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#magnifique visage
christiangeistdorfer · 6 months
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ALAIN MAHÉ eating bread & drinking wine during the 1983 TOUR DE FRANCE AUTOMOBILE
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bernofoot · 2 years
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jules-and-company · 10 months
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GOD FUCK HE’S HOT
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biitchcakes · 11 months
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San Francisco is a city of hills, atop one of them is YARBRO COURT, a collection of classic, 19th century Queen Anne tower houses. It's a lovely neighbourhood, complete with a magnificent view of the city and the bay -- that is, until the fog rolls in, with it's very own GHOSTS.
You see, Yarbro Court is HAUNTED.
That was one of the things that endeared it to Jessica and her roommate, actress Lindsay McCabe, when they moved into the top floor flat and attic of No. 1 Yarbro.
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coolvieilledentelle · 6 months
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« Aujourd'hui j'ai adopté un humain…
"Cela m'a brisé le cœur de le voir si seul et confus. J'ai soudainement vu ses yeux larmoyants alors qu'il regardait dans les miens.
Alors j'ai aboyé de toutes mes forces , le suivant de maison en maison. Finalement, je me suis approché suffisamment pour toucher sa main avec mon nez. L'homme a souri et j'ai senti son cœur froid commencer à se réchauffer.
Je me rapprochai de son visage et sentis ses larmes commencer à couler. Je l'ai regardé et il m'a répondu avec un magnifique sourire.
J'ai sauté sur ses genoux avec enthousiasme, j'ai promis que je l'aimerais pour toujours et que je ne le quitterais jamais. Quelle chance qu'il soit passé par là où j'étais et que nous puissions nous rencontrer comme ça. Je me sentais chanceux aussi.
Tant de gens sont passés par là, mais lui seul, lui seul, m'a regardé. Je suis content qu'il ait fait un choix et que j'ai pu lui sauver la vie.... j'ai adopté une personne "
Parole de chien ...
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leparfumdesreves · 5 months
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"Tous les matins on a une mission.
Trouver la gaieté au milieu des raisons de désespérer.
La beauté au milieu des laideurs.
La gentillesse au milieu des visages fermés.
Les caresses au milieu des griffes. La tendresse au milieu des gifles. L’ouverture au milieu des fermetures.
Si vous acceptez cette mission, la journée sera magnifique.
Si vous la refusez, allez vous recoucher tout de suite...!"
Edouard Baer
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jeanchrisosme · 3 months
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Tous les matins, on a une mission. Trouver la gaieté au milieu des raisons de désespérer. La beauté au milieu des laideurs. La gentillesse au milieu des visages fermés. Les caresses au milieu des griffes. La tendresse au milieu des gifles. L'ouverture au milieu des fermetures. Si vous acceptez cette mission, la journée sera magnifique. Si vous la refusez, allez vous recoucher tout de suite !
Edouard Baer
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the-broken-truth · 6 months
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Twisted Wonderland Nonsense [5]: The Prefect's Side Hustle
Note: [Male Yuu With Tall Muscular Build]
Rook: Trickster! (Walking over to the First-Years' Table during Lunchtime) I require your services once again, Mon Créateur!
Yuu (Looking up from his food): What can I do for you, Rook?
Rook (Dramatically): Your previous work was splendid, tout simplement magnifique! I am in dire need of those services once again to magnify the beauty that is Roi Du Poison! Will you aid me, Trickster?!
Yuu (Wiping his mouth with a napkin): Depends. What do you need to be done and when do you need it done? Depending on these factors will determine how much I am going to charge you.
Rook (Pulls a piece of paper out of his pocket and hands it to Yuu): Here, Mon Trickster! This is the visage Roi Du Poison has!
Yuu (Looking at the picture - holding it to wear the others can't see it): This can be done, but I need at least 3 weeks to get this done and I will charge at least 10,000 Thaumarks for this.
Ace & Deuce (Jaw Dropping): 10,000 Thaumarks?!
Rook (Smiling): Of course, Trickster, such a cheap price for your services! The time frame is most convenient as well! Do you wish to be paid in full now or upon completion?!
Yuu (Folds the paper and puts in it in his pocket): I'll take half as a deposit and the other half upon completion. In Cash, please.
Rook: Of Course, Mon Créatif Trickster! I shall be around Ramshackle after schooling is done with the first installment! Until then, Au revoir! (Walks away)
[Ace & Deuce look towards Yuu, who decided to go back to his food as if that didn't just happen.]
