🤨
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satinea · 27 days
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Vieillir, c'est chiant.
J’aurais pu dire :
vieillir, c’est désolant,
c’est insupportable,
c’est douloureux, c’est horrible,
c’est déprimant, c’est mortel.
Mais j’ai préféré « chiant » parce que c’est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste.
Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira.
Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance.
On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant.
On était bien dans sa peau.
On se sentait conquérant. Invulnérable.
La vie devant soi. Même à cinquante ans, c’était encore très bien. Même à soixante.
Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.
Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps –
mais quand – j’ai vu le regard des jeunes, des hommes et des femmes dans la force de l’âge qu’ils ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge.
J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard.
Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables. Sans m’en rendre compte, j’étais entré dans "l’apartheid de l’âge".
Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants.
« Avec respect »,
« En hommage respectueux »,
« Avec mes sentiments très respectueux ».
Les salauds ! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect ?
Les cons !
Et du « cher Monsieur Pivot » long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus !
Un jour, dans le métro, c’était la première fois, une jeune fille s’est levée pour me donner sa place.
J’ai failli la gifler....
Puis la priant de se rassoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué.
« Non, non, pas du tout, a-t-elle répondu, embarrassée.
J’ai pensé que… » Moi aussitôt :
«Vous pensiez que…?
-- Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous assoir.
– Parce que j’ai les cheveux blancs?
– Non, c’est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, ç’a été un réflexe, je me suis levée…-
- Je parais beaucoup beaucoup plus âgé que vous?
–Non, oui, enfin un peu, mais ce n’est pas une question d’âge… --Une question de quoi, alors?
– Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois…»
J’ai arrêté de la taquiner, je l’ai remerciée de son geste généreux et l’ai accompagnée à la station où elle descendait pour lui offrir un verre.
Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, Ne renoncer à rien.
Ni au travail, ni aux voyages,
Ni aux spectacles, ni aux livres,
Ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve.
Rêver, c’est se souvenir tant qu’à faire, des heures exquises. C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.
C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve.
La musique est une drogue douce.
J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant
soit l’adagio du Concerto no 23 en la majeur de Mozart,
soit, du même, l’andante de son Concerto no 21 en ut majeur, musiques au bout desquelles se révèleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l’au-delà.
Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.
Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement. Nous ignorons à combien se monte encore notre capital.
En années? En mois? En jours?
Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital.
Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération.
Après nous, le déluge? Non, Mozart.
Les mots de ma vie de Bernard Pivot.
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sayitalianolearns · 1 year
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Diary entry 116 sentenceeesss (look how far up Korean went LOL)
1- If it doesn't rain, I will meet my friends (M) at the park. Se non piove, incontrerò i miei amici al parco. 비가 안 오면, 제 친구들을 공원에 만날 거예요. Si no llueve, me encontraré con mis amigos al parque. S'il ne pleut pas, je vais rencontrer mes amis au parc.
2- I like to have cookies for breakfast. Mi piace mangiare (dei) biscotti/cookies per colazione. 아침 식사에 쿠키를 먹은 좋아해요. Me gusta comer galletas para el desayuno. J'aime manger des biscuits pour le petit-déjeuner.
3- My cousin (F) is Spanish. Mia cugina è spagnola. 제 사촌은 스페인 사람이에요. Mi prima es española. Ma cousine est espagnole.
4- The computer is on the desk and the book is under the bed. Il computer è sulla scrivania ed il libro è sotto al letto. 컴퓨터는 책상 위에 있고 책은 침대 아래에 있어요. El ordenador está en el escritorio y el libro está debajo de la cama. L'ordinateur est sur le bureau et le livre est sous le lit.
5- I (F) am tired because I worked too much. Sono stanca perché ho lavorato troppo. 저는 너무 많이 일했기 때문에 피곤해요. Yo estoy cansada porque trabajé demasiado. Je suis fatiguée parce que j'ai travaillé trop.
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ldngwkshsbnd · 5 months
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commentaires de l’épisode 12 de Only Friends part 9 : (-18)
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oh t’es mignon mon petit Ton mais là ça va être compliqué. si il vient c’est vraiment qu’il est super sympa.
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oohh nan les filles venez, on vous voit pas beaucoup. restez avec eux, moi j’ai envie de vous voir plus vous êtes trop mignonnes.
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oh tiens qui voila! un petit Nick qui s’est perdu. t’es courageux de venir ici toi.
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bah de toute façon il vient d’arriver, donc oui, il va venir. et puis si il dit nan, tu le prends sous le bras et tu m’emmènes.
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incroyable cette voiture, c’est trop mignon. Sand qui matte bien Ray, on te vois. par contre je ferai pas trop confiance à Ray, y’a meilleur conducteur que lui.
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putain Nick il est super gêné. Boston il est trop mignon. la voiture est trop belle et les gars dedans aussi, bah quoi c’est vrai faut pas s’arrêter juste à la voiture.
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oohhh c’est trop mignon. vraiment c’est dommage que tu sois con et autant addict au sex. vous vous aimez tellement et y’a un truc de merde qui s’est foutu au milieu, il a même pas dit bonjour.
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AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHH ON LES À PAS ABANDONNÉES ELLES SONT LÀ. je suis trop fan de ce couple, elles sont tellement mignonnes.
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j’espère en tout cas, pour vous, comme pour nous. mais si y’a une saison 2 avec notre très cher ami Mix, on est foutu. attend tu dis ça parce que Boston se barre? (mdr je fais le relecture le matin je capte d’autres trucs à chaque fois)
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c’est bien Ray, si il y arrive je serai trop fier de lui. j’espère qu’il y arrivera. courage mon petit Ray ton amoureux va t’aider.
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to be continued ->
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je suis fatigué…
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vabazeri · 8 months
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Jour 24
Ouais ouais je sais, ça fait un moment. En vrai, j'avais pas trop le moral de vous racconter quoi que ce soit, eh puis, j'en ai un peu marre de vous raconter au final, toujours la même choses...
Bon, j'vous fait un mini bilan quand même : ça va, il est toujours gentils et cash, il est "jaloux" ou "inquiet" je sais pas trop comment le qualifié mais il a eu mal sur un truc à la con concernant un autre homme en jeu, et j'ai eue de la peine pour lui aussi alors j'ai tout stopper, il est très présent attentionné et... Bah j'ai la dalle voilà. La seule question que je me pose en ce moment (et depuis qu'il est malade et que ça traîne) c'est qu'il a vraiment pas l'air mal l'aise avec la gentillesse et l'attention, je me demande s'il a déjà eu quelqu'un qui s'est vraiment inquiéter de lui, qui a déjà fait preuve de gentillesse sans rien attendre en retour...
