Tumgik
#léodagan x séli
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Léodagan dans le le livre 6 : "Bon faut vous tirer maintenant. J'ai une réunion famiale."
@cheryllollst I love you mais en même temps I hate you parce que je sais ce que ca veut dire ... 👀
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geekgirl2000 · 2 years
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Pour le meilleur comme pour le pire
Fluff (44) : “I meant it when I said for better or for worse”, c’est un peu devenu un angst sans que je m’en rende compte 😅
Il était enfin de retour. C’était la seule pensée que Séli avait. Elle n’avait pas l’habitude de rester derrière lors de campagnes militaires. Elle était une Picte, une vraie. Elle participait, c’était une guerrière. Moi voilà, aujourd'hui, elle était surtout l’épouse de Léodagan de Carmélide. C’était une princesse bretonne qui devait obéir aux règles du peuple de son mari. Et cela ne lui plaisait pas mais alors pas du tout. Elle aurait voulu être à ses côtés durant les batailles mais on le lui avait interdit. Elle ne pouvait qu’attendre son retour et espérer le meilleur. 
Enfin, elle l’aperçut. Mais tout en elle sembla s’arrêter d’un coup. Il était allongé sur une civière, pale comme un fantôme et le plus choquant était le bandage qui couvrait la moitié inférieur de son corps. Ce bandage était nimbé de sang. 
Elle se précipita vers lui mais l’un des soldats de son mari la stoppa. 
- “Désolée ma reine mais on doit l’emmener d’urgence chez le guérisseur.” 
Elle ne put qu’hocher la tête en regardant la civière portant son mari s’éloigner. Une ombre passa dans son champs de vision. Son beau-père. 
- “Suivez-le”, lui ordonna-t-il.
Elle lui jeta un coup d’oeil reconnaissant et partit à la suite du cortège. Goustan l’observa s’éloigner. Il avait beau avoir comme surnom le Cruel, il n’était ni aveugle ni insensible. Il avait que son fils aimait sa femme et il semblerait qu’elle aussi aime son idiot de fils. Il aurait presque envie de sourire à ce constant. Presque. Sauf que la situation ne lui permettait pas de sourire. Car son fils était sur une civière. Avec une blessure extrêmement profonde. Et qu’il garderait sans doute des séquelles. De graves séquelles. Il secoua la tête en priant pour que cela chasse les larmes qui se formaient discrètement dans ses yeux et prit la direction d’une salle de bain pour se nettoyer. Il avait un royaume à diriger et des soins pour son fils à organiser.  
De son côté, Séli avait rejoint son époux et avait laissé les guérisseurs faire leur office. Elle était resté sur le côté jusqu’à ce qu’ils estiment avoir fait tout ce qui était en leur pouvoir. Une fois seule avec lui, elle s’approcha du lit et prit la main de Léodagan dans la sienne. 
- “Dépêchez-vous de vous réveiller, s’il-vous-plait... je ne vous supplie jamais. Alors pour une fois dans votre vie, faites ce qu’on vous demande”, murmura-t-elle dans sanglots dans la voix.
***
Léodagan se réveilla trois jours plus tard. Mais à son réveil, les choses ne s’arrangèrent pas. Il ne pouvait pas sentir ses jambes ni quoique ce soit en dessous de la taille. 
Les guérisseurs tentèrent de nombreuses techniques afin de le soigner mais après deux mois sans aucun succès, tout espoir semblait perdu. 
Léodagan était devenu de plus en plus bougon et taciturne au fur et à mesure que l’espoir disparaissait. Il avait vu les yeux de Séli devenir de plus en plus triste aussi. Malgré leurs engueulades habituelles, il pouvait voir qu’elle n’était pas de son état normal, qu’elle se retenait de pleurer la plupart du temps. Il ne pouvait plus supporter de la voir ainsi. Il voulait retrouver sa femme. La femme qu’il avait enlevé. La Picte au langage fleuri. Il voulait la revoir sourire. Entendre son rire. Voir ses yeux s’illuminer. Il avait réfléchi au cours du dernier mois à une façon de la faire redevenir elle-même. Et une seule solution sortait du lot : lui rendre sa liberté. Il ne voulait pas la lier à lui, la forcer à rester avec un homme diminué comme il se pensait. Alors il prit sa décision et un soir, il lui proposa le divorce. 
- “DIVORCER !? NON MAIS VOUS ÊTES PAS BIEN !?” lui cria-t-elle.
- “Vous méritez mieux que ça, mieux que moi”, lui rétorqua-t-il en tirant la gueule. 
C’était peut-être la seule solution qu’il voyait mais ce n’est pas pour autant que cela lui plaisait. Il l’aimait sa femme. Il l’aimait au point de la laisser partir pour son bien. 
