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#Le meilleur exercice pour…
santedefaire · 3 months
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Comment soulager vos jambes lourdes : les 4 exercices gagnants
Soulagez vos jambes lourdes avec ces exercices simples et rapides ! 👉👉👉
Le problème des jambes lourdes est le plus souvent lié à une mauvaise circulation du sang dans les veines, un mauvais retour veineux. En effet, le sang qui part de votre corps descend facilement dans vos jambes grâce aux artères, mais à cause de la gravité a plus de mal à remonter vers le cœur via vos veines qui sont moins musclées que vos artères. La sensation de lourdeur des jambes se situe le…
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kachmedcom · 7 months
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Plus jamais d'Arthrite: Libérez vous des douleurs
Plus jamais d'Arthrite: Libérez vous des doleurs
Vous Pouvez Eliminer L’arthrite de Façon Naturelle, Sans Médicaments, Résultats Immédiats et 100% Garantis!Voici Comment Supprimer Définitivement Votre Arthrite Sans Médicament ni Traitements Coûteux, en Attaquant La Cause de la Maladie et Pas Seulement les Symptômes.Méthode Simple, Naturelle, 100% Efficace, Résultats Immédiats Prouvées, et 100% Garantis! Oui, je veux guérir mon arthrite…
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fitnessmith · 11 months
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Que faut-il manger les jours de repos en musculation
NOUVEAU 👉 Que faut-il manger les jours de repos en musculation
Vous voulez savoir comment manger les jours sans entrainement pour ne pas prendre de graisse sans perdre de masse musculaire et avoir le maximum d’énergie ? Nous allons en parler dans ce cours basé sur les expériences d’athlètes ainsi que la science. Ce sont des sujets qui m’intéressent personnellement, car je souhaitais savoir exactement comment manger les jours de repos pour ne pas nuire à mon…
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claudehenrion · 3 months
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De l'âme
Une surprise : plusieurs lecteurs, sans doute ébranlés par le vide abyssal qui caractérise notre temps –et avec une inquiétante tendance à l'aggravation– m'ont demandé récemment de “parler de l'âme”. Mais si je me sens très capable de donner un avis –qui n'est que le mien, corrigé par nombre de lectures et d'emprunts– … je tiens à préciser que je suis évidemment tout-à-fait incapable de répondre à la question multiple “Existe-telle ? Quelle est-elle ? Que recouvre-t-elle –ou pas ?”, et surtout de me livrer à cet exercice… en une page “A4’‘ ! Mais quel meilleur moment qu'une Semaine Sainte pour esquisser un début de réponse 
Le mot ’'âme” lui-même, tiré du latin (“anima = l'air, le souffle, la vie”), recouvre tant de notions différentes que “ne pas y croire” ne peut avoir aucun sens : qui parle de “croire” à l'air, au ciel bleu, au chocolat… ? S'agit-il de l'Ame des peuples (André Siegfried) ? de l'Ame des choses (Auguste Blondel) ? des “objets inanimés” de Lamartine ? de l'Ame du monde (Frédéric Lenoir) ? (NB : je pourrais continuer longtemps). Ecoutons plutôt Camus : “Ne pas croire à l'âme est une absurdité”.
A ce moment où l'humanité semble “flirter” avec sa chute dans des abîmes qu'on peut craindre définitifs, l'âme –qui était un peu sortie de nos préoccupations consumérisées– semble faire un retour sur le devant de la scène, et nos lecteurs ne s'y sont pas trompés, en m'en parlant. Il faut reconnaître que sa définition a bien varié à travers les siècles : dans l'Antiquité, les grecs en avaient une vision bipartite (“corps et âme”)… alors que pour la tradition biblique, la vision était tripartite (“corps, esprit –pneuma en grec et spiritus en latin–, et âme –psychè, en grec et anima en latin, ce dernier mot animant la vie intérieure et la personnalité, mais aussi ce qui donne vie au corps. Ne ’‘rend-on pas son âme”, au moment du grand départ ? Mais n'allons pas trop vite : avant de la “rendre”, il faut la définir.
Pour les philosophes, l'âme est souvent une notion qui permet de parler de l'être humain dans sa totalité. Pour Platon, l'âme est en conflit avec le corps qui l'emprisonne, alors qu'Aristote insiste sur une conception non dualiste entre “âme” et “corps”, chacun étant plus ou moins indépendant de l'autre. Plus tard, pour le christianisme, qui tient un rôle de toute première importance dans cette “dissertatio” (que je voudrais tellement ne pas être une “disputatio”!), le mot “Ame” veut décrire comment est formé un être humain dans et par ses expériences fondamentales : la vie, l'amour, le désir, la maladie et la souffrance, le questionnement sur “après la vie –ou après la mort”, et l'âme se définit donc comme “autre” que l'esprit : d'un côté, un principe de vie, “ce qui anime le corps”, siège des émotions et des passions, et de l'autre, vie intérieure, et personnalité. On peut dire : raison, ici et liberté, là…
Mais en 1621, Descartes introduit une rupture dans la conception traditionnelle, en traduisant “âme” par “mens” : l'homme est d'abord un être pensant, et le mens latin, qui désigne d'abord le cerveau, l'intelligence, la raison, l'esprit… va peu à peu replacer l'ancienne “âme” au profit de ce nouvel arrivant, le “cogito’' . Une nouvelle logique bipartite est née, le corps et la pensée, séparés mais liés : ’'Cogito, ergo sum”.
Le mouvement phénoménologique, qui se targue d'appréhender la réalité telle qu'elle se donne ou se montre, considère que le corps, seul, joue un rôle (“Le monde n’est pas pour moi autre chose que ce qui existe et vaut pour ma conscience”, écrit Husserl en 1937), ce contre quoi réagit la grande Edith Stern, juive devenue carmélite et morte à Dachau : “On ne peut vivre sans âme, c'est-à dire avec une âme paralysée ou en sommeil’’… phrase où nous retrouvons ce qui est visible tout autour de nous… et ce dont l'humanité est en train de crever
Il fallut attendre 1953 pour que Crick, Watson et Rosalind Franklin, découvrent l'ADN, cette part d'éternité qui est en chacun de nous. Inséparable de nous, elle nous contient tout entiers et nous résume, tout en nous rattachant à nos origines… Question jamais posée mais qui me taraude depuis longtemps : ’'Se pourrait-il que cet acronyme, l'ADN, soit, en fin de compte, le support matériel de notre âme ? Son caractère ’'iso-éternel’'et son identité parfaite avec notre ’'être”, notre “avoir été” mais aussi notre “devoir être”, en font une parfaite réponse à ce que pourrait être ce “Corps glorieux” si difficile à imaginer mais sous lequel, disent les chrétiens, nous entrerons un jour dans notre éternité
En 1979, Joseph Rätzinger, grand théologien et futur grand Pape Benoît XVI, posa (“La Mort et l'au-delà” )que “il n'y a aucune raison sérieuse de rejeter le mot âme , cet outil verbal indispensable dans la foi des chrétiens… ce qui se vérifie à travers la prise de conscience actuelle… que une conscience, justement, ne peut exister sans objet pour la percevoir et sans sujet pour la traduire et l'expliquer”. Et voilà l’ “âme” qui fait à nouveau partie du vocabulaire de la philosophie, le besoin de cet éditorial en étant un début de preuve en soi.
Un dernier point, peut-être : en 2016, l'académicien François Cheng avait écrit un fort beau “De l'Ame” (Albin Michel) où il écrivait “A part le bouddhisme dans sa version la plus extrême, toutes les grandes traditions spirituelles ont pour point commun d'affirmer une perspective de l'âme située au-delà de la mort corporelle : l'âme de chaque être est reliée au souffle primordial qui est le secret de la vie-même. Animée par un authentique désir d'être, elle nous rappelle donc, quelle que soit notre croyance –ou notre non-croyance– combien notre vie participe d'une aventure unique, le Tao –la Voie– qui ne connaît pas de fin, contrairement à la vie”.
J'admets que tout cela n'est pas simple… Mais le moyen, s'il vous plaît, de parler de sujets eschatologiques avec nos seuls mots humains, et en un temps et un espace si réduits ? Par prudence, je vais donc demander à d'autres que moi de conclure. D'abord George Meredith : ’ L'âme est tout, ici-bas; le reste n'est qu'illusio'n’’… Puis Rivarol : “Sans le corps, l'âme n'aurait pas de sensations, mais sans l'âme, le corps n'aurait pas de sentiment”... Libre à ceux qui ont décidé de ne pas y croire, de vivre “sans”. Mais qu'ils ne comptent pas sur moi : je suis si bien, “avec”, surtout en cette Semaine, qui est Sainte pour un bon tiers de l'Humanité.
H-Cl.
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 102
Le dimanche matin, je sors du lit avec Marc, laissant Jimmy dormir et récupérer de ses exercices de la veille.
Comme la veille, le café est chaud et nos beurs déjà en service. Marc les félicite pour leur promptitude et il leur demande si ça va, si le " plan serviteurs " n'est pas trop pesant. Samir nous répond que non, ils sont très contents de leur sort. Ammed nous dit que le fait de pouvoir être ensemble est sans commune mesure avec le fait de nous servir. En plus c'est un de leur trip, Samir ayant pris l'ascendant ils ont trouvé leur équilibre entre sentiments, domination, services et servitudes. Puis surtout ça leur permet d'être ensemble deux jours et demi par semaine.
Nous sommes rassurés, et déjeunons tranquillement jusqu'à ce qu'Eric descende à son tour. Nous restons avec lui le temps de son propre petit déjeuner. Il nous demande où est Jimmy. Nous répondons qu'il dort encore, épuisé par les nouveautés de la veille. Eric nous dit qu'il avait rarement vu un néophyte avec d'aussi bonnes dispositions depuis moi-même. Je lui dis qu'il est encore meilleur que moi, vu que c'est dès le jour d'après son dépucelage qu'il a réussi à prendre ses 26cm dans le cul !
Parler de lui à du le réveiller. Nous le voyons descendre l'escalier juste vêtu d'un des shorty Calvin Klein qui moule à la perfection son petit cul, se frottant les yeux.
Quand il nous repère, il sourit. En face de lui trois imbéciles en train de fondre devant la vision de l'innocence incarnée. Il fait le tour de la table pour nous faire la bise puis embrasse Samir et Ammed.
Ce dernier lui sert un petit déjeuner pantagruélique dans lequel il picore comme un oiseau. Quand il se lève, il vient me voir pour me demander ce qu'il doit faire. Je passe ma main dans son dos et la descend sur ses fesses. Il ne dit rien. Je passe ma main dans son shorty et du bout des doigts je vérifie l'élasticité de son anneau. Il me dit qu'il a ôté son plug en se levant pour faire ses besoins et qu'il est dans la salle de bain. Je mouille mon majeur et replonge dans son slip. Son anneau est bien fermé. Je lui dis de bien serrer et essaye de nouveau. Sans gel il ne m'est pas possible de glisser mon doigt. C'est bien ! Pas d'ersatz de chatte pour mes clients, juste un cul bien serré.
Il me demande si je suis content de lui. Je lui dis qu'il ne doit plus changer et rester comme ça, aussi mignon et l'anneau bien musclé (pour les clients ;je préfère le garder gracile même si personnellement je serais tenter de le transformer en petite boule de muscles).
Marc me demande à qui je réserve la primeur de Jimmy. Je lui dis préférer Xavier. Même si c'est pas le moins bien monté des TTBM, il saura faire attention et il appréciera le geste. Les autres attendront leur tour.
Je contact Jean pour lui demander si il m'a trouvé ma seconde perle rare. L'équivalent blond de Jimmy. Il me dit de venir voir samedi matin, il y aura deux de ses sélections. Je lui demande si il y a de bonne chance que l'un me plaise car je devrais annuler mon cours avec son père. Il me dit qu'il en est presque sûr. En attendant on se revoit mercredi pour une de ses dernières passes. Je discuterai avec lui de son passage en continu chez le mec qui avait flashé sur lui lors de son premier gang bang.
