Tumgik
#mais j'y crois moyen
sloubs · 1 year
Text
non mais en vrai vous vous rendez compte que pleins de gens à kaamelott ont rencontré/vu mani et que depuis JAMAIS ils en ont reparlé à arthur ? caius l'a connu, merlin l'a connu, le père blaise, venec, perceval, karadoc, léodagan, séli, guenièvre, lancelot, galessin, le tavernier, même les paysans l'ont rencontré et lui ont adressé la parole. y en a pas UN SEUL qui a demandé à arthur qui c'était ou ce qu'il est devenu. non moi j'suis désolée mais quand j'y pense ça me fout en l'air
47 notes · View notes
chifourmi · 1 month
Text
Le musicien aime tellement me rendre service, c'est adorable. Hier on était en balade et il avait pleins de choses en main et moi j'avais une bouteille d'eau et mon tel. On jouait tous les 2 à Pokemon Go et à un moment j'essaye d'attraper un pokemon mais j'y arrive pas et la bouteille m'embête, j'ai besoin de mes 2 mains. Du coup sans réfléchir je lui passe ma bouteille d'un geste automatique. Lui, de manière toute aussi automatique, il cherche un moyen de prendre ma bouteille alors qu'il avait déjà les mains encombrées. L'interaction a duré 1 seconde puis on a réalisé et ça nous a fait rire. Genre je lui ai vraiment donné machinalement la bouteille parce que j'ai trop l'habitude qu'il m'aide et lui pendant une seconde, sans réfléchir, il a aussi chercher à m'aider alors que c'était juste pas possible. C'est un bête petit moment qui veut beaucoup dire, j'ai trouvé ça adorable.
Dis comme ça on dirait que je l'exploite mdr. Mais ça lui fait plaisir de tout le temps m'aider, je crois que c'est un de ses langages d'amour.
(14/08/2024)
15 notes · View notes
e642 · 2 months
Text
Impossible de dormir je pense à plein de choses et comme toujours, j'ai la main sur très peu. Je repensais à la conversation que j'ai eu avec mon pote tout à l'heure sur le travail de psy et la responsabilité que c'est, et la neutralité qu'il faut et la bienveillance aussi. Je pense aussi au découvert de ma mère, on a acheté un lit pour mon appart, sa carte expire bientôt donc pour payer en plusieurs fois on a pris la mienne et elle voulait me faire des virements et aujourd'hui elle était déjà à -550€, j'ai du mal à vivre avec cette information. Le stress que ça doit être pour elle. Je m'en veux de lui coûter de l'argent même si je demande rien, il me fallait un lit mais ça me rend triste. Je pensais aussi au stage que je dois trouver, j'ose pas rappeler l'hôpital de peur de forcer et en même temps j'ai peur qu'ils me disent plus tard dans l'été que pas possible ou que quelqu'un a été plus réactif. Puis je repense à lex de mon mec qui le spam et me spam aussi et à l'envie malsaine de mettre une photo de moi trop fraîche. Mais en fait, quand je dis trop fraîche je pense à prendre une photo avec un filtre pour atténuer mes cicatrices d'acné parce qu'en fait je me trouve immonde. Et c'est un peu toxique de vouloir juste mettre ma tronche pour qu'elle voit qui l'a succèdée je sais. Aussi j'ai hâte de revoir mon mec, ça se passe mieux et le fait qu'il soit parti en vacances nous a donné de l'air et de la liberté mais je m'en veux un peu de pas lui avoir dit que je voyais un pote ce soir. Jlai pas dit pour éviter l'embrouille et c'est pas forcément bien mais c'est plus facile. J'avais pas envie de me prendre la tête pour ça alors que vraiment zéro ambiguïté avec lui et voilà c'est dur à faire croire que je peux boire un verre en tête à tête jusqu'à 23h avec un pote en parlant des années collège. J'aimerais pas qu'il me fasse ça mais il a un passif aussi, pas moi, d'où le fait que je banalise le fait que je mente. Puis je vais devoir lâcher bcp d'argent pour la fac, le permis, les vacances avec mon mec fin', je peux je vais être payée là en juillet mais j'ai toujours une peur profonde de manquer car globalement je vis avec 200€ par mois pendant 11 mois sur 12. Plus je grandis, plus j'ai peur de ne pas toujours réussir à subvenir à mes besoins. De ne pas avoir les moyens. Ma meilleure pote m'a invitée ce WE avec mon mec pour fêter son concours mais la vérité c'est que j'ai pas envie de la voir. Je suis très contente pour elle mais on est trop loin maintenant. Je fume énormément en ce moment et je sais pas comment faire, avant ça me posait pas de problème maintenant je sens que c'est pas très aligné avec mon côté "bien manger, faire du yoga, arrêter de fumer de la weed et de boire". Ma dermatillomanie ne cesse pas de grandir et ruiner tout mon corps sans que j'y puisse quelque chose. J'ai gâché mon visage, mes jambes, mon décolleté et je me déteste pour ça mais c'est le seul dérivatif que j'ai trouvé à la mutilation. Des fois, j'ai juste envie de me remettre un sale coup de lame pour m'éviter des heures de triturage de peau et c'est horrible à dire. Je me sens un peu nulle dernièrement en fait en plus de me sentir complément dégueulasse et affreuse mais ça va passer, tout passe. Voilà j'ai fait un effort, j'ai tout dit je crois, est-ce que je peux dormir ?