- “Mais ça tourne pas bien dans votre tête en fait !” continua-t-elle. “Je ne pars pas, imbécile. “Si vous voulez vous débarrasser de moi, il faudra trouver une autre façon de faire !”
- “Me débarrasser de vous ? Mais de quoi vous parlez ?!” s’étonna-t-il Ave colère. 
“Se débarrasser d’elle ? Non ça jamais !”, pensa-t-il. 
- “Bien dans ce cas, vous la fermez et vous me proposez plus jamais de divorcer ! En plus, il n’y a que moi qui suis capable de supporter un tel emmerdeur”, continua-t-elle en lui tournant le dos. 
Elle remplit un verre d’eau et se rapprocha du lit où Léodagan reposait. Elle le lui tendit. Il frôla sa main en attrapant le verre et lui donna un sourire bougon. Elle lui sourit et murmura :
- “En plus, je le pensais que j’ai dit pour le meilleur et pour le pire.”
***
Des années plus tard. Après le départ d’Arthur à Rome suite à sa tentative de suicide et à sa passation de pouvoir à Lancelot. Après la disparition de Guenièvre. Après le départ d’Yvain. 
Ils étaient tous les deux inquiets pour leurs deux enfants. Guenièvre avait disparu depuis plusieurs mois et les soldats qu’ils avaient envoyés pour la protéger avaient été retrouvés morts. Cependant, il restait un espoir car Lancelot était obsédé par elle. De ce fait, les chances qu’elle soit toujours en vie étaient grandes. Pour Yvain, les choses étaient plus compliquées. Cela faisait quelques semaines qu’ils n’avaient plus de nouvelles. Mais Lancelot avait placé un blocus sur la Carmélide. Il les avait isolé. Ils devaient garder espoir. Ils espéraient qu’ils soient tous les deux cachés et en sécurité. 
Ils passaient énormément de temps à s’inquiéter. Leurs enfants étaient toujours dans leur esprit. Mais ils ne pouvaient s’inquiéter pour les autres aussi. Pour Bohort, pour Gauvain, pour Merlin et même parfois pour Perceval.
Les souverains de Carmélide se trouvaient dans leur salle à manger. Ils fixaient tous deux la lettre qu’ils avaient reçu. Kaamelott. Lancelot. Mevanwi. Des menaces. Encore et toujours. Sur leurs enfants. Sur leurs terres. Sur leurs gens. Sur leurs anciens alliés. Une contrainte à l’abandon de tout projet militaire. De toute arme militaire. De tout soldat. Kaamelott, Lancelot démilitarisait la Carmélide car elle représentait encore un danger. Ils étaient vraiment au pied du mur. Ils étaient à cours d’option. Ils devaient s’incliner.  
- “Pour le meilleur comme le pire hein ?” demanda Léodagan avec peine et tristesse en regardant Séli et en serrant les poids de rage. 
- “Pour le meilleur comme le pire” confirma Séli en lui serrant la main. 
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kaantt · 2 years
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Avec @kabbal nous avons réparti les ships Kaamelott selon ce template :
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gerceval · 7 years
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bonjour ☕ léodagan est super super super amoureux de séli
TEA!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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yumeka-chan · 2 years
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Bonjour bonjour
Vu que ton post est tjr épinglé est ce qu'une Cheryll coincée au fond de son lit pourrait demander un petit fluff ou smut ou mélange des deux selon ton envie avec un Léo/Séli ?
Mon cerveau embrumé a pas de prompt ultra précis mais ça peut être un truc simple genre l'un des deux qui force l'autre à aller se reposer après plusieurs jours à se surmener ou quoi que ce soit d'autre qui t'inspires sur l'instant
Bonne journée à toi dans tous les cas 💖
Je me permets de reprendre certaines des idées qui sont dans tes posts ;)
(Léodagan et Séli, au début de leur mariage)
Léodagan observait la femme qu'il avait épousée lui tourner le dos dans le lit. Des semaines qu'ils étaient mariés, et aucun d'entre eux n'arrivait à communiquer clairement. Léodagan ne comprenait rien au picte, et Séli avait du mal à apprendre la langue. Pas que ça les empêche de s'engueuler, remarquez.
Quand ils étaient fâchés, ils le savaient. Léodagan avait l'air mauvais, sa voix plus haute qu'à l'habitude. Séli, elle, cassait la vaisselle. Avec leur nourriture dedans.
Il leur arrivait d'en arriver à un point où les servantes pensaient qu'ils allaient s'entretuer. Entre le caractère de Léodagan et la rage sourde de leur nouvelle souveraine picte, ce n'était qu'une question de jours.