Le reste de l'après midi, je reprends l'éducation de Jimmy. Je fais surtout du comportemental, comment se présenter, se mettre nu soit directement soit sensuellement (ce qu'il fait avec un naturel déconcertant). Je corrige aussi partiellement son langage et ses constructions de phrases. Sans réussir, ni essayer d'ailleurs, de gommer tout son accent, je pense que j'en aurai pour quelques mois de travail ! je tiens quand même à lui garder une spécificité de " banlieue " !
Il est très enthousiaste et quand il s'aperçoit que je bande, il se colle à moi et se frotte à ma bite. Quelle belle salope ! je me laisse faire et bientôt il est à mes genoux en train de me téter comme si sa vie en dépendait. Il fait doucement baisser ma bite en tirant vers le bas mes couilles. C'est bon mais surtout ça lui facilite le travail. Comme cela il arrive à faire une gorge profonde et mon gland se trouve de nouveau serré derrière son larynx. Eric nous cherche car il rentre tôt (probablement un plan cul pour le soir !). Ce qu'il voit le fait bander et il ne peut s'empêcher de poser sa main sur les fesses de Jimmy. Il le caresse avant de le tirer vers le haut. Jimmy n'arrête pas sa pipe, même quand Eric lui descend son slip aux genoux. Il a même tendance à écarter les cuisses !
Devant la rondelle si gentiment offerte, Eric dézippe sa combi et sort ses 26 cm déjà bandés. Je lui rappelle la kpote. Il en enfile une vite fait et alors que j'écarte moi même les fesses de Jimmy, il pose son gland et s'enfonce dilatant l'anus. J'ai une vue du dessus superbe. La grosse bite noire d'Eric en train de défoncer le cul très pâle de ma nouvelle petite pute. Chacun de ses coups de reins enfonce ma queue au plus profond de la gorge de Jimmy. Ce dernier ne s'étouffe pas plus qu'il ne tousse à l'envahissement régulier de sa gorge. J'ai l'impression d'avoir trouvé un corps exceptionnel.
- Il est hyper souple, avec un peu d'entraînement il pourra faire le grand écart et quand il se roule en boule il arrive à se sucer quasi totalement. - Ses premières enculades n'ont pas l'air de laisser de traces sur son anus et son trou se referme complètement en une heure si j'en crois les effets des passage d'Eric. - Sa gorge s'ouvre aussi bien pour les gros calibres que pour ma propre queue sans effets secondaires (toux, étouffements, voix grave).
Je ne pense pas que le blondinet que va m'avoir trouvé Jean soit aussi bon.
Avant que Samir rentre chez lui en déposant Jimmy, Marc tient à le tester de nouveau. Il nous appelle de son bureau. J'entre avec Jimmy sur mes talons. Marc est à son ordi. Je dis à Jimmy de passer sous le bureau. Il se met à 4 pattes et bientôt j'entend les bruits caractéristiques d'une pipe. Marc impassible encore continu à travailler. Devant moi, les fesses de Jimmy sont moulées dans son slip. Je n'y tiens plus et à mon tour, je le lui descend aux genoux et après avoir enduit deux doigts de ma salive, les lui enfonce dans la rondelle. Pas de mouvement d'évitement. Il prend tout comme le vaillant petit soldat qu'il est. Je préviens Marc que je vais lui préparer le " terrain ". il me dit OK. Je m'agenouille, fait glisser son slip jusqu'à ses pieds pour pouvoir lui écarter les cuisses. Puis j'avance et avec juste un peu de salive sur le gland, je commence la pénétration. Il s'est bien refermé après le passage d'Eric et je dois forcer un peu pour entrer totalement. Si je ne le savais pas, je ne pourrai imaginer qu'il vient de se faire sodomiser par un 26 x 7 à la base ! Son boyau me colle bien à la bite. c'est chaud souple mais encore bien résistant. J'aime ça et je pense que je ne serais pas le seul.
Bien rodé, je quitte son cul et le propose à Marc. Il me dit Ok et recule son fauteuil, arrachant sa bite de la bouche de Jimmy. Je dis alors à ce dernier d'aller s'asseoir sur les genoux de Marc. Il a vite compris et une jambe sur chaque accoudoir, il s'assoit sur le gland de Marc. Tout doucement, il baisse ses fesses jusqu'à les poser sur ses cuisses. Il reste quelques instants tournant légèrement le bassin pour bien tout prendre. Puis, accroché aux épaules de Marc, il commence à monter et descendre. J'entend Marc lui dire que son anneau le serre bien. Oisif, je m'approche d'eux et passe ma main à la jonction de leurs corps. Je tâte, la rondelle de Jimmy supporte bien l'assaut. Elle colle à la circonférence de son envahisseur. Je m'agenouille et ne peut me retenir de poser ma langue dessus. Je passe des boules de Marc à la rondelle de Jimmy. Les deux protagonistes ont l'air d'apprécier. Il est encore trop tôt pour envisager une double sodo mais c'est pas l'envie qui me manque !
Samir qui cherche Jimmy pour le ramener chez lui nous trouve dans cette position. Je me redresse et lui redit mes remerciements pour m'avoir donné Jimmy. Comme je bande sec et que ce dernier est encore occupé avec Marc, Samir se penche pour engloutir ma queue. Trop bon nos beurs !! J'appui mes fesses sur le bord du bureau et ferme les yeux. Seul le bruit lointain de la sodomie romps le silence. Samir me suce que c'est trop bon. Vorace, il essaye de me faire exploser dans sa bouche. je résiste et le repousse pour me juter dans la main. J'approche de Jimmy et lui fait boire mon jus tout frais. Sans cesser de chevaucher Marc, il avale tout, retenant ma main pour lécher le sperme glissé entre mes doigts. Marc ne tient plus et la vue de la langue vicieuse contourner les phalanges pour aller chercher la dernière goutte de sperme l'achève. Il attrape les hanches de Jimmy et le maintien collé à ses cuisses. Quelques soubresauts de l'ensemble nous fait dire à Samir et moi qu'il est en train de le doser grave. Sans se toucher Jimmy s'épanche sur les abdos de Marc. Il les nettoiera de sa langue quelques instants plus tard.
JARDINIER
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enoramenguy · 6 months
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La Mère des Cendres
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« Tu vois que je ne suis pas morte. Il y avait un grand arbre ; il s’était battu contre le Feu, et il avait perdu. Il était couché par terre, et le Feu avait laissé des abeilles rouges qui le mangeaient. Je me suis approchée parce que c’était joli. À ton tour, ne t’approche pas de moi. Cela pourrait t’être fatal, et je pense que ces derniers mois t’ont en fait prendre conscience.
Tu vois que je ne suis pas morte. J’ai trop dépéri en ma couche ; l’appel du grand air et du Feu était plus fort. Six mois dans ce lit, entre ces quatre murs, avec pour seule compagnie une Bible, dont les pages me murmuraient, depuis la table de chevet, le souvenir de ma folie. Avec, pour seule conviction que le monde extérieur existait encore, la vue sur ce bel arbre, autrefois luxuriant, autrefois vert, maintenant noir.
Tu vois que je ne suis pas morte. Je sais que tout ce que tu voulais était mon bien. Qu’en m’attachant les poignets au montant du lit, à l’aide de lambeaux de tissus, tu pensais que tu pourrais me contrôler et épargner d’autres vies.
Tu vois que je ne suis pas morte. En m’abandonnant à mon sort tu pensais que je le serais enfin. Ce qui m’a tenue éveillée, ce sont ses cris. Ses pleurs me hurlant que je l’avais trahi, moi, dont le rôle premier était de le protéger. Parfois ses gémissements me réveillaient de ma torpeur, et ce moment entre le rêve et le réveil me faisait croire qu’il était toujours là, et qu’il avait besoin de mon sein. Ses cris résonnaient dans la pièce, comme si son berceau était toujours à sa place, près de la fenêtre aux rideaux rouges. Tout comme ce jour fastidieux où je l’ai pris dans mes bras. Tout comme ce jour où, lui aussi, a fondu dans les flammes. L’odeur n’était pas aussi enivrante que celle de l’arbre. Ce relent insupportable est témoin qu’un nouveau-né n’est pas censé prendre feu ; un arbre, parfois, si.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais je ne t’en veux pas de l’avoir souhaité. Je ne t’en veux pas d’avoir abandonné. Après tout, je n’ai pas emporté mon fils, j’ai emporté notre fils.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais peut-être devrais-je l’être ? Peut-être que Maman aurait-dû m’étouffer dès qu’elle m’eus mit au monde. Peut-être que, jetant un coup d’œil à la cicatrice rougeâtre qu’il lui restait sur le bras, dernier souvenir qu’elle avait de sa propre mère avant qu’elle ne s’immole, elle aurait sû que c’était la meilleure chose à faire. Peut-être espéra-t-elle que je n’avais pas hérité de ce fléau générationnel. Mais, quand à mes treize ans, la robe de ma camarade de classe pris soudainement feu, après qu’elle eut tiré sur mes nattes, j’imagine qu’elle comprit.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais peut-être, qu’intérieurement, je le suis déjà depuis longtemps. Fantôme pyromane, sorcière incontrôlable, fille des flammes de l’Enfer. Te rencontrer fût ce qui me ranima soudainement. A l’école déjà, tu étais le seul qui ne me fuyait pas. Tu m’avoua même que je te fascinais. Grâce à ta douceur, jamais je ne laissai une seule flamme sur ta peau, mais toi, tu en allumas une en mon cœur. Je me souviendrai toujours de nos exercices dans la forêt, où tu m’appris à contrôler ma colère, mes émotions, où je pu enflammer quelques brindilles, avec mon esprit, comme thérapie.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais, même si tu m’avais ressuscitée, et avais fait de moi ta femme, et même si tu m’avais toujours défendue et cachée des regard suspicieux, et n’avais jamais eu peur de ma monstruosité, je mourus à nouveaux, en même temps que notre enfant.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais lui, si. Trop tôt. Nous fûmes peut-être naïfs de penser que mon pouvoir était enfin sous contrôle. Mais, essaies de me comprendre. L’accouchement fût difficile. J’aurais préféré mourir en couche. « Souviens-toi que tu es née cendre et que tu redeviendras cendre. ». Le bébé ne cessait de pleurer, je ne dormais plus. Je me souvenais de tout ce que tu m’avais appris et essayais de garder mon calme. Mais il attrapa une mauvaise grippe, et ses hurlements me scindaient le cœur en deux. Il y avait comme un joueur de tambour dans ma tête et je nageais dans ma sueur. Je sentais que l’infection revenait. Mais tu n’étais pas là, ce jour-là. Tu étais partis au village, espérant trouver de quoi soigner l’enfant. Je ne pouvais plus supporter de l’entendre crier. Sa gorge devait s’enflammer. Alors, je me levais du lit et le pris dans mes bras ; ce qui ne le calma pas. Prise de désespoir, la chair de ma chair pris feu sous mon joug. Ce fût, de nouveau, incontrôlable. Je ne pouvais le lâcher, et tu ne retrouvas qu’un petit corps calciné dans mes bras, à vif, recouverts de cloques.