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Rook (Bursts into Ramshackle with an envelope in hand): Mon Trickster! I have arrived!
You (Sitting on the sofa - a small cash box on the table in front of him on the table): Just on time, Rook; do you have the deposit amount we agreed on?
Rook (Handing Yuu the envelope): Of course!
[Yuu opens the envelope, pulls out the stack of cash, and starts counting in while Ace and Deuce are watching with wide eyes.]
Yuu: This is the correct amount. I'll get started tonight and have it done in 3 weeks or soon. If you want to make any changes, let me know; just know that it's going to cost you extra.
Rook: Of course, that is only fair! Until next time, Trickster! (Leaves Ramshackle with a smile)
[Ace and Deuce watch as Yuu opens the Cash Box, which is already overflowing with cash, and puts the new money in before locking it after forcing it down.]
Yuu: I'm gonna need a new cash box.
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[2 Weeks & 3 Days Later]
Rook: You finished it already, Mon Trickster! You are truly a wonder!
Yuu (Pulls the sheet off the body mannequin - revealing a very elegant outfit in Pomefiome's Colors): Thoughts?
Rook (Examining the outfit from all angles): MAGNIFIQUE! SPLENDIDE! UN DÉTAIL TELLEMENT ÉLÉGANT ! PAS UN SEUL ÉTIREMENT MALPLACE ! CECI EST LA PERFECTION! LE ROI DU POISON VA ADORER CELA ! MERCI, MON CRÉATIF TRICKSTER!!!
Yuu: Glad you approve. May I have my payment so I can package the outfit for you?
Rook (Hands Yuu another envelope): Here you are, Trickster!
[Yuu counts the money, removes the outfit carefully from the mannequin before folding it and packing it in an air-tight plastic bag before handing it to Rook.]
Yuu: A pleasure doing business with you, Rook.
Rook: With you as well, Trickster! Hopefully, we can do business again soon. Until then. (Leaves Ramshackle)
Ace:...
Deuce:...
Yuu (Counting Cash): Yeah, Papa Crewel taught me about fashion and sewing. Clothes aren't the only things I make.
Deuce: What else?
Yuu: I have...other wares.
[END]
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theungracefulpasterie · 3 months
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Second part of @imaushisimp 's request !
A/N : Sorry for the long time I took, I got a lot of exams and I had a hard time finding inspiration. Anyways, hope you'll like it !! (It'll still be in French as you have requested)
P.O.V : You throw a surprise party for him (Dazai)
Warning : get a tiny tiny bit heated towards the end.
Dazai
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Ça fait 2 ans que tu fais partie de l'Agence, 2 ans qu'un certain homme parsemé de bandages sur tout le corps est entré dans ta vie. L'année dernière, lors de votre anniversaire, c'est Dazai qui a tout organisé. Mais cette année, tu as décidé que c'était ton tour de faire de cette journée la meilleure. Tu décida donc de faire de cette fête une surprise et de convié tout les membres de l'Agence.
~~little timeskip~~
Tu avais tout prévu. Vous alliez passer toute une après-midi à fêter votre amour avec tout vos amis, puis une balade au parc entre amoureux au crépuscule pour admirer le coucher du soleil et enfin pour finir la soirée chez toi.
"Bon, c'est quand que je peux voir ?", dit-il impatiemment. Tu lui avais mis les mains devant les yeux et essayait de le guider tant bien que mal à le guider jusqu'au bureau.
"Oh mais attends !!", tu soupiras parce que t'avais l'impression de parler à un enfant. Vous étiez enfin arrivé devant la porte et tu lui enlevas tes mains de ses yeux. "C'est bon, tu peux ouvrir la porte !".
Il ouvrit la porte quand tout le monde cria "Surprise !!" et sauta sur lui, à ça de l'écraser au sol avec leur poids. Tu éclatas de rire et il se leva endolori.
"C'est pas drôle !", dit-il en faisant semblant de faire des yeux de chien battu pour attiser ta pitié. Il reprena son air sérieux et admira toute la décoration. "C'est... c'est toi qui a fait ça ?", dit-il en te regardant comme si il te croyait pas.