15 notes · View notes
je-suis-ronflex · 6 months
Text
Bref, j'ai (encore) passé le CAPES
Et vous voulez la bonne nouvelle ? J'ai déjà signé pour avoir ma place l'année prochaine tellement ça s'est mal passé. Enfin ça s'est pas trop mal passé, j'ai rendu des copies terminées et complètes mais les sujets des deux jours étaient alignés avec ceux de l'agrégation (l'autre concours pour être professeur) donc les candidats qui passaient les deux concours étaient avantagés donc on verra bien le résultat mais malgré des copies que j'estime pas trop moches, j'y crois moyen
11 notes · View notes
swedesinstockholm · 7 months
Text
20 février
en revenant du dentiste je suis passée au workshop d'afterwork du casino, j'étais en retard et je me suis trompée d'endroit et je suis arrivée toute échevelée. y avait deux médiatrices (mon ancien job, si j'avais pas tout gâché avec mon autosabotage j'aurai peut être fini par avoir un vrai poste fixe au casino, je me demande si la femme à l'accueil m'a reconnue) et donc y avait les deux médiatrices et un type qui s'amusait tout seul avec un synthé moog, il parlait anglais et d'après ce que j'ai entendu il était étudiant. il est parti avant la fin parce qu'il était invité à une fête qu'il appelait steak party mais je sais pas si c'était une blague ou pas. la médiatrice non plus elle savait pas. il leur a demandé ce qu'elles faisaient après le travail et la blonde a dit: rentrer chez moi, manger, dormir et recommencer le lendemain d'un ton très lassé de la vie. la brune devait déménager ses quinze paires de chaussures et ses trois cent kilos d'habits dans son nouvel appartement depuis chez ses parents.
j'aurais aimé leur demander ce qu'elles faisaient à côté de leur job de médiatrice, comment elles payaient leur loyer, pourquoi elles y étaient arrivées et pas moi, mais j'ai pas levé la tête de mon moog. de son moog. c'était le moog de la brune, elle s'en sert dans ses perfs, je sais qui c'est maintenant, elle avait fait une perf dans la cave du casino pour la nuit des musées mais on était pas rentrées parce que c'était trop cher. je crois qu'elle est curatrice aussi. elle a racheté le moog à un ami à moitié prix (300 euros). je lui ai dit que je voulais m'acheter un synthé moi aussi. j'aurais bien aimé lui demander ce qu'elle faisait comme musique aussi, mais mes capacités sociales sont au plus bas et je savais pas comment m'y prendre. j'arrivais même pas à parler clairement, sans bafouiller. c'était plus simple de rester plongée dans mes expérimentations sonores sur le moog, j'avais l'impression d'être une magicienne en tournant tous les petits boutons qui faisaient des sons trop COOL je suis obligée de m'acheter un korg maintenant.
mais je dois aussi me faire extraire une dent et ça coûte 650 euros et j'avais envie de pleurer dans la voiture quand maman m'a dit que je devrais vraiment trouver un moyen de gagner de l'argent, ça me semble tellement impossible comme tache que j'ai dit ou je peux sauter d'un pont, ce serait plus simple. j'ai pas réussi à contrôler mes pulsions morbides, elles m'ont échappé et elles se sont déversées sur l'autoroute de la frontière belge. elle m'a dit de me RENSEIGNER pour voir si je pouvais pas avoir des aides c'est pas COMPLIQUÉ quand même et dans ma gorge ça poussait parce que j'arrivais pas à lui expliquer que si c'était compliqué, que ça faisait partie du problème, que j'arrivais pas à faire ces choses-là parce que quelque chose cloche très profondément dans mon fonctionnement, c'est pas juste de la phobie administrative ou de la flemme ou que sais-je, j'avais envie de lui crier oui mais pour pouvoir faire ça d'abord il faudrait que j'aie envie de vivre! c'est de l'autosabotage comme avec tout le reste. je veux pas vraiment me sortir de La Situation. y a quelque chose à l'intérieur de moi qui veut pas, qui veut pas avancer.
