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#Médecine de la Terre
esoterique-fr · 1 year
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Découvrez notre atelier Culture Amérindienne: une expérience unique pour se connecter à la nature et à soi-même !
Découvrez notre dernier atelier "Culture et Tradition Amérindienne" avec Sylvie Briday de chez #Makwatik ! Plongez dans la spiritualité autochtone et la tradition amérindienne du Québec, avec une présentation de la #RoueDeMédecine. Un moment d'évasion avec des chants traditionnels au tambour et des anecdotes fascinantes sur l'histoire des #Anishinabe et des #Wendat. Rejoignez-nous pour nos prochains ateliers bien-être, nature et spiritualité à Lannion (22) pour continuer à explorer ensemble ces sujets passionnants ! Consultez notre site web pour plus de détails^^ #CultureAmérindienne #TraditionAmérindienne #RoueDeLaMédecine #BienEtre #Nature #Spiritualité #Lannion #CôtesdArmor #Bretagne #Makwatik #AteliersPleineLune
Ce samedi 1er Avril 2023 à Lannion dans les Côtes d’Armor, l’atelier “Culture et Tradition Amérindienne” a été animé par Sylvie Briday, de chez Makwatik au sein du Salon de thé et restaurant Le BaO à Lannion dans les Côtes d’Armor en Bretagne. Un programme dédié à la spiritualité autochtone et la tradition Amérindienne du Québec, avec une présentation de la “Roue de la médecine“, un symbole sacré…
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kachmedcom · 1 year
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Le Chamanisme
Le Chamanisme Etudiez les initiations liées au Chamanisme.
Le ChamanismeEtudiez les initiations liées au Chamanisme.On vous propose d’étudier les 12 cours suivants : ✔ Ama Deus Guérison Chamanique✔ Le Chamanisme✔ Activation de la roue de médecine✔ La Lumière de la communication animale✔ La Guérison Chamanique des Elfes✔ Les Anges de la Terre, Guérison Animale✔ Programme de Chamanisme Magique✔ Le Souffle Sacré – Chaman Amérindien✔ Le Kahi Mana…
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aisakalegacy · 21 days
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Traits : Crasseux, courageux, instable, amoureux de la nature, hypersensible.
Souhait à long terme : Grand explorateur (échec).
Jules Le Bris est né le 28 décembre 1873 sur l'île ontarienne d'Hylewood, au Canada. Benjamin d'une famille de cinq enfants, fils d'un éleveur de chevaux et d'une écrivaine anarchiste, élevé par une bonne mexicaine qui lui apprend l'espagnol dès l'enfance, il fait sa scolarité à la petite école publique de l'île. Bon élève, il révèle cependant un comportement brutal, changeant, bararreur et colérique, et, à partir de ses dix ans, il multiplie les fugues.
En 1884, après six jours de fugue, il est retrouvé inconscient et intoxiqué dans une fumerie d'opium à Kingston. Dès lors, des médecins lui diagnostiquent des "états-limites". Il est hospitalisé cinq mois. Pendant sa convalescence, son père l'introduit aux romans d'aventure et fait naître chez lui la passion de l'exploration et lui redonne un intérêt pour les études malgré ses difficultés d'apprentissage et son manque de mémoire, causés par le traitement qui lui a été remis à sa sortie de l'hôpital : un médicament à base de hachisch, pour lequel il développera une forte accoutumance et qu'il consommera jusqu'à sa mort. Malgré cela, il persévère dans l'étude de la géographie et de la linguistique arabe, avec le rêve de se rendre un jour en Egypte.
À l'âge de dix-neuf ans, en 1893, il épouse Eugénie Bernard, une jeune femme de l'île issue d'une famille pauvre et pieuse, dont il est amoureux depuis qu'il a treize ans et qu'il ne tarde pas à mettre enceinte. Mais pourtant, la même année, il saisit l'opportunité de partir travailler à Deir el-Bahari, en Egypte, sur un chantier de fouilles aux côtés d'une équipe suisse, anglaise et allemande et où il apprend la langue de Goethe. C'est le premier d'une série de quatre voyaes en Egypte : entre 1883 et 1897, entre 1898 et 1900, entre 1910 et 1914, puis entre 1918 et 1921.
Ses envies d'aventure le conduisent également à faire une expédition d'un an entre 1905 et 1906 au Nunavut, dans les terres sauvages polaires au Nord du Canada, dont il revient avec une cicatrice au visage suite à un affrontement avec une ourse polaire.
