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#Chaussures de mariage
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L'art de la chaussure - Une histoire de 40.000 ans
L'histoire de l'humanité est l'histoire des chaussures
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clhook · 5 months
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Trop relou mon fiancé qui ne veut rien voir de ma tenue avant le mariage 😡😡 j'ai reçu mes chaussures elles sont trop belles mais je peux pas lui montrer 😡😡 l'autre jour j'ai fait mon essai avec la maquilleuse j'étais trop belle mais j'ai dû me démaquiller tout de suite après parce qu'il voulait pas voir 😡😡😡
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abridurif · 6 months
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Ce grand découragement à vivre, ma mère le traversait chaque jour. Parfois il durait, parfois il disparaissait avec la nuit. J’ai eu cette chance d’avoir une mère désespérée d’un désespoir si pur que même le bonheur de la vie, si vif soit-il, quelquefois, n’arrivait pas à l’en distraire tout à fait. Ce que j’ignorai toujours c’est le genre de faits concrets qui la faisaient chaque jour nous quitter de la sorte. Cette fois-là, peut-être est-ce cette bêtise qu’elle vient de faire, cette maison qu’elle vient d’acheter – celle de la photographie – dont nous n’avions nul besoin et cela quand mon père était déjà très malade, si près de mourir, à quelques mois. Ou peut-être vient-elle d’apprendre qu’elle est malade à son tour de cette maladie dont lui va mourir ? Les dates coïncident. Ce que j’ignore comme elle devait l’ignorer, c’est la nature des évidences qui la traversaient et qui faisaient ce découragement lui apparaître. Était-ce la mort de mon père déjà présente, ou celle du jour ? La mise en doute de ce mariage ? de ce mari ? de ces enfants ? ou celle plus générale de tout cet avoir ? C’était chaque jour. De cela je suis sûre. Ça devait être brutal. À un moment donné de chaque jour ce désespoir se montrait. Et puis suivait l’impossibilité d’avancer encore, ou le sommeil, ou quelquefois rien, ou quelquefois au contraire les achats de maisons, les déménagements, ou quelquefois aussi cette humeur-là, seulement cette humeur, cet accablement ou quelquefois, une reine, tout ce qu’on lui demandait, tout ce qu’on lui offrait, cette maison sur le Petit Lac, sans raison aucune, mon père déjà mourant, ou ce chapeau à bords plats, parce que la petite le voulait tant, ou ces chaussures lamés or idem. Ou rien, ou dormir, mourir. Marguerite Duras, L’Amant, Les Éditions de Minuit, 1984, p. 22-23
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Ils parlent de la mode
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Yves Saint-Laurent par Jeanloup Sieff, 1971
1. « La mode passe, le style reste » - Yves Saint-Laurent
2. « Etre un pas en avance sur la tendance de la mode n’est pas si important pour moi. Ce qui compte, c’est toujours aller de l’avant » - Sonia Rykiel
3. « Si tu ne peux pas être mieux que la concurrence, il suffit de t’habiller mieux » - Anna Wintour
4. « Ce n’est pas la robe que vous portez qui compte, mais la vie que vous menez en la portant » - Diana Vreelan
5. « La plus grande élégance, c’est la vérité » - Thierry Mugler
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Giorgio Armani
6. « L’élégance ce n’est pas se démarquer, mais être mémorable » - Giorgio Armani
7. « Les femmes nulles suivent la mode, les prétentieuses l’exagèrent, mais les femmes de goût pactisent agréablement avec elle » - Marquise du Châtelet
8. « Les vêtements que je préfère sont ceux que j’invente pour une vie qui n’existe pas encore, le monde de demain » - Pierre Cardin
9. « Vaines bagatelles qu’ils semblent être, les vêtements ont, disent-ils, un destin plus important que de nous tenir chaud. Ils changent notre vision du monde et le point de vue du monde sur nous » - Virginia Woolf
10. « La mode me dépasse. Mon imaginaire dépasse les limites normales et m’entraîne où je ne voudrais pas aller » - Yves Saint-Laurent
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Jane Birkin
11. « Mon style est comme un cocktail. Je ne suis pas aussi apprêtée qu’une française mais je m’en fiche comme une anglaise » - Jane Birkin
12. « La mode est avant tout un art du changement » - John Galliano
13. « La chose la plus difficile dans la mode n’est pas d’être connu pour un logo, mais d’être connu pour une silhouette » - Giambattista Valli
14. « Donne à une fille les bonnes chaussures et elle peut conquérir le monde » - Marylin Monroe
15. « Pour être irremplaçable, il faut être différente » - Coco Chanel
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Coco Chanel
16. « On est jamais trop, ni pas assez habillé avec une Petite Robe Noire» - Karl Lagerfeld
17. « La mode n’est pas quelque chose qui existe uniquement dans les vêtements. La mode est dans l’air, portée par le vent. On la devine. La mode est dans le ciel, dans la rue. » - Coco Chanel
