@nestaarcheronweek Day Three: Valkyrie
“Ataraxia”
@melphss and I are so excited to finally share this incredible fanart we commissioned with Letícia Bueno (tomandosal), who is an amazing artist.
The final chapter of A Court of Silver Flames begins by mentioning the arrival of spring, and I like to think of this as the beginning of a new cycle for Nesta, not only because she was born in spring, but because the season itself carries a symbolism of renovation and transformation.
Therefore, the painting Le Chevalier aux Fleurs (1894) by Georges Rochegrosse was used as a reference because of the scenery as well as other elements of the composition. However, the painting’s literary reference was not taken into account.
Symbolic is also that after Nesta embraces the title of Valkyrie, the last part begins, which is titled with the name of her sword.
“Ataraxia” would be experiencing happiness in a heightened way, controlling fears and desires in a stable and balanced way, consequently reaching a state of tranquility and absence of disturbances and passions.
This absence, however, cannot be confused with apathy, characterized by the loss of sensitivity in relation to external stimuli. The feeling nothing that Nesta thought she wanted as an immediate solution to dealing with everything that was affecting her.
Nesta’s choice at the end of the book is to feel everything, to experience everything, to live, despite the difficult moments that will continue to exist, because she understood this balance is possible and significantly because she became a Valkyrie.
She finds inner peace.
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Matchs de Poule
Bonjour à tous.tes, on a reçu énormément de suggestions, c'était super. En tout on a 160 livres et BD pour le tournoi !
On va donc commencer par des poules, pour ne garder que 64 livres. Les groupes sont notés ci-dessous (on ajoutera les liens pour les votes au-fur et à mesure qu'ils seront publiés), il y en a 32. Les deux livres recevant le plus de votes de chaque groupes seront séléctionnés pour la suite du tournoi.
Groupe 1
Le Château d'Anne Hiversaire ; Le Petit Prince ; Les Chants de Maldoror ; La Geste des Chevaliers Dragons ; L'Incal
Groupe 2
Les Furtifs ; Un Jacques Cartier Errant ; Même pas Mort ; Yoko Tsuno ; Les Trois Mousquetaires
Groupe 3
Un Sac de Billes ; Malpertuis ; Vango ; Mémoires de Louise Michel ; Les Schtroumpfs
Groupe 4
Femmes d'Alger dans leur appartement ; La Quête de l'Oiseau du Temps ; Bérénice ; La Rose Ecarlate : Vingt Mille Lieues sous les mers
Groupe 5
U4 ; Le Jardin, Paris ; La Passe Miroir ; Romancero aux étoiles ; L'île mystérieuse
Groupe 6
Les 4 As ; Les amis inconnus ; Tobi Lolness ; Persepolis ; Le Jeu de l'Amour et du Hasard
Groupe 7
Vendredi ou la vie sauvage ; L'Autre ; Oh boy! ; Julie, Claire, Cécile ; Le Journal Tintin
Groupe 8
Etudes et Préludes ; Lou! ; Sur les Terres d'Horus ; L'élégance du Hérisson ; Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants
Groupe 9
Lancelot-Graal ; Les Fleurs du Mal ; Chien Blanc ; Mélusine ; Une Tempête
Groupe 10
La Métaphysique du Vampire ; Pot Bouille ; Les Mémoires d'Hadrien ; La bête humaine ; Le Misanthrope
Groupe 11
Tara Duncan ; Trois Oboles pour Charon ; Gaspard de la nuit ; Le Pacte des Marchombres ; Sambre
Groupe 12
Kid Paddle ; Père Castor ; Dom Juan ; Ces Jours qui Disparaissent ; Le Message
