Tumgik
#pire que des vieilles
liledgyacrobat · 2 years
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Faut arrêter avec les refontes d'applications qui enlèvent des fonctionnalités
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Paroles de "La Chanson Des Vieux Amants" Jacques Brel
Bien sûr, nous eûmes des orages. Vingt ans d'amour, c'est l'amour fol. Mille fois tu pris ton bagage. Mille fois je pris mon envol. Et chaque meuble se souvient. Dans cette chambre sans berceau. Des éclats des vieilles tempêtes. Plus rien ne ressemblait à rien. Tu avais perdu le goût de l'eau. Et moi celui de la conquête
Mais mon amour. Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour. Je t'aime encore, tu sais, je t'aime. Moi, je sais tous tes sortilèges. Tu sais tous mes envoûtements. Tu m'as gardé de pièges en pièges. Je t'ai perdue de temps en temps. Bien sûr tu pris quelques amants. Il fallait bien passer le temps. Il faut bien que le corps exulte. Finalement finalement. Il nous fallut bien du talent. Pour être vieux sans être adultes
Ô mon amour. Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour. Je t'aime encore, tu sais, je t'aime. Et plus le temps nous fait cortège. Et plus le temps nous fait tourment. Mais n'est-ce pas le pire piège. Que vivre en paix pour des amants. Bien sûr tu pleures un peu moins tôt. Je me déchire un peu plus tard. Nous protégeons moins nos mystères. On laisse moins faire le hasard. On se méfie du fil de l'eau. Mais c'est toujours la tendre guerre
Ô mon amour. Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour. Je t'aime encore, tu sais, je t'aime
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rizwans · 11 months
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ia et rpg.
je suis ébahie de voir les gens qui créditent chatgpt dans le disclaimer de leurs forums. c’est un peu comme si vous passiez des avatars de votre créateur.ice préférée à la moulinette de midjourney (sans son consentement, évidemment) pour obtenir des avatars du même style et que vous créditiez l’algorithme. si vous utilisez chatgpt dans un contexte d’écriture créative, soit, c’est votre choix (but why... où le plaisir d’écrire là-dedans ?). mais s’il vous plaît, ne confondez pas crédits et disclaimer. vous devez prévenir vos utilisateurs du fait que le contenu a été rédigé par une IA, pas remercier chatgpt que vous venez de nourrir avec votre propre imagination et qui ne fait que régurgiter que la tambouille que vous lui avez servie. je n’écris pas ce message pour créer du drama, absolument pas ! je peux comprendre l’attrait d’un robot capable de rédiger le règlement du forum en genre 5 secondes (vraiment). mais dans un contexte où les artistes et les créateur.ices se font voler leurs créations sans leur consentement, où les scénaristes d’hollywood sont en grève pour obtenir des conditions de travail décentes, où marvel, une entreprise qui brassent des milliards de dollars, refuse de payer des artistes et assume complètement le fait d’outsourcer l’outro de secret invasion à une IA sous couvert du fait que ça “collait” au thème (il a bon dos, le thème), où des entreprises commencent à développer leur midjourney local pour se débarrasser des concept artists plutôt que d’améliorer les conditions de travail et payer des salaires décents à des gens qui ont des années d’expérience et de pratique derrière elleux, réfléchissons cinq secondes au véritable but des entreprises derrière ces IA : amasser le plus de data possible gratuitement pour ensuite revendre leurs services à des entreprises. pensez à tous ces personnes qui écrivent vos livres favoris, dessinent vos mangas préférés, produisent vos jeux vidéo cultes, remplacés par un bouton et un prompt de quelques mots. travaillant dans le jeu vidéo, je peux vous dire que c’est extrêmement réel. la place des créatifs.ves dans ce milieu a toujours été précaire, et elle vient de le devenir encore plus.  vous vous demandez sans doute en quoi ça concerne notre hobby ultra-niche et je ne suis peut-être qu’une vieille conne qui refuse d’entrer dans la modernité (mais je vais me donner le bénéfice du doute !). le rpg écrit est une expression artistique comme une autre. chaque rpgiste derrière son écran a son style et cherche à exprimer ou à explorer quelque chose avec ses personnages (un autre débat, sur lequel d’autres se sont exprimés ou s’exprimeront plus éloquemment que moi). pourquoi confier cette expression à une IA ? avons-nous si peu confiance en nos talents respectifs ? personnellement, je connais des plumes exceptionnelles. hilarantes. émouvantes. originales. fluides. brutales. parfois tout ça en même temps. des plumes qu’un tas de tech bros seraient ravis de pouvoir revendre et exploiter, sans payer un centime ni créditer une seule seconde. des plumes qui appartiennent à de vrais humains et qui devraient le rester, des plumes qui sont le témoignage, qu’importe l’échelle qui peut sembler dérisoire, de vos pensées, votre style, votre intelligence. trust your goddamn self. et personnellement, si c’est le fait d’écrire un règlement pour la 36ème fois qui fait chier (ce que je comprends tout à fait), je propose de contre-attaquer et de faire appel au pire cauchemar des capitalistes : l’open source décentralisé. je rédige le squelette d’un règlement, limite texte à trous, je le poste ici et vous pouvez le c/c à foison en y rajoutant ce que vous avez envie d’y rajouter. pareil pour ces textes génériques et chiants de demande de DC, de réservation, etc etc... si on s’y met tous.tes, on pourrait se créer une banque de documents où chacun.e peut piocher à son gré. c’est une oeuvre collective, commune et volontairement libre-service. on part du principe qu’on travaille tous.tes main dans la main pour se rendre un service commun, et on n’en parle plus, pas besoin de crédits.  ne sous-traitons pas notre imagination à des machines. nous méritons tous.tes mieux ! (ps. et je sais que ça peut sembler hypocrite de parler de vol quand le monde du rpg repose un entre-deux gris en ce qui concerne le droit à l’image. mais entre david et goliath...)
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ekman · 9 months
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Un été symbolique que celui-ci, qui se meurt dans le vacarme revenu des médias idiots. Pourquoi symbolique ? D’abord parce qu’ils auront essayé de vendre à l’opinion l’idée qu’un pic de chaleur à 33° en plein mois de juillet dans le Var constitue une preuve irréfutable du dérèglement climatique. Un succès en demi teinte lorsqu’au même moment, une bonne moitié du territoire se pèle sous des trombes d’eau. Le dôme de chaleur a fait long feu.
Ensuite parce qu’ils auront présenté aux normies et aux boomers leur nouveau fiancé : le variant BA.2.86. Sa dénomination est parfaite ; on jurerait qu’il s’agit là d’une saloperie fatale émergée d’un marigot sénégalais. De quoi tétaniser de trouille les citoyens les plus abrutis par le flux d’infos-en-continu, c’est à dire environ 90 % de la population. Mais là aussi, on peut parler d’une demie réussite car personne n’ose encore dire que le variant est hyper agressif, hyper contagieux, hyper dangereux. Pire, ces fumiers de complotistes semblent avoir gagné du terrain au sujet des effets secondaires des pfizerades d’Ursula et d’Olivier. Le doute s’est installé ça et là. Des chiffres statistiques émergent. Des pics bizarres. Des abscisses anormales. On souffle, on sussure, on allusionne et même on aluvionne, étant entendu que les ruisseaux qui toussotent finissent par faire des fleuves qui crachottent. Objectivement, le masque a du mal à se réimposer. C’est pas gagné pour les boosters.
Enfin, parce que la bulle abaya a fait pschitt. On s’attendait à des affrontements beyrouthins aux grilles des lycées et collèges le 4 septembre... En lieu et place, on aura observé le refoulement d’une petite soixantaine d’abruties jusqu’au-boutistes. Pas de têtes coupées, de rafales assassines ou d’imprécations coraniques. Tout juste quelques grognements barbus.
Bon, en bruit de fonds, on a toujours les mêmes abruti.e.s de service (LFI, la Rousseau, Lemaire dit “le dilaté”…) et une nouvelle “piñata” républicaine, j’ai nommé l’Hidalgo, au top des nuls grâce à sa gabegie fiscale et à ses milliards de dette. J’ajoute que l’idée que les imbéciles verts qui ont voté pour elle surcrachent au bassinet me la rendrait presque sympathique.