Ses voyages l'éloignent de sa famille plusieurs années consécutives à chaque fois, et marquent un fossé grandissant entre son épouse et lui-même. Chaque fois qu'il revient, le même cycle s'installe : voyant que sa femme lui en veut de l'avoir abandonnée avec leurs enfants, il intensifie ses efforts et son implication dans leur relation, puis quand Eugénie se réchauffe et que les chose s'améliorent entre eux, son égyptomanie le reprend et il repart en laissant sa femme éplorée et enceinte, ou avec un nouvel enfant en bas-âge.
En 1914, la Première Guerre mondiale éclate. Il s'engage volontairement dans le 22e Bataillon franco-canadien aux côtés d'une poignée d'autres hommes de l'île. Il s'embarque pour l'Angleterre le 20 mai 1915 à bord du Saxonia à l’âge de 41 ans, alors qu’il est marié avec 4 enfants - ce qui, normalement, devrait le dispenser de servir. Il est envoyé dans les tranchées pour la première fois le 20 septembre au sein de la 5e Brigade de la 2e Division canadienne près d'Ypres en Flandre en Belgique, où il est grièvement blessé par des éclats d’obus et où il perd une de ses jambes.
Il revient de la guerre changé, particulièrement nerveux et irritable, plus dépendant encore au hachisch, et agité par de nombreux cauchemars. Après trois ans de convalescence, il repart finalement en Egypte pour son quatrième et dernier voyage, qui ne se passe pas du tout comme prévu puisqu'il est rattrapé par la guerre civile égyptienne d'indépendance. Elle le contraint à se terrer deux ans dans le désert jusqu'à ce qu'il puisse fuir l'Egypte. Ce dernier voyage lui passe l'envie de l'exploration.
Quand il rentre, il a la désagréable surprise de voir que sa maîtresse égyptienne Layan, accompagnée de leur fille bâtarde Layla, a fait tout le chemin jusqu'au Canada pour le trouver et le forcer à remplir une fausse promesse qu'il lui avait fait, et a rencontré sa femme à la place... Comprenant que son époux a abusé de la naïveté d'une femme sans instruction, Eugénie s'est liée d'amitié à sa maîtresse et lui a offert un emploi ainsi qu'une éducation pour sa fille, qu'elle propose d'élever en tant que pupile aux côtés de leurs quatre enfants. Au lieu de s'opposer, les deux femmes font donc désormais front contre lui... Cela porte un ultime coup à son mariage.
La liste des griefs d'Eugénie, qui supporte sans broncher la défection de son mari, est d'autant plus longue que Jules part systématiquement dans les moments où elle a le plus besoin de lui. Par exemple, au moment de son départ en 1918, leur fille aînée Louise est portée disparue à la suite de la désertioin de son fiancée et de l'annulation brutale de ses noces. Pour essayer de sauver son mariage, Jules entreprend d'adopter - sans l'assentiment de sa femme - une petite orpheline de guerre. Par ailleurs, Eugénie ignore que Jules a également un fils aîné caché de sensiblement le même âge que Louise, élevée par une de ses anciennes maîtresses et reconnu par le mari de celle-ci... Malheureusement, le divorce est illégal en Ontario, et le couple désuni est coincé ensemble.
Dans le même temps, les voyages successifs de Jules ont mis un coup dur à la famille Le Bris sur le plan économique, d'autant plus que leur seul entrée d'argent, les élevages Le Bris, ont été vendus pour financer le dernier voyage de Jules. La famille est donc contrainte à de nombreuses restructions budgétaires, notamment en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants, et Jules se montre de plus en plus anxieux et irritable à ce sujet. Si l'avenir de son fils aîné Lucien semble garanti malgré le manque de maturité de ce dernier, ce n'est pas le cas de son cadet Agathon, qui n'ose avouer à son père qu'il se destine à une carrière musicale...
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claudehenrion · 2 months
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Est-ce moi qui suis fou ?
La période actuelle dépasse sans doute, en intensité dans la folie, la ration ''normale'' à laquelle ont eu droit nos parents, nos aïeux, nos ancêtres. Oh ! Je sais que, pour celui qui le traverse, le problème du moment est ressenti comme étant ''le plus ceci ou cela'' jamais survenu depuis le début de l'aventure humaine sur terre. Il n'empêche : je pense que les historiens du futur –s'il en reste... et s'il y a un futur, après l'absurdité actuelle-- s'étonneront de l'inconscience, de la superficialité de la cécité et avec lesquelles nous évitons les problèmes, les défis, les menaces...
