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#tôt le matin
barbiemonamie · 11 months
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GAËL FAYE - TÔT LE MATIN
Empereur de brigands, Mackandal, Bois-Caïman Écris des récits ou te cogner à des récifs Une feuille blanche est encore vierge pour accueillir tes hérésies Lis entre les vies, écris la vie entre les lignes Fuis l'ennui des villes livides si ton cœur lui aussi s'abîme
Briser les chaines, fissurer la dalle Inventer la lune, que tous la voient
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Tôt le matin !
Mots d’ordre pour créer le désordre ! + article : Déshonneur démocratique Par Bernard Bruyneel Nous avons besoin de VOUS pour poursuivre notre combat face à la dictature de la pensée unique.Cliquer ICI pour nous soutenir Attention ce texte est un pamphlet n’engageant que son auteur. Observatoire du MENSONGE défend la liberté d’expression ! Faîtes de même en le partageant et/ou en nous suivant.…
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sloubs · 1 year
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la vie de ma mère si aa nous montre pas ce qu'arthur et guenièvre se sont dit pendant les 4 heures de marche jusqu'à la tour de ban qui lui ont ensuite donné envie de grimper la tour pour aller l'embrasser j'vais lui péter la gueule
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/sigh/ I poured ground coffee directly in my mug instead of French press. So it’s one of those mornings.
How is your day going, Folks?
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alicedusstuff · 9 months
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Noël, du coup, de la glace, du coup, le roi d’os. Bref. Juste envie de dessiner un peu le roi d’os à… 3heures du matin…cool, cool. Moi qui m’étais promis de dormir tôt. Bah. Une autre fois.
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mochademic · 7 months
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100 Days of Productivity [Day: 59] || 100 Jours de Productivité [Jour: 59]
dreams that lead to home. one that you can call your own.
another week, another venture. started off with an early morning, lots of readings, and new ideas. I'm slowly learning to set goals that also allow me to spend time with the people I love the most.
readings completed
course work completed
visual project started
house cleaned
meal plan sorted
reading done
notes re-written
currently listening // Endless Love by DVRST, OBLXKQ
Les rêves qui mènent à la maison, une maison que l'on peut appeler la sienne.
Une autre semaine, une autre aventure. J'ai commencé tôt le matin, avec beaucoup de lectures et de nouvelles idées. J'apprends lentement à me fixer des objectifs qui me permettent également de passer du temps avec les personnes que j'aime le plus.
lectures terminées
travail de cours terminé
projet visuel commencé
maison nettoyée
plan de repas réalisé
lectures effectuées
notes réécrites
chanson // Endless Love par DVRST, OBLXKQ
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applegrin · 1 month
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Pourtant, tôt le matin et tard le soir, Hessie cousait…
Hessie 1970s
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olympic-paris · 8 days
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saga: Soumission & Domination 272
Arcachon 3
Dans les 18ans (j'espère), châtain clair ébouriffé, imberbe et déjà bien bronzé avec un shorty très court. Dans les 1,75m plutôt fin mais avec des muscles bine dessiné quand même. Je tombe à genou à coté de lui et sort mon plus beau sourire. Il se pousse pour me faire une place sur sa serviette. Je m'assois dessus et en profite pour poser ma main sur son ventre. Il ne la repousse pas, du coup je la laisse et commence même à caresser lentement son torse, le maintenant au sol. Il me dit s'appeler Jules et m'avoue avoir remarqués notre groupe hier après midi déjà.
Je lui demande s'il n'est pas déçu que ce soit moi et pas un autre qui soit venu le voir ? Il ferme un oeil et, après avoir tourné le visage vers les autres occupés à jouer à une 15aine de mètre, me dis que non bien que le grand bronzé et baraqué avec qui je suis venu lui plaisait bien aussi. Je lui fais préciser et il me montre Ernesto. Je ris et lui dis qu'il a, non seulement bon goût, mais aussi un gros appétit. Comme il n'a pas l'air de comprendre, je lui dis que mon ami est très, très bien équipé.