"Et oui ! Avec l'aide de tout le monde bien sûr...", tu répondis en regardant ailleurs et en rougissant. Dazai venu vers toi, entoura ta taille avec un de ses bras et te pris par le menton et approcha son visage du tien et dit d'une voix suave et séducteur comme il sait bien le faire : "C'est magnifique, ça te reflète parfaitement chéri." Et il t'embrassa tendrement. Tu entouras tes bras autour de son cou et tu te laissas faire par ce baiser envoûtant. Tout le monde sifflait et vous disait de réserver pour ce soir, à quoi tu leur répondis tout rouge "CE N'EST PAS VOS AFFAIRES !!".
Vous passiez une après-midi fabuleuse avec tout le monde quand tu remarquas que le ciel était déjà d'un orange doré. "Osamu, ça te dit une balade au parc ?", demandas-tu en lui tendant ta main. Il la prit et se leva. "Avec plaisir, mon amour~", répondit-il, plus amoureux que quiconque. Ton cœur palpitait tellement il était sexy en paroles et en apparence. Tu pouvais pas croire que la vie t'avait béni avec un homme comme ça.
Vous marchiez dans le parc main dans la main, en parlant de tout et de rien et en admirant la nature. Ce que Dazai aimait chez toi était ton amour pour la nature, c'était peut-être le seul domaine dans lequel tu le dépassais, lui et son gros cerveau. Et c'était ça le problème, tu savais que son intellect le permettait de prédire carrément l'avenir.
Vous vous asseyez donc sur un banc, admirant le coucher du soleil. Tu posas ta tête sur son épaule et lui dis :
"Tu le savais depuis le début pour cette surprise, hein ?"
Après quelques secondes, il disa avec de l'embarras dans sa voix :
"Haha... malheureusement...", il était également très nerveux. "Mais pour être honnête, même si je l'avais déjà prévu, les moments qu'on a passé ensemble et avec tout le monde m'ont beaucoup touché et ça, tu vois, c'est quelque chose que je n'arrive jamais à prédire."
Tu lui souris et répondis :
"Merci d'avoir jouer le jeu, vraiment... c'est ça que j'aime chez toi, Osamu. Même si tu sais déjà ce que je veux faire avec toi, tu ne laisses jamais ton intelligence gâcher le moment et tu laisses libre cours à tes sentiments et aux sentiments des autres. Et ça, je te suis à jamais reconnaissant. Je t'aime, Osamu."
Il sourit à ta réponse et te regarda tendrement.
"Moi aussi je t'aime." Il posa ses mains sur ton visage et t'embrassa. Il inséra sa langue dans ta bouche et domina ta langue. Tu te laissas faire et vous commenciez à vous allonger sur le banc, Dazai au-dessus de toi, continuant à te rouler une pelle. Ton pantalon commença à devenir trop inconfortable au niveau de ton entrejambe, pareil pour Dazai. Quand tu te rendis compte que ça commençait à devenir torride et que vous étiez encore en public, tu te rappellas de la dernière étape de ta surprise. Tu séparas tes lèvres des siennes, à son grand désarroi, et dis :
"Chez moi ?~"
Il sourit sournoisement et répondit :
"J'ai cru que tu le demanderais pas~"
A/N : At last, it's over !! My first time writing a more heated story, I'm not too good at this yes but I wanted to try, so I would like feedback ! Don't hesitate y'all to request more things, I'd be happy to make them !!
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jamie-007 · 2 months
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Tu vois mon enfant chérie, je poursuis mon chemin.
Je vieillis, il paraît que c'est comme ça "la vie", que l'on change tout doucement, avec le temps...
Enfin du moins c'est ce que l'on nous apprend.
Je vois bien les rides sur mon visage, les sillons creusés par mes vécus et mes souffrances.
Pourtant en moi, et c'est étrange, je ne vieillis pas vraiment.
Je suis comme toi mon enfant intérieur, je ris, je vis, je joue car je ressens tellement ta présente à mes côtés.
Tu me rappelles à chaque instant que je suis éternité dans ma passion à aimer, à créer, à m'émerveiller.
Alors, pour toi qui brille d'une
joyeuse légèreté, je continue de voir la vie comme un grand jeu où j'ai à cœur de m'amuser.
Je souhaite que tu sois fière de moi, mon enfant intérieur que je continue de choyer.
Et pardon pour toutes les fois où je t'ai oubliée.
Désormais je t'écoute me transmettre ta force de vie.
Désormais je te donne ma sagesse qui t'apaise.
Jamais plus nous ne serons séparés car nous sommes à nous deux une magnifique lumière d'éternité.