j'avais l'impression d'être complètement à l'ouest chez le dentiste en plus. j'étais pas à l'ouest, mais je donnais cette impression. j'avais l'impression que la secrétaire avait pitié de moi. sinon j'ai bien aimé sentir les doigts du dentiste me tenir la mâchoire, quand la machine dans ma bouche commençait à devenir trop désagréable je me concentrais sur la sensation de ses doigts contre ma peau. ce weekend j'ai lu un livre qui s'appelle vierge de constance rutherford, j'ai lu jusqu'à trois heures du matin puis toute la matinée pour le finir. l'écriture était pas terrible terrible et j'y ai trouvé plein de maladresses mais je pouvais plus m'arrêter. ça parle d'une fille de 25 ans qui habite avec sa grand-mère et qui est toujours vierge, mais elle finit par se rendre compte qu'en fait elle est lesbienne et quand elle s'en rend compte elle couche avec une fille et hop c'est fait elle est plus vierge et elle se sent normale et on la respecte à son travail elle prend des initiatives et elle décide de quitter sa coloc avec sa grand-mère et elle arrive enfin à jouer la scène de théâtre qu'elle arrivait pas à jouer parce que la prof lui disait qu'elle était pas assez sensuelle. elle s'est inscrite à des cours de théâtre parce qu'on lui disait qu'elle avait pas de corps. mais à la fin c'est le sexe qui lui a donné un corps.
tout d'un coup j'ai été prise d'un énorme doute concernant cette histoire de perf. non mais pour qui je me prends? j'ai pas de corps moi non plus. enfin personne m'a jamais confirmé que j'en avais un en tout cas. ça me fait penser à une interview de vincent dedienne où il disait que son premier spectacle était pas terrible parce qu'à l'époque il avait jamais fait l'amour et donc il avait pas de corps lui non plus. ça me semble être un passage obligé pour monter sur scène. est-ce que ça veut dire que je dois trouver quelqu'un qui veuille coucher avec moi avant de pouvoir considérer cette histoire de show? mais avant de pouvoir coucher avec quelqu'un je dois faire une psychothérapie. et avant de pouvoir faire une psychothérapie je dois trouver une psy qui prend des nouveaux patients. autrement dit c'est pas près d'arriver.
dans le livre sa vulve se met à chanter pour lui signifier qu'elle en peut plus et que ça commence à être une question de vie ou de mort. moi la mienne elle chante pas mais elle se manifeste sous forme de flash visuels. des flash intempestifs dans lesquels je me jette sur des gens pour les embrasser à pleine bouche et presser mon corps nu contre le leur. pas le dentiste, mais beaucoup de gens. principalement r. ces derniers mois. parfois je le mords. c'est son premier roman, elle l'a écrit dans le cadre de son master de création littéraire à paris 8. je me suis dit que je pouvais faire mieux. depuis j'ai commencé drifts de kate zambreno, c'est un peu chiant (je peux faire mieux) mais j'ai appris que les jours où elle travaillait pas à l'université, son quotidien ressemblait trait pour trait au mien: beaucoup de canapé et d'internet et de lecture et de email checking et de masturbation et de vidéos d'actrices interviewées dans des talk shows et même des séries, ce que je m'interdis pendant la journée, et parfois au milieu de tout ça, des moments d'écriture.
7 notes · View notes
Text
❤️J'ai quelques amies, une famille, de l'amour ! Aucune raison valable d'être triste. Pourquoi, à certains moments de ma vie, j'ai l'impression d'être abandonnée ou délaissée... Le sentiment d'être seul surgit seulement quand je me retrouve à la maison. Depuis 3 ans, je vis très mal cette "solitude", j'en ai peur. Quand je sors, je suis heureux, heureux de pouvoir rire, discuter, m'amuser et faire des rencontres. J'évite au maximum de dévoiler ma tristesse, car ce n'est pas moi... Je porte ce vide en moi comme un fardeau et je suis conscient que tout dépend du temps. J'essaie de voir le positif des choses et de me dire : "Ne t'inquiète pas , demain ça ira mieux “ je repense a des souvenir pas ci ancien que ça , j’en deviens nostalique . c’est  souvenirs qui m'ont rendu heureux et qui me procurent encore beaucoup de bonheur. Mais dans ce bonheur, la tristesse se mélange quand je repense à tous ces moments partagés, ces moments de partage, d'amour et d'amitié, en me posant la question : à quel moment tout a basculé ?" Comment une personne aussi aimée que moi a fini par se retrouver presque seule ? J'ai longtemps trouvé cela injuste. Je n'ai même pas essayé de me battre, je me suis laissé tomber sans même essayer , car je pensais que le monde tournait autour de moi alors que c’était le contraire ...... J'ai en tête quelque nom de personne qui mon brisé, des personnes avec qui je ne souhaite plus rien, j'ai encore énormément de colère, de haine et de tristesse, même si je trouve c'est adjectif lourd à mon sens, je n'arrive pas à trouver d'autre mots, c'est ce que je ressent. Je suis tellement horrible et hypocrites, parce que accepter de leur parler, c'est le seul moyens pour moi de sortir de ma solitude.... Alors que parfois je me sans tellement plus seul en leur compagnie. Un jour, je sais que j'arriverai à faire la part des choses à les supprimer définitivement de ma vie. Tout es une question de temps. Mon ami, mon frère, a toujours été là pour moi, un homme incroyable malgré la distance qui nous sépare. Peu importe la situation, il trouve toujours du temps. Un SMS, un message sur Instagram ou même un appel sur Snapchat, je n'ai jamais eu l'impression d'être relégué au second plan. J'ai le sentiment que le seigneur agit avec justesse, que la beauté succède à la tempête. J'y crois énormément. Parfois, certaines personnes surgissent dans nos vies, sans préavis, et tout change. Je ne saurais dire comment cela se produira , mais elles rentrera dans ma vie d'une manière singulière. Elles apportera un sourire qui illuminera mon visage, le genre de personne qui fait rayonner une journée pluvieuse, à rendre les choses grises plus colorées. Le genre de personne qui surgit lorsque l'on s'y attend le moins, une personne qui devient irremplaçable, car elle laisse une empreinte dans nos cœurs, une marque indélébile et réconfortante, teintée d'espoir. Elle comblera le vide qui manquait, un fragment de puzzle trouvé. J'y crois tellement, c'est en quelque sorte ma "3 ème" la personne en qui j'aurais envie de faire ma vie et rendre heureuse.