18. « L’élégance est la seule beauté qui ne se fane jamais » - Audrey Hepburn
19. « J’aime être une femme, même dans un monde d’hommes. Après tout, les hommes ne peuvent pas porter de robes, mais nous pouvons porter des pantalons » - Whitney Houston
20. « J’aime mon argent quand il est là où je peux le voir : sur des cintres, dans mon armoire » - Carrie Bradshaw
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Carrie Bradshaw dans Sex & The City
21. « La femme à la mode porte le vêtement. Ce n’est pas le vêtement qui la porte » - Mary Quant
22. « Les femmes s'habillent pour elles-mêmes. Si elles s'habillaient pour les hommes, elles seraient tout le temps nues » - Betsey Johnson
23. « La mode est ce que vous offrent les créateurs quatre fois par an. Le style est ce que vous choisissez » - Lauren Hutton
24. « La différence entre le style et la mode est la qualité » - Giorgio Armani
25. « Ne soyez pas dans les tendances. Ne laissez pas la mode s’emparer de vous, mais décidez de ce que vous êtes, de ce que voulez exprimer par ce que vous portez et de la façon dont vous vivez » - Gianni Versace
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Gianni et Donatella Versace
26. « La mode doit être une forme d’échappatoire, et non une forme d’emprisonnement » - Alexander McQueen
27. « La moitié de mes créations sont de la fantaisie contrôlée, 15 % de la folie pure, et le reste du terre-à-terre » - Manolo Blahnik
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28. « La seule vraie élégance est dans l’esprit; si vous avez ça, le reste vient vraiment de ça » -Diana Vreeland
29. « Je ne crée par des vêtements, je crée des rêves » - Ralph Lauren
30. « Au fil des années j’ai appris que ce qui est important dans une robe, c’est la femme qui la porte » - Yves Saint Laurent
31. « Les hommes me disent que j’ai sauvé leur mariage. Cela leur coûte une fortune en chaussures, mais moins cher qu’un divorce » - Manolo Blahnik
32. « Les vêtements ne vont pas changer le monde, les femmes qui les portent, si » - Anne Klein
33. « Quand vous doutez, portez du rouge » - Bill Blass
34. « La mode est un langage de l’instant » - Miuccia Prada
35. « J’adore et j’admire tous ceux qui sont différents. J’aime ça. Le jet set est banal. Le bon goût est banal. L’excentricité est chic. Le bon goût paralyse. Mais la mode du punk ou de la rue ou un corps couvert de tatouage c’est intéressant pour moi et j’adore » - Jean-Paul Gaultier
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36. « Ne jamais dire jamais – dans la mode et dans la vie » -  Ashley Olsen
37. « La seule raison pour laquelle je suis dans la mode est de détruire le mot conformité » - Vivienne Westwood
38. « Il n’y a pas de mode si elle ne descend pas dans la rue » - Coco Chanel
39. «L’élégance est une question de personnalité plus que de vêtements » - Jean-Paul Gaultier
40. «Une belle robe, c’est une comédienne qui parle juste » - Sonia Rykiel
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41. « La mode se démode, l’allure est intemporelle » - Coco Chanel
42. « Les gens de la mode n’aiment que ce qu’ils ne comprennent pas. Alors il suffit de faire un truc incompréhensible et ils t’adorent » - Loïc Prigent
43. « La mode est ce que l'on porte. Ce qui est démodé, c'est ce que portent les autres » - Oscar Wilde
44. « Le style est une manière de dire qui vous êtes sans parler » - Rachel Zoe
45. « Le style sait qui vous êtes, ce que vous voulez dire, et ce dont vous vous fichez » - Orson Wells
46. « Effacez le négatif, accentuez le positif. » - Donna Karan
47. « C’est l’attitude qui fait tout. » - Diane von Furstenberg
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48. « Une femme doit être deux choses : classe et fabuleuse. » - Coco Chanel
49. « La mode est ce que vous offrent les créateurs quatre fois par an. Le style est ce que vous choisissez. » - Lauren Hutton
50. « La simplicité est l’ultime sophistication » - Léonard de Vinci
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shardofroses · 5 months
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Shard of Roses - Contexte
Dans un Londres fantasmé, jeunes femmes et jeunes hommes tentent de faire leur place au sein d’une société stricte et de valeurs morales puritaines. Les règles des uns ne sont pas les règles des autres, et la société n’est pas prête d’évoluer de ce côté là. Chacun doit s’y plier, ou apprendre à les contourner en étant plus malin qu’elles. Une tâche plus facile pour certains que pour d’autres.
Londres !
Voilà notre véritable protagoniste. La ville n’est pas seulement le cœur du Royaume-Uni, elle est le cœur du monde, elle et sa bonne société, si bien éduquée que tous les autres pays l’envient ! Et ils sont nombreux à venir jouer le jeu du mariage, à venir se plier à cette délicieuse conquête d’une main sur laquelle glisser une bague. Des Princes étrangers aux grands bourgeois, ne soyez pas étonnés de les voir débarquer pour se marier ou marier leurs enfants, car Londres et sa Royauté irradient et fascinent jusqu’à l’autre bout du monde !
