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#plaire à son ex
maraboutdjemey · 4 months
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vrai marabout du retour d'affection
omme son nom l’indique, le rituel du cadenas d’amour est très simple , vous venez nous avec le nom et prénom de la personne que vous voulez attacher pour qu’il ou elle soit a vous pour toujours
Rituel du cadenas d’amour pour attacher l’être aimé Comme son nom l’indique, le rituel du cadenas d’amour est très simple , vous venez nous avec le nom et prénom de la personne que vous voulez attacher pour qu’il ou elle soit a vous pour toujours, il vous suffit de confié cette rituel au fétiche Gambada , vous allez acheter un cadenas et venir vers nous afin que le rituel se faire devant vous ,…
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NSBC • Chapitre 5
Étrangement, alors que je devais partir au travail juste après, je n’y pensais que très peu. Il n’y avait qu’Edward dans ma tête. Mais j’allais très vite être ramenée à la réalité…
« BERRY ! »
Oups. Victoria me fait signe de venir dans son bureau. Elle n’a pas l’air très content…
« Ok, je n’ai qu’une chose à dire. Vous lui faites du mal, je vous fais vivre un enfer, et vous pouvez dire adieu à tout espoir de promotion. C’est clair ? »
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Aïe. Ça pique, comme menace. Mais venant de la personne qui lui a donné mon adresse, c’est gonflé, quand même… Nous nous sommes assises, elle à son bureau et moi à côté.
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« Pourquoi lui avez-vous donné mes coordonnés, alors, si vous ne vouliez pas que je le fréquente ?
– Premièrement, je n’ai jamais dis que je ne voulais pas que vous le fréquentiez. Juste que si vous lui faites du mal, ça va mal se passer pour vous. Deuxièmement, il vous a trouvé tout seul, comme un grand, parce que justement, je ne voulais lui divulguer aucune information sur vous.
— C’est… C’est gentil… »
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« Donc, j’espère que j’ai été claire…
— Oui, mais… Vous savez… Il n’y a rien de sérieux, pour l’instant… On s’amuse, c’est tout… »
Cette phrase n’a pas eu l’air de lui plaire.
« Écoutez, Edward s’attache très vite, même s’il le niera si vous lui demandez. C’est moi qui ait du recoller les morceaux à chaque fois qu’il s’est vu passer sa vie avec une fille qui finissait toujours par le larguer. »
Elle se lève et passe devant moi.
« Si vous lui faites miroiter des choses qui n’arriveront jamais, je m’occuperai de vous à votre tour. »
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A mon tour ? … Mais qu’est-ce qu’elle a fait aux ex-petites-amis d’Edward, exactement… ?! Un frisson me parcourt l’échine. Que ce soit du bluff ou pas, cette fille est réellement effrayante…
J’ai passé une sale journée au travail… Dès que j’étais dans la même pièce que Victoria, j’étais tendue. Et elle n’était pas beaucoup mieux, j’avais l’impression qu’elle essayait de me tuer juste avec ses yeux…
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Heureusement, j’ai pu travailler avec Pirus, et ça, c’était cool.
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Mais à la fin de la journée, une conclusion s’est imposée à moi… Il fallait que je parle à Edward.
Quand je suis rentrée, j’ai mangé un morceau et j’ai immédiatement tapé son numéro.
« Allô, Edward ? Oui, il faudrait qu’on parle de quelque chose, si tu pouvais venir…
— […]
— D’accord, je t’attends. »
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Il n’a pas mis longtemps à arriver. En fait, il habite peut-être pas loin, c’est pour ça qu’il m’a trouvée facilement…
Mais il faisait une tête d’enterrement.
« Bah alors, qu’est-ce qui t’arrives ?
— T’es fâchée, non… ? »
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« Fâchée de quoi ?
— Victoria a piqué une crise quand je suis rentrée ce matin, je savais qu’elle allait t’en faire voir de toutes les couleurs aujourd’hui, même si je lui ai dis de rien faire…
— Ah… »
Bon, au moins il connaît sa sœur, c’est le moins qu’on puisse dire… Je décide de lui raconter ce qu’elle m’a dit.
« C’est pas vrai, elle a pas dis ça ?
— Si… »
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Je l’ai invité à entrer pour qu’on puisse discuter plus tranquillement.
« J’en ai marre, on a 25 ans, bon sang, et elle me traite encore comme l’adolescent facilement corruptible que j’étais en effet…
— C’est normal, c’est une grande sœur.
— Jumelle.
— Oui, enfin, pour elle, c’est tout comme, d’après ce que j’ai compris. »
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Il soupire. Quelque chose me turlupine encore, cela dit…
« Mais, Edward… Elle a laissé sous-entendre qu’elle l’avait fait payer à tes anciennes petites-amies… C’est vrai ?
— Hahaha, elle t’a dis ça ? Bon, ce qui s’est passé, c’est que j’ai traîné avec des gens, dont des filles, pas très fréquentables à un moment donné. Et Vic, elle, était membre du club de boxe, et elle était plutôt douée. Alors il se trouve que quelques-unes des filles avec qui je suis sorti ont eu le nez cassé, mais elle avait vraiment des problèmes de la gestion de la colère à l’époque. On venait de perdre nos parents, tout ça… Jamais elle ne ferait ça aujourd’hui, elle a juste voulu te faire peur. »
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Ça explique pas mal de choses, dont son caractère de cochon…
« D’accord…
— Elle a beaucoup de prestance, et elle en joue énormément. Ne te laisse pas berner, c’est un conseil que je te donne. Si tu lui tiens tête, paradoxalement, elle t’appréciera davantage, je crois. »
Elle est compliquée, cette fille…
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« Et toi, tu fréquentes toujours des gens louches ?
— Eh ! Pas du tout ! Ouais, je sais, à cause du décès soudain de nos parents, on a un peu fait des bêtises… Elle se battait, moi je m’accrochais aux gens qui me donnaient de l’affection en dehors du cadre familial, même si elle était factice… Mais on a grandi, on a mûri, on a fait des études, maintenant tout va bien, je t’assure ! Mon intérêt pour toi est parfaitement sain ! »
Je ne peux m’empêcher de rire. Me voilà rassurée. Je décide de me blottir contre lui,  et de profiter de cette soirée pour continuer sur notre lancée et nous découvrir un peu plus.
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fuckuuufuckingfuck · 2 years
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C’est la 4e fois en 1semaine que je suis pris pour un objet. (J’allais employer les termes « considéré comme », mais un objet n’est simplement pas considéré).
1- J. ne m’appelle pas par mon prénom et emploie le pronom « il » pour parler de moi alors que je suis là. Au bout de plusieurs jours, je lui dis que ça me blesse, que je suis un être vivant et doté d’un prénom que je veux qu’on emploie. Je lui demande donc d’arrêter de faire ce qu’elle fait, ce à quoi elle me rétorque une phrase qui veut dire en résumé : non. Je cite « les prénoms sont pour les gens qui ne font pas ton travail. » ok. Venant de la part d’une meuf trans c’est encore plus culotté. Soit.
2-R veut qu’on se rapproche elle et moi. Elle m’explique que si elle n’a rien tenté quand on s’est vu quelques mois au paravant, c’est parce que notre ami commun lui a dit que j’étais pas quelqu’un de bien, que j’allais jouer d’elle, et tous les trucs horribles (et faux wtf) du genre. Donc là j’ai capté que mon « ami » a fait 2x ce genre de mouv pour m’éloigner de femmes qui pourraient me plaire et à qui je plais. Bref. Jack la chose.
3-J a parlé de moi hier. Elle a dit en gros qu’on a rien fait elle et moi à la soirée pcq la fille que je fréquente est sa pote, mais sinon on aurait eu un truc. Qu’elle avait de la chance qu’elles soient potes parce que sinon elle n’aurait pas été aussi sympa. Etc. Avec tous les trucs possibles. Je serai surpris qu’elle ait parlé de moi en employant mon prénom. Mais bon, je suis le mec chose, avec qui on peut baiser quand on veut, si on veut. Puis lui, on s’en tape.
4- j’ai vu une pote de mon ex avant-hier. On s’est croisé par hasard et on s’est vu dans l’âprem. Ça m’a fait beaucoup de bien de parler à quelqu’un que je ne connais pas, et je pense que ça lui a aussi fait du bien de discuter de certaines choses. Fin c’était cool, mais rien d’ambiguë du tout. Sauf que mon ex a pété un cable sur elle. Parce que Jack la chose on lui parle pas sans autorisation. On marque son territoire. Jack la chose on s’en fout de ce qu’il peut ressentir, parce qu’on décide pour lui.
Quand est-ce que dans vos vies vous avez décidez de devenir des merdes ?
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Étienne Capou, du foot au basket : est-ce la reconversion ?
