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#Complu
errico-malatesta · 2 months
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goldenliartrash · 1 month
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I can deal with my teachers having Wikipedia pages (I can't) but turning on the tv and getting jumpscared by them being on the news is a different level of illegal entirely
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four-chaos-kids · 8 days
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ooc:
Ok people if someone with give me the following emojis in a ask I will complu
✨:Lore drop
🎨 : Cally lore drop
🐸: Allen lore drop
🔆:Aastar lore drop
🌲: Aspen lore drop
🐲: baby picture drop
🐉: Picrew drop
:)
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cuál es la cosa más problemática que has hecho en tu vida académica?
hubo un momento en el que consideré hacer el doctorado en isr*el porque la complu tenía (énfasis en tenía oleeee) un convenio con una universidad de ahí
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glittertrail · 1 year
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A strawb 🍓 for your garden
I don't think you get enough credit for how fast you are at coming up both w ships and dynamics for said ships (so fast in fact i don't even have the attention spam to get into them before the fandom goes crazy for another ship 🤣 but that's really a me problem) and for how much you just do in general, like not only are you a walking encyclopedia of drag race knowledge (which is a Lot to be aware of), you manage to go to class full time and work. In a very taxing profession with super odd hours. That is awe inducing tbh. You are awe inducing!
And you survived la complu, for which, as another person personally victimized by that uni, i have to salute
send me a 🍓 so I can compliment you
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francepittoresque · 2 years
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FLORE | Les chênes célèbres ➽ https://bit.ly/2tCPNPa Emblème de la force, le chêne a toujours régné en maître dans les forêts, et l’imagination des peuples s’est complu à attribuer à cet arbre-roi de secrètes vertus et une mystérieuse puissance
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christophe76460 · 4 days
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ANYIGBA NYUI
Jeudi, 20 juin 2024
"Si ton frère devient pauvre, et que sa main fléchisse près de toi, tu le soutiendras; tu feras de même pour celui qui est étranger et qui demeure dans le pays, afin qu'il vive avec toi."
Lévitique 25, 35 (LSG)
Le devoir de soutenir l'indigent
Les enfants d'Israël libérés de la servitude en Egypte sont inexorablement en marche vers la terre promise. Mais comment devraient-ils vivre une fois arrivés là-bas, le pays où coulent le lait et le miel, pour que tous sans exception puissent jouir pleinement des merveilles de Dieu ? De la montagne du Sinaï, Dieu leur donne des instructions à respecter lorsqu’ils seront en possession du pays qu'Il leur donne en héritage. Parmi ces instructions figure le devoir de soutenir le pauvre.
Dans le passage du jour, il est expressément dit : "Si ton frère devient pauvre, et que sa main fléchisse près de toi, tu le soutiendras; tu feras de même pour celui qui est étranger et qui demeure dans le pays, afin qu'il vive avec toi" (verset du jour). En un mot, il ne devrait pas avoir de la misère sur la terre promise. Chaque enfant d'Israël a le devoir d'empêcher que son prochain (son frère ou l'étranger) qui est en train de s’appauvrir ne tombe tout à fait dans la misère.
Alors son attitude à l'égard de celui qui est en difficulté doit être exemplaire. Il ne doit pas l'exploiter pour ses propres intérêts par exemple en tirant de lui intérêt et usure, en lui imposant le travail d'un esclave... Mais au contraire il doit permettre à son prochain de vivre avec lui ne serait-ce comme un mercenaire ou un domestique, le temps qu'il retrouve son autonomie et ses biens. En effet, Israël ne doit pas oublier qu'il était asservi en Egypte et que c'est l'Éternel, son Dieu, qui l'a fait sortir de là, pour lui donner le pays de Canaan, pour héritage.
