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fashionbooksmilano · 10 months
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René Gruau L'art de la publicité The Art of Advertising
Réjane Bargiel, Sylvie Nissen
Le Cherche Midi, Paris 1999, 128 pages, 23x28cm, English/French, ISBN 9782862746951
euro 90,00
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Un G surmonté d'une étoile, griffe d'innombrables images appartenant à la mémoire collective. Des lèvres spirituelles qui attendent le baiser, des jambes sublimes jaillissant d'un nuage de plumes, des bras qui se tendent vers vous, des yeux splendidement expressifs qui plongent dans les vôtres. Voilà autant d'images emblématiques et célébrissimes de Gruau, affichiste et illustrateur qui constituent des repères incontournables de l'art publicitaire du XXe siècle. Autodidacte, nourri d'une culture classique et graphique à travers les travaux des grands peintres et illustrateurs du XIXe siècle, il a créé un style. Admirable synthèse graphique, son trait épuré parent de la calligraphie extrême-orientale, le chic de ses femmes mutines, toujours en mouvement symbolisent internationalement l'élégance. Depuis 1947, il imagine la publicité des parfums Dior, réinvente depuis plus de 30 ans l'affiche de music-hall pour le Bal du Moulin Rouge et le Lido. A 90 ans, René Gruau, très actif professionnellement symbolise à la fois l'héritage de l'art graphique et publicitaire du XIXe siècle et la modernité de la fin du XXe siècle. Gruau's trademark, the letter G crowned with a star, bas become a part of our collective memory. It has marked many memorable images: a spiritual set of lips just waiting to be kissed, a sublime pair of legs emerging from a cloud of feathers, arms that stretch out invitingly, splendidly expressive eyes like bottomless pools. Gruau's famous, emblematic images are at the core of twentieth-century advertising art. An autodidact thoroughly familiar with classical painting and graphic art, Gruau drew on the work of the great artists and illustrators of the nineteenth century in order to create his own unique style. In short, his work represents an admirable graphic synthesis. The purity of his line recalls Oriental calligraphy, while his chic, saucy women, always in motion, are an international symbol of elegance. He has been the creative force behind Dior perfume ads since 1947. For over 50 years he has reinvented the dancehall poster for the Moulin Rouge and the Lido. Still a working professional at 90 years old, Gruau symbolizes both the heritage of nineteenth-century modernism.
06/12/23
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sushisensei171197 · 2 months
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𝑵𝒆𝒖𝒗𝒊𝒍𝒍𝒆𝒕𝒕𝒆 | Valse
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*↷◌ Info:
||Personnage : Neuvillette ||Origine : Genshin Impact ||Nombre de mots : 2 600 ||Inspiration musicale : Gramophone waltz de Eugen Doga et C'est ça l'amour de Cendrillon ||Synopsis : [T/P] et Neuvillette sont des amis de longue date. Alors qu'un passe ses journées à son bureau, l'autre est une aventurière aguerrie qui ne rêve que de nouveaux paysages et de nouvelles contrées à explorer cachant en leur sein de nombreux contes et histoires. Mais que ce cache-t-il derrière ce visage toujours impassible? 
⁎↣♡↢⁎
     3 mois. 
     3 mois d'attente. 
     3 mois de silence. 
     3 mois était la duration du voyage de sa chère amie, [T/P]. 3 mois durant lesquelles Neuvillette ne pourrait avoir de nouvelle de cette dernière, ni du dérouler de ses péripéties. 3 long mois à exercer sa fonction de juge; L'iudex infaillible de Fontaine. À passer cas après cas, à analyser crime après crime, jour après jour. Il s'agit là de sa fonction et de son rôle au sein de la société fontainoise, alors pourquoi, pourquoi durant ces 3 mois la tâche lui paraissait plus longue et laborieuse, plus lente et ennuyeuse? Ne remplissait-il pas cette fonction depuis bientôt trop longtemps pour qu'un changement de sentiment face à sa position ne soit visible? 
     Pour un être de son envergure, 3 mois ne représentait qu'un bref instant, et pourtant, l'absence de sa chère amie lui était douloureuse. L'enthousiasme que son doux visage arborait lui manquait, ses récit interminables détaillant le moindre instant de ses péripéties lui manquait terriblement. Ce silence qui régnait autour de lui, attabler derrière son large bureau, devenait assourdissant et oppressant. N'entendre que le simple bruit des pages tourner et la plume de son stylo écrire lui rappelait constamment cette solitude qui le suivait à longueur de journée. 
     Voyant la grandissante solitude du juge, son entourage le convia à plusieurs reprise à des après-midi thé où le but étant de le faire sortir de cette macabre solitude qui couvrait son visage et ternissait ses traits. Mais ce dernier rejetait l'invitation prétextant qu'un homme de la justice tel que lui ne pouvait laisser son jugement être influencer par quelconque activité futile. Et cette après-midi encore, Neuvillette avait décider de ce retirer afin de rester seul derrière sa paperasse administrative. 
     Néanmoins, il pouvait peut-être réussir à convaincre son entourage, lui-même était conscient que cette excuse était plutôt un bien nécessaire quant à cacher cette mélancholie et inquiétude qu'il ne cessait de nourrir à l'égard de son amie [T/P], partie bien trop longtemps en voyage. Et  aujourd'hui encore, son esprit ne pouvait se concentrer correctement, divaguant constamment. 
     Assis derrière son bureau, Neuvillette poussa un soupir, voyant très clairement qu'il n'arriverait pas à terminer le dossier sur son bureau. Fermant les yeux, il soupirant de nouveau, se leva et se plaça face à la grande fenêtre derrière son large pupitre. Dehors, le ciel était gris et nuageux, annonçant très certainement une pluie prochaine. Le fait de savoir que le temps se joignait à ses complaintes silencieuses le fit sourire tristement. Le vide qu'installait votre absence le rongeait de l'intérieur. Pour personne auparavant n'avait-il eu de telles pensées ou sentiments, ce qui les rendaient d'autant plus proéminant et de plus en plus difficile à contenir à votre égard, mais il le devait. Son jugement ce devait de rester neutre et impassible face à toute éventualité; la justice n'admettait point les sentiments humains. Et pourtant, il ne pouvait nier cette tendresse qui grandissait en lui envers votre personne. Il pouvait tant bien que mal essayer de se convaincre qu'il n'en était rien, son cœur en avait décidé autrement. 
     Ses yeux violets parcoururent la cité qui se dévoilait sous lui, ombrager par les nuages. Observant le quotidien des fontainois comme il en avait pris l'habitue récemment, un sentiment de mélancholie l'envahit alors, assombrissant ses yeux. Cette tendresse qu'il éprouvait devait-elle rester interdite de tous? Devait-il se taire et garder à tout jamais ce doux penchant pour vous sceller de ses lèvres? Mais, cette option lui paraissait douloureuse, mais le prix d'avouer son doux pêché lui laisserait probablement un goût d'amertume en bouche. Pour rien au monde il voulait se résoudre à s'éloigner de votre tendre personne. 