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À 36 ans, Étienne Capoue, l'ancien milieu de terrain de Villarreal et international français, surprend les amateurs de sport en troquant temporairement ses crampons pour une paire de baskets. Après avoir quitté le club espagnol à la fin de la saison dernière, Étienne Capoue a trouvé une nouvelle manière de rester en forme : il s'entraîne désormais avec une équipe de basket espagnole évoluant en quatrième division. Un revirement étonnant pour celui qui, il y a encore peu de temps, brillait sur les pelouses de La Liga. Étienne Capoue : du basket au CB Jovens L'Eliana C’est au sein du club de CB Jovens L'Eliana, situé près de Valence, qu’Étienne Capoue poursuit sa reconversion au Basket. Loin des projecteurs du football de haut niveau, le joueur garde la forme en participant activement aux entraînements de cette modeste équipe de basket. Passionné de NBA depuis de longues années, ce passage temporaire sur le parquet reflète sa volonté de maintenir un haut niveau de forme physique tout en explorant une nouvelle discipline. Avec ses 1,89 mètre, Capoue possède une carrure imposante pour un joueur de basket amateur. Cette taille lui permet de bien s'intégrer aux tactiques de son équipe, même s'il reste encore en phase d’apprentissage. Le joueur n’a cependant pas encore reçu de licence pour évoluer officiellement en compétition. Pour le moment, il se contente de disputer des matchs amicaux, comme en témoigne sa participation lors d'une récente rencontre remportée par CB Jovens L'Eliana sur le score de 78-70 face à Morvedre. Voir également : Le vrai salaire de Neymar avec Al Hilal Une passion de longue date pour le basket Bien que son nom soit largement associé au football, Étienne Capoue n'a jamais caché son amour pour le basket, et plus particulièrement pour la NBA. Ce nouvel engagement en Espagne témoigne de cette passion qui l’accompagne depuis longtemps. En dépit de sa carrière footballistique bien remplie, il n'a jamais perdu de vue cette discipline qui le fascine autant que le ballon rond. Son sourire sur les photos partagées par le club sur Instagram montre d'ailleurs à quel point cette expérience semble lui plaire. Sur l'une de ces photos, où Capoue apparaît tout sourire, il est facilement reconnaissable comme étant le deuxième joueur debout à partir de la gauche. Ce cliché, largement partagé, a attiré l’attention des fans des deux sports, curieux de voir comment un ex-footballeur professionnel peut s'adapter à un tout autre univers sportif. Une reconversion encore temporaire vers le basket Malgré sa passion et sa motivation, Étienne Capoue reste pour l'instant limité dans sa participation au basket. Sans licence officielle, il ne peut prendre part qu'aux matchs amicaux. Cependant, son intégration au sein du CB Jovens L'Eliana est indéniable. Le journal espagnol Relevo a d’ailleurs été le premier à rapporter cette nouvelle inhabituelle, soulignant l’enthousiasme du club face à l’arrivée de cet ancien international français dans ses rangs. Si certains voient dans cette expérience une simple manière pour Capoue de rester en forme après la fin de sa carrière footballistique, d'autres estiment que cela pourrait marquer le début d'une réelle passion pour le basket, même si sa reconversion professionnelle reste encore incertaine. Seul l'avenir dira si Capoue ira plus loin dans cette aventure sportive. Une carrière footballistique qui laisse des traces Avant de faire parler de lui sur les parquets espagnols, Étienne Capoue a laissé une trace indélébile dans le football européen. Sélectionné sept fois en équipe de France entre 2012 et 2013, il a connu des passages marquants dans plusieurs grands clubs, dont Villarreal, où il évoluait depuis 2021. Au cours de sa carrière, il s'est distingué par sa puissance physique et sa polyvalence, des qualités qui semblent aujourd'hui lui servir dans sa nouvelle discipline. À Villarreal, Capoue a notamment remporté la Ligue Europa en 2021, participant activement à la victoire du club espagnol face à Manchester United lors d'une finale mémorable. Ce palmarès riche et prestigieux contraste avec la modestie de sa nouvelle équipe de basket, qui évolue dans une petite ville près de Valence. Cependant, ce changement radical témoigne de la capacité de Capoue à relever de nouveaux défis, quelle que soit l'envergure de ceux-ci. Étienne Capoue au basket : Un défi personnel La transition d'un sport à un autre, surtout à un âge avancé pour un athlète, est loin d'être simple. Toutefois, Capoue prouve que la passion et la détermination peuvent dépasser les barrières. Bien que sa carrière dans le football soit probablement derrière lui, il semble déterminé à rester actif et à explorer de nouvelles opportunités sportives. Le basket, sport exigeant physiquement et techniquement, pourrait être pour lui une manière de prolonger sa carrière athlétique, tout en se faisant plaisir dans un environnement convivial. Lire aussi : Rio Mavuba rejoue à 40 ans pour les Girondins de Bordeaux Une nouvelle page pour Étienne Capoue Le parcours d’Étienne Capoue est une belle démonstration de sa polyvalence et de sa soif de défis. À travers cette reconversion temporaire dans le basket, l’ancien international français montre qu'il est possible de rester compétitif, même après avoir tourné la page de sa carrière professionnelle. En attendant une possible licence pour jouer en compétition officielle, Capoue continue de s'entraîner avec sérieux au sein du CB Jovens L'Eliana, tout en cultivant sa passion pour un sport qui lui tient à cœur depuis longtemps. Le sourire qu’il affiche sur les parquets témoigne d’une chose : le plaisir du jeu, quel qu’il soit, ne connaît pas de frontières. Read the full article
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christophe76460 · 15 days
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COMMENT RÉSOUDRE CERTAINS PROBLÈMES QUI DIVISENT LES CROYANTS OU L'ÉGLISE ?
Chaque croyant ou chrétien doit savoir qu' il y a trois niveaux d'autorité pour conduire ou diriger la vie de l'église du Christ dans la doctrine, la pratique et la vie quotidienne.
1. LE PREMIER NIVEAU D'AUTORITÉ.
Les commandements divins mentionnés dans le Nouveau Testament ont une valeur ou l'autorité absolue. Ils ne se discutent pas et exigent l'obéissance sans condition. On peut citer quelques uns tels que : la foi, la repentance, le baptème, la sainte Cène, la prière et jeûne , aimer Dieu et son prochain, aimer son ennemi , rependre la bonne nouvelle du Christ , former les disciples. Matthieu 28 : 19-20.
2. LE DEUXIÈME NIVEAU DE L'AUTORITÉ.
Les pratiques des apôtres autrement appelées le crédo des apôtres . Ce sont des choses que les apôtres faisaient mais qui ne pas données en commandements . Ex. Baptiser les nouveaux convertis immédiatement, se réunir en conseil pour débattre un problème dogmatique. Actes 15. Ces méthodes sont bonnes, on peut se référer mais ne sont pas des commandements obligatoires.
3. LE TROISIÈME NIVEAU DE L'AUTORITÉ.
Les traditions et les règles d'hommes:
Ici on peut les adopter ou les rejeter si ça ne répond pas aux normes bibliques . On juge l'utilité de chaque action, est -ce que ça peut plaire à Dieu ? Ex. Baptiser les nouveaux convertis après les cours de catéchèse ? Fixer les journées des prières pour les femmes à part, les jeunes..., ouvrir les écoles de dimanches pour les enfants de ... à..... années ?
Jeûner pour telle ou telle activité spirituelle dans l'église ? Accepter les chorales ou l'animation spirituelle avant le message ou la prédication ? Ordination des femmes comme pasteurs ?
Pour la conduite d'une église locale, on a besoin de tous ces niveaux d'autorité, leur connaissance résout pas mal des problèmes entre les croyants et l'église , et nous aide avant tout à obéir à Christ.
Beaucoup de discussions proviennent du désir d'un groupe de croyants ou d'un chrétien hautain de vouloir prévaloir ses arguments pour dominer, prenant une pratique des apôtres ou une tradition humaine, il insiste sur ce sujet comme étant un commandement, dans un esprit légaliste . Et après, nous assistons à des accusations fallacieuses, et vaines discussions, sans fondement.
Prenons l'exemple de donner la dîme ou les offrandes, est-ce un commandement de Dieu ?, une pratique des apôtres ? une tradition humaine ? Si elle est une tradition humaine, on peut la pratiquer ou la rejeter, elle n'est pas un péché ni pour ceux qui les pratiquent ni pour ceux qui les rejetent. Pour ceux qui les pratiquent, que cela ne soit pas un objet d'exploitation des autres,ou d'enrichissement des dirigeants, elles doivent être gérées collégialement dans toutes craintes de Dieu, à des fins de l'église ( Envoi des missionnaires, apports à des veuves, orphelins, dons aux déprimés, déplacés des guerres, construction des infrastructures de l'église, hôpitaux, salles des réunions, écoles et universités....). Ces oeuvres peuvent être comptées parmi les bonnes œuvres. Tite 3 : 8.
Il faut faire attention du fait que certains commandements du Nouveau Testament ne sont pas respectés, on peut citer quelques exemples :
a) La foi : celle d'expérience ou intellectuelle remplace la foi authentique dans Herbeux 11.
L'homme d'aujourd'hui veut voir avant de croire,il aime ce qu'est sensationnel, ce qui touche aux sentiments par les images et les miracles. Le commandement sur la vraie foi ou la foi authentique est bafouée. On braque partout les miracles et les prophéties individuelles.
b) la prière et le jeûne : est-ce que la prière est aujourd'hui respectée ? Voyez Matthieu 6 : 5 - 8. On est devenu tous des hypocrites, tout est concentré sur le moi et on demande pour satisfaire ses désirs d'orgueil. Toutes les nuits ,on crie, tapages nocturnes, est-ce qu'on se rend compte des choses demandées à Dieu ? Dieu se place derrière sa parole pour l'accomplir et tient sur notre discipline d'accomplir ce qu'il nous demande de faire ? On ne peut pas outrepasser parce qu'on l'appelle : mon ami, mon mari....., le père des enfants....
Allons au verset 16, il y a un commandement : lorsque vous jeûnez......, le jeûne est devenu un simple exercice avec des communiqués dans les médias, toujours des cris : le dimanche, nous allons jeûner... nous allons.....
On n'oublie que la nature de Dieu est très souvent d'agir en secret. Trop de bruits, trop de tapages, multiplication des paroles, répétitions comme si on s'adressait à dieu de Baal. Pourquoi ?
Les chrétiens sont devenus des vrais impressionnistes, des m'as-tu-vu sans savoir qu'ils déshonorent leur Dieu, Maître des principes, le rendant plus que grand père ?
Il faut retravaille réellement : sur la foi, la repentance, les prières, le baptême , la charité, les jeûnes des prières, l'amour envers Dieu, envers son prochain, envers son ennemi ...qui sont les commandements de Nouveau Testament que sur les vaines divergences sur la loi, les généalogies, les dîmes et offrandes, les temples bâtiments et autres choses là.
Merci.
Connaissant les trois niveaux d'autorité de la Bible, peut-on répondre à cette question ?
Un chrétien baptisé au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit peut-il perdre le salut ?
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graphorrhee · 1 year
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Je suis lesbienne car je ne veux plus rien à voir à faire avec les hommes
Depuis le collège, lorsqu'on me pose la question, je me déclare bisexuelle. Mais cette question de ma bisexualité, je la remets en cause depuis déjà quelques mois, si ce n'est quelques années.