Cher(e) ami(e), en un mot, dans le passage du jour, il est demandé aux Israélites, objets de la charité de Dieu, d'être charitables les uns envers les autres. Peux-tu aussi être charitable envers ton prochain ? L'apôtre Paul dit : "Nous qui sommes forts, nous devons supporter les faiblesses de ceux qui ne le sont pas, et ne pas nous complaire en nous-mêmes [...] Car Christ ne s'est point complu en lui-même, mais, selon qu'il est écrit: Les outrages de ceux qui t'insultent sont tombés sur moi." (Romains 15, 1&3). Utilise donc les dons (les dons spirituels, les talents, le matériel...) que tu as gracieusement reçus de Dieu pour soutenir ton prochain aussi.
Amen!
Exhortation : Soutiens ton prochain en difficulté
Texte du jour : Lévitique 25, 35-43
Edoh Nicolas
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shalomelohim · 2 months
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La Parachah « Aharey Moth » (après la mort)
Pensée
“YHVH parla à Moshéh, après la mort des deux fils d’Aharon qui s’étaient présentés devant YHVH, ils moururent.” (Lévitique 16:1)
L’accès au « Saint des saints » au-delà du voile était dangereux pour l’homme s’il y apportait quoi que ce soit de profane, quoi que ce soit qui ne serait pas conforme à l’injonction d’Élohim, y compris dans une intention des plus louables. La prévention valait aussi pour le Grand Sacrificateur en titre : Aharon.
Après la mort et la résurrection de Yahshua, le Grand Sacrificateur d’éternité.
“Car le Messie n’est pas entré dans des lieux saints faits de main, copies des vrais, mais dans le ciel même, afin de paraître maintenant devant la face d’Élohim pour nous ” (Hébreux 9:24)
Il est Vivant !
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Lectures Parachah : Vayyiqra / Lévitique 16 à 18 fin Haftarah : Malakhiy / Malachie 3 à 4 fin Bérith Hadachah : Romiyiym / Romains 8:1-17
Rappel Les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire.
Résumé de la parachah Après la mort de deux de ses fils, Élohim prescrit à Aharon le rituel sacrificiel de Yom Kippour, avec ses offrandes spécifiques : 
les rites à effectuer dans le Saint des Saints (Qodesh Haqodeshim) où réside la Shékhinah (présence divine), 
la désignation, par tirage au sort entre deux boucs, d’un bouc émissaire pour Azazel et son envoi dans le désert. 
YHWH interdit d’apporter des offrandes hors de l’enceinte du sanctuaire, et insiste sur la valeur absolutrice du sang, ainsi qu’Il en interdit la consommation. 
Cette parachah est notamment lue à nouveau le jour du Kippour car elle définit le périmètre et le contenu de cette convocation solennelle. 
Diverses déviances sexuelles sont ici énumérées et interdites. 
Est également interdite la consécration des enfants à Moloch. Il est souligné que les Cananéens s’étant complus dans ces pratiques, la terre les vomit. Un sous-entendu presque évident d’une condition sine qua non pour mériter de rester sur cette terre, Éréts Israël.
Un fondamental
La parachah Aharey Moth comporte à ce titre 2 prescriptions positives et 26 prescriptions négatives (26 étant la gématria du Tétragramme sacré).
L'interdiction faite au Grand Prêtre, le Kohen Gadol, d'entrer dans le Saint des Saints chaque fois qu'il le désire, est ainsi liée au titre de notre parachah « après la mort » qui nous rappelle que dans la parachah précédente « Chémiyniy » deux des fils d’Aharon ont péri pour s’être avancés « imprudemment et trop près » d’Élohim.
« Signifie à Aharon ton frère, qu’il ne peut entrer à toute heure dans le sanctuaire… s’il ne veut encourir la mort. » (Lévitique 16:2)
C’est l’avertissement qu’a reçu Aharon après la mort de ses fils. C’est uniquement grâce au service de Yom Kippour (qui représente la réparation de l’alliance) qu’il pouvait pénétrer dans le Saint des Saints.
Ces deux points, entrée dans un endroit sanctifié et la mort, sont clairement mis en rapport dans cette portion de la Torah. Il est important de constater que cette parachah établit un lien direct entre tout ce qui concerne le rôle du Kohen Gadol et les prescriptions de sainteté qui s’adressent à chacun des membres du peuple d’Israël.
