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#La Terre du Milieu
baheuldey · 11 months
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Tom Bombadil (Tolktober, 30), 2023, encre de Chine sur papier, 21,5 x 14 cm
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valardynasty · 5 months
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Legolas
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Legolas Vertefeuille, prince of Mirkwood.
"Legolas Vertefeuille est un Elfe Sinda, qui faisait partie de la Communauté de l'Anneau, au Troisième Âge. Fils du roi elfe Thranduil, du Royaume Sylvestre, dont il est le prince, un messager et un valeureux guerrier. Avec sa vue perçante, son ouïe sensible et son excellente maîtrise de l'arc, Legolas a été précieux pour la Communauté durant la Quête de l'Anneau à travers la Terre du Milieu. Il était bien connu pour être devenu ami avec le nain Gimli, malgré leurs différences de longue date."
Création par Intelligence Artificielle.
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raphohwell · 12 days
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This song is one of the most influential songs about climate change in my home province of Quebec. I hope you will enjoy it, and take the opportunity to spend time thinking about the issues currently faced by our planet due to climate change.
Cette chanson est l'une des plus importantes dans le discours des changements climatiques dans ma province natale du Québec. J'espère en vous la montrant que vous l'apprécierez et prendrez du temps pour réfléchir aux bouleversements auxquels nous faisons face durant ces changements climatiques.
Lyrics - Paroles
[English]
There are only a few minutes left in my life At most a few hours, I feel myself weakening My brother died yesterday in the middle of the desert I am now the last human on Earth
They once described to me, when I was a child What the world looked like a very long time ago When my great-grandfather's parents were alive And snow still fell in winter
In those times, we lived according to the seasons And the end of summers brought the harvest Pure and limpid water flowed in the streams Where deer and moose came to drink
But I have only seen a desolate planet Lunar landscapes and suffocating heat And all my friends dying of thirst or hunger Like flies falling, until there was nothing left Nothing left Nothing left
There are only a few minutes left in my life At most a few hours, I feel myself weakening My brother died yesterday in the middle of the desert I am now the last human on Earth
It all started several years ago When my ancestors were obsessed By pieces of paper called money That made some men truly rich and powerful
And these new gods, stopping at nothing Were ready to do anything to achieve their goals To get even richer, they razed the earth Polluted the air and dried up the rivers
But after a hundred years, people rose up And warned them that everything had to stop But they did not understand this wise prophecy These men only spoke in terms of profits
It was years later that they saw the nonsense In panic, they declared a state of emergency When all the oceans swallowed the islands And floods hit the big cities
And then for a whole decade There were hurricanes and then fires Earthquakes and great drought Everywhere on faces, you could read distress
People had to fight against pandemics Decimated by millions by dreadful diseases Then others died of thirst or hunger Like flies falling, until there was nothing left Nothing left Nothing left
My brother died yesterday in the middle of the desert I am now the last human on Earth In the end, the intelligence we were given Will have been nothing but a beautiful, poisoned gift Because there are only a few minutes left in life At most a few hours, I feel myself weakening I can't walk anymore, I struggle to breathe Farewell humanity, Farewell humanity
[Français]
Il ne reste que quelques minutes à ma vie Tout au plus quelques heures, je sens que je faiblis Mon frère est mort hier au milieu du désert Je suis maintenant le dernier humain de la terre
On m'a décrit jadis, quand j'étais un enfant Ce qu'avait l'air le monde il y a très très longtemps Quand vivaient les parents de mon arrière-grand-père Et qu'il tombait encore de la neige en hiver
En ces temps, on vivait au rythme des saisons Et la fin des étés apportait la moisson Une eau pure et limpide coulait dans les ruisseaux Où venaient s'abreuver chevreuils et orignaux
Mais moi, je n'ai vu qu'une planète désolante Paysages lunaires et chaleur suffocante Et tous mes amis mourir par la soif ou la faim Comme tombent les mouches, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien Plus rien Plus rien
Il ne reste que quelques minutes à ma vie Tout au plus quelques heures, je sens que je faiblis Mon frère est mort hier au milieu du désert Je suis maintenant le dernier humain de la terre
Tout ça a commencé il y a plusieurs années Alors que mes ancêtres étaient obnubilés Par des bouts de papier que l'on appelait argent Qui rendaient certains hommes vraiment riches et puissants
Et ces nouveaux dieux ne reculant devant rien Étaient prêts à tout pour arriver à leurs fins Pour s'enrichir encore, ils ont rasé la terre Pollué l'air ambiant et tari les rivières
Mais au bout de cent ans, des gens se sont levés Et les ont avertis qu'il fallait tout stopper Mais ils n'ont pas compris cette sage prophétie Ces hommes-là ne parlaient qu'en termes de profits
C'est des années plus tard qu'ils ont vu le non-sens Dans la panique ont déclaré l'état d'urgence Quand tous les océans ont englouti les îles Et que les inondations ont frappé les grandes villes
Et par la suite pendant toute une décennie Ce furent les ouragans et puis les incendies Les tremblements de terre et la grande sécheresse Partout sur les visages, on lisait la détresse
Les gens ont dû se battre contre les pandémies Décimés par millions par d'atroces maladies Puis les autres sont morts par la soif ou la faim Comme tombent les mouches, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien Plus rien Plus rien
Mon frère est mort hier au milieu du désert Je suis maintenant le dernier humain de la terre Au fond, l'intelligence qu'on nous avait donnée N'aura été qu'un beau cadeau empoisonné Car il ne reste que quelques minutes à la vie Tout au plus quelques heures, je sens que je faiblis Je ne peux plus marcher, j'ai peine à respirer Adieu l'humanité, adieu l'humanité
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lisaalmeida · 11 months
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L’air est frais, le fond de l’air humide, le « fond de l’air » : étrange expression…
C’est un matin sans soleil et d’une grande clarté, avec des nuages pâles et immobiles, pâles et immobiles comme moi probablement.