Je sais que cela va être très compliqué pour moi pour la garder, mais à 2 tout est possible, ont s apportera mutuellement des choses qui font que rien ne pourront nous séparer. S'élever l'un pour l'autre, s'entraider et s'aimer ! Le réel amour, la femme de ma vie, la pièce de puzzle qui me manquais j'ai l'impression que tout s'arrange dans ma vie. Tout devient plus clair . Pouvoir converser, échanger, j'ai l'impression d'être écouté et compris, me sentant moins seul.
Savoir qu'autant de bienveillance et de bonté résident en l'être humain me redonne espoir. Je me dis que je ne suis pas seul. J'ai repris le sport, mes ambitions n’ont pas été moqué mais encouragées. j’ai été  bloqué pendant près de trois ans, mais une rencontre a tout bouleversé... Ce bouleversement est tombé sur moi alors que je n'attendais rien, un cadeau du ciel pour me montrer que la vie en valait la peine, que j'ai le droit d'être triste ou heureux, de hurler quand ça ne va pas. Le seigneur m'a montré par ses signes que j'avais les cartes en main et que moi seule pouvais changer les choses. Il m'aide énormément et m'accompagne de jour en jour.
2 notes · View notes
randomnameless · 2 years
Note
Je pensais à un truc avec Lycaeon le demi-lézard, ce serait tellement triste qu'il soit mort justement parce qu'il avait des oreilles pointues, mais ça expliquerait pourquoi Rhea délaisse totalement Adrestia après la guerre
Oh -
C'est marrant parce que je lisais de la merde ce week-end - une fanfic après m'être maté la version longue du seigneur des anneaux - où grosso merdo Eldarion décide de ne plus parler/fréquenter son grandpapi parce qu'il a des oreilles pointues et que les oreilles pointues sont parties de la terre du milieu donc grandpapi doit plus avoir d'influence, pas même passer du temps avec ce qui lui reste de famille et leur apprendre des chansons où je ne sais quoi, imagine le pauvre Eldarion il revient de sa visite chez grandpapi et il se comporte comme un oreilles pointues!
(et c'est rigolo parce que je suis sûre que dans les commentaires pour dire "ouais c'est génial" j'ai reconnu un dedelstan lol)
Enfin bref -
Ca fait peut-être un peu trop cliché sur les bords - mais après une guerre menée par des mecs en mode "tolérance 0" faire en sorte que la force principale en Fodlan qui les a dégommés soit justement, menée par un hybride (oui oui la coexistence entre deux espèces c'est possible) ce serait cool - mais justement, le twist c'est que l'hybride en mode "espoir d'un monde meilleur" se fasse descendre, ça pourrait vraiment être un coup au moral qui ferait descendre le héros aux enfers -
Ou alors faire plonger Seiros, qui a plein d'espoir pour l'avenir de Fodlan et qui pense que tout pourra aller mieux après la guerre, dans le désespoir et la croyance que seule sa mère, la déesse peut remettre de l'ordre dans ce monde.
Et du coup, Luca qui se fait buter pour des raisons aussi connes que la fic dont je parlais - ça pourrait être la goutte d'eau.
Après, le souci c'est le jeu (et même FEH dans son FB pourri) veut absolument nous faire croire que Rhea désespère toute seule comme une grande parce que Sothis n'est plus là...
Mais mis à part le pandering tout pourri pour soulager les oranges du joueur (gna gna gna toute seule sans toi uwu) j'y crois moyen. Par contre, une Rhea au fond du trou après Zanado, qui se remet à avoir espoir et croire en l'avenir pendant la guerre, pour repartir au fond du trou (voire en creuser un plus profond) après la guerre, alors que tout était censé repartir sur de bons rails...
Avec la double lose que ptet elle pensait que Sothis reviendrait toute seule avec l'épée du créateur, et qu'elle pourrait voir que Fodlan est enfin un endroit où les lézards et les humains vivent tranquillement ensemble, mais boulette, Luca se fait buter et Sothis ne revient pas, ça c'est du désespoir plus "gros" qu'après Zanado qui pourrait justifier le pourquoi du comment elle hyper focus sur Sothis et pense que Sothis peut tout gérer ; Rhea a essayé de gérer avec ses alliés et s'est loupée.