Tu vois que je ne suis pas morte. Cela grâce à ton amour et ta compréhension sans faille. Je t’en veux de ne pas m’avoir jamais blâmée, je t’en veux d’être tombée amoureux d’un danger vagabond. Je t’en veux de m’avoir donné l’espoir que je pouvais briser la tradition et vivre une vie normale, loin de toute émotion négative, sous contrôle de moi-même. Je t’en veux d’avoir essayé de ne jamais penser que cela n’était pas de ma faute, puisque je ne l’avais pas souhaité. Mais je comprends que tu ne pu jouer le jeu du déni plus longtemps.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais, maintenant que nous n’avons plus de progéniture, laisse moi briser la chaîne ; laisse moi être le Feu. Laisse le Feu m’emporter. Et ne laisse plus jamais le Feu t’atteindre. J’espère juste que, quand tu te réchaufferas près de l’âtre, avec tes futurs enfants et ta future femme, tu penseras à moi. Je te dois la vie, mais maintenant je me dois la mort. C’est en regardant l’arbre par la fenêtre que je compris quel était mon destin. Je cru entendre ses feuilles gazouiller comme un nourrisson, et alors que des larmes recouvraient mes joues, l’arbre s’enflamma. Il se battu longtemps, mais il n’avait aucune chance de gagner. Comme mon bébé. Mes liens prirent feu également, et je pu m’évader vers l’arbre vaincu. Non, ne pleure pas, ne t’excuse pas. Dès lors, quand tu admireras les flammes dansantes, tu verras que je ne suis pas morte. »
Enora Menguy
Suite inventée à partir de l'incipit de Le premier amour (1974) de Marcel Pagnol
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ecrisettaistoi · 4 days
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Plouf
.
.
.
Perdu dans un océan de perplexité
avec des vagues lames acérées à bâbord et à tribord
tombant sur le pauvre mousse déjà plein d'écume.
La nage n'est pas la meilleure de mes
spécialités
je m'ébats, me débats,
pas contre une bouée
si quelqu'un veut bien m'en envoyer
une
de celles qui sont orange avec cette ligne noire
qu'on voit dans les paquebots à l'ancienne
où les dames en bibi fument avec un porte-cigarette,
leur truc en plume emporté par le vent.
Je divague dans cette houle,
normal.
Certainement la fièvre des grands fonds qui m'attire
alors que je fixe le ciel à chaque respiration
hors de l'eau.
Laisser faire ?
Non
Trop tôt
Regarder le vol des oiseaux
s'il en passe
pour retrouver la terme ferme
à coups de brasse
et je n'ai jamais été très bon
dans cet exercice.
.
.
.
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coursdefrancais · 6 months
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Quels sont Les meilleures ressources pour apprendre le français?
Apprendre une nouvelle langue peut être à la fois excitant et stimulant, mais avec les ressources appropriées, le processus peut devenir une expérience enrichissante. 
Si vous avez choisi le français comme votre nouvelle aventure linguistique, vous êtes au bon endroit.
Découvrons ensemble les meilleures ressources disponibles pour vous guider dans l'apprentissage du français.
1. Applications d'Apprentissage des Langues.
Les applications d'apprentissage des langues sont devenues des compagnons essentiels pour quiconque souhaite maîtriser une nouvelle langue. En tête de file, Duolingo se distingue par son approche ludique, transformant l'apprentissage en un jeu captivant. Ses leçons interactives, ses exercices de prononciation, et son système de récompenses rendent l'apprentissage du français engageant et amusant. Lire la suite de
Quels sont Les meilleures ressources pour apprendre le français?
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2. Étape 2. La recherche exploratoire
Avant de plonger dans le vif du sujet, je tiens à t’avertir, toi qui te lance dans l’exercice de la rédaction du mémoire que cela nécessite de consentir à beaucoup de sacrifices tant dans sa vie sociale que dans ses routines habituelles.
Le mémoire un d’abord et avant tout un exercice de réflexion, de raisonnement qui nécessite de respecter une structure de pensée très rigoureuse et cohérente de la question de départ à la conclusion.
1. La question de départ.
Comme l’enquêteur débutant qui est envoyé constater un crime, l’étudiant qui se lance dans un travail de mémoire est totalement déboussolé à l’entame de sa recherche. Pour vous aider à structurer une méthode cohérente, vous devez de prime abord trouver une bonne question de départ. Celle ci servira de fil d’Ariane tout le long du travail pour ramener le chercheur à l’essentiel à chaque fois que la tentation le prendra de divaguer hors des champs de pâturage qu’il s’est délimités.
NB: je ferai une capsule vidéo pour donner des exemples simples de types de questions de départ pour vous inspirer dans cette phase.
Une bonne question de départ cherche toujours à comprendre le pourquoi d’une situation, d’un fait social ou organisationnel, d’un contexte économique ou d’un fait de droit. Faites simple alors et demandez-vous le pourquoi du problème que vous comptez étudier dans le cadre du mémoire.
Maintenant que le problème de la question de départ est réglé, vous devez mettre les pieds dans le plat et vous lancer. Imaginez que vous êtes dans la situation du soldat qui part en mission d’éclairage pour identifier le terrain sur lequel doit se dérouler des combats. Il doit identifier les points d’intérêt stratégiques et tactiques comme les cours d’eau, les reliefs spécifiques, les caractéristiques des défenses fixes et mobiles de l’adversaire, la composition de son armée etc. À l’image donc du soldat, vous devrez explorer le terrain de recherche dans lequel vous comptez vous lancer et à cet effet, je vous recommande cette démarche très simple:
a. Les lectures exploratoires.
À l’heure de l’IA et de la 5G, faire une recherche exploratoire est devenue une chose beaucoup plus simple qu’il y a quelques décennies.
Google: Allez sur Google et tapez le thème du mémoire sur la barre de recherche et mettez entre parenthèses (livres, articles scientifiques, théories). Ensuite vous sélectionnez une liste de 6 travaux que vous jugerez à priori les plus intéressants et vous les lisez de manière méthodique et en diagonale mais de manière à véritablement en pénétrer le sens et déterminer le lien avec votre thème de recherche.
IA GÉNÉRATIVES :ChatGPT OU GOOGLE BARD
L’autre approche très simple, mais tout aussi pratique est de demander à l’assistant IA de vous proposer une liste des 10 travaux (livres, rapports, articles scientifiques) les plus pertinents pour explorer sur les plans théorique et empirique les orientations de recherches à privilégier.
Il est dès lors important de comprendre le mode de fonctionnement de ces IA afin de savoir comment les utiliser pour en tirer les meilleurs résultats. Savoir écrire des prompts de qualité s’avère de facto une compétence indispensable. Mais vous pouvez utiliser ce modèle de prompt ci:
Agir comme un enseignant chercheur aguerri en situation exploratoire de sa recherche et me proposer les ouvrages les plus pertinents pour analyser la problématique relative à (vous mettez le thème du mémoire) dans le pays (identifier le pays et la période):
L’IA vous proposera ainsi une liste de travaux que vous pourrez exploiter en respectant les consignes que je donne dans ce texte.
Une fois ces travaux exploités et des notes de lectures réalisées, vous devez dès lors chercher à vous rapprocher de personnes dont les compétences sur la question sont avérées pour leur exposer vos questions sur le thème de votre recherche mais dans un but purement exploratoire. L’objectif étant de vous permettre de comprendre les enjeux du problème à étudier, les causes probables, les acteurs clés à identifier, les difficultés à anticiper etc…
À ce stade, vous devez laisser votre curiosité et votre sens critique et analytique s’exprimer. Accordez vous entre les salves de lectures et d’entretiens avec les personnes ressources, des temps de réflexion. Passez et repassez en revue le problème sous plusieurs angles en vous basant sur les données ou connaissances recueillies durant vos recherches exploratoires et à chaque fois, réalisez des notes de réflexions qui synthétisent les idées force que vous avez, les contradictions qui se posent à vous mais surtout les impasses de raisonnement auxquelles vous êtes à chaque fois confronté.
Enfin toutes ces étapes réalisées, vous avez suffisamment de matériau pour commencer la rédaction de votre projet de mémoire.
N’oubliez pas de liker et recommander. Posez vos questions dans la rubrique y relative et nous pourrons échanger sur vos travaux.
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Quelques illustrations des œuvres d’art exposés actuellement à St Louis et que je vous recommande vivement d’aller voir.
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 11
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Bonjour bonjour, après un certain délai, voici le retour des Hatereads !
(J'ai l’impression de sonner comme un disque rayé à chaque introduction, mais c’est dur de se renouveler, d’accord 🙁)
Bref, je vous avais quitté après un chapitre des plus déplaisants ! Wouw ! En effet, après le grooming de Chem, nous avons eu droit au speedrun de la rédemption de Selenba et surtout, à la fin du chapitre précédent, Cal forçait et était un énorme creep ! Le chapitre 10 s’achevait sur l’arrivée de Mara dans la chambre où Tara et Cal venaient de s’interrompre en pleine partie de péchotage. Mais comment va donc réagir Mara, qui est amoureuse de Cal ! TAN TAN TAAAAAN
Je veux juste revoir Mourmur sortez-moi de là.
Le chapitre 11 se nomme “Mara, ou l’art d’éviter les chiens de garde et de partir discrètement avec le butin”.
“Curieusement, Mara paraissait échevelée, comme si elle avait été frappée par un vent violent. Mais elle ne fournit aucune explication.
— Salut Tara, fit joyeusement sa petite sœur en l’ignorant totalement, concentrée sur Cal. Cool, c’est justement toi que je cherchais, Cal. J’ai réussi !
Cal se leva et la salua en claquant son poing sur son cœur.
— Bravo, jeune Voleuse, vous avez gagné vos premiers galons de future Voleuse Patentée. Ça n’a pas été trop difficile ?”
Contrairement à ce que la fin du chapitre précédent laissait présager, il n’y a donc pas de scène de malentendu : en fait, Mara ne semble pas remarquer ce qu’il se passait entre sa sœur et son crush. Au lieu de ça, elle détaille la façon dont elle a obtenu son diplôme. Cette scène est parsemée d’éléments plutôt chouettes : l’entente entre Cal et Mara (qui ne se résume pas au crush que cette dernière a sur lui), une mise en avant pas trop mal du personnage de Mara, qui n’a pas énormément été montrée de ce que je me souviens... et surtout, ce passage :
“— Je suis fier de toi, s’exclama Cal en prenant le cylindre, nous allons l’apporter ensemble chez ta tante, ainsi elle verra que ma suggestion de t’utiliser comme équipe d’appoint était judicieuse.
— Quoi ? s’exclama Tara qui venait de comprendre qu’ils ne parlaient pas d’un exercice. Tu as fait tout cela réellement ?
Les deux Voleurs se retournèrent vers elle, perplexes.
— Euh, fit Mara, oui, pourquoi, tu pensais que c’était quoi ?
— Mais un entraînement ! s’indigna Tara, horrifiée. C’est ce que tu as dit : un exercice pour un enfant de deux ans !
— Hou, tu as passé du temps avec des nains, récemment, sœurette ? Parce que c’était juste une façon de parler, hein ?
— Mais tu aurais pu être tuée ! C’est insensé ! Et tout ça pour un parchemin ?”
Okay, je dois dire que c’est un des meilleurs débuts de chapitre de ce bouquin jusque-là. Ce passage a plein de petits trucs sympas : Tara qui s’inquiète pour sa sœur (même si c’est l’hôpital qui se fout de la charité, vu sa propension à aller se mettre en danger sans prévenir, ça reste appréciable), qui n’est pas au fait de tout ce qui concerne les Voleurs Patentés, le détail plutôt subtilement repris concernant les nains... franchement, jusque-là, j’apprécie cette scène.
La discussion s’égare sur un culte autour d’une carotte sacrée, avant de revenir dans les rails.
“— Bref, je trouve quand même que mêler ma petite sœur à notre quête des documents de la guerre des Failles, c’est horriblement dangereux. (même si j’aime l’idée de voir Mara en action, je dois dire que je suis d’accord avec Tara. S’il arrive quelque chose à Tara, Mara est en ligne directe pour devenir Héritière à sa place. Ce serait bien d’éviter que les royautés partent toutes dans la nature en même temps, surtout pour aller faire des missions dangereuses)
— Tara, fit doucement Mara, ce que tu fais est bien plus dangereux. Alors si je peux aider, de quelque façon que ce soit, ce ne sont pas deux, trois krakens et des gardes qui vont m’en empêcher. Et puis c’était vraiment amusant, crois-moi.