Groupe 13
Astérix ; Les animaux dénaturés ; Fantômette ; Germinal ; Mathieu Hidalf
Groupe 14
Le Cid ; Les Carnets de Cerise ; Tant qu'il le faudra ; Rhinoceros ; Dans la Nuit Blanche et Rouge
Groupe 15
Thorgal ; L'arbre à soleils ; Les Faux Monnayeurs ; Alcools ; La Mécanique de Cœur
Groupe 16
Aya de Yopougon ; Chat Noir ; Blake et Mortimer ; Le Survenant ; Le Deuxième Sexe
Groupe 17
Au Bonheur des Dames ; Nadja ; Mille francs de récompense ; Le tour du monde en 80 jours ; Le Butterlyland
Groupe 18
A comme Association ; La Nuit des Temps ; La Guerre de Troie n'aura pas lieu ; Quatrevingt-treize ; Une Famille aux Petits Oignons (Histoires des Jean-Quelque-Chose)
Groupe 19
Le forçat innocent ; Phaenomen ; A la mystérieuse ; Le Livre des Etoiles ; Le Livre de Perle
Groupe 20
L'écume des jours ; Max et Lily ; Petit Ours Brun ; Les Dingodossiers ; Cyrano de Bergerac
Groupe 21
Thérèse Desqueyroux ; La fin du monde ; 47 cordes ; Garin Trousseboeuf ; Oksa Pollock
Groupe 22
Le Grand Secret ; Lucky Luke ; L'Illusion Comique ; Pardonnez nos offenses ; Les Liaisons Dangereuses
Groupe 23
Un Secret ; Fortunes ; Querelle de Roberval ; Manuel de savoir-vivre à l'usage des rustres et des malpolis ; 38 mini westerns (avec des fantômes)
Groupe 24
Les Misérables ; Magarcane ; Frangine ; Les Eveilleurs ; Archives des Anges
Groupe 25
Le Dit de Vertigen ; Spirou et Fantasio ; Antigone ; Le Prince Eric ; Les Colombes du Roi-Soleil
Groupe 26
Cédric ; Sept Jours pour une Eternité ; La Petite Fille de Monsieur Linhl ; Gouverneurs de la Rosée ; Gaston Lagaffe
Groupe 27
Corps et Âmes ; Claudine ; L'œil du loup ; Boule et Bill ; Le Dernier Jour d'un Condamné
Groupe 28
Les Fables de La Fontaine ; La Dame Pale ; Chansons ; Marsupilami ; Les Aventures de Loupio
Groupe 29
L'Enfant de la haute mer ; Du Domaine des Murmures ; La Bibliothécaire ; Ondine ; Dieu n'a pas réponse à tout
Groupe 30
Le Horla ; Réparer les Vivants ; Freaks' Squeele ; De Cape et de Crocs ; L'automne à Pékin
Groupe 31
Ouragan ; Contes des cataplasmes ; Le Monde, Tous Droits Réservés ; Vipère au Poing ; Comment Wang-Fo fut sauvé
Groupe 32
Les Derniers Contes de Canterbury ; Le Compte de Monte-Cristo ; Storm ; Manifeste Assi ; Les Lumières d'Oudja
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Sous les feux que juin verse,
Comme l’éclair, Mireille court, et court, et court !
De soleil en soleil et de vent en vent, elle voit
Une plaine immense : des savanes
Qui n’ont à l'œil ni fin ni terme ;
De loin en loin, et pour toute végétation,
De rares tamaris ... et la mer qui paraît...
Des tamaris, des prêles,
Des salicornes, des arroches, des soudes,
Amères prairies des plages marines,
Où errent les taureaux noirs
Et les chevaux blancs : joyeux,
Ils peuvent là librement suivre
La brise de mer tout imprégnée d’embrun.
La voûte bleue où plane le soleil
S’épanouissait , profonde , brillante,
Couronnant les marais de son vaste contour ;
Dans le lointain clair
Parfois un goéland vole ;
Parfois un grand oiseau projette son ombre,
Ermite aux longues jambes des étangs d’alentour.
C’est un chevalier aux pieds rouges ;
Ou un bihoreau qui regarde, farouche,
Et dresse fièrement sa noble aigrette,
Faite de trois longues plumes blanches...
Déjà cependant la chaleur énerve :
Pour s’alléger, de ses hanches
La jeune fille dégage les bouts de son fichu.