La vérité, c'est que je ne veux plus rien donner aux hommes, je ne veux plus rien à voir à faire avec eux. Je ne veux plus leur donner mon temps, mon argent, mes larmes, mes peurs, mes angoisses. Je ne suis jamais sereine avec un homme. Me ment-il ? Va-t-il me tromper ou l'a-t-il déjà fait ? Que pense-t-il réellement de moi ? Me dit-il la vérité ou me dit-il ce que j'ai envie d'entendre pour pouvoir me baiser après ? Va-t-il me faire mal à un moment ou un autre ? Que ce soit physiquement ou psychiquement ? Est-il avec moi par intérêt ? Est-il vraiment intéressé par ma personne ou suis-je simplement un trophée parce que je suis jolie ? Va-t-il un jour me hurler dessus ? Me frapper ? Me tuer ?
Je suis toujours dans cette attente d'être au mieux déçue, au pire blessée et meurtrie. Je me rends compte que mes posts sur ce Tumblr retracent en majorité des relations catastrophiques avec des hommes.
Non, définitivement, je ne veux plus rien leur donner. Je serai tellement plus sereine avec des femmes. Je me suis demandée récemment, est-ce que tu serais aussi angoissée à l'idée de rencontrer une femme et d'avoir une relation avec elle ? Non pas dans le sens d'une lesbophobie intériorisée, mais en comparaison avec les hommes. Est-ce que je ferai autant attention à ma tenue vestimentaire en vue d'un date ? Attention à être suffisamment confortable, mais pas trop pour paraître apprêtée. Être maquillée, mais pas trop pour ne pas paraître superficielle. Mettre des talons hauts, mais pas trop hauts pour que la personne ne se sente pas diminuée. M'épiler, avec le coût financier, temporel et douloureux que ça entraîne. Est-ce que je serai aussi anxieuse à l'idée de plaire, malgré mes kilos en trop ? Aussi anxieuse à l'idée de tomber sur un "bon gars" ou un connard ?
La réponse est toute simple : non.
Tout est tellement plus compliqué et anxiogène avec les hommes. Non seulement, il faut que nous restions baisables et parfaites en dépensant temps, énergie, argent pour qu'ils puissent baiser tranquillement, mais en plus ils baisent gratos et mal alors que nous, nous dépensons tant pour leur petit plaisir. Là encore, les dépenses ne sont pas seulement financières (s'il n'y avait que ça...), elles sont temporelles (combien de temps passer dans la salle de bains à me contorsionner dans tous les sens pour m'assurer que mon épilation est parfaite ?), elles sont douloureuses (épilation, coiffage, soin de la peau...), elles sont énergivores, elles sont angoissantes (vais-je plaire ? Suis-je suffisamment parfumée, maquillée, apprêtée, épilée, mais pas trop, pour lui faire envie), elles sont anxiogènes (va-t-il être respectueux et bien me traiter ?). Non, décidément, ce n'est pas pour moi. Tant d'efforts de notre côté, alors que du leur, un jean, des baskets, une capote dans la poche et c'est à peine s'ils prennent une douche avec un peu de liquide vaisselle. Et quand bien même on soit parfaite, leurs attentes seront toujours délirantes et hors d'atteinte, en témoigne ma dernière relation en date : monsieur voulait une femme avec un vagin pas trop large, sinon c'est un "puis sans fond" comme il a qualifié son ex, et avec des phéromones agréables. Des attentes sur lesquelles nous n'avons strictement aucun contrôle. Même au lit, je ne suis jamais sereine et détendue avec un homme. Il faut être parfaite pour son petit plaisir à lui. Il baise gratos avec une nana qui a fait moult efforts, et en plus il baise mal : sans savoir où se trouve un clitoris, en nous agrippant et nous empoignant le corps à nous broyer la chair, en faisant des va-et-vient comme s'ils essayaient de faire du feu, sans comprendre que ça ne suffit pas, en maltraitant notre poitrine, et finalement en s'allongeant comme des bêtes à côté de nous, la bite molle et le préservatif lâchement échoué au pied du lit que nous ramasserons après qu'ils soient partis.
Cette dernière relation a été le point de non-retour pour moi je pense. La manière dont il me racontait ses expériences avec ses ex. La manière dont il me racontait chaque détail intime de ces filles, leurs traumas, les surnoms qu'il leur donnait, les défauts qu'il leur trouvait, surtout au niveau sexuel... Ca me dégoûtait. Je ne voulais pas savoir et je ne demandais pas... Et il me racontait tout. Comment ne pas être angoissée ? Que dira-t-il de moi, que racontera-t-il de moi à ses prochaines conquêtes ? Comment m'appelera-t-il ? L'autiste ? Détaillera-t-il à une parfaite inconnue à quel point je suis stressée lors de la pénétration ? A quel point je suis complexée par mon corps ? Comment je réussissais à le faire jouir avec une fellation ? Bref, sera-t-il aussi indiscret avec elles ? Certainement...
J'ai fait le choix d'être lesbienne, mais suis-je donc une véritable lesbienne ? Être lesbienne en opposition à l'hétérosexualité, pour ne plus avoir rien à faire avec les hommes, fait-il de moi une vraie lesbienne ? On dit que l'homosexualité n'est pas un choix, cela s'impose aux personnes. Elles sont gays, point. Mais combien de femmes comme moi ont fait le choix de l'être pour ne plus avoir à subir les hommes ? Et sommes-nous de vraies gouines ? Ou alors restons-nous simplement bisexuelles avec le choix de ne frayer qu'avec des femmes ? Lectures : Les Hommes Hétéros le sont-ils Vraiment ? - Léane Alestra La Chair est Triste Hélas - Ovidie
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lignes2frappe · 1 year
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« TAKE CARE » CONTRE « NOTHING WAS THE SAME » : QUEL EST LE MEILLEUR ALBUM DE DRAKE ?
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Qui peut décemment contester le titre de meilleur rappeur des années 10 à Drake ? Surement pas Future qui sur cette période nous a refourgué le sempiternel même morceau, ni Kendrick Lamar, plus occupé à plaire à la critique qu’au public, et encore moins J.Cole dont personne n’a jamais pu écouter le moindre projet en entier sans piquer du nez.
Ça, et puis aussi et surtout le fait que l’on doit au Canadien Take Care et Nothing Was The Same, deux albums qui ont envoyé à eux seuls valdinguer 30 ans de posture dans le rap – on vous explique le pourquoi du comment ici et là.
Sortis en novembre 2011 et septembre 2013, ils continuent depuis de se tirer la bourre pour s’arroger la première au sommet de la discographie.
Le temps est venu de clore une fois pour toutes le débat.
La pochette
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Deux salles, deux ambiances. Dans le premier cas, un Drake pas encore totalement à l’aise avec son statut de superstar en devenir (malgré le faste du décor, il pose tête baissée, la mine presque déconfite). Dans le second cas, un Drake qui assume pleinement ses ambitions en calant ses pas dans ceux de ses illustres prédécesseurs (Nas, Biggie, Wayne...) avec une photo de lui enfant.
Si au jeu de la parodie, les deux sont ex aequo, Take Care remporte néanmoins d’un cheveu le duel pour sa plus grande originalité.
Les ventes
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En première semaine, les deux se tiennent avec un démarrage en première place des charts : 631 000 copies pour Take Care contre 658 000 pour Nothing Was The Same.
Sur le long terme, selon la très officielle Recording Industry Association of America, Take Care a toutefois mieux tenu la distance que Nothing Was The Same avec six millions d’exemplaires écoulés contre quatre .
Avantage Take Care serait-on tenté de conclure, à ceci près que l’album est sorti deux ans avant Nothing Was The Same et que ses certifications lui ont été attribuées en 2019, contre 2018 pour Nothing Was The Same.
Pas dit que les chiffres restent les mêmes à la prochaine mise à jour donc.
Les singles
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Difficile ici de diagnostiquer autre chose qu’une victoire par KO de Nothing Was The Same.
Non mais sérieux : Started From the Bottom qui à lui seul a fait croire aux gosses de classe moyenne qu’ils vivaient la vida loca, Hold On, We're Going Home qui depuis dix ans tourne dans tous les mariages et bar mitzvah (et qui dans dix ans tournera encore), Worst Behavior qui s’écoute en replay tous les jours où vous vous levez du mauvais pied.
Trois singles, trois hymnes (plus Angelica Charrupi dans le clip de SFTB).
Alors certes, en face Take Care ne démérite pas, quand bien même Drake est le premier à reconnaître que Headlines n’est pas son meilleur morceau, que Take Care sample un peu trop lourdement Gil Scott-Heron, et que H.Y.F.R. (Hell Ya Fucking Right) n’a pas nécessairement bien vieilli.
La production
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Take Care ou le disque qui marque l’avènement de ce fameux son « aquatique » qui a dominé dans rap cainri de la première partie des années 10 (clarté des rythmiques, sonorités rnb lancinantes et effets d’échos).
Un avant et un après que l’on doit à Noah ‘40’ Shebib, directeur artistique/producteur/tête pensante d’OVO, à la manœuvre sur la quasi-intégralité des morceaux.
Dans la même veine, Nothing Was The Same se fait néanmoins plus éclectique, ne serait-ce que parce que le pool de producteurs a été élargi (Majid Jordan, Mike Zombie, Boi-1da...), sans pour autant donner dans la compilation sans âme.
Un point pour l’influence de Take Care, un point pour la maîtrise de Nothing Was The Same, balle au centre ?
L’interprétation
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Conséquence directe du point précédent, Drake varie forcément plus les flows sur Nothing Was The Same (il va même jusqu’à faire du Soulja Boy sur Worst Behavior). Mieux, à l’image de Hold One We’re going Home, il chante beaucoup mieux qu’auparavant (comprendre : il sonne moins comme un canard), lui qui a entretemps bossé avec un coach vocal.
+1 pour Nothing Was The Same.
Les élans mélodramatiques
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Critère on ne peut plus important, si ce n’est le plus important de tous, tant Drake a bâti son identité artistique sur sa capacité à laisser libre cours à ses émotions.
Encore proche de l’auditeur moyen sur Take Care, l’ancien fils à maman de Toronto se livre au plus premier degré sur ses peines, ses doutes et ses tourments. Plus égocentré qu’égocentrique, il multiplie ainsi les moments de grâce, de ceux qui vous touchent par leur justesse et leur sincérité – lorsqu’il pose le genou à terre devant Rihanna sur Take Care, lorsqu’il se montre vulnérable sur Marvin’s Room, lorsqu’il part le cœur lourd sur Doing Wrong.