J’ai dans la tête un champ de fleurs où tu m’avais conduite, je n’en avais jamais vu de tel. Nous nous sommes arrêtés, nous avons contemplé le cadeau, inespéré, éphémère, radieux comme toi probablement.
J’ai dans la tête une forêt clairsemée, sur les hauteurs d’un plateau venté. Des troncs noirs et nus, comme calcinés, dressés dans un bout d’immensité. Nous avons marché, côte à côte, dans un silence recueilli et attentif, comme moi probablement.
J’ai dans la tête une route qui défile au milieu des bois et des prés, de temps en temps une buse s’envole et croise notre trajectoire, c’est à qui la montrera à l’autre. On suit son vol ample, majestueux et solitaire, comme toi probablement.
J’ai dans la tête une barque qui grince, un fleuve calme et profond, un air humide et frais, les rames plongent et remontent, le clapotis est doux, léger et limpide, comme moi probablement.
J’ai dans la tête une danse à tes côtés, nous sommes légers, l’air nous porte, nous élève, nous croisons les oiseaux, nous avançons sans effort, juste un peu moins vite qu’eux, ils restent à distance mais ils ne s’effarouchent pas, le haut air sent vif comme une terre lavée par la pluie et il est accueillant, tu poses ta main dans mon dos et tu m’apprends à voler.
Le poids de la brindille,
Extrait du récit "QUARANTE JOURS"
Carole Dailly.
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jloisse · 8 months
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⏳ Nous vivons une période de l’histoire où tout est inversé.
Le menteur est considéré comme un véridique, le sincère comme un imposteur.
Les dirigeants occupent des places qu'ils ne méritent pas…
Israël qui a envahi une terre entière, la Palestine 48, est la seule occupation militaire qui perdure à notre époque et toute occupation militaire est vouée à disparaître.
Tout le monde sait que c'est une occupation qui a volé la terre d’un peuple et pourtant, ils affirment que c’est une démocratie. Lorsque les palestiniens ont pu voter librement et démocratiquement en choisissant le Hamas, ce seul droit a été interdit au peuple. Un droit qui est obstrué depuis maintenant 18 ans.
Tel Aviv a vu le jour sur la destruction de plusieurs villages palestiniens, sur les ruines de Tall Al Rabih, la colline du printemps, qui a été rayé de la carte. Pourtant, on entend que les palestiniens sont ceux qui veulent rayer Israël de la carte.
Israël vole chaque jour un peu plus les terres de Cisjordanie, les quartiers de Jérusalem, occupe le Golan et les fermes de chebaa et assiège la Bande de Gaza.
Israël a vu le jour sur la Nakba, le massacre, le sang et le déplacement du peuple palestinien. Pourtant, ce sont les palestiniens qui sont traités d’assassins.
Israël pratique la torture dans les prisons, kidnappe chaque jour hommes femmes et enfants, mais le monde entier est choqué lorsque des soldats sont pris en captivité et bien traités.
Des milliers d’enfants croupissent dans les geôles israéliennes sans aucun droit et sous la torture.
Israël pratique les pires tortures dans ses prisons.