Depuis les absurdités, incongruités et utopies dystopiques post-1968, et ''à pleins pots'' depuis l'époque noire (bien que officiellement rouge !) de Hollande, que les bonnes raisons de se faire du souci ne n'ont pas manqué : la Gauche s'est attaquée, de plus en plus clairement et de plus en plus visiblement à tout ce qui marchait, le plus souvent bien, parfois pas trop mal... mais aussi ''pas bien'', ici ou là. –jusqu'au stade actuel de la provocation violentissime permanente et de l'affirmation en pleine lumière de ses mauvaises intentions, exclusivement ravageuses.
Le monde occidental avait patiemment érigé une civilisation ''pas croyable'', qui concrétisait l'un après l'autre tous les rêves qui avaient bercé, sous-tendu et conduit l'Humanité depuis sa création, et il gardait assez de forces en lui pour corriger les inévitables erreurs survenues le long de ce long chemin glorieux. Il offrait en permanence une palette jamais imaginée au cours des millénaires : un groupe humain offrait au reste du monde le meilleur de ses inventions et découvertes : dans le cadre de la seule religion qui était ouverte à toutes les croyances et n'exigeait aucune adhésion a ses rituels en échange des cadeaux offerts, notre merveilleuse civilisation, dite ''occidentale'' mais en vérité ''judéo-chrétienne'', offrait la totalité où peu s'en faut de tout ce qui pourrait être considéré comme ''les besoins fondamentaux, permanents, trans-générationnels et trans-nationaux de tout être humain libre de ses choix''.
A en juger par ce que l'on constate ces temps derniers –et sauf un retournement à 180 degrés, toujours possible mais assez improbable en l'état actuel des choses-- il semblerait bien que les forces (exclusivement négatives) du progressisme aient réussi à mettre en grand danger tout ce qui marchait, vraiment pas mal du tout, et qui était prometteur de jours encore meilleurs et de correction des ''à peu près'' qu'il fallait, c'est certain-- améliorer à la marge. Ces fossoyeurs du monde ancien et de la seule chance de ''bonheur'' jamais croisée par l'Humanité en recherche ont eu deux idées particulièrement perverses –et particulièrement efficaces : en premier, s'en prendre à la jeunesse, proie facile s'il en est... et ensuite faire perdre tous sens aux mots, devenus des bouts de chewing-gum à peine bons à triturer dans tous les sens... jusqu'à leur faire perdre le leur.
Nous pouvons contempler aujourd'hui, avec un effroi qui se rapproche de la terreur, les premiers résultats des ''avancées'' (qui ne sont que d'immenses reculs) de cette tentative de retour vers des époques et des civilisations où pas un seul des réels progrès que l'Occident a ouverts et offerts au reste du monde n'était disponible : nous retrouverons bientôt une espérance de vie se ''baladant'' entre 27 et 43 ans, les maladies toute-puissantes, une médecine qui se mélangeait à la magie (cf les mesures ridicules prises ''contre'' (?) le covid), plus aucune des aménités qui rendent nos vies si douces (malgré quelques petits grincements, ici ou là), des transports impossibles, le confort même pas concevable, l'analphabétisme de définition et la culture une exception, les ratés et malformations considérés ''de base'', le sort de chacun ressemblant fort au malheur de tous...
Or, quels que soient les chemins tordus que les thuriféraires de cette malédiction réapparue empruntent pour nous faire avaler leurs mensonges et leurs dystopies, il n'est honnêtement possible de trouver qu'un seul chemin pour aller de l'ombre épaisse à la lumière éclatante d'où ces oiseaux de malheur voudraient nous faire sortir : c'est la voie qu'a inventé l'Occident et qu'elle a proposé au monde entier. Le succès rencontré fut immense... même s'il fut parfois difficile à voir venir et délicat à identifier comme tel. Et le prix de ce succès littéralement unique dans l'histoire de l'Humanité (seul, dans l'Histoire, l'empire romain a pu engranger des succès vaguement comparables, mutatis mutandis... mais il est un peu le grand-père du nôtre) a été une jalousie mortelle et impardonnable venant de tous ceux qui, n'ayant rien à proposer, ont inventé le syndrome fou de ''la table rase'' célébré par les notes superbes (hélas !) de l'Internationale.
Force est de constater –pour le déplorer, mais ça ne sert à rien !-- que, à force d'endormir les occidentaux génération après génération, les authentiques criminels que sont nos soi-disant ''progressistes'' ont réussi à endormir toutes les consciences... rendues inconscientes par décérébration progressive. Un exemple ? La tribune d'honneur de la lamentable cérémonie d'ouverture vers tout sauf les jeux olympiques (qui, Dieu merci, sont jusqu'à cet instant un franc succès) était remplie de gens qui représentaient ce qu'ils étaient : des noirs pour l'Afrique, des arabes et assimilés pour le monde musulman, des asiatiques de diverses souches représentant chacun leur pays, fièrement et avec juste raison... Seule l'Europe avait honte d'être elle-même, le fait d'oser exhiber une couleur blanche et un vieux christianisme fondateur étant du plus mauvais effet.