À part ça, aujourd'hui j'ai un peu de nouveau si je puis dire.
J'ai quitter le boulot si prometteur et si bien payé ! Ouais, j'me suis barré et en vrai, la raison est simple, j'ai pas tant besoin de gagner autant. En fait, à la réflexion, j'aurais peut être jamais à m'occuper de qui que ce soit à part moi et mes animaux alors autant ne pas ce fatigué pour rien.
J'avais envie d'un boulot chill, un truc de bureau pour une fois, de la paperasse à faire, un truc ou j'ai la même choses en boucle à faire, de la routine quoi pour pouvoir rentrée à heure fixe et passé du temps à autre chose en fait. J'avais envie de passer mes soir en jeu et en live surtout.
En rp, baaah, pareil, des hauts et des bas en fait. Y avait des trucs qui me faisait vraiment plaisir, j'adorais jouer avec les membres de mon secteur (enfin presque) mais je supportais de moins en moins certaines choses et les émotions liées avec que j'avais du mal à contenir genre la colère, la jalousie ou même pire, la méprise.
À côté, j'ai profité à fond de mon temps de maladie et de recherche de nouveau taff, j'ai beaucoup streamer et pas forcément que du rp, j'ai jouer et dessiné, j'ai ENFIN pu passé chez le coiffeur (et putain ça fait du bien !) j'ai récupéré des logiciels et diverses choses que je ne pouvais pas avec Red et qui me donnaient la sensation de me récupérer moi même. Bon, j'avais pas récupéré toute mes affaires chez lui encore et au fond, je me disais que je les récupérerai probablement jamais ...
Niveau santé c'était pas dingue dingue il faut avoué MAIS je retenais quand même une choses qui me rendait vraiment fière : je n'étais plus sous traitement ! Et surtout, je n'en sentais plus le besoin réel !
Ouais alors OK, on va remettre les choses à plat, je faisait parfois des chutes de morale impressionnante et partant de rien mais, en vrai, c'était de plus en plus rare et j'arrivais à gérer à peut près. (et puis putain, je peu de nouveau boire et manger du pamplemousses ! Et juste ça, ça a pas de prix !) J'arrivais aussi à sortir de plus en plus, j'avais récupéré un semblant de corps qui m'appartenait et le regard des autres commençait à ne plus peser si lourd. C'était un sacré boulot mais je m'en sortais, je me battais et c'était le plus important.
En vrai, la vie commençait doucement à avoir une apparence "normale" eh putain... Ça fait du bien en fait !
Merci Bunny !
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swedesinstockholm · 9 months
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13 juillet
je suis partie en randonnée aujourd’hui, toute seule. c’était pas une grosse rando, ça m’a pris quatre heures, mais c’était assez pour mes hanches. je me suis assise sur un rocher au bord de la rivière pour écrire dans mon carnet parce que je pensais à petite maman de céline sciamma, je l’ai regardé hier et je me suis mise à pleurer inopinément au générique de fin, ça m’a prise par surprise. je pensais à la petite fille du film qui est bien plus cool et plus perspicace que moi à huit ans et je pensais au livre d’alice zeniter dans lequel elle parle de ses héros littéraires de jeunesse qui sont tous des personnages masculins, parce que les personnages féminins étaient ou inexistants ou inintéressants, et je me demandais avec quels héros/héroïnes j’avais grandi moi, mais j’arrivais pas à trouver. pourtant je lisais beaucoup. peut être que j’en avais tout simplement pas. même harry potter n’était pas mon héros, je voulais pas être lui, j’étais amoureuse de lui. je suis une amoureuse depuis que je suis petite. alice zeniter se demande quelle femme elle serait devenue si elle avait grandi avec d’autres modèles, avec plus d’héroïnes intrépides, et moi je me demande qui je serais devenue si j’avais pas lu tous ces livres et tous ces magazines à la con bourrés d’adolescentes obsédées par la même chose (les garçons). si j’avais lu plus de science-fiction, ou de vraie littérature. (je dis pas que la science-fiction n’est pas de la vraie littérature, c’est un raccourci ok) j’ai commencé très tard à lire des livres non destinés à des adolescentes en chaleur. peut être que mon style d’écriture serait totalement différent.
j’avais fait du pain à l’épeautre la veille pour me préparer un sandwich de randonnée à la tomate mais je l’ai mangé qu’à la fin, en attendant le train sur le quai de la gare, à côté d’un homme en costume qui puait l’eau de cologne et qui discutait avec une femme qui avait l’air très fatiguée de la vie. même si c’est surtout elle qui faisait la conversation. lui se contentait de faire des réponses monosyllabiques. elle s’occupait de personnes autistes et elle se plaignait que les jeunes voulaient plus travailler aujourd’hui. je me suis tellement sentie visée, en train de manger mon sandwich à la tomate après avoir passé l’après-midi à me promener dans la forêt et à me filmer en train de crapahuter sur des rochers, un jeudi parmi les jeudi de mes vacances éternelles, que j’avais peur qu’elle se mette à me poser des questions et qu’elle me demande de me justifier. elle disait qu’elle comptait les jours jusqu’à ses prochaines vacances, à la fin du mois. en ce moment elle travaillait de quatre heures de l’après-midi jusqu’à onze heures du soir, mais ça pouvait aller jusqu’à une heure du matin parce qu’on sait jamais avec les autistes. elle parlait de son fils qui travaillait chez goodyear, il fait du travail de nuit mais il y est beaucoup mieux qu’à l’abattoir, où c’était très dur et en plus il se faisait harceler par un de ses chefs. le type en costume disait c’est pas bien ça d’être harcelé en secouant la tête et vraiment, passer de ma petite rando enfermée dans mon petit monde de pensées à ce quai de gare avec ces gens de la campagne aux sujets de conversation très réels, c’était hardcore. j’arrêtais pas de me dire que j’aurais du manger mon sandwich sur un rocher au bord de la rivière, mais j'avais pas assez faim.
après dans le train j’étais assise derrière une femme qui était au téléphone avec son travail, elle avait l’air d’avoir un travail très important parce qu’elle parlait anglais mais c’était pas sa langue maternelle, elle parlait de hong kong et des états-unis et quand elle a raccroché elle a fait un high five à sa fille et elle a dit no more work now! elles partaient en weekend à paris. je suis toujours un peu fascinée par ces femmes dynamiques et énergiques qui ont beaucoup de ressources et de confiance en soi et un travail prenant avec beaucoup de responsabilités où il y a beaucoup d’argent en jeu. c’est un monde qui m’est totalement étranger.