« Ma chère amie, voyez dans quel état vous me rendez à disparaitre durant 3 mois. Moi qui ne doit être qu'impassible, me voilà à laisser mon cœur dicter mes actes vous concernant. » 
     Il soupira de nouveau, décidemment, votre absence le tracassait plus qu'il ne voulait l'admettre. De sa main gauche, à l'aide de l'élément hydro, il représenta dans le creux de sa main une petite statue de vous, le sourire aux lèvres. Il regarda avec amour et bienveillance cette représentation de vous, avant de ne refermer sa main dans un point, faisant disparaître cette petite illusion de vous. Neuvillette ne savait pas s'il pourrait garder ce fardeau plus longtemps avant qu'il n'en devienne fou. 
« Ma tendre [T/P], à tournoyer dans mes pensées, vous aller me faire perdre l'équilibre. »
     Neuvillette murmura cette dernière parole avant de ce décider à revenir derrière son bureau, se remettant au travail. 
     Alors qu'il approchait de la fin de son dossier, il put entendre les pas décisifs d'une personne se dirigeant vers son bureau. Cela l'ennuyait légèrement, lui qui avait spécifier au garde qui se trouvait de l'autre côté de la porte de ne laisser entrer personne, à part en cas d'extrême urgence. De ce fait, il espérait ne pas être déranger. Seulement, un léger vacarme se fit entendre de l'autre côté de la porte et les voix montèrent en puissance. Depuis son pupitre, Neuvillette ne pouvait que distinguer des bribe de conversation ça et là sans trop comprendre la raison de ce qui semblait être une dispute. L'irritation monta tranquillement lorsque soudain, la porte s'ouvrit brusquement avant de ne se refermer dans un même vacarme sonore. Levant les yeux afin de savoir de qui il s'agissait, son cœur se serra automatiquement à la vue de sa tendre amie [T/P]. Il aurait voulu se lever afin de pouvoir vous serrer dans ses bras, mais le simple fait d'enfin revoir ce visage au trait si familier le rassura tout autan, faisant disparaître cette inquiétude qui le rongeait depuis trop longtemps. 
PDV [T/P]:
« Quelle tête de mule celui-là! Plus têtu serait difficile à trouver, franchement! AH, Neuvillette, mon cher ami, comme vous m'avez manquer durant ce voyage! Mais ne vous inquiété pas, cette petite aventure est riche en rebondissement, vous ne serez pas déçu!  »
- Je suis ravi d'apprendre que votre voyage c'est bien passé ma chère amie.  »
Neuvillette répondit tout en gardant les yeux rivés sur ses dossiers, ne m'adressant que de très bref regards ça et là. 
- Et vous toujours impassible à ce que je vois. Mon cher ami, à quand aurons-nous droit à un sourire de votre part? C'est à croire si les rumeur ne disent pas juste à votre sujet mon ami. dis-je en m'appuyant contre son bureau, lui tournant le dos. 
- Et que disent les rumeurs à mon sujets? 
- Aaaaahhh, soupirais-je, si vous saviez le nombre de petits ragots que l'on raconte sur votre personne afin d'animer nos petits après-midi thé, vous n'en reviendriez pas. Les gens se demandent même parfois si vous êtes bien un humain tant vos émotions sont indéchiffrables! Même moi qui vous connaît depuis maintenant assez longtemps, j'ai toujours un certain mal à vous cerner mon ami. Mais, je dois admettre que cela fait partie de votre charme. 
- Hmmm, et bien soit, si ces divers récits amusent les gens, alors il en est ainsi. répondit-il, le nez toujours plongé dans ses documents. 
- N'y a-t-il donc rien qui ne puisse ébranler cette impassible et stoïque façade qu'est la votre, monsieur Neuvillette? »
     En posant cette question, le ton de ma voix se fit plus doux et curieux, presque taquin. Me retournant pour maintenant lui faire face, je remarquai qu'il fit une pause, d'un bref instant, certes, mais assez visible pour casser la fluidité de ses mouvements. Cette question l'avait-elle déstabilisé? Et ce pourquoi? 
     De son côté, le cœur de Neuvillette se serra, ne connaissant que trop  bien la réponse à cette question. Toutefois, il préféra rester interdit, de peur qu'émettre une réponse ne révèle son amour interdit. 
     Face à lui, son regard toujours plongé dans ses écrits, je pris un instant pour observer son visage. Ses cheveux blancs parsemés de teintes bleu, ce visage composée de traits fins, et pourtant, prononcés, arborant une certaine austérité. Cette peau blanche comme de la porcelaine, ses yeux couleur améthyste qui vous dévisageait aux moindre regard. Je pourrais m'y noyer si je m'aventurais à y plonger mon regard trop longtemps. Et puis, il y avait cette bouche. Ah, le nombre de fois où mon esprit s'était égarer à imaginer la baiser tendrement! Hélas, je ne pouvais souhaiter une telle chose, un soupir s'échappant de ma bouche face à cette triste réalité qu'est la mienne. Aurais-je un jour le droit de lui avouer mon doux amour?
     Ne voulant continuer à ruminer ces pensées noires, je décidais qu'il s'agissait du bon moment pour me changer les idées. Je m'éloignais du bureau afin d'aller chercher dans mon sac un objet que j'avais trouver lors de mon voyage. Je sortis la pochette d'un vieux vinyle dont le titre avait complètement disparu, ne donnant aucun indication sur le contenu de ce dernier. 
« Neuvillette, regardez donc ce que j'ai trouvé lors de mon voyage: un vieux vinyle! Voudriez-vous bien en découvrir son contenu avec moi? » 
     Alors que je sortais le vinyle afin de le placer sur la platine du gramophone, je lançais quelques regards en direction de mon ami qui, à mon désarroi, n'avait pas bouger d'un poil ni énoncer une quelconque réponse. Plaçant la pointe sur le bord du vinyle, la mélodie commença alors à raisonner à travers toute la pièce. L'air y était doux et calme, comme un secret que l'on vous murmure à l'oreille à l'abris des regards. D'un pas léger, je me dirigeais vers Neuvillette, m'imprégnant du rythme de la valse que jouait le gramophone. Puis, me plaçant à son côté, je fis une révérence, lui présentant ma main droite, plongeant mes yeux dans les siens. 
« Me ferriez-vous le plaisir de m'accorder cette danse, Monsieur Neuvillette? » 
     Je pus voir le bout de ses oreilles se teinter très légèrement d'un rose pâle avant d'acquiescer à ma requête, se levant avant de ne prendre ma main dans la sienne. Puis, d'un geste vif et remplis de délicatesse, il nous rapprocha à l'aide de son autre main, la posant ainsi délicatement dans mon dos. J'eus le souffle coupé l'espace d'un bref instant face à cette prise de risque soudaine, non pas que cela puisse me déplaire. Ensuite, c'est les corps collés l'un contre l'autre que Neuvillette se mit à mener la valse, suivant le rythme lent de la musique. 