A contrario, sur Nothing Was The Same la connexion se fait moins aisément. Peut-être parce que l’on commence un peu trop à tomber dans la formule. Peut-être aussi parce que le old Drake n’est déjà plus qu’un souvenir.
La guerre des quotes
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Bien que Drake ne soit absolument pas reconnu comme un parolier d’exception, Take Care et Nothing Was The Same n’en ont pas moins régné en maître sur Instagram et Tumblr, leurs punchlines étaient reprises à foison en légendes ou en hashtags par tout ce que le réseau comptait d’amateurs de « lifestyle », de bandeurs de millionnaires et de filles du moove (on ne parlait pas encore de fit girls ou d’influenceuses).
De Started From The Bottom qui peut être citer du début à la fin (« I wear every single chain, even when I'm in the house »), au « Remember? Motherfucker never loved us » de Worst Beahaviour en passant par le très passif/agressif « I get it, I get it » de 305 to My City, il serait tentant d’accorder la victoire à Nothing Was The Same.
Avantage tout de même sur le fil à Take Care (oui, tout cela est éminemment subjectif) pour avoir popularisé l’amour du crew avec The Weeknd (« They loving the crew, they loving the crew, they loving the crew, woah »), pour avoir participé à propager épidémie de « YOLO » avec The Motto, et, bien sûr, pour avoir officialisé la division des auditeurs de rap en deux camps irréconciliables, « les renois qui se tapent des ch*ttes » et les autres (« I don't make music for niggas who don't get pussy » sur Lord Knows).
Les skips
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Take Care appartient-il à la longue liste des classiques du rap qui ne sont pas des albums parfaits ? (Et qui du coup ne sont vraiment des classiques ?)
À en juger par les quelques trous d’air que comporte la tracklist (Cameras, Good Ones, Look What You’ve Done...) cette dernière aurait gagné à être plus ramassée – 18 piste c’est toujours trop long, les morceaux bons-mais-moins-bons-que-les autres en pâtissent fatalement.
Cet écueil ne s’applique cependant pas à Nothing Was The Same qui, à l’exception de All Me (et encore, il s’agit d’un titre bonus), réussit sur ce point un sans-faute.
L’avis du Christ
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N’en déplaise à Lil Wayne qui en amont de la sortie de Take Care se demandait « qui pourrait, ne serait-ce que prétendre, être au niveau de Drake tellement il est sur une autre planète », l’intéressé a lui-même clôt le débat : « La musique que je propose est sur Nothing Was The Same est plus concise, plus claire. J’ai, je pense, mieux assemblé qui je suis sur cet album. Take Care est un grand album, mais quand je le réécoutais je me disais que je pouvais encore monter le niveau. Et je crois que j’y suis parvenu. »
Petit bémol toutefois, la déclaration en question a été enregistrée la veille de la sortie de Nothing Was The Same, en pleine campagne promotion. Pas certain qu’il faille lui accorder plus de poids que ça.
Verdict
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Pour qui voudrait s’en tirer par une pirouette sur cet épineux débat, sur Wu-Tang Forever, la quatrième piste de Nothing Was The Same, Drake balance que « ce qui compte ce n’est pas tant d’être le premier, c’est d’être le premier à bien le faire ».
Faut-il en déduire que Take Care est le brouillon qui a permis Nothing Was The Same ? Entre nous, en forçant un peu (BEAUCOUP) le trait, il y a des jours où on aurait presque envie de répondre oui.
Jamais publié.
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omagazineparis · 1 year
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Les erreurs courantes à éviter lors des premiers rendez-vous : ne tombez plus dans le piège !
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Vous avez enfin décroché ce fameux premier rendez-vous tant attendu, et vous êtes déterminée à faire bonne impression. Pourtant, il est facile de commettre des erreurs lors des premiers rendez-vous. Pas de panique, nous sommes là pour vous aider à les éviter ! Parler trop de soi : trouvez l'équilibre Écoute active et partage L'une des erreurs fréquentes lors des premiers rendez-vous est de trop parler de soi. Trouvez un équilibre entre partager vos expériences et écouter attentivement ce que votre interlocuteur a à dire. Montrez de l'intérêt pour l'autre et posez des questions pour approfondir la conversation. Évitez les sujets sensibles Les premiers rendez-vous ne sont pas le moment idéal pour aborder des sujets sensibles tels que la politique, la religion ou les ex-partenaires. Privilégiez des sujets légers et positifs pour créer une ambiance agréable et détendue. Être trop collante ou distante : maîtrisez votre attitude Respectez l'espace personnel Une autre erreur lors des premiers rendez-vous est de ne pas respecter l'espace personnel de l'autre. Veillez à ne pas être trop proche physiquement ou trop envahissante dans la conversation, mais évitez également d'être trop distante. Trouvez un juste milieu pour mettre votre interlocuteur à l'aise. Soyez authentique Restez vous-même lors de votre rendez-vous. Ne cherchez pas à adopter une attitude qui ne vous ressemble pas pour impressionner l'autre. L'authenticité est plus appréciée que les artifices. Faire trop de suppositions : laissez-vous surprendre Ne jugez pas trop vite Il est courant de faire des erreurs lors des premiers rendez-vous en jugeant trop rapidement l'autre personne. Gardez l'esprit ouvert et laissez-vous surprendre. Ne vous fiez pas uniquement aux apparences ou aux premières impressions, elles peuvent être trompeuses. Ne vous mettez pas trop de pression N'oubliez pas que les premiers rendez-vous sont avant tout l'occasion de faire connaissance et de passer un bon moment. Ne vous mettez pas trop de pression en cherchant à tout prix à séduire l'autre personne ou en imaginant déjà votre futur ensemble. Prenez le temps de vous découvrir mutuellement. Négliger son apparence : soyez au top, sans en faire trop Soignez votre présentation L'apparence compte lors des premiers rendez-vous. Sans chercher à être parfaite, veillez à être bien présentée et à porter une tenue adaptée à l'occasion. Montrez que vous avez fait des efforts pour plaire à votre interlocuteur. Restez naturelle Tout en soignant votre apparence, restez naturelle et évitez d'en faire trop. Un maquillage léger et une coiffure simple sont souvent plus appréciés qu'un look trop sophistiqué ou extravaguant. Sur le même thème : Comment gérer la jalousie dans une relation : conseils pratiques pour rester sereine Être rivée à son téléphone : privilégiez le contact humain Éteignez ou mettez en sourdine Les téléphones portables sont une source fréquente d'erreurs lors des premiers rendez-vous. Éteignez ou mettez en sourdine votre téléphone pour éviter les distractions et montrer à votre interlocuteur qu'il a toute votre attention. Concentrez-vous sur la conversation Profitez de ce moment à deux pour échanger et apprendre à vous connaître. Les réseaux sociaux et les messages peuvent attendre. En évitant ces erreurs lors des premiers rendez-vous, vous maximiserez vos chances de réussite et passerez un moment agréable. Rappelez-vous que l'essentiel est de rester vous-même et de profiter de la rencontre. Bon rendez-vous ! Read the full article
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MARDI 18 OCTOBRE 2022 (Billet 3/3)
S’il y a un endroit que nous avons bien « testé » à Paris, c’est « L’HÔTEL PARTICULIER ».
Jamais les 5 Suites de l’hôtel (qui sait, peut-être un jour nous louerons la 6e dont on parle à la fin du petit reportage ci-dessus…), mais le restaurant, oui. Dans le jardin plusieurs fois, mais aussi une fois, à l’intérieur.
C’est notre amie Rosario qui nous a fait découvrir cette adresse « secrète » (« discrète » serait plus juste maintenant…). Nous ne l’en remercierons jamais assez. Ensuite l’endroit est loin d’avoir déplu à Marie-Ange, Anne et Anthony, Maïlys et Jérôme, Marlène et Eliane, sans oublier Pamella avec qui nous avons dîné le soir du 14 juillet de cette année…
Marina, chargée d’enregistrer sur nos Box (on en a deux) des émissions susceptibles de nous plaire – petit rappel : nous ne regardons jamais la télé en direct, sauf les infos - sur C8, en a dégoté une qui s’appelait « Paris, la plus belle ville du monde » et que nous avons visionnée avant-hier soir. Et c’est dans ce programme que nous avons trouvé ce mini-reportage sur l’Hôtel Particulier (6 minutes). Un peu bling-bling certes, dû surtout aux commentaires grandiloquents du concierge mais que nous avons regardé quand même avec plaisir. Vous vous souvenez peut-être des nombreuses photos que nous y avons prises et publiées sur le Blog... Dîner dans les jardins de cet Hôtel est un vrai enchantement !
Nous dédions bien sûr ce Billet à tous ceux qui connaissent cet endroit (particulièrement Anne et Anthony, ils sauront pourquoi…). Ne ratez surtout pas les dernières minutes, le directeur va vous conduire vers la 6e Suite, à 100 mètres de son hôtel… Elle est encore en plein travaux mais vous allez y voir quelque chose d’absolument EX-TRA-OR-DI-NAIRE !!! Et nous vous jurons que nous n’exagérons pas !
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mediumhounkpe · 2 years
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Comment récupérer son ex à distance pour de bon
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agbidi · 3 years
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comment faire revenir son homme
comment faire revenir son homme
Tout le monde dit que l’amour fait mal, mais c’est faux. La solitude fait mal, se faire rejeter fait mal, perdre quelqu’un fait mal. Tout le monde confond ces petites choses avec l’amour, mais en réalité, l’amour est la seule chose dans ce monde capable de faire fuir tout ce mal et te faire sentir.. grâce a ce rituel votre homme ou votre femme reviendra pour vousComment réussir à faire revenir…
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maria03648763 · 3 years
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We don’t have to worry about’ nothing
Lorsqu’Eliott arriva en cours mercredi matin, il vit tout de suite Greg et Lionel, aux côtés d’Hortense et de Célia, qui discutaient avec animation, et il se maudit d’avoir permis à leurs deux groupes de se rapprocher :  
Qu’est-ce qui t’es arrivé ? Demanda Célia en apercevant Eliott. Je crois que je ne t’ai jamais vu arriver aussi tard. 
Si hier, déclara aussitôt Hortense. 
J’étais aussi en retard hier, répliqua Eliott. Mais mon réveil n’a pas sonné, c'est tout. 