La grande cité britannique vit au rythme de sa haute société, vibrante et florissante lorsque celle-ci revient l’habiter, plus calme et morne le reste de l’année. Cette haute société qui ramène dans son sillage toute une population, travaillant pour elle et avec elle. Et si c’est à l’appel du Premier Ministre qu’elle revient, et ce afin d’accomplir ses devoirs politiques, le cœur de l’agitation qui s’empare de la ville est tout autre.
Le mariage !
Car qui n’est pas concerné ? Que vous soyez parent ou célibataire, tôt ou tard, vous devrez vous en inquiétez. Une inquiétude majeure pour les jeunes filles pour qui le temps est compté et qui ne peuvent pas se permettre de dépendre de leur famille, une nécessité pour tous. Il faut se marier, trouver chaussure à son pied, mais pas n’importe quelle chaussure ! Une chaussure qui vous permettra de parcourir le chemin de la vie sans vous donner d’ampoules et sans mauvaises surprises. Et si la chaussure se révélait de moins bonne qualité que prévu et que le talon se cassait en cours de route ? Cela serait fort fâcheux, n’est-ce pas ?
Même la Reine s’en mêle, vérifiant que toutes les demoiselles sous sa protection soient honnêtes et bien chaussées, poussant ces messieurs à s’engager et à se montrer respectable. Elle s’assure que les rouages qui font fonctionner cette société continuent de tourner. Et le mariage est loin d’être une question superficielle, même si les mondanités le laissent parfois croire.
Mais elle n’est pas la seule. Quelqu’un, quelque part, sous couvert d'anonymat, vous observe et s’amuse à raconter vos réussites, et surtout vos échecs. Lady Whistledown voit et sait presque tout, alors gare à vous et à vos choix. N’oubliez pas les règles, car elle n’oubliera pas de vous le faire remarquer. Et Lady Whistledown n’est sûre que d’une chose : même les plus belles roses ont des épines...
Source des gifs : https://bridgertongifs.tumblr.com/
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sous-le-saule · 1 year
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Souvenirs d'autres vies
Je collectionne les souvenirs d’autres vies que la mienne.
Je ne peux pas, je ne veux pas accepter l’idée que je n’ai qu’une seule existence à vivre. J’étouffe.
De savoir que les circonstances de ma naissance, arbitraires, ont déjà limité des possibilités qui n’ont fait que s’amenuiser à mesure que je posais des choix, ça me rend folle.
Je n’ai qu’une vie – bien banale, au demeurant – et ce ne sera jamais assez pour tout ce dont je voulais faire l’expérience.
Alors, je vis d’autres existences, soigneusement rangées dans une boite à chaussures bleue.
Ma première autre vie, c’était une carte postale oubliée par un lecteur précédent dans un livre de la bibliothèque. J’ai imaginé les visages derrière les trois signatures. Grâce aux maigres indices livrés par ces deux lignes manuscrites, j’ai construit le quotidien de cette famille dans ma tête, pendant des heures. Le jour, la nuit, éveillée ou dans mes songes, j’ai vécu leur vie.
Puis il y a eu ces lettres de soldats trouvées chez un bouquiniste, un bout de film familial sur une vieille cassette vidéo dégotée dans une brocante – ce baptême m’a fourni des mois d’existence -, un médaillon contenant une mèche de cheveux acheté sur un site de deuxième main…
Et quand je suis en manque, je l’avoue : je vole. Un faire-part de mariage chez une cousine, une photo dans un album chez une amie de ma mère, un petit mot tendre qu’un collègue conservait glissé dans son agenda…
Parfois, tous ces souvenirs se mélangent et je m’égare entre mes vies. Cela commence à me faire un peu peur. Peut-être serait-il plus sage de cesser ma collection et de ranger la boite bleue.
Mais qui peut se contenter d’une seule vie ?
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matutinachicofficiel · 3 months
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Mocassins italiens hommes chaussures De mariage Oxford
https://www.matutina-chic.com/products/mocassins-italiens-hommes-chaussures-de-mariage-oxford
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swedesinstockholm · 3 months
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3 mai
ughhhhhhhhhhhhhhh. voilà tout ce que j'ai à dire. je croyais que j'allais mieux depuis que je fais mes grandes promenades quotidiennes mais aujourd'hui une vache m'a regardée et j'ai commencé à pleurer pendant qu'adrianne lenker chantait and your love is all i want. j'étais persuadée que la vache avait compris que j'avais le coeur brisé, j'avais l'impression qu'elle voyait jusqu'au fond de mon âme avec ses grands yeux, même si je portais des lunettes de soleil. et puis elle a continué à se frotter la tête contre le tronc d'arbre et je me suis approchée de deux autres vaches qui passaient leurs gros museaux roses par dessus la barrière pour que je les caresse mais je savais pas si je pouvais les toucher ou pas alors je suis restée plantée là sans rien faire avec mes larmes qui coulaient sur mes joues en espérant que je les rendais pas trop tristes. un peu plus loin y avait une fille ou alors un garçon aux cheveux longs qui regardait les vaches comme moi planté.e derrière la barrière sans bouger. je me suis demandé s'il/elle était triste comme moi ou pas. ça aurait pu être le début d'une comédie romantique. à part ça le reste de ma promenade n'était pas triste du tout le soleil filtrait entre les arbres dans la forêt et j'ai découvert un petit étang en me trompant de chemin et j'ai envie d'y retourner asap, maintenant que j'arrive à sortir de la maison tous les jours.
