Tumgik
#ras le bol quoi
jezatalks · 2 years
Text
Je commence à en avoir marre de bosser en station. Tous les jours je me dis "Mais en fait, je ne suis pas là pour ça."
Après les collègues et le taf ça passe. C'est juste que ça m'exaspère que la plupart jouent les commères et lancent des ragots sur pas mal de gens. Genre, ok t'aime pas la personne, mais ??? C'est pas la primaire ni le collège ? Tu peux passer outre le jeu des apparences et faire ton taf dans les meilleures conditions que possible ???
Vraiment l'impression d'être avec des gamins parfois.
5 notes · View notes
Et samedi dernier..
J'ai une étrange sensation depuis samedi passé. C'est une réaction face à une attitude que Marco a eut, une attitude que je connais bien pourtant, mais cette fois, c'est différent. Vendredi soir pourtant, je me sentais toute légère parce qu'il m'a envoyé un message alors que je n'en attendais pas. Le samedi, je sais qu'il y a plus de chance qu'il le fasse. Et il l'a fait, bien évidemment. Pour moi, c'était un jour assez chargé car je recevais toute ma petite famille le soir. Lui, il n'avait rien de bien important à faire de toute évidence, alors il a passé la journée sur whatsapp. Ce qui m'a agacé en tout premier lieu, c'est que la veille, il n'avait pas répondu a mon dernier message mais qu'à 7h du matin, il m'a envoyé en réponse 3 smiley mort de rire . Je sais qu'il y a un gros soucis de génération entre nous, mais pourquoi répondre par des smileys ? Même pas un bonjour ? J'ai donc pris tout mon temps avant d'envoyer un autre message, plus tard dans la matinée. Marco n'a jamais rien à me dire de toute façon. Ses messages sont toujours composé de moins de 5 mots ! Vers 11 h, il m'a envoyé une photo de lui, affalé sur le canapé, en caleçon et T shirt, sans que je vois son visage en entier. Et ce genre de photo, je sais très bien ce qu'elle veut dire. Je sais ce qu'il espère ! Que je me pâme devant son corps qui me manque si souvent, que cela me donne des idées coquines et que je me lance dans une conversation torride. Sauf que moi, à ce moment précis, j'étais en train de couper des poireaux ! Alors le désir, il était très très loin de moi et je le lui ai fait savoir. Du coup, je n'avais plus aucun intérêt à ses yeux. Il m'a souhaité une bonne journée et les quelques messages que j'ai envoyé par la suite n'ont eu pour réponse que de nouveaux smileys. Par contre, il a passé la journée connecté et très probablement a-t-il trouvé une volontaire pour se soulager. Alors comme je le disais plus haut, cette attitude, je la connais depuis des années. Mais ma réaction, ce gros ras le bol, cette évidence que je ne suis rien qu'un bouche trou quand il en a envie, ça m'a frappé plus fort que d'habitude. Et depuis, je me sens moins attirée par lui, moins dans l'attente de ses messages. Je ne me fais pas d'illusions, le manque n'a pas définitivement disparu. Il est provoqué par mon absence de vie sentimentale et je me raccroche à Marco qui est le seul qui me donne parfois l'illusion que ... que quoi ? Que rien en fait. C'est moi qui m'illusionne toute seule ! Moi qui entretient le rêve, le manque, l'espoir, l'illusion. Je suis pathétique !
2 notes · View notes
hecatt · 2 months
Text
RAS LE BOL !
Ras le bol de ces booktokeuses ou je ne sais quoi !
Quand je m’apprête à acheter un nouveau livre, j’aime regarder les différents avis des lecteurs (et vu le prix de certains livres c’est plutôt utile parfois)
Je vais donc sur des applis de lecteur, les avis Google et pour plus de rapidité les vidéos du BookTok…
Mais à qui se fier ?! Tel est la question … car maintenant, tous les livres sont décrits avec les mêmes adjectifs, les mêmes expressions … et les pires sont ceux du BookTok…
Mais quelle mascarade, quelle bande d’hypocrites…
« Ce livre c’est pépite » « il est in-croi-yable » -en découpant bien le mot s’il vous plait- « ce personnage je l’aime d’amour » « non mais regardez cette couverture, est-ce qu’on doit en dire plus ?»
Et bien oui justement ! Dis nous en plus !!
Avec leurs 40 livres lus en un mois, elles (car oui la majorité sont des filles) n’ont que ces pauvres « arguments » à nous donner? Pépite, incroyable ? N’ont elles pas acquis plus de vocabulaire, d’adjectifs? Pourtant vu les livres de NewRomance qui débordent de leur bibliothèque, elles devraient avoir de quoi décrire.. car oui elles lisent cette catégorie là pour des scènes bien précises, limite inappropriées, mais c’est un autre sujet.
Alors ces filles là sont payés, reçoivent des livres gratuitement pour en faire de la pub. Mais lisent-elles réellement le contenu ? C’est à se poser la question… il a quelques temps, j’ai acheté un livre en ayant vu des avis sur le BookTok qui promettait une ré écriture du conte de Peter Pan.. j’ai commencé ce livre et n’ai pas pu le finir … mis à part les scènes de « smut » le livre était vide …
(A croire qu’elles ne lisent qu’un seul type de livre aussi…)
Et bien souvent, une fois l’engouement, la pub faite et passée, ce livre qu’elles promettent comme leur « coup de cœur » se retrouve dans un coin de leur chambre à prendre la poussière…
Alors qu’il existe certain compte sur le BookTok où de vrais passionnés nous donnent leurs avis sur des livres qu’ils ont réellement appréciés. Et c’est dommage de voir que ces personnes là n’ont pas la visibilité qu’elles méritent…
Ah oui très important aussi de connaître le champ lexical du BookTok à base de « ennemis to lover » et « spicy », la bibliothèque Billy de chez IKEA avec les livres rangés par couleur, les petites désertes en métal sur roulettes …
Je pourrais rajouter encore plein de chose mais ce post n’aurai plus de fin ..
Voilà petit ras le bol !
2 notes · View notes
carolemm · 2 months
Text
Tumblr media
« Panorama » est un roman policier dystopique qui se passe en France en 2049.
Depuis la Revenge Week de 2029, révolution qui a éclaté suite au ras-le-bol d’une société où trop de crimes restent impunis, on vit dans l’ère de la Transparence.
Désormais, afin d’éviter les crimes, les Français peuvent vivre dans des maisons en verre où chacun peut/doit être épié par son voisin.
Plus de violences intrafamiliales, plus de maltraitances dans les EHPAD… Tout manquement aux lois, déclenche une arrestation suite à une dénonciation des voisins et en guise de tribunal, la vindicte publique. Le coupable doit prouver qu’il ne l’est pas.