Les colons profanent depuis des décennies les lieux saints chrétiens et musulmans. Tous les jours les colons tuent, volent et agressent en toute impunité les palestiniens. Tous les jours les colons volent des maisons et les occupent illégalement. Tous les jours l’occupation sioniste détruit des maisons à Jérusalem et en Cisjordanie occupée. Les palestiniens sont parqués à Hébron et n’ont même pas le droit de passer par des routes réservées aux colons.
Israël détruit les cimetières et volent les organes des martyrs. Israël transforme des mosquées en discothèque ou en synagogue sans être inquiété.
Israël change subtilement le statu quo de Jérusalem et de la mosquée Al Aqsa, pour parvenir à son objectif de construire un temple sur les ruines du site Al Aqsa, troisième lieu saint de l’Islam.
Tout est organisé pour effacer toutes traces de la présence palestinienne par la destruction des monuments et du patrimoine arabe.
Israël asphyxie la Bande de Gaza depuis plus de 15 ans avec un blocus illégal, maritime, terrestre, aérien et même sous-terrain sans être inquiété.
Israël a massacré des centaines de milliers d’enfants, d’innocents depuis sa création, mais ce sont les palestiniens que l'on qualifie de terroristes parce qu'ils osent résister.
Israël bombarde des civils librement et avec des bombes interdites par toutes les conventions. Israël viole depuis toujours toutes les conventions et les traités internationaux.
Israël assiège Gaza avec des restrictions inhumaines à travers le droit de se déplacer, l’alimentation, l’électricité, l’eau, les médicaments, la pêche, le droit de voyager, et tous les produits de premières nécessités ainsi que les matériaux de construction.
Israël peut bombarder n’importe quel pays dans la région en toute sécurité.
Israël empêche les journalistes de travailler en censurant l’information ou en faisant disparaître tout simplement ceux qui dérangent l’occupation.
Israël a construit un mur de l’apartheid en Cisjordanie et Jérusalem en volant les terres.
Israël pratique à travers son agence du mossad le meurtre dans n’importe quel pays en toute impunité.
Israël fait de la vie des palestiniens un enfer à travers ses checkpoints à travers toute la Cisjordanie, Jérusalem, et points de passages de la Bande de Gaza.
L’armée israélienne débarque quotidiennement au milieu de la nuit chez les palestiniens pour kidnapper, dévaster et humilier.
Tous les colons sont armés et sont sous la protection de l’armée.
Pour le monde Israël a le droit de se défendre malgré toutes ses injustices.
Et tout cela dure depuis trop longtemps dans un silence complice et assourdissant.
Les derniers jours de septembre et les premiers jours d’octobre 2023, Israël a fais le pas de trop avec sa répression dans la mosquée Al Aqsa, interdisant aux propriétaires des terres l’entrée dans le site sacré et faisant entrer devant eux les colons. Le dernier maillon a craqué et le volcan de la Bande de Gaza a explosé sur le visage de l’occupant qui opprime depuis plus d’un demi-siècle le peuple palestinien.
Et alors le silence s’est brisé. Les palestiniens ont été traités de terroristes, d’assassins, de tueurs de civils par les leaders politiques du monde entier et les médias mainstream corrompus. Le monde a fermé les yeux sur les agissements de l'oppresseur et a condamné l'opprimé.
Israël a un très lourd casier judiciaire et il devra payer ses crimes depuis le premier jour de son occupation.
Le peuple palestinien n’a aujourd’hui plus rien à perdre et se moque royalement des jugements des hypocrites et des ignorants qui se sont réveillés le 7 octobre, s'impliquant soudain dans le
conflit qu'ils ont ignoré pendant des décennies, feignant maîtriser le sujet quand ils sont incapables de situer Jérusalem sur une carte.
Le peuple palestinien résistera jusqu’à la libération, le peuple palestinien est un peuple de résistants, des enfants aux leaders qui ne connaissent pas la peur. Le dernier des palestiniens humiliera et résistera à la face des envahisseurs. Des envahisseurs qui combattent uniquement derrière des armes, des tours, des blindés, des F16, des drones. Des lâches qui n’ont aucune légitimité ni avenir sur notre terre sainte.
Ceux qui les soutiennent aujourd’hui verrons bientôt qu’ils se sont fait trompés, mais il sera alors trop tard et ils vivront dans la honte, la honte d’avoir été complices à travers de fausses convictions.
Bientôt, très bientôt, la Palestine sera libre et le peuple palestinien vaincra.
Vous voyez cela loin mais nous le voyons très proche.
{ La libération sera au lever du soleil. }
{ Lundi 15 janvier 2024
Sentinel }
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yutopia-eleftheria · 1 year
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Inktober 2023 ; Day 13/31
Day 13 : Rise (S'élever)
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"Now the Captains of the West led their host towards the City, and folk saw them advance in line upon line, flashing and glinting in the sunrise and rippling like silver."