Nos dirigeants, poursuivant leur rêve, notre cauchemar mortel, cherchent désespérément à passer le message mensonger suivant : notre continent, décidément gravement incontinent, rêve de faire croire au reste du monde (qui, pas fou, refuse de telles conneries) que nous ne sommes plus ni un ni des peuple(s), ni une race, ni une civilisation, ni une Histoire, ni une ou des culture(s). Ces dystopistes pathologiques ont inventé une série de ''concepts-abjects'', au terme desquels nous ne serions plus qu 'un assemblage a-sexué --donc sans futur, c'est-à-dire destiné à disparaître le plus vite possible-- de diversité-inclusion-égalité, caractérisé sans caractère par une interchangeabilité (sélective, selon leurs seuls critères impossibles). C'est un comble qui devrait être classé ''gros mot'' tant le concept est con...  
Déjà les universités américaines parlent de la France en disant ''Gay-land'', ce qui fait mal aux sinophones qui se souviennent que, en mandarin, nous étions il y a peu encore ''Fa-Guo'', le pays de la Loi... et que grâce à notre absence totale de diplomatie, nous ne sommes même plus nommés, en Chine. Seulement méprisés. Les autres pays savent que les fantasmes ukrainiens 'à la française'' ont ramené la totalité de nos forces aériennes opérationnelles à un total moyen de 3 (je répète : trois) Rafales opérationnels : juste de quoi abuser les braves gens le 14 juillet.
Nous, LA FRANCE, ne sommes plus rien, sur l'Echiquier mondial. Plus rien du tout... sauf un sujet de pitié et de moqueries.. Mais ce n'est pas encore assez, aux yeux des progressistes qui se jouent de nous, comme ils l'ont fait avecr les élections bananières du mois dernier, ou pour le covid, avant ça, et comme ils s'apprêtent à le refaire à la première menace inventée de fausse pandémie qu'il s'apprêtent a nous imposer le plus tôt possible ! Plus vite ils nous aurons néantisé, plus vite ils pourront installer leur dramatique absence d'idées, de solutions, de réponses... visibles en clair dans l'amphigouri de l'anti-programme de ce qu'est devenue la Gauche, qui se résume en 4 ou 5 mots : tout détruire... au nom du progrès !
Français, mes frères, ressaisissez-vous : il est temps encore. Mais, comme dit le bon peuple, ''ça ne durera pas aussi longtemps que les impôts !''
H-Cl.
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raisongardee · 8 months
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"La machine c’est l’infection même. La défaite suprême ! Quel flanc ! Quel bidon ! La machine la mieux stylée n’a jamais délivré personne. Elle abrutit l’Homme plus cruellement et c’est tout ! J’ai été médecin chez Ford, je sais ce que je raconte. Tous les Fords se ressemblent, soviétiques ou non !... Se reposer sur la machine, c’est seulement une excuse de plus pour continuer les vacheries. C’est éluder la vraie question, la seule, l’intime, la suprême, celle qu’est tout au fond de tout bonhomme, dans sa viande même, dans son cassis et pas ailleurs !... Le véritable inconnu de toutes les sociétés possibles ou impossibles… Personne de ça n’en parle jamais, c’est pas "politique" !... C’est le Tabou colossal !... La question "ultime" défendue ! Pourtant qu’il soit debout, à quatre pattes, couché, à l’envers, l’Homme n’a jamais eu, en l’air et sur terre, qu’un seul tyran : lui-même !..."
Louis-Ferdinand Céline, Mea Culpa, 1936.
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À tous les "bienfaiteurs de l’humanité", au premier rang desquels les médecins de plateaux-télé, les journalistes, les politiques qui veulent le "bien des autres", Bertold Brecht vous offre une méditation:
"Avance: on nous dit
Que tu es un homme bon.
Tu n'es pas vénal, mais la foudre
Qui tombe sur la maison, non plus
N'est pas vénale.
Ce que tu as dit une fois, tu n'en démords pas.
Mais qu'as-tu dit ?
Tu es de bonne foi, tu dis ton opinion.
Mais quelle opinion ?
Tu as du courage.
Contre qui ?
Tu es plein de sagesse.
Pour quoi ?
Tu ne regardes pas ton intérêt.
Celui de qui, alors ?
Tu es un bon ami.
L'es-tu de bonnes gens ?