-> c'est sûr que le jeu ne dira jamais que le but de Sothis c'est que les lézards et humains (même agarthens) vivent tranquillou, parce que bon, Dedel met son veto et on peut pas s'opposer à Dedel - mais avec le petit peu de Nopes où Sothis est émerveillée en voyant Flayn (pour des raisons qui ne seront jamais expliquées) c'est pas trop tiré par les cheveux de penser que Sothis voulait dès le départ bien s'entendre avec les humains - ce que ses enfants font - mais que Thales et compagnie avaient d'autres plans.
Et puis ça jouerait encore plus dans le parallèle avec Sephiran/Lehran, là où Sephiran perd pieds et veut détruire le monde (ou juste ses habitants) Rhea garde encore un peu "foi" en Fodlan et veut que Sothis prenne la relève -
Tout en recommençant, petit à petit, à s'attacher à Fodlan et ses habitants encore une fois, refonder une famille avec Citrus et tout, même ne plus utiliser sa teinture blonde...
Et puis Dedel arrive avec ses gros sabots lol
3 notes · View notes
thisisadidoo · 2 years
Text
Food Diary (25 septembre 2022)
Poids : Je n'ai pas pu me peser
Petit-déjeuner : Gros bol de Trésors avec du lait, crèpe au chocolat et 1 mini BN...
Déjeuner : Grosse assiète de salade de pates (Boursin, oeuf, thon, maïs) et un yaourt chocolat crème caramel...
Goûter : Deux galettes de riz au chocolat noir.
Dîner : un peu de pates à la sauce tomate, 3 cannellonis pleins de gruyère et un gros gateau au chocolat
Encore une fois j'ai mangé tellement trop et tellement n'importe quoi. Je passe mes journées à penser à mes calories et à mon envie d'être maigre et pourtant je continue de trop manger.
Et même avec tout ce que j'ai englouti mon ventre gargouille ? Ça me fait du bien de l'écrire, ça me permet de me rendre compte que c'est vraiment trop.
Ce weekend je n'étais pas chez moi, c'était dur. Aucun moyen de me peser, je ne décidait pas de ce que je mangeais et je ne connaissais pas le nombre de calories. Je devais avoir l'air "normale".
Je me dit que ça ira mieux demain quand je serai de retour chez moi. Le déclic met du temps à venir mais j'y crois, Ana prend de plus en plus de place dans mon cerveau et je progresse, ça va changer.
3 notes · View notes
franky-s-thoughts · 25 days
Text
26.08.24
Im tired. Im exausted. It feels like we're dealing the same shit over and over again. Lightly with different intensity.
J'ai vraiment envie de te croire. J'ai honnêtement envie de te croire quand tu me dit que tu vas changer. Que tu vas prendre le temps de m'écouter et que hopefully ça va changer quelque chose. Dit comme ça, ça l'air con, in a way. J'ai juste l'air de pas y croire pantoute, même pas un peu. je ne sais même pas si j'y crois encore. J'ai été déçu trop souvent, ça fait moins mal de pas avoir d'attentes.
C'est triste parce que j'ai l'impression qu'en faisant ça, je suis en train de tout abandonner. Que toute va s'effondrer et que je ne nous donne même pas une chance. Thing is, ce n'est pas la première que je donne et probablement pas la deuxième non plus.
On m'a déjà dit que j'étais résiliente et que c'était toute à mon honneur. J'essaye de me dire que j'ai le droit de me respecter aussi. C'est beau que j'essaye de sauver mon couple, mais si c'est pour me mettre en péril moi. Je ne sais pas ce que ça vaux. C'est ma santé mental qui écope. Déjà de base, j'étais fragile et pas guérit complètement.
Au début de la relation, j'avais peur de toi. Pi quand je faisais une crise d'anxiété et que je finissais par t'en parler, ça te vexais parce que tu dis que t'es pas violent physiquement. Et même si je t'expliquais que j'ai des antécédents de gens violents avec moi, autant physique que psychologique, je pense pas que tu as déjà compris comment c'est dure pour moi de me sentir à l'aise et en sécurité et même à la limite juste neutre quand quelque chose arrive. Je suis en trauma response automaticly.
Je me sens mal de faire whatever parce que tout peut te déclencher so easly. En 2 ans, j'ai vu une fois un ami et ça fait un chiore incalculable, qui est pas réglé soit dit en passant. parce que j'ai pas l'impression que j'ai le droit de voir mes ami(e.s) sans que ça cause le même genre de problèmes. J'ai éviter de faire des choses pour pas a avoir a vivre les confrontations après. J'ai passé une journée avec ma mère, et je tai précisé que je ne savais pas à quel heure que j'allais rentrer et qu'en plus je ne soupais pas à la maison. Quand toi tu avais un ami avec toi. T'as trouvé le moyen de venir me le mettre dans face. Tu m'as fait de l'attitude à la seconde ou j'ai été rentré. Pour qu'après tu me dises que oui tu boudais parce que t'aurais voulu passé la soirée avec moi pi je suis rentrée trop tard à ton goût. Ça ne me donne pas le goût de passé du temps avec toi. Ça me fait peur honnêtement! Je me sens juste contrôlée et manipulée.