C'est lui qui me demande si nous sommes là pour un moment. Il semble déçu quand je l'informe que nous seront repartis avant la fin de la semaine. Je lui propose alors de ne pas perdre de temps et de m'accompagner derrière le premier rideau d'arbre. Il hésite et me dis qu'il y a pas mal de vieux qui y trainent. Je lui fais part de mon étonnement vu que sur la plage il n'y a que des jeunes. Il m'explique alors qu'il connait bien le coin et qu'ils arrivent par une autre route et rodent en attendant les jeunes mecs qui vont se soulager. Je me penche alors et pose mes lèvres sur les siennes. Et j'attends qu'il fasse le premier pas. Rapidement je sens sa langue glisser sur mes lèvres, s'insinuer entre elle et taper mes dents comme pour me demander l'autorisation d'entrer. J'entrouvre et c'est une véritable furie qui s'empare de ma bouche. Son bras est venu autour de mon cou pour me maintenir serré contre lui alors que sa langue virevolte dans ma bouche, cherchant la mienne et faisant bataille avec elle. Bien que cela fasse un bon moment déjà que nous sommes sur la plage, sa langue est fraîche et je prends du plaisir à lui rouler ce patin. Après un temps qui m'a paru court mais qui, selon la position du soleil, serait plutôt de pas loin d'une heure, je lui demande ce qu'il fait, tout seul.
Il me raconte : il vient de fêter ses 18ans, des parents au travail qui, l'été, s'installent dans la station où nous avons loué et qui font les trajets tous les jours à Bordeaux et un frère plus âgé qui bosse comme saisonnier dans un restaurant un peu plus loin sur la cote.
Je conclue qu'il est donc relativement libre de son temps. Il me le confirme et me dis que ses parents acceptent qu'il rentre tard où plutôt tôt le matin, après tout c'est les vacances. Je lui demande s'il serait intéressé par une invitation à une soirée privée chez nous ce soir même. Il accepte avec empressement et me demande s'il pouvait intégrer notre " groupe " dès maintenant.
Je n'en vois pas d'impossibilité mais avant de rejoindre tous les autres je passe un petit moment à lui préciser qui est qui : le groupe des parisiens et le mien sans lui dire que les deux Ducatistes sont gendarmes.
Quand je le ramène, il se fait siffler et chahuter par nos parisiens alors que mon groupe l'intègre sans chichis. Je vois qu'il a de la suite dans les idées car c'est auprès d'Ernesto qu'il cherche la sécurité !
Quand nous nous séparons, avant de nous retrouver plus tard, nous emmenons Jules avec nous. Amusant, il s'aperçoit que nous avons loués à 3 maisons de chez lui. Ernesto me glisse que le p'tit mec que j'ai trouvé n'était vraiment pas farouche et qu'il avait fait les quelques km du retour avec sa main (à Jules) sur sa bite (à lui). Je lui dis alors qu'il (lui) avait tapé dans l'oeil de Jules. Tout content, Ernesto me dit que lui c'est plutôt dans sa rondelle qu'il ira lui taper.
Le portail refermé et nous nous mettons à poil le temps de traverser la maison. Jules hésite mais quand il voit que certains ont leurs culs touts blancs, et bandent déjà, il baisse son maillot et nous fait découvrir son outillage. Comme il est tout raide, j'estime une bite de 18cm par 4/5, circoncise, avec un beau gland plutôt ovale avec deux petites couilles rasées. Quand Ernesto se retourne, il reste quand même bloqué, le regard fixé sur les attributs de notre espagnol. C'est sur que tâtés par-dessus le tissu du maillot de bain ou les voir dans toute leur nudité, c'est pas pareil !
Nos gendarmes l'attrape, un de chaque coté et le portent jusqu'à la piscine dans laquelle ils le projettent. Alors qu'il remonte à la surface, il est éclaboussé par tous les autres qui tombent autour de lui. Nous jouons, nous nous pourchassons, caressons. Il veut nous montrer qu'il n'est pas une " oie blanche " et pour cela entreprend de sucer Ernesto sous l'eau ! Nous le sauvons de la noyade alors qu'il s'étrangle avec son gland ! PH lui glisse à l'oreille qu'il n'a rien à prouver avec nous. En attendant, nous préparons la réception du soir. Jules m'aide et comme il me fait bander grave, je l'attrape et le pousse dans le bureau du ré de chaussée.
