Tumgik
#mais je fonce hein
jezatalks · 5 months
Text
J'adore toucher à tout mais vraiment. Sur le plan pro je sais que c'est pas bon.
Il y a pleins de gens qui me suivent pour certaines de mes approches et pas d'autres. Et pour vendre, c'est compliqué car les gens se desabonnent si je ne suis pas dans une certaines "phase/style". Et garder un public, c'est pas évident sur le court, moyen et long terme...
Après j'ai décidé de m'en foutre. Je peux très bien peindre des petits décors comme des tableaux. Faire des illustrations en noir et blanc avec des motifs qui sont pas loin de me filer une migraine ophtalmique. Ou encore ouvrir des commissions pour des vtubers.
J'adore tout ce que je fais. Mais pas forcément les cibles des quelques gens qui me suivent que pour une seule chose...
D'un côté, je sens que j'ai besoin d'avis divers et variés sur ce sujet. D'un autre j'entendrais tous les avis et son contraire sur le sujet. Et comme tout. La chance joue énormément...
9 notes · View notes
gaelle-kashiira · 2 years
Text
Tout est là faute de Togashi...
La rencontre entre deux bébés araignées...
***************
Drôle de gosse.
Il ne dit jamais rien et regarde le monde d'un air perpétuellement malheureux.
*
Quand Phinks l'a aperçu pour la première fois, il n'avait nulle part où aller. Un des types du bidon ville, tirait un gamin, presqu'un bébé. Minuscule, il luttait pourtant à chaque pas et le bras du vieux pervers était couvert de morsures.
Phinks n'avait pas réfléchi, il avait fait exprès de se jeter dans les jambes du type et avait chopé le poignet du gosse avant de détaler.
Ils ne s'étaient pas arrêtés avant d'avoir le souffle trop court pour courir encore. En tout cas, le vieux ne les avait pas suivis.
— Je m'appelle Phinks. Et toi ?
Le gosse avait levé les yeux vers lui, la bouche entrouverte et… l'air triste. Ça l'avait mis en colère et il l'avait poussé. L'autre enfant avait volé par terre avant de se relever. Les lèvres tremblantes mais étroitement serrées, il s'était approché avant de lui balancer son pied dans le tibia. Il était pieds nus, ça n'aurait pas dû faire mal, surtout venant d'un maigrichon pareil. Puis, il était parti en courant.
Phinks n'avait pas cherché à le rattraper. Il s'était juste dit qu'il avait perdu son temps à le sortir de la mouise. Il était reparti en essayant de chasser la sensation de malaise qu'il avait ressentie en tenant son poignet. Il avait eu l'impression de tenir un petit oiseau au creux de sa main. S'il avait serré un peu plus, il lui aurait cassé le poignet, il en était sûr.
Puis, le temps avait passé.
*
Ça fait plusieurs mois qu'il a croisé la route de ce gamin à la peau pâle et aux yeux étirés vers ses tempes.
À ce gosse fragile comme un moineau qui est sûrement mort.
Phinks boite bas et rumine. Il s'est pris une rouste de la part d'Uvo. Franchement, il va falloir qu'il trouve un moyen d'en imposer. Il est quasi aussi fort que l'autre débile auto-proclamé roi d'il ne sait trop quoi et que Franklin.
Ce dernier traîne tout le temps avec ces morveux de Chrollo et Shalnark. Il a déjà son équipe. Uvo a pris Machi sous son aile et…
Phinks se sent seul. Il n'a pas besoin d'une bande mais parfois, il aimerait avoir juste quelqu'un avec qui traîner, avec qui il ne se sentirait pas menacer.
Il y a quelqu'un assis sur le coffre de la vieille voiture qui lui sert d'abri, ces derniers jours.
Ça y est : Phinks en a ras-le-bol ! Il fonce sur le nouveau venu. Il va pleuvoir des gnons, ce soir.
— Hey ! Toi ! Tu te crois où au j…
Il s'interrompt soudain en reconnaissant les yeux de chat du gosse. Ses cheveux sombres tombent dans son visage mais il peut voir les sourcils arqués en une expression perdue et triste.
— J'te reconnais.
L'autre enfant ne répond pas, il se contente de le regarder sans mots dire, penche la tête sur le côté.
— Si tu veux rester là, va falloir raquer, mon vieux. Allez ! Aboule !
L'argent n'a pas de valeur ici. Mais tout ce qui peut être troqué est une denrée recherchée. Avec ça, on peut obtenir de la nourriture de meilleure qualité, des soins. L'autre gosse observe la main tendue avec attention avant d'y deposer la sienne.
— Phinks, dit-il d'une petite voix aiguë.
Le garçon cligne des yeux sans bien comprendre ce qu'il se passe.
— T'es une fille ?
L'autre l'observe à nouveau avec attention avant de répéter :
— Phinks. Fille.
— Hein ?
Un instant, il a envie de retirer sa main brusquement. De se détourner de ce regard qu'il devine à présent aussi perdu que lui se sent pour le moment.
— Tu comprends rien à ce que je dis hein ?
L'autre gosse penche la tête sur le côté.
— Hein ?
Phinks ne peut s'empêcher de rire. Il récupère sa main et s'installe à côté de l'enfant. Il lui donnerait quatre ou cinq ans, sauf que ses mouvements et la vitesse avec laquelle il s'est fondu dans le décor quelques mois plus tôt, plaident pour quelques années de plus. Il doit avoir sept ou huit ans. Du haut de ses onze ans de Phinks ne sait pas bien quoi faire de cet enfant à l'apparence si fragile.
— Ok. Phinks…
Il appuie son pouce contre son torse.
— C'est moi.
— Et toi ?
— Phinks… moi et toi ?
— Heiiin ? Non ! Non.
Il recommence les présentations, bien plus patient avec ce gosse dont il ne connaît rien qu'avec n'importe qui d'autre. Il ne s'en rend pas compte. Il ressent juste une fierté un peu absurde lorsque son petit compagnon le pointe du doigt :
— Phinks.
— Ouais ! T'as compris !
Le gamin ramène son doigt vers son propre visage.
— Feitan.
Phinks ne peut s'empêcher de se sentir ému aux larmes. L'autre gosse… Feitan l'observe d'un air vaguement inquiet. L'aîné des enfants commence à deviner que c'est son expression par défaut. Le grand blond essuie son nez sur sa manche avant de sauter au sol.
— Viens ! Il commence à faire froid.
— Froid…
— Ouais !
Phinks se frotte les bras en frissonnant et se sent quand même un peu ridicule. Alors à la place, il ouvre la portière pour se glisser à l'intérieur. L'endroit commence à devenir un peu étroit avec sa poussée de croissance. Mais pour ce soir, il conviendra.
Du coin de l'œil, il voit le gosse s'encadrer dans l'ouverture.
— Feitan vient ?
L'accent est difficile à comprendre mais il comprend vite.
— Ouais. Viens.
Feitan monte dans la voiture avant de se frayer un chemin jusqu'au genoux de Phinks.
— Heyyy ! Tu fais quoi là ?
— Feitan froid, explique le môme.
Phinks ouvre la bouche pour protester mais lorsqu'il croise les yeux gris et trop sérieux, il admet sa défaite.
— Ouais… froid, marmonne-t-il avant de refermer les pans de sa veste rapiécée autour du minuscule corps de son nouvel ami
Demain, il l'emmènera voir la moto qu'il répare… d'ailleurs, faudra qu'il lui trouve un siège. Puis, ils chercheront ensemble un nouvel abri.
7 notes · View notes
mort-fee · 1 month
Text
Taguée par @brassic-bitch
j'ai fait de mon mieux hein, la dernière fois que j'ai fait de l'anglais c'était il y a cinq ans !
Tumblr media
Trois couples : (très compliqué ça, monstre) alors j'ai envie de dire Monica et Chandler. J'ai découvert Friends pendant le Covid et a chaque visionnage je ne cesse de verser ma larme à la fin de la saison six. L'évolution de leur relation fait croire à l'amour. Et surtout c'est le couple de ma période jeune adulte. Samwell Tarly et Ver, clairement le seul couple sein et normal de "Game of thrones", qu'ils sont mignons et se méritent( et surtout qu'on devrait tous avoir un Samwell Tarly dans nos vies). Et le troisième, mon lit et moi, une grande histoire d'amour.
Premier couple : Leo Wyatt et Piper Halliwell ou bien Clark Kent et Lana Lang. Oui oui la trilogie du samedi. Mais je penche plus pour Piper et Léo.
Tumblr media
Dernière musique : ( ptdr je me suis fait une liste spéciale pour écrire, je l'écoute en boucle en trainant sur tumblr, twitter et insta sans écrire !) J'ai envie de te balancer quelques musiques même si je pense que tu dois en connaître certaines. Je tiens à dire que c'est ce que j'écoute actuellement. Puis franchement si tu veux que je te balance ma liste...
Film : alors si on parle du dernier film que j'ai regardé c'était "Coupez" et bordel qu'est-ce que c'était bon ! Vraiment si tu veux un film "wtf" où tu dois poser ton cerveau pour le mater, fonce.
Mais si on parle de mon préféré là ça va devenir plus compliqué...
Tumblr media
Actuellement en train de lire : "Dune" et putain c'est long... Vivement que je reprenne les tarés de Westeros hein !
En train de regarder : bah pas en ce moment même mais je suis en train de découvrir "Jane The Virgin". Puis admire la beauté qu'est Gina Rodriguez !
Tumblr media
En train de manger : Rien. Mais ce soir c'est moules frites. Pour moi, poissons > viandes.
Actuellement envie de : oula ! Beaucoup de choses ! Du temps pour moi. Foutue vie d'adulte. De l'argent. Gagner en confiance. De la patience et de la motivation pour écrire. Écrire plus rapidement, hein parce que plus de cinq mille mots par chapitre ne font pas s'écrire tous seuls hein ! Puis je suis chiante à vouloir décrire, à faire des personnages torturés... Plein de choses en fait !
Allez hop c'est fini ! Je tag personne parce que personne de watty n'est venu ! Traîtres !
Tumblr media
1 note · View note
xvi-1 · 1 year
Text
Choose your World - part 2
Meeting and discoveries
#crossover #harrypotter #twilight
Tumblr media
PDV de Hermione :
Le lendemain je me lève exitée de rencontrer ma nouvelle famille. Mais j'appréhendais le moment ils me verraient arriver. Et s'ils ne voulaient plus me voir ? Et si ils m'avaient oublié ? Et pourquoi mon père n'avait-il pas cité ma mère ? Et ma sœur serait-elle contente de me voir ? Va t-elle me détester ? Vais-je leur dire que je suis une sorcière ? Sont-ils des sorciers eux-aussi ? Tand de questions que je me pose, et personne pour-y répondre.
Il n'y a qu'un seul moyen de le savoir. Je me précipite hors de mon lit, fonce dans mon placard et enfile un T-shirt noir, un pull en laine bordeaux, un jean et des baskets. Je me ruh en bas devalant les escaliers de plein fouet avec mes pieds. Je me précipite et dis bonjour à tout le monde en faisant la bise puis vais m'installer à table. Là, Molly nous sert à moi et à Harry un grand petit-déjeuner que je m'empresse de dévorer en un rien de temps. Harry me fixe d'un aire perplexe puis il me lance un sourire amusé.
- Dit-donc ça te donne faim d'aller les rencontrer, fait attention on va se vexer. Me dit-il en rigolant.
- Mais non, vous savez que je vous adore ! Et puis c'est pas ça, c'est que j'ai peur. Et si ils ne m'aime pas Harry ? Si ils ne veulent plus de moi ?
- Ils t'aimerons sois en sure et si ils ne veulent pas de toi, ce qui au passage serait une belle erreurs tu pourra revenir ici. Me dit-il gentiment en posant une main sur mon avant bras.
- Mais oui, Hermione tu sera toujours la bienvenue ici. Me dit alors Bill qui passait par la, posant un main sur mon épaules avant de repartir.
- Mais pourquoi ils n'ont pas parler de ma mère dans la lettre, hein ? Demendai-je en me retournant vers Harry.
Celui-ci semblait perplexe à cette question, ce qui ne me rassura pas le moin du monde. Soudain je sentit une main se posée dans mon dos puis Ron apparut et s'assit à côté de moi. Nous n'avions pas eux l'ocasions de nous parler depuis l'annonce. Il me sourit, il se sentait coupable ça se voyait sur visage :
- Peut-être qu'ils on divorcer ? Me dit-il en répondant à ma questions sa voulait tous dire, entre nous, nous n'avions pas besoin de parler pour nous comprendre. Je me jette sans ces bras, nous étions reconsilier.
- Quel est l'adresse ? demenda Ginny en se retournent vers Percy qui avait garder le papier d'adoption depuis hier pour "l'analyser" comme il disait.
Il se redressa, toussota et annonça "Forks, Washington".
______________________________________
A 11h 30 :
L'heure du départ avait sonné. J'avais préparer mes valise un peu plus tôt dans la matinée. Tout le monde se dirigea dehors. Je les embrassé et leurs fit un dernier câlin. Avant le grand départ je me mit en face d'eux, empoigna fortement une valise d'en une main et leva l'autre pour leur faire un dernier au-revoir. Puis en un petit "pop" je disparue sous leurs yeux.
______________________________________
Forks, Washington.
J'atterie dans une rue d'une petite ville, le ciel est gris et apparament il a déjà plue etend donné que le trotoire et la route devent moi son fraîchement mouillé, la route est entouré d'arbre et de petite maisons.
Je me mie à marcher traînent ma grosse valise derière moi, je ne connais pas presisement l'adresse où me rendre pour trouver la résidence Swan. Il n'y avait pas beaucoup de trafique, en effet je ne voit personne pas un piétons, pas une voiture. Ça doit normal ce n'est pas une grande ville et les gens doivent travailler ou allait à l'école en se moment. Je regarde ma montre : midi-et-demie.