Je pense même que c'est une des choses qui me fait le plus peur. Dans ma première relation de couple. J'ai été pris 3 ans dans une situations abusive ou j'étais pas capable de sortir, brainwasher, coupé de ma famille et des gens qui étaient proche de mo et pire encore. J'avais pas le droit de sortir ni de voir des gens à la maison. Au début, je sortais de la maison familiale donc, c'était les mêmes règles. ce que à l'époque je ne voyais pas que ça ne faisait pas de sens (et de l'abus) que je me fasse dicté quoi faire et quoi pensé vu que jai un libre arbitre. Jamais du positif, toujours des conflits, de la confrontation, un manque de confiance base sur rien parce que j'ai rien, de la manipulation, du chantage. Name it! À la fin, je pensais pour de vrai que j'étais le problème et je croyais toute la marde qu'on me disait parce que j'avais plus de self estime. Cette esti de feeling là! je me sentais tellement impuissante comme un enfant qui est prit chez ses parents contrôlants pi qui peut rien faire parce qui est pas majeur.
Après ces 3 ans là, je me suis jurée que je ne retomberais plus dans une relation ou je me sentais contrôlée/manipulée. Le pire c'est que quand tu situation comme ça arrive, je suis super naïve et je ne le vois pas. On dirait que vu que je ne comprends pas comment on peut être comme ça avec quelqu'un qu'on aime, dans ma tête ça fait juste aucun sens. Y me semble quand t'aime quelqu'un tu veux justement qui soit le mieux possible, qui accomplisse les choses qui désir le plus. Pas du contrôle pour l'empêcher de vivre sa vie comme qui a le goût de la vivre. Me semble que la base de n'importe quel relation, quel qu'elle soit, c'est le respect de l'un l'autre.
0 notes
e642 · 4 months
Text
Je ne me sens pas bien. J'ai tout pour que ça aille bien, pour n'avoir à formuler aucune plainte, tout est censé être aligné mais non. La maison des sanglots recommencent à me donner du chagrin -ou du moins à l'alimenter -. Je n'y produits plus rien, j'ai arrêté de vivre dans cette maison le soir où j'ai été en réanimation. Il y a maintenant 6 ans au moins. Je n'ai jamais plus su quoi y faire, comment investir ce lieu qui me renvoie à l'échec cuisant de ma volonté et de ma place d'enfant sage. J'ai tout bouleversé et, passé plus d'une journée, ça me remplit de culpabilité. J'assiste à tout ce que j'ai fui par la suite: des parents qui ne s'aiment plus mais qui n'agissent pas par manque de moyen, les cadavres de bouteilles de vin et de bière, cette odeur de tabac froid qui tue lentement ma mère, leurs journées tunnel qui les rongent, leur déception à mon égard, ma chambre d'enfant triste. Ça a toujours été un lieu d'attente. J'ai attendu d'essayer de me tuer, puis j'ai attendu la fin de la réanimation, puis la fin de mes hospitalisations, puis les résultats de licence, puis mes résultats par année. Des fois, il m'arrive de regarder le carrelage de la salle de bain en détail et j'y vois encore de fines tâches de sang séchées qui ont échappé à notre vigilance. Tous ces séjours aux urgences pour devenir une adulte triste qui attend encore. J'ai donné tellement d'efforts pour moi même, pour paraître équilibrée que je me suis enfermée dans une relation qui, souvent, me laisse me questionner sur le respect que je me porte. Impossible de savoir si je suis seulement fragile et encore troublée par le passé, ou si ce n'est pas ça qu'il me faut. Je me suis éteinte. J'ai pensé que je m'étais rallumée pourtant non. Je ne crois pas que le silence soit meilleur signe que le bruit. Ça me fait peur. J'ai eu du mal à me l'avouer parce que c'est très égocentrique mais quand j'étais enfant, je voulais être quelqu'un d'exceptionnel et par peur de ne jamais l'être, j'ai voulu tout arrêter. Après avoir survécu, je le vois partout que je ne suis personne d'autre qu'une personne normale avec les mêmes problèmes, les mêmes pensées, les mêmes plaintes. Je ne sais pas pourquoi je voulais être quelqu'un qui changerait les choses ou qui ferait des choses importantes. Sûrement parce que la trivialité finit par tuer. Esprit torturé n'est pas esprit élevé. Je l'ai compris bien trop tard.
12 notes · View notes
ton-sourir · 6 months
Text
10.03.24
Objectifs avril 50 kg mai 49 kg juin 48 kg juillet 47 kg août 46 kg septembre 45 kg.
J'y crois à fond. Y a qu'à se donner les moyens enfin.
Après l'été j'aurais enfin mon corps d'avant les Tca.