Enfin, pour finir, comment ne pas évoquer la faillite africaine, la liquidation définitive d’une partie significative de la françafrique, la mise en grand danger de nos revenus d’exploitation ? L’incohérence totale du cadavre de la diplomatie française, ses errements pseudo culturels sur fond de droits de l’homo, le pragmatisme sonnant et trébuchant de nos nouveaux amis russes et chinois – sans oublier notre cher allié américain, auront eu raison de la vieille habitude française. La France se retire, la France part, elle s'efface, elle se replie une fois encore. Le drapeau est baissé sous les huées, un peu partout. Et l’Afrique poursuit avec un bel appétit la colonisation de son colonisateur idiot, cocu volontaire d’une Histoire qu’il croyait pouvoir quitter, mais qui le rattrape et le submerge, plus que jamais.
Un bel été, très symbolique en effets.
J.-M. M.
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alexar60 · 10 months
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Monstres
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Il n’était jamais bon de se promener seul dans une forêt. Après quelques kilomètres, Johannes regretta d’avoir refusé une assistance. Il regarda les arbres à l’apparence humaine pendant que son chariot avançait. En bon marchand colporteur, il ne transportait pas de réelle valeur si ce n’est quelques dentelles ou tissus venu de France. Toutefois, il craignit une attaque de bandits, malandrins ou voleurs de grand-chemin qui n’auraient aucune pitié pour sa vie.
Mais son inquiétude allait surtout sur les légendes que la forêt, celle qu’il traversait actuellement, regorgeait. En effet, nombreux furent ceux qui prétendaient avoir rencontré un monstre, une bête au regard noir et à la forme d’un loup. D’autres parlèrent de farfadets, trolls malveillants qui s’amuseraient avec les visiteurs perdus. Et puis, il y avait les histoires concernant des disparus. Chaque village autours du bois comptait au moins une personne qui n’est jamais revenu de la forêt.
Il aurait pu faire le tour. Seulement, afin de gagner deux bonnes journées,  le marchand voulu traverser cet endroit maudit. Son cheval avança avec une certaine nervosité. Un léger brouillard imposait une ambiance glaciale pendant que quelques oiseaux criaient. Un coucou par-ci, quelques corbeaux par-là. Le vent balançait les cimes des arbres provoquant un sifflement inquiétant. Parfois, Johannes tournait la tête au craquement d’une branche ou au bruissement d’un buisson provoqué par un animal sauvage.
Le cheval n’avait qu’à suivre la route tracée. Cependant, après quelques heures, il s’arrêta brusquement. Son hennissement alerta le commerçant. Dès lors, il se leva sans quitter le chariot, il serra un bâton long et attendit. La peur faisait gargouiller son ventre. Ses tympans battaient son cœur dans un désagréable fracas.
Avance, mon ami, avance, je t’en prie, murmura-t-il afin de ne pas réveiller de monstre.
Mais il n’obtint du cheval qu’un énième hennissement. Il demeura debout, les jambes tremblantes. Il réalisa qu’il n’entendait aucun autre son en dehors de sa respiration, et de celle de son cheval. Il tourna la tête, cherchant à voir à travers la brume. En fait, il espérait la venue de quelque-chose qui puisse le rassurer, même un monstre. Car le silence absolu était la pire des angoisses.
Soudain, un hurlement surgit des profondeurs de la forêt. Le cheval se cabra avant de galoper comme un forcené, provoquant en même temps, la chute de Johannes hors du chariot. Lorsqu’il se releva, il ne put que constater son bien déjà trop loin pour le rattraper. Mais sans attendre, il se mit à courir espérant retrouver son cheval le plus tôt possible.
Il courut au milieu des branches. Un bruit fort et rapide sembla approcher comme un monstre en train de pourchasser sa proie. Il continua de courir sans se retourner. Le froid de la brume giflait ses joues contrastant avec son sang qui bouillait en lui. Il courut pour finalement arriver dans une clairière.
Essoufflé, fatigué, il se pencha pour reprendre une respiration normale. En entendant des rires, il leva la tête et découvrit un lac peu profond et pas très grand. Au bord, sept jeunes femmes s’amusaient de sa présence tout en lavant du linge blanc. Elles se ressemblaient comme des sœurs, la peau blanche comme le lait.  Leur longue chevelure rousse flamboyait telle une torche allumée. Johannes se sentit gêné de se retrouver avec d’aussi belles femmes, dont les robes blanches trempées ne cachaient rien de leur corps désirables.
Qui es-tu, jeune imprudent ? demanda celle qui semblait être la plus vieille.
Je me nomme Johannes Tischler. Je suis un marchand perdu en ces lieux. N’auriez-vous pas vu passer mon cheval tirant un chariot, par hasard ?
Non, répondit-elle. Mais il ne doit pas être bien loin. Si tu veux nous t’aiderons à le chercher plus tard. Mais en attendant, tu pourrais nous aider à frapper ce linge.
Le marchand hésita un instant. « Si monstre il y a, il ne peut attaquer quand nous sommes plusieurs » pensa-t-il. Dès lors, il retira ses bottes et entra dans une eau froide. Une des jeunes femmes tendit un battoir qu’il attrapa. Deux autres s’écartèrent pour lui laisser une place. Il prit un drap et commença à le frapper sous les sourires des lavandières.
Parfois, elles discutaient, murmuraient entre elles tout en regardant Johannes. Il avait l’impression qu’elles n’avaient jamais vue d’homme avant lui. Il battait le linge avec difficulté. Et une fois terminé, une laveuse l’aidait à plier correctement les draps pour les faire sécher. Il avait du mal à empêcher ses yeux d’admirer les formes généreuses de ses coéquipières du moment. Le téton de leurs seins ressortant de sous la robe trempé, Les pubis collant au tissu. Il détourna le regard, dès que l’une d’elle se penchait trop, lorsqu’elle était à genoux, galbant ainsi ses fesses rosies par les reflets du soleil. Il ne s’était pas rendu compte que la brume ne recouvrât pas la mare.
Enfin lorsque le linge fut propre, il retourna au bord pour remettre ses chausses et attendit qu’elles sortissent à leur tour. Le soleil commença à décliner. La plus ancienne s’approcha. Il remarqua ses jolis yeux noirs et son nez fin. Il baissa rapidement les yeux, admirant au passage qu’elle avait plus de poitrine que les autres.
Il se fait tard, je te propose l’hospitalité pour te remercier de ton aide, annonça-t-elle.
Soulagé de ne pas à traverser la forêt en pleine nuit, Johannes accepta. Dès lors, il suivit les sept jeunes femmes sur un sentier qui l’éloignait de la route principale. Sur leur passage, les oiseaux ne chantaient pas, le brouillard se dispersait et un silence immense régnait.
Elles marchèrent sans prononcer une seule parole. Par moment, elles regardaient Johannes, lui conseillant de faire attention à une racine au sol ou aux ronces sur le côté. Elles marchèrent tout en portant leurs paniers de linge. Les arbres étaient si proches les uns des autres que Johannes n’imaginait pas une chaumière dans un endroit pareil. Il suivit les femmes et vit enfin une cabane.
Elle parut grande, cependant il fut surpris qu’elles continuassent de marcher, se dirigeant vers une caverne. Le colporteur aurait voulu demander si la maison en bois était leur domicile. Mais invité par deux des rouquines, il se contenta de les accompagner. Il sentit leurs mains presser ses bras et ses hanches. Décidément, il faisait un grand effet auprès d’elles. Il pénétra dans la grotte. Elle était immense, éclairée par une multitude de bougies. Toutefois, une odeur nauséabonde empoisonnait l’atmosphère.
Viens, nous avons retrouvé ton cheval, annonça une des femmes.
Etonné, Johannes s’enfonça dans la grotte. Comment son cheval pouvait être ici ? Et comment pouvait-elle le savoir alors qu’il ne les a jamais quittées ? Il marcha toujours encadré par deux jeunes femmes. Leurs doigts devenaient de plus en plus entreprenants, et déjà, il sentit leurs caresses de plus en plus sensuelles. La forte odeur putride se fit de plus en plus forte.
Tout-à-coup, le marchand fut saisi d’effroi. C’était une vision d’horreur que de voir un monceau de cadavres. Il y avait des animaux en grande quantité, à moitié putréfiés, des parties dévorées et décharnées, des squelettes attendant de blanchir. Il y avait des chiens, des loups, des chats, des renards, des chevreuils et des cerfs, des lapins, et par-dessus, les restes d’un cheval noir copie exacte du sien, s’il était encore entier. L’animal avait la gorge arraché et exhibait ses côtés encore ensanglantées.