Ce soir-là fut une véritable horreur pour les servantes. Léodagan s'était mis à hurler, et Séli jetait tout ce qui lui tombait sous la main sur les murs. Elle ne les jetait pas sur lui, étrangement.
- Si la vaisselle vous plait pas il suffit de le dire plutôt que de tout envoyer valser!
Elle lui répondu quelque chose qu'il ne comprit pas. Comme toujours. Elle retira ses chaussures pour lui balancer. Il les esquiva, râlant un peu plus.
- Vous vouez vraiment vous déshabiller ici?! Vous avez foutu des bris partout!
Elle fit un signe du menton, le défiant du regard, avant de se diriger vers la porte, pieds nus. Léodagan fut assez rapide pour la soulever avant qu'elle ne marche sur les morceaux de vaisselle.
- Vous êtes tarée ma parole!
Elle continua à crier, alors qu'il la portait comme un sac de carottes jusqu'à la chambre. Il la déposa au sol une fois la porte fermée.
- Vous auriez pu vous blesser. Du sang. Douleur.
Il en avait assez de se battre contre elle. Séli était une femme magnifique, mais son caractère était pire que le sien. Il s'éloigna vers la porte.
- Je vais trouver quelque chose pour...
- Lérogaguan.
Il s'arrêta subitement. La jeune picte s'approcha de lui, lentement. Il observait ses hanches battre de droite à gauche, et son regard qui le dévorait. Elle avait ce regard sombre que connaissait Léodagan. Elle voulait quelque chose, et elle l'obtiendrait. Il fallait juste qu'il comprenne ce qu'elle voulait, et vite.
- Manger? Boire? ...balade?
Léodagan était impressionné par cette femme plus petite et plus frêle que lui. On n'épouse pas une princesse picte sans craindre un peu pour sa vie, mais Léodagan était un peu fou. Fou d'elle.
Séli prononça quelques mots en pictes avant de comprendre que son mari ne comprenait rien. Elle se mordit le doigt, fort, jusqu'au sang.
- Qu'est-ce que vous foutez?!
Elle libéra une épaule de sa robe, et fit une croix avec son sang, avant de s'approcher et de faire une marque sur le cou de son mari.
- A moi. Lérogaguan, à moi.
Elle sauta dans ses bras, coinça ses jambes aux hanches de Léodagan, et l'embrassa avidement dans le cou.
Ils avaient déjà eu leur nuit de noces, ou en tout cas, Léodagan l'avait cru. La princesse picte avait décidé d'obtenir la sienne. De couvrir Léodagan de baisers, de le soumettre à son plaisir à elle.
Ils ne touchèrent pas le lit avant de longues minutes. Léodagan se laissait guider par les désirs de sa femme. Pour ça, elle savait se faire comprendre. Lorsque ses lèvres se détachaient de lui, c'était pour prononcer son nom avec cet accent qui plaisait à Léodagan. Lui tentait de parler, pour être à chaque fois interrompu par sa femme qui l'embrassait ou qui posait son doigt sur ses lèvres.
Lorsque la servante vint vérifier qu'ils étaient toujours vivants le lendemain matin, elle vit Léodagan, torse nu, étendu dans le lit, Séli dormant sur sa poitrine. Elle rouvrit les yeux en entendant les pas, et d'un geste lent, couvrit le corps de son mari en jetant un regard noir à la servante.
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milesignotus · 3 years
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Dans "Les Misanthropes" (livre II) quand Léodagan offre son bras à Séli🥺
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kabbal · 3 years
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@notonlysmart voulait Bohort et Léodagan en couple avec Séli en mode super supportive
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sloubs · 2 years
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Bip bip c'est le questionnaire surprise de l'anon
Evidemment n'y répond que si tu en as envie 🙂
1° Personnage(s) préféré(s) ?
2° Ship(s) préféré(s), si tu en a un (pas obligatoire) ?
3°Dynamique(s)/ Paire(s)/ relation(s) préférée(s) (amis/famille/ennemies/Brotp etc) ?
4° Des OCs dont tu aimes parler ?
5° N'importe quoi qui t'intéresse +++ dans Kaamelott ?
6° Plutôt angst ou fluff ?
7° Ton anniversaire ?