Tara retint un gémissement. Tous ses amis semblaient (enfin à part Fabrice) (mettre la coupure « (enfin à part Fabrice) » juste après le « semblaient » est ma foi une idée audacieuse) ne rêver que de bagarres et de défis (oui d’ailleurs, ils sont pas un peu traumatisés ? Ils sont tous déjà morts une fois, ou ont frôlé la mort, ont été torturés, certains membres de leurs familles ont été asservis, ont souffert... ça pourrait les freiner un tant soit peu, non ? Fabrice a des raisons d’avoir des réserves, en fait. Je pense que le reste du magicgang a des gènes de dodo). Elle aurait bien voulu que sa famille s’abstienne s’ilvousplaît-merci. Elle avait déjà perdu son père, son grand-père et sa mère dans la bataille, si elle pouvait garder ses frère et sœur en vie, ce serait vraiment bien.
— D’ailleurs, Jar est sur Terre, il est en train de récupérer les documents que nous avons trouvés au musée du Caire. L’Egypte est vraiment un pays très intéressant sur Terre, tu sais ? (Alors que notre fameuse Egypte d’Autremonde, ce qu’elle est chiante ! Plus sérieusement, je vois pas pourquoi elle précise « sur Terre », surtout que ça fait une répétition)C’est fou le nombre de documents magiques AutreMondiens qu’ils ont accumulés. Il devrait être là dans quelques heures.
Tara en eut le souffle coupé”
Je répète, du coup, mais même si Jar ne veut plus être Héritier, ça pourrait être vachement utile que l’empire ait un remplaçant en cas de pépin. Ne serait-ce que pour les gens à gouverner, éviter le chaos et la prise du trône par, au hasard, Magister.
Quoi qu’il en soit, Jar et Mara sont déterminés à repousser l’invasion des démons, c’est plutôt cool ! Moi qui craignais que ce chapitre continue hors-bord par rapport à l’intrigue centrale du tome, me voilà un peu apaisée.
“La porte se referma derrière eux. Tara se mordit la lèvre. À un moment ou à un autre, il allait falloir qu’ils avouent à Mara qu’ils sortaient ensemble.
Elle se mordit la lèvre un peu plus fort. Ça, c’était une scène qu’elle n’avait pas hâte du tout de vivre.”
Noooooon scénario reviens-
Et... ils sortent pas ensemble ? Cal et Tara ne sortent pas ensemble, rien de ce genre n’a été officialisé. Je veux dire, j’étais là, j’ai lu le livre. Ils ne se sont pas dit ça.
“Quelques minutes plus tard, son hor vibra.
C’était Cal.
« Tro bon hâte de t revoir. Ce soir ? » (quoi)
Et pourquoi Cal utilisait des abréviations alors que la seule chose qu’ils avaient à faire c’était de dicter le message à leur boule de cristal ou comme dans le cas de Tara de son hor ? (Parce qu’il est avec Mara, potentiellement, je sais pas ? T’es pas la feuille la plus épaisse de l’artichaut, Tara)
Elle dicta la réponse.
« Trop bon oui. Pour ce soir, sais pas. Trop vite ? » (je buggue sur ce “trop bon”. Est-ce que. Je. Est-ce que madame S.A.M. pense que les jeunes se disent “trop bon” après avoir failli se pécho ? Je comprends pas.)
Le message s’afficha tout de suite en réponse.
« Jamais trop vite. Vie est longue mais parfois courte. Ne gâchons pas. » (pourquoi il écrit bien d’un coup ?)
Il allait vraiment falloir qu’il surmonte le traumatisme de la mort d’Eleanora. (oh bah oui, c’est vrai que le deuil d’un proche ça se fait facilement et que ça ne change pas notre personne à tout jamais, pense-tu) Parce que s’il pensait que Tara pouvait mourir d’une seconde à l’autre, (il n’aurait pas tort) leur relation prendrait un tour compliqué. Elle s’apprêtait à lui répondre lorsqu’il texta :
« Rentre dans bureau Impératrice. T’appelles après. Tu fais quoi ? »”
Bon, bref, cet échec cuisant faisant office de tchat entre djeunz se conclut sur Cal qui dit qu’il viendra la rejoindre à midnuit.
Hm. Tu sais, Cal, ta chérie a besoin de dormir... ? Je doute que quelqu’un travaillant jusqu’à minuit serait vraiment dans le mood pour une partie de jambes en l’air.
Bref, une ellipse passe, ce qui donne l’occasion de rappeler que Tara est une Héritière res-pon-sable
“Tara prévint ses gardes qu’elle partait, encore. Ceux-ci soupirèrent. Elle leur avait appris qu’essayer de l’en empêcher revenait à se retrouver douloureusement paralysés pendant des heures, vu la puissance de sa magie.”
Awwww trop mignon. Vous croyez qu’ils éprouvent la faim, la soif ou l’envie d’aller aux toilettes, quand ils sont paralysés ? En tout cas, on précise bien que c’est douloureux :-). Mais inutile d'avoir de la peine pour eux, ce sont des figurants, les figurants n’ont pas d’opinion propre, de vécu, d’émotion, ou de proches qui les attendent à la maison.
“S’ils ne voulaient pas être métamorphosés en statues, ils avaient intérêt à ne pas l’ennuyer. Ils obéirent donc, la mort dans l’âme pendant qu’elle préparait ce dont elle avait besoin pour sa mission.”
Ouiiii-euh on est pas une dictatureeeeuh, on a un conseil, on est trop progressisteuuuh par contre si des gardes voulant juste faire leur devoir empêchent dame Tara de faire des conneries, c’est punition immédiate et personne à qui s’en plaindre, faut pas déconner.
“Dont le plus important : sa combinaison spatiale, qu’elle fit rentrer dans les poches de sa robe de sortcelière.
Galant boudait, mais elle ne pouvait pas l’emmener. Elle aurait pu le miniaturiser encore plus et le garder dans sa combinaison, mais elle préférait ne pas s’inquiéter pour lui, alors qu’elle affrontait la magie démoniaque."
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C’est pas supposé être très douloureux de s’éloigner de son Familier ? Même quand c’est qu’une affaire de mètres ? Là elle va sur la Lune ? C’est très loin, la Lune ?
“Quelques minutes et trois transferts plus tard, elle était sur la Lune terrienne. Les deux thugs de garde qui s’ennuyaient comme des rats morts furent contents de la voir, elle leur apportait tout le temps des friandises hors de prix qu’elle « empruntait » aux cuisines du palais. (y a pas quelqu’un d’autre qui peut filer des trucs sympas à manger à ces pauvres gardes ?)
Ils pensaient qu’elle venait réfléchir (c’était ce qu’elle leur avait dit) dans un endroit tranquille en regardant la Terre. Contrairement à la Garde des Amazones sur Terre, ils ne savaient pas que deux objets démoniaques se trouvaient sur la Lune. (????? Et ils pensent qu’ils sont là pourquoi, pour surveiller que les cratères s’enfuient pas ??????) Un Transmitus plus tard et elle se retrouvait devant les Gardiens. Qui lui demandèrent de se déshabiller.”
… vous savez quoi, je suis trop accablée pour ça, on skippe.
“Elle frissonna et, pas parce qu’il faisait – 273,15° dehors, la température du zéro absolu. Mais bien parce que les fantômes griffus et pleins de crocs l’effrayaient. (oui d’ailleurs ils lui demandent de se déshabiller alors qu’elle est sur la LUNE ? C’est pas des pervers, en fait, ils ont juste envie qu’elle crève) La dernière fois qu’elle était venue, elle leur avait fait une proposition. Elle espérait qu’ils accepteraient, comme ceux qui avaient protégé les objets démoniaques sur Terre et se trouvaient à présent sans travail.”
Oh, chic, je m’étais trompée ! Voici la troisième instance de ce livre du trope cher à madame S.A.M. : « Les personnages évoquent très clairement un plan qui sera réutilisé plus tard dans l’intrigue, en termes qui sont non seulement giga vagues, pas agréables à lire mais qui sont en plus savamment calculés pour qu’on les ait oubliés au moment où ce qu’ils concernent surgit » ! Wouhou ! J’en ferai pas un compteur mais ça m’a refait penser à mes tendres compteurs qui m’attendent à la maison. C’est suffisant pour remplir mon cœur de joie.
Tara se retrouve face aux objets démoniaques, dont les âmes rentrent en contact avec elle pour la supplier de faire en sorte qu’elles meurent et atteignent Outremonde plutôt que le roi des démons. Tara leur promet d’essayer, si elles acceptent de l’aider à lutter contre les démons, en ajoutant qu’elle fera en sorte de ne pas consommer trop de leurs âmes afin que les autres puissent mourir en paix. La Lance et l’Armure se transforment donc pour passer inaperçues, et Tara leur demande encore de limiter leur effet de mutation au contact de son corps.
« — Personne… personne, gémirent-elles, ne nous a demandé, personne n’a dit « s’il vous plaît, aidez-moi et je vous aiderai ». C’était toujours nous consumer, nous utiliser. Nous avons lutté, à notre façon, pour nous venger. Nous ne te ferons rien, tu nous aides, nous te protégeons. (Les âmes hésitèrent, cherchant le concept dans l’esprit de Tara.) Nous sommes amies.
Formidable. Voilà maintenant que Tara était copine avec une Lance et une Armure démoniaques. »
*prend Tara par le col* ma petite chérie. Ces êtres tourmentés acceptent de t’aider, ils retrouvent lentement la raison - mieux, ils te font confiance et vont jusqu’à vous qualifier d’amis, eux qui semblaient perdus pour la cause. Je sais que la force absurde du scénario est dans ton camp, que madame S.A.M. ne s’intéresse pas aux notions qu’elle écrit, mais si tu pouvais arrêter avec ce ton désinvolte, comme si sauver le cas désespéré d’âmes démoniaques relevait d’une banalité et pas d’un défi à la fois effrayant, essentiel et grisant, ça me ferait grand plaisir.
Sérieusement !! Dépasser les limites du monde, porter secours à son prochain, déterrer l’espoir là où il semblait enfoui hors de portée de tous, envers et contre tout, ça tire vraiment rien à cette meuf ?? Si Tara était un personnage cachant ses émotions derrière le sarcasme, ces deux petites phrases moqueuses ne m’auraient rien fait, j’aurais compris ça comme un coping mechanism du personnage. Pareil, si Tara venait de découvrir Autremonde et qu’elle était distante des implications du lien qu’elle a créé avec les Objets, ce serait compréhensible qu’elle n’ait pas d’empathie. Mais elle sait ce que sont les Objets démoniaques ! Elle le sait si bien qu’elle a tenté de leur aménager un environnement apaisant ! Elle les traite déjà comme des êtres conscients ! Ces deux phrases ironiques dans la narration ne suggèrent rien, c’est juste un moyen de rire parce que « oh bah dis donc une armure et une lance qui me demandent mon amitié, c’est cocasse ». Oui, sauf qu’en-dehors du grotesque de la situation, ça n’a rien de drôle, en fait.
Du coup, je ne peux pas prendre au sérieux le paragraphe suivant, où Tara se dit que les âmes n’ont pas eu le choix dans leur conception et méritent la pitié. Encore une fois, sa relation à elles est crade. Tara ne peut pas traiter de monstres ceux qui les ont manipulées alors qu’il y a quelques chapitres, elle leur signifiait qu’elle pouvait les laisser à un sort de vide éternel si elles ne l’écoutaient pas ! Et la placer en sauveuse de leurs vies de façon si désinvolte, juste… non ! Merde, enfin !