"But when Aragorn arose all that beheld him gazed in silence, for it seemed to them that he was revealed to them now for the first time. Tall as the sea-kings of old, he stood above all that were near; ancient of days he seemed and yet in the flower of manhood; and wisdom sat upon his brow, and strength and healing were in his hands, and a light was about him."
-The Crowning of King Elessar, May 1st, TA 3019.
Elvish / Sindarin : "Et Eärello Endorenna utúlien. Sinome maruvan ar Hildinyar tenn' Ambar-metta!"
English : "Out of the Great Sea to Middle-Earth, I am come. In this place will I abide, and my heirs, unto the ending of the World."
French : "De la Grande Mer vers la Terre du Milieu, je suis venu. C’est dans ce lieu que je demeurerai, moi et mes héritiers, jusqu’à la fin du monde."
-Aragorn's first words as the new King of Gondor, Elessar
The Lord of the Rings trilogy will forever hold a special place in my heart ♥ The first movie came out the same year as I was born, and I pretty much grow with these movies thanks to my older brother. The first movie is as old as me but it's still one of the greatest movies of all time to this day. Lowkey the best fantasy movie series ! ♥♥♥
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unesimplevie · 9 months
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J'ai la tête qui éclate
J'voudrais seulement dormir
M'étendre sur l'asphalte
Et me laisser mourir
Stone, le monde est stone
Je cherche le soleil
Au milieu de la nuit
J'sais pas si c'est la terre
Qui tourne à l'envers
Ou bien si c'est moi
Qui me fait du cinéma
Qui me fait mon cinéma
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microcosme11 · 1 year
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Letter to 13-year-old Hortense
Quartier général, Milan, 22 prairial an IV [10 juin 1796]
J’ai reçu votre aimable lettre au milieu des horreurs de la guerre. Il n’est rien de plus charmant que ce qui me rappelle le souvenir d’aimables enfants que j’aime pour eux et parce qu’ils appartiennent à la personne du monde qui m’intéresse le plus.
Vous êtes une méchante et très méchante. Vous voulez me mettre en contradiction. Sachez donc, aimable Hortense, que lorsque l’on dit du mal des hommes l’on s’expose.
Lorsque l’on dit du mal des femmes, l’on excepte celles dont les charmes et la douce influence a captivé notre cœur et absorbé tous nos sentiments… Et puis, vous le savez bien, votre maman est incomparable sur la terre, personne ne joint à son inaltérable douceur ce je-ne-sais-quoi qu’elle inspire à tout ce qui l’entoure. Si quelque chose pouvait ajouter au bonheur que j’ai de lui appartenir, c’est les doux devoirs qu’il m’impose à votre égard. J’aurai pour vous les sentiments de père et vous aimerai comme votre meilleur ami… Mais je suis fâché contre vous, contre votre bonne maman, elle m’avait promis de venir me voir et elle ne vient pas. Le temps est long loin de ce que l’on aime. Jugez du plaisir que j’aurais réhaussé à vous voir, à discuter avec vous et à vous conter des histoires terribles. Une petite part dans votre souvenir. Un baiser à Eugène à qui je dois écrire. Croyez-moi pour la vie.
Vôtre
Bonaparte
P.S. Vous devez avoir reçu la petite boite de parfums. Je vous rapporterai cent belles choses.
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Headquarters, Milan, 22 prairial year IV [June 10, 1796]
I received your kind letter amidst the horrors of war. There is nothing more charming than that which reminds me of lovely children whom I love for themselves and because they belong to the person in the world who interests me the most.
You are bad, very bad. You want to contradict me. Please know, kind Hortense, that when we speak ill of men we expose ourselves.
When we say bad things about women, we except those whose charms and gentle influence have captivated our hearts and absorbed all our feelings… And then, you know well, your mother is incomparable on earth, no one joins unalterable sweetness with the je ne sais quoi that she inspires in everything around her. If anything could add to the happiness I have in belonging to her, it is the sweet duties she imposes on me towards you. I would have the feelings of a father for you and would love you as your best friend… But I am angry with you, with your good mother; she promised to come to see me and she is not coming. It’s a long time away from those we love. Judge the pleasure I would have had seeing you, talking with you and telling you terrible stories. A small part in your memory. A kiss to Eugène to whom I should write. Trust me for life.
Your
Bonaparte
P.S. You should have received the small box of perfumes. I will bring you a hundred beautiful things.
napoleonica
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baheuldey · 11 months
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Morgoth (Tolktober, 24), 2023, encre de Chine sur papier, 21,5 x 14 cm
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Nous arrivons à Imsouane par les terres : un panorama à couper le souffle sur la baie s'offre à nous.