     Pendant ce moment d'intimité, mon cœur battait la chamade contre ma poitrine, et mes joues arboraient probablement désormais une teinte rosée. Nous ne nous quittions pas du regards, oubliant complètement l'environnement qui se trouvait autour de nous. Seule la musique et le mouvement de nos corps était important, tout le reste pouvait bien disparaître. 
     Alors que je savourais cette valse, les traits de Neuvillette s'assombrirent, cachant une peine inconnu. Un sentiment désagréable s'empara alors de moi, une inquiétude, ou peut-être la sensation d'avoir compris, d'avoir enfin eu la réponse que je redoutais le plus. Mes émotions se chamboulèrent dans ma tête, et mon cœur se serra. Malgré cette proximité, j'avais l'impression qu'un gouffre se formait entre nous, une plaie ouverte qui ne se refermerait jamais. Mes pas se firent alors plus hésitants, douteux, ne sachant comment finir cette valse qui plus tôt, avait un goût sucré. 
     Alors que la valse touchait à sa fin, je me retrouvais appuyé dos à son bureau, la respiration légèrement saccadée. Le visage de Neuvillette, à peine à quelques centimètres du mien, je pouvais sentir sa respiration lente et chaude sur mon visage. Le silence avait repris sa place dans la pièce, ajoutant une certaine lourdeur à l'atmosphère qui nos entourait. 
« Pourquoi cette mélancolie sur votre visage, Monsieur Neuvillette? dis-je dans un souffle. Le simple fait de murmurer ces quelques mots me plongeait dans une tristesse profonde, connaissant déjà le dénouement de cet amour interdit. 
- Car je porte un lourd secret. Un secret qui me ronge de l'intérieur tel une gangrène qu'il faut arracher. Hélas, je n'ai pas la force de le faire moi-même, ayant peur des conséquences de cet acte. » 
     Sa voix était plus douce que d'habitude, à peine plus haute qu'un murmure. Elle paraissait assurée, et pourtant, elle était tremblotante et fébrile, remplis d'émotions poignante, lui qui d'ordinaire avait un timbre neutre. Cette humanité nouvelle dans sa voix me fit chavirer tel un bateau pris dans une tempête en haute mer. Je restais muette, ne pouvant émettre aucune parole de peur que ma tristesse ne se fasse entende. Était-ce la fin? La rupture d'une relation qui n'avait même pas eu la chance de fleurir au grand jour? Non, ce n'était pas possible, pas maintenant, pas après avoir partager un moment d'intimité tel que celui-là. 
     Sans m'en rendre compte, le vinyle avait déjà silencieusement entamé la prochaine piste qui avait été graver dessus. Un rythme lent et suave enveloppa alors doucement la pièce, la réchauffant par la même occasion. Pourquoi un tel changement d'ambiance, c'est comme si l'air autour de nous se soumettait aux complaintes de Neuvillette. En effet, se dernier me regardait avec plus de tendresse et de pudeur que jamais, les joues rosées, comme un enfant embarrasser de dévoiler son petit secret. 
« Ma chère amie [T/P], pardonnez mon jugement hâtif, mais mon cœur ne serait en décider autrement. »
     À peine avait-il fini de prononcer cette phrase qu'il prit délicatement mon visage dans ses mains avant de ne poser ses lèvres contre les miennes dans un baiser rempli d'amour et de tendresse. Mes yeux se fermèrent automatiquement au contact, et je sentis une explosion d'émotion dans mon cœur, frémissant de bonheur. Les joues chaudes et le cœur battant, j'enlaçais Neuvillette de tout mon être. Le temps semblait s'être arrêté, et en cet instant, rien ne comptait plus que de sentir nos cœurs vibrer l'un contre l'autre et nos lèvres danser l'une contre l'autre. Puis, après de longues minutes, nous nous séparâmes à contre cœur, la respiration encore chaude et légèrement haletante de ce baiser passionnel. 
« Alors c'est ça, l'amour»
     Il murmura ces quelques mots qui lui étaient encore nouveaux, une excitation nouvelle brillait maintenant dans ses yeux violets. Il esquissa un léger sourire, ses yeux ne quittant jamais les miens. L'émotion nouvelle d'enfin pouvoir vivre cet amour me fit monter les larmes aux yeux, ne pouvant les retenir plus longtemps. Face à ce spectacle, nous ne pûmes nous empêcher de rire avec légèreté de la situation, soulager d'avoir enlever un poids de nos cœurs amoureux. 
« Je vous aime [T/P]. Voudriez-vous bien rester à mes côté encore quelques temps?
- J'avais peur que jamais vous ne me le demandiez. Moi aussi je vous aime Neuvillette. » 
𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓒'𝓮𝓼𝓽 𝓬̧𝓪 𝓵'𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻
𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓛𝓮 𝓰𝓻𝓪𝓷𝓭 𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻!
𝓛'𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻 𝓺𝓾𝓲 𝓯𝓪𝓲𝓽 𝓬𝓱𝓪𝓷𝓽𝓮𝓻 𝓵𝓪 𝓿𝓲𝓮. 𝓛𝓪̀ 𝓭𝓪𝓷𝓼 𝓽𝓮𝓼 𝓫𝓻𝓪𝓼, 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓙𝓮 𝓼𝓪𝓲𝓼 𝓭𝓮́𝓳𝓪̀... 𝓠𝓾𝓮 𝓶𝓸𝓷 𝓫𝓸𝓷𝓱𝓮𝓾𝓻 𝓮𝓼𝓽 𝓲𝓷𝓯𝓲𝓷𝓲!
𝓜𝓸𝓷 𝓬𝓸𝓮𝓾𝓻 𝓼'𝓪𝓯𝓯𝓸𝓵𝓮, 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶...
𝓔𝓽 𝓳𝓮 𝓶'𝓮𝓷𝓿𝓸𝓵𝓮.
𝓙𝓮 𝓭𝓪𝓷𝓼𝓮 𝓼𝓸𝓾𝓼 𝓾𝓷𝓮 𝓹𝓵𝓾𝓲𝓮 𝓭'𝓮̨𝓽𝓸𝓲𝓵𝓮. 𝓣𝓾 𝓮𝓼 𝓬𝓮 𝓺𝓾𝓮 𝓳'𝓪𝓽𝓽𝓮𝓷𝓭𝓪𝓲𝓼, 𝓣𝓾 𝓮𝓼 𝓶𝓸𝓷 𝓻𝓮̂𝓿𝓮 𝓯𝓸𝓾!
𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓒'𝓮𝓼𝓽 𝓬̧𝓪, 𝓵'𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻!