Deux jours de suite ? T’es sûr que ça va ? Demanda Hortense en plongeant son regard dans celui de son ami, ayant très bien vu le coup d'œil fuyant qu’il avait échangé avec Greg. 
Tout va bien, tout va très bien, répondit Eliott en ne relevant pas les yeux vers son amie. 
T’as l’air crevé mec. La nuit a été agitée ? Demanda Lionel, un sourire grivois naissant sur son visage. 
En entendant les paroles de Lionel, Eliott roula les yeux, se retenant de cogner sa tête contre le plan de travail en face de lui ou de quitter tout de suite la salle de cours alors qu’il se rappelait du fiasco de lundi soir. Ne sachant que répondre sans montrer sa vulnérabilité, fondre en larmes ou se mettre à s’énerver contre lui-même, Eliott se contenta de reposer son regard sur le plan de travail en face de lui. Avant que Lionel ou quiconque d’autre ait eu le temps de rajouter quelque chose, la cheffe Armand entra dans la salle et Eliott bénit son arrivée. Il n’avait pas la foi de subir un interrogatoire en règle pour le moment et se sentait pathétique de ne plus oser regarder Greg dans les yeux. Malheureusement, ou heureusement pour lui, les deux hommes se retrouvèrent à des îlots différents mais toutefois peu éloignés, les forçant à avoir toujours l’autre sous les yeux. Eliott n’avait jamais ressenti la moindre difficulté à revenir vers Greg, motivé par son amour à se montrer présent pour lui quoiqu’il arrive, si bien que les deux hommes n’étaient pas restés loin de l’autre ou fâchés plus d’une journée, mais cette fois, il était empli d’une peur panique à l’idée de l’approcher à nouveau. L’ampleur de ses sentiments avait fortement grandi depuis leur premier baiser, et l’officialisation de leur relation faisait que l'histoire qui n’appartenait précédemment qu’aux deux hommes était désormais une histoire dans laquelle n’importe qui pouvait mettre son grain de sel, que ce soit pour les aider ou semer la zizanie. Lorsque Greg répondit à Hortense d’un ton hautain et méprisant alors qu’elle lui avouait savoir qu’ils n’avaient pas réussi à faire l’amour : “Oh c’est bon tout l’institut est au courant pour mes histoires de cul c’est génial. “, Eliott vit rouge. 
Tu pouvais pas la fermer  ? Dit-il sèchement à Hortense.
Puis regardant Greg, il s’exclama : 
Et toi t’étais obligé de dire ça ?! Tu fais chier ! 
Sans pouvoir le contrôler, Eliott exprima sa frustration en lançant par terre un bac rempli d’épluchures, surprenant son copain. Que Greg et ses amies soient au courant de sa situation ne le dérangeait pas, il les savait suffisamment attachés à lui pour ne pas se moquer ou faire des vannes stupides. Mais il sut dès que Greg ouvrit la bouche que, impulsif comme il était, il ne pourrait que lui rendre la situation plus difficile à vivre sans le vouloir. Et à croire que l’impulsivité de Greg commençait à déteindre sur lui, Eliott entra dans son jeu en passant ses nerfs sur ce pauvre bac d’épluchures. A peine l’eut-il vu tomber sur le sol que le bruit sembla lui remettre les idées en place et sans mot dire, il alla chercher un balai et une pelle pour les ramasser. Eliott reprit ensuite sa recette, tentant du mieux qu’il pouvait de se concentrer sur autre chose que le sentiment de peur et de honte mêlées qui l’animait. Lors des rapides coups d'œil qu’il lançait furtivement à Greg, ignorant du fait que celui-ci faisait la même chose de son côté, il lui sembla lire sur son visage les mêmes sentiments, doublés d’une forme de culpabilité. Durant tout le cours, il fut impossible pour Eliott de se concentrer pleinement sur sa recette, le conduisant à faire des erreurs stupides que la cheffe lui signala sans toutefois se montrer trop sévère.
Vous allez bien Eliott ? lui demanda-t-elle avec sollicitude avant de s’éloigner de son plan de travail. 
Oui cheffe, j’ai juste… Beaucoup de choses en tête. Mais ça ne se reproduira pas. 
Quand la cheffe ne fut plus dans son champ de vision, Eliott ne put s’empêcher de prendre sa tête entre ses mains et de frotter ses yeux avec le bout de ses doigts, comme pour se remettre les idées en place. Lorsque la cheffe Armand arriva devant l’assiette de Greg pour la goûter, elle fronça les sourcils devant le visuel du plat mais ne dit rien. Après avoir pris une bouchée, sa mimique se transforma et elle dit : 
Vous avez fait des erreurs de débutant aussi Greg. 
Oui cheffe mais ça ne se reproduira pas. 
Bien malgré lui, son regard se déporta vers Eliott avant de revenir se planter sur la cheffe Armand. Celle-ci regarda les deux hommes qui semblaient tous les deux fatigués, tristes et préoccupés avant de sourire doucement, ayant parfaitement remarqué les regards furtifs qu’ils avaient échangé tout au long de son cours. La journée s’écoula lentement tandis que les deux hommes parvenaient une journée de plus à ne pas se parler, ne sachant quoi dire à l’autre, mais échouant dans leur tentative de chasser l’autre temporairement de leur esprit. La fuite d’Eliott était dans leurs deux esprits, et celui inquiet et empli de culpabilité de Greg repassait le moment en boucle, tentant avec acharnement de comprendre ce qu’il s’était passé. Lorsqu’ils furent libérés à la fin de la journée, ils sortirent de la salle avec Lionel, Célia et Hortense qui tentaient laborieusement d’alimenter la conversation face au mutisme et au manque d’attention de leurs amis respectifs. Comme si le karma avait décidé de leur jouer un tour, ils tombèrent nez à nez avec Charlène. Celle-ci, sous prétexte de saluer Hortense, se rapprocha du groupe, posa un regard intrigué sur les deux hommes et ne put s’empêcher de cracher son venin : 
C’est quoi ces têtes de déterrés les mecs ? Première crise de couple ? 
Eliott releva la tête comme s’il ne l’avait pas entendu et allait s’éloigner quand Charlène s’exclama avec colère : 
Eh ! Je te parle boloss ! 
Oh désolé Barbie, fit mine de s’excuser Eliott, arborant un grand sourire alors qu’il se retournait vers elle, mais je ne vois pas les garces égoïstes manipulatrices. 
Greg, Lionel, Célia et Hortense échangèrent un regard stupéfait : il était si rare de voir Eliott baver sur quelqu’un que lorsque cela arrivait, le phénomène était spectaculaire. 
T’as dit quoi là ?! Demanda Charlène en avançant d’un pas menaçant vers le jeune homme. 
Tu n’as pas d’oreilles en plus de ne pas pouvoir penser à quelqu’un d’autre que toi sérieux ? Rétorqua Eliott sans se laisser démonter. 
Toutefois, une pointe de tristesse plus forte que lui traversa son regard lorsqu’il réalisa que Greg était pile derrière Charlène, dans son champ de vision. Elle, au moins, ne s’était sûrement pas enfuie alors qu’elle allait coucher avec Greg, se dit-il. Eliott secoua la tête, tentant difficilement de ne pas craquer avant de tourner les talons et de s’éloigner à grands pas. Greg avait suivi l’altercation entre son ex et son copain attentivement et cria, lorsqu’il vit Eliott s’éloigner : 
Eliott attends ! 
Les jeunes hommes s’étaient évités la veille, étaient parvenus à reproduire le phénomène le lendemain, mais Greg voulait savoir ce qu’il se passait car Eliott n’avait vraiment pas l’air dans son état normal. Il s’élança à sa poursuite et parvint finalement à l’attraper par le poignet. Lorsqu’Eliott se retourna, Greg vit que les yeux du jeune homme étaient brillants de larmes contenues. Ne sachant pas encore quoi dire, Greg se contenta de prendre le jeune homme dans ses bras et de le serrer contre lui en caressant doucement le dos. 
Eliott qu’est-ce qui t’arrive ? 
Sans lâcher le jeune homme, Greg les conduisit dans l’amphi, et une fois qu’ils furent enfin à l’abri des regards, il reprit :
C’est.. C'est à cause de moi ?  De tout à l’heure lors du cours de la cheffe Armand ? De lundi ? J’ai fait quelque chose de mal ? 
Eliott secoua la tête. 
Alors qu’est-ce qui t’arrive ? 
Face au mutisme d’Eliott, qui ouvrit et ferma la bouche plusieurs fois sans parvenir à parler, Greg dit doucement : 
Eliott, regarde-moi s’il te plaît et parle-moi.  
Eliott plongea son regard dans celui de Greg et y lut tant d’amour et d’inquiétude qu’il murmura : 
Je me sens pathétique. 
Pathétique ? Parce qu’on a passé les deux derniers jours à s’éviter du mieux que l’on pouvait ? 
Par exemple, oui. Mais aussi pour m’être enfui lundi soir. J’ai paniqué. 
Paniqué ? Dit Greg en fronçant les sourcils. Mais pourquoi ? Ne me dis pas que… c’est ta première fois, souffla Greg, une lumière s’allumant enfin dans son esprit. 
Eliott hocha la tête sans parler tandis que Greg murmurait : 
Je comprends mieux. Tu avais l’air tellement sûr de toi pourtant. 
Toi aussi, répliqua Eliott, mais je pouvais sentir ta nervosité quand je suis rentré dans la chambre lundi. C’est notre première fois à tous les deux, c’est normal que l’on ne soit pas aussi à l’aise qu’on le voudrait.
De quoi as-tu eu peur ? Demanda Greg en prenant une main d’Eliott entre les siennes. 
Que tu te moques de moi, de ne pas être à la hauteur…Je pense que tu te rappelles très bien mes provocations, entre t’apprendre à sucer ou te frotter le dos et ailleurs sous la douche. Et finalement je n’ai rien fait, jamais, avec personne. En plus, c’est la première fois que tu fais l’amour avec un homme et je voulais que ce soit parfait. 
Greg sourit tendrement devant la confession d’Eliott et allait répondre quand Eliott poursuivit, soudainement intarissable : 
Quand tu as commencé à prendre les devants lundi soir, j’ai eu peur que tu ailles trop vite trop loin. Je suppose que j’avais aussi peur de ne pas réussir à te donner du plaisir, à te plaire et de ne te faire aucun effet. Je t’ai déjà confié que je te trouvais beau, mais tu ne m’as jamais dit ce qui te plaisait en moi. 