Johannes n’eut pas le temps de crier quand il sentit des pointes enfoncer son ventre. Les doigts de ses hôtesses venaient de se transformer en griffes acérées. Leurs visages n’avaient plus rien d’humain. Elles hurlèrent tout en se jetant sur le pauvre homme. Elles le dépecèrent, arrachant sa viande avec une telle monstruosité. Le sang coula le long de leur menton pendant qu’elles mangeaient sa chair. Et dès que les dames de la forêt se sentirent rassasiées, elles jetèrent les restes parmi le tas de cadavres d’animaux, avant de s’endormir repues et comblées.
Ales@r60 – août 2023
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mesouvenirdetoi · 7 months
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Petite réflexion
Gratitude…
D'avoir en quelque sorte gagné à la loterie de la vie qui m'a fait naître d'abord dans un pays où je suis libre et en sécurité, d'avoir eu une famille aimante et aussi l'époque, celle sans internet.
La vie pas plus facile mais plus simple qu’aujourd’hui.
Nous n'étions pas vraiment pauvres mais vraiment pas riches. Il n'y avait pas d’influenceurs pour nous faire sentir misérables si nous n'avions pas tel truc ou tel vêtement. Vêtements qui souvent se passaient de l'ainé aux plus jeunes jusqu’à usure totale.
À l’adolescence, heureusement pour moi, j'avais des tantes à peine plus vieilles que moi qui travaillent et j’héritais des vêtements dont elles ne voulaient plus. Jamais je n'ai eu honte de cette situation. On avait un vélo pour trois et ça allait.
Quand je compare aujourd’hui à hier je comprends qu'il y ait de + en + de jeunes anxieux. Trop d’informations, de sollicitations tout le temps. Ils sont hyper connectés pour le meilleur et pour le pire, biberonnés aux likes, exposés au harcèlement virtuel. Je les plains.
Voilà… j'ai vidé mon sac. Mes réflexions sur ce monde de fous dans lequel nous évoluons tant bien que mal.
Ceci dit je peux encore m’émerveiller d'un rien et rire aux éclats, rêver que tout peut changer si nous sommes assez nombreux à le vouloir.
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darkchaton444 · 1 year
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Link ou BEN ? x Reader
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Hey hey hey ! Si vous aimez cette histoire et qu'elle n'avance pas assez vite à votre goût, vous pouvez toujours en lire d'autres tout aussi palpitantes sur mon compte Wattpad <3 :
______________________________________________________________
IMPORTANT :
Ça fait une éternité que je n'ai pas joué aux jeux Zelda et NON je n'ai pas joué au nouveau :') Me bâchez pas pliz-
Parcontre, si -> Je dis de la merde <-
Reprenez moi sans vergogne XD
Bonne lecture ! ____________________________________________________________
[Narrateur à la 1e pers.] [Dans notre monde.] [Pov : ???]
Il y a de ça quelques années, les premiers jeux de Zelda ont fait un carton.
Notamment Zelda Majora's Mask, sur la Nintendo 64, sorti en l'an 2000. Bien que le jeu et les graphismes pouvaient parfois être simplistes voire laisser à désirer, l'histoire et le gameplay ont séduit bon nombre de joueurs.
Dont moi.
Lorsque je n'étais encore qu'un gamin, j'avais l'une de ces fameuses Nintendo 64. Elle m'avait été offerte par mon grand père. Je ne possédais pas beaucoup de jeux à l'époque, mais je ne m'en plaignais pas. Mon favoris était, oui, Zelda Majora's Mask.
Ce ne sont que des années plus tard, à présent grandis, que j'ai cours à l'Université. Au début de mon parcours universitaire, j'avais appris que mes parents avaient emménagés dans une petite banlieue tranquille. Alors, un 28 août, j'ai décidé de leur rendre visite.
Au moment de prendre le chemin du retour, après un bon 3 heures à converser autour d'une tasse de café, c'était à ma grande joie que mon père m'avait redonné ma vieille Nintendo. Heureux de pouvoir rejouer aux jeux de mon enfance, durant le trajet alors que j'étais entrain d'y penser, j'apperçu une rue différente des autres. Dans celle-ci, plusieurs maisons s'adonnaient à des ventes de garage. Une idée avait alors germée dans un coin de mon esprit, celle de pouvoir trouver d'anciennes cartouches de jeux.
En parcourant diverses de ces ventes de garage, j'en étais arrivé à tomber sur le fameux jeu de Zelda. Il était dans une boîte avec d'autres jeux, mais aucun autre sur la même console. Cette boîte se trouvait entre quelques tableaux à l'art douteux et d'autres babioles toutes aussi étranges. Et alors ?
Eh bien, vous n'imaginez pas ma joie à ce moment-là. La cartouche de jeu était mise à la vente par un vieil homme qui avait tout bonnement le même aura que ceux dans les films d'horreur. Mais un aura étrangement généreux et sympathique, car au lieu de me la vendre, il me l'avait donné gratuitement.
Ainsi, je l'avais juste remercié poliment sans me poser d'avantages de questions. À cette époque, les films d'horreur n'avaient pas tous ce même début de piège.
Puis je me suis rendu à mon dortoir universitaire, hâtif de pouvoir rejouer à Zelda Majora's Mask.
Et...
C'était donc là que mon pire cauchemar... Mon ébat contre les ombres, eut commencé. Comme Il le dit si bien... Je n'aurais pas dû faire ça.
Ce n'est que plus tard, les mains crispées sur la manette en étant couvert d'un profond malaise, que je fixai mon Link brûler sur place dans une posture glitchée. La statuette de BEN, se trouvait devant moi, positionné à côté du vendeur au sourire effrayant. Qui est BEN ? Je ne savais pas, et je ne suis toujours pas sûr. Il m'avait juste dit qu'il était mort noyé, et qu'il voulait être libéré.
Je pense... Je ne sais plus... Avoir donné plus d'informations sur mon blog... Il fallait que j'en parle. J'ai essayé d'en parler. J'ai vraiment essayé...
Mais BEN me contrôlait et me guidait malsainement peu importe ce que je voulais faire, surtout sur le net. Il prenait contrôle de tout objet électronique avec lequel j'utilise. Lorsqu'il veut me parler plus clairement, on tchatte sur un site appelé CleverBot. Si je refuse, il me tourmente, encore et encore.
I have something to show you. Go play (J'ai quelque chose à te montrer. Va jouer)
Avait-il dit une fois. Je lui ai donc répondu.
I don't want to... (Je ne veux pas...)
Sur ce, j'avais arrêté de lui parler et je n'avais pas été jouer comme il me l'avait ordonné. Mais comme je l'ai précisé, il avait continué de me tourmenter, par vengeance ou bien par manipulation. Je voyais son image, celle de Ben, dans des endroits où il n'était pas supposé être. Si je faisais une recherche internet, il apparaissait, avec ce sourire dérangeant.
Je... Je n'en peux plus... Je n'arrivais plus à dormir, les nuits. Je le voyais même dans mes cauchemars. Lorsque j'étais seul dans ma chambre de campus universitaire, j'avais l'impression qu'il était là. Je sentais... Son aura. Depuis que j'ai joué à la cartouche de jeu, et qu'Il me manipule, je sens cette aura horrifiante n'importe où. N'importe quand. Et le pire. C'est que je ne sais toujours pas quand est-ce qu'il compte en finir...
J'avais besoin de sortir de ma boîte à terreur et à solitude, où j'allais devenir complètement fou. Ça faisait quelques jours déjà que je sentais les mêmes symptômes que celles de la dépression. Je ne sais pas si c'était parce que je ne voulais pas, ou si c'était car je pensais que je ne pouvais pas aller en cours, mais j'ai commencé à créer des excuses pour ne plus y aller. Déjà car je n'en avais plus la force, mais ensuite car je n'en avais plus la concentration ou la motivation.
J'avais alors décidé de revenir au nid familial, quand je sentais que j'allais craquer... J'avais besoin de réconfort, de visages rassurants. J'avais finalement envisagé cette idée uniquement après deux putains de mois d'hantises sans donner de nouvelles à personne.
Je n'avais pas préparé des centaines de valises, seulement une et un sac à dos suffisaient. J'avais zieuté ma Nintendo 64, et en avait avancé la main vers elle, mais je me suis stoppé dans mon élan.
Et décidé de la laisser là-bas.
Face à ma requête, mes parents étaient à la fois inquiets mais heureux, que je vienne. Ils ignoraient tout de ma situation actuelle, et je ne comptait pas la leur dire. Je veux juste me bercer d'illusions d'espoir, en retrouvant mes proches.