Aussi écoute : nous savons
Que tu es notre ennemi. C'est pourquoi nous allons
Te coller au mur. Mais, en considération
De tes mérites et de tes bonnes qualités,
À un bon mur, et te fusiller avec
De bonnes balles tirées par de bons fusils
Et t'enterrer avec
Une bonne pelle dans de la bonne terre."
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CACA NERVEUX...
(de M. Patrick Reymond)
Un médecin  a piqué un caca nerveux, "passeuh que", dans son rayon d'action, le RN a fait 38 % des voix, et que na ! il pisse par terre et s'y roule dedans.
Il faudrait lui apprendre que dans un état sensé être démocratique, c'est le peuple qui décide, et pas un quelconque juge, arbitre des élégances ou commissaire politique. Mais ce détail a du échapper à ce type, qui gagne plus que 99 % des villageois qui encerclent son cabinet, ceci expliquant cela.
D'une manière générale, le macroniste crétin, c'est le parasite, dans ce cas d'espèce, le médecin, fonctionnarisé par la sécurité sociale, qui se croie autorisé de braire et de donner son avis. De toute façon, toutes les cartes prouve que le vote macroniste est celui des parasites sécessionnistes du pays.
Moi, ce que j'ai constaté, c'est que les plus anti-immigration, sont les immigrés anciens, avec la cause suivante, ils sont directement en concurrence avec eux pour les logements, la formation professionnelle et les emplois. Chose, évidemment, totalement inconnu d'un médecin, qui, s'il a fait des études de médecine, n'a visiblement, aucune culture politique, sinon aucune culture, une intolérance monstrueuse, et une haine dévorante qu'il reporte et projette sur les autres.
Le parti de la haine, c'est l'extrême gauche, et le parti de la haine, c'est la bourgeoisie. Inutile de rajouter bourgeoisie macroniste, c'est synonyme. La bourgeoisie hait donc cette classe ouvrière en plus de la mépriser.
Bravo monsieur le médecin, vous avez fait dégouliner votre bave infecte et haineuse de tous ceux qui ne pensent pas comme vous. Avant de "prendre position" (j'ai dit braire et c'est mieux adapté), essayez de vivre avec 2000 euros par mois.
On en reparle. Cette petite bourgeoisie friande de haine sociale a toutes les caractéristiques de la noblesse de 1788. Elle a mérité le même sort, si elle n'est pas tuée par l'injection covidienne qu'elle n'a pas manqué de se faire faire en masse et à répétition. Ils sont plus méprisables encore que cette vieille aristocratie.
Petite anecdote. J'avais un ami qui avait épousé une femme avec nom à rallonge. Elle avait encore, dans sa bouche, le mot méprisant "gaulois", pour désigner les français, usage venu tout droit du 17° siècle. Elle avait eu quelques ancêtres, d'ailleurs, passés au rasoir.
(Source : http://lachute.over-blog.com/2024/06/caca-nerveux.html)
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sofya-fanfics · 11 months
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La femme qu’il aimait
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Fandoms : Naruto / One Piece
Relationship : Sanji x Sakura
Voici ma participation pour le Flufftober 2023 pour le prompt extra : Créer un crossover de deux où plusieurs fandoms.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Sanji se dirigea d’un pas rapide vers le pont du Sunny. Il savait qu’il la trouverait là. Sakura-swan, pensa-t-il avec un regard rêveur et un immense sourire.
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto et One Piece appartient à Eiichiro Oda.
@flufftober
AO3 / FF.NET
Sanji sortit de la cuisine. La nuit était tombée et l’air frais le fit frissonner. Il boutonna sa veste et alluma une cigarette. Il avait rangé la cuisine et préparé les menus pour le lendemain. Sa journée était enfin terminée. Il allait toujours se coucher après tout le monde et se levait avant les autres. Mais il ne se plaignait pas. Il était cuisinier et il aimait cela. C’était sa vie et il n’en changerait pour rien au monde.
Il se dirigea d’un pas rapide vers le pont du Sunny. Il savait qu’il la trouverait là. Sakura-swan, pensa-t-il avec un regard rêveur et un immense sourire. Il arriva sur le pont. Elle était assise par terre, adossée contre le mur et elle regardait les étoiles. Elle semblait tellement paisible qu’il se sentait coupable de la déranger.
« Te voilà enfin, dit-elle.
-J’ai été retardé par Luffy. J’ai dû l’empêcher de manger toute la viande qu’on a. »
Elle rit légèrement. Sanji s’assit à côté d’elle et Sakura s’approcha un peu plus de lui, réduisant l’écart entre eux. Il pouvait sentir son bras frôler le sien. Il n’aurait pas su dire si elle l’avait fait inconsciemment.