Je haire lentement sur le trotoire à la recherche de quelqu'un qui pourrais m'indiquer où me rendre mais personne, tout est désert. C'est la que je vit un motard descendre d'une grande moto noir, retirait son casque. Je croise son regard, il me dévisage en fonçant légèrement les sourcils, instinctivement je met ma main dans ma poche arrière prête à dégénè ma baguette si besoin. Le jeune homme se met à sourire amusé. Il réduit les cinq mettre qui nous sépare et me tend la main, je lâche ma baguette, lui sert la main et sourit timidement. Il a la peau mâte, des cheveux noir et asser court des yeux noisette foncee.
- Bonjour je suis Jacob Blake, t'ai pas d'ici, n'ai-ce-pas ? Me démende t-il tout sourir.
- Bonjour je m'appelle Hermione Gran... Swan, Hermione Swan.
- Swan ? Tu est la fille de Charlie ? Il afficha un sourire béha.
- Euh...oui. Répondis-je timidement.
- Oh c'est pour ça ! Il se tapa le frond avec sa main. Je suis désoler de t'avoir dévisager c'est que tu me reppellait ta sœur c'est pour, excuse-moi.
- Non c'est rien. Je riais de la situations. Je suis venue pour rencontrer ma vrai famille, je vien d'arriver à l'instant, tu pourrais me montrer où est Charlie s'il-te-plaît ? Demandais-je en lui souriant.
- Bien-sur, tu sais quel heure il est ?
- Oui il est...midi-quarante-cinq.
- A cette heure ci il doit être au commissariat, mais si tu veux je peux t'y emmenait.
- Quoi, sur ta moto ? Je me mit à rire, je n'ai jamais fait de moto de ma vie.
- Oui, j'ai un deuxième casque, laisse moi deviner tu n'a jamais fait de moto, c'est ça ? Me démenda t-il encore plus amusé, il pointer sa moto du pouce. Je plongeait alors mes yeux dans les siens.
______________________________________
PDV de Jacob :
Elle plongea dans mon regard, je me sentie soudain envoûter par ses grand yeux chocolat je crue voir une lueur de courage et d'intelligence mais ça sembler couvert par une émotions, on aurait dit du deuil ou de la souffrance.
Je la prit doucement par la main.
- Vien suis moi. Je me rapprochat de ma moto et lui tendie mon deuxième casque, il était rouge vif.
- Et pour ma valise ?
- On n'a qu'à la mettre sur la rallonge
Elle hésita un instant et prit le casque en main. J'ai mit sa valise sur ma moto, et je grimpa sur ma moto et elle monta derière moi et passa ses main autour de moi et posa sa tête sur mon dos, je sentait quel avait peur, j'aurais voulue la rassurer, je ne sais pas trop pourquoi mais j'en avait envie.
- Prête !? Demedais-je au cas où elle veuille changée d'avie. Elle hocha la tête de haut en bas. Je mit mes mains sur le guidon, donna un coup de pédale et la moto qui démarra. A peine ma moto avait ruggi que je senti son emprise resserait autour de moi, c'était égoïste mais j'avais envie d'allais très vite pour qu'elle est peur et vienne se coller encore plus contre moi. Mais je ne le fit pas et commença à roulait, elle se resserra encore et j'était heureux, même si pour ça elle devait avoir peur et que je n'aime pas ça. Nous nous dirrigeame vers le commissariat je m'arreta sur le parking, elle descendie et se dirigea vers la porte mais elle s'arrêta tout d'un coup et se retourna vers moi.
- Jacob ?
- Oui ? J'espérais quel me demende de l'accompagner.
- Tu peut m'accompagner ? J'ai un peut peur.
- Bien-sur.
Yes! J'affichait un énorme sourire en descendent de ma moto et en posant mon casque.
Je me dirigea vers elle et posa une main dans le bas de son dos pour la dirigea vers l'intérieur, je pouvais sentir son apprention à des kilomètres à la ronde. Mais je la comprend, moi aussi j'aurais était stresse de rencontrer ma vrai famille.
- Alors stresse ? Dit-je sans jamais lâchait le bas de son dos.
- Un peut. Balbutia-t-elle.
- Tu sais j'aurai était strésser de rencontrer ma vrai famille. Elle me souris et lui repondit d'un clin-d'œil. Je nous dirigea vers le bureau de la secrétaire.
- Bonjour, pouvais vous nous dire où est le nouveau bureau de Charlie Swan, s'il-vous-plaît ? Demendais-je à la dame derrière le comptoir, je sentie Hermione se raidir j'entourait sa taille de mon bras et la colla contre moi. Je lui lança un sourire que j'espérait à tout prit réconfortant. Je ne sais pour quelle raison mais avait envie de la protéger. La secrétaire nous indiqua le troisième bureau à droite après le couloir.
Et c'est sans la lâchait d'une semelle que nous nous dirigeame vers le bureau de Charlie. Nous nous arretame devant son bureau, Hermione se blottie contre moi, j'adorais ça. Je prit sa tête entre mes mains et lui murmura.
- Ça va aller, OK ?
Et jochat vivement je la lâcha et remie seulement ma main dans son dos, pensent que Charlie n'aimerais pas voire sa fille dans les bras d'un garçon, même si c'est moi.
Je toquer à la porte du bureau et une voix grave et fatiguer nous répondis.
- Entrez ! J'ouvre la porte et la fait entrait, j'entre à mon tour dans le bureau.
- Bonjour Charlie.
- Bonjour Jacob, vous avez besoin d'aide ? Démende-t-il en se tournant vers Hermione.
- Heu non, je me présente Hermione Swan. Répond-elle timidement.
______________________________________
PDV de Hermione :
L'homme devent nous est derrière un bureau, il a des cheveux marron qui tire sur le marron, c'est yeux son marron foncée. Il se releva aussi tôt après que je me sois présentée, il se précipite sur moi et m'enlace puis il se recule et pose ses mains sur mes épaules et m'observe de la tête aux pied avant de dire.
- Tu ressemble à ta sœur. J'ai crue voir une larme perler au coin de son œil, mais disparue aussi tôt. Puis il se tourna vers Jacob.
- Jacob, tu peut la ramener à la maison ? Tiens les clés. Il lui tandis un troussots de plusieurs clés dorée toute plus rouille les une que les autres.
Jacob s'en emparat et me prit le bras pour me guider hors du bureau. Il a vraiment les main très chaud c'est étonnant.
- Est-ce-que ça va ? Demenda-t-il en me regardant sécher mes larmes qui avaient couler sans que je m'en rende compte.
- Oui tout va bien, c'est juste que suis contente. Un lâcha un sourire, puis il remit une main dans mon dos pour me guider jusqu'à sa moto.
Je monte derrière lui et m'accroche à lui. Il démarre et roule à toute vitesse. Desidement je déteste vraiment les motos, je m'agrippe de plus belle à sa taille et ferme les yeux.
Quelque minutes plus tard je sens la moto qui s'arrête dans une allée de graviers. Je rouvre les yeux et me redresse, devent moi, une grande maison bleu turquoise, abîmer, la peinture est écailleuse. Je descend de la moto et me dirige vers le porche, les marches grince, Jacob précipite vers moi. Il se place devent moi me barrant le passage avec un sourire malicieux.
- Quoi ? Demendais-je avec un ton agacé et amusé à la fois, j'essaye d'attraper les clés mais il lève le bras bien haut que je ne puisse pas les attraper étant donné qu'il est beaucoup plus grand que moi, je saute pour essayer de les attraper.
- De toute façon ça sert à rien tu sais pas c'est quel clées. Dit-il avec un ton amusé et moqueur, je me met devent lui et croise les bras sur ma poitrine en levant un sourcils.
- Bon qu'est-ce-que tu veut ? Demendais-je en penchant la tête sur le côté pour me donne de la comtenance.
- Ferme les yeux.
- ?
- Ferme les yeux.
- Bon d'accord. Je me décide à les fermer sentant qu'il allait bientôt pleuvoir. Je n'ai pas envie d'êtres tremper.
Une fois les yeux fermer je sens de mains brûlante me tenir les épaules pour m'indiquer d'avancer, je sens que je suis dans la maison mais je ne sais pas où, soudain on s'arrête devent quelque chose qui ressemble à des escalier. Je sans les mains brûlant de Jacob mettre une main sous mes genoux et une autre dans mon dos. Oh non, il ne va pas me portée. Et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire j'étais en l'aire, je ne put m'empêcher de faire un petit crie quand je sens que l'on avance dans les escalier, puis le sol redevient plat on tourne et Jacob me pose enfin à terre il ouvre une porte et me dit de rentrer dans la pièce.
- C'est bon tu peut ouvrir les yeux. Me chuchote-il a l'oreille. J'ouvre les yeux et une très belle chambre est devent moi.
- Alors ça te plaît, Charlie la fait faire après qu'il t'ais envoyer une lettre je crois.
- C'est très beau ! M'exclammais-je. Il souris
- Bon je vais cherchais ta valise, je te laisse découvrir ta nouvelle chambre. Me dit-il en sortant de la chambre.
- Tu est sur que tu ne veux pas que je t'aide, elle est très lourde. Il se mit à rire et descendit les escalier pour se dirigé vers la porte. Quel étrange personnage mais ettonament j'ai quand même confiance en lui. Il ne m'a pas l'aire méchant ou dangereux au contraire, il est plutôt gentil et protecteur. Je m'installer sur mon lit.
Quelque minutes après il remonta ma valise en main, on aurait dit que c'était une plume pour lui, il l'a porter son un bras et son autre mains était dans ses poche. Je commençais à avoir des doute sur sa vrai nature, en faite il a tout d'un métamorphe, c'est étrange.
Nous descendimes à la cuisine et il me tendis un vers d'eau.
- Tu sais je crois savoir ce que tu est.
Il fronça les sourcils.
- Ah oui ? Alors vasi je t'écoute. Il s'assit sur la table à côté de moi.
- Je crois que tu est un métamorphe. Son regard s'assombrit sous cette annonce. Puis voyant que je n'avait ni peur ni couteau dans la main pour le transpercer, il esquisa un sourire et se mit à rire de bon cœur.
- Et comment tu a sue ?
- Tu ne me croirait pas. Il haussa les sourcils. Alors je sortie ma baguette de ma poche arrière et la posa sur la table. Il éclatant de rire.
- Très bien prouve le moi.
- D'accord mais avant toi montre moi que tu peut te transphormer dans ce cas là ! Dit-je en rigolant.
- Très bien. Il me prit par le poignet et m'emmena dehors, il me fit monter sur sa moto et démarra pour aller dans la forêt.
New part of this jasmine fanfic :)
1 note · View note
fallenrazziel · 4 years
Text
Les Chroniques de Livaï #495 ~ ON NE DOIT PAS COMPTER SUR UN MIRACLE (juin 846) Hanji Zoë
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Tumblr media
Ce sont bien des titans endormis que je vois, là, sur le côté de la route ? C'est la première fois que j'en vois un d'aussi près sans risquer de me faire croquer ! C'est vraiment tentant de me rapprocher pour... non, c'est exclu, ça, c'est pas le moment. La formation doit rester intacte et avancer en ligne droite sinon ce sera la débandade. Et puis il suffit peut-être d'un rien pour les réveiller... La présence de ces gens tout autour de moi suffit à me faire garder un silence absolu.
Nous dépassons le dormeur - les civils ont les yeux qui leur sortent de la tête - et je constate que son ventre se soulève à peine à chaque respiration. Est-ce qu'il respire seulement ? Raah, ça me reprend ! Je suis pas là pour les étudier mais pour les éviter ! C'est tellement dommage... Si on survit, il faudra programmer d'autres expéditions de nuit comme ça ! C'est idéal pour les capturer en plus !
Je suis là, à monter des plans futurs, alors qu'on ne sait même pas ce qui va se passer à la fin de cette nuit... Y aura peut-être plus de nouvelles expéditions... On sera peut-être plus là... Merde... Je peux pas mourir avant de tout savoir ! Ce serait pas juste ! J'avais tellement de projets !... Mes mains se crispent et tremblent sur mes rênes en pensant à tout ce potentiel gâché... Je dois me focaliser sur du concret, pas sur l'avenir. Si, il y'en aura d'autres, mais c'est pas le plus important. Revenir vivants, avec un maximum de gens, c'est la priorité. Et pour ça, j'ai mes nouveaux joujoux. Je tâte ma sacoche à la recherche d'une grenade, et la regarde à la lumière de la lune en ajustant mes lunettes.
Je l'ai appelée comme ça parce que ça ressemble à une grenade, par la taille et la forme, mais cette petite merveille va semer la mort chez les titans. Enfin en théorie ; on a pas eu le temps de les tester sur le terrain. Toute mon escouade en possède une certaine quantité. Il suffit de tirer sur cette gâchette, de la balancer et là... BAAM ! Mais ça réclame une précision au centimètre. Ca peut péter à la gueule des imprudents si on fait pas gaffe. J'ai utilisé une formule d'explosif inédite qui décuple les effets habituels par trois. Dans la gorge d'un titan, ça doit faire mal...
Encore faut-il réussir à bien viser. C'est pas la première fois qu'on fait ça ; avec les soporifiques, on avait pris le coup de main. Sauf qu'ici, si on se loupe, ça peut tuer des gens. Mon escouade est parfaitement entraînée, ça devrait le faire... Aïe, je crois qu'on va pas traîner pour le savoir ! Y a un titan qui avance vers nous, sept mètres !
Il marche en dodelinant de la tête, comme somnolent, et ne semble pas faire attention à nous. Il est pas pressé de manger celui-là ! Mais il fonce droit sur la colonne, alors on a pas le choix. Cependant, je me demande si les grenades sont utiles, il a pas l'air franchement agressif ; un coup de lame sur la nuque devrait suffire... Mieux vaut les garder pour les coups durs, quand il fera jour, on aura moins de chance de rater nos lancers. Un cheval se détache de la file. Un des gars de Livaï, je suppose. Il va aller lui faire son affaire. Les civils à côté de moi s'arrêtent pour observer. Allez, allez, faut pas traîner ! Il a pas besoin que vous le regardiez ! Je les pousse du bout du pied, et ils se remettent marche au moment où le titan s'abat à terre, la nuque tranchée.