Bref, Tara enfile la version modifiée de l’Armure, devenue des bijoux, et empoche la Lance, devenue un stylo. Elle note que ça ne lui fait pas d’effet, puis passe les Gardiens (ceux-ci tentent un coup de pression, mais clairement l’autrice les a rétrogradés à des comic reliefs, ne vous attendez pas à ce qu’ils servent à quelque chose). A la suite de quoi, elle retourne à Tingapour.
Là-bas, elle est très distraite par la présence des Objets sur elle, craignant ce qu’elle a fait mais aussi de se faire repérer. Elle croise Robin à une réception, songe qu’il va falloir qu’elle lui avoue qu’elle sort avec Cal (j’insiste mais pour moi elle ne sort pas avec Cal, hein-), et puis, enfin, le scénario fait son grand retour.
En effet, à la réception se trouvent des Tadixiens et des Madixiens (habitants des deux Lunes d’Autremonde, ce sont des personnages qu’on a peu vus jusque-là, mais dont j’aime bien le charadesign). Lisbeth annonce l’arrivée des démons et qu'Archange a demandé Tara en mariage. Étant données les circonstances, elle précise que les démons ne seront pas reçus sur Autremonde même, mais sur Tadix. Et Tadix étant, apparemment, un genre de grand casino, ça risque d’être assez fun comme ambiance.
Je suis partante, pour être honnête.
« Elle voyait bien pourquoi Lisbeth avait pris cette décision. Il suffirait de détruire les Portes de transfert entre Tadix et AutreMonde pour que les démons soient piégés sur le satellite. Mais connaissant Lisbeth, Tara subodorait qu’il y avait une demi-douzaine d’autres raisons pour justifier ce choix. Qu’elle allait vite découvrir en tirant les t’sils du nez de sa tante. »
« J’ai remplacé un mot de cette expression par un terme Autremondien, du coup c’est bon, c’est une expression Autremondienne ! » : 2
Oui, j’ai uniquement copié collé ce passage pour ça. Et aussi pour le paragraphe hilarant qui suit :
« Elle sourit intérieurement. Plus le temps passait, et plus elle s’apercevait qu’elle utilisait des expressions AutreMondiennes. Quelques années plus tôt, elle aurait pensé « tirer les vers du nez ». Maintenant, spontanément, elle pensait aux redoutables t’sils verts. »
Parce que bien évidemment, les expressions autremondiennes et françaises sont calquées les unes sur les autres !
Pourquoi est-ce que je dis “françaises” ? Parce que d’un pays à l’autre, les façons de parler divergent, même traduites. Par exemple, là où en France on dit “Serre-moi la pince” pour parler du fait de se serrer la main, au Cameroun, l’expression signifie littéralement “Casse-moi l’os”. En l’occurrence, pour l’expression présente : en Allemagne et en Angleterre, on utilise des expressions similaires pour dire “extirper la vérité à quelqu’un” (même si on dit to worm a secret out of somebody en Angleterre, ce qui signifierait plutôt “se tortiller comme un ver pour aller chercher la vérité de quelqu’un”. Par contre on dit bien jemandem die Würmer aus der Nase ziehen, en Allemand, ce qui, là, veut dire “tirer les vers du nez de quelqu’un”). En Italie, par contre, on dit “Scalzare uno”, ce qui veut dire “déchausser quelqu’un”.
Pourquoi autant pinailler pour une question d’expression ? Parce qu’inventer des expressions saugrenues d’Autremonde sans tomber dans la facilité de “détourner une expression française à la mode Autremonde” aurait été une façon ludique et simple d’approfondir le lore d’Autremonde sans être lourdingue. En soi, madame S.A.M. le fait un peu dans le livre : “filer plus vite qu’un kré-kré-kré ayant repéré une salade fraîche” n’est pas une expression qui se calque sur quelque chose que je connais. C’est juste dommage que ce passage suggère qu’Autremonde et la France ont les mêmes expressions.
Et pourquoi dire “La France”, encore une fois ? Parce qu’il y a eu un souci semblable plus tôt avec “tomber dans les miams”, c’est-à-dire “tomber dans les pommes”. Pour dire qu’on s’évanouit, je n’ai pas trouvé d’équivalent à “tomber dans les pommes” en allemand ou en anglais, ni particulièrement ailleurs, donc quelque chose me dit que madame S.A.M. se base en grande partie sur les expressions déjà connues en France.
Bref, je vais être mesquine, mais puisque les terriens ne sont pas supposés être au courant de l’existence d’Autremonde et des sortceliers, à part une poignée de personnes dans les gouvernements, ça veut dire que ce sont les expressions d’Autremonde qui sont repompées de la Terre, et non l’inverse. Chaar.
Donnnc, sur cette note linguistique, continuons.
“Plus le dîner avançait et plus Tara se sentait fébrile. Comment allait-elle réagir ? Cal emplissait son cerveau et elle n’arrivait tout simplement pas à voir plus loin que minuit. […] Et puis, c’était un si total revirement de tout ce qu’elle avait vécu jusqu’ici avec Robin, dont elle était persuadée qu’il était son grand amour, qu’elle avait un peu de mal à conceptualiser Cal en petit copain.
Rien à faire, son cerveau bloquait. Cal en gamin farceur, oui, Cal en prodigieux Voleur, oui, Cal lui sauvant la vie un demi-millier de fois, oui… mais Cal l’embrassant… c’était plus dur à passer. Pourtant, lorsqu’il l’avait tenue dans ses bras, cela lui avait paru parfaitement naturel. Comme si leurs deux corps s’étaient reconnus.
Sauf que dès que Cal était loin d’elle, tous ses doutes revenaient au grand galop. À croire qu’ils n’attendaient que ça pour la torturer. Comme si elle n’avait pas assez de soucis comme ça !”
Ouaip, bah ça confirme mon idée que l’attirance de Tara pour Cal est purement physique. C’est d’autant plus creepy que Cal pense savoir mieux qu’elle ce qu’elle éprouve pour lui.
À la fin du repas, Lisbeth signifie à Tara de la suivre. La narration indique qu’il est à peu près minuit, l’équivalent de 22h sur Terre, puisque sur Autremonde les jours comptent 26h. Je trouve que ça porte à confusion, au pire dites qu’il est 24h on vous en voudra pas, surtout qu’on dit “minuit” pour indiquer mi-nuit, la moitié de la nuit, ici ça a pas de sens de dire “minuit” alors que c’est pas la moitié de la nuit... ? Fin bref.
“Mais, fidèles à leur habitude, elles ne dirent rien, à part saluer les gens qui se trouvaient encore dans les couloirs, allées et parcs du palais en dépit – ou à cause – de l’heure tardive”
« Elles ne dirent rien à part saluer »... ? « À part pour saluer », peut-être, non... ?
Wouw, combo de gros pinaillage, veuillez m’excuser, je suis en forme. Allez, on va y aller plus doucement, je vais arrêter de faire des remarques toutes les quelques lignes sinon je sens qu’on ne va pas en finir.
Donc il fait nuit, et le palais est baigné par la lumière argentée des lunes, et argh putain une phrase qu’il faut que je critique en approche-
« Sous cette lumière flatteuse, le teint de l’Impératrice prenait une teinte parfaitement blanche, comme si elle était faite de porcelaine et non pas de chair et de sang. »
Ton teint qui prend une teinte blanche il aurait pas un dictionnaire des synonymes qui traîne quelque part sur lui par hasard ?
Bon allez cette fois j’arrête. En vrai c’est mesquin de ma part de m’appesantir sur ça, mais je n’aime pas quand ce genre d’erreurs qui sautent aux yeux passent dans les bouquins publiés. Après, je me permets cette pause pour souligner que malgré toutes mes remarques, en terme de rédaction et de contenu, madame S.A.M. n’est pas la pire créatrice qui soit, loin s’en faut. Je crois que je m’arracherai plus que les cheveux si je devais faire le même exercice avec du Vivès, parce que son contenu est littéralement inqualifiable et que je n’aurais pas l’énergie mentale pour une chose pareille. En terme de rédaction, je ne sais pas ce qu’elle fait d’autre, mais j’ai un fort souvenir du Manoir d’Evelyne Brisou-Pellen, une des rares séries que je me suis refusée de continuer parce que je détestais le style d’écriture. J’en parlerais peut-être un jour, mais selon mon appréciation personnelle, c’est catastrophique. Ce n’est pas pour autant qu’il faut hausser les épaules face au contenu que madame S.A.M. produit, mais je me permets de le souligner ici vu que j’ai été très critique dans les paragraphes précédents.
Quoi qu’il en soit, Lisbeth et Tara vont dans la chambre de Lisbeth. Cette dernière se… met en pyjama, for some reason (j’veux dire gros mood hein, si je pouvais être en permanence en pyjama je me gênerais pas, go girl), et elles poursuivent leur discussion.
Tara relève le choix d’aller faire l’accueil des démons sur Tadix, et dit que c’est plutôt habile, pour la même raison que celle déjà donnée précédemment (c’est-à-dire qu’en cas de problème, les Portes de Transfert pourront être détruites facilement, interdisant l’accès à Autremonde aux démons).
Lisbeth réplique que ce n’est pas l’unique raison : en effet, elle est sûre que tout le monde va mourir à Tadix !
Coupure fracassante.
Bravo, tu m’as profondément et irrémédiablement choquée (pas du tout) avec cette déclaration ahurissante semblable à toutes celles qu’on a vues précédemment, maintenant ramène-moi ce que tu entends par là, Lisbou.
« Tara en resta bouche bée. En fait de déclarations fracassantes, celle-ci méritait une médaille. »
Trop smart le bouquin, genre il a repéré ses propres tendances lourdingues, ça les rend moins lourdingues du coup ! (pas du tout)
Lisbeth se reprend en précisant qu’elle évitera au possible que les gens meurent, mais qu’essentiellement, elle a trouvé un point de chute pour éviter davantage de problèmes avec les démons. La solution a été de piéger la planète entière.
Je… ne vois pas ce que tu vas déclencher à part davantage de rancœur chez les démons dénués de leurs chefs, mais c’est une décision, je présume.
Le chapitre se termine sur cette note très confuse. Il m’a pris du temps, le chapitre était relativement long, partait dans différents sens et j’ai été pas mal occupée. Je me rends compte en revenant au début du chapitre pour en évaluer la longueur qu’on y a à peine vu Mara. Malheureux, mais bon, c’est comme ça. Le prochain chapitre se concentrera sur Lisbeth, dans la continuité de celui-ci, je présume !
À la prochaine, et j’espère au plus vite ! :D
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santedefaire · 4 months
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Comment renforcer vos jambes (spécial débutant) afin de maintenir votre autonomie, votre forme et votre santé.
FORME SENIOR ! Gardez autonomie et santé avec ces exerices de base pour les jambes, faciles à réaliser 👉👉👉
Je vais vous montrer les 5 exercices de bases qui permettront de renforcer vos jambes et de maintenir votre force musculaire. Afin de rester en bonne santé et continuer de vous déplacer sans problèmes dans votre vie quotidienne. En effet, vous vous en êtes déjà certainement rendu compte, si vous-même vous commencez à vieillir, avoir de bonnes jambes est primordial pour conserver une bonne qualité…
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i-reflex · 6 months
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🔧 📱 Quels outils et applications pour apprendre une langue ? 2024
Dans un précédent article, j'évoquais l'importance de multiplier et varier au maximum les sources et outils d'apprentissage. Je vous propose d'en (re)découvrir quelques une :
APPLICATIONS & SITES WEB
▪️ Wallangues
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Avantage principal : Entièrement gratuit ! Ce site web dispose également d'une application pour smartphone, sur lesquels vous pourrez apprendre : l'anglais, le néerlandais, le français ou l'allemand.