L’histoire débute par une disparition, celle d’un couple et de leur enfant vivant dans un de ces quartiers en verre…
J’ai beaucoup aimé ce livre au style très épuré de Lilia Hassaine. On comprend vite que le crime n’est pas le sujet central. On vit dans un monde pas si différent du nôtre. J’ai apprécié les petites phrases sibyllines ironisant sur les même problèmes que ceux de notre monde actuel : la maltraitance, le qu’en dira-t-on, les écrans, les réseaux sociaux, l’éducation, la police, la santé, l’intimité sacrifiée à la sécurité, la dictature du paraître …
«  Il lui a enfin présenté Louise, qu'elle trouve formidable et ouverte, deux adjectifs qui ne veulent rien dire. Ouverte à quoi? je lui réponds, ça veut dire quoi « ouverte »? Ouverte sur le monde, curieuse, attentive, j'en sais rien moi, ça veut dire quoi « ouverte » ? Tolérante, elle voulait dire. Elle lui a parlé de sa bisexualité, et Louise a trouvé ça top, alors que je me suis contentée de hausser les épaules quand elle me l’a annoncée en avril. Je ne vois pas ce qu'il y a de top dans une orientation sexuelle, c'est la tienne et tu as le droit de mener ta vie comme tu l'entends. Je ne pense rien du fait qu'une femme soit bi, tout comme je ne pense rien du fait qu'elle soit noire ou asiatique, ce n'est Pas ma grille de lecture des gens... »
« Faire un effort. Pour quoi faire ? Ma fille est gonflée de certitudes mais c'est à moi de faire des efforts. Personne ne fait d'efforts ici. Rien ne nous y invite d'ailleurs. Ni l'école, ni la société, ni la technologie. J'allume mon smartphone, et je ne sais plus ce qui est vrai. Peu importe. Ce qui compte, c'est que ça circule. Les flux. Les tendances. Se laisser influencer par ses propres idées. L'algorithme nous approuve, entretient nos croyances, nous conforte dans nos choix. Je partage des articles, des posts, pour évangéliser mes amis, ma famille. Je partage, sans débattre. Ne pas communiquer, pour ne pas évoluer.
Échanger, pour ne surtout pas changer.
Alors faire des efforts... »
3 notes · View notes
claudehenrion · 3 months
Text
Histoire d'un ratage collectif – Tome I
Même si c'est devenu routine pour nous, ce que nous vivons est tout de même difficile à croire... dans la profondeur de notre chute, dans la dimension de notre échec –celui d'un succès unique, qui aurait pu et dû marquer l'entrée de notre pauvre humanité dans des perspectives tellement plus brillantes-- mais aussi, et c'est cela qui est sans doute le plus humiliant, dans notre aveuglement et notre désir mille fois réitéré de tourner le dos au réel... Ce n'est pas faute qu'il ait sonné à notre porte pour nous rappeler son existence !
L'illustration la plus parlante du mal qui nous frappe si violemment se trouve, involontairement résumé, dans la séquence dont nous sortons depuis 3 jours –ou, pour être plus précis : dont nous croyons sortir... mais comme c'est par une petite porte dérobée, ce ne peut en aucun cas être une vraie ''sortie de crise''. Au mieux, c'est un gain de temps en apparence, fruit blet d'un lamentable mensonge à l'échelle planétaire –en tout cas, européenne. Mais c'est une preuve de plus, et loin d'être la seule, hélas, que nous sommes trompés dans les grandes largeurs par un destin qui a l'air d'avoir été désorganisé par quelque démon –si on y croit-- ou par des esprits malins, pour ceux qui se croient … plus malins que le Malin. Faisons, si vous me le permettez, une petite halte dans ce nouvel univers, pas loin d'être infernal, dans lequel il faut survivre à la va-comme-je-te-pousse...
A tout ''saigneur'', tout déshonneur : la crise paysanne de ces derniers jours s'est ''terminée'' (sic !) par un brusque changement d'attitude des princes qui nous gouvernent si mal … et la Presse, ivre de sa propre nullité si sale, a fait résonner les trompettes irraisonnées de la victoire ! ''Le jour de gloire'' était arrivé, et on pouvait replier les ''étendards sanglants''. ''Agriculture : Macron tourne le dos à l'écologie punitive'' pouvait on lire --à de petites variantes près, genre ''L'écologie en pause''-- sur les ''Unes'' de tous nos quotidiens.... comme si un homme politique actuel pouvait être intellectuellement équipé et assez fort pour pouvoir se remettre en cause, ''se convertir'' (convertor = se retourner complètement), et se renier lui-même –ce qui n'a rien à voir avec ''dire aujourd'hui le contraire de ce qu'on a dit hier''. Ça, c'est de la politicaillerie !). Dans le vrai monde, seul les saints peuvent faire un tel geste, et c'est le proverbe ''Chassez le naturel, il revient au galop'' qui décrit la réalité !
Au moment précis où un tsunami de déclarations primo-ministérielles et autres promettait que le président ''pèse de tout son (absence de) poids'' pour que Bruxelles accepte de faire semblant (dites... s'il vous plaît, Madame, s'il vous plaît... dites ''Oui''...) de retarder de quelques jours certains des effets pervers des traités, des engagements et des compromissions qui tuent l'Europe pour en faire une province de l'utopique mondialisation, la même Madame von den confirmait les promesses de traitement privilégié faites à l'Ukraine, et notre inénarrable Commissaire Thierry Breton se disait scandalisé par les demandes des paysans et demandait qu'ils soient poursuivis (Mais c'est vrai, quoi ! Voilà des types qui ne sont pas en adoration devant chacun des prouts (pardon ! Je confirme !) de nos grandes cons-sciences qui se donnent tant de mal pour notre malheur ! C'est pas juste !). Mais tout le monde a oublié que nos grands esprits sont non seulement des européistes tendance 'quoi qu'il en coûte', mais des tenants du mortifère 'et en même temps' ! En français : ''on a été eus !''.
C'est aujourd'hui, 6 février, que la grosse Commission devrait délivrer ses ''nouveaux objectifs climatiques pour 2040''... et d'après ce que j'ai pu glaner comme ''on dit'', ils n'ont pas la moindre intention de tenir compte des demandes urgentes et vitales de tous les paysans d'Europe, unis dans un même ''ras le bol''... dont nos technocrates se foutent comme d'une guigne ! Je prends le risque d'annoncer ce qui se dira dans quelques heures : réduction des gaz à effet de serre de 90 % par rapport à 1990... maintien de la ''transition verte'' sur le vieux Continent (dont Anne Sander, membre du PPE, dit ''les mesures contenues dans le pacte vert européen sont punitives pour les agriculteurs''... et neutralité chimique d'ici 2050... le but étant de tout figer dans des textes programmatiques, au cas où les élections à venir ne seraient pas favorables (comme on le dit partout) à leur vision suicidaire, rétrograde et assassine d'une Europe dont plus personne ne veut... et avec juste raison : elle est insupportable !