Des exclamations s'élèvent de la foule et je me lève sur mes étriers pour leur faire signe de se taire. Silence, vous allez réveiller tous les titans du coin ! Une jeune fille sur ma gauche me demande pourquoi les titans dorment la nuit. Si je le savais... On le fait bien, nous, non ? Ils doivent avoir besoin de se reposer. Mais le plus étonnant, c'est qu'ils ne dorment pas tous en même temps apparemment. Dis-moi, petite, tu t'intéresses aux titans ?
Elle fronce le nez et répond qu'elle les trouve répugnants. Aaah, je vois... Difficile de le lui reprocher. Dommage, j'aurais eu du travail à te proposer, les titans, c'est une passion pour moi ! La fille s'écarte aussitôt de mon étrier et disparaît de ma vue. Pourquoi ils réagissent tous comme ça ? Y a vraiment que moi qui les considère comme des mystères fascinants ? Moblit se place à côté de moi et me conseille de me calmer, parce que même dans cette pénombre, il voit que je suis toute rouge. Heureusement que tu es là, je me sens moins seule...
C'est pas tout ça, mais Erwin a tellement bien fait les choses qu'on risque de s'ennuyer assez vite. Sortir la nuit, finalement, c'est le bon plan. Pourquoi on y a pas pensé avant ? Ah mais si, je sais. Ca aurait été trop risqué sur un terrain inconnu. Les plaines de Maria sont familières et on sait où se trouvent les avant-postes disponibles. Et c'est pas si souvent qu'on a une nuit de pleine lune aussi dégagée ! Ouais, c'est un signe, ça va bien se passer !
Est-ce que j'essaie vraiment de m'en persuader ou je déraille ? Moblit, sois sincère, tu y crois, toi ? Son expression sombre en dit long... Faut vraiment qu'on soit dingues pour suivre Erwin dans ce merdier, hein ? Il pose sa main sur mon épaule et me répond qu'il ira où j'irais, quoi qu'il en coûte. Dis pas ça, ça me remonte pas le moral !
Dommage que Livaï soit pas là pour me lâcher une vanne ou deux. Ca me ferait presque du bien de l'entendre médire... Bah, il va repasser dans pas longtemps, je lui demanderai des nouvelles à ce moment. Avec un peu de chance, il m'enverra péter et j'aurai une raison de lui gueuler  dessus !
10 notes · View notes
lesgenouxdanslegif · 3 years
Text
CE MESSAGE S`ADRESSE AUX FAMILLES ET AMIS DES COUREURS.
Mais aussi à toi, coureuse et coureur qui parle mal à tes proches. Voici donc une grille de traduction pour enfin comprendre celle et celui qui cavale sur les sentiers :
« Bordel, t’as pas bien dosé la boisson d’effort. Tu veux que j’abandonne, c’est ça ? » = « Mon amour, la boisson n’est pas exactement celle que j’avais imaginé mais ne t’inquiète pas, dans tous les cas je vais la régurgiter dans la prochaine montée ».
« Je dépense mon fric comme je veux, si je veux acheter des godasses à 200 balles c’est mon problème, merde » = « Oui, je pense qu’en dépensant cette somme dans ces chaussures je vais courir plus vite car le marketing de cette grande marque fonctionne parfaitement. Au fond de moi, je sais que je ne vais pas avancer plus vite car la réalité c’est j’ai une énorme charrette. »
« Du riz et des pâtes, voilà ce qu’il me faut. Alors non, on ne va pas manger une ratatouille la veille de la course ». = « Je pense qu’il serait plus pertinent de ne pas manger cette ratatouille car je sens qu’elle va me précipiter sur le trône demain matin. ».
MAIS AUSSI L'INVERSE, hein. Une voix mielleuse pour mieux manipuler son monde :
« J’ai bien envie de passer une semaine à la montagne, histoire de respirer l’air pur et de faire de belles randonnées. » = « J’ai bien envie de passer une semaine à la montagne, histoire que je fasse des sorties longues toute la journée pendant que tu gères les gamins. »
« Il faut absolument que je me repose la dernière semaine, cette course est tellement importante pour moi ! » = « Oui, c’est une astuce pour ne rien foutre pendant une semaine. »
« Mon amour, et si tu allais chez tes parents ce week-end ? Ils commencent à avoir de l’âge, c’est important que tu puisses les voir » = « J’ai un week-end choc à me mettre dans le cornet, en gros c’est mieux si t’es pas là ». 
Le numéro 4 de notre revue papier Point de Côté est dispo en précommande jusqu’au 31 mai. FONCE. www.pointdecote.fr
Tumblr media
Photo Alexis Berg
2 notes · View notes
ts2-uglacy · 5 years
Text
Semaine 21 : Les mascottes se trouvent toujours là où il faut.
Tumblr media
Malgré la mort de sa mère et le remariage de son père, Becky n’a pas perdu de vue ce qui fait l’essence même de qui elle est : une Don Juan au féminin. Elle a un nouvel objectif en tête : avoir des liaisons amoureuses avec 30 Simettes en simultané, et ça ne sera pas de la tarte ! Cette semaine nous dira si elle parvient à atteindre son objectif, tout en terminant son cursus universitaire puisque rappelons-le, elle débute-là sa dernière année.
Tumblr media
Becky commence la semaine avec un nouveau désir qui apportera du challenge : Embrasser langoureusement 20 Sims ! Ce qui signifie que Becky ne l’a pas fait comme préliminaire avant de coucher avec son tableau de chasse... Tout à fait elle, direct à l’essentiel.
Tumblr media
Sans transition, on invite Tara Bateau à la sororité puisqu’elle n’est toujours pas devenue un membre officiel (contrairement à Buffy). Espérons que lui faire passer un peu de temps ici mettra fin à sa période d’essai...
Tumblr media
Becky présente donc les deux nouvelles l’une à l’autre, puisque pour une raison obscure elles ne semblaient pas déjà se connaître... Il me semble qu’elles avaient dîné ensemble et tout mais bon, qu’importe, des fois le jeu a des réactions bien à lui.
Tumblr media
Alors qu’on a envoyé Tara faire le ménage et que Becky s’en allait en cours, une jeune punkette se balade et le radar de Becky ne fait qu’un tour !
Tumblr media
Elle sèche donc les cours pour parler à sa main...
Tumblr media
“Meuf, je sors d’un mariage là, c’était N’IM-POR-TE QUOI !”
Tumblr media
“Mais parlons plutôt de toi, poupée...”
Tumblr media
“Je parie que t’as pas peur des fantômes...”
Tumblr media
“... alors que moi, je crains chaque jour de tomber sur celui de ma mère ! T’imagines, maintenant elle peut TOUT VOIR et TOUT ENTENDRE, qu’est-ce qu’elle penserait de moi, hein ? Je te le demande !”
Vu la tête de la punkette, la conversation (ou plutôt, le monologue de Becky) ne semble pas l’intéresser.
Tumblr media
Pendant ce temps-là, la mascotte est toujours là où on ne l’attend pas.
Tumblr media
Ce qui n’empêche pas Ariel de se faire une nouvelle conquête !
Tumblr media
Et finalement... Tara devient membre de l’association !
Tumblr media
Céleste, quant à elle, voit ses notes chuter...
Tumblr media
Apparemment, ça ne lui plaît pas et elle vise l’excellence pour son prochain semestre !
Très bien, Céleste, on va te faire travailler d’arrache-pied quitte à ne plus trop être présente dans les activités loufoques de la sororité.
Tumblr media
3h du matin, Becky prépare une dinde.
Tumblr media
Mais elle ne perd pas ses bonnes habitudes et dès le matin, elle va interpeler une Simette qui passe par là !
“Bonjour, chère inconnue, laisse-moi te dire que mon cœur fond rien qu’à te voir...”
Tumblr media
“Oh ! Mon Dieu, c’est à moi qu’elle parle !”
Becky fait encore des ravages...
Tumblr media
“Je te connais, Becky, et tu sais ce que j’ai remarqué ? On boit la même marque de soda !”
Tumblr media
Et bordel cette blague sur les œufs au plat commence à tourner en rond.
Tumblr media
“Tu sais que j’aime menotter mes conquêtes, pas vrai ?”
Tumblr media
“Euhhh, je ne suis pas sûre d’en avoir vraiment envie...”
Tumblr media
“Les nouvelles expériences ne t’attirent pas ? Allons...”
*frôle le bras de son interlocutrice*
Tumblr media
On dirait que cette jeune femme est finalement convaincue...
Tumblr media
... et charmée !
Tumblr media
Alors ça c’est le genre de truc pour lequel faudrait que j’arrive à faire un gif... la démarche ! Becky marche en croisant les jambes, ce qui lui fait un déhanché du tonnerre et des petites fesses qui roulent ostensiblement. Personne ne marche comme ça, je veux dire, faut avoir un équilibre hors normes !
Tumblr media
Becky croise une ancienne conquête et... se jette dessus.
Tumblr media
De son côté, Ariel termine un semestre et se voit intégrer une spécialisation... je croyais pourtant lui en avoir donné une, mais je dois me tromper.
Tumblr media
“Hé ! tu serais pas la meuf qui menotte les autres meufs qu’elle met dans son lit ?”
La réputation de Becky la précède...
Bon, pour le moment, c’est un peu le bazar. Organisons-nous cinq minutes pour parvenir à réaliser les désirs de notre monstresse.
Tumblr media
Si j’en crois le détail de ce désir, il suffit que l’indicateur global soit au dessus de 70. Néanmoins, ça ne nous dit pas s’il il suffit d’être “entiché” (cœur rose), ou si il faut aller jusqu’à “amour” (cœur rouge).
Puisque le dessin nous montre un cœur rouge, je pense donc que c’est ce qu’il nous faut, ce qui réduit considérablement les cibles potentielles, puisque certaines sont adolescentes et donc qu’on ne pourra plus, à moins de les faire vieillir, aller au delà de ce qui existe déjà (puisque les interactions ado-adultes sont bloquées, ce qui est une bonne chose).
Comptons donc les cibles déjà atteintes, et voyons avec qui nous pouvons aller au delà de l’entichement.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
On a donc 15 amours et 25 entichements.
Parmi les 25 entichements sans amour, nous n’en avons que 3 qui sont adultes. Ce qui signifie qu’on peut facilement arriver à 18.
Or, on a un objectif de 30. On est donc loin du compte.
Ce qu’on va d’abord essayer de faire, c’est de s’enticher de 5 nouvelles cibles, afin d’arriver à 30 entichements et ainsi voir si ça suffit à réaliser le désir. Si ça ne suffit pas, on continuera. Peut-être qu’on fera vieillir les ados pour se faciliter la tâche, aussi.
Et ben sûr, on va essayer de rouler des pelles langoureuses à chacune d’elles, pour atteindre l’autre désir.
C’est parti !
Tumblr media
Alors que Becky parlait avec une blonde, j’ai réalisé qu’il faisait vraiment sombre devant la propriété, alors j’ai dépensé presque tout l’argent de l’association pour acheter des lampadaires et des petites lampes murales, puis pour paver l’entrée. J’ai également posé du terreau qui permettra plus tard de faire pousser des plantes décoratives afin de rendre la devanture de cette sororité plus attrayante !
Tumblr media
Et pendant ce temps, Buffy voudrait se lier d’amitié avec Tara. Bien ! Appelons-la alors, puisqu’elle ne vit pas encore ici.
Tumblr media
C’est un refus en bonne et due forme...
Tumblr media
Becky, elle, continue de discuter avec cette blonde qui semble aimer parler de la vie sur le campus.
Tumblr media
“Je vais te dire un secret pour bien t’en sortir ici...”
Tumblr media
“Évite le look gothique....”
Tumblr media
“La dernière fois que ma cinglée de sœur en a croisé une...”
Tumblr media
“... ça s’est assez mal terminé !”
Tumblr media
“Elle a essayé de lui mettre un coup de pied, comme ça !”
Tumblr media
“Waouh ! quel condition physique !”
Tumblr media
“Je te retourne le compliment : tu as bien esquivé mon pied !”
Tumblr media
Becky se rapproche alors, lèvres en avant...
“Non non non, désolée mais je ne suis pas intéressée !”
Et zut, une de moins pour notre objectif ! Faut dire aussi que je suis super surprise par le nombre de lesbiennes (ou a minima, bisexuelles), il fallait bien qu’il y en ait au moins une qui ne le soit pas du tout !
Becky se décide donc à inviter Tara, pour aider Buffy a atteindre son but en devenant son amie, mais aussi pour espérer en faire une relation amoureuse...
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
En bonne hôtesse, Becky salue d’abord l’amie de Tara (c’est toujours une connaissance de gagnée en espérant en faire une amante par la suite !)...
Tumblr media
Puis salue son amie, pour laquelle elle craque !
Tumblr media
Les jeunes femmes discutent devant la maison alors qu’Ariel revient du campus avec un sac. Je me demande ce que ça peut être...
Tumblr media
Une autre voiture téléguidée. C’est la troisième, ça commence à suffire, là !
Tumblr media
Becky, elle, y va doucement en proposant un petit massage à Tara.
Tumblr media
“Je sens que tu es anxieuse, il y a une petite boule là. Attends, laisse-moi la défaire...”
Tumblr media
Et les sentiments arrivent ! Hourra !
On a donc 16 amours et 26 entichements.
Tumblr media
On n’oublie surtout pas le baiser langoureux et...
Tumblr media
Tadaaam ! Tara emménage et ramène ses économies avec elle !
On va pouvoir retaper la maison, maintenant. On va commencer par les arbres et les plantes pour donner un air moins misérable au bâtiment vu de l’extérieur, puis on verra pour le reste. Sans oublier de meubler une chambre pour notre nouvelle sœur !
*travaille un peu sur l’extérieur*
Tumblr media
Tadaaaa ! 20000$ de bien dépensés pour donner des airs de luxe à cette sororité !