4 mai
je reviens du mariage de s., c'est e. du lycée qui m'a ramenée ou plutôt son mari qui conduisait la voiture qui n'avait pas de poignées de porte mais un bouton invisible sur lequel il fallait appuyer et puis ça s'illuminait, comme la voiture de a. mardi qui affichait mercedes benz en lettres illuminées sur le pas de la portière que je l'ai ouverte, étrange monde parallèle des gens mariés qui conduisent des voitures de luxe. même si a. n'est pas mariée. quand ils m'ont laissée sortir e. a dit mais t'habites tout près du lycée! et j'ai pas osé lui dire que j'avais pas changé de maison depuis. je m'étais préparée à expliquer ma vie d'écrivaine précaire en cas de conversation mais personne ne m'a posé de questions, à part une fille insupportable qui m'a demandé de but en blanc si j'étais française et puis elle a pas arrêté de répéter je SAVAIS que vous étiez française je l'ai tout de suite deviné j'ai habité quatre ans à paris vous savez et puis elle a appelé son mari aussi insupportable qu'elle en criant honey she's french! i knew it! not gonna lie je me sens tellement monstrueuse ces derniers temps que j'ai pris le compliment, vu que dans sa bouche, pétrie de clichés comme elle était, you look french était un compliment.
s. ressemblait à ma barbie préférée de quand j'étais petite avec la grande robe bustier à paillettes reine des glaces ou je sais plus quoi. elle ressemblait à un rêve de mariée. leurs amis ont fait des discours remplis d'expressions préfabriquées à base de pièces de puzzle qui s'emboitent parfaitement et de match made in heaven et de s. made d. a better person mais pourquoi c'est toujours la fille qui fait du mec a better person et jamais le contraire? c'était cliché sur cliché sur image toute faite et personne avait l'air de s'en apercevoir. mais le pire c'était le jeu de la chaussure. ils étaient tous les deux assis sur une chaise dos à dos et la soeur de s. leur posait des questions genre who's a better cook? (elle) who's a better craftsman? (véridique, c'était même genré au masculin et tout) (donc lui évidemment) who takes care of the house? (elle) who's gonna be the stricter parent? (elle) etc et à chaque fois qu'ils répondaient la même chose (en levant ou leur propre chaussure ou celle de l'autre donc) les gens applaudissaient. donc sa soeur demandait qui c'est qui s'occupe le plus de la maison? et ils levaient tous les deux la ballerine blanche à petit talon discret de princesse disney de s. en l'air et les gens applaudissaient comme si on était en 1950. j'arrivais à peine à cacher mon dégoût, j'espère que les photographes m'ont pas prise en flagrant délit de non participation à la mascarade de l'hétérosexualité. franchement j'en veux pas de celle-là.
à table au resto j'étais entourée de couples, les filles dans leurs robes de demoiselle d'honneur stretch couleur parme et les mecs dans leurs costumes de banquiers, évidemment j'ai pas pu résister à la tentation de m'imaginer assise à côté de r. je me demandais ce qu'il penserait de tout ça lui, s'il se moquerait des invités, je suis pas sûre en fait parce qu'il est moins méchant que moi, il juge pas comme moi, c'est un vrai gentil, il a un gros coeur en or (je vais me faire pleurer). je fixais mon téléphone en espérant faire apparaitre son nom. il m'a envoyé un truc à deux heures du matin en rentrant du concert d'a. lenker et ce matin quand je l'ai vu, même si c'était une vidéo à la con, j'étais contente parce que ça voulait dire qu'il était pas au lit avec une fille (ou un mec qui sait). tant qu'il m'envoie des vidéos de merde au milieu de la nuit pour me prouver qu'il est bien seul dans son lit, ça va. who's talking about toxic now. je pensais à ça pendant que je les regardais tous se bécoter amoureusement autour de la table et j'avais un peu envie de mourir quand même.
j'ai passé un bon moment de l'après-midi perchée en haut des escaliers avec mon téléphone à discuter de notre pièce radiophonique avec ru. et s. et puis des mangas de kabi nagata avec une fille sur ig. tous les gens qui passaient me demandaient are you alright? et je leur répondais par un grand sourire rassurant. la fille d'ig racontait sa vie dans ses stories en disant comment elle transformait sa vie en fiction (sa seule et unique relation amoureuse de sa vingtaine, sa relation avec la solitude, etc). j'ai pas vraiment envie de faire de la fiction moi, je préfère la réalité à la fiction, même si la réalité transformée en récit devient un peu de la fiction, mais ça reste des éléments reconnaissables de la vie réelle. parfois je me dis que j'aimerais avoir une deuxième vie dans une dimension parallèle où je pourrais écrire des livres totalement autobiographiques sans avoir peur de blesser personne/passer pour une frappadingue parce que les personnes que je mentionne n'existeraient pas dans cette dimension-là. à supposer que dans cette autre dimension j'arrive à écrire. dans tous les cas parler de kabi nagata avec cette fille m'a rappelé le projet initial de mon livre, avant que je me laisse embarquer dans cette histoire de poésie là.