14 juillet
je me suis exilée sur le balcon avec la porte fermée pour échapper au chien. heureusement il fait gris. une de mes stories a été likée par r., perrine et ma tante h. et je me les suis imaginés ensemble, en vrai, leurs trois personnes physiques au lieu des trois petits ronds de leurs avatars. r. et perrine et puis la soeur de r. aussi. ils étaient tous les trois dans le même lycée catholique et je pensais à leur milieu, à la manière très articulée dont s’exprime r. je regardais leurs noms sur mon téléphone et j’essayais de m’imaginer ce qu’ils se diraient, comment ils interagiraient. je me les imagine toujours comme les personnages qui bougent sur les tableaux dans harry potter, coincés à l’intérieur de leur cadre, condamnés à se tenir compagnie même s’ils se connaissent pas.
hier matin à la gare je montais les escaliers derrière une fille avec un gros sac à dos et de longues jambes fines et bronzées avec deux tatouages identiques sur chaque mollet (deux points d’interrogation, un à l’endroit et un à l’envers) et je me demandais si, si j’avais eu ses jambes, et sa tête, et son corps, les sentiments de r. à mon égard auraient été différents. tout d’un coup dans le train, alors que je regardais la tête du type devant moi appuyée contre la fenêtre, avec ses cheveux ras qui avaient l’air de piquer comme un gazon fraîchement tondu et un peu sec, je me suis dit: r. ne m’aime pas parce que je suis moche. c’est une histoire de physique. puisqu’il aime tout le reste. je me demandais si je lui faisais le même effet que le type devant moi me faisait à moi, avec son crâne de gazon sec.
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languageleo · 2 years
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Le passé récent
(english and spanish explanations below)
(explicaciones en inglés y español debajo)
Le passé récent est utilisé quand on veut parler de quelque chose qu'on a fait très récemment
Le format de ce conjugation es le prochain:
venir conjugué au présent + de + un verb infinitive
Par example: Je viens de manger avec mes amis.
Une activité pour vous:
Pour chacun des verbes suivants, formulez deux phrases au passé récent
regarder
voir
finir
achèter
passer
Mes phrases sont dessous du reste du post, si vous voulez comparer :3
English version
The passé récent (recent past) is used when someone wants to talk about something they did very recently.
The format of this conjugation is the following:
venir conjugué au présent + de + un verb infinitive
For example: Je viens de manger avec mes amis.
The English version of this sentence would be "I have just eaten with my friends."
An activity for anyone reading this:
For each of the following verbs, make two sentences using the passé récent:
regarder
voir
finir
achèter
passer
Versión en español
El passé récent (pasado reciente) se utiliza cuando queremos hablar de algo que acabamos de hacer.
El formato de la conjugación es el siguiente:
venir conjugué au présent + de + un verb infinitive
Por ejemplo: Je viens de manger avec mes amis.
En español, esta oración sería "Acabo de comer con mis amigos."
Una actividad para ustedes:
Para cada uno de los siguientes verbos, formulen dos oraciones usando el passé récent:
regarder
voir
finir
achèter
passer
Mes phrases
Regarder
Mon ami m'a dit que vous venez de regarder les canards dans le parc, ces sont très beaux, non ?
Je viens de regarder le coucher de soleil avec mon copain.
Voir
Salut ! Nous venons de voir un film très triste au cinéma, mais c'est un bon film.
Bonjour, Pierre. Je viens de voir ton mère dans le marché !
Finir
Mon amie vient de finir son dernier examen !
Je suis fatigué, je viens de finir mon travail.
Achèter
Tu est en retard, mais je l'oublierai parce que tu viens de achèter du gâteau.
Ah ! Je me souviens ! Je viens de achèter plus de gaufres.
Passer
Malheureusement, le bus vient de passer il y a cinq minutes.
Je viens de passer cette rue, il y a trop de circulation.
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maddogsociety · 2 years
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Bon
Pendant 5 jours ça allait. Puis là c'est de nouveau la merde niveau moral.
Au moins j'ai pris rendez vous pour aller chez le psy, mais c'est plus vivable, clairement pas. Je devrais être en train de dormir pour pouvoir aller en cours demain, mais je sens que finalement je vais sécher la journée entière. J'ai pas la force, j'ai plus la force de m'obliger a faire des choses.
Ça fait 20 minutes que je pleure constamment parce que je sais même plus pourquoi je pleure ... Tout ce que je veux c'est que mon cerveau se mette enfin que off, pour une semaine ou même des mois.
Ca allait bien et là juste a cause d'un truc pourri ça va plus du tout.
Je sais pas si j'aurais la patience d'attendre jusqu'ai 2 décembre pour le rdv psy. Je vais peut être essayer de voir les psy du CROUS, je sais pas peut être qu'en attendant ca rendrait les choses plus vivables
Je supportes plus les cours, je supportes plus les exams, je supportes plus rien. Le seul truc qui me rend heureuse c'est justement quand je suis pas a la fac, quand je vois mes potes et que je picole des cocktails a la chaîne ....
Putain c'est triste.
Ça sert a rien de faire la pignouf ici, mais au moins je me concentre sur un truc et j'ai pas mon cerveau qui tourne en boucle sur un truc a la con....
Ça fait des mois que j'ai pas fait de joli rêve sympa, je fais que des trucs chelou, soit je perds mes dents, soit je dois tuer des gens. Je dors mal constamment, j'ai beau dormir 10h je suis toujours fatiguée je sais plus quoi faire. J'en ai marre
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MARDI 7 MAI 2024 (Billet 1 / 4)
Nous « rebloguons » ce Billet que nous avions édité le MARDI 6 FEVRIER 2024, réactualisé malheureusement aujourd'hui.
Encore un grand merci à Marlène (B. de Miami) qui nous avait fait suivre ce texte.
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Bernard Pivot dit que « vieillir, c’est chiant » ! Un texte magnifique et inspirant.
« J’aurais pu dire : Vieillir, c’est désolant, c’est insupportable, C’est douloureux, c’est horrible, C’est déprimant, c’est mortel. Mais j’ai préféré « chiant » Parce que c’est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste. Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira.
Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance. On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant. On était bien dans sa peau. On se sentait conquérant. Invulnérable. La vie devant soi. Même à cinquante ans, c’était encore très bien… Même à soixante. Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme. Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps j’ai vu le regard des jeunes… Des hommes et des femmes dans la force de l’âge qui ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge. J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard. Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables. Sans m’en rendre compte, j’étais entré dans l'apartheid de l'âge.
Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants. « Avec respect », « En hommage respectueux », « Avec mes sentiments très respectueux ». Les salauds ! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect ? Les cons ! Et du « cher Monsieur Pivot » long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus ! Un jour, dans le Métro, c’était la première fois, une jeune fille s’est levée pour me donner sa place… J’ai failli la gifler. Puis la priant de se rasseoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué. !!! ? – « Non, non, pas du tout, a-t-elle répondu, embarrassée. J’ai pensé que… ». – Moi aussitôt : « Vous pensiez que ? » – « Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous asseoir. » – « Parce que j’ai les cheveux blancs ? » – « Non, c’est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, ça a été un réflexe, je me suis levée. » – « Je parais beaucoup… beaucoup plus âgé que vous ? » – « Non, oui, enfin un peu, mais ce n’est pas une question d’âge. » – « Une question de quoi, alors ? » – « Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois. » J’ai arrêté de la taquiner et l’ai remerciée de son geste généreux.
Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, ne renoncer à rien. Ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles, ni aux livres, ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve. Rêver, c’est se souvenir, tant qu’à faire, des heures exquises. C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent. C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve. La musique est une drogue douce. J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant soit l’Adagio du Concerto n° 23 en La majeur de Mozart, soit, du même, l’Andante de son Concerto n° 21 en Ut majeur, musiques au bout desquelles se révéleront à mes yeux, pas même étonnés, les paysages sublimes de l’au-delà. Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.
Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement. Nous ignorons à combien se monte encore notre capital. En années ? En mois ? En jours ? Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital. Mais comme un « usufruit » dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération. Après nous, le déluge ?… Non, Mozart ! »
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little-weird-grinch · 9 months
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Cet après-midi, je retourne en cours après avoir passé le week-end et les deux premiers jours de la semaine malade. Tous mes symptômes n'ont pas encore disparu, mais je vais globalement mieux, physiquement.
Mais mentalement ? Ouh, ça part dans tous les sens. Le stress de rencontrer une nouvelle prof, un nouveau cours, de retrouver le stress de devoir participer en classe, de retrouver ces camarades avec lesquels je ne suis pas parvenue à me lier l'an dernier, et tout cela avec un masque (donc bonjour la peur du jugement, même si, raisonablement, je sais que je dois porter ce masque).
Evidemment, tout ce stress me coupe totalement l'appétit, je ne parviens pas à prendre plus de deux cuillerées de fromage blanc. Ce qui signifie que mon ventre va grogner en cours, et que je vais m'en vouloir de faire du bruit, en plus de mourir de faim.
Et j'ai beau aller mieux, je suis extrêmement fatiguée. J'ai eu ces derniers jours pour essayer de bien dormir, mais devinez quoi, le jour où je ne mets pas de réveil, je me réveille à 7h30, et le jour où j'en mets un, je me réveille avant. Mon corps n'a pris aucune des chances qu'il a eu de dormir un peu plus. Et après ça, je ne lui en ai donné aucune non plus. Vraiment, c'est un jeu de "qui va réussir à être le plus con ?".
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ecrismoiecristoi · 1 year
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Salut
Aujourd’hui j’ai demandé à mon chéri, Bryan, de quitter la maison. Je ne sais même pas pour combien de temps. Je ne sais même pas pour combien de jours. Il est parti et s’est tout.
Je ne sais pas si, quand je vais rentrer, il sera là. Je ne sais pas si mon lit sera habité quand je vais m’y coucher.
Ce que je sais c’est que quand je l’ai vu quitter notre chez nous, mon coeur a pris un coup. Suis-je entrain de détruire quelque chose ? Suis-je entrain de mettre la mauvaise propriété en valeur ? Suis-je entrain de faire l’erreur de ma vie ? C’est con mais c’est la première personne qui m’a fait jouir à CHAQUE relation qu’on ai eu, et UNIQUEMENT grâce à la PÉNÉTRATION. Si c’est pas du génie ça.
Puis il est partit. Et tout était vide. Et je devais voir ma copine pour en parler, me changer les idées. Mais elle ne répondait pas et tout semblait encore plus vide, sans bruit, sans mouvement, le vide. Quelle tristesse, quel vide, il me manque. Il me manque alors qu’il me soule a longueur de temps. Mais sa présence, ses blagues pourries, son envie de me faire toujours plus de câlins. L’attention qu’il me porte me manque. Alors que de base je ressens qu’il m’étouffe. Comme si quand il est présent c’est trop, mais une fois qu’il part tout est dépeuplé. Comment m’en sortir là dedans ? Comment savoir ce qui me plaît vraiment ?
En attendant ma copine m’a répondu, je suis allée boire deux verres avec elle. Et pendant ce temps j’ai beaucoup pensé à Bryan, dans le sens que j’ai beaucoup parlé de nous, et de lui. Et j’ai remarqué qu’en fait j’avais ce besoin de me décharger. Et j’ai débité pour exprimer à quel point j’étais à bout. À quel point j’en pouvais plus. Que tous ses cotés positifs je les aime énormément : comme il adore les câlins, les papouilles, être proche physiquement de sa copine, dire devant qui veut bien l’entendre (et même ceux qui ne le veulent pas), comme il m’aime, qu’il est amoureux et qu’il ne pense qu’à moi. Et ça j’adore, réellement. Mais que tous ses cotés négatifs : être extrêmement flemmard, ne jamais vouloir se lever le matin, toujours se trouver une excuse à tout, toujours parler de foot, toujours mettre en priorité sa vie sociable (par rapport à trouver un taff), ne s’intéresser qu’à des choses que je trouve futile (des voitures, des habits, des lieux sociaux, en bref : la consommation), et ne pas avoir le goût de l’effort, du challenge. J’aimerai vivre des aventures moi, j’aimerai qu’il ai envie de courir un marathon, j’aimerai qu’il ai envie de partir 2 semaines en survie dans la montagne, j’aimerai qu’il ai envie de parti un mois surfer, j’aimerai, j’aimerai
Mais il aime se reposer. Ou faire un effort, car ça me fait plaisir, de manière très épisodique. Et de toutes façons, tous ses week-ends sont pris par le foot, donc on ne peut pas faire grand chose.
En bref, j’ai la sensation de vivre en fonction de sa flemme, de sa manière d’être mou et tout le temps fatigué. Comme si rien ne l’animait à part le foot, ou coucher avec moi.