Des cours collectifs (gratuits) ! 1x/semaine, retrouvez un professeur et un groupe d'étudiants du même niveau que vous, pour discuter du thème de la semaine (il s'agit de tables de conversation accessibles ici : https://www.eventbrite.be/fr_BE/o/wallangues-11179822756). Il existe également des "café langues", proposant des petits jeux/atelier en immersion, disponible dès le niveau A1. (Accessibles ici : https://www.wallangues.be/evenements/categorie/event-cafe-langues/#prochains-evenements)
Si vous ne connaissez pas votre niveau actuel, Wallangues vous propose de passer un test de niveau entièrement gratuit, assez complet (et donc assez long), disponible notamment lors de votre inscription sur leur site. Retrouvez mon article sur les différents niveaux reconnus en langues ici :
Points moins positifs : Méthode plutôt scolaire : l'aspect ludique n'est pas privilégié (mais reste présent).
Petit "+" : Il est également possible d'améliorer son orthographe en français via cette même plateforme : https://www.wallangues.be/wallangues/lorthographe/
Enfin et pour finir avec Wallangues, ce site web propose également un centre de discussion vous permettant de discuter et de s'entre-corriger avec un correspondant. (ici : https://www.wallangues.be/wallangues/speaky/)
▪️ Hellotalk
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Trouve un correspondant !
Il s'agit d'un site web (application smartphone également disponible), qui propose de mettre en contact toute personne souhaitant discuter avec une autre dans sa langue d'apprentissage. Vous pouvez également vous corriger mutuellement. Il est possible de s'écrire mais aussi de s'envoyer des enregistrements vocaux.
site web : https://www.hellotalk.com/
▪️ Tandem
Il s'agit à peu de choses près de la même application que Hellotalk.
À vous de choisir votre préférée 👍👎
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site web : https://www.tandem.net/fr
▪️ Busuu
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Il s'agit, selon moi, de l'une des 3️⃣ meilleurs sites web / applications d'apprentissage de langue en 2024.
Son gros "+" : Outre son aspect ludique, avec la version payante (en ce moment : 6 mois => 59,94 €), vous aurez accès à la certification. C'est à dire : vous pourrez valider un niveau d'apprentissage (A1, A2, ...) dès que vous aurez complété et réussi 100% des cours d'un niveau. Vous pourrez ainsi télécharger un certificat à votre nom. (Plutôt sympa non ? 😉).
Davantage axé vocabulaire mais avec une touche de l'essentiel en théorie malgré tout.
site web : https://www.busuu.com/fr
▪️ Babbel
Application smartphone + site web.
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Mon petit préféré, il mélange aspect ludique et amusant, avec des parties plus axées sur la grammaire et la conjugaison mais sans en faire trop et en proposant des exercices interactifs, uniquement sur les choses réellement importantes.
Le seul dans ce type d'application, qui propose un vrai apprentissage ludique de la grammaire.
Bon à savoir, pour l'anglais (uniquement), il propose une version appelée "Babbel live", où vous pourrez trouver des cours à distance personnalisés. Si vous avez un (beaucoup) plus gros budget, je vous recommande : EF Englishlive. (cours à distance par visioconférence, individuels et collectifs).
site web : https://fr.babbel.com/
▪️ Beelinguapp
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Cette application novatrice propose d'écouter et lire simultanément de courts texte dans la langue que vous souhaitez apprendre. Les audio durent environ 2 à 3 minutes, et portent sur des sujets très variés : l'actualité internationale, la culture, l'histoire, les nouvelles technologies, ...
Site web : https://beelinguapp.com/fr/
▪️Italki
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Vous souhaitez trouver un vrai professeur de langue qui propose des cours en visioconférence au tarif qui vous convient ? Alors je vous le recommande vivement !
Depuis peu, des cours collectifs sont également proposés 👨‍👩‍👦‍👦 !
Site web : https://www.italki.com/fr
▪️Et beaucoup d'autres
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Speakly
MosaLingua
Reverso
Quizzlet
❓Et vous ❓ Quels sont vos applis préférées ❓
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kachmedcom · 1 year
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La guérison par le toucher: l'efficacité du massage shiatsu
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 Introduction:  Le massage shiatsu, un art thérapeutique d'origine japonaise, ouvre une voie vers la guérison en rééquilibrant l'énergie vitale du corps. En s'inspirant des principes ancestraux de la médecine chinoise, cette méthode utilise des pressions manuelles précises pour stimuler la circulation énergétique. Dans cette dissertation, nous explorerons les multiples aspects du massage shiatsu qui en font une approche efficace pour se soigner.  Développement:  Le massage shiatsu agit sur différents niveaux pour favoriser le processus de guérison. Tout d'abord, il induit une profonde relaxation du corps et de l'esprit, apaisant ainsi le stress et l'anxiété. Étant donné que le stress chronique est souvent à l'origine de nombreux problèmes de santé, le shiatsu contribue à rétablir l'équilibre émotionnel, créant ainsi un environnement propice à la guérison.  En outre, cette technique de massage stimule la circulation sanguine et lymphatique, favorisant l'élimination des toxines et l'apport de nutriments essentiels aux cellules. Cette amélioration de la circulation favorise la régénération des tissus et accélère le processus de guérison des blessures et des maladies.  De plus, le shiatsu agit sur les méridiens énergétiques du corps, qui sont les canaux par lesquels l'énergie circule. En rééquilibrant le flux énergétique, le massage shiatsu rétablit l'harmonie interne, soulageant ainsi divers troubles physiques et émotionnels tels que les douleurs dorsales, les migraines, les troubles digestifs, les problèmes de sommeil, et bien d'autres encore.  Par ailleurs, le shiatsu peut être une excellente complémentarité aux traitements médicaux traditionnels. Il renforce leur efficacité en stimulant la réponse du système immunitaire et en réduisant les effets secondaires indésirables de certains médicaments.  Enfin, le massage shiatsu encourage la prise de conscience du corps et de ses besoins. En développant une meilleure écoute de soi, il permet d'identifier les déséquilibres énergétiques et d'adopter des habitudes de vie plus saines. Cette approche holistique du bien-être contribue à maintenir une santé optimale à long terme.  Conclusion:  Le massage shiatsu se révèle être une méthode thérapeutique efficace pour se soigner. Par le biais de la relaxation profonde, de l'amélioration de la circulation, du rétablissement de l'équilibre énergétique et du renforcement du système immunitaire, il favorise la guérison globale. En complément des traitements médicaux conventionnels, le shiatsu accélère le processus de guérison et améliore la qualité de vie. En adoptant cette approche holistique du bien-être, chacun peut prendre en main sa santé et favoriser son épanouissement à long terme.  Formation:  Une formation qui vous formera à la pratique du shiatsu dans laquelle vous découvrirez la théorie et la pratique grâce à de nombreux exercices.  Vous étudierez à votre rythme, en pratiquant chez vous ou en déplacement, en fonction de votre emploi du temps, de votre rythme de vie et de votre temps libre. À l’issue des onze modules, un examen final validera votre certification de praticien en massage shiatsu.  En vous lançant dans ce métier passionnant et enrichissant de praticien en massage shiatsu, vous améliorerez également votre propre santé en nourrissant votre corps et votre esprit de nouvelles connaissances.  Et quelle satisfaction vous aurez de voir tant de gens se transformer grâce à vous !  Oui, je veux me lancer !
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marie-swriting · 11 months
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L'embrasser - Robin Buckley
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Stranger Things Masterlist
Résumé : Trois fois où tu as eu envie d'embrasser Robin mais tu ne l'as pas fait et une fois où tu l'as fait.
Warnings : fluff, fin heureuse, rapide sous-entendu de l'homophobie de l'époque, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
A/N : L'astérisque (*) à côté de la phrase en italique est en italien et elle veut dire "si je pouvais, je t'embrasserais."
Nombre de mots : 2.6k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Why Didn't I Kiss Her (The Useless Lesbian Song) par Ratwyfe
Dans la chambre de Robin, vous êtes allongées sur son tapis, à côté de son lit. La voix de Madonna résonne dans la pièce, la musique n’est pas trop forte pour ne pas vous déranger dans votre activité. Lecture pour toi, devoirs pour Robin. Tu es plongée dans ta fiction jusqu’à ce que tu entendes ta meilleure amie soupirer. Tu relèves la tête et la vois effacer quelque chose sur son cahier. Tes yeux passent de ses mains tenant son crayon jusqu’à son visage concentré sur l’exercice. Tu regardes ses sourcils froncés, ses yeux voyageant d’une ligne à une autre et enfin, tu admires ses lèvres. Tu les examines alors qu’elle les pince avant de mordre légèrement sa lèvres du bas. À ce moment-là, tu ne veux qu’une chose : l’embrasser. 
Tu ne sais pas vraiment à quel moment tu as développé des sentiments pour Robin, ça c’est juste fait. Robin est ta meilleure amie depuis que tu es bébé. Tu lui fais confiance et tu ne te vois pas vivre sans elle. Pour toi, c’est juste naturel de la vouloir pour toujours à tes côtés. 
Robin lève rapidement les yeux au ciel, t’obligeant à poser les tiens sur ton livre oublié depuis un moment. Elle pousse un grognement et tu fais comme si tu abandonnais à l’instant ta lecture pour la regarder pour la première fois depuis une heure. 
-Qu’est-ce qui t’arrive ? rigoles-tu.
-J’arrive pas à faire mon devoir d’italien et ça commence à me soûler sérieusement. 
-Je suis sûre que tu vas y arriver. Tu es forte en langue.
-Pas quand ça concerne le conguintivo, se lamente Robin et tu fronces les sourcils.
-Le congiu-quoi ? 
-C’est un mode verbal. 
-Et ça sert à… ? 
-Dans mon exercice, il sert à faire les hypothèses. Par exemple : si j’étais riche, je m’achèterais une Ferrari, t’explique-t-elle.
-Oh, donc c’est pas si compliqué.
-Tu ne connais pas la conjugaison italienne !
-C’est vrai. Peut-être que si tu me faisais un exemple, je comprendrais mieux, proposes-tu et Robin te lance un regard appuyé. Quoi ? Je t’ai presque jamais entendu parler en italien ! Je suis curieuse. Allez, fais moi une hypothèse avec ton congiu-truc, demandes-tu en t’asseyant en tailleur. 
-Ok, euh…, commence Robin en réfléchissant. Se potessi, ti bacierei*, dit-elle en rougissant légèrement. 
En entendant Robin parler en italien, tu fais tout pour ne pas montrer de réaction. Robin connait pas mal de langues et tu mentirais si tu disais que ça ne te fait pas d’effet quand elle parle une langue étrangère. Pendant une seconde, tu la fixes, ignorant comment rester calme.
-C’était…, bégayes-tu, ça me semblait juste. Je connais rien à l’italien, mais ça semblait bien. 
-Ouais, enfin, c’était une phrase simple. Rien de spécial, précise Robin en regardant ailleurs.
-Elle veut dire quoi ? questionnes-tu et elle te regarde sans comprendre. La phrase, ajoutes-tu.
-Oh, euh, quelque chose d’inutile.
-C’est-à-dire ? 
-Je… J’ai dit que si je pouvais, je partirais d’ici, informe-t-elle, mais tu sais qu’elle ne dit pas la vérité.
-Tu mens. 
-Pas du tout ! se défend Robin en évitant un peu plus ton regard.
-Robin, je te connais depuis l’enfance, je sais reconnaître quand tu mens. T’as dit quoi ? 
-Ce que je viens de te dire.