Merci beaucoup et bonne journée à toi 🤍
coucou anon!
alors 1) mes persos préférés c'est arthur (sans déc), guenièvre, léodagan et le duc d'aquitaine
2) arthur x guenièvre en ship principal, sinon arthur x mani ma vie ❤️
3) j'adore la relation entre arthur et perceval, j'aime trop aussi le trio de paysans qui me fait hurler de rire à chaque fois, arthur et bohort, léodagan et séli... voilà j'aime un peu tout le monde quoi
4) j'ai qu'une OC et c'est riwannon ma puce d'amour (même si j'en parle plus parce que j'ai laissé ma fic de côté 😭)
5) qui m'intéresse+++? le fait que aa mette en scène des héros qui sont fondamentalement humains, c'est à dire qui ont des faiblesses, qui sont un peu bêtes ou qui croient plus en eux, et qui malgré tout se relèvent à chaque fois, et aussi j'veux voir jusqu'où aa va aller dans son interprétation de la légende arthurienne
6) fluff x10000, j'ai un coeur en guimauve
7) le 21 janvier!
merci pour ce potit questionnaire <3 passe une belle journée anon! ✨
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capitanogiorgio · 8 years
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@ambrena : “ En plus ça a commencé à la King Arthur (le film de 2004) avec Séli que Léodagan a enlevée aux Pictes et tout, quoi, le truc bien hardcore ^^ je les kiffe en saison 6 aussi “
Non mais c’est romantique en Carmélide. Je les ai toujours bien aimé en fait avec leur côté bourrin et parfois bâtard, mais dans le fond c’est pas des grosses crevures. Mais livre V et VI ils sont magiques.
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Je viens de me faire engueler parce que j'ai finis le fromage alors je vois pas pourquoi Guenièvre se ferait pas gronder aussi.
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"Fromage et robe de chambre"
INT. jour - Léodagan, Séli, Guenièvre et Arthur sont assis à table. Arthur attrape un bout de pain et un plat avec un malheureux tout petit bout de fromage au milieu.
Arthur : “Mais c’est pas vrai ?!”
Léodagan : “Qu’est ce qui vous prend de gueuler comme ça ?" 
Séli : “Surtout que pour une fois le repas était serein.”
Arthur : “Mon fromage !”
Séli : “Quoi votre fromage ?”
Arthur : “Il est passé ou ?!”
Il regarde autour de la table et aperçoit dans l'assiette de Guenièvre des restes de croûtes.
Arthur : “Vous avez bouffé mon fromage !”
Guenièvre (indignée) : “Vous avez dit que je pouvais en manger.”
Arthur : “J’ai dit ‘un peu’ pas ‘mangez tout mon fromage’ !”
Guenièvre : “Mais j’ai pas tout mangé je vous en ai laissé un morceau.”
Arthur : “Vous appelez ça un morceau ? C’est même pas le bout d’mon doigt !”
Guenièvre : “Roh ca va, n'exagérez pas non plus et puis la prochaine fois mangez plus vite qu’est ce que vous voulez que je vous dise.”
Arthur : “C’est la meilleure celle la … ‘Pardon d’avoir mangé votre fromage, je vous promet de ne pas tout manger la prochaine fois’ voilà ce que je veux entendre.”
Guenièvre : “Mais vous aviez qu’a pas me dire que je pouvais en manger si vous vouliez pas que j’en mange.”
Arthur : “Mais c’est pas que je veux pas que vous en mangiez mais j'étais en train de becter tranquille et quand je me retourne mon fromage a disparu. Vous diriez quoi vous, si une souris venait vous piquer votre bout d’pain.”
Guenièvre : “Est-ce que vous êtes en train d’insinuer que je suis une souris ?”
Arthur : “Non, même si vous aimez beaucoup le fromage et que vous aimez me quitter ma bouffe.”
Guenièvre : “Mais c’est de votre faute aussi.”
Arthur (outré) : “De ma faute ?”
Guenièvre : “Oui. Quand c’est dans votre assiette ça a toujours l’air plus appétissant."
Arthur : “Ca, j’avais remarqué puisque vous picorez tout le temps dedans alors que vous savez que j’aime pas ça."
Guenièvre : “Et vous alors ? Vous piquez tout le temps toute la couverture !”
Arthur : “Je vois pas le rapport.”
Guenièvre : “Ah bin c’est sûr, c’est pas vous qui devez dormir tout nu sans couverture.”
Arthur (avec évidence): “Rien ne vous empêche d’enfiler une robe de chambre avant de dormir.”
Guenièvre (qui n’en rate pas une): “Bin si justement. Parce que grâce à vous et à votre lubie de toujours vouloir aller vite vite vite, j’en ai plus de robes de chambre. Elles sont toutes en lambeaux ou par la fenêtre."
Arthur : “Attendez, on va pas remettre ça sur le tapis, je vous ai dit que j’avais pas fait exprès de l’envoyer par la fenêtre. Je visai la chaise !"
Guenièvre : “Et la dernière fois chez le Duc d’Aquitaine vous visiez où parce que c'était pas du tout le bon…”
Léodagan et Séli (en même temps, horrifiés) : “STOP !”
Léodagan (se leve de table) : “Je vais aller faire commander plus de formage.”