C’était devenu un rituel entre eux. Le soir, lorsque tout l’équipage était couché, ils se retrouvèrent sur le pont pour regarder les étoiles, pour parler de tout et de rien, ou pour profiter du calme après le dîner mouvementé qui avait eu lieu quelques heures plus tôt. Ils ne restèrent que quelques minutes, mais ce moment passé avec Sakura était le meilleur moment de sa journée.
Sakura était devenue un membre de l’équipage après leur combat contre Arlong, alors qu’ils se dirigèrent vers Grand Line. Ils avaient accosté sur une île où elle était médecin et après avoir empêché des pirates d’envahir l’île, elle avait accepté la proposition de Luffy de les rejoindre. Un jour, il lui avait demandé pourquoi elle avait décidé de les suivre. Elle lui avait répondu avec un sourire rempli de tristesse :
« Parce qu’il me fait penser à quelqu’un qui m’était cher. Il a ce rêve impossible et pourtant, on est prêt à le suivre en ayant une confiance aveugle en lui. »
Elle lui avait décrit parfaitement ce que tous ressentaient pour leur capitaine. Même si Sakura restait encore un mystère pour lui, il savait qu’elle était originaire des nations ninjas où la guerre avait fait rage il y a quelques années. Il se souvint que tous les journaux en avaient parlé.
Elle lui avait parlé de deux de ses amis qu’elle avait perdu durant la guerre. Ils s’étaient combattus jusqu’à s’entre-tuer. Elle s’en voulait de ne pas avoir pu les sauver. Quand elle lui avait raconté cette partie de sa vie, des larmes coulaient le long de ses joues, elle disait que si elle avait été plus rapide, plus forte, elle aurait pu les arrêter et les sauver. Sanji l’avait tenu dans ses bras jusqu’à ce qu’elle se sente mieux.
C’était la première fois qu’ils s’étaient retrouvés seuls sur le pont et que leur rituel avait commencé.
Lorsqu’il s’était retrouvé sur Whole Cake Island, c’étaient ces moments avec elle qui lui manquaient le plus. Lorsqu’il croyait ne plus jamais la revoir, cela l’avait fait énormément souffrir. Mais elle était venue le chercher avec tous les membres de l’équipage, elle s’était battue pour lui et pour qu’il revienne auprès d’eux. Il l’avait toujours aimé, comme il aimait Robin ou Nami. Mais à ce moment précis, il avait réalisé qu’il l’aimait d’un amour véritable et qu’il voulait passer le reste de sa vie avec elle. Il ne lui avait pas encore dévoilé ses sentiments. Il avait peur de sa réaction, peur qu’elle ne le croit pas sincère. Il n’était pas encore prêt à perdre ce qu’ils avaient.
Il la vit frissonner. Il retira sa veste et la lui posa sur ses épaules. Elle écarquilla les yeux, surprise, et le remercia. Elle serra un peu plus la veste contre elle pour se réchauffer. Elle se mit à rire légèrement.
« Qu’est-ce qu’il y a ? Demanda Sanji en souriant.
-Rien. C’est juste que ta veste sent comme toi. Un mélange de cigarette et de pain. Je trouve ça réconfortant. »
Sanji rougit et son cœur se mit à battre un peu plus fort. Chaque jour, il tombait un peu plus amoureux d’elle. Il la sentit poser sa tête sur son épaule. Il regarda vers elle. Elle avait les yeux fermés et elle souriait. Il sourit, en tirant sur sa cigarette, et ferma les yeux à son tour. Il profita de ce moment passé seul auprès de Sakura en espérant qu’il dure le plus longtemps possible.
Fin
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aurevoirmonty · 7 months
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"Il est clair et parfaitement évident que le mal se terre dans l'humanité plus profondément que les socialistes-médecins ne le supposent, qu'aucune organisation de la société ne permettra d'éviter le mal, que l'âme de l'homme restera la même, que l'anormalité et le péché proviennent de l'âme elle-même et, pour finir, que les lois de l'esprit humain sont encore si mal connues, si étrangères à la science, si indéfinies, si mystérieuses qu'il ne peut exister ni médecins ni juges /définitifs/."