Ils m'ont installé dans une chambre d'invitée qui était assez simpliste. Ils ont gardé quelques uns de mes anciens meubles, comme le lit, mon bureau ou les commodes, mais la décoration m'était étrangère. Même si au fond, peu importe.
J'ai donc installé mon ordinateur portable sur mon ancien bureau, et ai placé ma Nintendo 64...
Et... Ai placé ma Nintendo 64...
À peine la console prit, je la relâcha en me crispant et elle retomba dans le sac. Ce n'est pas possible... CE N'EST PAS POSSIBLE.
"- Je... Je ne l'ai pas amenée avec moi..." Murmurais-je pour moi-même en tremblant...
J'entendis des pas lourds dans le couloir, ainsi que les craquements du plancher. C'était mon père, à coup sûr. Vu que j'ai laissé la porte ouverte, j'entendis sa voix rauque et calme.
"- Tout va bien, bonhomme ? Bon je sais que tu n'es plus un p'tit gars, mais sache que ta mère et moi, nous sommes vraiment heureux que tu sois à la maison."
J'étais ensuite resté, planté là, à observer la console pendant quelques secondes silencencieuses. Puis je lui répondit que j'étais également heureux.
La nuit tombée, de nouveau, je ne pu m'endormir. Mais cette fois, ce n'était pas à cause de ma conscience, ou de mes nombreuses visions cauchemardesques. Mais c'était littéralement de Sa faute.
Il faisait exprès ; Il me spammait de messages sur CleverBot. Même en mettant mon phone à silencieux, même en l'éteignant, même en sachant que normalement CleverBot ne peut pas envoyer de notifs, bordel. Le son des notifications qu'il m'envoyait étaient agaçant. Il voulait clairement que j'allume ma Nintendo. Il voulait jouer.
Do it. (Fais-le.)
Do it.
Do it.
Do it.
Do it.
Do it.
LEAVE ME THE FUCK ALONE (LAISSE MOI PUTAIN DE TRANQUILLE)
Last chance. (Dernière chance.)
Or what? (Ou quoi?)
Or you'll be the one who meet a terrible fate. (Ou tu seras celui qui rencontrera une terrible fin.)
Cette dernière phrase me fit trembler d'un coup sordide. J'ai froid, et je suis déjà mort de peur. Donc je peux vraiment mourir ? Et comment il va faire, pour me tuer ? Produire une décharge électrique ? ET PUIS QUOI ENCORE ?
Je suis venu ici pour échapper à ça, et me voilà encore en face de lui.
Go fuck yourself.
Sur ce, je me redresse brusquement sur mon lit. Le phone se remet à faire des bruits de notifications. Dans une poussée d'agressivité, je fracasse le portable de toute mes forces contre le mur. L'écran se brise en morceaux et quelques bouts mécaniques s'effondrent n'importe où sur le sol. Pourtant, de ma position, je constate l'écran qui est toujours allumé.
Sans savoir pourquoi, mon cœur se met à éclater dans ma poitrine. Tellement que j'ai peur de frôler la crise cardiaque. Mon souffle s'accélère et tremble sous la peur. Même en l'ayant éclaté sur le mur, il demeure fonctionnel. Ce bordel...
"- Laisse-moi tranquille... Ben..."
Soudain, du téléphone, un enclenchement vocal se fait entendre. Un son comme lorsqu'on fait "Dit Siri". Puis un rire méchaniquement enfantin sort de l'écran. C'est insupportable. Cette voix est malsaine et malveillante. Le rire tourne en boucle comme si c'était un sombre enregistrement. Ça ne s'arrêtera pas, non, tant que je ne ferai rien. J'ai toujours les foies. Mais c'est grâce à ça, que je réussis à empoigner ma couverture bleue, de la dégager de sur moi, de me lever et de marcher d'un pas non assuré vers la petite machine électronique.
Le rire est toujours en cours, lorsque je le prends. L'écran est si craquelée que je ne vois pas quelle application a employée Ben. À bout de nerf, je serre les dents. La peur et la frustration se font violence en moi. Les heures de sommeil manquées commencent à se faire sentir. Mes cernes témoignent de ma fureur. Ça fait... Deux mois.
Le rire continue de se moquer de moi. De se moquer de ma frustration, de mon désespoir. Une idée aussi sombre que Sa personnalité me surgit dans la tête. Sans me soucier du plancher qui craque comme un appel à l'aide, je n'ai qu'un endroit en tête.
J'arrive dans la salle de bain et allume aussitôt la lampe torche du téléphone. Et écrase celui-ci sur la surface de la cuvette de toilette. Dans le bain, je met le bouchon et active la chapelure d'eau. La baignoire se remplit peu à peu.
Je l'observe avec amertume et satisfaction, avant de prendre le téléphone, puis mettre la caméra bien en joue sur l'eau sombre : l'éclat de la lampe du téléphone fait un reflet semblable à la lune sur la mer.
"- Et ça, ça t'amuse, p'tit con ?"
Le rire se tût instantanément et un silence de mort arrache la place. Un rictus mauvais apparaît au coin de mes lèvres. Cependant, le silence glacial se brisa par quelque chose de plus inquiétant, encore. Cette fois, au lieu d'un rire machiavélique, se fait entendre... Un halètement. Une respiration lourde mais remplie de glitchs, à l'autre bout du fil.
"- T'as les foies, là, hein ?" Murmurais-je avec agressivité. "Alors ça fait quoi ? T'as du fun ?"
"- Tu n'aurais pas dû faireça."
À peine sa phrase prononcée, je lâche sans remords le téléphone dans l'eau et tout bruit ainsi que source de lumière se meurtrie instantanément. Je pousse un soupir de relâchement.
Ce doit être mon cerveau qui est saturé, mais mon sentiment d'apaisement fut vite interrompu, une fois le pied mis dans ma chambre. La télévision était ouverte sur la lune de Majora's Mask, avec la musique de Healing qui se joue avec les mauvaises notes.
La Nintendo n'est absolument pas connectée. En fait, rien n'est connectée à cette télévision, je ne l'avais jamais ouverte depuis ma venue.
"- ... Ben..." Prononçai-je plus comme un appel qu'un effroi.
La bouche de la lune se mit à bouger :
"- Won--- der-- ful-- Moon. Congra---tulations, He---rrr--o." (Merveilleuse lune. Félicitations, héros.)
Les mots avaient plusieurs intonations comme si BEN pigeait ces mots sur... Le Web...?
"- No-ot. Won---der--ful----en--o-o-ough." (Pas assez merveilleuse.)
Je me pinça l'arrête du nez. Depuis plusieurs minutes déjà, mon corps s'était habitué à remplacer la terreur par la colère et l'impatience. Mes nerfs allaient lâcher et ça me prit tout pour ne pas hurler ces mots :
"- Que. Me. Veux. Tu. À la fin ?"
"- Pl--aaa-y. Wit--h y--yo--u." (Jouer avec toi.)
"- Et ce n'est pas ce que tu fais depuis 2 mois !?"
"- W-wh--y b-b-b-bee--ing--so --st-ubbo--rrn ? I---I on-ly wan--t a f--rrriend. Co-nnn-ect your N-n-n-nint-t-tend--o." (Pourquoi être si têtu ? Je veux seulement un ami. Connecte ta nintendo.)
En soupirant sombrement, je la sortit de mon sac. Pourquoi est-elle là ? J'entends déjà mes lecteurs écrire "moi, je l'aurais brûlé, mis au chemin, donnée même". Et croient-ils que je n'ai pas essayé ? Croient-ils que je ne me suis pas arraché mes cheveux lorsque je me rendais compte que la Nintendo trouvait le moyen de réapparaître comme par magie ? Et la cartouche, même ?!
Je m'asseyai devant la TV, posant la nintendo en face. Je précisa que je n'avais amené aucun fil et qu'aucun, exactement comme la console, n'était apparu des enfers.
"- Y--ouu- Do--nnt--NEED--it." (Tu n'en as pas besoin.)
(C'est ainsi que Ben créa le Bluetooth- XD (Pardon.))
Lorsque j'appuyai sur le bouton de démarrage de ma console, rien ne se passa. Après tout ce qui se passait, je m'attendais à ce qu'elle s'allume tout aussi magiquement que les autres situations improbables.
"- Ça ne marche pas." Maugréais-je.
Les yeux encore sur la console, le même rire insupportable que tout à l'heure raisonna et lorsque je regarda l'écran de la télé, la lune avait disparu. Elle avait fait place à un jeune garçon plutôt réaliste, au sourire malfaisant. Ses yeux étaient saignants et sa peau était grise bleutée.