Quand moi j’adore les aventures, j’aime me lever le matin en me réjouissant : c’est une nouvelle journée, tout est venir, quelle chance ! Rien n’est fatalité. RIEN. Et mes rêves, je vais tout faire, tout faire pour les atteindre. Sinon à quoi bon avoir des rêves ?
Je crois finalement j’ai envie de rêver, et que je trouve fabuleux de rêver auprès de quelqu’un qui rêve
Et qui serait prêt à faire ce qu’il faut, pour atteindre ses rêves. Soyons fous, soyons prêts à tout pour rêver. Pour vivre notre rêve : soyons fous
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espritsnocturnes · 1 year
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J'ai 23 ans et je traine une imaturité paradoxale sur mon dos. Je m'habille en femme et sur mes cils du mascara et sur mes lèvres du rouge à lèvre léger et sur mes ongles... Du fluo avec le bout des doigts pleins de tipex. J'ai du mal à saisir tous les codes. Ça ressemble à ces french que toutes les grandes dames font mais c'est pas ça sur moi c'est ridicule et je me traîne des grands airs qui me vont pas. Moi j'ai le cœur pur et agité, un coeur qui brille de potentiel et d'envie mais qui cesse jamais de se griffer aux murs râpeux du monde. Ma pensée illimité se voit etriquee a mesure qu'elle avance vers mes yeux où La réalité comme un videur nonchalant balaie tous les espoirs et les attentes que je me fais à l'intérieur, du monde et des relations et du professionnel et du relationnel et du personnel. Tout est difforme et tout differe entre ma volonté que tout soit aussi simple que dans ma tête, dans ma tête c'est simple sans s'encombrer de tous les codes de tous les "oui mais", en vérité, à la base, il n'y a pas d'excuses car tout est possible dans l'esprit à condition de se le figurer et le prisme de mes fantasmes ouvre la brèche d'une frustration qui grossit en trou noir et qui avale tout et mon anxiété dans le ventre moi je vomis, je vomis, j'essaie de faire sortir ce trou dans le trou de la cuvette que je rempli et qui l'absorbe ce trou dedans est aussi dehors je suis face à mon vide et je suis vide. Je pourrais me résoudre à m'adapter. A comprendre que le monde ne changera pas parce que j'en ai exprimé l'envie et que j'ai pu le concevoir autrement intérieurement. Je pourrais me résigner à composer avec, à être moins excitée, à moins rechercher le plaisir et les rencontres et les idées, je pourrais parce que je suis très fatiguée et que plus je résiste plus mes jambes tremblent et mes bras sont encore plus faibles que mes jambes car les jambes supportent tout le poids de mon corps et mes bras ne supportent plus mon corps mon corps est insupportable car il m'ancre dans un monde qu'il ne peut pas modifier, dans lequel sa propre empreinte s'efface en un souffle dans le sable. Je pourrais m'adapter. Mais je veux pas mourir. Moi je veux pouvoir rester naïve et tout le monde trouve ça touchant et admirable et un peu con mais assez touchant pour paraître courageux que de rester naïve alors que tout ces gens piétinent mon coeur qui s'est pas protégé parce que le monde marche comme ça quand même et je veux pas mourir je veux pas mourir je veux pas mourir et mon coeur n'a pas de protection et lui en forger une ça serait tuer mon cœur qui est libre encore pour l'instant, moi je veux pas enfermer mon coeur qui a la bougeotte en permanence alors mon coeur tout erraflé fatigue et danse de plus en plus lentement sur la musique de la vie je veux pas mourir je veux pas mourir je veux pas mourir et y'a quand même une petite cassure même si je résiste pour la vie y'a déjà une petite partie de mort à prendre conscience que c'est temporaire, j'aurais préféré pas savoir que je pouvais mourir, rester animal et insouciant, maintenant je sais que je peux mourir que je suis en train de mourir et que me sauver ça serait me tuer aussi, maintenant je sais que je suis naïve mais que partiellement maintenant car je sais que je suis naïve et je peux plus l'être simplement parce que maintenant je sais. moi j'ai toujours dit que je préfère un beau mensonge moi je veux pas savoir moi je veux rêver éveillée moi je veux pas mourir en fait je veux pouvoir croire que je peux tout changer et que tout s'invente et se défait aussi facilement qu'une pensée peut popper et que les choses se négocient, je veux pas faire le deuil de la vie pour enfermer mes valeurs dans la boîte des souvenirs de la jeunesse que ça détruit d'avoir un monde si violent que ça vous tue à 23 ans le coeur et l'âme et les envies 
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inachevees · 1 year
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12/03/2023
Chez Loulou. Raph et sa sœur Anne. Un gars qui s’appelle Dylan je crois t-shirt brillant en maille veste de blazer et maquillage sur tout le visage il dit vous êtes trop mignons tous les deux avec son accent toulousain faudrait l’entendre pour y croire. Je fais mon touriste de la langue française (con de snob). Loulou se met des paillettes sur ses pommettes opérées. Au début je suis gêné. Je connais personne. C’est minuit. Je suis pas vraiment fatigué mais ça commence à être bourré autour c’est ça qui me fatigue. Vous formez un trop beau couple ! Vraiment. Guillermo est trop fier, je le vois. J’ai même pas besoin d’imaginer. Il s’allonge sur moi pendant que les autres se préparent pour sortir. Je te fais confiance, tu sais. Je lui dis qu’ils ont été idiots, les autres, de lui reprocher ce qu’ils savaient dès le départ, comment il était. Moi, je sais, je lui dis, je sais et ça me va, et si ça me va pas je te le dis, je ne le garde pas pour moi pour te le reprocher des semaines après. Il a peur d’un déséquilibre entre nous parce que lui baise à côté et pas moi. Mais je n’ai pas de frustration. On part, je sais déjà en bas de l’immeuble que je n’irai pas avec eux en boîte. Je ne m’amuse plus, je suis trop sobre, eux trop bourrés. Je les accompagne jusqu’à la boîte et je rentre chez Guillermo.
Il rentre trois heures trente bourré. Il me met une fleur sur le visage en disant tient je l’ai arraché d’une tombe pour toi. Il veut se faire à manger. Il s’allonge sur moi, il s’endort. Je le déshabille, à sa demande (bafouillée), le range sous la couette, avec moi.
Il lit Didier Eribon pendant que je m’endors dans ses bras.
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albertinefloyd · 1 year
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Samedi 25 février 2023.
Aujourd'hui, on est allé chez Ikea. Ça faisait longtemps.
On s'est dit, oh, on a qu'à manger sur place. Ça fait longtemps.
On prends à manger pour Dana ? Oh, pas la peine, elle est grande maintenant, on lui prendra un menu enfant.