Tu as un sourire à tomber, commença Greg. Lundi, quand tu as détaché tes cheveux, j’ai cru que j’allais m’embraser sur place tellement tu étais sexy. Que dire de tes yeux ? Je ne peux pas résister à ton regard, j’ai l’impression qu’il peut lire jusqu’aux tréfonds de mon âme. Et tu embrasses magnifiquement bien. A chaque fois que tu poses tes mains sur moi, c’est comme si tu déclenchais une étincelle, et je craque encore plus quand tu passes tes mains dans mes cheveux. Je ressens tellement de choses à ton contact. Tu es magnifique Eliott, ajouta Greg en caressant doucement le visage du jeune homme. A l’intérieur comme à l’extérieur.
Quand Greg eut fini ce monologue qu’il avait tenu sans baisser la tête, son regard revenant systématiquement à Eliott, il sourit avant de reprendre : 
Et si d’aventure il t’est arrivé de craindre que je t’envoies balader ou que je me moques de toi parce que tu n’es pas encore prêt à faire l’amour, sache que… 
A ce moment-là, Greg fit une brève pause pour rassembler son courage avant de déclarer : 
Sache que je t’aime. Je t’aime Eliott, à un point tel que ça me ferait presque peur si je n’étais pas aussi heureux. Et j’ai envie de découvrir ton corps, comment te donner du plaisir, connaître la sensation de ta peau contre la mienne ou de ne faire qu’un avec toi. Mais on ira à ton rythme, sans se presser, ensemble. Je ferai tout ce que je peux pour t’aider et te mettre pleinement à l’aise. Et je serais patient.
Le jeune homme vit les yeux d’Eliott s’emplir de larmes, mais c’était des larmes de bonheur, avant que son copain ne se rue vers lui pour le prendre dans ses bras, un sourire éclatant sur les lèvres. 
Je t’aime aussi Greg, murmura Eliott à l’oreille du jeune homme. 
Pendant plusieurs minutes, les deux hommes restèrent à s’étreindre sans rien dire, savourant le simple fait d’être ensemble, d’avoir enfin discuté et de s’être avoué leurs sentiments. Quand ils relâchèrent leur étreinte, Greg embrassa doucement Eliott qui lui rendit son baiser avant de poser son front contre le sien, heureux. 
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christophe76460 · 3 months
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Samedi le 22 Juin 2024 ❤ 🙏 Version audio cliquez ici: https://jmp.sh/rgIUqEaN
Texte de l’encadré :
« Dieu récompense ceux qui le cherche » Réf: (Heb 11:6)
Psaumes 130:5 (PDV)
« J’attends le Seigneur, je l’attends de tout mon cœur,
j’ai confiance en sa parole »
Environ deux millions d’Hébreux rassemblés au pied du Mont Sinaï attendaient impatiemment que Moïse revienne pour les conduire au nom du vrai seul Dieu invisible. Avec le sentiment d’être abandonnés, ils se proposent de substituer le Dieu invisible de Moïse en un veau d’or : « Et ils dirent : C'est ici ton dieu, ô Israël ! qui t'a fait monter du pays d'Égypte. » Ex 32 :4b (FRDBY), ce fut une abomination aux yeux de l’Éternel. Parallèlement, nous voyons de nos jours un monde qui substitue facilement le bien en mal, justifiant leurs désirs jusqu’à normaliser l’usage des drogues : « Le dieu mauvais de ce monde a rendu leur intelligence aveugle. Alors ils ne voient pas briller la lumière qui est dans la Bonne Nouvelle. C’est la lumière de la gloire du Christ, lui qui est l’image de Dieu. »2 Cor 4:4 (PDV). Les distractions nuisibles du Net tel la porno et l’impureté sexuelle jusqu’à provoquer la confusion chez les enfants en quête d’identité. Dans des milieux scolaires où les enseignants reçoivent même une formation pour orienter les enfants vers des aberrations allant jusqu’aux changements de sexe, bafouant ainsi l’héritage génétique, ils légalisent le tout à l’insu même des parents dont on enlève les droits sur leurs enfants ; sans parler de l’avortement qui se pratique comme l’extraction d’une dent alors qu’il s’agit d’un enfant à naître. En contrepartie à tout ce qui est de l’esprit du malin, nous observons un grand réveil mené par l’Esprit Saint du Dieu invisible de Moïse en la parole de grâce et de consolation que nous répandons en toute nation, les baptisant « au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit » (Mt 28:19). Tous membres du corps de Christ dont Jésus est la tête s’agrandissant et chantant sa louange d’un même cœur, tous issus de la repentance et de la rémission des péchés, œuvrant au bien, oui, appelés de Dieu, sortez des ténèbres et de la confusion en priants ainsi : « Garde mon âme et sauve-moi ! Que je ne sois pas confus… Toi, mon refuge ! » Ps 25:20. En Dieu qui est Amour et vérité en Jésus-Christ rien ne manque pour échapper et d’être préservée dans les jours qui s’assombriront davantage jusqu’à perdre ensuite une grande multitude sous le règne de ‘’ l’homme du péché et de la perdition’’ Voir (2 Thes 2:3). Expérimentez son amour et la parole de vérité : « Ainsi, en montrant sa bonté pour nous dans le Christ Jésus, Dieu a voulu prouver pour toujours la richesse extraordinaire de ses bienfaits. En effet, vous êtes sauvés grâce à la bonté de Dieu, et parce que vous croyez. Cela ne vient pas de vous, c’est Dieu qui vous donne le salut » Éph 2:7-8 (PDV) Alléluia !
Hébreux 11:6 (PDV)
« Personne ne peut plaire à Dieu s’il ne croit pas. Celui qui s’approche de Dieu doit croire ceci : Dieu existe et il récompense ceux qui le cherchent » ❤ 🙏
Pour Jésus Christ Seul médiateur avec Dieu par le sang de son alliance
Texte illustration Denis LaPierre
@super
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boucherie-heroique · 4 years
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6 persos challenge by @mysterious-corvidae​
ARISTIDE, 39 ans, avocat droit criminel, univers HP marauders, ft. raphaël personnaz (moodboard)
(BACKGROUND) ari c’est le perso que j’ai joué le plus longtemps sur maintenant trois forums différents, tous anglophones, et que je suis justement en train de ressortir de son placard une nouvelle fois. c’est aussi celui qui a le plus changé au fil du temps. 
(tw : sex addiction, mort, dépression, relations toxique)
(CE QUI NE CHANGE PAS) ari au départ, c’était un ramassis de clichés français cousus à la va-vite pour débarquer sur le forum d’une amie. il boit trop, il fume trop, il baise trop. il est riche, il est arrogant, il parle français tout le temps. because why not. 
bâtard de sang-pur, enfant mal-aimé, maman n’en a jamais voulu, papa en avait honte. il passe ses premières années en france dans une solitude terrible à vouloir plaire à une mère qui n’en a que faire. vers 8 ans, son père finit par le récupérer pour l’élever au royaume-uni avec son frère qui a le même âge que lui. celui-ci fait office de la première main tendue, d’un ami qu’il n’a jamais eu. aveuglé par ce lien familial fort, ari pardonne toujours tout à son grand frère qui pourtant est un homme terrible. c’est en le sauvant contre son premier problème judiciaire que ari sera inspiré pour en faire son métier. 
professionnellement, sa vie est extrêmement réussie mais sa vie personnelle est une catastrophe - a true disaster queer ™. il a quelques problèmes de fidélité, en raison d’un très mauvais rapport entretenu avec sa sexualité et l'amour. il a un besoin maladif d’être désiré, ne supporte pas être seul mais a une fâcheuse tendance à l’auto-sabotage, en surtout attiré par des personnes qui ne sauront pas l’aimer et à faire imploser toute relation avec les rares âmes décentes qu’il a connu. 
fait intéressant, ari devait être un personnage fun, sans prise de tête, en étant clairement un connard. au fil de mon jeu pourtant, c’est un côté très tragique qui s’est dessiné. 
(THE GOOD) commençons pas la fin et la dernière itération du personnage dont je suis en train de finaliser la fiche. après des années à nager dans une neutralité entachée. ari réalise finalement qu’il est décidément du mauvais côté de la guerre et utilise ses connexions professionnelles mais surtout personnelles pour s’immiscer plus profondément dans le cercle mangemort et glaner des informations pour l’ordre du phénix. un bel arc de rédemption toussa toussa. seul bémol, ari est absolument terrifié et dépassé par les évènements et ne sait absolument pas ce qu’il fait. sans compter que son ex toxique vient également d’être libéré d’azkaban sous le nouveau gouvernement fasciste *dum dum dum* drama incoming
(THE BAD) à la base, ari est un personnage avec une éthique assez grise, il a un penchant pour le mauvais côté de la force ™ mais n’est pas encore pourrie jusqu’à l’os. cette version du personnage devait le faire sombrer plus profondément dans ses pires travers dans une quête pour toujours plus de gloire et l’argent. 
(THE UGLY) ari fait l’erreur de tomber amoureux d’un né-moldu qui mène une double vie de terroriste anti-puriste. il comprend peu à peu ses erreurs et préjudices. mais alors qu’il pensait enfin avoir trouvé l’amour, ce dernier est assassiné par son propre frère sur ordre des mangemorts. ari est rongé par la culpabilité et tombe dans la dépression, peine à continuer à défendre ses clients (dont la plupart sont mangemorts, donc la pression est énorme). un peu moins d’un an plus tard, un autre ex décède aux mains de l’ordre cette fois et ari, inconsolable, tente quelque chose de très stupide.  il est persuadé qu’il est maudit et que toute personne qu’il aime finira assassinée et qu’il ferait mieux de rester seul pour toujours. et avec un peu de chance, ce ne sera pas si long que ça... 
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French/Français : Leona Kingscholar X Readerfem! provocatrice
Pour la compréhension de tous, le Reader est une femme et possède la capacité de renforcer ses muscles. Cependant, ça la fatigue énormément ! Bonne lecture.
Pas de Lémon/nsfw
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Durant la nuit, j'entends au loin Grim tousser. Ce n'est pas de la comédie j'ai l'impression.