BEN drowned...
"- I-I-I don't NEED i-it t---to b-b-be t---urn--ed O-on. I-I-I ju--ust NEED y---yo-u to b-b-be neeear i-it." (Je n'ai pas besoin que ce soit allumé. J'ai juste besoin que tu en sois proche."
"- Qu--"
Soudain, je ne su absolument pas si j'étais devenu fou. Mais...
Ben tira les bras vers moi avant que des doigts ne sortent de la télévision, allant s'appuyer à son rebord. À partir de là, tout se passa bien trop vite. Et dans cet ordre :
Son sourire figé. Sa forme réaliste sortant de la télévision. Mon cri d'horreur.
Puis le noir.
Et enfin... Le bruit du vent.
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selidren · 8 months
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Champs-les-Sims - Automne 1914
5/6
Il est difficile d'échapper à sa poigne de fer et à son bon sens impossible à contredire. C'est bien pire depuis que la guerre a commencé. Je l'entends parfois marcher de long en large pendant des heures la nuit durant, sans doute pour apaiser son angoisse, mais au matin, il n'en parait rien. Cette femme est une force de la nature. Si bien que je me retrouve honteuse à être affectée par une petite maladie de rien du tout alors qu'elle a tant perdu mais reste debout contre tout ce que la vie peut lui envoyer. J'aimerai un jour, quand je serai à mon tour une vieille dame, avoir sa vaillance.
Transcription :
Albertine : Je suis si inquiète, Madame Eugénie. Constantin n'est pas taillé pour la guerre, j'ai si peur que cela ne le brise.
Eugénie : Contrairement à ce que certains peuvent raconter, aucun homme n'est vraiment taillé pour la guerre selon mon sentiment. Ils fanfaronnent et se voient en héros du front, mais se retrouvent toujours un jour ou l'autre dans la détresse quand on leur met une arme dans les mains et qu'on leur désigne un ennemi. Toute cette jeune génération qui est partie le sourire aux lèvres, ils n'ont pas connu la guerre. Adelphe n'était même pas né quand les Prussiens ont failli prendre Paris. Alors que savaient-ils de la violence ?
Albertine : Cela me plait de discuter avec vous, mais je dois... *kof* *kof* *kof*
Eugénie : Pour l'amour du ciel, restez donc allongée ! Je vais envoyer Madame Legens vous faire une tisane. Vous allez rester alitée le temps que l'on s'assure que cette petite angine de poitrine ne se change pas en pneumonie. Je peux parfaitement m'occuper des enfants seule ma petite.
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walkingthewireforum · 7 months
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contexte du forum
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La douceur d'une brise d'été qui glisse dans la chevelure de jais d'une belle femme. Le froid des flocons de neige et de l'hiver qui s'insinue dans les pores du visage fatigué de cet homme chauve, près de la cathédrale. L'odeur des pétales de roses qui illumine la journée d'une petite fille jouant dans la cour de récréation de l'école. Un énorme tas de feuilles mortes, feuilles d'une jolie couleur orangé, couleurs automnales, rassemblés par le jardinier du cimetière, sous son imperméable. Le temps passe dans cette petite ville d'Angleterre, s'écoule à une vitesse folle. Elle déborde autant d'énergie, que de tristesse, que d'envie. Demain sera un autre jour pour chaque habitant. Après-demain arrivera un nouveau, et les vieilles dames du quartier pourront commérer. Dans un mois, il y aura malheureusement la tristesse d'un défunt. Et dans six mois, on annoncera l'heureuse venue au monde d'un nouveau bambin sur terre. Une ville comme les autres, évidemment, cela va de soi. Mais dans les bas-fonds de York, on trouve des organisations secrètes, il se trame des choses louches. On trouve des endroits mal famés. On trouve de quoi vendre des produits illicites. On trouve un club de motards, qui baigne dans divers trafics, drogue et armes. La mélodie de la cathédrale qui résonne, tandis que les gens n'ont aucune idée que demain sera annoncé à la télévision et à la presse, que le vice-président des Blue Angels MC, de York , le club de motards local, est mort. Les raisons sont légères, sans explications. Mais comment dire au public ce qu'il ne faudrait pas divulguer ? Deux trois mots prononcés en sa mémoire, une minute de silence. Le pire, dans cette histoire, c'est que la mort de ce motard respecté et aimé des siens, va provoquer bien des choses.
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aisakalegacy · 2 months
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Printemps 1918, Al Simhara, Égypte (9/20)
Au mariage, j’eus l’occasion de retrouver d’anciens camarades de l’armée, comme Bert Simmon, que je n’avais pas vu depuis l’hôpital de Lijddsenthoek. Il va bien. De tous les hommes qui se sont engagés volontairement en 1914, c’est le seul avec moi qui est rentré indemne. C’est un vétéran qui porte désormais le grade de sergent. Rumédier, malheureusement, est porté disparu depuis le printemps dernier. Simmon est pessimiste quant à ses chances de survies.
[Transcription] Jules Le Bris : Simmon ! Bon matin. Je suis content de te voir. Bert Simmon : Félicitation pour ta fille, vieille branche. Bert Simmon : Comment ça va, la vie de réformé ? Jules Le Bris : Pas pire. C’est plus calme que la Belgique. Bert Simmon : Tu as su pour Rumédier ? Jules Le Bris : J’ai appris, oui… Tu étais avec lui à Chérisy ? Bert Simmon : Oui… On a été fauchés par le 132e d’infanterie allemand. Nos officiers sont tombés comme des mouches… Je m’en suis sorti sans une égratignure. Jules Le Bris : Je vois ça. Joli, ton uniforme. Bert Simmon : J’étais déjà sergent avant sa mort. Il s’en est passé des choses depuis ton départ. Rumédier était sous-lieutenant. Il aurait aimé te revoir.
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claudehenrion · 5 months
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Des perspectives qui n'en sont pas...
Avant d'aller plus loin, il convient de préciser que le mot''perspective'' a (au moins) deux sens, dont l'un découle de l'autre. Premièrement : la capacité de (se) représenter des possibilités d’événements plus ou moins éloignés dans le temps. Et deuxièmement, l'art de représenter en deux dimensions ce qui en a trois dans la réalité. Le monde, dans sa chute, semble avoir tiré un trait définitif sur le premier sens, et ramené le second à un trait unique, là où il en faudrait trois... ou dix...
Franchement, ce début d'année 2024 se présente avec tous les impedimenta (rappel : bagages et charges qui entravent et limitent l'activité) qu'il faut pour flanquer un début de panique à n'importe qui. Où que se pose le regard, il n'y a que mensonges, ''non-dits'', ''sacs d'embrouilles'' et sujets d'inquiétude... dont le plus grave est sans doute l'incapacité palpable du personnel politique en place de tenir un discours qui soit un tant soit peu en ligne et en harmonie avec la dimension des drames qui se jouent, des enchaînements de catastrophes qui se nouent, des tuiles qui s'annoncent (et qui s'entassent). Nous sommes sur un volcan, et pour nous conseiller, nous n'avons, dans le meilleur des cas, que des vulcanologues amateurs, sans expérience, dans bon sens, et sans jugeote, et qui nous cachent la vérité... !
On peut les comprendre : s'ils sont un tant soit peu moins ''cons'' que ce qu'ils nous laissent voir de leur impéritie (de taille ''XXL'', pour employer une expression que j'aime bien), ils ont fini par comprendre qu'ils ne maîtrisaient ni ne contrôlaient plus rien de ce qui est ou sont leurs seuls et uniques devoir, fonction et obligation : les éviter à ceux qui leur ont (on se demande bien pourquoi, et sur quels non-critères de non-sélection !) demandé de les protéger. Ils en sont réduits à la vieille technique de l'autrefois célèbre Sapeur Camembert : ''pour boucher un trou, il suffit d'en creuser un autre, plus grand, juste à côté !''.
Les suites de cette capitulation inavouée (et même niée, par orgueil mal placé) sont connues : soit ils laissent p...faire (dans la logique du ''Je suis leur chef, donc je les suis'' de Ledru-Rollin), soit ils parlent d'autre chose (mais en prenant la précaution d'interdire de prononcer ne serait-ce que le nom de l'objet de leur impuissance)... soit ils refilent le bébé à une instance qu'ils disent ''supérieure'' --et l'ogre (du latin orcus = divinité infernale) von der Leyen est trop heureuse d'étendre les surfaces où sa perversité, son impudence et son absence de compréhension des vrais problèmes peuvent nuire sans limites (NDLR : dans ces trois capitulations, nous reconnaissons : (a)- l'écologie et le réchauffement climatique, une des pires ''arnaques du siècle''... (b)- le covid et l'immigration, deux mensonges mortels... (c)- la mort de notre civilisation occidentale).