Et la chaleur, de plus en plus vive,
De plus en plus devient ardente ;
Et du soleil qui monte au zénith du ciel pur,
Du grand soleil les rayons et le hâle
Pleuvent à verse comme une giboulée :
Tel un lion, dans la faim qui le tourmente,
Dévore du regard les déserts abyssins!
Sous un hêtre, qu’il ferait bon s’étendre!
Le blond rayonnement du soleil qui scintille
Simule des essaims, des essaims furieux,
Essaims de guêpes, qui volent,
Montent, descendent et tremblotent
Comme des lames qui s’aiguisent.
La pèlerine d’amour que la lassitude brise
Et que la chaleur essouffle,
De sa casaque ronde et pleine
A ôté l’épingle ; et son sein agité
Comme deux ondes jumelles
Dans une limpide fontaine,
Ressemble à ces campanules
Qui, au rivage de la mer, étalent en été leur blancheur.
Mais peu à peu devant sa vue
Le pays perd sa tristesse ;
Et voici peu à peu qu’au loin se meut
Et resplendit un grand lac d’eau :
Les phillyreas, les pourpiers,
Autour de la lande qui se liquéfie,
Grandissent, et se font un mol chapeau d’ombre.
C’était une vue céleste,
Un rêve frais de Terre-Promise !
Le long de l’eau bleue, une ville bientôt
Au loin s’élève, avec ses boulevards,
Sa muraille forte qui la ceint,
Ses fontaines, ses églises, ses toitures,
Ses clochers allongés qui croissent au soleil.
Des bâtiments et des pinelles,
Avec leurs voiles blanches,
Entraient dans la darse ; et le vent, qui était doux,
Faisait jouer sur les pommettes
Les banderoles et les flammes.
Mireille, avec sa main légère,
Essuya de son front les gouttes abondantes ;
Et à pareille vue
Elle pensa, mon Dieu ! crier miracle !
Et de courir, et de courir, croyant que là était
La tombe sainte des Maries.
Mais plus elle court, plus change
L’illusion qui l’éblouit,
Et plus le clair tableau s’éloigne et se fait suivre.
Œuvre vaine, subtile, ailée,
Le Fantastique l’avait filée
Avec un rayon de soleil, teinte avec les couleurs
Des nuages : sa trame faible
Finit par trembler, devient trouble,
Et se dissipe comme un brouillard.
Mireille reste seule et ébahie, à la chaleur...
Et en avant dans les monceaux de sable,
Brûlants, mouvants, odieux !
Et en avant dans la grande sansouire, à la croûte de sel
Que le soleil boursoufle et lustre,
Et qui craque, et éblouit !
Et en avant dans les hautes herbes paludéennes,
Les roseaux, les souchets, asile des cousins !
Avec Vincent dans la pensée,
Cependant, depuis longtemps
Elle côtoyait toujours la plage reculée du Vaccarès;
Déjà, déjà des grandes Saintes
Elle voyait l’église blonde,
Dans la mer lointaine et clapoteuse,
Croître, comme un vaisseau qui cingle vers le rivage.
De l’implacable soleil
Tout à coup la brûlante échappée
Lui lance dans le front ses aiguillons : la voilà,
Infortunée! qui s’affaisse,
Et qui, le long de la mer sereine,
Tombe, frappée à mort, sur le sable.
Ô Crau, ta fleur est tombée!... ô jeunes hommes, pleurez-la !...
📷 Sur le Vaccarès
Un extrait du chant X de Mirèio (Mireille), de Frédéric Mistral. Mireille s'est enfuie de chez elle pour implorer les Saintes-Maries-de-la-Mer d'infléchir la décision de son père qui refuse de la voir mariée au vannier Vincent, ce qui équivaut pour lui à une inacceptable mésalliance. Elle traverse la Camargue écrasée de soleil et est frappée d'insolation sur les rives de l'étang de Vaccarès...