0 notes
rimsno · 8 months
Text
19/01/2024
J'ai rien fait de ma journée. Enfin si, quand même un peu, j'ai débloquée la CAF. C'est tout. J'ai regardé 3 documentaires, j'ai joué aux jeux-vidéos, je suis allée chercher de quoi déboucher l'évier (ça n'a pas marcher). J'ai essayé d'avancer sur Parcoursup mais je suis pas sûre de ce que je veux. Enfin si, quand j'y pense, je suis sûre de ce que je veux, j'ai juste peur de l'échec. Il me faudrait juste un job stable pour être en sécurité et juste essayer de créer un maximum à côté mais je commence à me dire que jamais je pourrai en vivre. Je peux essayer, ça c'est sûr et je devrais essayer. Parce que j'ai les moyens. J'ai juste peur. Je crois que j'ai tout le temps peur du futur et je rêve trop grand et l'écart entre les rêves et la réalité me font peur. Je suis encore à me dire que je suis médiocre en tout et que je mérite pas grand chose. Et en même temps je me dis que j'ai déjà réalisé trois court-métrage. Ils sont loin d'être parfait mais faut bien commencer quelque part ?
Je pense que je devrai lancer ma chaîne youtube. Je pourrai y parler de fanfictions, ça serait sympa de trouver la communauté française de la fanfic même si en vrai je n'en lis plus autant qu'avant. Faudrait peut-être que je me renseigne sur le statut auto-entrepreneur, on sait jamais ça pourrait peut-être correspondre.
0 notes
essencenaturel · 9 months
Text
Je pense que le racisme national est d'abord un enjeux capitaliste de toute puissance qui passe par le besoin d'exploiter des peuples et leurs ressouces pour avoir du profit. Le capitalisme a créé tout un système et pour son maintien il a du créer des normes et des arguments de supériorité. C'est le principe du film snow train. Chez les individus racistes ils s'expriment par la croyance du je vaux mieux que cette race, je suis plus intelligent, plus beau, tout ça m'est dû. Toute ma vie j'ar croisé des gens racistes. Ils ne valent rien. Ils sont pleins de jalousie de mépris, combien de fois a t-on voulu me rabaisser en tant que femme noire d'origine caribéenne. Le sous entendu qu'ils savent plus de choses que moi, qu'ils sont plus beau et blabla. Je vis, et je n'ai pas eu le choix, dans un pays où la majorité des personnes blanches sont exécrables et veulent garder une domination sur tout autre individus de couleurs. Ils ne veulent pas voir les gens africains, ou d'origine, les depasser intellectuellement, économiquement, esthétiquement. Ils vont avoir la haine parce qu'ils ont assimilé qu'ils étaient supérieurs !! Combien d'amis blanches, d'inconnus blancs ont été jaloux de moi ?? Des centaines, j'ai perdus des amis, je me suis fait harceler, discrimer tout ça à cause de leur ego. Ils sont graves. Je ne comprends pas les personnes qui cherchent à venir ou s'installer en France. C'est un pays tellement raciste. Les français immigrent dans nos pays, creeent les meilleurs postes et maisons dans nos territoires, ils délocalisent leur industries, ils exploitent nos ressources pour le capitalisme et quand on est obligé d'intégrer ce système pour gagner de l'argent ils nous haissent... ils font obstacles à nos politiques, ils nous parasitent mondialement. Je finis mes études et fissa je me casse. Je n'ai jamais eu envie de vivre là. Je suis arrivée dans ce pays par traffique d'enfants perpétré par ce pays mais lol. Je voudrais tellement que tous les afro puissent avoir les moyens de vivre chez eux. Certains bandent sur la france... ils n'ont pas compris. Il n'ya rien pour eux à part l'aliénation de l'esprit. Il y a eu deux révolutions, celle pour la liberté de l'économie de plantation et de la colonisation, celle pour l'émancipation culturelle et de la pensée avec la harlem Rennaissance et le panafricanisme. Il y aura celle physique et materielle, qui passera par l'education pour tous avec des pôles en Afrique, Caraïbe et Amérique. J'y crois car je sais que j'y participerai. Je veux juste que nous peuples et nations afro trouvons notre liberté au monde loin des occidentaux.
0 notes
blinkbones · 9 months
Text
Tumblr media
Paroles de migrants (collectées par Pauline Bandelier, journaliste indé)
C'est un livre assez court mais, sans surprise, assez difficile à lire. Même si les auteur(e)s font souvent l'économie des mots et ne s'épanchent pas très longtemps sur leurs douleurs passées et présentes, c'est impossible d'ignorer l'averse de souffrances. J'ai appris ce qu'était la procédure Dublin et comment elle empêche les personnes d'aller là où ils veulent. J'ai compris la cruauté de l'administration, des mots et du papier qui enferment, négligent ou tuent. La cruauté des circonstances adverses.
Plus je vieillis et plus je m'endurcis, mais sur certains points, je m'assouplis aussi. Comment ne pas compatir avec celles et ceux qui ont eu le courage de braver la route, les passeurs, la mer et les autorités pour s'en sortir ? Comment y voir autre chose qu'une nécessité de trouver un moyen d'aider ? Plus ça va et moins je me sens capable de vivre en effaçant la misère de mon esprit. C'est peut-être aussi simplement parce que le mien n'en est plus autant rempli, ça aide. Je ne veux pas faire culpabiliser qui que ce soit. Il faut d'abord prendre soin de soi et je n'ai jamais vu quelqu'un pour qui c'était facile. Ce sont des histoires de malheurs et de désespoir mais aussi de détermination, d'acharnement. Je crois que c'est autant une erreur de voir les réfugiés et les migrants comme des victimes pitoyables, que comme des criminels. Enfin j'apprends rien à personne, c'est juste des gens. On peut pas les résumer dans un adjectif.