L’Élohim trois fois Saint (Qadosh Qadosh Qadosh) ne peut être approché qu’au prix d’un long et incontournable rituel de purification, opéré par un homme qui a dédié sa vie à cette seule fonction, au bénéfice d’un collectif, en acceptant de porter, de supporter cette « médiation » par une vie sanctifiée.
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C’est toute la pédagogie exemplaire dont il sera dit : « Dans le rouleau de la Torah il est écrit de Moi ». Parole du haKohen haGadol par excellence : Yéshoua.
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La mort de Nadav et Avihou
Verset 1 de notre parachah :
« Et YHWH parla à Moshéh, après la mort des deux fils d’Aharon, lorsqu’ils s’approchèrent d’Adonaï et qu’ils moururent ».
Les derniers mots de ce verset posent une question. Pourquoi la Torah ajoute-t-elle « ils moururent », alors qu’il a déjà été mentionné « après la mort des deux fils d’Aharon » ?
Selon certains commentaires, Nadav et Avihou auraient atteint l’extase spirituelle de la présence dans le Saint des saints (un aller simple sans retour). Ce serait cela leur péché et la raison de leur mort ! Ils « s’approchèrent d’Élohim et moururent ».
Ils permirent à leur passion spirituelle de l’emporter sur leur mission dans ce monde. Ils outrepassèrent les limites de ce monde sans y être expressément invités. (Plus tard, l’apôtre Paul sera autorisé à effectuer ce voyage aller ET retour). Ce risque était connu car à l’occasion du don de la Torah, YHWH avait prévenu Moshéh :
« Descends avertir le peuple. Ils pourraient se précipiter vers YHWH pour contempler sa gloire, et beaucoup d’entre eux périraient. » (Exode 19:21)
Cette volonté de s’approcher d’Élohim par soi-même (et par ses propres mérites ou par une recherche extatique ?) serait à la base de la faute attribuée aux fils d’Aharon.
N’étaient-ils pas de ceux qui furent invités avec Moshéh, Aharon et les anciens à monter sur la montagne ? Alors qu’Eléazar et Ithamar ne le furent pas. (voir Exode 24)
Toute leur faute découlerait d’une même erreur : croire que le croyant s’approche d’Élohim par le retrait du monde plutôt qu’en s’y investissant.
Cette conclusion du judaïsme télescope violemment quelques postures issues de la chrétienté qui prescrivent parfois un idéal de vie monastique, exactement à l’inverse.
La prière puissante et pressante de notre Adon Yahshua ne fut-elle pas :
« de nous préserver du monde et non de nous ôter de ce monde » ?
Aussi, ne faut-il pas chercher à être « retirés » tels des Nadav et Avihou mais rester témoins dans son temps pour le racheter, si possible.
Tous les récits de la Torah ont un enseignement qui s’applique à chaque croyant sans exception.
Quel est le message universel de l’histoire de Nadav et Avihou ?
Nous pouvons parfois vivre une intense expérience spirituelle, un jour de Shabbat, de Fêtes ou de jeûne.
Pendant un certain temps, nous sommes extraits de notre routine quotidienne, de nos difficultés habituelles et il nous est permis de nous élever intérieurement. C’est à ce moment-là qu’il faut alors se rappeler que quelle que soit l’intensité de ce moment privilégié, il faut envisager la poursuite de notre quotidien. Nul ne doit rechercher l’extase pour elle-même (de façon quasi-mystique), mais pour le retour qui la suivra.
Une expérience « religieuse » n’a pas pour vocation de rester un vague souvenir ; elle doit rester active et éclairer chaque jour notre chemin.
C’est ainsi que Élohim s’engage à bénir matériellement chacun d’entre nous, pour avoir su lier intrinsèquement le monde spirituel aux problématiques matérielles. Notre environnement se trouve ainsi sanctifié par notre expérience spirituelle et mécaniquement béni par Élohim.