La solution, pourtant, paraît simple –même en continuant à faire semblant de croire à tous les boniments qui ont totalement pourri le système, nos vies, les rapports humains, notre jeunesse, les références, les fondamentaux et jusqu'à la vérité elle-même, et qui sont le tissu de bobards le plus épais qui ait jamais empoisonné la Terre, puisqu'il est plus holiste, plus total, et plus absolu que ne l'était le communisme -qui a berné la Terre entière ou peu s'en faut et a réussi à faire du XX ème siècle un siècle de douleur, d'horreur et de mensonge ! Il suffirait (outre, donc, d'arrêter toutes les idées absurdes qui sont données comme vraies–et trop souvent crues) de composer une politique agricole qui soit commune au lieu d'être technocratique, qui ne donne pas la priorité exclusive et absolue à l'atteinte de résultats théoriques et abstraits, et à enfin d'admettre que les agriculteurs sont la solution infiniment plus qu'ils ne sont le problème.
Il semblerait que c'est trop demander aux illuminés qui prétendent ''sauver'' la planète (qui n'a besoin ni de l'être ni d'eux pour jouer les mouches du coche) et qui ont érigé une théorie plus ou moins scientifique (c'est-à-dire : soutenue par des multi-diplômés... mais niée par tout autant de gens au moins aussi compétents mais forcés de se taire : le ''système'' ne donne la parole qu'aux premiers...). Malheureusement pour nous, cette ''crise'' n'est pas la seule où notre dépendance à la bêtise d 'un petit nombre risque de nous précipiter dans des drames sans fin et sans fond. Comme disait Eugène Sue en publiant ''les Mystères de Paris'', la suite au prochain numéro...
H-Cl.
2 notes · View notes
pourprecry · 1 year
Text
Bon ça fait un moment que je n’ai pas écrit, peut être est ce parce que je n’avais plus le goût (et c’est rare, même treeees rare).
Ces dernières semaines ont été particulières:
-ma maman a eu un accident, elle ne peut plus marcher donc j’ai passé mes 2 semaines de vacances à l’aider + faire mon rapport de stage (il me manque le mémoire la) mais en gros entre l’aider et travailler je n’ai rien pu faire d’autre et je satuuuure. J’aurai besoin de vrais vacances
-Je commence à ne plus m’aimer physiquement et c’est assez difficile (a cause d’une réflexion d’une bonne amie mais bref passons)
-Mon ex, enfin R quoi, m’a invité à son anniv, et merci mais non merci en fait. Pour faire quoi au juste? pour faire comme si tout allait bien en les voyant tous heureux alors que j’ai mis des mois à me remettre de cet abandon. Beh non mon coco, je ne suis plus ´acquise ´comme tu le disais si bien.
-j’ai eu un entretien d’embauche ajd fais par la fac et des intervenants et la meuf n’a fait que me descendre, en me posant pleins de questions pas bienveillante, alors oui, j’ai craqué et je me suis effondrée devant les 2 jurys. Vous m’auriez vu, j’ai pleuré et quand j’essayais de me calmer de plus forts sanglots revenaient encore. Elles m’ont demandé pourquoi j’étais si émotive. Si vous saviez ce que j’ai vécu seulement. C’était trop, la manière dont on me disait que je n’avais pas ma place dans cette formation pour ce poste, alors que je passe mon temps à me battre.
J’en peux plus ce soir. Je crois c’est un ras le bol. J’aimerai prendre une valise, claquer la porte de mon appart et partir. Pour dire à tout le monde « je vous emmerde laisser moi si je ne conviens pas à cette société ». Je suis à bout, pardonnez moi, j’avais besoin que ça sorte, de cracher ces mots sur un papier.
9 notes · View notes
gaelle-kashiira · 1 year
Text
Tout est là faute de Togashi...
La rencontre entre deux bébés araignées...
***************
Drôle de gosse.
Il ne dit jamais rien et regarde le monde d'un air perpétuellement malheureux.
*
Quand Phinks l'a aperçu pour la première fois, il n'avait nulle part où aller. Un des types du bidon ville, tirait un gamin, presqu'un bébé. Minuscule, il luttait pourtant à chaque pas et le bras du vieux pervers était couvert de morsures.
Phinks n'avait pas réfléchi, il avait fait exprès de se jeter dans les jambes du type et avait chopé le poignet du gosse avant de détaler.
Ils ne s'étaient pas arrêtés avant d'avoir le souffle trop court pour courir encore. En tout cas, le vieux ne les avait pas suivis.
— Je m'appelle Phinks. Et toi ?
Le gosse avait levé les yeux vers lui, la bouche entrouverte et… l'air triste. Ça l'avait mis en colère et il l'avait poussé. L'autre enfant avait volé par terre avant de se relever. Les lèvres tremblantes mais étroitement serrées, il s'était approché avant de lui balancer son pied dans le tibia. Il était pieds nus, ça n'aurait pas dû faire mal, surtout venant d'un maigrichon pareil. Puis, il était parti en courant.
Phinks n'avait pas cherché à le rattraper. Il s'était juste dit qu'il avait perdu son temps à le sortir de la mouise. Il était reparti en essayant de chasser la sensation de malaise qu'il avait ressentie en tenant son poignet. Il avait eu l'impression de tenir un petit oiseau au creux de sa main. S'il avait serré un peu plus, il lui aurait cassé le poignet, il en était sûr.
Puis, le temps avait passé.
*
Ça fait plusieurs mois qu'il a croisé la route de ce gamin à la peau pâle et aux yeux étirés vers ses tempes.
À ce gosse fragile comme un moineau qui est sûrement mort.
Phinks boite bas et rumine. Il s'est pris une rouste de la part d'Uvo. Franchement, il va falloir qu'il trouve un moyen d'en imposer. Il est quasi aussi fort que l'autre débile auto-proclamé roi d'il ne sait trop quoi et que Franklin.
Ce dernier traîne tout le temps avec ces morveux de Chrollo et Shalnark. Il a déjà son équipe. Uvo a pris Machi sous son aile et…
Phinks se sent seul. Il n'a pas besoin d'une bande mais parfois, il aimerait avoir juste quelqu'un avec qui traîner, avec qui il ne se sentirait pas menacer.
Il y a quelqu'un assis sur le coffre de la vieille voiture qui lui sert d'abri, ces derniers jours.
Ça y est : Phinks en a ras-le-bol ! Il fonce sur le nouveau venu. Il va pleuvoir des gnons, ce soir.
— Hey ! Toi ! Tu te crois où au j…
Il s'interrompt soudain en reconnaissant les yeux de chat du gosse. Ses cheveux sombres tombent dans son visage mais il peut voir les sourcils arqués en une expression perdue et triste.