Toujours pas convaincue par sa réponse, tu te jettes sur elle et la chatouilles. Robin tombe à la renverse en rigolant. Tu continues ton attaque tout en ordonnant de te dire la vraie traduction. Elle insiste qu’elle t’a dit la vérité et tu redoubles d’effort. Robin essaye de se protéger en tentant de saisir tes mains. Après une minute, Robin pouffe de rire tellement fort qu’elle a du mal à respirer. Tu arrêtes de la chatouiller et tu te rends compte de votre proximité. Tu es à moitié sur elle, ses mains tiennent tes poignets et seuls quelques centimètres vous séparent. Tu plonges ton regard dans le tien et automatiquement, tu rapproches ta tête de la sienne. Pendant une seconde, tu regardes à nouveau ses lèvres. Tu rêves d’enfin les goûter. Plus la tension monte et plus tu te dis que tu vas l’embrasser. Quand tu es sur le point de poser tes lèvres, tu paniques et te relèves, faisant froncer les sourcils de Robin.
-Je dois y aller, dis-tu en commençant à ranger tes affaires, je viens de me rappeler que je dois faire un truc pour ma mère.
-Tu peux pas faire ce truc plus tard ? 
-Non. J’aurai pas le temps sinon. On se voit en cours. 
Sans un regard à Robin, tu cours vers la sortie de sa chambre. Quand tu arrives enfin dans la rue, tu pousses un grand soupir et marches rapidement jusqu’à chez toi. Tout le chemin, tu te maudis. Tu avais l’occasion parfaite pour embrasser Robin. Elle n’avait pas l’air d’être contre votre proximité et tu as littéralement pris la fuite. Tu n’arrêtes pas de te répéter “pourquoi est-ce que je ne l’ai pas embrassée ?”. Tu essayes d’arrêter tes lamentations en pensant que tu as peut-être bien fait de ne pas l’embrasser. C’est ta meilleure amie. Tu aurais pu ruiner ton amitié. De plus, Robin a le béguin pour Vickie. Elle n’est pas attirée par toi. Tu te serais brisée le cœur toute seule. Finalement, tu as bien de ne pas écouter tes sentiments.
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Un mois s’est écoulé depuis ta presque tentative de baiser. Tu ne t’es pas retrouvée dans cette situation à nouveau donc tu as pu contrôler tes émotions. Enfin, entre-temps, Robin t’a annoncé qu’elle a réussi à avoir un rendez-vous avec Vickie. Tu as montré ta joie quand elle t’a informé de la nouvelle, mais au fond de toi, tu étais blessée. Certes, tu n’auras jamais ta chance avec Robin, tu le sais, mais ça ne veut pas dire que tu ne peux pas avoir mal quand tu sais qu’elle pense à une autre fille. 
Après son rendez-vous avec Vickie dans l’après-midi, Robin est venue chez toi pour faire une soirée entre meilleures amies. Vous êtes actuellement dans ta cuisine à préparer les pop corns. Robin te raconte les intrigues des différents films qu’elle a loués. Tu lui dis de choisir celui qu’elle veut et elle va le mettre dans le lecteur cassette. Quand elle revient vers toi, tu es en train de verser le pop corn dans le bol. Tu lui donnes vos deux verres et Robin t’informe qu’elle a lancé un film d’amour. Tu utilises ce sujet pour poser la question qui te brûle les lèvres depuis qu’elle est arrivée.
-Au fait, tu ne m’as pas parlé de ton rendez-vous avec Vickie. Comment ça s’est passé ? demandes-tu, nonchalamment.
-C’était bien, mais on a préféré en rester là.
-Quoi ? Mais je croyais que tu l’aimais bien. 
-Je le pensais aussi. C’est juste qu’on a senti que rien ne se passerait. C’est mieux comme ça, avoue-t-elle et elle ne semble pas plus triste.
-C’est dommage. Je suis sûre que tu trouveras la fille parfaite pour toi, Robin.
-Toi aussi, tu trouveras la personne parfaite pour toi. 
Tu passes ton bras autour des épaules de Robin pour lui faire un câlin sur le côté avant de vous rendre dans ton salon avec vos sucreries et de lancer le film.
Au milieu de l’histoire, Robin finit par poser sa tête sur ton épaule et tu ne peux t’empêcher de poser la tienne sur la sienne, un sourire aux lèvres. Quelques minutes plus tard, tu entends ses respirations régulières et une fois de temps en temps, des petits ronflements légers. Tu te retiens de rire pour ne pas la réveiller. Bien évidemment, elle s’est endormie, même si elle t’a assuré que ça ne serait pas le cas. Malgré toi, tes yeux passent de la télé à la main de Robin qui est maintenant sur ta jambe. En la regardant, tu as envie d’enlacer tes doigts aux siens. Doucement, tu rapproches ta main de la sienne, mais tu n’oses pas la toucher. Après plusieurs longues secondes, tu finis par abandonner et ta main trouve sa place juste à côté de la sienne. Tu te concentres à nouveau sur le film, tentant d’oublier la main de Robin. Quelques minutes plus tard, Robin se repositionne légèrement, enfonçant un peu plus sa tête dans le creux de ton cou. Dans son mouvement, sa main frôle la tienne et inconsciemment, elle lie ses doigts aux tiens. En sentant son touché, tu prends une profonde inspiration, appréciant sa présence si proche de toi. Tu serres un peu plus sa main en regardant le film avec un grand sourire. 
Quand le générique défile enfin, tu éteins ta télé. Même si ça te fait mal au cœur, tu secoues légèrement Robin. Elle papillonne des yeux avant de les ouvrir et d’enlever sa tête de ton épaule. Quand elle réalise qu’elle s’est assoupie, une expression coupable prend place sur son visage.
-Je suis désolée, je t’avais promis que je tiendrais, s’excuse-t-elle en posant les yeux sur toi.
-Pas de problème.
Vous n’ajoutez plus rien et continuez à vous regarder. Robin avec les yeux encore endormis alors que les tiens sont bien ouverts. Vos mains sont toujours liées et comme la dernière fois, vos visages sont seulement séparés par quelques malheureux centimètres. Robin est celle qui plonge ses yeux dans les tiens. Tu retiens ta respiration, te disant que peut-être cette fois, c’est la bonne. Robin se rapproche légèrement de toi et quand tu sens son souffle contre tes lèvres, tu te lèves du canapé. Robin reste perplexe alors que tu commences à ranger rapidement les affaires sur la petite table du salon.
-On devrait aller se coucher. Tu es fatiguée, annonces-tu, prenant Robin de court.
-Ouais, c’est vrai. 
Robin prend le bol de pop corn vide ainsi que vos deux verres et se rend dans la cuisine. Quand elle est hors de ta vue, tu regardes en l’air, désespérée par ta propre réaction. Cette fois, tu ne peux même pas dire que ses sentiments pour Vickie t’ont retenu, elle t’a avoué qu’elle ne l’aimait pas de cette façon alors pourquoi ne l’as-tu pas embrassée ? Parfois, tu ne te comprends pas toi-même. 
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La fin de l’année scolaire arrive à grands pas et tu n’as toujours pas réussi à sauter le pas et à embrasser Robin ou au moins à lui proposer un rendez-vous. Tu ne sais pas quoi faire et ce n’est pas comme si tu pouvais en parler à ta meilleure amie pour des conseils ; Robin est ta meilleure amie. Alors, tu continues à souffrir en silence.  
Une jour avec Robin, vous avez décidé d’aller au cinéma du centre commercial. Après votre film, vous ne quittez pas les lieux et faites quelques boutiques. Vous n’achetez pas forcément des affaires, mais tant que vous êtes ensemble, c’est le plus important. Vous marchez en direction de la librairie du centre commercial quand les yeux de Robin s’ouvrent en grands.
-Qu’est-ce qu’il y a ? questionnes-tu.
-Il y a mon patron.
-Et ? T’as demandé un jour de repos aujourd’hui, non ?
-Techniquement, non, confesse-t-elle, paniquée.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Je savais qu’il refuserait alors je l’ai appelé ce matin en lui faisant croire que j’étais malade. J’ai sorti la carte du “je peux pas quitter les toilettes tellement mon ventre me fait souffrir”. Faut pas qu’il me voie sinon je suis foutue. Viens !
Sans te prévenir, Robin prend ta main et court dans la direction opposée. Tu la suis avec difficulté. Parfois, elle lance des regards derrière elle. Après avoir couru pendant une minute, elle te pousse dans un coin caché du centre commercial. Vous récupérez votre souffle puis, vous finissez par rigoler. Quand vos rires se calment enfin, tu réalises dans quelle position vous vous trouvez. Ton dos collé au mur, Robin est face à toi, sa main toujours dans la tienne. Tes yeux passent de ses yeux à ses lèvres et tu vois une petite mèche de cheveux prise dans son gloss. Tu lèves ta main et retires la mèche en la plaçant derrière son oreille. Ta main ne quitte pas sa joue. Un petit effort et vos lèvres pourront enfin se toucher. Cependant, tu ne bouges pas, trop effrayée. Tes mains deviennent de plus en plus moites et ne voulant pas qu’elle le sente, tu enlèves ta main et te râcles la gorge.
-On devrait aller ailleurs, chuchotes-tu. On doit être sûres qu’il ne te voit pas. 
-On devrait, ouais, murmure Robin avec un ton légèrement déçu.
Robin se sépare de toi, abandonnant ta main. Elle regarde les alentours, vérifiant que la voie est libre, pendant que tu reprends tes esprits. Tu fais tout ton possible pour ne pas extérioriser ta frustration. “Pourquoi est-ce que je ne l’ai pas embrassée ?”, tu te répètes. Encore. Il n’y avait qu’un mouvement à faire et c’était fait. Ton manque de courage t’agace au plus haut point.
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Le mois de juin est enfin arrivé et avec Robin, vous l’attendiez avec impatience. Maintenant que tu as une voiture, vous avez décidé de vous rendre à Indianapolis et de participer à une Pride pour la première fois. Vous avez passé la journée à marcher dans la rue en tenant des pancartes revendiquant vos droits faites la veille. Pendant toute la marche, vous vous êtes tenues la main, appréciant la présence de l’autre pendant ce moment si spécial. Quand l’après-midi a touché à sa fin, vous avez repris la route à contrecœur. Vous auriez aimé rester dans cette bulle où vous vous sentiez totalement libre, malgré la réalité. Sur le chemin du retour, vous avez acheté à manger dans un fast-food et vous vous êtes garées dans un coin tranquille pour manger à l’arrière de ton pick-up, après avoir installé plusieurs couvertures. 
Quand vous avez fini de manger, vous ne repartez pas tout de suite. Vous avez moins d’une heure de route donc vous voulez encore rester dans votre monde un peu plus. Allongées à l’arrière de ton pick-up, vous regardez le ciel qui est dans les tons roses/orangés. Vous êtes si proches que ton bras touche le sien. Vous reparlez de votre journée et la joie s’entend dans votre voix.
-On a tellement bien fait d’y aller, déclares-tu en la regardant. Je me suis sentie plus courageuse que d’habitude à crier que j’étais fière avec d’autres personnes.
-C’est vrai que ça fait du bien de pouvoir dire haut et fort qui on est, confirme Robin en tournant la tête vers toi.
-Et puis, tu as vu tous ces couples ? Ils étaient mignons et semblaient n’avoir aucune peur. J’aimerais être comme eux, avoues-tu d’une plus petite voix.
-Un jour, ça sera plus simple.
Robin garde ses yeux fixés sur toi et l’envie de l’embrasser revient aussitôt. Cette fois, tu veux être courageuse. La peur te tord le ventre, mais tu te rappelles de ces différents couples que tu as vus, surtout d’une jeune femme d’environ ton âge embrassant sa petite amie et tu te dis que tu veux faire pareil. Discrètement, tu te rapproches de Robin. Elle le sent et te prend ta main dans la sienne, te donnant ce coup de pouce dont tu as besoin. Ton visage est si proche du sien que tu peux sentir son parfum. 
-Robs, est-ce que ça te va si je le fais ? 