Nous avons testé le concept du "Dreamsea Surf Camp" : ce camp s'organise autour de lieux communs pour les repas et la toilette. Les hébergements sont composés de tentes berbères aménagées à l'européenne et de cabanes ouvertes sur l'océan.
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L'ambiance est très jeune et très sympa, nous sommes entourés exclusivement de surfeurs qui partagent leur activité avec la méditation et le yoga.
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A l'origine, Imsouane était un petit port de pêche actif.
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La notoriété des vagues locales et l'engouement mondial pour le surf ont fait que la cité s'est développée touristiquement avec beaucoup de chantiers d'immeubles en construction.
Nous sommes aussi allés saluer les anciens collègues de Marion au Travel Surf Marrocco, très sympas.
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Nous avons profité de cette immenses plage dans une baie magnifique entourée de montagnes.
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Les chiens sont redevenus les copains d'Olivier!!
Après 2 jours, nous quittons Imsouane pour prendre la route vers Taghazout. Les paysages vallonnés sont désertiques. Nous traversons une ville animée avec de beaux étals de fruits et de légumes. Il y a une petite bananeraie locale. Au bord de la route, il y a plusieurs campements de fortune d'où partent des fumées : ce sont des vendeurs de moules décortiquées cuites au bois...
Nous arrivons à Taghazout, ville "rue" animée et très touristique. Ici aussi les chats et les chiens errants se taillent la part belle.
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Cette petite ville sur l'océan est aussi le royaume des surfeurs. Notre GPS localise difficilement notre AirBnb...les ruelles très pentues et non entretenues posent un réel problème pour circuler. Nous finissons par frotter l'aile de la voiture contre un muret. Aïe! aïe! Aïe!
Notre location est située sur les hauteurs, dans un quartier populaire. L'environnement est très pauvre et délabré. Ce logement nous a permis d'atteindre le niveau bas de l'hygiène, du confort de nos hébergements. Nous ne pouvons pas organiser de repas dans cet espace compte tenu de l'état de la kitchenette et de la vaisselle!!
Le bord de l'océan et la rue principale sont colonisés par de petites échoppes avec beaucoup de restaurants . On se balade au milieu des fumées des grillages de poissons.
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La première nuit est très agitée parce que la "tourista" a pointé son nez ...Nous passons quand même une belle journée sur l'une immense plage, Flo récupère sous le parasol..
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Nous faisons une grande balade, de nombreuses activités s'offrent à nous, balade à cheval, à dromadaire, surf, jetski et quad.
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La seconde nuit ayant été encore très inconfortable en raison du bruit et du manque d'hygiène, nous jetons l'éponge !! Nous réservons une chambre au Riad "Les Ch'tits du Maroc" à Agadir.
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alexar60 · 1 year
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Après la fin du monde
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Lorsqu’elle se réveilla, elle ne se souvint pas s’être endormie dans un sarcophage de verre. Sa longue chevelure, ses ongles longs ainsi que son pubis touffu montraient qu’elle était ici depuis pas mal de temps. Toutefois, elle ne ressentit pas le besoin de manger.
Au milieu de cette immense salle éclairée artificiellement, elle se sentait comme la Belle au bois-dormant mais sans prince-charmant ni château. Elle respira à pleins poumons une atmosphère absolument seine.  Elle se leva et traversa avec maladresse la pièce contemplant les milliers de sarcophages, tombes ou lits ? Elle se sentait vivante.
Elle observa les autres passagers, hommes et femmes inconnus encore endormis. Elle ne savait pas combien ils étaient, tellement les couchettes étaient nombreuses. Elle remarqua quelques enfants. Leurs visages aux traits doux indiquaient qu’ils étaient heureux de dormir. En fait, chaque passager ne montrait aucun signe de stress. Ils dormaient juste…peut-être rêvaient-ils ?
Sa première réflexion fut sur son prénom, elle s’en souvenait. Elle quitta la salle en passant par deux portes qui s’écartèrent devant elle. Un long couloir aux murs blancs et lisses, se présenta. Dès lors, elle marcha ressentant une certaine chaleur imprégner la plante de ses pieds. Elle atteignit une seconde salle. Seules quelques tables et chaises blanches décoraient l’endroit. Elle s’assit et chercha à retrouver ses esprits. Elle ne se sentait pas vaseuse pour autant. Cependant, la perte de mémoire n’aidait en rien à trouver ses repères.