— J'te reconnais.
L'autre enfant ne répond pas, il se contente de le regarder sans mots dire, penche la tête sur le côté.
— Si tu veux rester là, va falloir raquer, mon vieux. Allez ! Aboule !
L'argent n'a pas de valeur ici. Mais tout ce qui peut être troqué est une denrée recherchée. Avec ça, on peut obtenir de la nourriture de meilleure qualité, des soins. L'autre gosse observe la main tendue avec attention avant d'y deposer la sienne.
— Phinks, dit-il d'une petite voix aiguë.
Le garçon cligne des yeux sans bien comprendre ce qu'il se passe.
— T'es une fille ?
L'autre l'observe à nouveau avec attention avant de répéter :
— Phinks. Fille.
— Hein ?
Un instant, il a envie de retirer sa main brusquement. De se détourner de ce regard qu'il devine à présent aussi perdu que lui se sent pour le moment.
— Tu comprends rien à ce que je dis hein ?
L'autre gosse penche la tête sur le côté.
— Hein ?
Phinks ne peut s'empêcher de rire. Il récupère sa main et s'installe à côté de l'enfant. Il lui donnerait quatre ou cinq ans, sauf que ses mouvements et la vitesse avec laquelle il s'est fondu dans le décor quelques mois plus tôt, plaident pour quelques années de plus. Il doit avoir sept ou huit ans. Du haut de ses onze ans de Phinks ne sait pas bien quoi faire de cet enfant à l'apparence si fragile.
— Ok. Phinks…
Il appuie son pouce contre son torse.
— C'est moi.
— Et toi ?
— Phinks… moi et toi ?
— Heiiin ? Non ! Non.
Il recommence les présentations, bien plus patient avec ce gosse dont il ne connaît rien qu'avec n'importe qui d'autre. Il ne s'en rend pas compte. Il ressent juste une fierté un peu absurde lorsque son petit compagnon le pointe du doigt :
— Phinks.
— Ouais ! T'as compris !
Le gamin ramène son doigt vers son propre visage.
— Feitan.
Phinks ne peut s'empêcher de se sentir ému aux larmes. L'autre gosse… Feitan l'observe d'un air vaguement inquiet. L'aîné des enfants commence à deviner que c'est son expression par défaut. Le grand blond essuie son nez sur sa manche avant de sauter au sol.
— Viens ! Il commence à faire froid.
— Froid…
— Ouais !
Phinks se frotte les bras en frissonnant et se sent quand même un peu ridicule. Alors à la place, il ouvre la portière pour se glisser à l'intérieur. L'endroit commence à devenir un peu étroit avec sa poussée de croissance. Mais pour ce soir, il conviendra.
Du coin de l'œil, il voit le gosse s'encadrer dans l'ouverture.
— Feitan vient ?
L'accent est difficile à comprendre mais il comprend vite.
— Ouais. Viens.
Feitan monte dans la voiture avant de se frayer un chemin jusqu'au genoux de Phinks.
— Heyyy ! Tu fais quoi là ?
— Feitan froid, explique le môme.
Phinks ouvre la bouche pour protester mais lorsqu'il croise les yeux gris et trop sérieux, il admet sa défaite.
— Ouais… froid, marmonne-t-il avant de refermer les pans de sa veste rapiécée autour du minuscule corps de son nouvel ami
Demain, il l'emmènera voir la moto qu'il répare… d'ailleurs, faudra qu'il lui trouve un siège. Puis, ils chercheront ensemble un nouvel abri.
7 notes · View notes
chloematrot · 1 year
Text
SEANCE #05 – Militantisme en ligne, un combat perpétuel ?
À travers, ce billet de blogue, je vais m’intéresser au militantisme en ligne (surtout le féminisme, car c’est le sujet de mon mémoire en France) et les clivages qu’il peut renforcer.
De manière générale, les « organisations militantes se sont emparées des Techniques d’Information et de Communication dans le but de relayer et diffuser leurs revendications » (Breda, 2017). Dans les années 80, il y a la convergence de l’information et des télécommunications. Ainsi, les citoyens passent d’un rapport passif à l’information à une production active. Comme le disent Dominique Cardon et Fabien Granjon dans Médiactivistes (2013), ce sont les groupes en marge, militants qui utilisent Internet en premier.
Cependant, comme le soulève Christine Guionnet, dans l’article « Troubles dans le féminisme. Le web, support d’une zone grise entre féminisme et antiféminisme ordinaires », le féminisme en ligne renforce les clivages entre féminisme et antiféminisme. « Si l’on en croit plusieurs sondages publiés récemment, il existe actuellement un véritable malaise de l’opinion publique par rapport au féminisme. » (Guionnet, 2017). L’auteure définit deux idéaux types en ligne :
« Les féministes sans réserve », c’est-à-dire des personnes qui assument pleinement leurs positions, qui se revendiquent comme féministe. Elles montrent en quoi les causes féministes s’imposent indiscutablement.
« Les antiféministes sans réserve ». Dans la même manière que les « féministes sans réserve », ces personnes assument leurs positions. Elles ne distinguent pas le féminisme en tant que lutte pour l’égalité et les féministes (personnes qui se battent pour). Ce groupe rejette « certaines féministes radicales en particulier ». Il y a deux sous-catégories : les « ulcérés du féminisme » (qui exprime un « ras-le-bol » général à l’égard des manifestations actuelles du féminisme » et les « antiféministes par devoir moral » (pour lesquel.le.s dénoncer le féminisme est perçu comme une sorte de nécessité politique, en raison des risques de dictature de la pensée).
Finalement, comme l’a dit David Bertrand : « le fait que le féminisme en ligne se pratique, par définition, sur Internet, l’intègre nécessairement aux clivages qui séparent les utilisateurs de cette technologie. » (Bertrand, 2018).
En ligne, il est commun de voir des affrontements entre féministes et antiféministes. Auriez vous d’autres exemples de groupes militants et de leurs « adversaires » ?
5 notes · View notes
logogreffe · 1 year
Text
Si je ne t'avais pas, Excalibur l'épée magique
youtube
Excuse me monsieur le donneur de leçons mais nous ne pouvons ni voler ni cracher de feu !
Aaah seulement parce que TU m'en empêches ! Si ne t'avais pas je ferais des tas de trucs
Je rockerais avec les dinos F'rais swinger les rhinos Je redragonnerais cette grotte en deux secondes "Cornouailles" ils criraient Car le Roi Dragon je serais Si ta tête immonde n'était pas de ce monde Si je ne t'avais pas Si tu ne m'avais pas !? Si je ne t'avais pas Dis le moi, "si je ne t'avais pas..."Mmh...?
Moi je serais quoi s'il n'y avait que moi Moi je serais quoi si je ne t'avais pas ?