Il a compris tout de suite et se colle à moi tout bandant lui aussi. Je suis penché et lui sur la pointe des pieds. Il fini par me sauter dans les bras ceinturant ma taille de ses cuisses. Ma queue se dresse sous ses fesses. Il se trémousse alors que nous nous roulons toujours un patin, jusqu'à ce que mon gland tape sa rondelle. Il ondule du bassin et comme je le sens s'ouvrir, je le pose sur le bureau et me kpote rapidement avant de le reprendre dans les bras. Ma bite trouve aussitôt le bon chemin et je me sens m'enfoncer dans son cul. J'adore ! Rondelle ferme sans être fermée, Jules appui pour bien s'enfoncer ma bite en lui. Il relâche mes lèvres et halète un peu sous l'effort. J'ai droit à son superbe sourire quand nos os se collent.
Je m'adosse au bureau (les fesses contre le plateau). Jules en profite pour poser ses pieds dessus et des bras autour de mon cou, il se lime tout seul sur mon pieu. C'est trop bon ! Il est vraiment très chaud et j'apprécie sa façon de baiser. Son sexe se frotte à mes abdos et son gland devient violacé. Je le laisse faire quelques minute et reprend la main. Je le porte sur ma bite jusqu'au canapé et accompagne sa chute dessus. Je lui relève les jambes jusqu'à les passer sur mes épaules avant de me mettre à labourer sa rondelle. Il apprécie mes longs coups de rein et quand je fais des sorties complètes avant de me renfourner au chaud. Il attire ma tête et me roule un nouveau patin. Sa langue m'excite un peu plus et j'ai du mal à me retenir quand je sens, projeté sur mes abdos, son sperme. Je lâche les vannes et callé tout au fond de son cul, je me vide dans ma kpote. Je m'écroule sur lui. Il est encore plein d'energie et me lèche le cou, les oreilles tout en serrant son anneau. Je me retire avant de débander. Notre entrée dans la cuisine n'est pas resté discrète. Faut dire que la kpote pleine dans la main, j'aurais eu du mal a contredire le fait que nous venions de baiser. PH me la retire et passe un Sopalin entre les fesses de Jules avant de jeter le tout à la poubelle. Revenant vers nous PH lui demande si son mec, en l'occurrence moi, l'avait bien baisé. Jules me regarde, effaré, puis bredouille à PH qu'il ne savait pas pour lui et moi. Il comprend que c'est sans importance quand nous nous mettons à rire tous les deux. PH s'approche de lui et se penche pour lui rouler un patin, histoire de bien lui faire comprendre notre façon de fonctionner. Les deux gendarmes nous rejoignent à ce moment là. Ils encadrent Jules, le soulèvent et profitant de la situation, le font redescendre mais en le plantant sur G22 (Gendarme 22cm). Heureusement que j'étais passé avant, comme ça Jules a pu bien profiter, sans douleur, de la fougue militaire. PH et moi sommes restés au spectacle. Dès que Jules a été bien calé sur G22, G21 (Gendarme 21cm) l'a penché en avant jusqu'à enfoncer ses 21cm dans sa bouche et sa gorge.
Après la triple prise de plaisir, j'ai demandé à Jules si le programme était à son goût. Il me saute au cou et me dit qu'il ne lui était encore jamais arrivé un plan pareil. Ça le changeait des locaux de son âge. Je lui dis de garder des forces pour ce soir et nos invités. Je l'envoi se doucher. Il nous revient tout frais.
Vers 20h30 nos invités arrivent. Les bras pleins de bouteilles. Les bouchons sautent et les bulles coulent à flot. Ernesto surveille Jules et compte bien se le garder ce soir. Le BBQ chauffe et les grillades roussissent. Le diner est entrecoupé de séances de baises selon les affinités de chacun et le degré d'excitation du moment. Contrairement à la veille chez eux, pas de mêlée commune, mais des actions par petits groupes. Quand Ernesto est " violé " par un parisien en manque de grosse bite dans son cul, il nous confie, à nous ou à nos gendarme la garde de Jules. Ce dernier est d'accord pour se garder pour Ernesto.