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nehemielemal-blog · 11 months
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Choisir le mutisme devient parfois l'unique moyen de répondre à un monde qui semble imperméable à la compréhension. C'est au fil de ces années, au gré des leçons que la vie m'a prodiguées, que j'ai saisi la nature du bonheur. Il ne se présente pas comme un don inné, mais plutôt comme un choix délibéré, exigeant des efforts constants, une observation attentive de soi-même et une éducation émotionnelle.
La rencontre fortuite avec S cet été demeure une pièce maîtresse de ce récit intérieur. Sur les conseils de Jenifer, j'ai osé sortir de ma zone de confort, bravant les limites que je m'étais imposées. C'était un pas vers l'inconnu, une danse fragile avec le destin. Pourtant, même dans cette quête de renouveau, les ombres du passé violent avec mon ex-fiancé ont persisté. Comme des spectres indomptables, ils se sont insinués dans mes choix, me confrontant à des reflets toxiques que je pensais avoir laissés derrière moi.
Face au chant des sirènes, j'ai choisi de résister, guidée par Dieu vers l'inconnu, malgré les peurs et les doutes qui persistent.
Les instants partagés avec S se dévoilent comme une toile complexe de sentiments ambivalents. Chaque sourire partagé évoque des pensées qui errent vers un autre, vers D. C'est un écho d'une connexion passée, une mélodie nostalgique qui persiste même dans les nouveaux chapitres de ma vie. Et pourtant, la peur persiste, se glissant silencieusement dans les interstices de mes émotions. Peur d'être réduite à un simple trophée, une conquête fugace dans le jeu des relations humaines. L'excitation initiale du défi se mêle à l'ombre du doute, formant un tableau complexe de craintes et de désirs.
C'est dans ce labyrinthe émotionnel que je m'interroge sur la nature de mon attachement à S. La peur de ne jamais être aimée véritablement, mais plutôt d'être une illusion, hante mes pensées. Est-ce un amour authentique ou simplement l'excitation éphémère d'un défi relevé ? Ces questionnements, tels des murmures insaisissables, ajoutent une tension palpable à chaque interaction, chaque regard échangé.
Dans cette traversée incertaine, la présence de Dieu devient mon guide. Une boussole spirituelle dans le brouillard des sentiments humains. Je choisis de me laisser guider sans savoir exactement où cette route me mènera. C'est un voyage vers l'inconnu, vers un horizon incertain, mais la certitude demeure que c'est la voie à suivre pour préserver mon intégrité émotionnelle, pour éviter de retomber dans le cercle de violence qui a marqué mon passé.
Chaque page de cette histoire reste ouverte, chaque ligne écrite avec une plume tremblante, reflétant les tourments intérieurs d'une âme en quête de vérité. Les cinq pages de ce récit ne sont qu'une étape dans ce voyage, une exploration continue de soi, de l'amour et de la foi. Et alors que l'histoire se dévoile lentement, je reste suspendue entre la peur du passé et l'espoir d'un avenir encore inconnu.
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recapqsmp · 1 year
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Dimanche 03/09 - Project yellow bird
Tubbo a fait la rencontre d'un cheval qui parle ! Avec Badboy, ils l'ont appelé "Bonnie", car il est squelettique. BadBoy et Bonnie sont aussi allé à la rencontre d'Antoine.
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https://clips.twitch.tv/GeniusHotArmadilloCurseLit-1QmZI0lT9uPXOmHn
IronMouse a reçu une visite de Cucurucho qui lui a donné une quête : Elle doit organiser un dîner avec autant de participants qu'elle le souhaite (mais au moins un oeuf et des habitants), en préparant entrée, plat, dessert, dans un lieu qu'elle devra choisir attentivement. Pendant le dîner, elle devra raconter une histoire à ses invités pour les divertir, et devra prendre 10 photos qu'elle mettra dans un album qu'elle remettra à Cucurucho. Si elle accomplit cette tâche, elle recevra 2 disques de musique de son choix, ainsi que 10 duck coins. Après avoir beaucoup réfléchis et hésité, elle a décidé d'accepter cette quête.
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https://clips.twitch.tv/LivelyRealPoultryPastaThat-W3yoZRm81A6gLSwB
Baghera a reçu un livre dans une shulker box noire dans son château, avec une tulipe orange, et des coordonnées menant à la gare, ainsi qu'un code à 6 chiffres : sa date de naissance. Là bas elle a trouvé un ascenseur, et en le prenant, elle est tombée sur une chambre d'enfant délabrée. Il y avait des dessins au mur, une télé, un canapé, une photo de la gare, un lit.. Baghera a trouvé bizarre que le sol était fait en bloc de perle et en améthyste, les deux blocs qu'elle préfère et voulait de la part de Cucurucho.
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Dans la chambre, il y avait aussi deux livres : Le premier contenait une liste dont la résidente des lieux "avait besoin". Le deuxième livre lui, contenait les mémoires d'une jeune fille ayant des plumes, subissant des expériences et des prises de sang par des gardiens violents. Ce livre était signé d'un nom : Baghera. Elle s'est assise devant les dessins de sa chambre d'enfance, et s'est faite expulser avec un message disant : "il n'y a pas d'échappatoire cette fois-ci."
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BadBoy et Pomme ont continué leurs aventures là où ils les ont laissé la dernière fois : dans le laboratoire de Dapper. BadBoy a lu les 22 pages d'un logbook laissé par Dapper, expliquant ce qu'il fait dans cet endroit : il essaie de créer une potion à partir de monstres apparaissant par un spawner de sa création. Pour créer ses potions, il doit donner de sa propre vie à ces monstres, comme une piqûre de moustique. Il a failli mourir plusieurs fois, mais il a réussi a récupérer plusieurs "coeurs d'âme". BadBoy a aussi remarqué une porte menant vers des sous-sols, d'où sortent des bruits de créatures, mais il a décidé de ne pas visiter tant qu'il n'en aura pas parlé à Dapper.
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aurevoirmonty · 7 months
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Autun. Automne 1908. Lucien Grandier, instituteur et père de famille sans histoires, est-il possédé ? Telle est l’épineuse question qu’il se propose d’étudier lui-même. Car deux démons contraires et batailleurs semblent avoir élu domicile dans sa boîte crânienne changée en tribunal infernal où s’entrechoquent les plus violents réquisitoires, les plaidoyers les plus enflammés. Armé de sa plume comme d’un scalpel, notre enquêteur se lance dans une manière de journal aux relents méphitiques dont il sera tour à tour le scripteur infatigable et le spectateur ébloui. Où il entreprend de disséquer ses ténèbres. D’inciser ses plus innommables secrets. D’exorciser, par l’écriture, cette étrange possession — afin de reprendre possession de soi-même. Commençons par apprendre aux enfants à ne pas penser —car la pensée est une maladie qui dévore l’homme : tel pourrait être le noir enseignement de ce carnet de maroquin rouge que Lucien l’invocateur confiera à sa femme juste avant de mourir. Sa dernière volonté ? Offrir à ses lecteurs accidentels le livre le plus tourmenté jamais écrit. Le plus inavouable. Peut-être aussi le plus universel. C’est à leurs risques et périls qu’ils en tourneront les pages venimeuses. Grimoire maléfique, odyssée psychologique, laboratoire littéraire, La Tour et la Plaine est avant tout le récit d’une traque : celle de nos instincts dévorateurs. Thomas Clavel, professeur de lettres, est l’auteur de trois romans, Un traître mot, Hôtel Beauregard, Le jardin des femmes perdues, tous parus aux éditions de la Nouvelle Librairie.