Brigitte BIANCONI ✨️
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alexar60 · 1 year
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Changement
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C’était un simple crush, une histoire d’une nuit. Mais au matin, Manon se leva, encore vêtue de son t-shirt déchiré. La rouquine prépara ses pinceaux et invita Paul à la rejoindre. Elle trouvait son visage si charmant qu’elle voulait garder une trace. Dès lors, elle dessina son portrait, usant de la peinture et du temps. Son coup du soir demeurait nu, assis sur une chaise, prenant une position sérieuse et intime. Contrairement à l’artiste qui, sans complexe, n’hésita pas à garder les cuisses ouvertes. D’ailleurs, Paul ne pouvait que profiter de son sexe rasé et sa poitrine généreuse à peine voilée par le tissu blanc de son maillot.
Manon peignait, profitant de son inspiration. Elle dessinait magnifiquement mais ne souhaitait pas exposer ni vendre ce nouveau tableau. Contrairement à ses habitudes, celui-ci n’était qu’une envie, un moment de plaisir, un cadeau pour remercier Paul pour cette jolie nuit passionnée.
Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau, dit-elle.
Paul sourit à cet instant. Cependant, constatant que Manon arrêta de peindre tout en présentant un regard sérieux. Il comprit qu’elle ne voulait pas qu’il bouge, y compris dans la mimique.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Non, répondit-il après une hésitation.
Il avait peur qu’elle rate son œuvre parce qu’il aurait remué les lèvres. Toutefois, elle arrêta de peindre et regarda son amant avec étonnement. Dès lors, il se sentit obligé de se justifier.
Je préfèrerais changer ma vie entièrement…Parfois, j’ai l’impression d’avoir loupé quelque-chose. Que ça ne s’est pas passé comme prévu. Rien ne me plait dans cette vie.
La jeune femme écoutait avec attention. Elle comprenait ce qu’il ressentait. Elle avait bientôt 40 ans, pas d’enfant et une vie, pourtant magnifique, mais triste. Elle avait vécu des moments de galère avant la reconnaissance. Cependant, elle sait que la galère peut revenir à tout moment. Et oui, elle aussi, aurait voulu changer sa vie, si elle le pouvait. Paul interrompit sa perdition soudaine. Aussitôt, Manon se remit à peindre.
Le soir venu, le tableau n’était pas encore fini. Paul proposa de revenir le lendemain soir, car il devait rentrer chez lui. Personne ne l’attendait si ce n’est une pile de dossiers pour le boulot. Il s’habilla puis sortit après avoir embrassé langoureusement Manon.
Dehors, il faisait déjà nuit. Le ciel magnifiquement dégagé, se voilait d’un tapis d’étoiles. Paul marcha longtemps, en repensant à leur discussion sur leur vie. Il se demandait si ce n’était pas l’occasion de se ranger, arrêter des histoires sans lendemain et enfin, de pouvoir vivre une vraie histoire d’amour. Il leva la tête pour admirer la lune. Tout à coup, il aperçut une étoile filante. Cette dernière laissait derrière elle, un éphémère trait argenté. Puis il entra dans son appartement et s’endormit en oubliant cette belle journée.
Chéri, tu vas être en retard !
Paul regarda avec des yeux exorbités la belle brune qui se promenait en jogging dans sa chambre. Elle ouvrit la porte d’une armoire qu’il n’avait jamais vue.  Un coup d’œil par la fenêtre, il n’était pas dans son logement. Lui qui, d’ordinaire, voyait une petite cour, se trouvait à découvrir une avenue ou un boulevard. Il se leva, approcha de la femme  qu’il ne connaissait pas. Il allait poser une question lorsqu’il entendit parler. Dès lors, il approcha de la cuisine. Deux petites filles, assises autour d’une table, mangeaient une tartine et buvaient un bol de chocolat.
Bonjour papa ! dirent-elles en cœur.
Hé bien Paul, tu ne t’habilles pas ? Tu vas ��tre en retard.
Et toi, tu ne travailles pas aujourd’hui ? demanda Paul.
Elle sourit à sa question  Cependant, ce n’était pas la première qui lui venait en tête. Mais il ne savait pas comment expliquer qu’il y avait erreur. Il n’était pas marié, n’a jamais eu d’enfant. Et brusquement, il se retrouvait avec une femme et deux gamines dans un appartement qui ne lui disait rien.
Tu sais bien que le mardi, je suis en télétravail, annonça la femme.