J'ai deux fois profité des invités en recto comme en verso, tout comme PH. La deuxième fois, j'ai enculé le mec qui le sodomisait et quand le mec en question s'en est offusqué, arguant qu'il était plutôt actif, je lui ai répondu que c'était le prix à payer pour baiser mon mec ! Il a bien fallu qu'il s'en satisfasse coincé entre nous deux.
Finalement je crois que tout le monde a été content qu'ils partent. Il sont beaux, jeunes et bons baiseurs mais ne peuvent s'affranchir d'une certaine condescendance qui revenait souvent soit dans leurs comportements soit dans leurs propos. Je ne me suis même pas abaissé à leur mettre dans la vue nos relations dans la capitale !
Comme prévu, Ernesto s'est isolé pour le reste de la nuit avec Jules et à en croire les bruits venant de leur chambre, ils ont veillé jusqu'à très tôt. PH et moi avons fini la nuit dans les bras de la maréchaussée.
Arcachon 4
Je me réveille en même temps que G22. Nous laissons nos mecs respectifs dormir ensemble et descendons. Nous sommes les premiers. Je décide d'aller faire quelques courses. G22 m'accompagne. Je lui laisse le volant de la SL, il en mourait d'envie. Malgré les risque de tomber sur quelqu'un de sa connaissance, il roule jusqu'à Bordeaux rien que pour le plaisir de piloter l'engin. On refait les pleins (essence, champagne, viennoiseries et barbaque) et rentrons le pied dedans. Nous arrivons alors que le reste de la maison s'éveille. Ils nous aident à décharger les courses. G21 et G22 nous quitterons ce soir ! Du coup nous restons à la villa pour profiter d'eux jusqu'au bout et réciproquement.
Sans savoir ce qu'ils font dans la vie, Jules leur dis qu'il sera content de les revoir sur la plage. G22 qui se rappelle la douceur de son petit trou lui dit qu'ils reviendront dès qu'ils pourront. En attendant, G21 lui fait connaitre son coup de rein et Jules y semble aussi sensible qu'à ceux de son collègue.
Nous touzons tranquillement toute l'après midi. Ils nous quittent vers les 21h, non sans que nous ayons échangés nos n° de portables et la promesse qu'ils passent nous voir dans le " nord ".
Nous partons le lendemain pour Barcelone avant de rejoindre Sitges. Déjeuner à la frontière et nous arrivons tranquillement en début de soirée à l'appart d'Ernesto.
Marc et Hervé nous rejoignent, enfin en vacances. C'est génial.
Jardinier
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willcmsv · 2 months
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
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The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
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coovieilledentelle · 17 days
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Bonjour tout le monde!🌥 Il semble que tôt le matin soit une occasion parfaite pour se réconforter, pour respirer avant que le reste du monde ne se réveille. Les matins sont avant tout une question de rituels et non d'horaires. Bon dimanche chers amis
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myhairfeelsnice · 2 months
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I was sitting in this psych ward waiting to go into the canteen and this 60 or 70 something year old woman started talking to me and after a while said « vous connaissez le funiculaire de Montmartre ? » and I said yes and she said « Je vais jamais oublier ça, mais un jour j’étais en bas et j’appuyait le bouton pour monter. Il y avait une dame en bas allongé et elle me demande pour des pièces. Je l’ai dit ‘Va te faire foutre, si tu veux de l’argent il faut se lever tôt le matin comme moi et travailler’. Après, elle a pointé le doigt vers moi et elle m’a dit ‘Jamais dans la vie vous trouverez l’amour’ » After a while she looked at me and was like « Et, c’était vrai. » and I didn’t know what to say at all except try to write it down.
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sabinerondissime · 2 months
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Hé hé ! Demain, à cette même heure, nous serons en voiture avec Spritz ! On compte partir entre 4 et 5h du matin, je vous dirais bien à la fraiche mais il fera frais pendant encore plusieurs heures après notre départ, vu le climat dans le nord, donc en fait non. Si on part si tôt, c'est avant tout pour arriver dans le sud à l'heure de l'apéroooooo !!!