« Si vous marchez dans mes statuts et gardez mes commandements et les accomplissez, alors Je vous donnerai la pluie en son temps et la terre donnera ses produits… » (Lévitique 26:3)
Certains commentateurs présentent la mort de Nadav et Avihou comme la conséquence d’un comportement plus négatif.
Ils moururent pour plusieurs motifs différents et chacun est un enseignement qui demande méditation :
pour avoir apporté devant Élohim un éch zara, un feu étranger,
pour l’avoir fait en un lieu et en un temps qui n’étaient pas les bons et sans que cela le leur eût été commandé (*)
pour avoir enseigné et officié devant leur père alors que c’était son rôle à lui, - seul Moshéh pouvait entrer quand il le voulait, Aharon pouvait entrer à certains moments mais non pas eux qui ne pouvaient se substituer à ces grands,
pour être entrés là sous l'influence du vin ou d’un boisson forte,
(*) La Torah utilise à de nombreuses reprises la phrase « comme YHWH l’avait ordonné à Moshéh ». Or, dans cette parachah, il est stipulé au contraire : « ce que YHWH ne leur avait point ordonné »
Ainsi, Nadav et Avihou ne seraient pas morts pour avoir transgressé une règle explicite, mais à cause d’une trop grande proximité de leurs êtres avec la Shékhinah de YHWH, ce qui ne leur était pas accessible, d’autant qu’ils présentèrent leur propre « feu ».
Cet évènement pose le principe même de l’incapacité humaine à la présence d’Élohim et de la nécessaire médiation, du rôle fondamental tenu par le Kohen Gadol, qui seul, peut tenir en présence d’Élohim.
Le judaïsme d’aujourd’hui, et depuis l’an 70, ne peut plus exister sur le modèle initial et révélé à Moshéh, car ce Kohen Gadol selon Aharon n’existe plus.
Il devient urgent pour les croyants et les adeptes du culte mosaïque version synagogale, de redécouvrir cette figure essentielle du Kohen Gadol, au risque de générer de génération en génération des Nadav et Avihou, et de continuer à ajouter à la Torah :
« ce que le Seigneur n’avait pas ordonné… »
Cet haKohen haGadol existe pourtant bel et bien, il est Haï, vivant et en présence de la Shékhinah divine pour notre Salut (Yéshoua) à tous. C’est Lui qui est le culte suprême, et le Grand Sacrificateur, Il le sert avec son « sang » ! Nous sommes à sa suite pour confirmer par le culte qu’IL est mort et ressuscité… faites ceci jusqu’à ce qu’IL vienne !
Les deux boucs de Kippour
Le jour de Kippour, le Kohen Gadol prenait deux boucs :
- l'un était pour YHWH et, - l'autre pour Azazel (le Satan ! selon l’interprétation la plus répandue, mais qui reste hypothétique).
Ils devaient être rigoureusement semblables, mais leur sort était très différent.
Le sang du premier était aspergé par le Kohen Gadol devant l'Arche sainte, dans le Qodesh Haqodeshim (Saint des Saints).
Quant au second, il était envoyé dans le désert après que le Kohen haGadol l'ait chargé des péchés de tout Israël.
Les deux boucs représentent deux caractéristiques distinctes du peuple.
Le premier bouc symbolise l’aspiration à vivre une proximité avec Élohim, symbolisée par l'aspersion du sang sur l'autel.
Le second représente la somme des pêchés d'Israël et semble contredire la précédente aspiration.
Toutefois, ces péchés sont inspirés par des facteurs extérieurs à l’être qui, lui, reste pur dans son essence. Ainsi coexistent en chaque homme une force d’attraction (vers la sainteté) et une force de répulsion.
La première est représentée par le Souffle (esprit) et la seconde par la chair.
Le tirage au sort entre les deux « boucs » renforce la « fatalité » de cette dualité, laquelle ne saurait être dissociée dans ce monde-ci car propre à l’humanité depuis le premier Adam.
