#sourcil
Explore tagged Tumblr posts
fragiledate · 8 months ago
Text
weshhh les vieux rap et freestyle d'orel et gringe .. les vidéos de quinze pige frère 😭 le truc il va au lycée carrément
6 notes · View notes
renkon365 · 4 months ago
Text
ils essayent de rebrander cara delevigne comme une cool lesbienne mdr
3 notes · View notes
muslim-flint · 9 months ago
Text
ce qui est marrant puisqu'on est sur le sujet c'est que mon mec qui me dit "tout est tjrs gay avec toi de tte façon" a regardé comment c'est loin (de force) et a bien été obligé d'admettre que nous assistions, in fact, à des activités homosexuelles
5 notes · View notes
Text
6 notes · View notes
alder-saan · 2 years ago
Text
The only thing that makes me laugh rn is a joke made by a French YouTuber about this situation.
2 notes · View notes
roselungs · 9 months ago
Text
ben ok à chaque fois que jai des dates limites je vais sur tumblr et je perds tout mon temps, le regard vide
c'est une tradition
0 notes
bearbench-img · 9 months ago
Text
マユゲコアラ
Tumblr media
「眉毛コアラ」は、日本の森永製菓が販売している菓子「コアラのマーチ」の一種です。通常のコアラのマーチとは異なり、パッケージに眉毛を持つ可愛らしいコアラのキャラクターが描かれています。
眉毛コアラは、コアラのマーチのシリーズの一つで、ユニークなキャラクターデザインが特徴の愛らしい菓子です。
手抜きイラスト集
1 note · View note
caluna-make-up · 11 months ago
Text
1 note · View note
callmesweet1 · 2 years ago
Text
0 notes
hairlossclinic · 2 years ago
Text
Greffe de Sourcils à Montréal | Résultats Naturels et Définis
Obtenez des sourcils épais et bien définis grâce à la greffe de sourcils à Montréal. Notre clinique spécialisée offre des solutions de greffe capillaire avancées pour reconstruire et densifier les sourcils clairsemés. Grâce à des techniques de greffe d'unités folliculaires précises, nous créons des résultats naturels qui améliorent votre apparence et encadrent harmonieusement votre visage. Notre équipe d'experts est dédiée à vous offrir des sourcils soignés et personnalisés pour une expression faciale renouvelée. Prenez rendez-vous dès aujourd'hui pour une consultation en greffe de sourcils à Montréal et découvrez comment nous pouvons vous aider à obtenir des sourcils magnifiques et parfaitement formés.
Tumblr media
0 notes
mellosdrawings · 11 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media
When you need to declare your love to your wife but it is so strong you can't help but revert back to french.
You know the perk of being french ? I can write Rook rambling haha !
(Though I am incapable of writing poetry, so here is the poem I used and its approximate translation:
Je respire où tu palpites,
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes,
Et vivre si tu t'en vas ?
(I breathe where you throb, you know ;
What for, alas! stay here if you leave me, and live if you go away?)
A quoi bon vivre, étant l'ombre
De cet ange qui s'enfuit ?
A quoi bon, sous le ciel sombre,
N'être plus que de la nuit ?
(What good is living, being the shadow of this fleeing angel?
What for, under the dark sky, being from the night only?)
Je suis la fleur des murailles
Dont avril est le seul bien.
Il suffit que tu t'en ailles
Pour qu'il ne reste plus rien.
(I am the flower of your walls for which April is the only good.
You only need to leave for me to be left with nothing.)
Tu m'entoures d'Auréoles;
Te voir est mon seul souci.
Il suffit que tu t'envoles
Pour que je m'envole aussi.
(You surround me with Halos;
I care only about seeing you.
You need only to take flight for me to fly too.)
Si tu pars, mon front se penche ;
Mon âme au ciel, son berceau,
Fuira, dans ta main blanche
Tu tiens ce sauvage oiseau.
(Should you leave, my front/forehead shall lean ;
My soul in the sky, its cradle, will flee,
In your white hand you hold this wild bird.)
Que veux-tu que je devienne
Si je n'entends plus ton pas ?
Est-ce ta vie ou la mienne
Qui s'en va ? Je ne sais pas.
(What would I become, should I not hear your steps anymore?
Is it your life or mine that is fleeing ?
I cannot tell?)
Quand mon orage succombe,
J'en reprends dans ton coeur pur ;
Je suis comme la colombe
Qui vient boire au lac d'azur.
(When my thunder dies down, I take some from your pure heart ;
I am like the dove that just drank in the azur lake.)