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Mick/Charles please? I miss them 🥲
(You can write it in French if you want haha 😂 but anyway I’ll never judge you for mistakes in English since I’m the first one to do them)
Thank you my dear what a nice request ! So here we go, I hope you will like it because it's a bit special (🤦🏻♀️)
Au château du Baron Rouge, vivaient deux gentils princes, l’un blond comme les blés, l’autre brun comme le soir, l’un aux yeux bleus, l’autre aux yeux verts, l’un est l’héritier et l’autre le prédestiné, l’un est le fils du baron et l’autre son protégé. Ils grandirent tous les deux ensembles la tête emplie des mêmes rêves, des rêves de petits de garçons, des rêves de victoires, des rêves de gloire. Puis le temps vint pour eux de quitter le vieux château et d’aller faire leurs armes auprès d’un ami du baron.
Pendant deux ans messire Sebastian va leur apprit tout ce qu’il leur fallait savoir.
Charles s’avéra à même de savoir tout faire d’instinct, que soit pour le maniement des armes, des chevaux, la musique ou la danse ; il excellait en tout et pour tout. Mick, plus jeune, le regardait faire émerveiller, lui auquel il fallait, en comparaison, tant de temps pour assimiler les nouvelles choses qu’on lui enseignait. Tout autre que lui aurait été jaloux de cet étranger dont le talent semblait éclipser le sien mais Mick avait le cœur trop généreux pour cela et cette âme d’or ne pouvait renfermer aucune amertume, ni aucune jalousie. Après son père et Sebastian, Charles était la personne au monde pour laquelle il avait le plus d’admiration.
Charles fut le premier à être fait chevalier et debout dans l’église où avait lieu la cérémonie Mick suivait des yeux son ami descendant l’allé centrale éclairée par le soleil couchant qui faisait rutiler son armure en pensant que les anges devaient briller d’une pareille lumière. Le jeune chevalier monta sur son cheval, un magnifique étalon noir que lui avait offert Sebastian, qu’il fit se cabrer, imitant l’image qui se trouvait sur son écu : un cheval noir cabré sur fond de grenat.
On se réjouit des heureux évènements de cet journée durant un banquet qui se prolongea fort avant dans la nuit. Puis au petit jours Charles se leva, revêtit son armure et fit amener son cheval. Mick n’avait pas osé s’endormir de peur que son compagnon ne parte sans qu’il ait pu lui dire au revoir, et blottit dans sa chambre il guettait le moindre bruit, prêt à s’élancer au moindre signal. Lorsqu’il entendit les pas lourds d’un homme en arme résonner dans l’escalier de la tour où ils logeaient, il se précipita hors de sa chambre juste à temps pour saisir son ami dans ses bras au moment où il arrivait devant sa porte. Charles lâcha un petit amusé en voyant ainsi son jeune camarade se jeter sur lui. Il laissât Mick l’éteindre pendant plusieurs secondes puis doucement il éloigna le corps encore frêle de son ami. Leurs regards se croisèrent et c’est alors qu’il vit que les yeux couleurs d’azur de Mick pleins de larmes. Charles sourit tristement puis il vient passer une main affectueuse dans les cheveux d’or de son compagnon de toujours. Il dit la première bêtise qui lui passa par la tête afin de réconforter le jeune garçon et ayant enfin obtenu de lui un sourire, il se détacha délicatement de Mick et poursuivit sa route.
Le fils du baron le suivit en silence, il regarda Charles mettre ses gants, monter à cheval, saisir sa lance et son bouclier puis il s’approcha du bel étalon et se collant contre son encolure il lui recommanda de prendre bien soin de son cavalier. Après quoi il se tourna vers Charles et accrochant à sa selle un mouchoir de brocard rouge qu’il avait hérité de sa mère il dit : « Beau doux sire, que la sainte image brodée sur ce mouchoir vous protège et vous garde, et puisse-t-elle vous rappeler celui qui attendra votre retour avec plus d’ardeur encore que les fleurs attendent le retour du printemps. »
Quelques instants plus tard Charles était parti, parti à la quête d’aventure, parti à la quête de gloire afin d’honorer le nom de la grande maison des Ferrari dont il était devenu la grande espérance, il partit en attendant que quelques années plus tard Mick en face de même, pousser lui par le désir de conserver la gloire qui entourait le nom de son père.
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