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Mon inspiration de la nuit
Au clair de nos plumes, les mots chantent et s'envolent sur des éclats de lune !
Au coeur de la lune,
Des sanglots de neige
Parsèment la nuit
De mille mots blanc...
La plume les cueille
Et les fait chanter
Sur des pages nues
Aux sombres silences...
Ils vont s'enrouler
Aux velours moirés
Des ciels étoilés
Tout piquetés d'or...
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studiop8-blog · 4 months
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Une échappée littéraire au cœur du jardin
intimité familiale 7.5
GIOVANNI ARSENE KUATE TAKAM
Dans le décor verdoyant du jardin de la résidence, une silhouette familière attire mon regard. C'est mon ami Henri, assis sur l'un des bancs en bois qui jalonnent le sentier.
Son visage est presque entièrement dissimulé derrière les pages d'un livre imposant, ne laissant apercevoir que son chapeau. Un simple coup d'œil sur la couverture suffit à identifier l'ouvrage : Ramsès, La Dame d'Abou Simbel de Christian Jacq, un voyage littéraire au cœur de l'Égypte antique.
Autour de lui, la nature semble avoir tissé une bulle de quiétude, un cocon propice à l'évasion. Les bruits de la ville s'estompent, remplacés par le doux bruissement des feuilles et les trilles mélodieux des oiseaux. C'est comme si Henri avait trouvé le cadre idéal pour se plonger corps et âme dans cette épopée pharaonique.
Ses mains tiennent précieusement le livre, ses doigts caressant presque la couverture avec révérence. On devine aisément son immersion totale dans cette intrigue séculaire.
À cet instant précis, Henri n'est plus un simple jeune étudiant, mais un explorateur des temps anciens, un voyageur transcendant les frontières de l'espace et du temps. Son imagination s'envole au pays des pyramides et des hiéroglyphes, guidée par la plume talentueuse de Christian Jacq.
Cette scène est un rappel apaisant de la puissance de la littérature et de la capacité de l'être humain à s'évader, ne serait-ce que l'espace d'un instant. Un simple livre suffit à ouvrir les portes d'univers insoupçonnés, offrant une échappatoire bienvenue au tumulte du quotidien.
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post-scriptum · 4 months
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Critique : Chiennes de garde, Dahlia de la Cerda
Publié en français aux Éditions du sous-sol (quel charmant nom ! Je ne connaissais pas cette maison d'édition avant de lire ce livre.) Lien vers la page du livre sur leur site
“Le Mexique est un énorme monstre qui dévore les femmes. Le Mexique est un désert fait de poudre d’os. Le Mexique est un cimetière de croix roses. Le Mexique est un pays qui déteste les femmes.”
Treize histoires courtes écrites dans un style ultra-contemporain, chacune racontant la vie d’une femme différente. Les destins parfois entremêlés de ces personnages déstabilisants décrivent le Mexique d’aujourdhui avec férocité ; comment survivre, comment mourir quand on est femme dans une société où la violence semble être la seule constante ?
Si la plume reste plutôt similaire d’un bout à l’autre de l’ouvrage, chaque portrait est brossé différemment, et le rythme entraînant permet de se laisser happer pleinement dans le récit malgré sa noirceur et sa cruauté. Les histoires sont quelque peu inégales, mais toutes laissent entendre des voix claires et fortes qui résonnent d’autant plus que nous, lectrices et lecteurs, sommes pris à partie. Treize histoires qui sont autant d’adresses au public, sur le vif et à vif, brûlantes et écorchées, une verve empoisonnée, pas de tendresse ici— et pourtant, que de rage, que d’amour, que de soif de protection et de vengeance ! Qu’elles soient victorieuses ou perdantes dans un monde qui semble couru d’avance, les femmes montrent les crocs.
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plume-libre · 1 year
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Il était là, posé au milieu des autres livres. Il a attiré mon attention par son titre : "La vie d'un pigeon". Qui aurait bien pu écrire un livre sur le volatile le plus méprisé et le plus banal de notre quotidien ?
Une fois dans mes mains, je recherche le nom de la plume en question. Mais rien. Je vais demander au libraire s'il a plus d'information. Toujours rien. Il n'est même pas enregistré dans sa boutique. Je lui demande alors si je peux lui emprunter ce mystérieux écrin, celui-ci me répond que je peux même le garder si je le souhaite.
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L'odeur du thé à la menthe dans mes narines, la chaleur de la tasse sous mes mains, je fixe ce bouquin. Mon chat se frotte à mes jambes, mais je ne bouge pas. D'un bond, j'ouvre le livre... Le félin ira se cacher, tant le geste était brusque. Aucune trace d'encre, mais des reliefs qui tapissent chaque page de l'ouvrage. Je le referme, un peu déçue. J'appelle la librairie et explique la situation. Il ne comprend toujours pas pourquoi ce livre est ici et finit par me donner l'adresse d'un refuge pour personnes malvoyantes.
📚
Je pousse l'immense porte en bois du refuge. Une femme, très élégante, vient m'accueillir. Je lui expose la raison de ma visite sans oublier le questionnement que j'ai eue à la vue de ce titre. Elle exquise un sourire, puis, me demande de la suivre. Nous rentrons dans une grande salle, puis dans une autre, grimpons un étage, pour enfin arriver à la bibliothèque. Elle range l'histoire de l'oiseau à sa place, parmi la vie d'une fourmi, d'un chien etc.
"Ici, les pigeons ne sont ni banals, ni méprisés. Beaucoup d'entre eux n'ont pas eu la chance de pouvoir les observer. Ce sont des livres que j'ai moi-même fabriqués, c'est pour ça qu'il n'y a aucun nom ni résumé. "
Derrière une histoire de pigeon, il peut se cacher énormément de choses.
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fashionbooksmilano · 8 months
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Christian Dior
Francoise Giroud, Sacha Van Dorssen
translated from French (Editions du Regard)
Thames & Hudson, London 1987, 342 pages, 25x33cm, ISBN 978-0500014301
euro 120,00
email if you want to buy [email protected]
The English-language edition of a beautifully-illustrated monograph on Christian Dior. The book begins with an essay on Dior and his fashion house, accompanied by archival photographs of the designer, the fashion shows and his world. A collection of photographs of Dior's creations - the clothes, jewels and drawings - reveal the grace and beauty of his post-War designs. Photographers featured include Horst, Cecil Beaton, Irving Penn, Louise Dahl-Wolfe and many others.