Il ne s’agit donc pas tant de haïr le bouc tiré au sort et jeté au désert que d’apprendre à gérer-maitriser ce qu’il représente. Et cela est en nous, pour que nous l’emmenions également au désert pendant que l’autre partie de notre être se répand sur l’autel en sacrifice agréable.
Tout Israël, à Yom Kippour, prenait conscience de ce potentiel et rejetait ses fautes : celles-ci, par conséquent, se détachaient du peuple et tombaient comme des feuilles mortes. En ce jour, le Satan ne pouvait plus accuser. L’Assemblée d’Israël était alors « sainte, sans tache, irréprochable… »
Yom Kippour s'appelle aussi le jour du Grand Pardon. Pour que ce pardon soit effectif, il est demandé de faire Téchouvah, c'est-à-dire un retour : un nouveau départ.
La Téchouvah est une réparation, cette notion dépasse le problème du seul péché. Le mot « Hét » traduit par péché provient d'un verbe que la Torah utilise pour les archers du Roi David et qui signifie manquer la cible ; le péché est donc tout autre chose qu'une infraction ou une violation : c'est un manquement à soi-même !
Le pécheur est un homme qui rate le bon sens de sa vie et « faire Téchouvah », c'est aspirer à revenir à Élohim.
Tout processus de Téchouvah signifie : revenir à la maison d’Élohim, parvenir à l'Être « Le Vivant » qui est et réside au-delà du temps, l'Être en lequel le passé, le présent et le futur sont unifiés en un « au-delà du temps ».
A ce stade du processus de la Téchouvah, tout se passe comme si rien n'avait jamais existé : cet état de Téchouvah précède la faute, il se situe avant la faute. C'est pourquoi le pardon est possible puisqu’à ce stade du « retour » rien ne s'est encore réellement passé. 
Chacun a la faculté de revenir dans cet espace divin où la faute n’existe pas : tel est le processus de réparation, de régénération de notre être.
Mais approcher cet espace n’est pas autorisé en dehors de la pensée de Kippour, dans la centralité de l’action du seul Kohen Gadol possible.
Puissions-nous être conscients que le « rideau » d’accès au Qodesh Haqodeshim est aujourd’hui constamment ouvert par l’action du Fils, qui permet à chacun de faire « retour » et de revenir à la Maison du Père.
YHWH est parfait en Sainteté et ne peut pas être approché par l’homme pécheur qui n’aurait pas reçu le vêtement de pureté approprié, qui ne serait pas sous le couvert du sang de l’Agneau d’Élohim.
Voilà qui fut fait définitivement à Golgoltha.
*** L’Agneau du Péssah universel rejoint le bouc de Kippour dans sa vocation de grâce et de pardon. Il relie et réalise la dimension prophétique de toutes ces fêtes. Son sang fut versé sur l’Autel pour nos pêchés ! Il fut donc tout à la fois le bouc sacrifié sur l’Autel et le bouc chargé de nos péchés emportés dans le désert… désert du séjour des morts qui ne put le retenir plus de trois jours et trois nuits et dont Il sortit vainqueur. ***
Des deux (boucs – victimes expiatoires), Il n’en a fait qu’un… et c’est bien « Azazel » qui a aujourd’hui perdu sa puissance accusatrice.
Rester pur, veiller à son alimentation et s’approcher de YHWH C’est le thème central du livre de Vayyiqra.
« Je serai sanctifié par ceux qui s’approchent de moi » (Lévitique 10:3).
Mais comment un pécheur peut-il s’approcher d’un Élohim Saint ? Sacrifice ou offrande se dit Qorban. La racine du mot offrande / Qorban signifie « s’approcher de » et n’a pas de connotation de « valeur ». Il ne s’agit donc pas de donner quelque chose de « valeur », mais bel et bien de se rapprocher.