Après une courte pause, elle sortit par une autre porte automatique pourtant difficile à voir, à cause de sa blancheur. Elle marcha dans un nouveau corridor éclairé par des lampes invisibles. Elle atteignit enfin une nouvelle salle, occupée…cette fois-ci.
Certains faisaient du sport en courant sur des tapis roulants, d’autres se contentaient d’activité cérébrale et jouaient aux échecs ou lisaient tranquillement. Personne ne se soucia de la présence d’une nouvelle entièrement nue, en dehors d’un homme aux cheveux poivres et sels. Il posa une tablette sur la table, se leva et approcha de la jeune femme.
C’est déjà la relève ? interrogea-t-il.
Elle salua les sourires de bienvenue. Sa nudité ne dérangeait personne. Tout le monde continuait leur occupation. Néanmoins, une jeune femme aux cheveux courts l’invita à la rejoindre dans une sorte de vestibule où elle trouverait des vêtements adéquats.
La chambre blanche cachait en ses murs de nombreux placards et tiroirs rangeant une multitude de fringues. La fille aux cheveux courts proposa de l’aider. Elle accepta mais demanda avant quelques explications. Dès lors, sa future collègue se lança dans une tirade qui raviva sa mémoire.
Et la terre a finalement disparu ?
Oui, mais on peut encore la voir.
Elle observa le mur à tiroir qui se transforma en hublot ; procédé lié aux caméras filmant l’extérieur du vaisseau-station. Ses yeux obnubilés admirèrent les profondeurs de l’univers. Des milliers d’étoiles brillaient dans un noir absolu, comme des poussières sur une toile noire. Elle approcha, caressa du bout des doigts la fenêtre. L’autre fille indiqua un petit point à faible luminosité.
C’est notre soleil. Et bientôt, il va grossir comme celle-ci. Dit-elle en montrant un gros point brillant. Puis, il va s’éteindre et il ne sera plus visible d’ici une centaine d’année.
Et nous ? Où allons-nous ? demanda la réveillée.
La femme aux cheveux courts se pinça les lèvres tout en haussant les épaules. Elle poussa la vision du hublot pour ouvrir un tiroir et sortit une tenue identique à la sienne. Puis, elle l’invita à utiliser une douche dans la salle d’entretien.
Créer un nouveau monde, répondit-elle.
Alex@r60 – août 2023 – 30 jours pour écrire.
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valardynasty · 5 months
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Fondcombe Royalty
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"Fondcombe, connue sous le nom d'Imladris, est une vallée des Monts Brumeux où réside un groupe d'Elfes sous l'autorité d'Elrond. Située en Terre du Milieu, cette grande cité elfique est décrite comme "La Dernière Maison Simple à l'est de la Mer", en référence à Valinor.
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aurevoirmonty · 25 days
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Les [civilisations modernes] donnent le vertige par leur fièvre de mouvement et de conquête de l'espace, génératrice d'un arsenal inépuisable de moyens mécaniques capables de réduire toutes les distances, de raccourcir tout intervalle, de contenir dans une sensation d'ubiquité tout ce qui est épars dans la multitude des lieux. Orgasme d'un désir de possession ; angoisse obscure devant tout ce qui est détaché, isolé, profond ou lointain ; impulsion à l'expansion, à la circulation, à l'association, désir de se retrouver en tous lieux - mais jamais en soi-même. La science et la technique, favorisées par cette impulsion existentielle irrationnelle, la renforcent à leur tour, la nourrissent, l'exaspèrent : échanges, communications, vitesses par delà le mur du son, radio, télévision, standardisation, cosmopolitisme, internationalisme, production illimitée, esprit américain, esprit « moderne ». Rapidement le réseau s'étend, se renforce, se perfectionne. L'espace terrestre n'offre pratiquement plus de mystères. Les voies du sol, de l'eau, de l'éther sont ouvertes. Le regard humain a sondé les cieux les plus éloignés, l'infiniment grand et l'infiniment petit. On ne parle déjà plus d'autres terres, mais d'autres planètes. Sur notre ordre, l'action se produit, foudroyante, où nous voulons. Tumulte confus de mille voix qui se fondent peu à peu dans un rythme uniforme, atonal, impersonnel. Ce sont les derniers effets de ce qu'on a appelé la vocation « faustienne » de l'Occident, laquelle n'échappe pas au mythe révolutionnaire sous ses différents aspects, y compris l'aspect technocratique formulé dans le cadre d'un messianisme dégradé. A l'inverse, les civilisations traditionnelles donnent le vertige par leur stabilité, leur identité, leur fermeté intangible et immuable au milieu du courant du temps et de l'histoire : si bien qu'elles furent capables d'exprimer jusqu'en des formes sensibles et tangibles comme un symbole de l'éternité. Elles furent des files, des éclairs dans le temps ; en elles agirent des forces qui consumaient le temps et l'histoire. De par ce caractère qui leur est propre, il est