Séli (se leve aussi) : “Oui et moi je vais aller faire commander du tissu pour faire coudre de nouvelles robes de chambre."
Les deux quittent la pièce en marmonnant alors que Arthur et Guenièvre les regardent partir, interdits.
Guenièvre : “Bon on fait quoi du coup ?”
Arthur : “Une sieste ca vous dit ?”
Guenièvre : “Vous voulez dormir déjà ?”
Arthur : “Vous avez mangé mon fromage alors vous devez vous racheter.”
Guenièvre : “Quel rapport avec la sieste ?”
Arthur leve les yeux au ciel et se penche vers sa femme pour lui murmurer quelque chose. -- Fondue au noir --
Guenièvre (en voix-off): “Oh, je vois. Dans ce cas là je suspose que le dessert peut attendre.”
(@cheryllollst)
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ismisevy · 2 years
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Au lit.
Beaucoup à Kaamelott s’étonnent que le couple royal de Carmélide ne fasse toujours pas chambres à part. On ne les croise quasiment jamais ensemble la journée, le peu de fois où leurs voix résonnent à l’unisson dans les couloirs il n’en découle que des insultes ou des reproches et pourtant, le soir venu, plutôt que d’aller vivre chacun dans sa chambre tous deux prennent le même chemin pour se rejoindre dans la leur et soudain plus rien, plus de cris, de dispute en tout cas.
Cette chambre en vérité c’est tout ce qu’il leur reste pour se voir vraiment. La journée tous deux sont trop occupés pour se croiser et quand ils le font c’est à cran et sur les nerfs. Alors le peu de temps qu’ils peuvent passer ensemble le soir venu, ils le prennent et avec plaisir. Les disputes de la journée restent les disputes de la journée et ne sont pas le bienvenue au lit, les mots aigris et blessants peuvent rester dans les quelques hectares de château restant, aucun des deux ne souhaite qu’ils ne les suivent jusqu'à la chambre. 
Cette chambre c’est aussi un véritable sas de décompression. Quand Léodagan rentre de campagne et que sa femme l’attend, prête à lui jeter toutes les bûches de la cheminée à la tête parce que cet idiot n’a pas écrit et qu’elle n’a fait que s’attendre au pire, tout s’efface à la seconde où un pied en armure passe le cadre de la porte. La barrière de métal est bien vite retirée et le lit conjugal retrouvé, les deux corps se retrouvent et s’explorent, surtout une bonne excuse pour Séli afin de vérifier qu’il n’y a aucune blessure qu’il ne lui aurait cachée.
Ce lit commun ils en ont tous deux plus que besoin. Qui d’autre que sa femme oserait venir enlacer l’imposant Sanguinaire dès qu’il cauchemarde un peu trop souvent, avant de se rendormir au rythme de ces ronflements qu’elle critique tant et qui pourtant lui prouve qu’il est bien là, enfin paisible dans ses bras et ses bras seuls. 
Ce lit Léodagan regrette que sa femme s’en lève aussi tôt tous les matins, l’arrachant à quelques minutes de paix en plus. Il la voit quitter leur nid et sait très bien que derrière cette porte le stress et la guerre reprend, alors il le quitte aussi, avec l’espoir que la journée passe vite et en perspective d’une nouvelle nuit paisible. 
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geekgirl2000 · 2 years
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“Allez vous faire foutre !”
Voice le smut : “This isn’t what I had in mind when I yelled fuck you”. C’est la première fois que j’écris du smut du coup j’espère que c’est pas trop nul !
C’était une journée comme les autres. On entendait les oiseaux chanter, les servants travailler et Léodagan gueuler. Ah, que serait une journée sans entendre le roi de Carmélide s’engueuler avec sa femme ? Une journée étrange, ça c’est sûr. Leurs engueulades étaient généralement bon signe ! Ils allaient bien tant qu’ils gueulaient. 
Et aujourd’hui, ils étaient tous deux en pleine forme ! Cela faisait déjà une bonne heure qu’ils se criaient dessus. Les autres habitants de Kaamelott avaient tellement l’habitude de cela qu’ils les ignoraient tout bonnement et continuaient leur chemin sans leur jeter ne serait-ce qu’un coup d’oeil. 
Soudain, une accalmie. Ça c’était bizarre. L’un d’eux avait-il fini par tuer l’autre ? Alors que cette question traversait l’esprit de tout le monde, un “Allez vous faire foutre !” crié à plein poumon retentit. Le silence de nouveau. Mieux valait fuir les alentours de la pièce. C’est ce que firent les rares personnes qui n’avaient pas encore décarré en entendant le début de la dispute. 
De l’autre côté de la porte, le roi de Carmélide fixait sa reine. 