Dans la file d'attente, on a alors réalisé qu'on avait oublié de lui prendre un bavoir. Bon.
On a aussi réalisé que les menus enfants, et bien... Bordel, je sais que c'est l'Amérique, mais devoir choisir entre des pâtes, des frites et de la purée ? Ça les aurait tué de glisser deux trois légumes surgelés dans le lot ?
Du coup, c'est con, mais quand j'ai demandé une assiette enfant de boulettes de viande et purée, le serveur m'a demandé s'il devait ajouter la sauce qui va avec, et j'ai dit oui. Et vu comme ça on dirait qu'il n'y a pas de rapport, mais dans ma tête fatiguée et hypoglycémique, une sauce aux airelles et de la crème de champignons, c'était presque aussi bien que des brocolis vapeurs d'un point de vue nutritionnel.
On est allé se mettre à table. Dana n'en pouvait plus tellement elle était affamée. Au point où je n'ai même pas eu le temps de lui relever les manches avant qu'elle abatte son avant bras complet dans la sauce aux airelles susmentionnée.
Elle en avait jusqu'au coude, plein le pull.
"On a des langes ?
_Euh..."
Allez hop, Dana qui s'essuie la manche en travers du visage.
"Non mais deux secondes là, t'aurais pu attendre qu'on s'installe avant de lui donner son assiette !" pesta Athos, comme si ça allait changer quoi que ce soit à cette histoire de bavoir oublié.
Pour vous dresser le tableau, monsieur était déjà attablé, fourchette à la main, tandis que je me débattais avec le démon.
Tandis qu'on se houspillait, une femme est venue s'installer juste à côté de nous avec DEUX enfants en bas âge et sa poussette double. Et tandis que Dana essuyait ses mains pleine de confiture dans ses cheveux, cette dame fort bien organisée drapait sa progéniture de tabliers ET de bavoirs.
Je vous jure, je me suis vraiment sentie comme une amateure.
Bref. Dana a mangé en se mettant de la sauce aux champignons jusqu'aux sourcils, on a dû utiliser environ 10 serviettes en papier, désolée l'amazonie. Elle a mangé ses boulettes, sa confiture, un peu de pain à l'ail (Ouais, je me suis dit qu'elle aurait pas assez de glucides, et puis l'ail c'est aussi un légume, non ?)...
...et puis un yaourt vanille en dessert.
Athos et moi, on rigolait un peu nerveusement. On a tous les deux une certaine tendance à l'orthorexie, alors même si on essaye de rester relax à ce sujet, on s'est toujours assuré que Dana mange sainement. Que du fait maison, pas de sucre, pas de sel, légumes à tous les repas.
Mais bon, on se disait, une fois de temps en temps... et puis bon, ça va, c'est pas non plus comme si on lui donnait un paquet de bonbons...
Dana, très sage, mangeait religieusement son dessert, un yaourt.
On l'entendait plus du tout.
Mais alors, plus du tout.
"Oh...
_Quoi ?"
C'est con, mais j'avais oublié qu'il y avait du sucre dans les yaourts "normaux".
Ça plus la confiture, et sachant qu'on a un bébé particulièrement énergique de base et pas du tout habituée au sucré, on s'est retrouvé avec une espèce de tornade dans Ikea. Elle était déchaînée. Elle courait sans arrêt partout, se débattait si on la prenait à bras, se jetait sur les gens.
En plus on approchait de l'heure de la sieste, et Dana, plus elle a besoin de dormir, plus elle est survoltée.
Bref, c'était du sport, mais c'était marrant. Bon, sur la route du retour, elle s'est endormie à 5 minutes de l'arrivée... ce qui fait qu'elle s'est réveillée aussitôt le moteur coupé et qu'elle n'a plus du tout dormi de l'après-midi.
Mais au moins, ce soir, elle est tombée comme une masse ! Pour une fois, je peux passer la soirée avec Athos, et rien que pour ça, ça valait le coup de la gaver de sucre...
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michelgrimard-blog · 2 years
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Actualités relatives
3 septembre.
En médaillon, un des mix pour une animation mais statique, c'est intéressant pareil. C'était initialement prévu comme substitut aux ''Frises de Frank'' à 5 images mais depuis, d'autres utilisations remplissent cette fonction.
Donc ça peut changer...ou pas!
Je place la case qui devrait tasser l'autre sur la page 2.
Ici, c'est des nouvelles de moi, de vous ou des médias ou tout ce qui me passe pas la tête. Les autres publications étant plus thématiques.
En ce qui me concerne, c'est l'été, l'air est doux pis je m'en vais manger.
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Je scan un dossier
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Un mot sur la communication.
Avec moi entre autre!
Juste Twitter, je comprends pas trop, j'ai coché ''pas de notifications'' et me fais enterrer de messages ou publications!
En faisant des ''next, next, next, delete'' pour nettoyer, je peux flusher du plus important alors faut pas juste une fois, si un contact est souhaitable.
D'un autre côté, ça devient une sorte de mantra! Next...next...next...zzz...
Suite
Pense avoir stabilisé.
C'est archi bourratif con pour le cerveau, cet avalange de Twits et ''Top story'' assommantes la plupart du temps!
Même ce qui pourrait être intéressant va être flushé, à cause du nombre qui cause une saturation rapide si on est pas un ''Bob l'Éponge'' pour ces affaires là!
Mon compte Twitter est une vitrine, en sachant très bien le genre de ping pong absurde que ça donne des échanges à 20 mots.
Autiste émetteur, tiens!
Pour ce genre de web.
Un art qui est rendu public devient volontairement ou pas une représentation d'un systèmes de valeurs. Donc, il y a aussi un soupçon de politique sur mon Twitter. Depuis que je me suis fait récupéré par des partisans plates de la terre plate, aussi bien les afficher mes valeurs!
C'est un lien sur ce qui me fait décrocher de ma sympathie envers la crise en Ukraine.
Ça cadre pas dans mes valeurs.
Attacher du monde avec du plastic emballage parce que y parlent Russe et pas Ukrainien, c'est des cinglés...et ces cinglés ont fait 13,000 morts civils en 2014 chez les Russes Ukrainiens. Si tu fais une guerre non déclarée aux Ukrainiens Russes, viens pas te plaindre de te faire servir une guerre par la Russie.
C'est l'aspect idiot dans cette affaire là qui passe pas. Comme une grossière provocation pour partir quelque chose.
Ou on fait un ménage?
Pour eux la liberté, est celle de pouvoir attacher le monde aux poteaux quand y veulent!