Il aura suffi de dix ans pour que Christian Dior prenne place parmi les cinq personnes les plus connues au monde. Le 12 février 1947, Christian Dior présentait sa première collection. Le New Look était né qui offrait à la femme, au sortir de la guerre, les délices d'une silhouette délicatement féminine vêtue d'interminables métrages de riches étoffes. Le génie de Christian Dior tient sans nul doute à son amour de la femme, qu'il habilla peu à peu de la tête au pied, à son exigence d'un travail parfait rarement égalé, à son intuitive compréhension de l'époque dont il précédait les désirs. Dior prit très vite l'ampleur qu'on lui connaît aujourd'hui et qui reste la griffe parisienne de la Haute couture par excellence. Ce livre se veut l'image même d'une légende dont Françoise Giroud, d'une plume vive et cursive, nous relate l'étonnante histoire.
17/01/24
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poetesse-verte · 7 months
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Burn lyrique
Leurs mots résonnent, en plein jour, en pleine nuit, Et depuis, il pleut des chats, sans que je rêve, sans répit. Avoir la haine pour personne, mais la haine contre tous, Quelle étrange sensation, dans cette bataille, ce courroux. J'ai usé tout mon papier, tout mon encre, À noircir les pages de ma vie si excentrique. Je crois que mes larmes sont devenues mes armes, Des balles de poésie, des bombes émotives. Il pleut des chats, des morceaux de moi s'éparpillent, Mon âme déjà donnée au Diable, aux abîmes qu'elle titille. Il me l'a rendue dans un carton minable, Décoré d'un post-it vide, comme une histoire indéchiffrable. Entre les lignes, des cris, des échos de souffrance, Je "burn", je brule, je "out", je sors. Le corps se tord dans une danse macabre, une sombre transe. Dans ce chaos, ma plume s'effiloche, mon cœur supplante. Il pleut des chats, des éclats de moi, Mais je m'élève, je renais de cet abîme, de cette trêve. Mon existence, c'est la résilience, un hurlement lyrique, une renaissance, une délivrance.
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journaldunanonyme · 2 years
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Comme je vous disais, le mot merci serait trop petit alors une présentation s'impose.
J'ai commencé à écrire le 22 août 2012, eh oui dix ans, plus de dix années, quand je me dis ça, je pense des fois qu'il est temps que j'arrête, puis ça me rattrape, je laisse tous ces mots dans ma tête se glisser dans quelques notes, je les laissent tapisser quelques billets sur Tumblr, mais c'est toujours un bien, de laisser ces mots, son ressenti et parfois sa vie sur un bout de papier, sur quelques notes ou alors sur ces fameux billets.
Il y a dix ans de cela, je n'avais que seize ans, en pleine adolescence, mes premiers mots ont été à l'attention d'une fille qui me plaisait, cette fille es devenue rapidement un premier amour. Pour cela, j'avais créé une page sur Facebook, je ne sais pas si des personnes ici présentent ont connu ça. Mais il y a dix ans, Facebook avait un énorme rassemblement de personnes qui avaient des pages et qui écrivaient, on formait tous un groupe qui s'appelait les Facebook Writers. Donc j'arrive là avec ma page qui se nommait "L'encre de ma plume" et c'est ce jour-là que tout a changé. J'ai commencé à poster ce que j'écrivais avec des images, d'où ma petite référence à ça, sur mon tout premier post ici, si vous descendez vous la verrez.
Petit à petit, les jours passent, je commence à me faire des amis, les mois passent et j'écris toujours parmi toute cette communauté vraiment magnifique, même avec une première rupture au compteur, je continuais d'écrire, surtout après ça, j'ai peut-être les mots trop grand, mais tout était si bien que parfois, il m'arrive de regretter ce moment-là, ou alors de vouloir y retourner. J'ai écrit, j'ai ri, parler, je me suis attaché, je me suis fait des amis et des meilleurs amis, j'ai aidé, réconforter, je pense qu'on s'aidait un peu tous entre nous. J'ai aimé être là-bas jusqu'en janvier 2016. Presque quatre ans plus tard. Avec 18 655 personnes qui me suivaient et qui lisaient ce que j'écrivais. C'était incroyable en seulement quatre ans. Mais comme on dit, tout a une fin, ça l'a été de mon temps là-bas. Puis ça commençait à se dégrader, alors j'ai pris quelques mots pour dire un au revoir et j'y suis parti. Tout était fini, tout s'était envolé, il ne me reste que des bribes de tout ça en mots, mais en souvenirs pour le raconter ça se compterait en jours. C'est dur de partir comme ça d'une chose dont on y a passé du temps, dont on y as beaucoup de souvenirs. Le 22 janvier 2016, je supprime ma page, en retenant quelques mots sur des notes.
Je continue d'écrire durant le reste du temps, mais il me manque quelque chose, alors le 12 octobre 2016, j'atterris ici, sur Tumblr par quelques échos que j'avais eu. Je nomme ce Tumblr "journaldunanonyme". Après un peu de temps à trier mes mots, mon premier post sort et il date du 4 novembre 2016. Et là, je me laisse aller, et je commence à écrire, tout en découvrant d'autre Tumblr tout aussi merveilleux et tout aussi plaisant les uns que les autres. Je poste ce que j'avais écrit entre temps, je me suis fixée qu'une seule idée, qui est celle d'écrire sur ma vie amoureuse, donc que sur l'amour. Après quelque temps, j'ai commencé à me faire des amis ici aussi, c'était comme une communauté et j'ai presque retrouvé une ressemblance à ce fameux groupe sur Facebook. Durant tout ce temps je n'ai écris que sur l'amour, j'ai fait en fonction de mon coeur et aujourd'hui je pense qu'il se sent bien. J'ai ri ici aussi, j'ai appris à côtoyer de nouvelles personnes, j'ai pleuré, je me suis reconstruit, des personnes ont réussi à me faire ressentir plein de sensations avec leurs mots. D'autres personnes ont réussi à me faire du bien, d'autres m'ont fait ressentir de l'attachement, de l'amour, des choses qui vous restent en tête. Je ne regrette en rien d'être venu ici pour écrire et pour me délivrer, cela reste et restera toujours mon journal.