Je me suis livré à une sorte de survol de quelques ''Unes'' disponibles en ce début d'année. Et la lecture de ces titres ne peut qu'engendrer la trouille, étant entendu –comme d'habitude-- que l'exactitude des citations est garantie et que je conserve les originaux, à fins de preuves. (1)- ''La révolte des fermiers qui monte sur l'Europe (mais que les médias français nous cachent avec soin) : les mêmes causes produisent les mêmes effets''... (2)- ''Et si le seul remaniement potentiellement efficace était celui que Macron refuse d'envisager ?''... (3)- Dans ''Atlantico Business'' : ''Les milieux d'affaires attendent un nouveau gouvernement sur 3 dossiers : la baisse des prélèvements sociaux, l'énergie, et l'Union européenne... (NDLR le premier point est hors de question, le second ''pas dans la doxa bobo-gaucho'', et le troisième... à l'opposé des fantasmes mortifères du chef et de son Europe anthropophage ! Rien de bon à attendre !). (4)- ''Guerre maritime : Derrière la guérilla en mer Rouge, l'offensive des régimes autoritaires sur les circuits-clés du commerce mondial'' ... (5)- ''Accablant ! (c'est le titre !) : Ce que dit la Cour des Comptes sur l'immigration, et ce qu'elle n'a pas vu'' !
En gros, cette série là est connue ou supposée, et nous en parlons parfois, ici. (je pense à nos récents éditoriaux sur la destruction au VIII è siècle des routes commerciales par ''les cavaliers d'Allah'', une des causes de la chute finale de l'Empire romain, qui se rejoue en mer Rouge, avec un résultat inconnu à ce jour). Thucydide, il y a 2500 ans, affirmait que l'Histoire serait un éternel recommencement. En tout cas, ce qui se passe devant nous, sans que personne ne réagisse pour de vrai, semble démontrer que les descendants de ces intrépides migrants-envahisseurs nous rejouent la même scène pourrie, avec le même espoir de nous mettre de nouveau à genoux... Cette autre série de ''Unes'' me paraît plus inquiétante, car elle touche à la fonction irrationnelle, ''magique'' peut-on dire, de notre cerveau.
Une enquête vient de chiffrer le drame de la fuite du peuple français : 30% de nos concitoyens songeraient à s'exiler. Comme nous en menaçait depuis 2004 le sauvage Abou Bakr Naji dans son livre Gestion de la barbarie, la menace ''Si vous ne vous trouvez pas bien chez nous, (NB en parlant de l'Europe !), vous pouvez partir'', a été entendue, et ce cauchemar est en train de se mettre en place : selon un sondage Opinion Way de ce 21 décembre 2023, 54 % des 18-24 ans regardent vers le grand large... et mes petits enfants me questionnent de plus en plus souvent sur mes expatriations (Maroc, Angleterre, USA). C'est déjà terrible... mais il existe d' autres points inquiétants :
Les sommes incroyables de mensonges qui ont été balancés par les ''voix officielles'' sur tous les sujets qui furent, un temps, réputés susceptibles d'apporter des voix écologistes dans les urnes (le réchauffement dû à l'homme, le danger atomique, le Co² et les énergies fossiles et la voiture électrique, ces quatre cavaliers de l'Apocalypse) ont dépassé tous les seuils d'acceptabilité... et plus personne ne croit à quoi que ce soit qui vienne ''d'en haut'', comme le démontre l'indifférence générale devant les pitoyables danses du ventre auxquelles se livrent l'exécutif et les médias pour faire croire qu'un changement de gouvernement est important. En réalité, tout le monde s'en fout, et Attal intéresse plus de gens par ses choix de vie que par sa capacité éventuelle à rompre-pour-de-vrai avec les doctrines pernicieuses de son mentor (Europe mangeuse d'hommes, immigration mal comprise, ''sociétal'' à Gauche toute, dette au fil de l'eau, et mensonge, ni...ni..., et ''en même temps''... érigés en techniques de management, '' !)  !
Plus grave encore : l'hystérie collective qui a été inoculée à la majorité des citoyens, avec les excès ridicules des simagrées liés au covid, au CO², au climat, ou à l'impression (sic !) d'insécurité due à l'immigration (re-sic !), à entraîné une perte de confiance (en voie de généralisation) dans toute autorité, donc dans la science et dans la parole des hommes de science, déconsidérés pour longtemps (nous devrons revenir très bientôt sur ces deux sujets)... A cause de choix douteux et finalement catastrophiques --ce qu'ils sont--, l'année s'ouvre sur beaucoup plus de questions angoissées que de réponses tranquillisantes... et ce n'est vraiment pas une bonne nouvelle !
H-Cl.
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bruleeparlalune · 5 months
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Traduction française de Fear & Hunger 2 - Termina - #3
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Comme j'ai chopé un sale truc pendant les vacances, je n'ai pas pu avancer tant que je voulais sur la traduction.
Traduction faite durant le mois :
Vieille Maison : celle avec le sous-sol et l'autel des Nouveaux Dieux.
Cabane Abandonnée : la cabane à côté du train.
Une partie de la cabine du train, comprenant la discussion avec Pav, Marina qui dégrade le train (racaille), Tanaka après l'entrainement, et les pauses de Marina, Abella, Karin et Daan. Avant d'écrire ce billet, j'était en train de bosser sur les dialogues d'Osaa.
Du coup, pas grand chose ce mois-ci. Mais j'ai quand même des choses à dire !
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Ça va être assez urgent et important de trouver un moyen de décrypter les fichiers du jeu. Non pas juste les images et la bande-son, ça c'est assez facile à trouver, mais vraiment les lignes de codes. De transformer le game.exe en game.rpgproject. Il y a pas mal de dialogue où, comme je n'ai pas les moyens de faire une version masculine ou féminine, je n'ai pas le choix d'utiliser, par exemple, un verbe du troisième groupe, ou de faire une grosse bidouille qui m'éloigne clairement du sens original de la phrase :
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Surtout que je sais que c'est possible. Il y a des mods sur ce jeu, il y a eu des propositions de fangame (tous abandonnés mdr), donc il existe bien un outil pour faire ça. Je pourrais enfin faire des dialogue différents si on incarne un personnage féminin ou masculin, tutoyer les gamins (aka Levi, Marina et p'têt Olivia) et sortir des insultes plus fleuries que « Sale ordure ! ».
Vieille maison
Lorsqu'on lance la discussion de groupe, avec Daan dedans, il dit que la maison sent le moisi, le "black mold". Tout bêtement, j'aurais traduit ça par moisissure noire, mais j'en n'ai jamais entendu parler de ça de ma vie, en tout cas dans ces termes. J'ai toujours entendu juste moisi ; sur les sites des dénominateurs de France métropolitaine, ils appellent ça eux aussi moisi. Il n'y a que sur les sites québecois où ils parlent de moisissures noires, et tout le monde sait que le Québec hait les anglicismes encore pire que l'Académie Française. Du coup, j'avais pensé à le traduire comme ça :
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La mention du Stachybotrys (le vrai nom de cette moisissure) est là pour mieux marquer que ce n'est pas une odeur de moisi normale.
Comme je l'ai mentionné plus haut, j'ai un autre cas où je bloque avec le dialogue, à cause de problème technique :
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La ligne en anglais était "You, who came with the offering". Du coup, vu que je ne peux pas le traduire par « Vous, qui êtes venu(e) avec l'offrande. », je dois me contenter de cette bidouille ci-dessus.
La ch'tite ref à un film bien rigolo, j'ai repris juste le même dialogue que dans la VF.
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2. Cabane Abandonnée Rien de particulier à dire dessus.
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3. Cabine du train (1er partie)
J'ai un blocage dans un des dialogues avec Pav : "He had one long time coming. Too bad it wasn't enough". Le vrai sens de la phrase est « La balle a mis longtemps à venir. Dommage qu'une n'ai pas suffit. », car elle suit la bulle précédente, qui était " You don't think the big man deserved a bullet to the head?". J'ai du mal à trouver une phrase qui garde le même sens sans être lourdingue. Pour le moment, je pars sur cette traduction :
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Un petit parti-pris, pour la traduction "banjo-playing yokels" :
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Un autre blocage, un peu moins emmerdant, à propos d'un dialogue avec Karin, pour la ligne "Whatever is happening here, could be an alternative to that.". J'ai du mal à saisir ce que veux dire "alternative". Le mot est bizarre dans le contexte, je pense du coup que riposte colle mieux.