Suis pas partisan, suis informé alors c'est selon ce que je vois sur Twitter de différentes sources indépendantes et pas dans les médias locaux.
?
Suis dans cette position!
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Une fois que le viscéral est inclus dans les rancunes...je n'ai plus de réponse.
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Je regarde les stratégies militaires d'encerclement.
Une game de GO, ça aurait fait pareil!
Quoi que une simulation ordi semblable avec des valeurs numériques recueillies sur les rapports de forces pour définir un point stratégique, c'est aussi possible.
La stratégie, c'était de laisser l'ennemi traverser le pont, en quantité suffisante, puis couper le pont et on défonce avec 30,000 hommes entre deux points de defense.
Après c'est l'amibe des positions qui bouge.
Un plan pour donner l'idée à l'autre de faire pareil!
On laisse l'ennemi traverser sur la rive des Russes avec le pont reconstruit...
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Une candidate libérale se ravise après avoir vanté la CAQ
Le poison en politique!
Si la CAQ fait mieux que toi, fait mieux qu'eux pis cette partisannerie vous discrédite à mes yeux.
La partisannerie, c'est de la marde en politique mais ça peut devenir un plaisir si c'est aux bonnes places. Comme dans les jeux vidéos ou sports de salons.
Pis je permettrais même l'insulte contre l'équipe adverse avec des portes voix dans les auditoriums de pros bien payés. J'ai pas dit amateurs! Aux salaires stratosphériques des athletes, y peuvent encaisser ça pour votre plus grand plaisir!
Les hooligans, y vont être tellement fatigués de gueuler des insultes que y restera plus d'énergie pour se battre!
Et j'offre des franchises pour les kioskes qui vendent des portes voix!
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Quelques mots de plus sur ce que j'ai écris à propos du rap.
Ça a pas changé, je trouve cette musique toujours aussi répulsive à cause de sa pauvreté mélodique. Ils ont choisi de booster le rythme à la place.
Esprit critique oblige, c'est pas un art nul car ça a généré de nombreuses variantes.
On exclut aussi racisme car Oscar Peterson est pour moi une référence.
Je vois encore dans les nouvelles, un rappeur qui se fait descendre.
Je parle souvent de rétro action et de la contagion supérieure d'un certain type de vibration. C'est pas mon invention, je vulgarise mes observations et celles de d'autres.
Une manifestation publique, ça implique aussi une rétro action plus intense. Si tu gueules des vibrations ''négatives'' , ça revient comme un écho.
L'exemple de ''Rammstein'' cité plus loin avec le pétard qui revient.
Bien ou pas, c'est pas mon focus, c'est plus que y faut avoir les moyens pour encaisser les retours en d'autres termes, faut assumer.
J'écris ça en pensant à ''Gangster rap''. Action-réaction presque normales.
Pour moi chanter du bonbon sucré qui donne des carries ou chier partout pis recevoir une balle, c'est deux univers semblables de démesures, d'hypertrophies et enflure du réel.
C'est des mondes synthétiques.
C'est loin de ce que on peut voir au naturel si je peux dire, sauf confrontation des forces universelles en utilisant ces réceptacles interchangeables.
C'est des bugs liés aux civilisations et au libre arbitre qui lui, va créer les désirs avec ce que ça donne dans les deux sens. Le gestionnaire universel de l'équilibre, est plus ou moins fonctionnel avec les humains.
J'en fais des mondes synthétiques et c'est très amusant mais c'est un jeu et ça reste un jeu avec un tag ''surréaliste'' pour bien me faire comprendre.
Mon art exprime plus une perception qu'une opinion.
Je me dis que quand on va me reprocher de percevoir quelque chose, c'est que la fin du monde est proche!
D'ailleurs les mots, il y en a pas plus dans la musique car c'est instrumental. Choix bien personnel de séparer art visuel, musique et texte. De toute façon, c'est re fusionné avec le blogue.
La seule compo avec paroles, ça parle d'amitié, d'alcoolisme et de vomis!
Let's Rock for T by Michel Grimard AliBlaBla Productions | SoundClick
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J'avais mis les paroles puis je les ai enlevé...en cherchant bien elles sont sur ''Soundclic'' mais bon...
C'est pas moi écrire des paroles de chanson.
On dirait que je vois ça comme une impureté dans la musique.
Si j'exclus tout ce qui est poétique, pis y en a pas tant que ça, les paroles sont moins vraies que la musique seule. Même affaire pour un surréalisme vs une représentation classique qui a filtré tout ce qui fait pas ton affaire.
Comme CNN et autres chaines de nouvelles!
Dans le surréalisme, c'est plus souvent les codes visuels et culturels utilisés qui sont des vérités que la représentation comme tel. L'auteur organise une dicté qui elle, génère des symboles ou associations qui ne viennent pas de la volonté de l'artiste.
Ça c'est le principe de base d'une construction surréaliste.
Par exemple, l'écart entre les personnages portraits robots de Vladimir Tachisky et vous est parfois le même qu'entre votre aliénation et moi! C'est moi le juge, fait que si je juge que c'est de l'aliénation votre affaire...
Mais si c'est vous le juge, vous pouvez aussi dire que c'est moi l'aliéné!
Vous suivez?
Oui! Oui! Je suis!
Ce qui est vraiment intéressant dans ce principe du plus ou moins volontaire, c'est un questionnement sur la source! Ça va inclure l'inconscient qui fait ressortir sous forme d'associations des traces du vécus et ça peut même être une suite d'idées organisées d'avance comme je le mentionnais ailleurs.
D'une source venant d'ailleurs!
Cyborg web!
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D'ailleurs, cette dicté de l'inconscience ou ''autre'' est merveilleusement illustrée ou transposée dans les contes de Lovecraft.
C'est sous forme de ces rêves récurrents de cités cyclopéennes...
Et dans une histoire, c'est jusqu'à ce qu'il y ai un transferts réel de la pensée entre 2 êtres dont un venait d'ailleurs!
Pas de problème pour l'alien car son esprit est dans le corps humain afin de compléter une documentation déjà existante mais l'esprit de l'humain qui est rendue dans l'autre être ...ailleurs...il est pas mal désorienté!
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Le libre arbitre est quelque chose d'unique dans la nature.
''Le surréalizzzme, c'est MOI.............................et les autres!'' (Dali!)
Même si c'est André Breton qui en a tracé les grandes lignes!
Ça c'est dans une normalité humaine du libre arbitre qui va créer un individu conscient d'en être un...individu.