Dans les parachiyoth précédentes (Tazria et Métsora notamment), nous avons vu pourquoi les personnes rituellement impures (tamei) n’étaient pas autorisées à se rapprocher d’Élohim.
Si une personne devenait tamei / rituellement impure :
1) en fautant (désobéissance aux commandements) 2) en entrant en contact avec la mort, 3) par une perte de la vie (flux menstruel, etc…)
alors la personne ne pouvait pas entrer dans la sainte présence de YHWH.
L’état de métsora (gale) représentait l’état d’impureté le plus extrême. Les instructions concernant le métsora nous rappellent que le Mishkan (Tente du rendez-vous…) devait être protégé du contact avec la mort.
Une personne pouvait uniquement approcher YHWH si elle était Tahor (rituellement pure).
Etonnamment, toutes les prescriptions liées à ces états de Tahor / Tamei (pur / impur) sont intercalées entre Lévitique 10 et 16, soit après la mort des deux fils Nadav et Avihou et l’interdiction de rentrer dans le Saint des Saints. (Y étaient-ils entrés… ?)
Lévitique 16 reprend en fait le cours de l’histoire que nous avions quitté en lévitique 10, à partir duquel s’intercale cette grande parenthèse traitant des impuretés.
Un des versets importants de la parachah Aharey Moth est Lévitique 17:11 :
« OUI, la vie de la chair est dans le sang. Ce sang, JE VOUS L’AI DONNE, MOI, pour faire sur l’autel le rite d’expiation de vos vies ; car c’est le sang qui expie pour une vie. »
Ce verset donne un sens à tous les sacrifices et éclaire l’universalité du Sacrifice de Yahshua. Lorsqu'une offrande était faite, le sang de l'animal était répandu sur l'autel. Symboliquement, nous pouvons comprendre qu'une vie (celle de l'animal) pouvait couvrir les péchés d'une autre vie (la vie de ceux du peuple).
A ce stade de notre réflexion, il est utile de relever ce que Tony Robinson (Restauration of Torah Ministries) a exposé à l’occasion de ses propres investigations : un parallèle étonnant entre Lévitique 17 et 18 et le passage central d’Actes 15.
En Actes 15:28-29, le premier concile de Jérusalem, qui réunit les principaux apôtres et disciples de la première génération, est amené à imposer quatre exigences à l’attention des goyim (païens) convertis. D’où proviennent ces exigences ? De la parachah Aharey Moth !
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Nous sommes en mesure d’affirmer, sans l’ombre d’un doute, que Actes 15:29 est thématiquement relié à Lévitique 17-18, tout simplement parce qu’Actes 15:29 est un résumé de cette parachah Aharey Moth, y compris l’ordre des commandements qui est le même.
Les exigences données depuis Jérusalem en l’an 51 ap. JC aux croyants non Juifs sont les mêmes commandements que ceux donnés aux croyants sortis d’Egypte quelques 1500 années plus tôt. Preuve, s’il en fallait encore une, que la Torah est loin d’avoir été abolie par la première Qéhiyllah de Jérusalem.
Lorsque la Torah mentionne de ne pas manger de sang, cela signifie de ne pas manger de viande qui n’a pas correctement été vidée de son sang (porteur de vie).
« Si quelqu’un des enfants d’Israël ou des étrangers qui séjournent au milieu d’eux prend à la chasse un animal ou un oiseau qui se mange, il en versera le sang et le couvrira de poussière. » (Lévitique 17:13)
Qu’est-ce que la Torah veut dire par « un animal ou un oiseau qui se mange » ? Quels animaux et oiseaux peuvent-ils être consommés ? La réponse est donnée en Lévitique 11:1-47, passage dans lequel la Torah fait la liste de tous les animaux tahor / purs, qui peuvent être consommés.
En fait, il y a deux exigences en une :
1. l'animal doit être un animal comestible et, 2. l’animal doit être correctement vidé de son sang.
Cela signifie que nous devons uniquement manger des animaux purs dont le sang a été correctement vidé.