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Pas plus de choses à dire, je tafferai sûrement mieux le mois prochain, vu que j'suis plus en train de mourir.
À la prochaine, et tombez pas malade !
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jezatalks · 9 months
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Euh bon, j'ai faillit mourir 2 fois en 48h.
Vendredi la fumée de cacahuètes grillées. Et la nuit de dimanche de fumée d'incendie.
On est allés chez mes grands parents dimanche pour fêter mon anniversaire, ça se passait bien. Avec ma sœur on a traîné un peu, elle s'endort.
1h du mat je vais au toilettes, et au moment de me brosser les dents j'entends un énorme BOUM. Un deuxième. Et au troisième, je descend en trombe avec mon père (réveillé par le bruit).
Dans le salon, mes grands parents paniqués, de la fumée qui sort d'on ne sait où et qui tentent d'ouvrir toutes les fenêtres pour aérer (très mauvaise idée si feu il y a car appel d'air)
On réveille ma mère, mon oncle et ma sœur, l'électricité saute et on sort dehors en veillant à tout fermer derrière.
On a appelé les pompiers qui sont intervenus en 20min (on est au milieu de la campagne en bordure de village).
Au total il y a eu 5 camions et une quinzaine de pompiers. Pas tant que ça de dégâts (enfin si un peu quand même).
Le voisin a pu nous hébergés, et un autre est venu le lendemain pour brancher les congelos au central électrique de la maison de sa mère à côté. (Partie en vacances sinon c'est pas drôle)
Toute la maison est couverte de suie et pue la fumée (probablement des merdes et du plastique).
Après investigation des pompiers c'était le sechoir à champignons (bricolé par mon grand père dans une vieille table de chevet) qui a cramé.
Il y avait la voiture vraiment pas loin des flammes, des bidons d'essence pour la tondeuse à gazon à 2m, et les pompiers ont trouvé in extremis 2 balles de carabine (j'ai plutôt envie de dire des obus) datant probablement de la guerre d'Algérie (brûlantes selon ses dires).
Donc on a échappé à pire.
Heureusement que toute la famille était là ce week-end, car mes grands parents n'auraient pas eu tous les réflexes et lucidité qu'on a eu.
Ils tenaient (pendant et après l'incendie) à retourner dans la maison investiguer, récupérer des affaires durant l'intervention, et surtout NOUS AFFIRMAIENT que "mais non vous exagérez ça sent plus dans la maison et il n'y a pas de suie. On veut dormir dans nos lit" alors que ça puait de l'extérieur.
(Sur la 1ere photo on peut voir les interstices de la porte de garage devenir noires tellement la fumée était épaisse)
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Pour rassurer, tout le monde va bien. Mes grands parents sont un peu chamboulés. Il n'y a que le sous sol/garage qui a cramé (sur 3m²).
Les assurances et techniciens sont tous passés. Encore merci à la quinzaine de pompiers volontaires qui se sont déplacés et au voisin de nous avoir hébergés.
Avec ma sœur on est rentrés en car, elle car elle travaille demain, moi car j'ai les poumons qui me piquent encore. Nos parents et mon oncle restent pour veiller sur nos grands parents et aider à gérer toute la paperasse.
Ce que j'en retiens : Je n'oublierai jamais la semaine de mes 26 ans. J'espère que ça ne présage rien pour mon pvt...
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clhook · 2 years
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je vous l'ai déjà raconté mais si on a le malheur de laisser la porte pas verrouillée à la med il y a toujours au moins un clampin qui entre et qui est scandalisé quand on lui dit qu'on est fermé, et l'été c'est encore PIRE parce qu'il y a tout le temps des touristes qui veulent entrer pour regarder les trucs exposés dans le hall !!! Hier midi on avait un repas d'équipe alors j'avais laissé la porte déverrouillée pour que les collègues puissent partir et littéralement 30 secondes après leur départ alors que j'étais en chemin pour fermer à clé j'entends la porte s'ouvrir à nouveau, peut-être était-ce une collègue ayant oublié quelque chose ? mais non j'ai évidemment trouvé trois vieilles en sandales de randonnée dans l'entrée voici comment s'est déroulée notre interaction :
moi : "je suis vraiment désolée on est fermé"
elles : "ah oui mais on voulait juste regarder"
moi : "je me doute mais on est fermé, il y a un panneau "fermé" sur la porte, je ne peux pas vous laisser à l'intérieur"
elles : "on a bien vu que la médiathèque était fermée mais on s'est dit qu'on pouvait quand même entrer visiter le bâtiment"
j'aurais aimé dire "mesdames c'est le truc le plus idiot que j'ai jamais entendu" mais à la place j'ai dit "ah bah... non non"
elles : "mais la porte était ouverte"
moi "oui parce que j'avais un rendez-vous et la personne vient de partir, je venais justement fermer la porte"
elles : "ah bon"
oui ah bon alors maintenant cassez-vous svp !!!!!! avant que moi je vous casse la figure !!!
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Et c'est l'aboutissement final de ce trek du Salkantay ... roulement de tambour ... le Machu Picchu !! (A prononcer Piktchou, pas Pitchou, sinon au lieu de "vieille montagne", ça veut dire "vieux pénis". Ça claque moins d'un coup)
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Comme on est des warriors (et qu'on ne veut pas payer 12$ parcequ'on est pingres), on décide de faire la montée depuis Agua Calientes jusqu'au site à pied : 1800marches de comptées, et ça passe crème ! Il est loin le temps de l'Asie où j'affrontais ma Némésis (l'escalier) dans la souffrance, en rampant au bout de 200 marches 😎
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Bon, comme on est des warriors fatiguées et que finalement, 12$ est ce que c'est si pire que ça ?, au retour, on prendra le bus. Pitié pour nos genoux.
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Du coup, bienvenue dans la fabuleuse ville du Machu Picchu, Construite vers 1420 par les Incas et abandonnée suite à l'invasion espagnole fort peu de temps après. Sur la photo ci dessous, vous voyez un mur reconstitué : le bas, c'est l'original, et le dessus qu'on dirait assemblé par le stagiaire de l'UNESCO, c'est la remise en état. Apparemment, c'est une demande de l'organisation qu'on puisse faire facilement la différence entre ancien et nouveau ...
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Au Machu Picchu, plein de terrasses tout du long de la montagne. Les sources divergent, mais ce n'était pas forcément pour faire de l'agriculture, comme dans le reste du pays, mais principalement utilisé pour stabiliser toutes les constructions au dessus et pour drainer l'eau ! Ah, et pour mettre des jardins d'orchidées apparemment, parceque quand même, c'est plus joli.
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Le Machu Picchu, c'est avant tout un centre religieux permettant de centraliser les membres convertis de toutes les petites tribus absorbées par les Incas. Ces derniers, quand ils colonisaient quelqu'un d'autre, récupéraient toutes les connaissances (hydrologie pour les uns, médecine pour les autres, l'astronomie, stratégie militaire etc...), centralisaient, et s'en servaient pour augmenter leur puissance. La cité servait de satellite de rayonnement pour amener ces connaissances tout autour !
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Pourquoi ici ? A priori à cause de son positionnement central entre les montagnes (plein de lieux sacrés) et la jungle (source de magie). Comme il y avait beaucoup de cérémonies religieuses (ils vénéraient la terre mère et un peu tout ce qui s'en approchait : le soleil, le tonnerre, le vent, etc...), c'était important d'être à un endroit spirituel pour leur peuple ! D'ailleurs, tout autour, il y a plein de pics où les pèlerins allaient faire des offrandes ou payer leurs respects... ça devait piquer de grimper là haut à l'époque !
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Concernant les méthodes de construction, notre guide nous a raconté une hypothèse que je trouve folle, et qui s'appliquerait ici surtout pour les autels : la majorité du site est ici gravée directement dans les blocs de la montagne, pas issus de carrières lointaines. En ce qui concerne les fameux autels, les scientifiques se sont rendus compte que le taux de quartz est plus élevé que pour le reste des pierres. De même, sur pas mal de sites archéologiques, ils se sont rendus compte que la composition des roches est différente (en pourcentage) de celle des carrières toutes proches dont les blocs ont forcément été tirés... ils ont aussi appris grâce à des légendes ou traces orales que les Incas faisaient parfois des pèlerinages jusqu'à la mer pour récupérer du guano. L'hypothèse de fertilisation des sols ne tient pas trop la route, puisque la terre est ici très fertile... voici donc une des façons d'assembler les pièces du puzzle : la création de géopolymères.