Elle pria les filles de prendre leur cartable et les accompagna jusqu’à l’école. Pendant ce temps, Paul se lavait puis quittait à son tour l’appartement pour rejoindre son bureau.
Durant tout le trajet, il interrogea son esprit. Comment était-il possible qu’il ait changé de vie en une nuit ? Les vœux se réalise-t-il ? Il n’avait pas changé d’apparence. Il n’avait pas pris la vie d’un autre. Il était bien lui, mais ne comprenait rien de ce qu’il lui arrivait.
En entrant dans le hall, l’hôtesse d’accueil le regard avec insistance. Paul passa, comme tous les jours, montrant un grand sourire et en disant bonjour. Il partait en direction de l’ascenseur pour rejoindre son bureau minable, encerclé de cloisons qui n’empêchait pas d’entendre les discussions de ses collègues. Seulement, il fut arrêté.
S’il vous plait, monsieur ! Avez-vous rendez-vous ?
Je travaille ici, répondit Paul avec étonnement. Vous ne me reconnaissez pas Mathilde ?
Surprise d’entendre son prénom de la bouche d’un inconnu, Mathilde resta bouche bée. Puis, elle reposa la question. Paul continuait d’affirmer qu’il travaillait dans cette entreprise depuis quatre ans. Finalement, il demanda qu’on appelle son collègue de bureau.
Norbert n’avait pas changé. Petit gros, les cheveux gris, il sortit de l’ascenseur avec son air patibulaire connu. Il commença par engueuler Mathilde tout en dévisageant Paul et un agent de sécurité. Et quand Paul le salua. Il chercha dans son esprit s’il l’avait déjà rencontré.
Non, désolé, je ne vous connais pas, dit-il. Et ne m’appelez pas pour ce genre de foutaise…Déjà que j’étais en pleine réunion !
Il partit sans écouter les appels de Paul. Celui-ci, sentant qu’il n’était pas le bienvenu, quitta le hall surveillé de près par la sécurité. Toutefois, une fois dans la rue, son téléphone sonna.  L’écran afficha un nom qu’il ne connaissait pas. Cependant, il répondit et entendit une voix d’homme
Bonjour Paul, Vous allez bien ? Parce que vous ne nous avez pas prévenu de votre absence.
Oui, ça va. Mais je devais aller où ?
Bin, à la Sorbonne. Vous avez votre cours.
Choqué, il attendit et n’eut pas le temps de parler.
Vous êtes sûr que vous allez bien ? Je peux annuler vos cours de la journée.
Non, ça va. Je...j’arrive.
Paul prit le métro et descendit à Maubert-Mutualité. Il remonta la rue et entra dans l’université par la porte principale. Il ne savait pas où aller ni quoi faire. Il resta hagard jusqu’à ce qu’il croise un étudiant qui le salua. Dès lors, il profita de la discussion pour en savoir plus. Et il apprit ce qu’il n’aurait jamais pensé. Il était professeur de grec ancien.
Après avoir écouté le jeune érudit. Paul s’arrêta devant une salle de cours. Une vingtaine d’élèves attendait patiemment tout en discutant. Son entrée imposa le silence. Il posa une valisette sur la table avant d’observer les étudiants. Le grec ne s’apprend pas. Il avait quelques notions mais cela datait du collège. Il prononça un bonjour obtenant la pareille de ses élèves.
Vous ai-je déjà donné un exercice à faire ? Une traduction ?
Oui, répondit un étudiant.
Immédiatement, il lui proposa de venir au tableau et de traduire le texte étudié. En écoutant, le jeune homme, Paul réalisa qu’il comprenait tout comme s’il parlait couramment le grec ancien. Il s’étonna en corrigeant lui-même quelques erreurs d’accents et de grammaire. Le cours lui parut normal, tout comme la journée.
Au moment de quitter la Sorbonne, son téléphone sonna de nouveau. C’était son épouse.
A quelle heure rentres-tu ? demanda-t-elle.
Je ne sais pas encore.
Si tu vas chez Manon, ne rentre pas trop tard comme hier, s’il te plait. Ce matin, tu m’as paru déboussolé.
Manon ?
Oui, Manon, la peintre.
Il ne s’attendait pas à connaitre déjà Manon. Dans sa nouvelle vie, c’était une amie, alors qu’il l’avait rencontrée la veille. Il se dirigea chez elle. Peut-être avait-elle des explications ? Il reconnut la rue, le même immeuble. Il grimpa jusqu’à son atelier qui servait aussi d’appartement. Il sonna et entendit crier : « C’est ouvert ».