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allthecanadianpolitics · 10 months
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Tôt mercredi matin, une centaine de manifestant·es ont bloqué l’entrée d’un édifice de Bombardier près de l’aéroport Pierre-Elliot-Trudeau à Montréal. Ils et elles dénoncent la complicité de la compagnie ainsi que celle de l’entreprise d’armement et d’aéronautique Lockheed Martin, qui a aussi des bureaux sur le site, dans la mort de plus de 14 000 Gazaoui·es depuis le 7 octobre dernier.
« Ce n’est pas simplement une catastrophe humanitaire se déroulant à l’autre bout du monde, mais une guerre génocidaire dont l’État canadien et les intérêts économiques canadiens sont profondément complices », peut-on lire dans un communiqué émis par le groupe. « Nous ne pouvons pas accepter que les instruments du génocide et de l’apartheid continuent d’être manufacturés chez nous. »
Bombardier est visé puisque ses trains sont utilisés par la compagnie des Chemins de fer israéliens depuis 2010, notamment en Cisjordanie, dans des zones occupées illégalement par des colons israéliens. Notons toutefois que Bombardier a vendu sa division transport à Alstom en 2021 et ne fait plus de train depuis cette date.
Les manifestant·es soulignent aussi que le fabricant d’armes Lockheed Martin est l’un des principaux fournisseurs de l’armée israélienne, qui se serait récemment procuré des avions F-35 auprès des États-Unis, présumément utilisés à Gaza. [...]
Continuez la lecture.
Note from the poster @el-shab-hussein: I'll translate these segments later for English readers. For now this article is for the francophones who follow the blog. Je vais traduire cet extrait plus tard pour les lecteurs anglophones. Mais pour maintenant cet article est pour les francophones qui suivent ce blogue.
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pompadourpink · 2 years
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Les temps du passé
Le plus-que-parfait
The pluperfect is made of two words: an auxiliary (être or avoir, depending on whether the action happens to the subject's body or not) conjugated in the imperfect tense and a past participle.
j'étais, tu étais, il était, nous étions, vous étiez, ils étaient
j'avais, tu avais, il avait, nous avions, vous aviez, ils avaient
It is used to talk about the past in the past: j'avais fermé la porte quand tu es rentré - I had locked the door when you came home.
Nous étions parties - we were gone
J'avais fait la vaisselle - I had done the dishes
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L'imparfait
The imperfect, one of the most common past tenses, is made of one word and used to describe the past (former habit, historical detail, description) or a long-term action.
La maison était très grande - the house was very big
Les soldats dormaient peu - the soldiers wouldn't sleep much
J'allais nager tous les dimanches - I used to go swimming each Sunday
La conjugaison
j'allais, tu allais, il allait, nous allions, vous alliez, ils allaient
je finissais, tu finissais, il finissait, nous finissions, vous finissiez, ils finissaient
je pouvais, tu pouvais, il pouvait, nous pouvions, vous pouviez, ils pouvaient
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Le passé composé
The perfect tense is the younger sibling of the pluperfect: it is built the same way but the auxiliary is conjugated in the indicative present instead of the imperfect.
je suis, tu es, il est, nous sommes, vous êtes, ils sont
j'ai, tu as, il a, nous avons, vous avez, ils ont
For compound tenses, been (été) is added in case of a passive voice. It is used to refer to the action, a short-term event that is already done and only happened once.
Ils ont mangé les derniers raisins - they have eaten the last grapes
Je suis partie hier matin - I left yesterday morning
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Le passé simple
The simple past, usually learners' least favourite tense, is the pompous, literary equivalent of the perfect tense. It is built with a single word and the first and second-person plurals get a circumflex accent.
je fus, tu fus, il fut, nous fûmes, vous fûtes, ils furent
j'eus, tu eus, il eut, nous eûmes, vous eûtes, ils eurent
j'allai, tu allas, il alla, nous allâmes, vous allâtes, ils allèrent
je fis, tu fis, il fit, nous fîmes, vous fîtes, ils firent
je pus tu pus, il put, nous pûmes, vous pûtes, ils purent
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Le conditionnel passé
The past conditional is another compound tense: it is built with an auxiliary conjugated in the present conditional and a past participle.
je serais, tu serais, il serait, nous serions, vous seriez, ils seraient
j'aurais, tu aurais, il aurait, nous aurions, vous auriez, ils auraient
It expresses regret or a theory/fantasy.