à part ça j'ai pas dansé ce soir mais au moins j'avais pas envie de pleurer, je répondais à des "tu danses pas?" imaginaires par des "c'est à cause de mon ptsd" dans ma tête. je pensais au workshop à tictac de l'année dernière quand je m'étais levée pour danser sur une chanson de lady gaga comme si je faisais partie du monde normal avec les autres. je me demande encore ce qui s'est passé ce jour-là. est-ce que ça se reproduira un jour? je pensais aussi à r. qui s'était levé sans m'attendre ni même me regarder pour aller danser à la fin de la soirée de performances en juin, comme pour bien me faire comprendre qu'il avait zéro intention de rapprochement physique. l'autre jour en regardant parlement j'ai mis sur pause sur un plan d'extérieur du berlaymont pour voir si je reconnaissais la façade du resto avec les petits auvents noirs sous lesquels on s'était abrités lorsqu'il avait commencé à pleuvoir. je crois que c'est à ce moment-là que j'ai commencé à sentir qu'il était pas attiré par moi.
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loup-venant · 4 months
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Ce n'est qu'en fermant la porte de chez lui, après le long trajet de retour que Causeur s'est véritablement rendu compte de ce qu'il avait laissé derrière lui.
Il existe des héros qui ne sauvent pas le monde, ou du moins, pas comme nous l'entendons. De ceux qui n'ont pas la moindre idée du bien fou qu'ils accomplissent et qui pourtant mérite d'être célébré. Comme cet ami d'enfance à l'autre bout de la France qui t'invite à son mariage alors que vous ne vous êtes plus parlé depuis plus de quinze ans.
Au milieu des montagnes, les jours s'écoulent comme des minutes dans lesquelles chaque seconde s'inscrit comme une aventure inconnue, nouvelle, intense et pleine de saveurs. Le cadre est idyllique, et authentique à la fois. Un subtil mélange du brut et du raffiné, le bois des bancs faits main pour la cérémonie, les préparatifs organisés qui semble se réaliser chaotiquement et pour lesquels tout le monde peut et met la main à la pâte, les personnalité éclectiques des amis des mariés qui arrivent au compte goutte, jour après jour. Autant d'indices qui ravissent le cœur de Causeur qui redoutait de faire tache dans tout ce monde inconnu.
Son ami a grandi, Causeur faisait deux têtes de plus que lui quand ils étaient petits et aujourd'hui, le voilà rattrapé. Il est toujours aussi solaire avec un rire qu'il communique avec passion. Il est beau aussi, c'est sans pression qu'il le voit catapulter le charisme à des sommets dont nous n'avons pas l'habitude et ce, avec ou sans costume.
Comme le capitaine d'un bateau en papier sur la rivière, Causeur se laisse porter par le flot des gens. Parfois, il s'arrime un temps en quelques mots lancé à l'un ou l'autre groupe qui paraît contrairement à lui, moins perdu. Ca n'a rien d'intuitif, chaque mot prononcé s'accompagne d'un grand plongeon qui le prends à l'estomac. Plusieurs fois, l'équipage du premier groupe s'étonne de l'attention accordée par leur capitaine. Qu'est-ce qui peut bien le retenir si longtemps sur le pont avec Causeur. Face à ces regards surpris, il ne peut s'empêcher de se sentir comme un pavé dans la marre, lourd et sans intérêt.
Le voilà pieds nus sur le gravier. Autour, tout le monde porte des chaussures. Inconnu parmi d'autres, il se rends utile comme il peut quitte à se faire parfois un peu mal. A la fin de la journée, il observe deux marques rouge sur ses bras. Plus impressionnantes que douloureuses, c'est à l'image de son comportement. "Si j'aide, nous nous rencontreront", pense-il à demi mots. Au fond et sur le moment, ça rime surtout avec "Si j'aide, ils m'aimeront". Il n'y croit plus tellement, mais c'est ancré en lui comme une vieille cicatrice qui ne s'efface plus vraiment. Tant mieux, ça lui va, pour un temps, de lancer le mouvement, d'avoir l'air du sauvageon, le bon, le doux, le brave.