Arrêtez de vous chamailler, vous vous donnez en spectacle !
Spectacle, quelqu'un parle de spectacle? J'adôôre le spectacle ! Si j'n'avais pas ta tête de lard, Je ferais carrière dans l'art De ce royaume je s'rais la star Et toi, ringard, tu resterais dans le noir Si je ne t'avais pas Ouais, ça me ferait des vacances Si je ne t'avais pas ! Sans moi tu s'rais ...mort
Moi je serais quoi s'il n'y avait que moi Moi je f'rais quoi si je ne t'avais pas ? Moi je f'rais quoi, si je ne t'avais pas ?
Ah, au secours ! Dire que je t'ai sur le dos, depuis près de 500 ans ! Oh, le voila champion de calcul Avec un bon avocat, je m's'rais fait la malle y'a 400 ans Une minute vielle branche, je refuse de me faire incendier ! Hey, tu pètes pas le feu d'habitude !
Je s'rais un lézard cracheur de feu Moi un sorcier aux ailes bleues Tu ne s'rais rien sans moi crois moi, Tu s'rais éteint, tu ne s'rais pas J'en ai ras le bol de tes "gnagna" Et moi de tes fanfaronnades Haha, sans moi niguaud, t'as pas de cerveau Pas de duooo !
{ reprendre les deux couplets du début ensemble } Si ta tête immonde n'était pas de ce monde !
Si je ne t'avais pas Si je ne t'avais pas Si je ne t'avais pas Si je ne t'avais pas Yeah, Yeah, Yeah Par ici, c'est moi qui conduis Yeah, Yeah, Yeah Hey, dis donc, t'as pas un peu grossi, toi ?
Ce serait la joie d'avoir deux pieds à moi Moi je f'rais quoi si je ne t'avais pas I got you, babe Moi je f'rais quoi si je ne t'avais paaas Oooh, yeah Moi je serais quoi Moi je ferais quoi Sans toi-oi ? Merci, merci, merci beaucoup, merci encore Hey, dis donc, on t'as jamais dit que tu chantais comme un pied, toi ?
2 notes · View notes
randomnameless · 1 year
Text
Tiens j’ai l’impression d’avoir rencontré un dedelstan dans la vraie vie aujourd’hui :
“pourquoi on me prévient jamais”
gros, on t’a envoyé des courriers, on t’a invité à une réunion 
“oui mais j’avais pas envie de me déplacer et je lis pas les courriers des gens que je ne connais pas”
ben assumes
“non on me met toujours devant le fait accompli j’en ai ras le bol”
mais tu veux quoi en fait? Juste faire chier?
4 notes · View notes
omagazineparis · 2 days
Text
Ces marques body positive qui nous décomplexent
Peu à peu, les marques prennent conscience de l'importance de représenter tous les corps. Grâce à leur force de frappe, elles participent ainsi à la libération de la femme et à la fin des clichés. Zoom sur les marques body positive. Article rédigé par: Pauline Male Certes, la plupart des marques de vêtements, de cosmétiques et autres continuent à utiliser des mannequins filiformes, aux jambes interminables et sans aucune imperfection pour leurs campagnes, mais d’autres ont commencé à réaliser le ras le bol du grand public pour ces images trop idéalistes de la femme, et ont décidé de promouvoir tout type de morphologie. C’est en effet une excellente chose, quand on sait les effets néfastes  qu’a l’ « idéal féminin » sur les plus jeunes (complexes, anorexie, boulimie...). Pour décomplexer les femmes et pour montrer que le corps humain est d’une infinie variété, ces marques body positive méritaient ainsi une mention spéciale dans notre magazine ! Voici donc une petite sélection. Hoaka Swimwear parmi le top des marques body positive Hoaka Swimwear, la marque de maillot de bain d’une jeune entrepreneuse Canadienne qui re-publie ainsi sur son compte Instagram toutes les photos de jeunes femmes arborant ses modèles, peu importe leur morphologie !  Balsamik Balsamik, qui propose des vêtements pour tous les morphologies et pour toutes les tailles (du 36 au 56). Le site propose ainsi des astuces pour choisir sa lingerie (si l’on veut camoufler sa poitrine, affiner sa silhouette…).  Primark Primark, qui après un scandale sur des mannequins aux côtes protubérantes, commence enfin timidement à utiliser des femmes rondes pour ses campagnes publicitaires.  MissGuided MissGuided, qui a créé une première campagne montrant des femmes aux vergetures et à la cellulite bien visible, et qui plus récemment a choisi six nouvelles jeunes femmes complètement différentes les unes des autres donc : acnée, tâches de rousseurs, tatouages et maladies dermatologiques. Même si le compte Instagram de cette marque body positive (tout comme celui de Primark) représente certes encore majoritairement des mannequins ‘’parfaites’’, nous pouvons apprécier leurs efforts pour évoluer !  H&M H&M, qui comme les deux précédentes marques n’hésitent ainsi pas à faire poser des mannequins de différentes morphologies pour les photos en maillot de bain ! La marque body positive propose ainsi des habits allant jusqu’à la taille 56. La marque body positive Aerie Aerie, une marque de lingerie américaine qui promet ainsi à toutes les femmes d’être bien dans leur corps. ‘’Girl power and body positivity’’, tel est donc leur mantra.  KortniJeane KortniJeane, est une autre marque body positive de maillot de bain qui mise sur le ‘’mix and match’’. Une façon simple donc d’adapter votre maillot à votre morpho. Car non, nous n’avons pas toutes la même poitrine ni les mêmes fesses). Il y en a aussi pour les hommes et pour les enfants (de quoi assortir toute la famille) !  Old Navy Old Navy, marque appartenant à la firme Gap, propose des tailles et des styles pour toutes. Elle apporte en effet un soin particulier à toutes leurs publicités. Elle met ainsi en avant des femmes variées et de toutes ethnicités.  Modcloth, la marque body positive vintage Le site américain Modcloth propose donc des vêtements vintages supers mignons. Et c'est en plus une marque body positive : ‘’feel confident, look stunning & be the best you’’ disent-ils sur leur site web ! A lire également : Tendances couleurs: soyez en accord avec les trends! Read the full article
0 notes
jefrozyul · 3 months
Text
Quand la vague se retourne contre Rip Curl.
Bof! Je n'ai plus le goût de faire du surf et encore plus avec de l'équipement de la célèbre marque Rip Curl.
Il faut vraiment être baveux pour renvoyer son égérie et athlète Bethany Hamilton et la remplacer par ce qu'elle se disait contre soit la présence de femmes transgenres dans les compétitions. Surprise inattendu pour l'entreprise, la vague n'est pas allé en leur faveur.
La présentation de Sasha Lowerson a fait des vagues même dangereuse pour surfer en Rip Curl ou encore magasiner du Rip Curl.