Ce livre il m'a fait pleurer dans la nuit. En écrivant ici j'ai envie de pleurer une fois encore. Mais, plus que le reste, ça me pousse à être meilleur. J'ai pas beaucoup de ressources ou de pouvoir, mais j'y travaille. Ça fait un moment que je me décarcasse pour avoir un bon métier, qui me sauvera moi d'abord, mais si je me débrouille bien il y aura des restes à distribuer. Des restes d'énergie, d'argent, de bonheur.
Je ne sais toujours pas si j'arriverai à mes fins personnelles, mais je crois qu'aider un petit peu j'y parviendrai.
0 notes
valavelo · 11 months
Text
J36 ~ "Le vent se lève"
Coria del Río~Cádiz (130km)
Je fais bien de rester attentif à la météo ces dernier temps car une nouvelle tempête arrive sur moi aujourd'hui. La région est en alerte pour vents violents, ça devrait souffler en rafales à 90km/h.
Tumblr media
Je prends le bac dès le lever du jour et je roule à travers champ sur des chemins pendant une bonne heure avant de rejoindre la route. Je comprends vite que je n'échapperai pas au mauvais temps cette fois-ci. Dès la fin de matinée, j'essuie une première grosse averse. Pas de quoi m'abriter lorsqu'elle tombe alors je continue. Quand enfin je trouve un abris la pluie cesse... Une accalmie de courte durée pour moi comme pour les troupeaux de mouton en transhumance. Eux aussi prennent la route ce qui perturbe quelque peu le trafic.
Tumblr media
Je rencontre enfin pour de vrai l'ennemi juré du cycliste: le vent ! Il souffle tantôt bien en face, tantôt de côté. Je ne sais pas ce qui est le pire. De face, j'ai l'impression qu'il est capable de me faire reculer si je n'y vais pas à fond et bien couché sur le vélo; de côté ses soudaines rafales fichent bien la trouille et demandent un bel effort d'équilibre.
Bref, entre belles averses et gros coups de vent, j'arrive épuisé à Cádiz. La ville est de l'autre côté d'un immense pont autoroutier et mon GPS me crois capable de le franchir. En fait il y a 2 ponts (tous 2 autoroutiers) et une 3ème autoroute à 30km de là pour accéder à Cádiz et pas vraiment d'accès piéton… Il est presque 19h, j'ai réservé mon hébergement en ville, il va bien falloir que j'y arrive. J'envisage un temps de faire du stop, espérant tomber sur une camionnette ou un pick-up qui voudrait bien me faire traverser. Toujours rien au bout de 20 minutes. Un monsieur en voiture qui me donne l'astuce. Il y a une voie de service sur le pont. Elle n'est empruntée que par certains bus et par les services d'urgence. Il faut bien faire attention avec le vent mais c'est le moyen de plus "sûr" de passer. Vu l'heure qu'il est, je prends la décision de passer. Au final c'est plus impressionnant que dangereux. Je suis sur une voie complètement détachée de l'autoroute, le vent souffle mais il y a des barrières de 3 mètres de haut bien rassurantes et je ne croise personne sur mon passage. Ça y est, il est 20h, j'arrive enfin à Cádiz au terme de ce qui aura été ma plus longue journée: 12h quasi non stop sur le vélo.
Tumblr media
Le lendemain matin, le mauvais temps s'est calmé. Je retourne sur les lieux du délit. Je ne repasserai pas par là aujourd'hui mais ça c'est une autre histoire.
🎶
1 note · View note
dansmonterrier · 1 year
Text
Bon, je n'écris plus de nouveau.
Je crois que j'en ai juste marre de la fanfiction. À la base, j'y étais retourné parce que j'en avais marre de la fic originale, marre de me prendre la tête pendant des années sur un texte, marre de ne recevoir jamais aucun retour dessus, aussi. Donc la fanfiction m'apparaissait comme une bonne pause et un bon moyen, également, d'avoir enfin des commentaires sur ce que j'écris.
Mais actuellement, la fanfiction est devenue comme la fic originale. Tu ne reçois plus de commentaires et tu galères pour recevoir des kudos. Je n'arrive donc plus du tout à me concentrer sur mes différents projets. Une fatigue s'est installée. Un ras-le-bol, aussi. Sans compter mes problèmes de santé qui continuent de m'emmerder.
Je pense donc qu'il est temps de retourner à la fic originale. De retravailler certains textes qui attendent que je m'en occupe.
Je reviendrai sans doute à la fanfic un jour, car j'ai pas mal de projets à terminer, mais pour l'heure... vraiment... il me faut une pause.
0 notes