Fiodor Dostoïevski, Journal d'un écrivain (1873-1881)
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perduedansmatete · 1 year
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tout à commencé par un pantalon trop long donné par ma cousine, une première chute alors que je revenais les bras remplis de courses, de grosses croutes et de jolis bleus plus tard c'est au tour d'une angine carabinée fin mai de me causer une crise d'urticaire monumentale et affolante pour la control-freak que je suis, puis à mes douleurs chroniques déjà bien installées de faire n'importe quoi dans mon dos me forçant à avaler absolument tout sans que l'impression qu'un troupeau de petits lutins perforent mon dos ne s'en aille, tout ça avant que je ne m'éclate à nouveau par terre à cause du même pantalon un doux matin de juin transformant mon corps en champ de bataille et rendant inapte, immobile et douloureux mon bras droit m'empêchant de dormir trop de nuits jusqu'à en pleurer, et je ne dors toujours pas puisque je suis encore malade depuis une semaine et que mes excès n'arrangent rien, j'ai une toux affreuse, inarrêtable, j'ai tenté d'en faire abstraction ce week-end mais je me sens étouffer à chaque respiration et je veux mourir de chaud, demain je vois un médecin inconnu (j'aime pas) et mardi je passe encore des radios, c'est fatiguant de vivre dans ce corps (et j'aime pas les radios) (et les médecins en général pas que les inconnus sauf ma médecin traitante cette reine mais elle est jamais dispo cette nulle d'ailleurs je comprends pas le concept d'un médecin généraliste qui peut pas te prendre quand tu en a besoin mais bref)
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kachmedcom · 1 year
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Le Chamanisme
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Le Chamanisme Etudiez les initiations liées au Chamanisme. On vous propose d'étudier les 12 cours suivants :
✔ Ama Deus Guérison Chamanique ✔ Le Chamanisme ✔ Activation de la roue de médecine ✔ La Lumière de la communication animale ✔ La Guérison Chamanique des Elfes ✔ Les Anges de la Terre, Guérison Animale ✔ Programme de Chamanisme Magique ✔ Le Souffle Sacré - Chaman Amérindien ✔ Le Kahi Mana Polynésien ✔ La voie de la guérison animale ✔ Les soins chamaniques ✔ La guérison énergétique chamanique
Vous pouvez vous servir de ces modalités énergétiques pour vous et pour les autres y compris à distance. Le badge chamanisme vous sera attribué.
Concrètement L'initiation se pratique au moyen d'une ou de plusieurs boules de chi que je préparerai avec l'intention de votre harmonisation. Vous recevrez un document qui vous expliquera facilement et précisément comment fonctionne l'initiation avec une boule de chi. Le mieux est d'être au calme. Une fois détendu, donnez-vous l'intention de recevoir cette boule d'énergie. Imaginez pendant une quinzaine de minutes cette boule entrer dans votre cœur et répandre sa lumière dans tout votre corps.
INSCRIPTION
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simbelmyneswriting · 1 year
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Jour 5 - souvenirs d’autres vies
J’étais archéologue en plein cagnard, les genoux dans la terre et le dos cassé, le pinceau et la truelle en main.
J’étais capitaine de péniche marchande, les mains rêches et abîmées par le travail, les yeux sur la prochaine écluse.
J’étais artificière, reliant des kilomètres de câbles aux tables de lancement, le jeans tâché de boue et les ongles noirs de terre.
J’étais débardeuse à cheval, l’odeur de la forêt collée à ma peau et le bruit des chaînes et des sabots dans les oreilles.
J’étais maquilleuse effets-spéciaux, du faux-sang et du latex dans les cheveux, les bras couverts de nuances de teint.
J’étais médecin-légiste, mettant ma rigueur et la science au service d’une justice que j’imaginais équitable.
J’étais boulangère, l’aurore comme compagne, de la farine dans le cou et l’odeur du pain chaud dans les narines.
J’étais thanatopractrice, offrant mes talents au service des familles en deuil et avec le silence comme musique d’adieu.
J’étais tellement de choses, dans ces autres vies que j’ai laissé passer comme des trains sur les quais.
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thelightofmeridian · 7 months
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Système de jeu -- explications
Bonjour tout le monde, j'espère que vous allez bien ! Petite surprise de la semaine : le système de jeu ! L'annexe peut être amenée à évoluer/avoir quelques modifications d'ici l'ouverture mais le plus gros y est ! J'espère que ça vous plaira. Bonne lecture ♡
HASARD & LANCER DE DÉS
Pour les plus téméraires d'entre vous ou tout simplement pour la prise de décision dans le jeu, il vous est possible de lancer les dés et ainsi laisser le hasard choisir à votre place :
— les dés du destin : à utiliser aussi bien inrp que hors-jeu (flood, etc), il faut cependant formuler vos questions de sorte à pouvoir obtenir une réponse ouverte (oui/non), — les dés de compétences : lors de l'étape traits généraux et compétences, vous pouvez lancer ce dé pour obtenir une valeur aléatoire entre 0 et 100 — les dés d'évolution : DÉS SPÉCIAUX créés à l'occasion d'une intrigue comme un sujet commun pour en définir l'évolution ou celle de votre personnage, leur fonctionnement sera expliqué dans le premier post des sujets administratifs ou lors d'interventions du Maître du Jeu, — les dés politiques : DÉS TOP-SECRET à retrouver au niveau des quartiers généraux des différents mouvements, ils ne seront pas développés ici.