Le consommateur est roi
On rejoue dans le même film de 2023, l'année où Bud Light, Target ou d'autres enseignes ont vu leurs finances dégringolés en raison du ras-de-bol du wokisme agressant dans le monde occidental.
Rien à faire, le consommateur est roi et il se dégêne de plus en plus.
Pourtant, certaines enseignes ne semblent pas avoir fait le devoir de mémoire.
Le mois de la fierté ou pride month est de plus en plus délaissé par les entreprises car les vents changent et le progressisme semble de moins en moins attrayant. Alors que les logos deviennent arc-en-ciel en Occident, il est dingue de savoir que dans le reste du monde les arc-en-ciel sont inexistant.
Même la chaîne de café Starbucks, une entreprise connue pour être progressiste, a fait scandale lorsqu'elle s'est positionné au niveau de la décoration du mois de la fierté mais le syndicat est parti en croisade contre l'entreprise par des critiques et grèves.
De nos jours une enseignes peut tomber dans l'embarras en une fraction de seconde via la puissance que sont les réseaux sociaux. Bref souriez le monde vous surveille.
Rappelons par exemple Target, suite à un boycott pour une collection LGBTQ+ en mai 2023. En 10 jours, l'entreprise perd 10 milliards $US en valeur boursière. Target en a vraiment vu de tout les couleurs même de retirant la collection de ses magasins des activistes LGBTQ+ font de fausses alertes à la bombe.
Pour certains membres de la communauté LGBTQ+, voir les gens en colère contre du marketing est un retour en arrière.
Excusez-moi! Ma sexualité est-elle une vache à lait ou un aspect personnel de ma vie?
"Comment me taire comme j'y pense" comme chantait Gerard Lenorman dans Chanson d'innocence, on peut se rebeller même au sein de la communauté LGBTQ+.
Essayez-nous encore
On le sait tout que les entreprises ne le font pas elle-même mais pour le score ESG. Vous savez quoi? C'est votre but de perdre des clients au nom du progressisme bien vous êtes à vos risques et périls. Longue vie à la liberté d'expression!
0 notes
adamads · 4 months
Text
Tumblr media
Je ne sais pas si c’est l’hiver, la période un peu compliquée de ces temps-ci ou juste un coup de mou comme il en arrive de temps à autre, mais cette semaine je n’arrivais pas à me mettre dans un dessin. Pas d’inspiration, un passage à vide, un vague ras-le-bol d’à peu près tout…bref, rien à faire pour me motiver. 
En vérité ça fait déjà un moment que j'essaie de peaufiner mon processus de dessin pour gagner en efficacité et en maîtrise…et à force ça use. Du coup j’avais besoin d’un changement d’approche. Alors, en griffonnant devant la tv comme ça m’arrive presque chaque fois que je me mets devant, j’ai essayé d’inverser mon processus de création et je me suis mise à peindre des formes au lieu de tracer des traits (c’est quelque chose que j’avais déjà vu faire chez d’autres, mais que je ne me sentais pas capable de faire moi-même).
Avant d’avoir eu le temps d’y penser, j’avais multiplié les essais, épuré le design du personnage sur lequel je travaillais, et rempli une page de petites “Regan” toutes simples et qui me plaisaient beaucoup. Le tout sans me prendre la tête et en m’amusant. Comme quoi, il suffit parfois de pas grand chose pour se remotiver.
Voici donc une page de petites “Regan”, un prénom que j’ai découvert la semaine dernière et qui m’a donné envie de créer un nouveau petit personnage.
0 notes
charleslebatman · 6 months
Note
J’ai lu un peu tes derniers posts et ♥️♥️ je t’envoie tout l’amour dont tu as besoin. Si jamais tu as besoin de faire un break et que tu veux qu’on continue à blablater, je me dévoilerai à toi 👀 j’imagine pas combien ça doit être lourd à porter par moment tout ces messages surtout quand il y en a des vraiment pas cool quoi
Toutes ces histoires de photos me dépassent et me gavent, ça me saoule que certaines continuent de croire qu’elle cherche pas à se faire connaître. Je l’ai toujours dit, au delà des tweets problématiques évidemment, ce qui me dérange chez elle c’est son côté fourbe (j’ai vu que tu l’utilisais vraiment quelle connexion entre nous!!!). Je suis discrète mais je fais des partenariats, j’ai un insta privé mais je follow du monde, j’ai un compte « d’art » mais en fait il me sert pour faire des allusions. Elle aurait été honnête du début peut être que j’aurais vu les choses différemment, mais l’accumulation c est trop.
Mais Charles c’est un délire en ce moment 😭 moi aussi je pensais que la vidéo avec Squeezie nous menait sur la bonne voie mais en fait ça a fait que s’empirer depuis. J’arrive pas à savoir si tout ça, le côté influenceur etc, c’est Charles qui le cherche depuis le début ou si ça lui est plus ou moins imposé. Dans les deux cas c’est pas dingue quoi.
Et d’ailleurs je voudrais rebondir sur le débat sur les « vrais fans » et mettre mon grain de sel aussi. Pour moi, et je crois qu’on pense pareil, être fan de quelqu’un c’est aussi reconnaître des faits et être capable de les pointer du doigts avec respect. Oui Charles fait des erreurs, particulièrement en ce moment, et c’est plus sain d’en parler que de faire comme s’il était parfait. Et ça marche pour tout le monde. J’ai jamais compris ce truc d’idéaliser quelqu’un au point de fermer les yeux sur ses erreurs. Genre c’est ok nous non plus on est pas parfaits 😂
Ça fait deux jours que je pense à arrêter le blog mdr. Les gens me dépassent, ils sont vraiment dans cet épisode de Black Mirror (Que je vais d’ailleurs regarder une énième fois, en plus c’est mon préféré).
Si tu veux dire un truc négatif, prend bien des pincettes, choisis très très bien tes mots. T’as pas le droit d’avoir ton humeur, ton ras-le-bol et ta vie. Contrairement au positif où tu peux paraître pour une adoratrice face à son gourou. Ça me fait flipper ma race je te jure. 🥲
J’ai commencé Kaamelott hier et toutes les scènes que j’ai mises, sont dans la saison 1 (Livre I, ils l’appellent en vrai). Et mdrr meuf, la scène est hilarante en plus. J’étais explosé de rire. 😂 Si tu la regardes, j’ai besoin qu’on en parle. Vraiment.
Nan, mais je te le dit j’ai un tas de fille comme elle dans ma promo. C’est de la fourberie et fausse bienveillance à l’état brut qui pense connaître l’art, alors que rien du tout et n’ont aucun sens de réflexion.
J’espère que Charles ouvrira bientôt les yeux sur ces nouvelles directions qu’il prend, ou que des personnes sont entrain de le faire prendre. Parce que ça va pas du tout.