C'est au lever du jour que je constate que mon compagnon de chambre grelotte, m'approchant, je le réveille doucement et il m'annonce ne pas se sentir bien. Soupirante, je lui fais remarquer qu'il avait pris un bain froid soi-disant pour que ses poils soient doux. Me râlant dessus, il éternue tout en se pelotant sous la couette. Touchant son front, je lui demande de m'attendre le temps que je me prépare. Vêtement et masque enfilé, je pose sur mes épaules mon manteau puis y met Grim sur moi avant de refermer le tout. Je dois le maintenir à sa température, le pauvre n'a même plus la force de protester.
Dans l'allée principale, j'ai l'air d'une femme enceinte mais la tête de Grim ressort un peu pour prendre l'air. Entendant mes amis au loin, je les salue puis Deuce s'inquiète de ma santé en pensant me servir de Grim comme d'un chauffage. Chose à quoi je réponds en exposant l'intelligence de mon compagnon. Ace se moque de lui mais le pauvre est tellement faible qu'il a seulement la force de le regarder méchamment. J'annonce au garçon que je pars afin d'amener Grim à l'infirmerie. Ace me conseille de ne pas arriver en retard au cours de Crewel et j'hoche simplement la tête.
L'animal déposé, le mot d'excuse de son absence et de mon retard en poche, je fonce directement en cour. Lorsque mon professeur ferme la porte, j'arrive à m'engouffrer dans celle-ci sous les petits applaudissements d'Ace. Il n'en rate pas une !
- Puis-je savoir la raison de votre retard Fuyu, me demande Crewel menaçant.
- Eh bien, ris-ai-je un peu en voyant son fouet frapper doucement sa main. Grim est tombé malade, je l'ai amené à l'infirmerie... Voici nos mots.
- Hum, prononce-t-il en les regardant. Je vais prendre votre mot de retard, espérant que ce genre de chose ne se reproduise pas.
- Oui monsieur, m'excuse-ai-je en m'asseyant.
- Bien, mise à part l'absence de Grim... Tout le monde est présent. Le proviseur a jugé bon de vous offrir un avant-goût de ce que vous aurez lors des deux prochaines années. Pour ce faire, vous serez sous la tutelle d'un de vos aînés durant une journée complète. Cette journée se déroulera demain, comptant sur vous pour vous comporter comme de bon chiot face à vos aînés. Si j'ai vent d'un quelconque comportement indésirable, vous aurez le droit à une punition exemplaire.
- Oui, annonce tout le monde.
- Bien, sur ce, commençons.
Durant le cour, je me concentre du mieux que je peux, demain risque d'être fort intéressant !
En sortant de la classe, quelqu'un me rentre dedans, sous mes protestations, j'y aperçoit Leona. Bon sang, son commentaire sur le fait que je lui ai rentré dedans m'agace. Je lui fais remarquer que je sors de ma classe et qu'il est un peu sur mon chemin. Il réplique que c'est son chemin et qu'il ne m'a pas vu à cause de ma taille. Protestant pour défendre mon 1 mètre 70 si chèrement acquis, il souffle simplement des narines avant de partir. Deuce me conseille de ne pas trop l'énerver mais Ace m'encourage à entrer dans cette voie. Me tournant vers eux, j'annonce que je ne pense pas être avec Leona pour demain. Avouant même que ce serais le comble de tomber sur lui comme accompagnant demain. Après tout, je vais seulement apprendre à sécher les cours et à procrastiner.
Lors de nos attributions, je regarde en rage l'emploi du temps ainsi que le nom de mon accompagnateur
- Vous sentez cette odeur les gars, demande-ai-je.
- Laquelle, me demande Deuce.
- L'odeur de la putain d'ironie, dis-je en montrant ma feuille. J'ai Leona Kingscholar.
- Super, râle la voix de mon accompagnateur. De tous les herbivores potables, il fallait que je tombe sur la pire.
- Je te rassure, t'es pas un cadeau.
- Tu devras me suivre et ne pas trop faire de bruit. C'est une chance pour toi de te tenir à mes côtés alors ne la gâche pas inutilement.
- Oui, oncle Leona, souris-ai-je.
Sous ses grognements, Crewel nous souhaite une bonne journée. Regardant les garçons, ils m'envoient tout leur courage et leur soutien. Allez, courage T.P, c'est juste 8 heures à être à ses côtés. Même si ce sera 8 heures de luttes acharnées. Attendant qu'il parte, je regarde notre emploi du temps, c'est cour de potion. En plus avec Crewel, ça risque de donner. Mais je ne tiens pas à lui donner raison, à la moindre occasion, je prends le bâton qu'il me tend pour lui frapper les chevilles.
Après avoir enfilé nos tenues de chimiste, je me tiens prête à voir ce que donne les cours de potions. Se plaçant au centre de la pièce, le but est d'aider nos aînés dans la préparation d'une potion. Celle-ci demandant à être préparé avec le plus grand soin, celui qui dirige le tout est notre aîné mais le professeur nous offre tout de même les étapes ainsi que des photos en couleur comme référence. Au moment où la feuille tombe dans mes mains, Leona s'empresse de la prendre en m'ordonnant de ne pas trop interférer dans sa manière de faire.
Non mais ! Pour le moment, et même si ça m'embête, je me surprends à admirer sa précision concernant les dosages. Je me contente de faire les mélanges de mon côté afin de bien être vu par le professeur. Quand la prochaine étape arrive, je prends l'ingrédient mais Leona m'arrête en disant que je me trompe. Je lui répète que non en se basant sur ce que pouvait donner cet ingrédient avec la couleur sur la fiche. Riant à mon nez, je prépare rapidement la potion pour arriver à la même étape. Tendant le tout à Leona, je lui annonce qu'on va voir qui a gagné. Lorsque le professeur passe à côté de nous, il nous demande la raison pour lesquels il y a deux potions. Souriante, je coupe Leona qui allait se donner raison, j'explique alors au professeur qu'on a eu un différent et qu'il voulait voir qui avait raison dans l'histoire. Regardant Leona, j'ajoute que même nos ainés peuvent faire des erreurs. Le prof hoche simplement la tête tandis que Leona grogne toute sa haine sur moi en disant simplement avoir de la chance. Il ne veut simplement pas avouer que j'ai eu raison.
Au cours de Trein, je ne suis pas étonnée de le voir dormir en moins de 3 secondes. Voyons le bon côté des choses, il fait acte de présence. Remarquant le regard du professeur sur mon accompagnateur, je le réveille brutalement en lui marchant sur le pied. Râlant de ce que j'ai fait, le professeur demande à Leona de ne pas amener une de ses élèves prometteuses vers le bas. Je souris alors et remercie le professeur de ce compliment. En y ajoutant même, à voix basse, que ma présence pourra peut-être l'aider.
En sport, je m'échauffe avec Leona qui ne semble toujours pas ravis. C'est un 500 mètres, bien que je ne doute pas des capacités de mon partenaire, j'aimerai voir jusqu'où peuvent aller mes pouvoirs. Un renforcement musculaire n'use pas beaucoup de magie, j'ai appris à respirer avec Deuce et Jack. En plus de savoir correctement courir ! Le lion ne refusera jamais un défi, surtout si c'est une question de fierté.
- Leona, dis-je. On peut courir à deux et voir qui fera le moins de temps possible ?
- Tu oses me défier, demande Leona. Tu n'es qu'une herbivore.
- As-tu peur de perdre ?
- La victoire serait trop facile, ris Leona.
- Eh bien, ça sera une occasion de me faire taire.
Tapant doucement son torse, son regard et ses gestes veulent tout dire. Les élèves semblent déglutir mais Rook, lui, semble s'intéresser par la tournure des événements. Nous nous plaçons tous les deux sur la piste, je me sens prête ! Au coup de sifflet, nous commençons à courir. Au départ, mes muscles sont à peine renforcés et un petit écart se creuse. Lui tirant la langue, un grognement rageur traverse sa gorge où il commence à accélérer. Quand l'écart est beaucoup trop grand, je commence à faire bouger rapidement mes jambes ainsi que ma magie afin d'arriver à sa hauteur. Même si c'est dur de maintenir le tout sur 500 mètres, le désir de lui faire ravaler son clapet m'aide à avancer. Sur les derniers mètres, nous franchissons la ligne d'arriver en même temps où le prof annonce également le temps que nous avons effectués. Reprenant mon souffle, je m'avoue accepter un ex-aequo. Pour ne pas trop perdre la face. Cependant, Léona n'a pas l'air d'accepter car il considère ça comme une défaite, l'ai-je poussé à bout ?
Après les cours, je pars rejoindre mes amis mais Leona m'amène dans un coin isolé afin de me coincer contre un mur.
- Si t'essayes de me pousser à bout, annonce Leona. T'as réussi.
- Merci, souris-ai-je. Cette journée a été très instructif pour moi.
- Pff, la seule chose que tu faisais été de me casser les pieds.
- Vraiment, dis-je un peu rouge en sentant son souffle sur mon visage. Je suis ravie alors.
- Comment je peux faire taire cette bouche, se demande Leona en rapprochant son visage du mien.
- Eh bien, il y a différentes manières. Mais je ne suis pas sûr qu'elle te convienne.
- Mais j'imagine qu'elle convient à toi. Tu es vraiment la seule personne qui a su sortir de ma zone de confort.
Je le remercie de ce compliment, glisse mes mains sur ses côtes. Me délectant de son regard chaud sur moi puis de la forme de ses muscles, je le tourne contre le mur. Attendant surement que je fasse quelque chose, je frôle mes lèvres avec les siennes. J'ai envie de me jeter dans ses bras mais ce serait lui donner raison. M'éloignant sous sa frustration, je rejoins mes amis en jetant un dernier regard à Leona.
Mais ce jeu à l'air de lui plaire.
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juliettemanciniart · 3 years
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Au fond, ils se sentent le besoin d’hurler leurs existence à tout va. Et j’en ai assez de cette politique du moi je moi je. Je trouve ça fou, depuis le début de l’année aucun n’a été capable de me demander un simple ça va ? En s’adaptant à mon cerveau atrophié, sans rire dans une hysterie collective niveau 6eme. Ces anorexiques. Masochistes. Maso moi ? Conne, vaine, paresseuse oui. Certes. Alors on se fait remarquer. En vomissant dans les poubelles, en fumant, en baisant.