Sans hésiter, le professeur de grec entra. Manon était assise, elle peignait un tableau. La vue de Paul s’attarda sur la raie de ses fesses, indiquant qu’elle ne portait qu’un maillot à moitié déchiré. Elle tourna la tête lorsqu’il toussa.
Oh Paul, je ne t’attendais pas. Je pensais qu’on aurait continué ton portrait demain. (Elle se leva pour faire la bise). Tu vois j’étais en train de faire quelques retouches.
Paul découvrit son portrait nu, assis comme il l’était hier. Elle proposa de reprendre où ils en étaient. Il se retira dans la chambre, se déshabilla et revint s’assoir. Manon se mit à peindre de suite.
Excuse-moi, Manon, mais, on se connait intimement pour que tu restes…
Pour que je reste à poil ? Non, on n’a jamais couché ensemble. C’est une habitude pour mettre à l’aise mes modèles. Je me mets à poil quand ils le sont. Et puis, je ne couche pas avec les maris de mes amies.
Et pourquoi, je pose nu ?
Un cadeau pour Fabienne. Enfin, c’est ce que tu m’avais dit. Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau
Paul sourit à cet instant parce qu’il avait déjà entendu Manon prononcer ces mots.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Cette fois-ci Paul ne répondit pas. Cette nouvelle vie lui paraissait plus belle.
Alex@r60 – août 2023
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For the Anderson Ship Requests
Magenta/Destiny - sunset
Thank you so much for the ask @janetm74! 😁 And thanks my Mom for giving me ideas! 💙💙💙
-0-0-0-
From the high above the clouds, the vast beautiful green fields seemed they were never ending, with no edge of the world in sight.
Well contrasted with the bright sky of all shades of red.
"Ma foi! Look, its your color - magenta!" Juliette cried with her hands crossed over chest, holding a warm wrap that Patrick put over her shoulders.
"Looks like the sailors 're having a delight, the lucky bastards!" grinned Patrick, who stood behind her navigating the hot air balloon.
"Dommage, we too far high up and far from shore for them to see ton visage charmant!" she smirked at him, in which he laughed in return.
"Hah! Next you see them complaining about the rain, again!"
After a hefty laugh, they look back at the sunset.
Her ponytail flowed along with the current of the wind, reflecting the colors of the sunset that made her blonde hair seemed like it was covered in fairy dust.
Seeing such mesmerizing beauty, Pat subconsciously wrapped his arm around her, closing the tiny distance between himself and Juliette to let his body protect her from the cold and not letting her wrap fly off.
"How's Ireland, Bijoux?" he murmured softly into ear.
"Magnifique! I could see why you always come back to it!" She breathed, her hand found his.
Taking a moment to warm the air of the Hot Air Balloon, Patrick gave her a warm kiss on the cheek.
"Tá tú go hálainn ar fad."
"Merci!" Juliette kissed him back, she quickly looked down and pulled her goggles down, "I think we got there!"
"S.I.G! See ya down there!"
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selidren · 8 days
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Automne 1924 - Champs-les-Sims
3/3
J'aurai du également vous le dire au début de ma lettre, mais il se trouve que je vais sans doute organiser mon mariage sous peu. Oui, je sais bien que je suis encore très jeunes, mais je suis aussi très amoureuse de Jean. Et si cela peut me faire échapper à un mariage arrangé par ma grand-mère (oui c'est d'un autre temps, mais elle en est tout à fait capable, d'ailleurs, elle est elle-même d'un autre temps), je ne vois pas où serait le mal. Après tout, comme me l'a répété mon père lors de mon anniversaire, c'est à présent à mon tour de produire le prochain maillon de la chaîne : un héritier. Grand-Mère lui a drôlement bien appris sa leçon. Serais-je la même un jour ? A sermonner mon fils ou ma fille pour qu'il ait des enfants au plus vite ? Je ne l'espère pas, d'ici là je prie pour que les temps aient changé.
J'attends avec impatience de vos nouvelles.