TOUT UN PROGRAMME ET UNE VRAIE REMISE EN CAUSE POUR CEUX DE LA CHRETIENTE VIVANT DANS UNE SOCIETE OCCIDENTALE QUI TUE SES ANIMAUX A L’ABRI DES REGARDS DANS DES ABATTOIRS OU PERSONNE NE RENTRE…
Ainsi, le concile de Jérusalem donna le même commandement (que celui que nous retrouvons dans la Parachah Aharey Moth) aux croyants non Juifs. 
Par conséquent, lorsque le concile demande aux croyants de s’abstenir du sang, il leur demande en fait d’observer les lois alimentaires de la Torah (nous ne parlons pas ici de ‘cacherout’, qui est la somme de toutes les réflexions et commentaires faits au cours des siècles, avec ses inévitables dérives et dogmes humains).
Voulons-nous signifier par là qu’en tant que croyant non Juif, nous sommes censés manger de la nourriture « pure » selon la Bible ?
Visiblement, oui ! Si nous sommes confus, c’est en partie parce que la chrétienté n’est pas au clair avec cette notion de consommation de sang et du symbole supérieur de son témoignage.
Ce commandement renvoie plus globalement à une alimentation saine et agréée au sens biblique du terme. Que chacun en ait en son temps une claire et authentique conviction dans le coeur !
Mais que personne ne puisse affirmer que c’est l’alimentation qui sauve ou qui condamne. 
A quoi servirait-il de « bien manger » si notre vie globalement n’était pas en ordre ? 
Et si notre vie est globalement plutôt en ordre, pourquoi se priver de la liberté de « bien manger » en sus ? Ainsi, ce n’est pas « le manger et le boire » qui nous sauveront mais « le manger et le boire » peuvent matérialiser nos efforts quotidiens pour être purs, meilleurs et nous rapprocher d’Élohim, et ainsi rendre témoignage à la Parole d’Élohim, que nous tenons pour Vérité.
Par ailleurs, ce commandement était-il adressé aux seuls Israélites prisonniers du désert du Sinaï ?
Qui sont ces immigrés et ces étrangers présents au milieu du peuple ? Le mot hébreu traduit par immigrés ou étrangers peut aussi être compris dans un sens de « prosélytes », adhérant à la foi de l’Élohim d’Abraham, d’Isaac et de Jacob.
Nous comprenons alors mieux ce que la Torah enseigne au croyant non-Juif, qui se repent et se greffe librement sur l’Alliance renouvelée par et en Yahshua au Golgoltha.
Se greffer sur l’olivier, sur l’Alliance renouvelée « d’Israël », ne signifie pas se greffer sur le judaïsme pharisien, ne confondons pas ! La cacherout rabbinique et la nourriture biblique, même si elles présentent des éléments similaires, ne sont pas miscibles !
Par ailleurs, la loi sur les aliments carnés nous invite à regarder au-delà du « fond de notre assiette » et à examiner tout ce qui nous imprègne : lecture, audiovisuel, spectacle, discussion… etc.
C’est aussi tout cela notre nourriture !
Savons-nous choisir « sainement » entre toutes ces propositions et faire le tri entre le pur et l’impur ?
La nourriture de chaque jour nous rappelle à cette nécessité.
« Soyez saints, car Je suis Saint »
Shabbat shalom vé shavoua tov.
Source : Juda & Ephraïm
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yes-bernie-stuff · 2 months
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Romains 15
1 Nous qui sommes forts, nous devons supporter les faiblesses de ceux qui ne le sont pas, et ne pas nous complaire en nous-mêmes.
2 Que chacun de nous complaise au prochain pour ce qui est bien en vue de l'édification.
3 Car Christ ne s'est point complu en lui-même, mais, selon qu'il est écrit: Les outrages de ceux qui t'insultent sont tombés sur moi.
4 Or, tout ce qui a été écrit d'avance l'a été pour notre instruction, afin que, par la patience, et par la consolation que donnent les Écritures, nous possédions l'espérance.