Nan mais laisse tombé, cette idée d’être fan comme on l’ait je crois c’est réservé à des privilégiés à ce niveau. Je dois l’aduler, poster des gif mignons et très neutres, rien dire et mettre des licornes de partout pour être considéré comme une vraie fan. Nan mais ça va pas vraiment. Je l’ai dit j’avais déjà était grave énervée pour Taylor quant elle dater pendant un temps, un gars immonde, mais elle a vite ouvert les yeux. Et je l’ai traité de la même manière qu’avec Charles. Et erreur de parcours, j’espère que ce sera pareil ici.
Je reste très heureuse pour lui avec sa P2, apparemment (car j’ai pas regardé le Gp), il s’est battu comme une panthère avec ce tracteur pourri. Donc fier pour lui, entant que fan de son talent il a montré qu’il est toujours là. Mais entant que gossipeuse, c’est grumpy et révolutionnaire mood. 😭
Mais ouais, pas sûre de continuer le blog encore longtemps comme ça. J’en ai marre de passer pour la tarée et la hater. Je l’ai dit, même certaine besties le diront avec qui je parle en privé, on dit que je suis souvent trop diplomate. 😂
1 note · View note
claudehenrion · 2 years
Text
La chienlit ou... pire ?
  On a beau avoir envie de ne pas trop ''coller'' à l'actualité, il arrive un moment où il devient difficile de ''se défiler" : si l'on écoute bien ce que disent les gens chez la boulangère ou dans les queues immenses des stations-service, et si on va au delà des mensonges de nos hommes politiques et  de nos plumitifs si prompts à dire n'importe quoi, il est évident que nous vivons une sorte de ''tournant de l'Histoire'' après lequel ''plus rien, sans doute, ne sera comme avant''...  Tous les éléments semblent réunis pour qu'on se réveille bientôt avec une gueule de bois ''XXL'' !
On a beau fermer tout grands les yeux : il n'y a pas une seule catégorie sociale qui, en France, soit satisfaite de son sort... et chacun de brandir les motifs de son mécontentement, en paraissant sûr du bien fondé de ses récriminations, malgré la variété des situations. Policiers, magistrats, soignants, enseignants, pompiers, artisans, ouvriers, retraités, fonctionnaires,  éboueurs... il ne reste guère que les vendeurs de vélos électriques, les marins au long cours (absents, par définition !) et les Chevaliers du Tastevin qui n'égrainent pas leur rancœur et leur ras-le-bol (encore que, pour cette dernière catégorie, je ne suis pas aussi certain que j'en ai l'air...). Et aussi, bien sûr, les prébendiers du macronisme, qui auraient tout à perdre dans une remise à plat de ce qui cloche dans le pays...(NB : en ce qui concerne cette catégorie-là --petite en nombre et grande en pouvoir de nuisance--, je n'ai aucun doute : ils sont prêts à tout, pour que le bordel général continue !).
Devant un mal-être en voie de généralisation tous azimuts, osons poser la question : ''A quoi est due cette crise existentielle ?'' –qui, en plus, a l’air de vouloir durer ''un certain temps'', et engloutir peu à peu tous les secteurs de la société... Eh ! bien, de manière qui va paraître surprenante à certains, elle est due avant tout à la décision criminelle qu'ont prise nos hommes politiques d'écouter le chant mortel des sirènes écologistes qui de Charybde à Scylla, sèment le mal pour que nous récoltions la tempête. De manière moins décisive, elle doit beaucoup à l'actuelle guerre en Ukraine –ce qui revient à redire (bis) : ''à la décision criminelle qu'ont prise nos hommes politiques d'écouter le chant mortel des sirènes’’ démocrates américaines, dont l’inculture transperce les décennies et déconstruit les siècles...
L'intervention mortifère des écologistes dans la logique gouvernementale, d'abord. De Gaulle avait ''compris demain'' et avait, en conséquence, armé la France d'un bouclier énergétique à la hauteur du monde qu'il voyait venir... et des besoins d'énergie (à l'époque difficilement prévisibles, mais déjà en filigrane) : notre formidable réseau de centrales nucléaires, qui nous ouvrait un futur plutôt plus heureux que tous les autres pays. Sous l'influence pernicieuse des dangereux ''Grünen'' allemands (''Atomkraft ? Nein, Danke !''), nos lamentables ''zécolos'', bien plus intéressés par la destruction de notre civilisation que par le sauvetage de la planète –qui n'est pour eux qu'un gadget de comm' destiné à leurrer le gogo-- ont convaincu (en un ou deux mots !) les dirigeants archi-nuls dont nous nous sommes dotés, élection après élection, d'écouter leurs contre arguments pernicieux. Nous payons cher la réélection de Macron, qui, après avoir tout fait pour être réélu... ne sait que faire de ce ''rab'' de pouvoir qu’il gaspille et qui se perd dans le ''rien''.
Vous rendez-vous compte du mal que Nicolas Hulot, le faux illuminé / vrai essoufflé de Ushuaïa, un temps l'homme le plus populaire de France d'après un sondage truqué, a causé à notre pays ? On lui doit tout, à celui-là : le projet de fermeture des centrales, le plan ''50% d'énergie renouvelable'', la chute vertigineuse des budgets d'entretien de nos 19 centrales et de leurs 58 réacteurs, la perte d'un ''corps'' de spécialistes que le monde nous enviait... et par voie de conséquence, la ''mise à poil'' complète d'EDF, et l'état déplorable où se retrouve aujourd'hui cet ex-fleuron, qui ne peut plus faire face aux besoins du pays... Rappelons que les contrôles et la maintenance préventive ont conduit ce même EDF à prolonger l’arrêt des réacteurs de Civaux 1, Civaux 2, Chooz 1, Chooz 2 et Penly 1 etc etc...  On lui doit aussi l'enlaidissement irrattrapable de toutes nos ex-belles campagnes où s'est déployé son génie malfaisant : foutre en l'air, et pour longtemps, tous nos paysages... pour produire moins de 1,6% d'électricité dite ''éolienne''. Il y a de quoi en pleurer...
On aurait pu admettre cette écologie ‘’que punitive’’ si nos privations avaient eu la plus petite utilité... Mais on sait maintenant que si toute activité humaine s'arrêtait en France en un instant, ce ''manque'' ne serait même pas perceptible à l'échelle terrestre, notre nuisance totale étant inférieure à 0,9 % de ce que consomment ou fabriquent ''tous les autres'' ! Autrement dit : tous les efforts qu'on nous impose ''quoi qu'il en coûte'' et à grande souffrance (je pense aux milliards dépensés pour nous interdire la voiture... qui est plébiscitée sans limite à chaque fois que le peuple peut s'exprimer sans contrainte et dire ce qu'il a sur le cœur –dans ce cas : ''gros sur la patate'' !)... ne sont d'aucune utilité, et tout l'argent dépensé sur ce chapitre serait mieux utilisé ailleurs, pour un résultat écologique plus substantiel, une preuve supplémentaire de ce grand décalage entre slogans et vérité étant fourni aujourd'hui même : la Nupes, jamais en retard d'une bataille –ou deux !-- trouve qu'il faut faire plus... sur ce non-sujet totalement dépassé et démodé.