Noé
Transcription :
Jean « Tu es magnifique ! Cette coupe te va bien mieux qu’à Cléo ! »
Arsinoé « Tu trouves ? Quand j’ai vu les mèches par terre, j’ai presque été prise de vertiges. J’ai regretté, mais trop tard. »
Jean « Ne regrette pas, c’est inutile. Ton visage est vraiment mis en valeur. »
Arsinoé « Je n’en peux plus d’attendre la fin de ces rencontres clandestines dans l’obscurité. »
Jean « Et sous la pluie pour couronner le tout ! »
Arsinoé « Pour te voir, j’affronterai les pires tempêtes ! Qui se préoccupe de quelques gouttes franchement ? »
Jean « Moi. Tes robes toutes neuves vont être trempées, et tu risques de tomber malade de plus. Et puis je vois d’ici que tu frissonnes. »
Arsinoé « Alors tiens moi chaud ! »
Arsinoé « Je ne comprends pas pourquoi tu as quitté la Butte au Chêne. On ne voit bien moins qu’avant, et la paie était pourtant meilleure. »
Jean « J’avoue que fréquenter la patronne est plutôt avantageux pour ma fiche de paie, mais ça me mettait trop mal à l’aise vis-à-vis des gars. Et puis, je n’ai pas envie de bénéficier d’un traitement de faveur, je ne le mérite vraiment pas. Non, crois moi. C’est mieux de travailler à l’épicerie. »
Arsinoé « Kleber est un ami de mon frère, tu le sais ? »
Jean « Vous avez des amis partout Noé ! En tous cas, il me fait trimer comme un galérien, mon argent est bien mérité. »
Arsinoé « Et de toute façon, quand nous serons mariés, tu travailleras avec moi à diriger l’entreprise. »
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ltalaynareor · 2 months
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Le cheval
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Le soleil brillait haut dans le ciel de Jérusalem, illuminant les murs de la cité sainte et les dômes des églises. Baudouin se tenait sur les remparts du palais, regardant le paysage avec un mélange de fierté et de tristesse. Officiellement, il était guéri depuis plus d'un an, mais la lèpre avait ravagé son corps et son visage. Si Alix ne l'avait pas voulu, qu'elle femme décente l'aurait épousé ?
En parlant du loup, il aperçut sa femme, la belle et courageuse Alix de Tripoli, dans la cour du palais. Elle était enceinte de leur premier enfant, et malgré les risques et les dangers, elle semblait déterminée à monter à cheval pour une promenade dans la campagne. Le cœur de Baudouin se serra d'inquiétude. Il savait que les chevaux pouvaient être imprévisibles, surtout pour une femme enceinte.
Sans réfléchir, le roi descendit les escaliers en trombe et se précipita vers sa femme. "Alix, que fais-tu ?", appela-t-il, sa voix tremblante d'émotion. "Il est dangereux pour toi et pour le bébé de monter à cheval dans ton état."
Alix se tourna vers son mari, ses yeux brillants d'une détermination résolue. "Mon seigneur, je comprends tes inquiétudes, mais j'ai besoin de me sentir libre, de respirer l'air pur de la campagne. Je sais que je dois être prudente, mais je ne peux rester enfermée dans les murs du palais."
Baudouin prit la main de sa femme dans la sienne, ressentant la chaleur de sa peau sous ses doigts déformés par la maladie. "Je te comprends, ma chère Alix, mais je t'en prie, sois prudente. Je ne pourrais supporter de te perdre, toi ou notre enfant."
Alix sourit doucement à son mari. "Ne t'en fais pas, mon roi. Je resterai en sécurité, je te le promets." Elle posa sa main sur son ventre rond, ressentant les premiers mouvements de leur bébé. "Nous serons tous les deux bien, je te le jure."
Baudouin regarda sa femme avec amour et admiration, sachant qu'elle était aussi courageuse et déterminée que lui-même et il appela son écuyer pour qu'on lui prépare son cheval. Après tout, la journée s'annonçait magnifique et autant bien la commencer avec l'autre partie de son âme.
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passiondelaine · 8 months
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Dans un petit village pittoresque niché au cœur d'une vallée verdoyante, vivait une femme au nom de Léa. Depuis sa tendre enfance, Léa avait développé une passion inhabituelle pour la laine. Chaque fois que l'hiver pointait le bout de son nez, elle ressentait cette chaleureuse excitation à l'idée de sortir ses pulls en laine du placard.