5 Que le Dieu de la persévérance et de la consolation vous donne d'avoir les mêmes sentiments les uns envers les autres selon Jésus Christ,
6 afin que tous ensemble, d'une seule bouche, vous glorifiiez le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ.
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marcogiovenale · 1 year
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14 maggio @ sic12 (roma): "sonic topographies"
SIC12, Roma, via Francesco Negri 65 per prenotarsi: https://t.ly/SQRZ in collaborazione con COMPLUS EVENTSSi ringraziano: Kulturförderung/Swisslos, Luzern Schweizerische Interpretenstiftung SIS, Zürich, Fondation Nicati-de Luze, Lausanne Sergio Nascimbeni, Raffaella Morra (Fondazione Morra), Pino Saulo (Palinsesto Battiti Rai Radio 3), Alessandro Reali * SIC.12 Art Studio APS è uno spazio…
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lapleiade · 1 year
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Non, tu n’as pas quitté mes yeux ; Et quand mon regard solitaire Cessa de te voir sur la terre, Soudain je te vis dans les cieux.[...] C’est ta main qui sèche mes pleurs, Quand je vais, triste et solitaire, Répandre en secret ma prière Près des autels consolateurs. Quand je dors, tu veilles dans l’ombre ; Tes ailes reposent sur moi ; Tous mes songes viennent de toi, Doux comme le regard d’une ombre.
Alphonse de Lamartine, Neuvième méditation: Souvenir, Méditations poétiques (1860) “Les grandes douleurs sont muettes, a-t-on dit. Cela est vrai. Je l’éprouvai après la première grande douleur de ma vie. Pendant six ou huit mois, je me renfermai comme dans un linceul avec l’image de ce que j’avais aimé et perdu. Puis, quand je fus pour ainsi dire apprivoisé avec ma douleur, la nature jeta le voile de la mélancolie sur mon âme, et je me complus à n’entretenir en invocations, en extases, en prières, en poésie même quelquefois, avec l’ombre toujours présente à mes pensées.”
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grupotuppersex · 2 years
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El jueves 9/6 nos reunimos en una sala de la complu para ver la peli Yes, we fuck! De Antonio Centeno y Raul de la Mora… ✨ 
Es una pelicula-documental sobre la sexualidad y la diversidad funcional. Fue súper chulo invadir una sala de la complu para ver una peli así y poder tener una tertulia después sobre los temas que salían tras el audio-visionado💓
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dpf-ucm · 7 years
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Volvemos a entrenar en UCM
Tras una temporada en blanco, nos ilusiona poder informaros sobre la reapertura de las clases de Hapkido en Ciudad Universitaria (UCM).
Para esta reapertura ha sido necesario cambiar de ubicación, integrándonos como actividad dentro de Deportes de UCM. Por lo tanto, las sesiones se impartirán en el complejo deportivo Paraninfo Sur.
El horario será: Lunes y Miércoles de 12 a 13h
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Las clases comenzarán en Novienbre, y para poder asistir es necesario inscribirse a través del servicio de deportes de UCM, ubicado en Paraninfo Norte.
Para inscribirse no hay ningún requisito previo, no es obligatorio ser alumno/personal de la universidad. Cualquier persona puede inscribirse en:
Oficina Unidad de Gestión de Actividades Deportivas UCM
Tlfno.: 91.394.60.92
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Note
Por cierto, te comento por si no lo sabes que están rodando algo (los rumores indican que una serie de Netflix) en Cantoblanco
Han puesto atrezo en la parte de atrás FyL, que ahora es "Colegio Privado Martín Baussen" o algo así
HALA HALA HALA me parece un poco fuerte que lo hagan justo cuando voy a hacer el doctorado en la complu pero bueno
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eskamtrash · 3 years
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Gays ive been called as a witness for a thing that happened 5 years ago and now i have to go testify and shit 😳 what the fuck
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glittertrail · 3 years
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que el mcu en español se traduzca a ucm nunca me dejara de hacer gracia
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