20000$, ça fait un peu mal aux fesses, surtout que ce qui a coûté le plus cher ce n’est pas vraiment les plantes et les arbres, mais bien les petites clôtures en céramique pour les délimiter. Ce truc coûte une fortune ! Mais c’est fait, et j’aime le résultat ! Finalement, il doit rester dans les 4500$ pour meubler l’intérieur, alors on va s’en servir pour décorer un peu. Genre mettre des rideaux dans les chambres et les salles de bain.
Tumblr media
Alors que Tara et Buffy discutent pour faire connaissance, Becky décide de préparer un repas afin de rassembler tout le monde à table.
Tumblr media
Et merde. Direction l’épicerie, alors !
Tumblr media
Becky remplit donc son panier de trucs surgelés et passe à la caisse...
Tumblr media
... lorsqu’elle remarque une jolie étudiante qui passe par là.
Tumblr media
“Hey, salut ! Mon nom est Becky...”
Tumblr media
“... je voulais te dire que j’adore tes chaussures !”
Tumblr media
“Mouais... je connais ta réputation et je suis un peu déçue de ton approche, surtout que je ne porte que de vulgaires ballerines, hein.”
Tumblr media
Pendant ce temps-là, laissez-moi vous présenter ce bel étalon (enfin,, “bel”... je ne le trouve pas très beau mais... je l’adore !). C’est un de mes Sims jouables préférés, fils de la fleuriste du Village Rivazur, et une petite voix dans ma tête me signale qu’il a des chances de faire partie de la vie de Becky un de ces jours... mais pas tout de suite. L’heure n’a pas encore sonné.
Tumblr media
Tiens ! Aline est par ici !
Tumblr media
Mais elle part aux toilettes avant que Becky ne parvienne à l’atteindre, alors cette dernière la suit et croise une Simette qui lui tape dans l’œil ! Je garde ça pour plus tard...
Tumblr media
Becky essaie donc une première approche pas trop brusque en lui racontant un secret près des toilettes, parce-que c’est le meilleur endroit pour ça.
Tumblr media
Allez Becky, bientôt, elle sera à toi, fonce !
Tumblr media
Des mains se tiennent et...
Tumblr media
Hourra ! Des sentiments !
On a donc 17 amours et 27 entichements.
Tumblr media
On n’oublie bien-sûr pas le baiser langoureux.
Tumblr media
Becky s’apprêtait à partir lorsque je remarque qu’une Simette avec qui elle est amie se trouve sur le terrain. Une amitié est généralement facile à transformer en amour, alors Becky va tenter sa chance !
Tumblr media
“Waouh ! tu te souviens de moi ? Je suis flattée !”
Tumblr media
“Bien-sûr que je me souviens de toi, poupée...”
Tumblr media
“Quoi ? Mais dégage ! J’suis pas intéressée, espèce de folle !”
Tumblr media
Toute la déception du monde se lit sur son visage...
Tumblr media
Rapidement, une bagarre éclate, et juste pour l’anecdote : l’étudiante qui se bat avec ce mec, là, n’est rien de moins que la sœur de Buffy !
Tumblr media
De retour à la maison, on constate que l’amie de Tara traine toute seule, comme une âme en peine, au milieu du couloir... On décide donc daller la voir pour apprendre à la connaître !
Tumblr media
Trop tard.
Tumblr media
Ces trois voitures me gavent, j’en vends donc une pour renflouer les caisses surtout qu’après avoir fait les courses, il nous reste... 77$. Ouch.
Tumblr media
Que, quoi ?
Tumblr media
Ah ouiiiii ! le Laganaphyllis Simnovorii (ouais je fais genre je sais l’écrire). C’est la plante vache qui mange les gens. Moi qui croyais qu’elle voulait que Camille meurt (peu importe comment), puis boire ses cendres dans un verre d’eau, ou un truc du genre... ahahah. J’étais pas bien loin !
Bah on n’a pas de plante vache alors ça ne va pas pouvoir se faire ! Et puis j’ai trop de scrupules pour tuer des Sims qui n’ont pas eu au moins un enfant déjà... Je déteste l’idée que des gènes puissent disparaître.
Tumblr media
Becky parvient donc à faire à manger pour tout le monde et cet instant-repas permet à Buffy et Tara de devenir amies !
Tumblr media
Les voilà même en train de partager une partie de jeu vidéo.
D’ailleurs, on n’a pas encore appris à connaître Tara...
Tumblr media
Comme la plupart des Sims, elle est carriériste.
Tumblr media
Comme très peu de Sims, elle maîtrise toutes les compétences.
Tumblr media
Et il lui restait deux points d’aspiration à dépenser. On remarque également que sa seconde aspiration est à la richesse. Désolée donc, Tara, de t’avoir fait perdre 25000$ pour une sororité qui ne sera pas ta propriété !
Tumblr media
Alors que je parcourais le panneau des relations de Becky, me vient l’idée saugrenue de tenter notre chance avec la méchante sorcière...
Tumblr media
Puis je réalise que les examens de Becky sont tout bientôt et qu’elle a une moyenne de zéro à force de sécher les cours !
On va donc voir ça un peu plus tard et se concentrer sur le travail à faire. Faudrait voir à pas rater son semestre...
Tumblr media
Becky s’installe donc sur le bureau de Céleste puisqu’une pizza s’y trouve, et commence ses révisions intensives.
Tumblr media
Et lorsque vient l’heure des cours, elle y va, cette fois ! Mais en pyjama, parce-que pourquoi pas ?
Tumblr media
Buffy, elle, travaille régulièrement et ça paye !
Tumblr media
Quant à Céleste, elle a de plus en plus de désirs liés à la connaissance, ce qui est bien puisque c’est censé être ce qui la définit. Ça change des désirs en relation avec Becky.
Tumblr media
Du côté d’Ariel, il lui manque quelques connaissance pour obtenir de bonnes notes, notamment en créativité. Mmmh... attendez... mais on n’a rien pour travailler la créativité !
Tumblr media
On achète donc un piano pour Ariel afin qu’elle travaille correctement.
Tumblr media
En rentrant de cours, Becky danse la polka en pyjama devant la maison.... et la mascotte tente de suivre ses pas !
Tumblr media
Et là... c’est la capture d’écran qui me fait réaliser combien j’ai bien fait de décorer la devanture avec tant de vert. Quand je vois mes Sims passer par là pour aller en cours ou en revenir, je me dis que ça doit être un chemin agréable à emprunter.
Tumblr media
Bravo, beauté !
Tumblr media
Le truc avec les vacances, c’est qu’il suffit qu’une seule famille en revienne avec de nouvelles coutumes apprises, pour que rapidement tout le quartier les apprenne ! Ici, Céleste a appris à se taper le torse pour saluer son interlocuteur, et elle ne s’en prive pas !
Tumblr media
Alors, j’ai un mod qui permet de reprogrammer pour le matin les examens qui, manque de chance, tombent normalement en pleine nuit... Ce qui est une bonne nouvelle pour nous puisque ça nous permet de gratter quelques heures supplémentaires pour réviser ! Youhou !
Tumblr media
Du côté de Tara, elle désire encore plus d’arbres sur le terrain ! Ce qui nous montre qu’elle a du être tout à fait consentante pour que son argent soit dépensé en verdure.
Tumblr media
Ariel revient encore du campus avec un nouveau truc...
Tumblr media
C’est une télé, cette fois ! On en a déjà une alors on va simplement la revendre et utiliser l’argent pour améliorer la maison.
Tumblr media
Quelques étagères, des bouquins et un peu de déco, et le coin salon commence à ressembler à un espace occupé...
Tumblr media
Et tout ce travail de dernière minute a porté ses fruits ! Becky réussit haut la main ses examens ! Hip hip hip ! Je suis si fière d’elle !
On va maintenant pouvoir essayer de séduire la méchante sorcière...
Tumblr media
Déjà, elle veut bien venir... c’est un bon point.
Tumblr media Tumblr media
Le retour de l’homme tout nu nous offre un peu de distraction en attendant l’arrivée de notre invitée !
Tumblr media
“Alors, on attendait bibi ?”
Tumblr media
Alors que Becky s’approche...
“Bah les pattes ! Je connais ta réputation et je sais ce que tu es en train de faire !”
“Faire ?”
“Tu essayes de me séduire !”
“Effectivement, mais...”
Tumblr media
“Effectivement ?”
Sarah, une ancienne conquête de Becky, passait par là...
Tumblr media
“Je ne suis donc pas la seule ?” s’étonne t-elle.
Tumblr media Tumblr media
Pour ne pas changer, Becky reçoit alors une bonne paire de claques !
Tumblr media
“Écoute, bébé...”
“Je ne suis plus ton bébé !”
Tumblr media
“Pourtant, j’ai acheté cette merveilleuse rose pour toi, bébé...”
“Pour moi ?”
Tumblr media
“Bien sûr ! Quand je disais qu’effectivement, je cherchais à la séduire, c’était totalement amical !”
“Oh, j’aimerais tellement te croire !”
Tumblr media
*hume le parfum de la fleur*
Tumblr media
“Allez, dis-moi que tout va bien entre nous...”
“Non ! C’est trop facile !”
Tumblr media
“Je vais avoir besoin de temps. En attendant, reste loin de moi !”
Ça devait arriver !
Tumblr media
Mais qu’importe ! Une rouquine à la peau noire passe par là alors que Sarah s’éloigne, et Becky la salue pour tâter le terrain.
Tumblr media
Pendant ce temps, la méchante sorcière a fait venir les cafards...
Tumblr media
Bon, maintenant, on voit bien que l’amour de Becky est toujours là, alors qu’on a bien vu sur les autre images que celui de Sarah avait été brisé. La question qui se pose est donc : est-ce qu’elle compte dans les liaisons ? Erf... aucun moyen de savoir...
Tumblr media
Alors que je cherche, dans le panneau des relations, une Simette avec qui il existe une amitié forte afin de tenter de transformer ça en amour, je trouve effectivement une cible que Becky s’empresse d’inviter à la maison.
Tumblr media
“Viens, je vais te faire un massage...”
“Euh non non non ! Non merci !”
Tumblr media
Déception. On lui dit donc au revoir et on cherche une autre cible tant qu’il n’est pas trop tard dans la soirée.
Tumblr media
En voilà une !
Tumblr media
Alors qu’on attend son arrivée, un homme vient saluer Becky tout en louchant sur son corps. Il sera bien évidemment ignoré ! Pas de sale mec ici !
Tumblr media
“Par contre, Becky, je ne veux rien d’ambiguë ou de romantique, je te préviens !”
“Quoi ? Mais tu viens à peine d’arriver et je n’ai encore rien fait ! Bon, d’accord. Passe une bonne soirée, salut !”
Tumblr media
Et si on essayait celle-ci ?
Tumblr media
Oui, bien-sûr, surtout si c’est une fille !
Tumblr media
Et un autre homme s’imagine avoir Becky...
Tumblr media
Nos deux invitées arrivent et Becky accueille glacialement l’amie de Samantha. C’est une réaction que je ne crois pas avoir encore vue...
Tumblr media
Ah oui ! D’accord ! Elles peuvent pas se piffrer en fait !
Tumblr media
Alors que Becky s’approche de sa cible, Céleste, elle, ramène une bonne nouvelle ! Et 1200$ de plus dans les fonds de la sororité !
Tumblr media
“Tu m’as l’air tendue... tourne-toi, je vais te masser...”
Tumblr media
“Euhhhh non.”
Tumblr media
“Vraiment, sans façon.”
Tumblr media
“Mais pourquoi tout le monde réagit comme toi, dernièrement ?”
“Meuf, sur le groupe Simsbook de l’université, on a un sujet qui parle des prédateurs sexuels du campus, et tu es en tête de classement... De plus en plus de monde est informé de ton comportement pourri alors attends-toi à attirer la méfiance des étudiantes !”
Tant pis pour toi Becky !
Tumblr media
Becky terminera la soirée à jouer au billard avec Buffy...
Tumblr media
... qui aurait d’ailleurs besoin d’une douche !
Bon, nouvelle journée, nouveaux essais ! Becky part à la bibliothèque en espérant faire de nouvelles rencontres à draguer plus tard.
Tumblr media
La première personne qu’elle croise est cette fille à la mâchoire étrange mais à l’air sympathique.
Tumblr media
“Tu sais que je suis la doyenne de la Sororité Becky Bucket ? Parce-que je SUIS Becky Bucket !”
Tumblr media
“Ah oui ! Je connais cette sororité ! Vous avez une réputation plutôt mitigée : plein d’amis, certes, mais toi...”
Tumblr media
“N’écoute pas ce que racontent les gens... viens plutôt nous voir, un de ces quatre, pour te faire un avis par toi-même !”
Voilà qui est un bon début !
Tumblr media
La conversation est coupée par une bagarre et Becky préfère ne pas insister après ça.
Tumblr media
Elle remarque qu’Emilie est là, et leur relation semble propice à la naissance de sentiments, alors Becky fonce la voir !
Tumblr media
Une salutation chaleureuse...
Tumblr media
... une main aux fesses et...
Tumblr media
... un rejet !
Tumblr media Tumblr media
“Mais qu’est-ce qui tourne pas rond chez toi ?!”
Décidément, Becky enchaine les échecs. Ça commence à devenir une habitude et elle n’aime pas trop ça.
Tumblr media
Becky abandonne la chasse ce jour-là, et puisqu’elle arrive à la fin de son dernier semestre, elle préfère se concentrer sur la rédaction d’une dissertation.
Tumblr media
Voilà qui est fait !
Tumblr media
Elle rentre finalement de la bibliothèque avec une pizza bien chaude !
Tumblr media
Ce que j’aime dans le fait de jouer une association, c’est un peu ça : plein de gens et plein d’animation. Ici, sept Sims qui vivent leur vie et une maison animée !
Tumblr media
Tellement animée que Céleste et Ariel font une étrange chorégraphie.
Tumblr media
Quoi qu’il en soit, Ariel a de bonnes notes...
Tumblr media
... et Tara aussi !