Quand il lui semble que plus rien ne peut être fait, il s'arrête. En quelques instants, les lieux sont devenus déserts. Le groupe avec qui il travaillait en dernier est parti se balader. Il n'a pas osé leur demander de les accompagner ayant déjà envahi leur soirée d'hier, alors il s'échoue un temps sur le gravier avant de s'accrocher comme il peut à quelqu'un d'autre qui se demande comme lui, où tout le monde est parti. Une bouée de sauvetage qui lui évite la noyade émotionnelle. Elle lui fait remarquer qu'il a le nez brûlé, puis elle, les épaules marquées par plusieurs formes de brettelles. Des sourires s'échangent, sourires qu'il croit authentique devant la large glace de la salle de banquet. Il gravite autour d'elle jusqu'à arriver sur le banc d'une table à l'extérieur où s'écrivent deux discours de témoins.
Sans autre aspiration que celle d'être présent. Son regard se pose parfois sur les mots, parfois sur les doigts qui les écrivent, ou les bouchent qu'il imagine les prononcer. Autour, le soleil tourne avec les aiguilles. Est-ce là sa place ?
D'autres invités arrivent, le monde réapparaît. Son ami s'arrête à la table un temps. Il dit bonjours à deux nouvelles personnes qui s'asseyent à coté de Causeur, leur demande comment était la route. Rapidement, le marié s'en va, sans doute car d'autres choses doivent être mises en place, d'autres personnes accueillies.
"Et toi, tu le connais comment ?" demande l'un des deux à Causeur. Cette fois, c'est fluide. Les discussions s'enchaînent aux présentations, ça coule de source, aucun effort, aucun doute. Ces deux personnes échangent avec lui avec un indubitable plaisir. C'est avec eux, le marié, et quelques autres qu'il entreprend de grimper sur l'un des sommets du coin pour voir le coucher de soleil, la veille du mariage.
L'ascension se fait dans le rire, la rencontre, le jeu et le manque de souffle. Arrivé en haut, tous sont émerveillés devant la vue. D'un coté la France, de l'autre coté la Suisse. Ils peuvent voir le lac Léman et son fameux jet d'eau, ainsi que le mont Blanc. De l'autre coté, les derniers rayons de soleil tapissent l'horizon. Causeur est prêt à monter sa tente. Il a prévu de passer la nuit là, seul. Une partie de lui regrette de ne pas redescendre avec ce petit groupe avec qui il s'entend et se sent si bien. Une autre est fière de lui, de passer une nuit en tente au sommet d'un endroit où les loups passent. Il espère en voir mais ne se fait pas trop d'illusion.
A part le vent avant de s'endormir, la nuit est calme. Quand Causeur se réveille pour la quatrième fois un peu avant six heures, il sait qu'il est temps d'ouvrir la tente pour attendre le lever. Au dessus du lac, il s'annonce déjà. Il fait frais, et pieds nus, Causeur fait un tour pour se dégourdir les jambes avant de retourner se mettre à l'abri du froid dans son sac de couchage. Il est si haut, si loin et si proche à la fois. Il se sent grand, et ce qui l'entoure semble faire partie de lui. Quand le soleil monte enfin, c'est le visage de Causeur qui rayonne. Dans ses yeux, les étoiles de la veilles reprennent leur éclat. C'est un déjeuné qu'il n'oubliera pas.
La journée avance comme la précédente, pas à pas. De groupe en groupe. Dans son costume, Causeur fait bonne impression, il a laissé les pieds nus dans le tiroir. Le capitaine du premier groupe le complimente, ou du moins déclare "Ca te change, le costume". A quoi il répond "Merci, c'est vrai, même si j'avoue que j'ai qu'une envie, c'est d'enlever mes chaussures," non sans sourire.
La cérémonie est émouvante et magique, entre les graines de pissenlit qui flottent au soleil et les témoignages des témoins, Causeur en apprend d'avantage sur son ami. Le repas , lui, est un moment flottant entre deux eaux. Difficile de discuter véritablement quand il y a un concert à moins de trois mètres. Et en même temps, un blind test improvisé permet à Causeur et sa tablée d'en profiter presque plus que le repas.
La soirée s'avance à pas de loup, et Causeur est passif. Il se laisse prédater jusqu'à ce que l'intensité des lampes diminuent. Les gens commencent à danser. Il hésite un instant et puis, il se laisse prendre au jeu. Il s'invite dans le groupe ou ça coule de source. Ces deniers l'accueillent avec le sourire, en lui demandant simplement de dancer au milieu du cercle pour s'intégrer, dire bonjour, comme tous les autres avant lui. Ce qu'il exécute plus ou moins en rythme, presque sans rougir, à sa grande surprise. Ses mouvement sont chaotiques, à l'image des derniers jours. Mais cette fois il s'en fout, il danse véritablement pour la première fois et il sourit de s'en rendre compte.
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chicinsilk · 1 year
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US Vogue July 1956
Wedding Sequence: 1956 Brides, Their Going-away Choices
A bride in white satin, will leave in taupe cotton and will most likely spend the whole year in the latter. Lace wedding dress with a short train. in Oneida silk satin. Lace crown, tulle veil. Cashmere cotton dress, black satin bow, by Ben Barrack. in M&W Thomas cotton. "Passport" bag with zipped bottom for beauty products. Shoes: Delman.