Je serais venue tôt si tu m'avais prévenue - I would have come early if you had warned me
Il aurait voulu être un artiste - he would have wanted to be an artist
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Le passé antérieur
The perfect past, another compound tense, is built with an auxiliary conjugated in our good friend the simple past and a past participle.
je fus, tu fus, il fut, nous fûmes, vous fûtes, ils furent
j'eus, tu eus, il eut, nous eûmes, vous eûtes, ils eurent
It is only found in old novels and expresses the anteriority of an action compared to the one that follows: it is a posh version of the pluperfect.
Il eut vite choisi un cadeau - he quickly picked a gift
Je fus étonnée de te voir à la fête - I was surprised to see you at the party
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Le passé récent
The recent past is built with the verbal phrase venir de conjugated in the indicative present and followed by an infinitive.
je viens de, tu viens de, il vient de, nous venons de, vous venez de, ils viennent de
It is very common and refers to an action that just happened.
Je viens de finir de manger - I just finished eating
Nous venons de rentrer - we just got home
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L'impératif passé
The past imperative is built with an auxiliary conjugated in the present imperative, an absence of pronoun, and a past participle. It only exists in the second-person singular and first and second-person plurals.
sois, soyons, soyez
aie, ayons, ayez
It expresses the anteriority of an action (order, prohibition, suggestion, plea) compared to the one that follows]
Aie rangé ta chambre avant que je rentre - have your room tidied before I get home
Soyez partis pour neuf heures - be gone by nine
N.B. This is not that common anymore especially for avoir, natives typically will use tu as intérêt à être/avoir--- (you better be/have---) or use another verb to sound more polite: essayez d'être partis pour neuf heures - try to be gone by nine
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L'infinitif passé
The past infinitive is another compound tense built with an auxiliary conjugated in the present infinitive and a past participle.
être
avoir
It expresses the anteriority of an action accomplished before the one that follows and is mostly used in written instructions.
Être levé à l'heure est important - being up on time is important
Avoir garder la cuisine propre est attendu svp - keeping the kitchen clean is expected please
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Le participe passé
The past participle is the second element of compound tenses to express an action that happened in the past.
-s, -se, -s, -ses
-ø, -e, -s, -es
-us, -ute, -us, -utes
It works like an adjective, is often short and contains many irregular verbs.
Elle a fait ses valises - she has packed her suitcase
Ils ont ouvert la porte - they have opened the door
Nous sommes morts - we are dead
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Movie: La Belle et la Bête - Jean Cocteau, 1946
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ernestinee · 6 months
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Bon, j'ai rêvé qu'il existait des catapultes à chats, qui passent dans les rues et envoient des chats dans les maisons alors j'avais mis un panneau qui disait "J'en ai déjà trois"
Le soleil se lève plus tôt et du coup eux aussi et du coup moi aussi et du coup je suis fatiguéééée omg comment je vais réussir à finir cette journée j'ai dormi 4h.
Et il faisait si gris ce matin qu'on dirait que la photo est en noir et blanc.
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Mais maintenant ça va, il y a un peu de soleil.
Et je suis contente pcq c'est un merle, il y en a très peu cette année.
Remarque, avec Nougat-le-caïd, je ne suis pas sûre d'avoir envie qu'ils nichent par ici, ils ne seraient pas en sécurité dans la haie d'ailleurs je ne vous ai pas dit la dernière. Nougat considère le jardin comme sa propriété. Il fait fuire tous les autres chats, et aussi le chien du voisin quand il réussit à se sauver. Donc j'ai vu Nougat poursuivre un dogue allemand jusqu'à ce qu'il retourne chez lui.
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coolvieilledentelle · 7 months
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Bonjour tout le monde!🌥 « Il semble que tôt le matin soit une occasion parfaite pour se réconforter, pour respirer avant que le reste du monde ne se réveille. Les matins sont avant tout une question de rituels et non d'horaires. » Bon vendredi chers amis
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