Tumblr media
Quant à Buffy et Becky.... elles remettent ça sous les yeux d’une mascotte.
Tumblr media
Ah, tiens, la punkette du début de semaine ! Leur relation s’est améliorée depuis, et en grandissant, elle pourrait donner naissance à davantage. Tentons ça !
Tumblr media
À peine arrivée, le courant entre les deux femmes passe à merveille !
Tumblr media Tumblr media
L’amour l’amour l’amour l’amour.
On a donc 18 amours et 28 entichements.
Tumblr media
Et un baiser langoureux de plus, un !
Tumblr media
Et alors que la punkette s’en va, Becky croise la route de Zoé, une ancienne conquête avec laquelle elle est entichée. Elle en profite pour l’attraper au passage et l’embrasser langoureusement, au cas où ça n’aurait pas été fait avant.
Ça ne fait pas passer leur relation au stade supérieur, mais c’est déjà ça. En fait, Becky n’a pas persévéré puisqu’elle était à deux doigts de s’uriner dessus, elle a donc couru aux toilettes, et Zoé est partie.
Tumblr media
De son côté, Buffy a raté son examen final et je ne sais même pas pourquoi !
Ses notes lui permettent néanmoins de passer son semestre, mais la déception me ronge !
Tumblr media
Tara, elle, s’engueule avec la mascotte qui franchement, fait chier tout le monde.
Tumblr media
Et Becky passe son dernier examen avec succès ! HOURRA ! Dès demain, elle fera sa fête de fin d’études et l’université sera terminée pour elle !
Tumblr media
Pour fêter ça, elle remet le couvert avec Céleste, et même si je n’ai pas pu prendre de photo, j’ai entendu le bruit de l’amour... Il faudrait que je recompte dans le panneau des relations, mais on a normalement gagné une liaison amoureuse !
Tumblr media
Ariel a voulu être sympa et préparer des hamburgers pour fêter le départ de Becky, mais elle les a laisser brûler, et les filles font de leur mieux pour ne pas vomir en mangeant...
Tumblr media
Quant à cette chaine hifi... je ne sais pas qui l’a rapportée du campus, mais on en a déjà une alors on la revend !
Tumblr media
Et ce qui devait arriver arriva... à force d’emmerder le monde, la mascotte se voit impliquée dans une bagarre avec Ariel !
Tumblr media Tumblr media
Malheureusement pour cette dernière, elle se fait botter les fesses en bonne et due forme.
Tumblr media Tumblr media
J’ai dépensé un peu d’argent pour acheter des tapis et rendre l’endroit plus chaleureux... histoire d’impressionner les futurs invités de la fête de fin d’études (et notamment Bucky, qui a payé pour la construction du bâtiment). Je trouve ça joli !
Tumblr media
Que la fête de fin d’études commence !
Tumblr media
Bucky et Betty se saluent avec cette gestuelle qui commence à me courir sur le haricot...
Tumblr media
... et une polka se lance !
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Puis la fête se termine avec une photo en surexposition de Becky et Tara !
Tumblr media
Le lancer de toques !
Tumblr media Tumblr media
Becky va bientôt découvrir le look que le jeu va lui donner aléatoirement...
Tumblr media
... et c’est une horreur ! ahahahah. Ça ne te correspond PAS DU TOUT ma chérie !
Tumblr media
Et ainsi se termine la vie universitaire pour Becky...
Becky poursuivra t-elle sa voie de coquine, ou se rangera t-elle dans une vie plus sobre ? Comment la cohabitation avec sa belle-mère se fera ? Aura t-elle un petit frère ou une petite sœur ? Et si oui, sera t-il assez moche pour la détrôner en tant qu’héritière ?
J’ai hâte de le découvrir ! En attendant, portez-vous bien !
13 notes · View notes
Text
Beasts - 4/8
Tumblr media
Arashi : Mh-mh-mmmh…♪
… hmm? Oh! Qui est le petit farceur qui touche mon épaule?
Je le savais! Salut Anzu-chan! Tes mains bougent avant ta bouche, comme toujours. Mais ce n'est pas bien d'être si tactile!
Enfin ça ne me dérange pas si c'est toi…
Hehehe, mais on se croise souvent dans le magasin, non?
Nous sommes toutes les deux des clientes régulières~ après tout, cette boutique reçoit les meilleurs produits des environs, après tout~♪
Tu fais du shopping toi aussi ? C'est vrai! Tu es une fille!
Regardons la nouvelle collection de printemps ensemble! Je me demande ce qui est populaire cette année…
Regarde, ça t'irais tellement bien! Ou est-ce que c'est un peu trop enfantin ?
Ce n'est pas bon… nous avons le même âge, mais c'est comme si tu étais ma petite sœur!
Hehe, quand tu vas commencer ta 3e année, tu seras la seule senior de la branche des producteurs~!
Peut être que tu devrais tenter un look plus adulte? Pour que les juniors ne te sous-estiment pas!
Hey~ tu devrais peut-être tenter de porter des fausses lunettes ou quelque chose comme ça! Elles te feront grandir comme ça~♪
Les lunettes sont siiii mignooones récemment!
J'ai toujours eu une bonne vue, donc je ne m'en suis pas rendu compte.
Ouip! J'ai une super bonne vue! Tellement bonne qu'Adonis-chan m'a dit que je pourrais faire une bonne chasseuse, car en plus de ça, je suis une bonne coureuse.
… c'était un compliment ? Bah, cet enfant n'insulte jamais personne, pas vrai?
Hmm, Anzu-chan...ne me tire pas, d'accord?
Qu'est-ce qu'il y'a? Tu avais quelque chose à me dire?
Aah! J'ai totalement oublié Tetora-kun! J'ai été absorbée par mon shopping!!
J'ai totalement foiré! Ça fait déjà une heure?
Hmm… il était inquiet pour moi?
Tu as entendu la situation quand tu es venue ici et tu m'as cherchée dans le magasin?
Je suis désolée! J'étais bien trop excitée de parler avec le manager!!
Ils m'ont envoyé voir des vêtements qui n'étaient pas exposés!
Tu sais où est Tetora-kun maintenant?
Huh? Il est dans une cabine d'essayage?
Il était trop embarrassé de se balader avec des vêtements mignons dans le magasin ?
(Oh, non.. il a docilement fait ce que je lui ai demandé… n'est-ce pas?)
(Je sais qu'il avait juste quelques problèmes de puberté, pas des troubles d'identité du genre (dysphorie de genre) comme moi…)
(Il a juste dit qu'il voulait devenir plus "viril" avec le motif d'un enfant…)
(Je pensais que si je lui donnais des réponses ridicules, il allait se mettre en colère et partir…)
(La gravité de nos problèmes est bien trop différente… et pourtant, il est juste allé de l'avant et a touché un nouveau nerf (?).)
(J'étais en colère donc j'ai joué avec lui par pure vengeance)
(... mais il m'a docilement cru?)
(... aggh! Qui est le plus enfantin maintenant, espèce d'idiote ?!)
Ahh, désolée… Anzu-chan, pourrais tu me montrer dans quelle cabine il est?
Ah, celle là ?
Tetora-kuuuun! Désolée, je t'ai laissé en plan et j'ai totalement oublié!! Je m'excuse! Si tu me pardonnes, je serais plus sérieuse à partir de maintenant…
Tetora : Ah, Narukami-senpai?
Arashi : Ouais! Uh, je ne peux pas te voir, mais… comment ça avance ? Ça te dérange si j'ouvre le rideau?
Tetora : O-ossu! C'est bon! Allez y!
Arashi : Tu es quelque peu réticent… Uhh, d'accord alors, j'arrive…
Tumblr media
Tetora : Ossu! C'est le meilleur que je puisse faire, Narukami-senpai!
Arashi : …..
Tetora : D-donc c'est si mauvais que ça?
Je ne pouvais pas vraiment dire ce qui m'allait, alors j'ai demandé à Anego des conseils!
Arashi : … c'est vrai Anzu-chan?
Tetora : Ossu! Mais elle était tellement excitée que j'ai cru devenir sa poupée d'essayage…
Les femmes sont flippantes parfois! C'est la même chose pour les fans des fois…
Arashi : Ahaha. Après tout, dans le monde des bêtes et insectes, ce sont les femmes qui sont les cruels prédateurs… peut-être que c'est la même chose pour les humains?
Ouais… mais tu es mieux que ce à quoi je m'attendais!
Bien joué… même si Anzu-chan t'as aidé, les garçons ont souvent l'air plus ridicules quand ils portent des vêtements féminins.
Hehe. J'aurais bien voulu que tu sortes dehors habillé comme ça en prenant mes affaires.. et que ça te blesse. Depuis que tu m'as blessé en me parlant.
Mais c'était une mauvaise chose à faire.. j'étais une idiote. Si mon cœur commence à devenir hideux, c'est la fin du voyage pour moi.
Je regrette ce que j'ai fait. Je suis désolée Tetora-kun. Ça suffit, donc va te changer…
Tetora : O-ossu! Tout ce que je dois faire, c'est sortir habillé comme ça, hein?
Arashi : … Huh?
Tetora : Compris! Tetora Nagumo va faire de son mieux pour remplir sa tâche! Les flammes noires sont la preuve de l'effort…!
Arashi : Huh? Huuh…?
Tetora : J'pars dehors! Désolé, je vais vous donner mon porte monnaie donc utilisez mon argent pour payer les vêtements s'il vous plait!
OoOooOooOoHHhhHh! Je réfléchis toujours trop pour n'importe quoi alors cette fois ci, je fonce sans aucune pensées!!
Et c'est parti, à moi la virilité!
Arashi : Atte- Tetora-kun, arrête toi et écoute moi..!
1 note · View note
Text
Tumblr media
Alors résumé de Noël ;
- J’ai bossé le 24 de 8h à 20h donc j’étais « tranquille » loin de ma famille. Cependant mon père m’a quand même envoyé « Je prends quoi pour mamie? » BEN JE SAIS PAS TU TE DÉBROUILLES C’EST TA MÈRE NON? Bref ça commençait bien.
- Mon père vient me chercher au travail et me dit « J’ai pas trouvé le papier cadeau pour tes cousins donc si tu peux me le donner en arrivant. Au fait j’ai pas de cadeau pour toi désolé. » Oh joie, oh bonheur.
- J’arrive à l’appart, rien n’est prêt sauf la table qui est mise. « J. faut faire les toasts, J. faut préparer l’apéro, ah assis toi ici comme ça tu pourras sortir plus facilement à la cuisine » Ok donc déjà bonne ambiance je me sentais vachement bien accueillie après le travail.
- Mon oncle qui a absolument pas bougé son cul de tout le repas pour aider. Finalement c’est mon père, ma sœur et moi (et un peu mon frère quand même) qui ont pas arrêter de tout le repas à servir, deservir, fais la vaisselle. Au final avec mon père on s’est même pas assis 15 minutes à table. Mon oncle qui me dit « Oh mais t’es infirmière de toute façon tu fais rien de tes journées et en plus t’es mal payé Ahahah. » Il m’a appelé « Serveuse, en plus t’auras un mauvais commentaire sur TripAdvisor hein » je lui ai dis que si il continuait c’était les escargots que je tenais dans le plat qu’il allait se prendre dans la gueule, il a rit.
- On à attendu 00h et j’ai dis que j’allais dormir parce que c’était ça ou j’allais fondre en larmes. Je suis partie dormir et ma grand mère m’a dit « eh ben super » Pour rien sachant qu’elle allait dormir aussi hein.
- Le lendemain, mon père qui me re harcèle pour faire les papiers cadeaux et me redire « je te fais un chèque alors » D’ailleurs la gueule du chèque sachant que il m’a absolument rien offert pour mon anniversaire bref. Donc je fais les papiers cadeaux à 11h du matin, limite en larmes parce que je tiens plus cette situation.
- On se donne les pseudo cadeaux, et rebelotte pour le repas je fais la « serveuse ». Au repas y a des escargots et du poisson ma sœur en mange pas elle s’est faite allumé parce que elle aime pas ça et elle a manger autre chose. « Ouais les gosses de nos jours c’est des enfants pourris gâtés ». Je reste calme. Mais je bouille.
- Ma sœur laisse un mini morceau de fromage dans son assiette parce que le morceau était super dur donc immangeable pour elle. Ma grande tante crise « TU GÂCHES TOUJOURS TOUT NOUS ON PAYE, T’ES QU’UNE INGRATE, VOUS ME SOÛLEZ AVEC VOS CAPRICES LES GOSSES, J’AURAI DU RESTER CHEZ MOI TIENS ». Je vacille doucement du côté de la colère et je fonce dans la cuisine balancer les trucs à laver et faire le ménage. Ma sœur part dans la chambre, triste.
- Pour l’heure du goûter on va chez ma tante maternelle, on rigole tout se passe bien. On pense évidemment à ma mère qui nous manque beaucoup et qui passe noël seule... (putain on aurait du rester avec elle merde) Ma grand mère a 20h commence à nous harceler de textos, d’appel parce que on est pas à 20h pile pour le repas du soir. Je suis à bout. Ma tante me dit, on va t’aider à chercher un appartement, ça va aller. Bisous, câlins avec les cousines et on rentre.
- Quand on rentre douche froide, là grand mère et la sœur font la gueule comme jamais. Donc on mange tous les 4 avec mon père en silence. Super ambiance de Noël. Ma sœur veut ranger un lit dans le chambre parce que il nous sert à rien, ma grand mère lui HURLE dessus. Dit que « elle devrait être dresser celle là », et « elle aurait du rester avec sa mère cette peste ». Je vrillé, j’attrape mon père je lui dis de dire quelque chose parce que je vais lui rentrer dedans. « Faut temporiser J. ». SUPER.
Bilan : noël de merde, l’année prochaine je reste clairement avec ma mère. J’en peux plus de cette famille qui se comporte comme ça. Que moi on me respecte pas à la limite ok, mais qu’on touche à mon frère et ma sœur. Je vais lui rentrer dedans.