  Il y a quelques jours, le 12 octobre, j'ai eu 27 ans et le 13 octobre 2022 mon Tumblr as atteint les 10 000 personnes six années après. Je pense que tout cela m'a fait réfléchir, mes mots sont et seront toujours présents ici, pour rien au monde, je les ferais disparaître, ils seront toujours dans ce journal. Quant à moi, vous l'avez remarqué peut-être, j'écris beaucoup moins, je ne manque pas d'inspiration, mais je pense que petit à petit mon envie d'écrire se fait moins sentir. Elle disparaîtra un jour. Je vais de moins en moins poster au fil du temps, c'est sûr, mais je viendrais toujours ici pour vous lire. Ces mots et cette présentation, c'est seulement pour vous dire merci. Merci de m'avoir lu, mais aussi de me lire encore. Merci de m'avoir permis avec vos mots ou votre présence de grandir. Merci pour m'avoir fait autant de bien et j'espère vous en avoir fait. Merci pour les moments passés et merci pour ces souvenirs qui je pense sont immémorables, même s'ils sont simples. Mes mots ont toujours eu pour but de respirer, d'apaiser, j'écris sans attentes mais si ça vous as permis de ressentir la même chose, alors j'en suis ravis. C'est ici que s'achève cette histoire.
Votre écrivain, journal d'un anonyme. ☺️
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claudehenrion · 10 months
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Alleluya ! Je m'étais trompé...
Il y a 48 heures, j'avais ''piqué'' une belle colère contre le Figaro, pourtant un des seuls journaux encore lisibles –avec Valeurs Actuelles--, même si j'en consulte beaucoup d'autres chaque jour, par honnêteté de ''blogueur'' (NB : ... et un certain courage, parfois, lorsque j'aborde ''Libé'' ou ''l'Obs'' : le parti-pris mensonger suinte de chaque mot !). Or cette même honnêteté me force à reconnaître que, dès le lendemain de cette ''rabia'', le même quotidien était rempli de nouvelles qui, si elles n'avaient pas été si mauvaises, auraient été bonnes... comme si son rédacteur-en-chef avait lu mon blog (ce qu'à Dieu ne plaise ! On m'a assez traité de ''complotiste'' pour que je rêve d'anonymat !).
Parcourons-le ensemble, si vous le voulez bien. Dès la première page... '' Macron pris dans ses contradictions''... '''Macron sans boussole'''... et ''La construction des logements neuf s'enfonce dans la crise'' (on lit plus loin : à cause des mesures totalement imbéciles prises au nom d'une ''transition climatique'' inventée de toutes pièces pour ''justifier (?)'' le vol du peu que l'Etat-Léviathan nous laisse encore...)... Ces thèmes font partie intégrante de nos explications quotidiennes. C'est rassurant sur la santé morale des ''plumes'' de ce grand quotidien du matin, mais c'est épouvantable pour la France. Cette lucidité explique sans doute pourquoi que son tirage caracole en tête de la Presse française.
Mais il y a mieux... c'est-à-dire bien pire, pour la santé et le futur de notre pays : c'est dès la page 2 que commence le chapelet des doléances justifiées. ''Empêtré, Macron cherche toujours un cap'' –ce qui, après plus de 6 ans d'exercice du pouvoir suprême est rien moins qu'angoissant ! Est-ce pour ce piètre résultat que vous aviez voté (parce que moi, côté ''vote pour Macron'', personne ne peut m'accuser de la plus petite erreur de doctrine ou de pratique !) ? D'ailleurs, en page 3, on lit ''Quand l'ombre d'un doute plane sur l'action du Président''...ce qui laisse le lecteur libre de se demander s'il s'agit d'un certain doute... ou d'un doute certain !
Les pages 4 et 5 sont plus directement orientées ''Presse et communication'', mais pas moins inquiétantes pour autant. La dernière idée géniale des ''communicants'' (NB : Vous devriez en changer, M. le Président : ils sont franchement mauvais !),  ''Saint Denis... (n'est qu') un ''coup de comm', selon les français, à qui ''on ne la fait plus'' : ils ont été piégés (''avec un grand ''B'', aurait dit Coluche !) à chaque fois, et ils n'en peuvent plus ! On trouve aussi, là, et c'est infiniment plus grave : ''L'Elysée suscite la polémique en recevant l'humoriste controversé Yassine Bélatar''. Le mot ''humoriste'' est certainement très exagéré, mais  les mots ''polémique'' et ''controversé'', sont vraiment très timides . Enfin... subventions obligent, n'est-ce pas  !
Après deux pages consacrées à la description du monde extérieur (ce n'est pas plus joyeux, mais c'est ''hors sujet'', ici)... on retrouve nos petits : ''Nord Stram 2 : la piste ukrainienne se précise''... titre qui ressemble étrangement à ce que nous répétons depuis le 27 septembre 2022 : tout n'est pas aussi ''blanc-bleu'', dans le royaume de Zélensky, que ce que veulent nous faire avaler nos faux ''experts'' des JT des chaînes du Sévice public et de LFI... Mais après quelques pages sur la médecine et l'étranger, on retrouve nos soucis justifiés : la page 14 ouvre sur une divine surprise : la gauche française, la vraie, celle de ''sa'' belle époque à elle (en gros, 1932–1939, Front Populaire inclus) était farouchement opposée à toute immigration, Blum et Salengro tombant d'accord sur le fait que : ''pour rester fidèle à tous les principes humanitaires et (…) faire honneur aux traditions d'hospitalité (de la France), le gouvernement ne saurait tolérer que des étrangers abusent de l'asile qui leur est offert en intervenant dans des conflits politiques et sociaux''. Comme nous sommes tombés bas...
En page 15, un autre joli cadeau, la constatation de notre absence totale de politique moyen-orientale et les errements de notre pseudo-diplomatie (qui est ''et en même temps'') : ''Entre guerre et paix, le raisonnement à contre-temps de la France''. Je ne résiste pas à recopier Laure de Mondeville : ''En appelant à un cessez-le-feu alors que Tsahal est au milieu d'une opération militaire aux enjeux essentiels, la France reflète une tendance européenne à fuir le rapport de force et à enjamber le temps de la guerre comme s'il pouvait être enjambé''. Le talent et le style en plus, c'est exactement ce que nous répétons ici depuis le 9 octobre... La journaliste ajoute : ''La préservation des droits des civils palestiniens est légitime, mais ne saurait se substituer à la politique ni (aux nécessités) de la guerre''. (NB : Nous reparlerons très vite de ce terrible dilemme, apparemment sans solution).
Si vous n'avez pas perdu patience, ''encore cinq minutes, Monsieur le lecteur'', s'il vous plaît : la page 17 est à la fois la dernière, succulente... et divinatoire. Je recopie le gros titre :  ''Emmanuel Macron fait semblant d'organiser un référendum sur l'immigration''... dont l'abandon total (c'est-à-dire définitif et en même temps temporaire !) sera confirmée triomphalement, 48 heures plus tard, par LFI et les cocos, réunis pour le pire et le pire... et pour leurs méchantes élucubrations : non seulement nous n'avons pas la moindre politique sur l'immigration, sujet de toute première importance pour notre présent, notre futur et notre survie... mais les quelques initiatives désordonnées qui sortent de nos palais nationaux sont toutes mauvaises... quand elles ne sont pas ''encore pires que ça'' !