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C'est bien beau Touille, mais c'est quoi un géopolymère ? Eh bien c'est un assemblage de roche broyée, de sel, de guano (ou d'alcool de maïs) et de quelques autres composants, qui permet de recréer ... de nouvelles roches! Et a priori, de façon très très propre, puisqu'elles ne sont pas plus friables ou cassantes que celles d'origine, et pas différenciables à l'oeil nu ! Cette hypothèse expliquerait comment des blocs de plusieurs centaines de tonnes ont pu apparaître sur certains sites archéologiques... J'adore l'idée !! (Des prototypes ont été réalisés, et a priori ça marche vraiment)
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Sinon, dans les trucs rigolos, les Incas estimaient qu'ils étaient sacrés. Du coup, la seule source d'eau (qu'on ait trouvée) passait en premier dans des genres de toilettes, où ils pouvaient aller se laver, "purifiant l'eau"... puis l'eau passait dans les fontaines où les gens allaient boire... je ne veux même pas imaginer ce que ça donnait !!
Sur la photo ci dessous, vous voyez deux récipients dans lesquels on mettait de l'eau, et lorsque le soleil passait par la fenêtre, il se reflétait dans les deux vasques, créant un double astre solaire. Un des exemples concrets de religion qu'on a pu trouver sur le site !
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Il y a littéralement de quoi écrire un livre sur cet endroit, avec probablement autant d'interprétations que d'historiens d'ailleurs, donc je vais m'arrêter là, mais en tout cas on était très satisfaites de notre visite !
A noter qu'il n'a jamais été "perdu" ou oublié par les populations locales, quand il a commencé à être remis en état, quelques familles vivaient sur place et cultivaient sur les terrasses... il a juste fallu déterrer et dépoussiérer un peu ! Il reste d'ailleurs probablement encore 40% de sa surface dans la jungle, c'est un travail de conservation et reconstitution de titan ...
De notre côté, on a fini la journée aux thermes d'eau chaude, ça fait tellement de bien aux muscles 🥰 (moins à nos maillots de bain qui, si l'on en croit nos deux culottes qui sont toujours aussi trempées après deux jours à sécher dans la chambre, devraient garder strictement le même niveau d'humidité quand on les rangera dans le sac demain ...)
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idril-la-wiccan · 1 year
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Mermay 2023 - 3ème semaine
Jour 15 - Horreur
"La Sirène" est un Être du Néant, une créature née dans l'absence de ce que nous concevons comme l’Existence.
Elle chante une mélodie qui donne un sentiment de peine, bien que réconfortante à écouter. Mais personne de doit la suivre, tout aussi attirante que soit sa voix, car un sort pire que la mort attend les proies de cet Être du Néant.
Jour 16 - Célébrité // feat. Sayu
J'étais pas intéressée de faire une vrai célébrité en sirène (ce que je suppose la plus part des gens ont fait pour ce thème), donc je me suis tournée vers des célébrités fictives.
Et Sayu de "No Straight Roads" corresponds déjà très bien au thème ! Une idole virtuelle à l'instar de Hatsune Miku, mais avec tout le charme d'une "cutesy-wootsy pink mermaid <3" !
Quant à sa tenue sur ce dessin, il s'avère que j'avais eu l'inspiration de la faire avec une esthétique "Glamrock" en voyant quels avaient été les thèmes des années précédente. En l’occurrence, le thème "Superstar" est ce qui m'a inspiré.
"Glamrock", "Superstar", certains d'entre-vous aurons compris pourquoi j'ai fait le lien entre ses deux mots. =)
Jour 17 - Émotion
Et si... les autres apprenaient... au sujet de ton passé ?
Au sujet du monstre que tu étais ?...
Au sujet du monstre... que tu es peut-être encore ?
Tu... Tu ne... Tu ne veux pas...
Tu ne veux pas que ça arrive à nouveau.
Il n'y aura... aucunes réparations si ça arrive...
Tu ne veux pas leur faire du mal.
Tu te détestes.
Sale monstre.
Tu te sens...
Bon, en gros, juste parce que Humphrey va devenir un triton dans Out of the Abyss ne veux pas dire qu'il sera immunisé contre l'Angoisse™. Bien au contraire !
Jour 18 - Eaux Profondes // feat. Cookie Perle Noire
Personne n'entre dans la Mer Crépusculaire impunément...
Jour 19 - Levé de Soleil
Ouais, le soleil est très bizarre dans les rêves de Shichi. Elle-même ne sait pas si ce qui en sort à une quelconque signification.
Jour 20 - Music For A Sushi Restaurant
Bon, premièrement : je ne connais Harry Styles que de nom. Donc pour ce thème, je suis allé écouté la chanson. Elle est bonne.
Mais le clip vidéo, la vache ! O_O Les premiers et derniers instants me donnes des angoisses ! (c'était probablement le but, alors bravo.)
Je pressentais déjà que ça irait dans cette direction rien qu'au titre, donc on peut pas dire que j'ai été surprise non plus. Mais en voyant le clip, je me suis dit : "ouais, c'est DÉFINITIVEMENT le type de cauchemar que Shichi est capable d'avoir !"
Jour 21 - Body Positivity
Honnêtement, un bon thème pour s'exercer à faire le plus de personnages variés possible ! Et j'avais de toute façon l'intention de faire des personnages supplémentaires pour les futures actes de Out of the Abyss.
A part pour Léviathan et le petit poulpe dumbo, tout les personnages on été imaginé sur le tas en faisant ce dessin là ! J'ai même pas encore de noms pour tout le monde. Allons donc de droite à gauche pour les présentations :
Léviathan, basé sur les baleines bleues, est le plus grand de tous ! Il a des cicatrices laissé par des blessures causé par des pêcheurs. Dire qu'il en est fier serait inexacte, mais il n'en a certainement pas honte non plus. Elles sont pour lui un rappel de ce pourquoi il veux protéger son village.
Le triton-dauphin est maigre et on pourrait croire qu'il est souffrant, mais pas du tout. Il est juste bâtit comme ça.
Tout comme la sirène-régalec, elle est naturellement ronde. (Je trouve malheureusement que ce n'est pas très visible sur ce dessin, mais si on considère que c'est la première fois que je la dessine, je pourrait toujours amélioré ça les prochaines fois où je la dessinerai.)
Le poulpe dumbo, que j'appelle pour l'instant "Mahu", est bien un adulte. Ille est spécifiquement basé sur le pouple "fantôme pacman" qui est, d'après ce que je sais, le plus petit des poulpes dumbo. Et croyez moi que malgré sa taille, ille est très respecté en tant que chef spirituel du village .
La sirène-tortue de mer est une gentille vieille dame qui a du vitiligo. Même s'il est possible qu'elle s'en inquiétait plus jeune, à son âge maintenant, qu'est ce qu'elle en a à faire que ça peau n'en fasse qu'a sa tête ?
Et enfin, les deux jumeaux requins. Il est effectivement impossible de dire qu'ils sont basé sur des requins à cause de leur position sur l'image, mais c'est bien le cas, et leurs noms sont Ka'ahupahau et Kahi'uka. Oui, ils sont inspiré du mythe hawaïen sur des jumeaux mort-nés qui ont été ressuscités en requins et qui protègent maintenant les mers.
J'ai fait de Ka'ahu une albinos, se qui fait qu'elle est très sensible à la lumière du soleil et doit s'en protéger quand elle va à la surface. C'est pour ça qu'elle porte une cape (normalement traditionnellement porté par les hommes) en plus du fait que "Ka'ahupahau" voudrait dire "Cape en plumes bien entretenue". (En vrai, je suppose qu'on peut dire que j'ai fait d'elle une albinos pour justifier le fait qu'elle porte un cape.)
'Uka est très protecteur envers sa sœur et c'est pour cela qu'il lui manque un bras (et qu'il a une prothèse magique). "Kahi'uka" voulant dire "la queue qui frappe", cela me semblait normal de lui donner une personnalité protectrice, en plus de ce dont je me souviens vaguement avoir lu sur le mythe.
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*~ Deuxième semaine || Quatrième semaine ~*
Achetez-moi un petit Ko-fi ?
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