Ça m’a fait du bien d’écrire tout ça.
(J’entends à l’instant que ma grand mère parle à son kine en disant que on l’aide absolument pas et qu’on a passé notre temps sur notre portable à noël. Quelle malade »
9 notes · View notes
Video
youtube
J’avais jamais vu de nuit aussi calme J’la regarde enchaîner les cigarettes Ses larmes coulent en silence on entend toujours les cigales On se blesserait même avec zéro mot Pourtant aucun mur sur cette terre Ne pourrait étouffer le cri de nos phéromones On risque pas de tenir longtemps Tu m’as même comparé à Lucifer Maintenant tu bois et tu veux bien de moi Non mais j’hallucine hein Je sais déjà ce que la distance entraîne Soit c‘est la guerre pendant 10 ans sans trêve Soit je la quitte en lui disant Garde le sourire plus rien n’est grave Tant qu‘il nous reste une seconde de souvenir dans le crâne Nos deux corps pourraient mourir j’ai déjà fait le deuil Maintenant pars loin de moi une larme cachée dans l’oeil Notre histoire n‘aurait jamais pu finir dans le calme et la tendresse Je te déteste comme cette phrase qui dit c‘était trop beau pour être vrai Je n‘avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m‘effraient Je te déteste comme cette phrase qui dit c‘était trop beau pour être vrai Bébé serre moi fort que j’oublie que c‘est le chaos Autour c’est le chaos Regarde-nous le destin n‘a pas honte Les dieux n'ont pas honte J‘ai tout foiré cette année c‘est toujours en chantier Est-ce qu'on peut revenir en janvier  Son regard me traverse le corps comme une longue aiguille On dirait bien qu’on est cuits Nous deux dans la même voiture on fonce vers la mort On se déteste tellement qu’on refait l‘amour Parce que c‘est comme de la drogue on a de quoi planer Sur son dos mon torse fait de l‘aquaplaning Le problème c‘est que ça me rappelle pourquoi je l’aime Je revois le début les premières semaines On pourrait repartir à zéro Et prendre le premier avion comme dans un film de merde 
C’est du délire Garde le sourire plus rien est grave Tant qu‘il nous reste une seconde de souvenir dans le crâne Nos deux corps pourraient mourir j’ai déjà fait le deuil Maintenant pars loin de moi une larme cachée dans l’oeil
Notre histoire n‘aurait jamais pu finir dans le calme et la tendresse Je te déteste comme cette phrase qui dit c‘était trop beau pour être vrai Je n‘avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m‘effraient Je te déteste comme cette phrase qui dit c‘était trop beau pour être vrai
Artiste : Lomepal Titre : Trop Beau Album : Jeannine [2018]
35 notes · View notes
wawalu · 6 years
Video
youtube
Lomepal. ‘Trop beau’.
J'avais jamais vu de nuit aussi calme Je la regarde enchaîner les cigarettes Ses larmes coulent en silence on entend toujours les cigales On se blesserait même avec zéro mot Pourtant aucun mur sur cette terre Ne pourrait étouffer le cri de nos phéromones On risque pas de tenir longtemps Tu m'as même comparé à Lucifer Maintenant tu bois et tu veux bien de moi Nan mais j'hallucine hein Je sais déjà ce que la distance entraîne Soit c'est la guerre pendant 10 ans sans trêve Soit je la quitte en lui disant Garde le sourire plus rien est grave Tant qu'il nous reste une seconde de souvenir dans le crâne Nos deux corps pourraient mourir j'ai déjà fait le deuil Maintenant pars loin de moi une larme cachée dans l'œil Notre histoire n'aurait jamais pu finir dans le calme et la tendresse Je te déteste comme cette phrase qui dit c'était trop beau pour être vrai Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient Je te déteste comme cette phrase qui dit c'était trop beau pour être vrai Bébé serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos Autour c'est le chaos Regarde-nous le destin n'a pas honte Les dieux n'ont pas honte J'ai tout foiré cette année c'est toujours en chantier Est ce qu'on peut revenir en janvier Son regard me traverse le corps comme une longue aiguille On dirait bien qu'on est cuits Nous deux dans la même voiture on fonce vers la mort On se déteste tellement qu'on refait l'amour Parce que c'est comme de la drogue on a de quoi planer Sur son dos mon torse fait de l'aquaplaning Le problème c'est que ça me rappelle pourquoi je l'aime Je revois le début les premières semaines On pourrait repartir à zéro Et prendre le premier avion comme dans un film de merde C'est du délire Garde le sourire plus rien est grave Tant qu'il nous reste une seconde de souvenir dans le crâne Nos deux corps pourraient mourir j'ai déjà fait le deuil Maintenant pars loin de moi une larme cachée dans l'œil Notre histoire n'aurait jamais pu finir dans le calme et la tendresse Je te déteste comme cette phrase qui dit c'était trop beau pour être vrai Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient Je te déteste comme cette phrase qui dit c'était trop beau pour être vrai
2 notes · View notes
tuestout · 6 years
Text
J'avais jamais vu de nuit aussi calme
Je la regarde enchaîner les cigarettes
Ses larmes coulent en silence on entend toujours les cigales
On se blesserait même avec zéro mot
Pourtant aucun mur sur cette Terre
Ne pourrait étouffer le cri de nos phéromones
On risque pas de tenir longtemps
Tu m'as même comparé à Lucifer
Maintenant tu bois et tu veux bien de moi
Non mais j'hallucine hein
Je sais déjà ce que la distance entraîne
Soit c'est la guerre pendant 10 ans sans trêve
Soit je la quitte en lui disant
Garde le sourire plus rien est grave
Tant qu'il nous reste une seconde de souvenir dans le crâne
Nos deux corps pourraient mourir j'ai déjà fait le deuil
Maintenant pars loin de moi une larme cachée dans l’œil
Notre histoire n'aurait jamais pu f‌inir dans le calme et la tendresse
Je te déteste comme cette phrase qui dit c'était trop beau pour être vrai
Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'ef‌fraient
Je te déteste comme cette phrase qui dit c'était trop beau pour être vrai
Bébé serre-moi fort que j'oublie que c'est le chaos
Autour c'est le chaos
Regarde-nous le destin n'a pas honte
Les dieux n'ont pas honte
J'ai tout foiré cette année c‘est toujours en chantier
Est-ce qu'on peut revenir en janvier?
Son regard me traverse le corps comme une longue aiguille
On dirait bien qu'on est cuit
Nous deux dans la même voiture on fonce vers la mort
On se déteste tellement qu'on refait l'amour
Parce que c‘est comme de la drogue on a de quoi planer
Sur son dos mon torse fait de l'aquaplaning
Le problème c‘est que ça me rappelle pourquoi je l'aime
Je revois le début les premières semaines
On pourrait repartir à zéro et prendre le premier avion comme dans un f‌ilm de merde
Mais c'est du délire
LOMPAL
2 notes · View notes
sexwiththepast-blog · 6 years
Text
En l'absence d'Aldiouma
Comment ça se dit, une image ? Est-ce que ça se raconte ? Est-ce que ça se lit ? Est-ce que ça se vérifie ? Et quel rapport avec la facture d'électricité ? Tu aimerais bien raconter, simplement raconter. Tu t'y évertuerais, si tu étais capable. Ce serait plutôt haut, une histoire exclusivement. Une histoire, toute une histoire, rien qu'une histoire. Ça défilerait comme dans une tête, les mots feraient image, les mots feraient son. Les images seraient, oui : ça tiendrait la route. On te dirait conteur, Dichter, narrateur, menteur, cinéaste, whatever. On ne te dirait pas, on se rendrait pas compte. C'est que l'histoire prendrait le dessus, bien le dessus sur toi, le dessus sur le reste, elle embarquerait l'autre. Avec bonheur, ta pomme n'aurait plus aucune espèce d'importance. Un maillon quelconque. Pas plus d'épaisseur qu'une feuille de papier à cigarette. Tu ne donnerais plus prise, ça raconterait seul et d'autant mieux que tu n'y serais pas. Personne ne prêterait plus attention au fait qu'à un moment tu fus dans la même barque qu'elle, que l'histoire qui prendrait forme là.
Il faudrait cependant retourner sur les lieux. Et retourner dans le temps. Car les images sont là, oui, mais les mots, non. Les mots se cachent. Les mots se planquent. Les mots se dérobent, ils se font la malle, ça ne date pas d'hier. Enfouis, enfouis, enfouis. Les souvenirs, non. Bittersweet memories. Mais les mots, si. Retirés, disparus, ensevelis peut-être, hors de portée à tout le moins. La mémoire ne flanche pas, ce sont les mots qui se refusent à l'entrée, les mots qui se rétractent, les mots auxquels tu n'as pas droit ou qui estiment à part eux que tu ne les vaux pas. Les mots te tournent le dos. Les mots, oui, te font défaut. Rétifs, ils manquent à l'appel. Les mots ne sont pas là. Ils te narguent même, on dirait ; ils te posent un lapin. Les mots te manquent, les mots manquent. Et les images, alors ? Elles sont là. Quelque part en tout cas. Elles ne manquent pas, non, mais, quoi faire pour autant ? Quoi en faire, quoi faire avec ? Les images là le sont à l'imaginaire, elles sont à l'esprit, peut-être pas qu'en toi mais pas partout non plus. Et le fait qu'elles ne semblent pas bien loin, est-ce que ça change quelque chose ? Et si oui, quoi ? Qu'est-ce que ça y fait ? Des images mentales, ça se cantonne tout de même, ça suinte un peu au mieux et puis c'est tout. C'est tout, voilà, y a rien à faire. Pour l'instant tu ne peux rien faire. Il va falloir attendre, attendre de nouveau. Attendre encore un bon paquet de temps résolument mauvais qui te semblera long comme le bras, qui te coûtera tout ce qu'il ne te rapporte pas. Et Dieu sait que tout ça ne te rapporte rien.
Il faudra faire un jour toute la nuit sur cette histoire. Pour cela, tu envisagerais de filmer. Filmer de près et de loin. Filmer par-ci et par-là. Avec opiniâtreté mais sans bouger de trop. Sans lumière ajoutée. Ou sous les phares d'une auto. Filmer en dépit de. Pas du bon sens, non, mais du reste. Filmer quoi qu'il arrive. La pelouse luisante. Les roches artificielles. Le dénivelé brut. Les grottes faméliques. Les nids de poule retors. Les ombres promenées. La vue panoramique mais voilée. Le livre abandonné sous le banc numéroté. Prendre aussi le bruit des graviers, tantôt un brin étouffé, tantôt plutôt amplifié, fonction du volume de la rumeur générale. Enregistrer le souffle dans les séquoias — le souffle des séquoias. Les bagnoles au loin, qu'on entend justement au loin, contrairement aux riverains de L'Eau-qui-dort, qui sourdent là, derrière vous. On pourrait faire ça avec le téléphone. La définition est correcte, la sensibilité idoine. Suffira d'y brancher le bon micro. L'absence de miroir est un miroir. On filmerait non pas la ville mais la nuit. Pas la ville de nuit mais la nuit même. On y cultiverait les tremblements d'obscurité. On en attraperait l'opacité prégnante. On y collecterait l'antiparticule du photon — à savoir le photon lui-même — et ce bien qu'un photon averti en vaille deux. (Sans parler de la chandelle sacrée que vaudrait la captation du faisant-trou.)
En attendant, tu descends l'avenue Bolívar sur un brancard. C'est le brancard du centre de rééducation où Aldiouma travaille. Elle y est infirmière. Elle vit chez son oncle. Tu n'en sais pas bien plus. Tu l'aurais rêvée, ce serait la même. Elle t'est comme apparue là. Ceci dit, elle est bien infirmière rue du Val d'Or et c'est bien elle qui t'inocule l'anticoagulant. À ce qu'on sache, tu n'es pas sous anesthésiant, analgésique, ni anxiolytique ou quoi. Pourtant tu sembles flotter comme dans un rêve. Autour de toi ça flotte aussi, comme si tu dormais. Réalité comme en sommeil. Mi-paradis, mi-enfer. (Et plus souvent enfer que paradis d'ailleurs ; un cauchemar, assurément.) Ça tourne, ça re-tourne. Léger et lourd à la fois. Un voyage à peu de frais et impossible, insupportable. Le tournis garanti. Un haut-le-cœur pénible. Une humeur malignement distillée. Le fruit triste d'un prurit intérieur. Bref, un état second. Cotonneux comme du plomb. Poisseux, terrible et froid comme, sinon la mort en personne, au moins l'angoisse en personne. – Eh ben v'là quoi, mon gars, tu redoutes le pire ? On ne te donne pas tort.
Qu'est-ce que tu fous en pleine rue à trois heures du matin à cheval sur un brancard ? Tu collapses ou tu fomentes un travelling ? Qui pour répondre à ces questions ? Qui pour arrêter le brancard, l'empêcher de rouler tout seul, de dévaler ainsi la pente, d'avaler au passage ce qui te reste de sauf ? Le goudron est si mat vu d'ici. Pas une mouette à l'horizon. Tu fonces sans t'en rendre compte. Y aurait de quoi flipper, mais non. Tu te tiens droit, pas vraiment comme un i, m'enfin. Comme tu peux, disons. En même temps, il faut bien que tu t'y accroches au brancard. Pas facile de rester debout dans ces conditions-là. Quoi qu'il en soit, c'est bien un aliéné qu'on voit débouler là à toute blinde dans le bas de Secrétan. Cet aliéné, c'est donc toi. La preuve, c'est qu'il n'y a personne pour le voir. (L'aliénation vaincra !) Ni pour le contredire. (Pas plus sain qu'une bonne aliénation !) Aucun doute, tu nages bien en plein délire. Tout à fait hors des lignes rouge et jaune de la piscine Pailleron.