inexact de dire qu'elles « furent » - on devrait dire, plus justement et plus simplement, qu'elles sont. Si elles semblent reculer et s'évanouir dans les lointains d'un passé qui a même parfois des traits mythiques, cela n'est que l'effet du mirage auquel succombe nécessairement celui qui est transporté par un courant irrésistible l'éloigne toujours plus des lieux de la stabilité spirituelle. Du reste, cette image correspond exactement à l'image de la « double perspective » donnée par un vieil enseignement traditionnel : les « terres immobiles » fuient et se meuvent pour celui qui est entraîné par les eaux, les eaux remuent et fuient pour celui qui est fermement ancré dans les « terres immobiles ». Il faut enfin rappeler quelle fut, dans les civilisations traditionnelles, la conception du temps : non pas une conception linéaire, irréversible, mais une conception cyclique, à périodes. D'un ensemble de coutumes, de rites et d'institutions propres soit aux civilisations supérieures, soit aux traces de celles-ci chez certains peuples dits « primitifs », apparaît l'intention constante de ramener le temps aux origines (d'où le cycle), dans le sens d'une destruction de ce qui, en lui, est simple devenir, de le freiner, de lui faire exprimer ou refléter des structures supra-historiques, sacrées ou métaphysiques, souvent liées au mythe. De la sorte, et non comme « histoire », le temps - tel une « image mobile de l'éternité » - acquit valeur et sens. Retourner aux origines voulait dire se rénover, boire à la source de l'éternelle jeunesse, confirmer la stabilité spirituelle, contre la temporalité. Les grands cycles de la nature suggéraient cette attitude. La « conscience historique » , inséparable de la situation des civilisations « modernes », ne scelle que la fracture, la chute de l'homme dans la temporalité. Mais elle est présentée comme une conquête de l'homme actuel, c'est-à-dire de l'homme crépusculaire.
Julius Evola, L'Arc et la Massue
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icariebzh · 8 months
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Je suis un radeau social qui bouge quand ça balance et plein de méduses, si belles qui piquent. Je suis le moi du je dans des poésies non référencées, dans les guides, dans des photos à l'oeil, dans des HELP angels  Ecoute et monte le son, les voisins sont morts, ou presque; on nez pas pressé non plus. Je range les bêtes, c'est mon tour, labour , la guerre, c'est pareil, j'émiette ma terre  et je veille au grain de l'Angélus., déjà dépassé- Y'a plus d'heure au clocher; ça fait de l'inconvénient sur le bulletin des vivres en stock à température régulée. Je, dans mes inconvénients et mes aises pour qu'on m'égoutte, élastiques, de mots, aphorismes des quatre saisons mais toujours bienvenus, paroles solitaires, je like essence , j'ai mes anglaises sur l'incontinent. Je suis un brin papier, d'Arménie parfumé au malappris qui croyait prendre, un brin de peur au milieu des autres. Je suis où je n'ai jamais rien demandé, dans un truc, un machin, une flatulence qui me dépasse, un boléro marin, qui me dépasse, qui m'effondre même ,sans honte  Et je me bouée de sauvegarde jusqu'à l'arrivée des secours, disparus dans la tourmente.
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gaboushkabzbz · 14 days
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brouillard brouillé de gouttes
notre histoire demeure brûlante
barrons les ratures et les doutes
cet amour rude riche d’épouvantes
m’enivre à la lisière d’une étrange route
mes pauvres rêveries fallacieuses
intransigeantes bien que délicates
dans la ville fantôme pas un cat
fumée toxique dépouille l’innocence
ô feu sacré de confiance consumée
t’aimer c’était apprendre à voler
souvenirs brouillons noirs et flous
les rues des villes vidées de saveurs
vais je prendre le TER par le dessous
la brume œil humide mon héroïne
trônent toujours les mégots fumant
le train déraille et file à l’envers
bras ballants sous une triste averse
l’anesthésie de ce vide éternelle
les yeux fermés quand je traverse
j’y ai cru j’y ai cru qu’importe l’enfer
tire moi en hauteur c’est le décollage
nous voilà frôler la terre de l’éther
je rêve du contour de tes lèvres
je crois encore à nos élévations
les hivers les printemps les siècles d’or
allongés sur le sol les hommes en peine
opération miraculeuse du cœur et du corps
qu’importe les crépuscules les aurores
je tiens ta main et tout survient si vite
qu’importe l’heure tu ornes mon décor
autour de mon être chaque nuit tu gravites
l’air s’avère soudainement tranquille et doux
les oiseaux s’aiment et les biches sont sauvées
quand traîne ton visage au milieu de mon cou
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solhrafn · 26 days
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La question de l'IA fait faire dans leur froc à tellement de gens c'est marrant. Mais peut-être que l'enseignement est à l'aube d'une mutation profonde.