- “Si y a que ça pour vous faire plaisir”, lui répondit-il de manière on ne peut plus sérieuse. 
Séli fronça les sourcils. Mais de quoi il parlait cet imbécile ? Ils étaient en pleine discussion (oui, oui, discussion et non dispute) et il se mettait à déblatérer des conneries lui maintenant !
Alors qu’elle allait lui montrer de quel bois elle se chauffait, elle fut interrompu par des lèvres se posant sur les siennes. Léodagan s’était rapproché d’elle, profitant de sa perplexité. Il l’avait empoignée et avait profité de sa surprise pour l’embrasser. 
“Elle voulait qu’il aille se faire foutre ? Et bien c’est ce qu’il allait faire ! Et ça, il n’aimait le faire qu’avec une seule personne : sa femme ! En plus, elle était vachement sexy quand elle était en colère sa femme”, telles étaient les pensées de Léodagan à ce moment-là. Il savait qu’elle aurait pu l’éclater et elle l’aurait fait normalement. Mais voilà, il savait qu’il était l’exception pour elle alors autant en profiter ! Qu’il n’ait pas payé cette putain de rançon pour rien ! Même s’il fallait l’avouer, il l’aurait demandée en mariage même sans l’argent : elle était parfaite pour lui, aussi sanguinaire, ambitieuse et vicieuse que lui. Merde, il se demandait toujours comment il avait pu en tomber amoureux mais bon voilà où il en était. 
Elle répondit à son baiser en cédant le passage à sa langue qui demandait l’accès à sa bouche. Le baiser gagna alors en intensité. Les chose s’accélérèrent. Leurs mains joignirent le mouvement, celles de Léodagan trouvèrent refuge dans les longs cheveux de sa femme et celles de Séli s’attachèrent à ses épaules. Il la recula jusqu’à la table qui se trouvait au milieu de la pièce. Elle buta et il la fit asseoir dessus.  
Séli bascula légèrement en arrière en prenant appui sur ses mains. Léodagan promena ses mains le long du corps de Séli en prenant bien soin d’appuyer ses caresses sur les points sensibles de sa femme. Il la connaissait après autant de temps passé ensemble. S’il appuyait sur son cou, elle penchait la tête pour lui laisser l’espace à embrasser. S’il effleurait sa poitrine, elle se cambrait délicieusement contre lui. S’il entourait sa taille, elle lui griffait la nuque. S’il empoignait sa cuisse, elle remontait sa jambe le long de son corps. Tant d’année de mariage et pourtant, elle restait l’unique femme capable de lui faire cet effet, de lui faire tant d’effet. Aucune autre n’avait jamais été capable de l’exciter à ce point, de lui faire perdre tous ses moyens, de l’énerver et de l’exciter en même temps. 
Comme il l’avait prévu, quand il empoigna enfin sa cuisse, il sentit sa jambe remonté le long de son corps. Il fit glisser sa main le long de cette jambe pour arriver à sa cheville. Quand il s’empara de cette dernière, un long frisson parcourut le corps de la femme assise sur la table. Il se détache enfin de ses lèvres et eut un rictus en voyant l’état dans lequel était déjà sa femme. Ce rictus énerva Séli qui donna un coup de bassin faisant se rappeler à son mari que lui-même n’était pas dans un meilleur état là tout de suite. Léodagan secoua la tête mais ne se défit pas de son rictus. Il planta son regard dans celui de sa femme et fit remonter sa main sur la jambe de cette dernière mais cette fois, la main se trouva sous sa robe. Il prit bien son temps pour caresser la peau de cette jambe qu’il connaissait par coeur. Séli bascula la tête en arrière découvrant son cou. Elle trembla de plaisir sous ses mains. Comme quoi, il lui faisait toujours autant d’effet. Au passage, il fit remonter sa robe afin de lui donner un accès à la zone qui l’intéressait le plus. Il se pencha pour embrasser, lécher et mordiller le cou de sa femme tout en glissant sa main au niveau de son sexe. Pendant ce temps, les mains de Séli se glissèrent entre eux pour débarrasser son mari de sa ceinture et pouvoir baisser son pantalon et ses sous-vêtements. Une fois libre, Léodagan retira sa main et écarta le sous-vêtement de sa femme. Il la regarda droit dans les yeux attendant une permission qu’elle s’empressa de lui donner en souriant légèrement et en acquiesçant. Il la pénétra alors le plus doucement possible afin de la torturer. Elle essaya d’accélérer le mouvement en bougeant le bassin mais il l’empêcha de bouger en enserrant sa taille. Elle gémit de frustration. 
- “Bâtard”, réussit-elle à sortir entre deux gémissement. 