Séquence de mariage : les mariées de 1956, leurs choix de départ Une mariée en satin blanc, partira en coton taupe et passera très probablement toute l'année dans ce dernier. Robe de mariée en dentelle avec une courte traîne. en satin de soie Oneida . Couronne de dentelle, voile de tulle. Robe en coton cachemire, nœud en satin noir, par Ben Barrack. en coton M&W Thomas. Sac "passeport" avec fond zippé pour les produits de beauté. Chaussures : Delman.
Photo Karen Radkaï vogue archive
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lesgenouxdanslegif · 7 months
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10 TRUCS A FAIRE AU MOINS UNE FOIS DANS SA VIE.
• 1. Tout donner pour arriver en tête au premier ravito, s’allonger sur un matelas préalablement gonflé et balancer avec un cocktail à la main au deuxième « ben alors, je commençais à m’inquiéter ».
• 2. Mettre des chaussures neuves le jour de la course, si possible trop petites et pourquoi pas en intervertissant chaussure droite avec chaussure gauche.
• 3. Terminer au sprint un trail long pour chercher son souffle et ses jambes pendant 5 jours.
• 4. Prendre le micro du speaker pour faire croire que c’est une demande en mariage mais à la place raconter une blague en dessous de la ceinture.
• 5. Tester une nouvelle boisson d’effort après 100 kilomètres en prenant soin de la sur-doser.
• 6. Faire en sorte que sa montre sonne toutes les 3 secondes pour faire péter un plomb aux compagnons de galère.
• 7. Répondre « non non, il reste 800 mètres de dénivelé car ils ont ajouté un montée » à un coureur qui venait de dire « ouf, plus que de la descente jusqu’à l’arrivée ».
• 8. Dire « en haut ça sera dégagé et la vue sera magnifique ! » alors que clairement il y a du brouillard 4000 mètres au dessus du sommet.
• 9. Balancer au ravito un « je vais faire une petite sieste salvatrice » sur un trail de 16 kilomètres.
• 10. Encourager au 5ème kilomètre d’un ultra et dire « allez, bientôt la fin ».
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Photo Alexis Berg
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clhook · 8 months
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Je cherche une paire spécifique de chaussures pour le mariage et j'aimerais les acheter d'occasion, j'ai trouvé pile poil ce que je veux mais dans l'annonce la meuf a mis "chaussures neuves, vente car mariage annulé" dsl pour vous madame mais j'ai trop peur que vos chaussures me portent la poisse hors de question que je les achète
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Quelques trucs bien. Mai 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Apprécier et même provoquer les moments de joie partagée  
Me sentir plus sereine de savoir le bébé en position de naissance, et que l’accouchement de ma fille se passera naturellement. Espérer maintenant  
Mieux gérer les aléas de la santé de maman. Anticiper pour ne pas être dépassée
Fêter l’anniversaire de mon fils. Réunir la famille malgré la pluie. Puis profiter du soleil de l’après-midi sur la terrasse 
Savoir que je suis entendue et que j’aurai du relais dans le boulot. Être soulagée 
Aller au cinéma pour voir « La petite sirène ». Replonger en enfance 
Observer une mésange posée sur la terrasse. Nous sentir confiantes d’un heureux présage 
Débarrasser le jardin, débroussailler, désherber, et puis planter des fleurs 
Frémir pour ma fille, vouloir encore la préserver de la douleur d’enfanter, celle de devenir mère et qui durera toute sa vie désormais 
Aller au concert. Redécouvrir qu’il y a une autre vie que celle de mon quotidien, une vie riche et généreuse, une vie d’art et d’amour. J’avais oublié… 
Réserver un billet pour un concert, inviter ma meilleure amie qui est déjà surbookée alors que la saison touristique ne fait que commencer 
Reprendre le travail. Recommencer à prendre et donner des nouvelles 
Commencer à entendre chanter les grillons dès la nuit tombée 
Essayer la robe longue et vert pâle. Enfiler les chaussures à talons et le collier à trois rangs de perles fines qui appartenait à ma grand-mère. Me sentir prête et sublime pour la cérémonie du mariage de ma fille 
Débroussailler le jardin et me laisser surprendre par un gros crapaud. Pousser un cri puis me ressaisir : je n’attends plus le prince charmant ! 
Continuer de faire des trucs à la maison : installer un store et un tableau, rempoter les fleurs qui commencent à avoir chaud 
Préparer l’arrivée du bébé, choisir une parure de lit pour la future chambre. Attendre encore le doudou à broder de son prénom. Attendre 
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lvladame · 1 year
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L'histoire de lvladame :
Je suis née six mois après un drame familial (un accident qui a failli coûter la vie à mon frère) un an plus tard ma grand mère maternelle tombera malade (tumeur au cerveau), après son décès j'ai 18 mois et je ne marche toujours pas, le pédiatre est direct :
" Votre fille n'a pas un soucis aux jambes mais au cerveau " le scanner révélera une Paralysie cérébrale de type diplegie spastique. Le Dr sera pessimiste il dira à mes parents : " n'attendez rien de votre fille, elle ne marchera jamais "
Ma mere a pris la main de mon père elle lui a dit " il est hors de question qu'elle soit en fauteuil roulant, on est d'accord " mon père les larmes aux yeux a hoche la tête...