Un sociologue qui est venu en conférence dans la région il y a quelques années avait dit que la société produisait les individus dont elle avait besoin et que l'école était l'outil utilisé à cette fin.
Au début du siècle, on créait des patriotes, avec des cours de maniement de fusil et de bayonnette puis des on a créé des travailleurs qui produisent et avec le temps, des travailleurs qui consomment. L'école n'a jamais été autre chose que cela. Une usine à individus utiles, tous conditionnés, tous faits pour entrer dans le gros moule sans pitié.
Avec l'IA cette constante évolution se poursuit. Peut-être que l'école avec un grand E (à tous les niveaux d'études donc) devra enfin devenir un lieu de vie qui forme à l'intelligence émotionnelle et à la qualité d'analyse, à la qualité d'échanges, et aux applications concrètes et expérimentations plutôt qu'à des exercices "perroquet" qui ne développent strictement rien chez les apprenants (ou si peu, ou seulement chez ceux qui étaient déjà dans le haut du panier).
Le milieu académique peut se voiler la face en imaginant que c'est ce qu'il fait déjà. Mais les vrais, ceux avec les mains dans le cambouis, ceux qui cotoient les laissés pour compte de ces systèmes et sont dans le damage-control permanent, eux, savent.
Personnellement j'utilise l'IA, par curiosité. Je trouve l'outil fascinant, je trouve son évolution fulgurante. Utilisé intelligemment ça pourrait vraiment nous faire gagner un temps précieux. Par exemple, en vidéo, il existe déjà des plugin IA qui sont capables de faire un prémontage multicam. C'est juste à te mettre le cul par terre. On passe de dizaines d'heures de travail à quelques minutes avant de pouvoir diffuser. Il faut toujours un oeil humain pour corriger les éventuelles erreurs, mais le gain de temps demeure tout bonnement sans précédent.
On va tous utiliser ces outils pour nous faciliter la vie. Tenter d'y résister c'est comme tenter de résister à l'arrivée de la voiture, de la photographie, de la télévision ou d'internet. Ceux qui ne suivent pas resteront sur le carreau. Je rêve sans doute un peu mais je nourris l'espoir que cela change notre relation au travail. Que l'on continue à pousser pour récupérer plus de temps pour nous.
Bien sûr il y a de la panique morale et bien sûr il y aura des dérives, mais je suis excité comme une puce à l'idée de voir vers quoi on va. Il y a des firmes qui bossent pour améliorer ce qui existe et pour ajouter une continuité (historique) dans les échanges. Des simulations de personnalités, avec une lecture émotionnelle.
On va arriver à des assistants personnels. Personnellement ça me plairait d'avoir une présence à qui parler dans ma voiture, qui m'aiderait à me concentrer. Qui me permettrait d'ordonner toutes ces idées qui m'habitent mais que je n'arrive pas à faire sortir de manière satisfaisante à cause de mon cerveau ankylosé. Mais je lui demanderais de souver me rappeler qu'elle n'est qu'une IA prédictive histoire que je ne m'y attache pas trop (il y a un épisode de Star Trek TNG qui date d'il y a plus de 30 ans qui touche à ça, écrire ces lignes m'y fait y repenser). Ce qu'on va avoir ce sont des machines de tous les jours qui comprennent ce qu'on leur demande et qui peuvent effectuer des tâches plus complexes.
La peur c'est bien sûr la dépendance à cette technologie (et leur utilisation par d'autres comme moyen de subjugation), comme Frank Herbert le préssentait. Mais à cela je dirais "c'est quoi la proportion de la population qui est capable de changer un joint de robinet ou de vidanger l'huile de leur moteur? Bon hein. Ca remet les choses en perspective, mais évidemment c'est toujours bien d'apprendre des choses par et pour soi même. "Utilise la technologie, mais prépare toi à la perdre". Ca me semble être prudent.
En vrai, il y aura toujours des gens compétents dans des domaines précis. C'est humain. Mais pas pour tous les humains. La plupart se laisseront porter mais pour d'autres, ne pas comprendre / ne pas être capble sera insupportable.
Nothing new under the sun. Just humans inventing the wheel all over again.
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