- “Seulement avec vous”, répondant Léodagan en serrant les dents afin de s’empêcher de gémir de la sentir autour de lui. 
Quand il fut enfin complètement en elle, ils gémirent tous deux de concert. Dans ces moments d’union, ils semblaient toujours faits l’un pour l’autre. Créer afin d’être unis, d’être ensemble. Alors, la danse la plus vieille du monde s’entama entre eux. Des grognements et des gémissements étaient perceptibles. Ni l’un ni l’autre ne savait lequel des deux était le plus bruyant, ni même de qui provenaient ces exclamations. Au début, ils prirent un peu leur temps. De lents aller-retours auxquels s’ajoutaient des baisers passionnés. Mais très vite, ils accélérèrent le rythme en se souvenant que tout cela était parti d’une discussion (oui, oui, toujours discussion et non dispute). Les dents se mêlèrent à leur danse : mordillements, morsures plus franches et baisers appuyés. 
Enfin, ils arrivèrent à saturation et la jouissance s’empara d’eux violemment. Léodagan avait pris appui sur la table avec ses mains afin de ne pas s’écrouler sur Séli qui, quant à elle, s’était accrochée à lui en encerclant sa taille de ses jambes et ses épaules de ses bras. C’est dans ce calme relatif et post-orgasmique que Séli murmura à l’oreille de son mari :
- “Ce n’est pas ce que j’avais en tête quand je vous ai crié d’aller vous faire foutre”
- “Je sais mais avouez que c’est plus agréable que l’autre option”, murmura à son tour Léodagan en cachant un sourire dans la chevelure défaite de son épouse. 
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ismisevy · 2 years
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The only thing missing in my life is a Léo/Séli bath scene
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ismisevy · 2 years
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Ça fait longtemps que j'ai pas posté de liste de headcanons ça vous a manqué ? Non ? Et bah vous en aurez quand même.
Headcanons Léodagan/Séli au lit edition (fluff guaranteed) :
- Séli is the big spoon mais quand Léodagan voit que sa femme a passé une journée bien merdique c'est lui qui la prend dans ses bras pour s'endormir.
- Vu qu'on se les pèle en Carmélide ils ont prit l'habitude de s'endormir collés comme des penguins, une des rares exceptions c'est quand Séli est enceinte
Une fois ils se sont faits la gueule mi janvier ils ont voulut dormir séparément mais ils avaient trop froid alors ils sont aller se faire la gueule mais dans le même lit.
- Avec les années ils se sont habitués à dormir ensemble, du coup Léodagan galère à s'endormir quand Séli est pas à côté et ses nuits quand il part en campagne sont très souvent nulles à chier. Séli l'avouera jamais mais c'est pas mieux de son côté.
- Séli à tellement l'habitude que Léodagan ronfle que quand ce dernier demande une potion à Elias pour arrêter et lui faire plaisir elle est obligée de se réveiller la nuit pour vérifier qu'il respire encore.
- Quand Séli est malade Léodagan lui ramène ses repas au lit ou les lui fait monter par une servante s'il est vraiment pas dispo. Quand Léodagan est malade Séli râle un peu mais elle prend pitié et se débrouille pour inventer une excuse à donner à Arthur pour qu'il puisse rester au pieu.
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ismisevy · 2 years
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Léodagan en a marre de ne pas comprendre sa femme.
Séli fait des efforts pour apprendre la langue commune le plus vite possible mais ça ne suffit pas, leurs soirées silencieuses et leurs quelques tentatives de conversations infructueuses le frustrent au quotidien. Ils n'ont heureusement pas besoin de mots pour tout, il peut l'emmener se balader à cheval à travers le royaume sans qu'un son soit échangé, son sourire suffit à lui faire comprendre quand elle est heureuse et sa femme peut bien gémir en picte le soir venu, là il n'a étonnamment pas besoin d'interprète pour comprendre le message. Mais pour ce qui est des dîners ou des moments passés en tête à tête sans avoir rien d'autre à faire, le silence devient de plus en plus pesant. Il voit bien que sa femme aussi est gênée, de son côté non seulement elle ne comprend pas son mari mais elle ne comprend pas non plus ni son beau père, ni ses suivantes, ni personne dans le château à vrai dire et elle ne peut pas décemment demander un interprète à chaque fois qu'elle aimerait qu'on lui passe le sel.
Un soir le jeune couple est assis dans son lit, Léodagan un manuel sur les armes de jets à la main et Séli fixant le plafond en silence : évidemment, elle ne comprend aucun des livres disponibles au manoir. On lui a bien proposé d'en faire commander quelque uns aux pictes mais pour une raison qui lui échappe elle a refusé. Ou alors elle n'a pas compris ce qu'on lui proposait, possible aussi. Léodagan jette un oeil vers elle de temps en temps, entre deux chapitres, et plus les minutes passent plus il trouve la situation ridicule. Soudain il abaisse son livre et pointe le chevet à sa femme qui, le remarquant, se met à regarder dans la même direction.