Tout les autres êtres vivants en ont pas mal moins en théorie car ils utilisent ce que je nomme l'intelligence universelle que beaucoup d'humains ont atrophié par le libre arbitre qui vient couvrir ça si on ne sait pas comment court circuité cet ''obstacle''.
100% d'intelligence universelle (de génie) serait 0% de libre arbitre.
Un virus, c'est même pas vivant mais c'est pas con, vous devez commencer à vous en rendre compte! Une robotique pseudo organique programmée.
Selon cette logique, l'inverse est aussi plausible.
On dit aussi: ''Astie de sans génie!''
Les phrasés que je fais avec des instruments de musique, c'est de l'intelligence universelle. Le génie est aussi dans les réalisations des abeilles. Et dans mon cas, le savoir sert à pouvoir réaliser mais la dicté elle... et quand j'écris, c'est un ratio inconnu de culturel et d'intelligence universelle pour les mêmes raisons.
Il n'a a pas eu de layout pour la structure du blogue et on peut presque dire que je lis ce qu'écrivent mes mains! De l'écriture automatique avec filtre de la raison.
La main étant considérée comme un individu! (Adam Family!)
Même affaire pour les Bob Bouette car c'est du live sans plan bien précis.
Mon interprétation de ''l'inspiration''. J'en donne une explication.
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La raison d'être du libre arbitre?
La réponse qui me vient à l'esprit, c'est l'existence d'une gradation.
Ce que Darwin avait aussi observé!
Il a démontré que la raison, c'est l'aboutissement d'une somme de changements liés aux conditions de vies qui va faire des variations qui partent de l'élémentaire au plus complexe.
On est positionné quelque part dans cette gradation.
Donc ''le sommet de l'évolution'' c'est seulement celui qu'on connait.
À moins qu'on me sorte un argument raisonnable pour justifier pourquoi l'humain serait l'aboutissement ultime de cette gradation.
Parce que c'est celui qu'on connait!
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Mise au point!
Je n'ai aucune sympathie pour la bêtise mais je peux en avoir pour l'ignorance car on peut pas reprocher de pas savoir parce que ça implique des moyens ou des capacités mais on peut pointer une affaire de volonté si c'est de vouloir rien savoir!
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La reine d'Angleterre est décédée.
Sympathie à la famille pis je m'en kaliss comme pour le pape!
En parlant d'aliénation.
Comme modèle, c'est le contraire d'un idéal dans un contexte contemporain de gestion d'espace pragmatique, de conscience de la consommation d'énergie, de l'équilibre sociale...
Passer sa vie à faire des ''Bye Bye!'' dans un carrosse!
À se demander si y peuvent se faire cuire un oeuf, seuls!
Produire rien et vivre déconnecté des autres dans une opulence indécente.
Faut j'admire quoi dans ça?
Ça produit du rêve de dindes!
Un modèle d'un autre siècle.
Pour alimenter les ''Sex pistols''!
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Je compose sur 2 claviers!
Les arpèges midi sur un et les mots d'ici, sur l'autre...un confort d'accès.
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Une remarque en plus!
Les radios web, c'est une délivrance pour moi, je l'ai dit!
Rien contre les animateurs mais quand y en a pas sur une fréquence qui diffuse de la musique, c'est mieux! Dépendant du genre de musique aussi...moi c'est électronique, classique ou jazz instrumental.
Pis dans l'électro, c'est Jean Michel Jarre qui a introduit ça ou popularisé c'est selon et c'est de faire chanter du raï avec de l'électro.
Magie!
C'est vrai que ça fonctionne juste que une station qui a le piton collé sur ça, ben ça tape sur les nerfs un moment donné!
L'exotisme, c'est bien beau mais faut aussi des repères!
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Pour le chant, ça veut pas dire que ça passe pas car des voix comme Ozzy, Ian Gillan de Deep Purple, les vocalises dans Bill Leeb (Delerium), Shirley Bassey (Yello) ... etc et etc, ça impressionne aussi.
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Je termine cette publication habituellement par une titre qui flash dans les médias...
J'attends que ça apparaisse!
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MG
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MARDI 6 FEVRIER 2024 (Billet 3 / 5)
Nous remercions Marlène (B. de Miami) qui nous a fait suivre ce texte. Oh que Bernard Pivot a raison !!!
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Bernard Pivot dit que « vieillir, c’est chiant » ! Un texte magnifique et inspirant. « J’aurais pu dire : Vieillir, c’est désolant, c’est insupportable, C’est douloureux, c’est horrible, C’est déprimant, c’est mortel. Mais j’ai préféré « chiant » Parce que c’est un adjectif vigoureux Qui ne fait pas triste. Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira. Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance. On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant. On était bien dans sa peau. On se sentait conquérant. Invulnérable. La vie devant soi. Même à cinquante ans, c’était encore très bien… Même à soixante. Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme. Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps j’ai vu le regard des jeunes… Des hommes et des femmes dans la force de l’âge qui ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge. J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard. Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables. Sans m’en rendre compte, j’étais entré dans l’apartheid de l’âge.
Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants. « Avec respect », « En hommage respectueux », « Avec mes sentiments très respectueux ». Les salauds ! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect ? Les cons ! Et du « cher Monsieur Pivot » long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus ! Un jour, dans le Métro, c’était la première fois, une jeune fille s’est levée pour me donner sa place… J’ai failli la gifler. Puis la priant de se rasseoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué. !!! ? – « Non, non, pas du tout, a-t-elle répondu, embarrassée. J’ai pensé que… ». – Moi aussitôt : « Vous pensiez que ? » – « Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous asseoir. » – « Parce que j’ai les cheveux blancs ? » – « Non, c’est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, ça a été un réflexe, je me suis levée. » – « Je parais beaucoup… beaucoup plus âgé que vous ? » – « Non, oui, enfin un peu, mais ce n’est pas une question d’âge. » – « Une question de quoi, alors ? » – « Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois. » J’ai arrêté de la taquiner et l’ai remerciée de son geste généreux.
Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, ne renoncer à rien. Ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles, ni aux livres, ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve. Rêver, c’est se souvenir, tant qu’à faire, des heures exquises. C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent. C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve. La musique est une drogue douce. J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant soit l’Adagio du Concerto n° 23 en La majeur de Mozart, soit, du même, l’Andante de son Concerto n° 21 en Ut majeur, musiques au bout desquelles se révéleront à mes yeux, pas même étonnés, les paysages sublimes de l’au-delà. Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.
Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement. Nous ignorons à combien se monte encore notre capital. En années ? En mois ? En jours ? Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital. Mais comme un « usufruit » dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération. Après nous, le déluge ?… Non, Mozart ! »
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