L'amour fait comprendre à l'âme
L'univers, salubre et béni ;
Et cette petite flamme
Seule éclaire l'infini
(Love makes the soul understand the universe, healthful and blessed ;
And this lonely little flame shines upon the endless)
Sans toi, toute la nature
N'est plus qu'un cachot fermé,
Où je vais à l'aventure,
Pâle et n'étant plus aimé.
(Without you, all of nature is only a closed cell where I go on an adventure,
Pale and no longer beloved.)
Sans toi, tout s'effeuille et tombe ;
L'ombre emplit mon noir sourcil ;
Une fête est une tombe,
La patrie est un exil.
(Without you, everything falls apart ;
Shadows fill my dark eyebrow ;
A feast/party is a tomb,
The homeland is an exile.)
Je t'implore et réclame ;
Ne fuis pas loin de mes maux,
O fauvette de mon âme
Qui chantes dans mes rameaux !
(I beg and demand ;
Do not flee any longer from my pain,
O warbler of my soul who sings in my twigs!)
De quoi puis-je avoir envie,
De quoi puis-je avoir effroi,
Que ferai-je de la vie
Si tu n'es plus près de moi ?
(What could I want?
What could I be afraid of?
What would I do of life without you by my side?)
Tu portes dans la lumière,
Tu portes dans les buissons,
Sur une aile ma prière,
Et sur l'autre mes chansons.
(You carry in the light,
You carry in the bushes,
On a wing my prayers,
On the other my songs.)
Que dirai-je aux champs que voile
L'inconsolable douleur ?
Que ferai-je de l'étoile ?
Que ferai-je de la fleur ?
(What will I tell to the fields that hide my inconsolable pain?
What would I do of the star?
What would I do of the flower?)
Que dirai-je au bois morose
Qu'illuminait ta douceur ?
Que répondrai-je à la rose
Disant : " Où donc est ma soeur ?"
(What will I tell to the morose forest that illuminated your softness?
What will I answer at the rose asking "Where is my sister?")
J'en mourrai ; fuis, si tu l'oses.
A quoi bon, jours révolus !
Regarder toutes ces choses
Qu'elle ne regarde plus ?
(I would die ;
Flee if you dare.
What is the point, days gone! of looking at all those she no longer looks at?)
Que ferai-je de la lyre,
De la vertu, du destin ?
Hélas ! et, sans ton sourire,
Que ferai-je du matin ?
(What would I do of the lyre, of virtue, of destiny?
Alas! And, without your smile,
What would I do of the morning?)
Que ferai-je, seul, farouche,
Sans toi, du jour et des cieux,
De mes baisers sans ta bouche,
Et de mes pleurs sans tes yeux !
(What would I do, alone, wild, without you, of days and heavens,
Of my kisses without your lips,
And of my tears without your eyes!)
Il suffit que tu t'envoles pour que je m'envoles aussi - Victor Hugo
(You need only take flight for me to fly too))
2K notes · View notes
lespetitspoisons · 3 months ago
Text
Time to step outside.
Minho est de trop bonne humeur alors que ce n'est même pas son anniversaire à lui, mais encore un peu incrédule d'avoir réussi à convaincre Chan que partir en week-end à la campagne était la meilleure idée au monde. Il espère juste que Han ne saura jamais que c'est lui qui lui a donné l'idée, même si il prépare déjà son excuse au cas où en faisant à manger pour tout le monde, ayant engagé Seungmin et Jeongin avec lui pour ça. Un est doué avec un couteau, l'autre avec les bouteilles, et ce sont sûrement des compétences transférables. "Ah, attention avec l'huile..." il est pourtant obligé de souffler en se penchant sur le mélange de Seungmin, qui se fige avec le regard vers Jeongin, fatigué de la dixième intervention. Chan est à l'étage après avoir sorti les affaires d'un peu tout le monde, les sourcils froncés en regardant les chambres, hésitant un peu avant de regarder vers Changbin à qui il a demandé de l'aide. "On a... On devrait aller demander à Han et Félix ou ils veulent dormir non ? C'est leur anniversaire." il demande, croisant presque les doigts pour que Changbin prenne une décision sur toutes les chambres pour lui éviter de devoir demander. Surtout qu'il ne sait pas trop comment aborder le sujet de Minho avec lui, et que ça l'aiderait beaucoup si Changbin mettait juste leurs sacs ensemble. Chan est un peu coupé dans sa réflexion lorsqu'il entends des cris en bras et se tourne vers l'escalier, essayant d'écouter pour voir si c'est urgent ou pas. "C'est quoi le temps d'attente pour une ambulance à la campagne ?" il demande quand même vers Changbin, un peu inquiet pour le week-end finalement. Hyunjin est dehors, ayant vite abandonné l'idée de nettoyer la table à cause d'un moustique. Enfin, c'est grand pour un moustique. "Peut-être j'ai la dengue. Ou la rage. Les moustiques ont la rage ?" il demande avec un air inquiet vers Felix, la main toujours posée sur son bras ou il pense avoir été piqué, n'osant même pas regarder vers Han. Il va probablement lui dire qu'il sera mort dans deux heures, surtout que Minho n'est pas là pour le corriger aussi tôt.