"Vous pouvez me passer le marque page qu'est sur la table là ?"
Séli attrape le machin que son mari semble pointer et se tourne vers lui.
"Tu veux ça ?"
Léodagan ne la reprend pas sur le vouvoiement, dire tu à l'air plus facile pour elle et il le cache bien mais il trouve ça presque adorable.
"Oui, je veux ça."
Elle sourit et lui donne, contente d'avoir compris sa première phrase de la journée.
Léodagan place le marque page dans son manuel et marque une pause avant de montrer la couverture à sa femme en pointant le titre.
"Y'a écrit quoi là ?"
Séli fronce les sourcils, hyper concentrée.
"Aaarmé-dé-j-j..jettes"
"C'est.. presque ça. Arme. De. Jets."
".. Armdéjé ?"
".. on va dire que c'est assez proche."
Séli sent bien qu'elle s'est de nouveau planté et soupire, elle se recouche dos à son mari en lançant une injure picte dans le vide. Elle aussi ça commence à l'emmerder comme situation, elle déteste plus que tout au monde se sentir vulnérable et qu'y a t il de plus vulnérable qu'une personne qui ne comprend rien de son environnement, ni de ce qu'on lui raconte à longueur de journée. Elle sent son mari quitter le lit et ça a le don de la mettre encore plus sur les nerfs, c'est déjà assez de se sentir bête soi-même, elle n'a pas besoin que Léodagan se mette à le penser aussi.
Elle ne l'entends pas revenir et sursaute quand un bras encercle sa taille et qu'une voix s'approche de son visage.
"Venez là."
Il la force un peu à se retourner vers lui et lui présente un livre qu'il tient dans la main. Séli remarque bien que ce n'est pas celui de tout à l'heure, il est bien plus gros et surtout bien mieux relié. Il ramène sa femme contre lui et ouvre le livre au dessus de leurs visages : c'est un roman que Léodagan est parti chercher dans la bibliothèque. Il déteste ce genre de bouquins mais il sait que pour apprendre la langue c'est ce qu'il y a de plus efficace, alors il décide de faire un effort, pour elle.
Séli en a déjà marre, découragée d'avance mais Léodagan l'encourage, il lui montre les mots et lui dit comment les prononcer et recommence jusqu'à ce que Séli ai juste. Elle se prend au jeu et essaie de deviner le sens des phrases et quand elle bloque il essaie d'expliquer avec des mots plus simple ou même des mimes qui ne manquent pas de faire éclater de rire la picte. Il se met à l'embrasser dès qu'elle donne une réponse juste, ce qui a l'air de bien motiver cette dernière qui répond à ces baisers en riant, plus déterminée que jamais. Très vite il y a plus de baisers qu'il n'y a de phrases bien prononcées et le livre fini délaissé par les deux amants à l'autre bout de la couette.
Après cette nuit, on dit que Séli se mit à apprendre la langue à une vitesse impressionante grâces aux leçons privées de Léodagan.
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La Belle
Sa langue voyage sur la peau brûlante, laissant une trace humide entre ses seins nus qu'il enveloppe de ses mains. Il ne se lassera jamais de son corps, n'aura jamais trop faim de son ventre, maintenant plat, fatigué par les années, strié de l'évidence qu'il a était rond et plein de la vie de ses enfants ; ni de ses cuisses qu'il embrasse avec dévotion, où les tatouages côtoient les cicatrices, les tâches d’usure de la vie et les blessures de guerre, témoignage de sa force, de son courage et de sa ténacité. Il caresse ses bras et elle glisse ses doigts dans les boucles brunes qu'elle aime tant, laisse ses soupirs se perdre sur les muscles toujours saillants de son épaule avant d'y planter des ongles.
Quand leurs lèvres s'accrochent, ce n'est pas une lutte acharnée pour dominer mais une danse qu'ils n'ont plus besoin de répéter, l'union de leur souffle, la fusion de leur âme. Il regarde ses longs cheveux, un mélange savant d'argent, de gris et d'ébène, tomber en halo sur l'océan de draps blancs qui les entoure avant de murmurer sur son front le cœur battant. 
"Tha thu bòidheach."
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Note : Je tiens �� dire que chaque fois que j'écris du Séli/Léodagan je pense à @cheryllollst et je sais pas si j'ai besoin de continuer à lui dire que je lui dédie chaque mots et phrases quand il sagit de ce ship ❤️
Edit : A défaut d'avoir du picte, j'ai pris the next best next, du gaélique écossais
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