C'est à la jambe qu'on t'a opéré. Au genou droit, pour être exact. Tu partages l'appareil de musculation avec un type sans cheveux qui, pendant que monte et descend la fonte, te parle de Maldoror. Précisément, préoccupé, tu n'as pas remarqué que tu sentais mauvais des pieds. C'est une patiente embêtée qui t'oblige à le constater. (Et force est de le constater.) Tu te rechausses derechef. Le type, lui, est tombé la semaine dernière de l'arbre dont il avait à tailler les branches, c'est son métier.
Quid de l'entreprise qui doit nous occuper ? Pour la mener à bien on finirait par n'utiliser plus que des infinitifs. Ça n'en finirait pas. De l'infinitif et quand même un peu de conditionnel. Infinitif, conditionnel. Conditionnel, infinitif. La paire gagnante à coup sûr. Comme Laurel et Hardy. Ou Buster et Keaton. Sinon, question lentille, va pour la focale fixe de marque suisse. On n'est pas près de se coucher. Avec de tels choix, on ne risque pas de se coucher. Tu vas voir ce que tu vas voir. Au lieu de quoi le brancard arrive à Jaurès. La plume en berne. La caméra tombée en rade. La ténèbre adéquate bien trop vite édulcorée. Tout roule et rien ne roule. Ça tourne mais pas comme il faut. Tu vas donc devoir continuer à appuyer sur la béance. Limiter la perte de sang. Contenir l'abus de dedans rencontré au-dehors. Ravaler le sang qui noircit — celui qu'on appelle mélancolie.
C'est toujours un arrachement. Un qui s'impose, on te l'impose, on se l'impose. À l'intérieur, ça fait un mal de chien. Une douleur, un cri de dogue. Est-ce une dent qu'on tire, est-ce un œil qu'on triture ? Qu'est-ce qu'on crève là, qu'est-ce qui y crève au passage ? Quelque chose crève en tout cas, ça t'en es sûr. T'en mettrais ta main à couper. Ça en crève et on continue — je me demande bien pourquoi quand même. Et puis c'est écarté d'un revers de main, tu t'écartes toi-même d'un revers de la main. Celle-là même que tu vas mettre à couper.
Le brancard continue sa course folle. Il en a pris, dis-moi, de l'assurance. Et de l'autonomie. Un brancard pareil, c'est pas commun, hein. Il file droit sous le métro aérien. Il lui fait la nique, même, on dirait. De là à dire qu'il persiste dans son être, faut pas non plus pousser Mamie dans les orties. (De toutes les façons, faut pas pousser Mamie dans les orties jamais !) Vraiment pas froid aux yeux, ce brancard-là. Tu paries que l'extravagance de son comportement va donner lieu à de nouvelles expressions ? Filer droit comme un brancard vide. Brave comme un brancard ensorcelé. Bringuebaler à brancard libre. Azimuté comme un brancard lancé pleine vitesse et de plein gré. Plein comme un brancard à jeun, pourquoi pas non plus. Bref. L'essentiel, c'est que ce soit bien le brancard, et le brancard seulement, qui attire l'attention. Passée la rampe d'escalier, pleins feux sur le brancard. Toi, maintenant, tu passes naturellement pour mort. Pour mort, tu passes crème, même. Et de mort naturelle. Ainsi, tu es tranquille. Enfin tranquille, enfin. Débarrassé enfin. Débarrassé de quoi ? De cette permanence noire qu'est la menace de mort. Ce sparadrap notoire. Tu ne seras plus obligé de raconter (la façon dont ça te collait, dont ça te poursuivait). Non, tu n'auras plus à te tordre. Maintenant que du point de vue de la mort te voilà mort. Mort aux yeux de la mort.
[Texte écrit dans le cadre de l’atelier de François Bon : construire la ville avec des mots #45 la nuit — cf. Je vous parlerai d”une autre nuit, Tiers Livre Éditeur]
2 notes · View notes
Text
Challenge d’écriture
“Ça commence à devenir ennuyeux”
“Hey, hey, du calme. Ils ne peuvent plus te faire de mal.”
“Tu ne peux pas juste rester assis.e là toute la journée.”
“Je suis trop sobre pour ça.”
“Je ne suis pas là pour me faire des amis.”
“J'ai besoin d'un endroit où me poser.”
“Eh bien, c'est dramatique”
“Tu es vraiment un grand enfant”
“Tu ne peux pas me bannir ! C'est mon lit aussi !”
“Les femmes aiment les hommes qui sont doués avec les enfants.”
“Cher Journal,…”
“Elle se cache derrière le canapé.”
“J'ai perdu notre bébé.”
“Ils sont si mignons quand ils dorment.”
“Je tuerai pour un café… littéralement.”
“Tu mets des miettes partout dans mon lit !”
“Bonne chose que je n'ai pas demandé ton opinion.”
“Qu'est-ce qu'il y a, mon cœur ?”
“Tu es Satan.”
“Je ne veux pas entendre tes excuses. Tu ne peux pas juste m'offrir des bottes de pluie.”
“Je suis pare-balles… mais s'il-vous-plaît, ne me tirez pas dessus.”
“Est-ce que tu viens juste de me siffler ?”
“As-tu vraiment besoin de tous ces bonbons ?”
“Il est six heures du matins, tu n'auras pas de vodka.”
“Je le jure, je ne suis pas fou/folle !”
“Le diamant sur ton alliance est faux.”
“Non. Des regrets.”
“À quel point étais-je bourré.e ?”
“Comment ça ma femme déchire plus que moi ?”
“Sois toi-même. Personne d'autre ne le peut.”
“Je n'ai pas dormi depuis une éternité !”
“J'ai enfermé les clés dans la voiture.”
“Es-tu sûr.e que c'est la décision que tu veux prendre ?”
“Tu travailles pour moi. Tu es mon esclave.”
“Prends tes médicaments.”
“Ce sont des monstres.”
“Bienvenue dans le monde des pères !”
“Pourquoi ne pouvez-vous pas apprécier mon sens de l'humour ?”
“C'est ton tour de faire le dîner.”
“Les enfants, ils m'ont tendu une embuscade.”
“Désolé.e ne t'aidera pas quand je te botterai le cul !!!”
“Arrête d'être aussi chou !”
“J'ai l'impression de ne pas pouvoir respirer”
“Tu as besoin de voir un docteur.”
“Tu vas avoir une vasectomie. C'est définitif.”
“C'était une blague, bébé. Je te le promets.”
“Les chiens ne portent pas de vêtements !”
“Je ne penses pas que tu puisses devenir encore moins romantique…”
“La sécurité en premier. Combien vous êtes ? CINQ ?!”
“C'est une discussion de filles, donc pars.”
“Ce que je deviens ? Fou/Folle. Tu veux m'accompagner ? ”
“C'en est un troupeau !”
“Est-ce que tu penses que j'ai peur des femmes ?”
“Ce ne sont pas tes enfants. Recule.”
“Tu es un.e nerd !”
“Je suis en retard.”
“Rentre chez toi aussi vite que possible, OK ?!”
“Tu pues le chien mouillé”
“Je pourrais te frapper dans l'instant”
“Vas-tu me parler ?”
“Bon retour. Maintenant est-ce que tu comptes m'aider ?”
“Si tu ne peux pas dormir… on pourrait faire l'amour/coucher ?”
“Les marchés aux puces n'ont pas de puces, tu sais ?”
“Là, prends ma couverture”
“Je ne veux pas que tu t'arrêtes.”
“Comment pourrais-je jamais t'oublier ?”
“Tu perds ton sang sur mon tapis.”
“Fonce !”
“Il faut qu'on parle.”
“Tout le monde n'est pas là pour toi. Arrête de penser ça. C'est ennuyant.”
“Je veux un animal de compagnie.”
“Souris, juste. J'ai vraiment besoin de te voir sourire maintenant.”
“Je ne porte pas de robe.”
“Je ne porte pas cravate.”
“Arrête de me battre.”
“S'il-te-plait, éloigne ton pénis”
“C'est un truc du Texas”
“Ne discute pas. Fais-le.”
“J'espère n'être jamais coincé.e avec toi sur une île déserte.”
“Est-ce qu'il sait pour le bébé ?”
“Tiens bon”
“Je viens de repasser ces pantalons !”
“Assez de ce culot !”
“Montre-moi ce que tu as dans le dos.”
“Je ne serai pas sympa tant que tu ne seras pas allé.e voir le docteur.”
“Bien, ne dis rien et laisse-moi m'inquiéter.”
“Reste éveillé.”
“ARRÊTEZ DE M'INTERROMPRE”
“Tu n'es pas intéressé, hein ?”
“Je n'achèterai plus jamais de meuble IKEA.”
“Dis-moi que tu as besoin de moi.”
“Oh chéri.e, je ne serai jamais jaloux.se de toi.”
“Je te le dis. Je suis hanté.e.”
“J'ai encore fait un cauchemar.”
“Est-ce que j'ai dit que je détestais Halloween ?”
“C'est Noël, ne sois pas en colère contre moi.”
“Tu ne vas pas t'affamer lors de Thanksgiving.”
“Le magasin n'a plus d'œufs de Pâques.”
“Comment as-tu pu oublier l'anniversaire de ton fils ?”
“Souffres de mes pleurs jusqu'à ce que tu te lèves et me fasses un sandwich !”
Tu reblogues, tes abonnés t’envoient des nombres dans tes asks, puis à toi d’écrire une petite fiction en plaçant la réplique !
47 notes · View notes
fallenrazziel · 5 years
Text
Les Chroniques de Livaï #455 ~ L'EAU QUI MENE A LA MER (février 846) Rico Bretzenska
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
Tumblr media
Bon, j'en ai assez d'attendre à ne rien faire. Et si je montais sur le Mur pour voir notre élite à l'oeuvre ?
Je me lève de ma chaise où je me tournais les pouces et vais chercher une longue-vue dans la caserne. Puis je sors, l'air de rien, en espérant que le capitaine n'est pas dans les parages. Je tombe sur Ian de retour de patrouille et l'informe que je me rends sur le Mur pour voir les explorateurs. Il se propose de m'accompagner, histoire de se payer un bon divertissement avant de rentrer chez lui. Tu as déjà fini ta journée ? J'en ai encore pour un bon moment, moi. Quel ennui quand il n'y a rien à faire.
Il me connaît depuis longtemps, il sait que je ne suis pas du genre à déserter. Mais la tentation est trop forte... Nous nous câblons ensemble sur le Mur Rose, et montons en rappel, comme aux beaux jours de notre entraînement. J'arrive avant lui, ma petite taille étant un avantage. Je constate qu'il y a déjà un attroupement vers la zone sud-est du Mur ; c'est à croire que personne ne bosse par ici...
Nous rejoignons le groupe de gardes occupés à plisser les yeux ou à reluquer à travers des lunettes, et je sors la mienne. Je fais le point et ne tarde pas à me fixer sur la petite légion de soldats en bas, à environ deux ou trois kilomètres. C'est un peu confus pendant un moment, mais quelques minutes plus tard, je réussis enfin à situer tout ce beau monde.
Je repère d'abord le major Erwin au sommet de la tour qui borde le fleuve. Il regarde attentivement tout ce qui se passe autour de lui, donne des ordres à des explorateurs qui vont et viennent comme des pigeons au colombier. Il semble capable de s'adapter à toutes les situations, cet homme-là. Je ne l'ai jamais rencontré en personne, mais le commandant Pixis affirme que c'est un ambitieux qui a des moyens certains... Quoi que cela veuille dire...
Je baisse ma lunette et me focalise sur une autre silhouette en contrebas de la tour, qui gesticule et fait des grands gestes exaspérés. Cette personne a la charge des étranges machines dont ils se servent pour capturer des titans. Apparemment, ça marche plutôt bien, je vois pas pourquoi il s'énerve... Il ou elle, je sais pas. Une autre prise de cinq mètres se fait piéger et le grand corps boursouflé se fait traîner dans l'eau, où il surnage quelques instants avant de disparaître. Mais vraiment, à quoi ils jouent ?
Je me fais durement bousculer et la longue-vue vient percuter mes lunettes. Pendant que je les remets en place, je me rends compte que c'est Mitabi qui m'est rentré dedans. Tu pourrais faire attention, les lunettes, c'est cher. Je ne savais pas que tu étais déjà là. Tu les observes depuis combien de temps ? Il me révèle qu'il est là depuis environ une heure déjà et qu'il ne comprend toujours pas où les explorateurs veulent en venir. C'est pas tous les jours qu'on peut les observer au boulot, hein ? Alors ne boude pas ton plaisir.
Je le pousse de mon chemin et recolle mon oeil à la longue-vue. Un grand gabarit a décidé de s'en prendre aux soldats au sol et fonce sur la tour dans le but évident de la détruire. Je vise rapidement le major Erwin, qui a déjà les mains sur ses gâchettes afin de s'enfuir en urgence, mais le titan se fait intercepter avant, à seulement quelques mètres de la muraille. Une petite silhouette énergique, à peine visible, virevolte autour de sa nuque et le monstre s'abat sur le côté, évitant de peu la collision avec la tour.
Je scrute intensément ce nouveau personnage et ne tarde pas à deviner de qui il s'agit. Il s'est posé sur un des créneaux et semble discuter avec le major. Je ne peux bien sûr pas entendre ce qu'ils se disent mais apparemment, le caporal Livaï - car c'est bien lui - n'a pas l'air content de ce qui est arrivé. Erwin lui indique l'est et le petit homme s'éclipse au plus vite sans demander son reste. Je le suis dans ses déplacements en vol et le voit atterrir sur une maison où se trouve un autre soldat. Je devine qu'il le sermonne vertement, puis se déplace à nouveau afin de revenir à son poste. Il désenclenche ses lames inutilisables et en arme d'autres, dans l'attente de la prochaine vague.
Voici donc l'escouade d'opérations tactiques. On m'en a parlé comme de la fine fleur de l'armée, mais apparemment, ils ne sont pas infaillibles ; ce titan a réussi à leur échapper et c'est leur chef qui a dû s'en occuper. Si cela avait été moi, je me serais montrée plus sévère. Après tout, le major a failli se faire coincer.