En résumé et en conclusion : (1)- je présente mes excuses à la Rédaction du Figaro : ils s'écartent parfois de la vérité la plus élémentaire, mais... ''leur fond n'est pas mauvais !''. Et (2)- on en revient toujours aux fondamentaux : pour la Gauche la plus irresponsable du monde (voilà une vérité que Guy Mollet avait ratée !), un référendum n'est bon que s'il est en ligne avec les ''petits livres rouges'' de la pensée clonée. Décidément, ce qui est de trop, en démocratie macronique (?), c'est, le peuple, qu'il est grand temps d'envisager de supprimer.... Et d'ailleurs, il en est de plus en plus question : il n'est pas impossible que ce refus injustifiable de référendum signe le début de sa fin, par submersion, déplacement, découragement, suppression, ou (grand) remplacement. Qui vivra, verra... En attendant, reconnaissons que rien, dans les nouvelles, jour après jour, n'a de quoi donner envie de danser...
H-Cl.
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philippebresson · 11 months
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Le monde croule sous les bombes que s'envoient des cerveaux le plus souvent dérangés comme on joue à la baballe avec son iench, mais ici "c'est officiel", le danger imminent consiste à se faire kidnapper des photos personnelles un peu floues ou à être pris en otage par un pac-man géant mangeur de données plus ou moins essentielles. Vrai-faux mensonge, je l'ignore, mais je doute fort qu'un copié-collé de pages en pages avec la mention "signé ce jour à... l'heure où blêmit la campagne ?" ait beaucoup de valeur juridiquement parlant. Bref, tout change et rien ne change. La pensée magique pour toujours et toujours, for ever and ever (je traduis à l'attention de mon auditoire anglophone)...
À propos, si vous partagez ce p'tit texte 100 fois en le recopiant à la main avec un stylo à plume puis en prenant en photo votre prose (enfin la mienne) manuscrite pour la partager (100 fois donc), vous aurez de la chance : amour, santé, sexe, argent, jusqu'à votre dernier souffle. Bonus : si vous partagez 1000 fois vous ne mourrez jamais !
Quant à moi, comment vous dire, si les méchants Meta machins-choses partagent à ma place des images que je partage moi-même publiquement et à foison, ça me fera des vacances. Et quant à mes données perso, j'en ai fait le deuil depuis que je surfe, et parfois presque nu, à Biarritz ou sur Gmail, WhatsApp, X, IG, Tumblr, AdopteUnMecCinqMinutes, JeSuisUneChansonPaillardeStar.com, et tant d'autres...
Post-scriptum: J'ai écrit vite comme l'éclair, si y'a des fautes tu les recopies pas hein ! (enfin si tu t'en aperçois... huhuhu 👁️)
Je vous embrasse très officieusement,
Philippe Bresson
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underleaves · 2 years
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Here back I am, and the Plumes with me! However, I am announcing a change in the pace of publication. At the moment I have a few pages ahead so I'm sticking to "once every two weeks", but then I'll just post a new page when I have one ready. Besides of doing me a lot of good, this break will have made me realize that the publication on a regular schedule, in addition to imposing unnecessary stress on me and having an influence on my health, had cut me from the pleasure of illustration and study sessions that allow me to progress artistically. With only two publications per month I am anyway well below what makes a fluid narration. I doubt a week will make a difference I so might as well keep working on this comic at a pace that will save me from overwork and giving up the project. I hope you will nevertheless enjoy the return of the adventures of my little Plumes. Thank you for your support, it is precious to me. ♥ ----------- Me voilà de retour, et les Plumes avec moi ! Je vous annonce cependant un changement dans le rythme de publication. Pour le moment j’ai quelques planches d’avance donc je reste sur le « une fois toutes les deux semaines », mais ensuite je posterai simplement une nouvelle planche quand j’en aurai une de prête. En plus de me faire un bien fou, cette pause m’aura permis de réaliser que la publication sur une base régulière, en plus de m’imposer un stress inutile et d’avoir une influence sur ma santé, m’avait coupé ces derniers temps du plaisir de l’illustration et des séances d’études qui me permettaient de progresser sur le plan artistique. Avec seulement deux publications par mois je suis de toute façon bien en-deça de ce qui permet d’avoir une narration fluide. Je doute que vous êtes à une semaine près donc autant continuer à travailler sur cette BD à un rythme qui m’épargnera le surmenage et l’abandon du projet. J’espère que vous apprécierez néanmoins de retrouver les aventures de mes petites Plumes. Merci pour votre soutien, c’est précieux pour moi. ♥ . #fantasy #bird #webcomic #comic #fairy #birdlovers #birdcomic #comicartist #bande-dessinée #nature #oiseau #sliceoflife #comicpage #birdspirit #natureartist #Belledenuit https://www.instagram.com/p/CkrDN3kKeMa/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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bordeldelivres · 1 year
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♡ Générosité ♡
✏️ Mon avis :
○ Basé sur la légende coréenne « Shim Cheong, la fille dévouée », Axie Oh s’approprie ce conte avec de grandes libertés, certes, mais qui en garde les bases. Je ne suis pas, à tort, une adepte de la littérature asiatique ou de ses mythes par manque de référence, pourtant ce n’est pas l’envie qui me manque pour la découvrir.
○ J’ai complétement craqué pour la couverture et ne parlons pas du titre. Il m’en faut peu pour succomber, j’avoue. Il me faudra quelques chapitres pour tomber sous le charme de la plume d’Axie Oh pour ne plus lâcher le roman. On retrouve les codes de la littérature féerique avec le sacrifice d’une jeune femme, l’amour, la passion, la dévotion, l’empathie. Mais l’autrice ajoute cette part de mystère avec une intrigue magnifiquement ficelée. Les mots créent rapidement un décor dont il est facile de s’imaginer et de s’approprier. Toute histoire n’en serait pas une s’il ne fallait pas déjouer les plans démoniaques d’une méchante déesse en manque d’amour et de reconnaissance. Les rebondissements s’enchainent pour une folle course contre la montre. Un texte à la forte symbolique où finalement l’empathie de l’héroïne est le moteur du récit sans oublier la petite touche de romance qui sera finalement la clef de l’intrigue. Je ne suis pas le genre à chercher une touche de moralité sous-jacente, je me suis simplement laissé porter par une histoire fougueuse et passionnante.
○ Une réécriture totalement réussie et portée par des personnages charismatiques et touchants. Intentionnellement, je ne vous parlerai pas davantage de l’intrigue et des personnages. Sachez que ce roman vaut le détour. L’univers est subjuguant et rempli de couleur au diapason avec les émotions qui s’en dégage.
➡️ Est ce que cette lecture pourrait te plaire ?
399 pages
💥 Genre : fantasy
📍Ma note : 4,75/5
🔎légende coréenne/aventure/amour/vengeance/dieux/déesses
#axieoh @lumeneditions #lumeneditions #lafianceedudieudelamer
instagram
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