Soudain on s’arrete. On nous parle. Un nouveau discours sur l’art contemporain. C’est sûrement passionnant, puissant, prophétique, mais trop long. Trop compliqué pour mon cerveau embrumé. Je baille et m’éloigne de ce groupe de jeune épuisant. Il y a des jours où je réfléchis vraiment comme une gamine, mais mon cerveau n’a pas le temps de grandir.
Je pars dans le musée de Barbie et je la regarde. Et je lance des attaques gros yeux à ces amis pseudo hype de paris qui n’ont rien de mieux à faire que de venir la moquer, ma princesse de plastique.. sèche tes larmes papillons mascara. Moi je te trouve bien belle, jurant dans tout ce paysage aigris. Je vais vous dire une confidence, je me projette sous ce soleil blond platine. C’est cadeau. Quelle sont niaises, remplissez leur la tête d’histoire d’amours hypocrites et on écarte leurs jambes si facilement. Elles ouvrent leurs bras à qui en mettent le prix, sans distinction du genre ou de l’espèce. Puis vient le chien Medore, la maison qui va avec. Mais au fond, qui y a t’il de mal à ça ? Est ce mal, d’être une femme objet ? C’est émouvant, exaspérant, moitié moitié. Je crois que j’ai trouvé le nouvel objet de mon affection, je me sens prête à extrapoler dessus pendant des heures. Elle veut juste qu’on l’aime, quitte à faire la popote. Et puis qu’on la jette, qu’on la laisse pourrir dans un coin ! C’est tant mieux pour elle. Ma bouche forme une parenthèse inversée. J’ai presque envie de pleurer. Enfin quelqu’un a ma hauteur dans tout Paris. Pourquoi rient elles ces poupées Shelly ? Elle sont si laides, elles ne comprennent pas la beauté de l’humaine disproportionnalité. Je sors de la salle refregidaire et me façonne à son image. Je suis bien prête à tout pour vous plaire, douce, dure, facile, inaccessible. C’est de nul importe. M’apercevoir que je n’étais pas la seule jolie poupée fut si cataclysmique. Maintenant je veux être la pire, la mieux habillée, la plus cadavérique. Je veux bien être diablement belle ! Avant de passer dans le monde de ces salles adultes. Je plaque un sourire candide sur mon visage ingénue. Ne jamais se fier à un sourire pareil, avant gardiste, dangereux. Par delà les pays, j’entends qu’on clame le retour de la potentielle génialité féministe entre ces lignes ? Ouhla. On se calme. Cessez un peu de lécher mes repetto achetés sur internet et à + dans l’bus. C’est si voluptueux, ce ceintre, ces clavicules blafardes se soulevant qu’importe si le vent vient de l’est ou de l’ouest, suspendant des vêtements informes et larges aux yeux de tous. Mieux vaut aller de suite me suspendre à l’étage Delacroix. J’y vais sans plus de cérémonie.
En bas, les gens se pressent, ils grouillent. Je ne vois qu’une masse floue, secoué de ricanement. Sûrement à mon sujet. Sûrement peu glorieux. Qu’ils rient. J’ai l’habitude. Qu’ils me collent une balle dans la tête. Je veux mourir. Une collégienne me pointe du doigt. Elle porte des Stan smith. C’est mignon, ce marshmallow congelé. Je secoue la tête. Tachant de chasser mon délire. Mais je suis hypnotisée par son autre main. Elle a un effet plus purifiant sur moi que tout potentielle fond marin dYves Klein. Cette parisienne n’est pas belle, elle est mignonne. Et ses cheveux de paille trahissent la maladie. On est à paris, la concurrence est rude, ici c’est genre, normal d’être anorexique. Elle fouille dans son paquet de harribos rejetant naïvement les dragées noires. Me, rejetant naïvement. J’ai envie de faire un Spoerri de ce moment, mais je ne suis pas une artiste de talent. Voir le caprice des dieux couler de ses lèvres labellotees, et en faire un ready made d’éponge, l’imprégnant de sa baveuse gloire cheesy. Et je pense: un jour, tout ce sucre fondera alors qu’elle criera le nom du premier conard venue.
J’erre entre les tableaux de scènes de torture sans plus les voir. Comme dans une forêt narcotique, attentiste de l’éveil paradoxal de son baiser anémié. Je ne sais plus quel rôle jouer, pourtant s’imposer l’immobilisme devant une telle perspective me laisse pantoise. Lent... lent.. mon sweat bleu spectral laisse une traînée gris cendrée sur mon passage. Je veux qu’il me transfuse, mon ombre, de cette aiguille trotteuse de l’heure qui passe. Lui faisant un croche pied. Je veux qu’il me traine sous le bois endormie de la table à manger. J’y reviens tous les week end, mon cœur exsangue d’Happy end. Qu’on aille fuser en dragon délavé. Chercher le diamant oublié et tremblant. Une javelle. Dans les chiottes. Qu’on casse la vaisselle de ce musée. Qu’ils fourmille sous mon teint hyalin et me fasse traverser son toit boule à facette, en un tas de silhouettes étirantes et caoutchouteuses pour aller rejoindre un astre blanc et nu, à l’artiste inconnu, underground, trouvé sur Tumblr.com. Je veux me pâlir pour me faire renaître à l’encre de Chine. Imiter une signature au Crystal bic bleu. Et la tasse de café qui se fele tandis qu’on entoure mon bras maigre. Dans vos yeux je lis la rage, dans les miens dans les vôtre je lis la peur. Mais je veux la faire trembler cette lueur manichéenne. Comme sur un fil d’un doigté, mutin et effilé, pantin épileptique. Alors j’arrache de mon poignet ridiculement fin l’entonnoir de la porcelaine dédoublée, et je nous fais tomber dans un monde inverse, le diable et moi. Dans les chiottes. La, rallumer la joie dans ses yeux, me fait éclater d’un rire joyeux 😀 et je me jette d’une montagne de Caspar David Friedrich. Mais on nous arrache bientôt à notre transe, textuel. Qui donc vient trouble ce moment d’intimité? Paniquée, je sors la tête de l’eau de rose du Marcel Duchamp. J’ouvre la porte et lui éclate la tête à la volée. Une femme de ménage du musée. Elle part laver ailleurs. Bon. Je voulais simplement discuter. Quelle malédictions que la beauté. Je referme la porte lentement et retourne dans les ténèbres de la possession. Je vois mon reflet au fond Duchamp. L’eau perle à mon front de marbre et va tomber sur mon marcel borde de rayures de marin. Mais, le spectre de mufasa vient me visiter et déclare: Juliette, tu dois reprendre ta place dans le cycle de la vie. Mais je ne le peux, tout le temps, je pense à mon ex, tel est le cycle de la mort. J’hurle. Et fait trembler la lumière tel des papillons Nabokov. Et j’ai peur du noir, je retourne donc dans le couloir.
C’est l’heure de manger. J’attends que mes esclaves viennent me faire de l’ombre avec leurs palmes mais le métro leurs coûtent trop chère. Je marche donc vers mes camarades. Ça ira. Il faut juste que je trouve quelqu’un pour écourter ces moments de récré qui font engendrer mon estomac une œuvre satirique et contemporaine. Je vendrais mes charmes de Barbie pour cela. Je la bénirais, ferais des portraits classiques entourés de fleurs impressionnistes pour qu’il, ou elle, ne me laisse pas m’enfermer dans les toilettes pour me scarifier dans ces moments d’angoisse sociale. Je m’assois en tailleurs au milieu de ce cercle de cannibale et chante en hindou pour passer le rite d’initiation. Mais l’on ne veut pas, on me rejette aussi ici, moi le mouton noir des brebis égarées, quel échec cuisant pour une émission de télé-réalité. Leur regard lancent des infra rouges et leurs bouches s’affaissent en signe de désapprobation. Je recule sous l effet de la terreur, ma démarche compassé forme maintenant une équerre. Mes yeux exorbités de chihuahua se mouillent de déception. Les débris de mon cœur se fêlent de plus belle. Ils sembleraient qu’ils soient jaloux de mon aura de vampire cristal. Il faut dire qu’en dessous des 40 kilos je suis belle rires. Je comprends. Je leur tapotte l’épaule en riant. Dieu pardonne. Mais c’est que ces prolétaires sont têtus ! Ils me jettent leurs nourritures à ma baby face pour conjurer le mauvais sort et en remplacement de l’ail et du pieu dans le cœur. Ils veulent que je l’avale. Bande de pleutres amoraux ! Je vous exècre tous ! Toi toi et toi. Je lève mon verre à l’abandon, au diable qui m’emporte, et vous maudit, tous ! Je resterais la queen B. Allez pourrir dans votre lac de mc do Je m’abaisse à leurs niveau, plus bas que terre, et leur demande de signer la fiche de présence de mon dessin au crayon de couleur de Renaissance. Je l’agite à leur nez, des étoiles pleins les yeux. Je leur explique, patiente. Là c’est un chien à trois têtes, là c’est des pâquerettes, là un sceau magique, et des carcasses qui font des bébés embryons ! Il n’en ont rien à foutre. Préférant les saucisses aux sceaux 6. Ils allument un callumé de la paix qui m’est interdit. Je tousse et agite ma main devant mon nez. Ils rient. Je leur répond que j’ai une constitution fragile ! Ils m’arrachent à mon dessin, le froissent et le font tomber en slow motion dans un hambergeur ! Je joins mes mains délicates en inspirant sous toute cette violence. Je tente de le ramasser, j’ai le nez presque sur le ventre de mère nature. Elle me chuchote un faible merci. Je lui réponds que je compatis, mon corps fragile pourrait se briser si facilement. J’entends qu’ils disent des choses, à mon propos. Ils pensent que je suis:.. possédée ? Oh. Je calfeutre mon visage. Non... je ne veux pas qu’on voit... cette larme... je vais vous dire un secret, au fond de moi, je suis dépressive, et quand on dit des choses comme ça, ça fait mal à mon cœur, il saigne, il noircit. Jour après jours, toujours la même chose. Je pars sans plus de cérémonie. Soupirante. Les cèdres du parc artificiel m’ombrent de leurs sourcils. Je ne marche pas très bien sûr ce chemin d’exil, je chancelle, mais ça ira, ça ira, continuez sans moi.
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