Ian me demande la longue-vue et je la lui passe. Je reste debout au bord du parapet, plissant les yeux pour tenter de voir au loin. Ce Livaï est intriguant. Il n'en impose pas par son physique mais il est soi-disant plus fort qu'une brigade entière. Si on continue de se moquer de ma taille, je pourrais toujours faire valoir cet argument.
Ian s'exclame, l'oeil collé à la lentille, qu'il est si rapide qu'on arrive à peine à le voir. Tu parles de lui ? Oui, je dois dire, c'est assez impressionnant. Je suppose qu'on ne peut guère espérer atteindre un tel niveau, toi et moi. Mais je me demande d'où il sort... Il aurait un passé trouble si j'en crois les rumeurs, mais à part ça...
Mitabi revient vers nous et se demande à voix haute pourquoi ils risquent leurs vie exactement. Je t'avoue que cette expédition me laisse perplexe mais Smith n'est pas un idiot ; il a la réputation de préparer ses coups longtemps à l'avance. Ils veulent peut-être juste nous en mettre plein la vue, nous montrer comment ils gèrent ses monstres. On dit partout qu'ils sont vantards après tout...
Ian, de nouveau collé à la longue-vue, affirme qu'ils ont les moyens de se vanter. Ce Livaï tombe les titans par dizaines depuis quelques minutes. Ecoute, chacun son travail, d'accord ? Notre travail c'est de veiller sur la sécurité des citoyens. Le jour où on devra affronter des titans... Mitabi toussote poliment sans rien dire de plus et je le regarde à la dérobée.
Tu as raison, nous l'avons déjà fait ce jour-là, ce jour funeste... J'espère juste ne plus être obligée de le faire...
6 notes · View notes
shanomiko · 6 years
Text
9月2日2018年 16:16
Cinq jours déjà ? Le temps a filé à une vitesse... À part hier, il ne s’est pas passé grand chose de notable. J’ai fait mes tâches quotidiennes, mercredi j’étais censée aller au Meeting mais d’énormes brûlures d’estomac m’en ont empêchée. Il a fait une chaleur intense les autres jours, je suis allée prier régulièrement au Sanctuaire Sueno et j’ai beaucoup, beaucoup réfléchi à une stratégie pour la suite des événements. Je suis stratège, alors pour moi, il est hors de question que je fonce sans prendre en considération tous les éléments. Mais si quand mon cœur me dit d’y aller ben je fonce. Un équilibre entre la réflexion et le cœur.
Mais de manière générale, je me suis sentie un peu vide émotionnellement parlant, épuisée, cassée. Dans une moindre mesure, j’ai fait un peu de Rôle Play avec des amis car j’avais besoin de me détendre sur quelque chose. Oui, j’avais pourtant dit que je ne voulais plus faire de RP et surtout pas pendant le voyage mais que voulez-vous ? La fatigue mentale m’empêchait de me concentrer pleinement.
Voici tout de même quelques photos prises lors de la semaine.
Tumblr media Tumblr media
Les offrandes du Kamidana : D’abord le riz, puis le Sel et enfin l’eau.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Principalement des photos de ce qui entoure la maison pour alimenter le Facebook du Ermot en fait.
Tumblr media
Hier, je suis sortie tard de ma chambre comme depuis le début de la semaine, j’ai fait à manger des œufs au plat avec des condiments à Okonomiyaki, c’était parfait. Ensuite, avec Akiko et Tetchan, on a prit la voiture et on est allés en forêt chercher des pierres de puissance. (Cristal, Jade ou autre type de pierre que l’on peut trouver dans certains sanctuaires et qui peuvent être polis pour faire une pierre Magamata.) J’ai même bu de l’eau directement dans la rivière... Que c’était bon !
En montant nous nous sommes arrêtés au sanctuaire Ubamiya et cette fois-ci... J’ai pu voir la vraie résidence du Kami de ces lieux. Si les deux autres fois où je suis venue je le trouvais timide c’est parcequ’il était en fait derrière le sanctuaire. Un énorme rocher qui vibrait de puissance, quelque chose d’impressionnant pour peu qu’on y soit sensible.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Puis nous sommes allés au sanctuaire Kamayama, vous devez commencer à être habitués à ce nom n’est-ce-pas ? Contrairement à la dernière fois de nuit et en pleine tempête, j’ai à nouveau pu ressentir la puissance du Kami de ces lieux et ai prié pour continuer à rester propre, éclatante, droite et juste. Mais aussi continuer de veiller sur mes amis et m’aider à accomplir mon objectif et trouver des solutions dans mon cœur.
Après cela, nous sommes montés sur le sentier par lequel j’étais arrivée de nuit, j’ai un peu mieux compris le sens du croisement cette fois. Il y a une troisième route menant directement à Yamato Mizu, une cascade et source de ces lieux, je veux vraiment y aller mais le sol était trop humide et c’était dangereux, une autre fois... Grmbl. Nous avons ramassé de beaux cristaux cette fois. Je les conserverai précieusement.
Tumblr media
Nous sommes ensuite allés dans un musée d’histoire naturelle de la région de Saitama, en sortant de la voiture j’ai pu constater que les Momiji commençaient à rougir ! J’ai hâte de voir ce spectacle, les Higanbana aussi ! C’est ma fleur préférée !
Tumblr media Tumblr media
Seules Akiko et moi sommes entrées dans le musée, Tetchan est resté dehors et est allé dans la voiture. C’était vraiment chouette, on a fait un Quizz. Alors bon je vous cacherai pas que j’ai pris la difficulté enfant hein parce que je suis une enfant après tout, j’arrivais à peine à lire les Kanas et comprendre ce qui était écrit. Cela dit, on a fait un superbe travail d’équipe car Akiko galérait à se repérer sur le plan mais moi non. Donc je cherchais les endroit et Akiko cherchait les infos. Il y avait des enfants partout c’était mignon...
Nous sommes ensuite allés manger dans un restaurant à Konyaku. Alors... Je sais pas vraiment ce que c’était. Mais en soi c’était pas si mauvais, je n’ai juste pas spécialement aimé la texture, tous les aliments étaient gélatineux. Brlblblbl...
Ensuite, j’ai eu la frousse de ma vie.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Le sanctuaire Hodosan, Akiko m’avait dit que des amies à elle lui parlaient de cet endroit, comme quoi il y avait des Miko. Mon cœur ne pouvait pas s’arrêter de battre. Je me suis lavé les mains, la bouche, suis montée à l’autel, ai tourné la tête et pour la première fois j’ai vu des Miko en tenue qui tenaient l’échoppe. La peur et l’angoisse m’ont envahie alors je suis allée prier.
Le Kannushi faisait une cérémonie alors comme je ne voulais pas déranger je n’ai pas tapé dans les mains fort. L’ennui c’est que la peur m’a empêché de ressentir quoi que ce soi. Je me suis connectée avec ce sanctuaire mais moins intensément que d’habitude. Après bon, le Kami ici est Amaterasu-sama, je suis déjà connectée à elle depuis très très longtemps donc...
Ensuite j’ai pris une profonde inspiration et j’ai fait le pas. Je les voyais qui gloussaient au loin en me voyant, ravie de voir une tête différente, une étrangère en somme. Je les ai saluées, les mots ne sortaient pas, mon regard était fuyant, j’étais honteuse et en panique mais elles semblaient tout aussi timides que moi. En un sens je me suis dit “Tiens ? C’est amusant c’est pas l’image que l’on m’a dépeint des Miko depuis que je suis ici, trop... Expressives ? Face au clients je voyais leurs dents...” Bah, comme je l’avais dit quelques articles plus loin, cela dépend du sanctuaire me suis-je dit et puis c’est pas parce qu’on est Miko qu’on est pas humaine quoi.
Tumblr media Tumblr media
Le petit omamori blanc que j’ai acheté est un omamori de purification, son tintement est très joli je vais y faire attention, il représente l’eau qui soigne et purifie. C’est très important dans le Shintô.
Nous sommes redescendus vers le parking, mon cœur battait à 200 à l’heure, quelle frousse ! Puis on nous a invités à prendre le thé (The Pure Mansion si vous regardez sur la map plus haut.) J’ai pu parler aux gens, Akiko leur a dit que je veux devenir Miko. Il trouvaient cela génial et nous on conseillé d’aller au plus vite au bureau du sanctuaire. (Shrine office)
Mon cœur s’est remis à battre mais j’ai gardé ma posture et ma détermination de Miko. Je me suis inclinée à la perfection et mise en seiza comme il faut aussi. Le thé était très bon, les bonbons aussi et j’ai reçu une toupie ainsi que des Shuriken en papier.
Ensuite on est sortis, nous avons fait le tour d’un joli petit lac et sommes montés à ce bureau. Akiko a parlé pour moi car j’étais tétanisée. Je n’ai pas tout compris sur le moment alors je me suis inclinée avec respect et Akiko m’a expliqué qu’ils n’engageaient pas de vraies Miko ici, c’était que de l’apparat, du cosplay et si ça se trouve j’était bien plus Miko qu’elles.
Je compris et ne fût pas spécialement déçue pour autant. Non, j’était même plutôt soulagée pour être honnête. Je sais pas vraiment pourquoi. Puis nous sommes rentrés et j’ai mangé avec Akiko (Tetchan s’était barré je ne sais où et n’est pas rentré ce soir-là) et mes émotions ont commencé à me travailler sévèrement après le repas je me suis excusée et me suis éclipsée en vitesse dans la chambre, je me suis effondrée, en larmes en proie à une crise de chagrin et une peine immense.
Oui, sans trop que je sache pourquoi ces dernier temps, mon horloge biologique s’est mise en marche, mon instinct maternel s’est éveillé. Je veux porter un enfant, donner la vie et traverser toutes les épreuves que cela implique. Je veux tenir la chair de ma chair entre mes bras, lui sourire, sentir son odeur, l’éduquer, le voir grandir.
Mais. Cet espoir là a été brisé en mille morceau à ma naissance, j’ai fait des choix dans ma vie pour enfin être la personne que je suis aujourd’hui, mais ça, c’était impossible et ce depuis le début, impossible. Je ne pourrai jamais porter, jamais. Je pourrai adopter, oui et je le ferai le moment venu mais ce n’est pas la raison de mon deuil et de mon chagrin. Deuil que je pensais pourtant avoir déjà fait. Mais cela fera l’objet d’une autre histoire que certains d’entre vous connaissent déjà.
Ces temps dans le Rôle Play, je suis mère et j’ai accouché d’une petite fille. En un sens c’est thérapeutique et ça me fait du bien à défaut de pouvoir le faire pour de vrai... Ho j’ai conscience que je ne suis pas la première ni a dernière femme dans ce cas. Ces dernière comprendrons je pense, mieux que quiconque. Mais je remercie mes amis de m’avoir soutenue à ce moment là une fois de plus.
Ce matin, ça allait mieux, je me suis encore levée tard mais j’ai trouvé une lettre d’Akiko qui m’expliquait les horaires d’une journée ordinaire pour une Miko. Elle me disait que je pouvais déjà commencer ici au Ermot, aller l’après-midi visiter des sanctuaires ou bosser mon japonais. Elle m’a dit que, faire cela changera mon comportement et celui de ceux qui m’entourent et ainsi, Kami-sama m’ouvrira ses portes.
Soit, demain, dès demain je m’y met et ce tous les jours. Je me lèverai tôt et travaillerai dur. Je ne pense pas aller à Kyoto pour une longue durée cette fois-ci. Ho je prendrai sans doute 10 jours de vacances pour aller au Tarocafé et visiter pleeeein de sanctuaire, 200 CHF pour les 10 jours quoi. J’irai sans doute dans 2 semaines car je me dis, le hasard des rencontres vous savez ? Si il y a une chance aussi infime soit-elle je dois la saisir. Mais mon budget reste serré et si je rentre j’aurai besoin de sous aussi.
Sans cela je reviendrai au Ermot et continuerai à réviser le japonais, puis je reviendrai en Suisse, bosserai encore plus fort l’apprentissage de la langue et trouverai un boulot, n’importe quoi je m’en fout. Je veux revenir c’est plus fort que moi. J’ai réalisé que les mots me manquent à cause de mon faible niveau alors je dois m’améliorer, me perfectionner. 
J’ai réalisé aussi que, mon manque d’argent, le champ de bataille qu’a été ma vie jusque là, avec ses hauts et ses bas. Le fait que j’ai toujours avancé avec détermination et espoir, sans jamais sombrer. Et bien cela a créé un chemin chaotique qui me force à devoir lutter plus fort pour arriver à mes objectifs. Je n’ai pas eu le privilège de pouvoir poursuivre mes études tranquillement avec l’esprit au calme ni celui d’avoir des financements où un soutien parental poussé disons. Là encore je ne suis pas la seule dans ce cas et je ne blâme personne. Je me suis toujours débrouillée, seule d’abord puis j’ai fait des rencontres, des amis, des amis merveilleux, ils sont devenus ma famille mes piliers mes soutiens. Vous êtes si chers à mon cœur ho si vous saviez... 
Je ne montre pas toujours mes sentiments profonds car j’avais l’habitude de mettre de puissantes barrières à l’époque mais ça va, ça s’arrange avec le temps et je deviens enfin de plus en plus moi-même, véritablement moi-même.
Mais je vous rassure, au niveau de ma famille tout s’est arrangé même si il aura fallut du temps, maintenant je suis en paix et plus heureuse que jamais. Et j’affronterai cette difficulté de parcours la tête haute, comme je l’ai toujours fait ! Car c’est pas ça qui va m’arrêter hé hé.  ☆ ~('▽^人)  
J’ai un peu discuté de cette histoire de maternité avec Akiko tout à l’heure, elle m’a répondu en pleurant qu’elle aussi n’avait pas pris le temps, qu’elle était seule et constamment occupée. Alors je l’ai prise dans mes bras et nous avons discuté un peu. C’est bon d’être soutenue. Akiko est vraiment une personne merveilleuse. Je lui ai dit que en un sens, nous, les wwoofers sommes un peu comme ses enfants.
Aller, portez-vous bien, je vous aime !
2 notes · View notes