172 notes · View notes
cerises-ameres · 2 years ago
Text
skin care and makeup in french
aka how to have your own vogue beauty secrets moment en français 🧼
(doing this mainly for myself and a very niche audience)
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
face - le visage, la figure
skin - la peau
skin care - soin visage
eyes - les yeux
lips - les lèvres
cheeks - les joues
eyebrows - les sourcils
eyelashes - les cils
water - l’eau
cleanser - le nettoyant
makeup remover - le démaquillant
toner - le tonique, la lotion tonique
serum - le sérum
face oil - l’huile
lip balm - le baume à lèvres
moisturizer - la crème, la crème hydratante
exfoliant - l’exfoliante
massage - le massage
face mask - le masque
foundation - fond de teint
concealer - l’anti-cerne, l’anti-tache
powder - la poudre
bronzer - la poudre de soleil
highlighter - l’highlighter, l’illuminateur
lipstick - le rouge à lèvres
lipgloss - le brillant à lèvres, le gloss (à lèvres)
eye shadow - le fard à paupière
mascara - le mascara
eyebrow pencil - le crayon à sourcil
eyebrow gel - le gel à sourcil
makeup brush - le pinceau de maquillage
eye liner - l’eye-liner, l’eye-liner liquide
blush - le blush, le fard à joues
to put on makeup - se maquiller
to wash - se laver
to take off makeup - se démaquiller
to do skincare routine - faire des soins de la peau
to massage- masser
to apply - appliquer
675 notes · View notes
journaldesgrandschemins · 6 months ago
Text
J'ai aimé dans un au-delà invisible, qui cernait le mouvement des choses, la netteté des drames, des brisures, des fautes. C'est à dire que j'aimais dans le pelage d'or des choses, des regards et des actes, dont la caresse lancinante posée sur mon coeur était interminable. On me disait: les choses sont ainsi et elles portent ce nom. Je ne pouvais y croire. Les faits n'étaient que la marque visible de ce qui réellement se jouait entre nos deux vies. Nos paroles, nos gestes, nos silences sentencieux n'étaient que la chevrotante musique émanée de cet air où nous nous étions trouvés l'un dans l'autre.
Nous étions deux enfants si impatients de la fête approchante qu'ils déchiraient à l'avance leur costume, dans des sursauts d'excitation terrifiée.
La dernière fois que je l'ai vu, au bar, nous étions l'un face à l'autre. Il me parlait, je l'observais. On se disputait pour des histoires de tromperie et de jalousie. Il me dit brusquement: Est-ce que je te plais encore? Est ce que t'en es sûre?
Alors je me posai la question en moi-même. Je voyais cet homme cerné, dont les grosses mains baguées argumentaient la parole enfumée, les sourcils et les cils ouvrageant son regard mauvais, fumeux, de plus en plus éteint. Ses yeux ne frôlaient plus la corde sensible de mon âme. Sa grâce ne l'émouvait plus comme autrefois, ni ses ténèbres. Je ne l'admirais plus, je ne désirais plus sauvagement greffer en moi sa puissance. Ses yeux plats, profonds et noyés dans la rage et le vide, la sévérité triste de son visage, l'éloquence de ses mensonges, sa fougue, ses insultes, ses assauts à ma chair, toute cette danse perdue qu'il était, diffuse et offerte devant moi, ne me charmait plus. C'était plus grave encore, elle m'envoutait. Ce n'était plus les premiers rayons de la fascination, lunaires, éthérés, au goût originel. C'était le remous profond, réverbéré d'écho en écho, du premier coup, de la première rencontre, dont les propagations étaient infinies, successives et liées, et traversaient les régions souterraines par ces résonnements sourds. Mon être vibrait encore à sa vue comme sous un glas. Fixée par lui, il m'emportait encore, dans sa violence qui n'était plus ferme et arquée mais défaite et traînante, comme une roue qui tourne, étourdissante. Alors que j'aurais pu vendre sa peau et son âme au marché noir pour quelques centimes, il me tenait encore, il m'emportait encore dans ses contrées poreuses.
40 notes · View notes
callmesweet1 · 2 years ago
Text
1 note · View note
willcmsv · 10 months ago
Text
Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
67 notes · View notes