Ils ont proposé une place dans un iem mes parents ont refusé " dites nous ce qu'il faut faire "
L'école publique de quartier a refusé de me prendre, alors ils ont opté pour une école privée et y ont inscrit mes deux frères par équité... Quand j'ai commencé à marcher j'usais 1 paire de chaussures à 500 francs tous les 15 jours... Ils percevaient uniquement l'AEH
Les séances de kiné sont une torture en période de croissance, les muscles sont déjà au taquet sollicité avec la croissance alors avec en plus les étirements manuels c'est horrible, mes parents n'assistent pas aux séances tellement mes hurlements leur brisent le cœur
C'était sans compter mon sale caractère, qui a fait son effet très tôt, un kiné a dit à mes parents qu'il ne pouvait rien pour moi je ne voulais pas me laisser faire...
Ils ont fait alors le déplacement 3x par semaine chez un autre kiné à 50 km de la maison...
En plus de la rééducation j'ai le droit à des attelles de nuit et de jour, puis une magnifique coquille qui va d'en dessous des aisselles aux orteils... J'appelle ma mère la nuit pour qu'elle me retourne. J'ai aussi des plâtres 1x par an l'été bien souvent pr pas louper l'ecole
On m'a dit " tu ne peux pas faire ça " j'ai regardé mes parents, ils ont compris :
- 3 semaines pr apprendre à faire du vélo comme une grande j'avais 7 ans alors que c'était impossible selon les medecins
- 2 semaines pr apprendre à nager à la force des bras (merci les freros)
J'ai connu la discrimination, le rejet, les moqueries, les menaces de mort durant ma scolarité par mes camarades, j ai également des enseignants qui ont été ignoble mais j'ai eu la chance de croiser des personnes exceptionnelles...
Mon enseignante de CE2 m'a tenu la main tout le long de la course de plusieurs kms parce que je voulais le faire comme les copains... On a couru on a marché, elle me disait aller tiens bon on y est... J'y suis arrivée...
On m'a dit que je ne ferai rien de ma vie, on m'a dit qu'il était impossible que je sois intelligente car je suis handicapée... On m'a dit que c'était impossible qu'un homme s'intéresse à moi car je suis handicapée...
Quand je montre une photo de notre mariage à mes collègues j'ai comme réponse : " Ah ouais il est pas mal ton homme " parce que forcément les handicapées n'attirent que les moches...
Quand je revois ceux et celles qui ont tenté de m'humilier et me briser, qu'ils me demandent ce que je suis devenue, quand je leur donne le nom de ma profession, ils disent : " Ah oui t'as réussi quand même "...
J'aurai pu répondre à tout ceux qui ont été abjecte avec moi par la violence, j'aurai pu me lamenter sur mon sors...
J'ai utilisé tous les coups que je recevais pour en faire une force et j'ai démonté un a un tous leurs propos.
Qu'importe l'avis des gens, qu'importe le regard des gens... On est seul à savoir ce qu'on vaut, ce qu'on veut... On peut toujours trouver le moyen de réussir, c'est difficile, c'est épuisant mais ça vaut vraiment le coup...
Je n'ai jamais cédé à la haine, à la violence, j'ai eu une chance inestimable d'avoir été élevé en guerrière, je n'aurai jamais assez de toute cette vie pour remercier mes parents et mes frères...
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khalidom · 1 year
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Il était une fois une fille dont le récit de sa vie était ambigu.
Après avoir été plongée dans un sommeil enchanté, elle s'était éveillée dans un monde où les nains l'avaient comblée de mets délicieux, ce qui avait laissé son empreinte sur sa silhouette et des rondeurs qui se reflètent. Cependant, son charme intérieur brillait toujours aussi intensément que sa beauté extérieure.
Elle avait finalement croisé le chemin d'un prince charmant, un homme qui avait été captivé non seulement par sa beauté, mais aussi par son cœur bienveillant.
Seulement à minuit, elle n'avait pas perdu une chaussure et cela a créé une cassure dans les événements.
Ainsi, le prince a fini par ce marier par l'une de ses belles sœurs.
Triste et célibataire, notre héroïne avait dû continuer à vivre sous le poids de son passé enchanté, mais sans la récompense d'un mariage heureux.
Elle consacra sa vie à aider les autres, apportant sa générosité et son charme à tous ceux qui avaient la chance de la rencontrer.
Par la même occasion, elle devint grosse et obèse et à jamais, auucn homme n'a voulu l'épouser.
Elle fini par accepter comme mari, le nain "grincheux", vécurent heureux et eurent un seul enfant qu'ils nommerent "Gargamel", plus connu sous le nom de "Charchabil".
Fin de l'histoire.
Septembre 2023
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matutinachicofficiel · 8 months
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