De manière étrange, le même échec prévisible se concrétise à propos de la crise générale et illimitée que nous avons fabriquée autour de la guerre russo-ukrainienne : nos Nuls au Pouvoir, sans expérience ni jugeote, ont choisi le ''blocus'' et l'humiliation comme armes pour faire céder Poutine : les deux seules vouées à l'échec ! Un minimum de culture leur aurait permis de savoir que aucun blocus, jamais, nulle part, n'est arrivé aux objectifs qui l'avaient ''justifié'' (sic !). Que croyez-vous ? Pan ! Rebelote ! Et nos benêts persistent, contre vents et marées : ils sont prêts à affronter une guerre nucléaire... dont ''l'autre'' sera seul responsable, disent-ils.... mais nous, tous morts ! (NDLR : une fois que je serai vitrifié, ça me fera belle jambe de savoir que ce qui restera de la communauté internationale Mad Max --dont, bien sûr, pas un seul européen, pas un seul occidental... et une poignée d'hommes blancs, en Nouvelle Zélande-- aura dit que Poutine était responsable !)
Il est évident que les seuls chemins qui restent ouverts si on veut s'en sortir sans trop de casse, c'est l'abandon de toutes les effroyables raisons qui continuent, ''quoi qu'il en coûte'' à fabriquer des gouffres infinis entre les populations et ceux qui persistent à se dire ''leurs représentants'' alors que, à la seconde-même où ils sont élus, ils deviennent les défenseurs de causes idiotes dont personne (ou presque) ne veut, et mauvaises pour l'humanité qui est malheureuse par leur faute, comme nous le vérifions 50 fois par jour !
Mais que croyez-vous qu'il va se passer ? ''Ils'' (Macron et ses ultimes soutiens) vont continuer à nous emmerder avec leurs dadas anti-bagnole, leur vitesse à epsilon km/h, leur manque total de prévision et de ''vista'', leurs analyses à l'opposé du réel, et leur incompréhension encyclopédique de ce qui va arriver... Et Macron, bien décidé à ne rien changer à sa pauvre prestation, va nous confirmer (en deux mots, dans ce cas !) que l'auto est et sera un péché, le chauffage une ignominie, les soins une marotte, les vaccins inutiles (mais s'ajoutant les uns aux autres, 4, 5, 6, toujours sans gêner en rien la transmission ou la contagion –comme c'est le cas depuis 2 ans...) un mieux être pour les ''Big Pharma''...  et le ''plan éoliennes'' un moindre mal... alors qu'il est de toute première urgence de l'abandonner en totalité, et d'oublier le plan ''50% de ‘’réutilisable’’ avant 2035'', cette imbécillité ''XXL'' !
Et pendant ce temps, chaque jour que le bon Dieu fait, des villes charmantes, où il faisait bon vivre jusqu'à Macron, basculent dans une vraie violence, islamo-portée : Douai, Lens, Agde, Arras, Maubeuge, Montbéliard, Auxerre ou Angoulême se retrouvent au coude à coude avec Avignon, la Courneuve, Bobigny et tout le Neuf-trois, pour ''les coups et blessures volontaires hors du cadre familial'' recensés par la police et la gendarmerie. Et tous nos commentateurs officiels (''donc’’ (?) nuls, menteurs et ''hors sol'') s'étonnent du ras-le-bol qui grandit. Jusqu'à quand ? De grâce, messieurs les faux tout puissants/vrais nuls, sortez de vos grilles de lecture périmées (qui, ayant leur inspiration à gauche, ont toujours été des horreurs ne correspondant à rien de ce qu'il aurait fallu...). Je vous en supplie : faites montre d'un peu de courage ! Demain, après demain, le jour d'après... il sera trop tard ! Ouvrez les yeux : c'est l'horreur autour de vous, et vous regardez ailleurs !
H-Cl.
11 notes · View notes
christophe76460 · 1 year
Text
Tumblr media
Cette histoire a lieu en 2022
Ça dégénère en beauté!
5 mois de salaires en retard pour les ouvriers de l’Atelier (et 8 pour moi).
Chaque fin de mois, l’équipe de l’atelier se réunit autour de la table. Et Christine (de la compta), nous pose cette question surréaliste:
– Qui veut son salaire ce mois-ci?
Et là, je suis témoin d’une belle et sincère entraide. Tous se préoccupent les uns des autres, laissant toujours la priorité à celui qui manque le plus.
Durant toute cette période de sécheresse, personne n’a jamais eu faim. Même si les salaires sont en retard, ils arrivent tout de même juste avant que ce soit catastrophique. Et de plus, Dieu a toujours ces petits miracles anodins qui sont autant de coïncidences qu’on ne remarque pas, si on n’y prend pas garde. Ça a souvent l’air de rien, mais ce sont de magnifiques attentions divines au jour le jour.
Quand je m’inquiète de leur inquiétude, je prends l’un d’eux à part pour en parler, et immanquablement, il me répond avoir confiance en l’avenir. Jamais je n’ai entendu de critiques, reproches ou ne serait-ce une expression de ras- le-bol.
Le gâteau de reconnaissance
Aujourd’hui, je mange avec un ami, directeur d’une mission chrétienne et m’ouvre à lui sur notre situation. Après m’avoir écouté, il a un petit silence et me dit:
– Ton équipe est exceptionnelle, Alain! Si mes collaborateurs à moi n’avaient à subir, ne serait-ce que 2 mois de retard, tout chrétien qu’ils sont, ils me lâcheraient!
Cette dernière remarque est la cerise sur le gâteau de ma gratitude pour eux. Je comprends maintenant combien est précieuse cette “maudite” traversée de désert financière, car elle fait ressortir toute la richesse de mon équipage. C’est dans le besoin qu’on reconnaît ses amis.
Alors oui, ce ne sont pas des chrétiens du genre à lancer des “alléluia” ou des “amen” en citant la bible à tout bout de champ, mais à l’intérieur d’eux, ça brille!! Et c’est de l’or!
Je les remercie souvent chaleureusement pour leur belle attitude. Et lors de mes balades en forêt, je me confonds en reconnaissance:
– Merci Seigneur pour chacun d’eux!
Voilà à quoi sert une épreuve.
#temoignage #jesus #dieu #amour #amitié #viechretienne
0 notes