Tu n’as pas besoin de préciser ce que tu veux faire. Votre proximité et la tension palpable font comprendre ce que tu souhaites. Robin hoche la tête avant de murmurer :             
-Je n’attends que ça.
Tu prends une dernière inspiration et pose enfin tes lèvres sur les siennes délicatement. Tu serres un peu plus la main de Robin dans la tienne pendant que Robin place sa deuxième main sur ta joue. Vous vous embrassez quelques secondes avant de vous séparer. Un immense sourire se retrouve sur vos visages, réalisant que tu l’as enfin embrassée.
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{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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claudehenrion · 1 year
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 2023 ! Quelle joie de vous retrouver...Dans le fond, le mot ''Jour de l'an'' résume la chose : s'il n'y en avait qu'un, ce serait ce jour-là ! Avec chaque année qui s'en va, on se sent un peu responsable vis-à-vis de soi-même et des autres de faire  un ''retour sur images'' rituel sur l'an fini… ce qui est sensé permettre de se projeter, en émettant quelques fantasmes, rebaptisés ''Vœux'' ou ''Souhaits'' –à réaliser ou pas--, dans l'année qui s'entr'ouvre, et que tout un chacun, en se souvenant de quelques tuiles qui ne s'oublient pas, espère voir meilleure que celle qui s'en va...
Le premier de ces deux exercices n'a pas de nom et n'est pas codifié : c'est ''à votre bonne volonté, M'sieu-Dames...'' et la Presse et les politicards s'en donnent donc à cœur joie pour trier tout ce qui les dérange, en espérant que les électeurs-victimes-contribuables-assujettis-gogos-confinables vont oublier toutes les horreurs dites ou faites au cours des 12 mois précédents. En revanche, le second exercice est plus codifié : c'est ''la cérémonie des vœux'', solennité approximative qui se rattache, en gros, à ce que les anciennes sociétés appelaient ''des rites de passage'' –qui ont malheureusement disparu : du certificat d'études au baccalauréat, de la souris de la première quenotte tombée au service militaire, ou de la Communion au Mariage, ils rythmaient les étapes d'une vie, marquant le glissement d'un ''rôle'' dans un autre... 
Grâce à ces étapes bienvenues, ''le Temps'' avait un sens, et nous n'étions pas ''tout nus'' devant lui. Il ''avait le temps'', alors que, aujourd'hui, nos repères étant égarés par des systèmes ennemis de toute sagesse, les jours coulent, tantôt bien trop lentement, tantôt trop vite, dans un désordre sciemment fabriqué par des maîtres à ne plus penser, sans direction, sans sens, et sans utilité... Le rôle de l'humanité semble évoluer vers une obéissance contrainte à des forces administratives sans cesse occupées à essayer de rattraper leurs mauvaises décisions passées...
On dirait que nous avons perdu l'azimut de la flèche du temps : ''Je n'ai pas le temps'' est une phrase-type de notre époque. Un enfant devant son écran (car les enfants ne jouent plus. C'est un drame !), un adulte actif dans l'exercice de ses fonctions, une mère-au-foyer-au-boulot qui mène 2 vies en parallèle, ou un retraité pas encore trop esquinté... ''n'ont pas le temps'' : le divorce entre le temps de la vie, si riche, et celui (vide) de nos existences (qui le sont aussi, parfois) a entraîné une perte de contact avec toute notion de ''priorité''. En l'absence de tout classement possible puisqu'il n'y a plus aucun système de référence cohérent, tout devient urgent-en-soi, et si j'ose, plus c'est moins urgent, et moins ça peut attendre plus.
Alors... que laissera 2022, comme souvenirs ? Le ''tee-shirt'' kaki (et douteux) de Volodomyr Zelensky (en espérant que ce déguisement horrible ne deviendra pas une mode)... Le retour massif de l'inflation...  Le changement de tête sous la Couronne dite de Saint Edouard (2 kilos d'or, 2868 diamants, 4 rubis, 17 saphirs, 11 émeraudes, et 269 perles, dit-on)... Les visages dévoilés en Iran et la connerie inverse des inconscientes pro-hijab en France... Le record historique (qui ne sera pas facile à battre) des recours au ''49-3''... Macron, ridicule, mis à bout de table par Poutine... Les résultats électoraux des ''Nupes'' (mais Dieu merci, à peine élus par erreur, ils se sont bagarrés. Mais même quelques jours, c'est déjà trop...)... Pour les quelques catholiques qui persistent encore, le motu proprio Traditionis Custodes et l'irruption mortifère du mot ''Synodalité'' –les deux seules choses dont personne n'avait besoin... Et, à titre personnel, l'encombrante présence dans mon garage de 3 jerry-can ex-d'essence (je n'ai jamais eu besoin de ces preuves de l'impéritie et du manque d'intelligence politique de nos élites (?), mais elles vont m'encombrer longtemps, comme les autres scories de toutes leurs absurdités injustifiables...).
Et quoi d'autre, encore ? Pour avoir l'air ''dans le coup'', je vais citer, sans trop y croire, la mort de Pelé et la victoire injuste de 11 argentins sur le seul M'bappé –NDLR : décidément, tout ce qui vient d'Argentine ne nous réussit pas, ces temps derniers ! Et plus sincèrement, la mauvaise nouvelle du départ du bon et si regretté Pape Emérite Benoît XVI, cet ultime rempart connu de la chrétienté contre le progressisme, mort le 31 décembre comme pour nous dire que se  tournait une page de l'Histoire... Sans oublier ce gag triste que le seul fait que l'ONU ait promu la baguette de pain au rang de ''trésor de l'Univers'' aura suffi a détruire un bel équilibre pluri-séculaire : 5000 boulangers risquent de fermer prochainement  (comme certains prix Nobel dits ''de la Paix'' ont été responsables de belles bagarres –on pense à Yasser Arafat, Henry Kissinger, Aun sang Suu Kyi, Barack Obama, l'éthiopien Abiyi Ahmed, voire... l'Union Européenne, ce Prix Nobel-gag attribué en 2012 !-- et d'autres). Décidément, ''l’An 2022... pouvait mieux faire''!
Côté ''bons vœux'''', commençons par l'indigestion annuelle des vœux du président, qu'évite soigneusement une immense majorité de français (1,36 millions de masos, 8,8% de part d'audience, ce coup-ci) : cette purge semble n'avoir d'autre utilité que de faire commencer le Réveillon le plus vite possible ! Dans un raz-de-marée de banalités (car qui peut souhaiter la guerre, ou la maladie ? C'est absurde, ces vœux convenus !), il peut difficilement parler d'autre chose que de paix (NDLR -- Cette année : en pleine guerre !), de santé (Cette année : sans médecins, sans hôpitaux, sans ''soignants''), de bonheur (que les idéologues de son camp s'appliquent à tuer), ou de prospérité (là...  on va être servis, en 2023 : au lieu de ''belote, rebelote et dix de der'', on va ''faire capot'' !). Il a même osé ''Unis, nous vaincrons''... après avoir passé les 6 dernières années à tout faire pour qu'il ne reste rien de la réelle unité nationale qui existait encore à son arrivée, que même Hollande n'avait pas su ravager. Qu'il arrête d'abord de mentir sur notre histoire pour ''justifier'' (sic !) la haine de Tebboune (dont nous reparlerons), qu'il réintègre les pauvres victimes non vaccinées de sa haine à lui, qu'il exprime des regrets sincères pour les périodes de confinement, pour l'augmentation d'un quart de la CSG sur les retraites (à annuler d'urgence) pour Fessenheim... et il redeviendra audible. Mais pas avant, je crains !
Ce caillou dans la chaussure chassé, restent les vœux inter-personnels, forcément plus sincères, mais pas plus crédibles pour autant. En gros, ils tournent autour de 2 idées-phares : une bonne année et une bonne santé. Question ''créativité'', c'est zéro pointé... mais l'idée générale, déjà évoquée plus haut, c'est que, quoi qu'elle apporte, l'année nouvelle ne devrait pas être ''aussi pire'' que celle qui vient de finir (et qu'on trouve, après coup, assez pourrie !). Dernier point : on ne peut pas ne pas parler des ''bonnes résolutions'' qu'on prend pour soi (en sachant qu'on ne fera rien pour qu'elles se réalisent) et pour les autres –en se fichant comme de l'an 40 qu'elles soient suivies ou non des effets soi-disant attendus ! (NDLR : avez-vous remarqué qu'il n'existe ni vœu ni vocable pour ''des mauvaises résolutions'', qui sont pourtant bien plus souvent réalisées ? Ça doit vouloir dire quelque chose, non ?).
Tout bien réfléchi, il semblerait que ce qui compte, dans ces rituels incontournables, ce n'est pas tant que tous ces vœux, souhaits, résolutions, ou promesses-à-ne-pas-tenir se transforment en réalisations... mais c'est que, comme c'est gratuit et que ça ne peut pas faire de mal, on serait idiot de s'en priver. En fonction de quoi je suis heureux de vous souhaiter UNE BONNE ET HEUREUSE ANNEE, POUR VOUS ET POUR CEUX QUI VOUS SONT CHERS... On va en avoir, dans les ''billets'' à venir, des histoires à se raconter, des trucs à se dire, des ''rabias'' à piquer, des fou-rires devant les bobards que nos nuls voudraient nous voir avaler. Ces perspectives sont autant de promesses de gourmandises à venir ! 2023 sera une bonne année...
H-Cl.
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meneselijah · 1 year
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QATAR 2022: ARGENTINE SACRÉE CHAMPIONNE DU MONDE !!!
A l'issue d'une trépidante finale le dimanche 18 Décembre 2022 face à l'équipe de France au stade Lusail Qatar, les argentins amenés par leurs capitaine Lionel Messi ce sont offerts la troisième victoire en coupe du monde de leur histoire.
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Qui l'eût crû? Après un début de compétition mitigé suite à une défaite surprise 1 but à 2 face à une équipe coriace d'Arabie Saoudite, la sélection Argentine a su bien rebondir en remportant ses deux matchs de poule suivant face au Mexique et à la Pologne 2 buts à 0 respectivement. S'en ai suivi d'un huitième de finale remporté face à l'Australie sur le score de 2 buts à 1 l'Argentine poursuit son aventure en quart de finale face au Pays bas match qui se solde sur un score de parité 2 buts à 2 pour ensuite voir l'Argentine se qualifier à l'issue des tirs au but 4 tirs à 3.
Arriva donc les demi-finales dans lesquelle l'Argentine rencontre la Croatie match s'annonçant palpitante dans un premier temps mais sans réelle difficulté pour l'Argentine qui s'imposa facilement 3 à 0 face à la Croatie.
18 Décembre 2022 jour de finale ARGENTINE - FRANCE Lusail stadium grosse affiche du football mondial. Le match s'emballe rapidement avec l'ouverture du score de l'inévitable Lionel Messi sur penalty à 23ème minute suivi une dizaine de linute plus tard par Di Maria qui alourdi la marque à 2 - 0. Kylian Mbappe remet les deux équipes à égaliser dans les mes 10 dernières minutes du temps réglementaire d'abord à la 80ème minute sur penalty et une minute plusctard sur une action de jeu. Prolongation. 108ème minute le meilleur joueur de cette édition de la Coupe du Monde Lionel Messi redonne l'avantage aux siens à ma 108ème minute. L'Argentine se croit déjà champion mais c'est sans compter sur le jeune Kylian Mbappe qui sur penalty égalise pour la France à 118ème minute. Stupeur dans le camp Argentin voici donc venu la séance des tirs au but. À cet exercice le gardien Argentin Emiliano Martinez plus à l'aise aide les siens à remporter leur 3ème coupe du monde.
Fin du suspens, L'ARGENTINE EST CHAMPIONNE DU MONDE POUR LA TROISIÈME FOIS DE L'HISTOIRE !!
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