Dès que le temps froid s'installait, Léa se lançait dans une quête dédiée à la recherche de laines douces et chatoyantes. Elle se rendait régulièrement dans la petite boutique de tricot du village, un lieu où les écheveaux aux couleurs variées formaient une symphonie visuelle qui réchauffait son cœur. Elle adorait sentir la texture des différentes laines entre ses doigts, leur douceur et leur chaleur uniques. Lorsque les températures descendaient, Léa prenait plaisir à s'envelopper dans la laine. Elle se sentait enveloppée d'une tendre étreinte, comme si la laine la protégeait du froid avec amour. Son amour pour cette matière noble et naturelle était un reflet de sa propre âme chaleureuse et généreuse.
Les villageois observaient avec admiration cette jeune femme qui déambulait gracieusement dans les rues pavées, enveloppée de ses robes en tricot. Certains disaient que ses vêtements en laine avaient le pouvoir de réchauffer les cœurs, de répandre une aura de douceur autour d'elle. Et il est vrai que Léa avait cette capacité rare de faire naître des sourires sur les visages des gens qui croisaient son chemin.
Mais au fil du temps Léa s’est rendue compte de son attraction de plus en plus insistante envers les femmes qui comme elle, portaient des matières laineuses et douces, en l'occurrence des tricots en mohair.
C’est pourquoi elle a envisagé d'explorer ces sentiments avec Sylvie, une amie de confiance, afin d’abord de s’en ouvrir pour lui parler de son fétichisme vestimentaire, et essayer d’explorer les raisons de cette attirance particulière.
Mais Sylvie, qui est une femme d’expérience et très libre en matière de sexualité l’a encouragée à ne pas trop se poser de questions et de surtout de pas refouler ce fantasme, mais bien au contraire de l’assumer pleinement et d’en tirer du plaisir plutôt que de la gêne.
Sylvie s’est sentie complètement libérée de sa honte et s’est laissée guider par Catherine qui lui a gentiment offert de partager avec elle de longs moments de douceur en lui faisant découvrir les plaisirs saphiques et en la comblant de tout le mohair dont elle raffolait
Si vous avez l’occasion de les rencontrer, vous pourrez voir combien elles sont heureuses et magnifiques en partageant leur sexualité épanouie et sans contrainte vêtues de leurs magnifiques pulls.
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seynne · 4 months
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Last line challenge
Rules: in a new post, show the last line you wrote (or drew) and tag as many people as there are words (or as many as you feel like).
Thank you for the tag @desfraisespartout
The flow is going... unsteadily, but if I get the correct music, it flows a lot more, I'm right in the middle of it so might as well put it there! It WILL need some trim and proper organisation, but the stream of consciousness does for some poesy ^^''
Sa tête, sa magnifique tête aux cheveux autrefois si blonds, que j’avais tant caressé, celle à qui j’avais juré fidélité et amour pour l’éternité, se tourna lentement vers moi. La vibration du monde s’intensifia encore. Sa bouche ouverte que j’avais tant embrassée, avait peut-être cessé de chanter, tandis que la mienne, qui ne chantait pas, mais implorait, se réverbérait dans l’univers entier me semblait-il, mais son essence, infiniment plus puissante, plus complexe, plus multiple que la mienne continua d’en ébranler ciel et terre. Sa main, que j’avais tant senti sur moi, caresser mon visage, se tendit vers moi… Et ses yeux qui avaient autrefois recelé tant d’amour pour moi, qui s’étaient écarquillés dès l’instant où ma voix s’était ajoutée au mélange, se chargèrent soudain d’une telle haine que tous les sortilèges que j’étais en train d’installer se brisèrent instantanément, et j’en tombai à genoux, foudroyé d’une telle rage.
Her head, her beautiful head with hair that once ago were so blonds, hair I so tenderly caressed once upon a time, the one woman to whom I swore loyalty and love for eternity, slowly turned towards me. The vibrations of the world intensified tenfold again. Her open mouth, that I used to kiss so long, may have stopped singing, while mine, who did not sing but beg, was reverberating in the entire universe or so I thought, but her essence, infinitely more powerful, more complexe, more multiple than mine, still rattled upon heaven and earth. The hand I felt on my body, caressing my face, so much not so long ago, reached toward me... And her eyes who once upon a time held so much love, that had widened as soon as my voice entered the mix of her song, suddenly filled with such hatred all the spells I was weaving around us instantly broke, and I fell on my knees, devastated by such rage.
If they want to, I'd like to tag @astralprisms @chaosteddybear @zelyna-w @endeavour12345 @revoleotion @magmethius - and any other that would like to participate, just tag me, I want to read you ♥ AND IF I'M LATE PLEASE TELL ME!
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