Si les résultats obtenus ne sont pas à la hauteur de vos attentes (ou pas très arrangeants), vous n'êtes en aucun cas dans l'obligation de vous y tenir (on ne dira rien, promis !)
COMPÉTENCES
Nous partons du principe qu'en fonction de la tranche d'âge de votre personnage, celui-ci aura acquis plus ou moins d'expérience permettant de développer, perfectionner certaines de ses compétences. Ainsi, lors de l'étape de la fiche de présentation, les points à répartir sur les six compétences se feront de la manière suivante :
— cent (100) points pour les 18-22 ans, — cent-cinquante (150) points pour les 23-25 ans, — deux-cent (200) points pour les 26-28 ans, — deux-cent-cinquante (250) points pour les 29-32 ans, — trois-cent (300) points pour les 33-39 ans, — trois-cent-cinquante (350) points pour les 40-49 ans, — quatre-cent (400) points pour les 50-59 ans, — cinq-cent (500) points pour 60 ans et plus.
Il existe au total six caractéristiques, celles-ci pouvant directement influencer l'issue des actions réalisées dans le jeu :
— les traits généraux : physique et personnalité, — les compétences : offensive,  défensive, technique et formation.
Enfin, si au moment de la validation de votre fiche vous autorisez l'équipe administrative à vous attribuer des bonus et malus, votre personnage n'est pas à l'abri de subir un petit coup du sort !
Voici une liste non-exhaustive de quelques compétences possibles. Libre à vous d'en piocher là-dedans ou d'en choisir d'autres :
TRAITS GÉNÉRAUX : physique : endurance, force, rapidité, vision nocturne, ... // personnalité : persévérance, orgueil, discrétion, ambition, superstitieux, susceptible, sensible, insolence, impulsivité, minutie, réservé, leader, extra/introverti, égocentrique, pessimiste/défaitiste, courage, stratège, cupide, avare, corruptible...
COMPÉTENCES : offensive : magie offensive, maniement d'armes (épée, dague, tir à l'arc...), combats sur terre/étendues d'eau/dans les airs, ... // défensive : magie défensive (bouclier magique, peau impénétrable, ... //  technique ("spécialité" acquise via les études, en travaillant ou sur le tas) : navigation en mer, cartographie, astronomie, potions/plantes médicinales, joaillerie magique, danse, écriture, peinture, ... // formation (liée aux connaissances et savoirs) : chef cuisinier, boulanger/pâtissier, religieux, forgeron, armurier, ébéniste, couturier, membre de la garde royale, cavalier, palefrenier, soigneur animalier, femme de chambre, nourrice, herboriste/apothicaire, médecin, ...
EVOLUTION DES PERSONNAGES
Certaines périodes irl sont bien moins propices que d'autres pour écrire, réfléchir à l'évolution de notre personnage et c'est tout à fait légitime. Pas de panique, nous avons pensé à une solution !
Chaque nouvelle intrigue aura son sujet de mise à jour où il sera possible de faire le bilan des actions de votre personnage : où il était, son éventuelle implication. Vous pourrez bien évidemment lancer les dés du destin pour orienter vos choix, avoir recours aux dés d'évolution spécialement créés pour l'occasion ou simplement expliquer en quelques mots ce qu'il advient de votre personnage.
Enfin, nous vous rappelons de ne surtout pas révéler le camp de votre personnage (pro-Phobos ou pro-Reine Weira). Celui-ci doit rester confidentiel puisque les membres des différents mouvements auront l'occasion de faire pencher la balance, que ce soit lors des intrigues ou en réalisant des missions.
Restez à l'affut, méfiez-vous de tout le monde et amusez-vous !
(Et je profite de cette publication pour relancer la recherche de staff, si ça peut vous intéresser ou que vous avez besoin d'informations supplémentaires, n'hésitez pas à me contacter)
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the-ninth-moon · 7 months
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(banque de personnages) Fiel
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Coven des Braises d'ébène ( 15 / 15 )
Le coven des Braises d'ébène est foncièrement axé chaos. Ce sont les prêtre.sses du dieu de la mort, celleux qui se revendiquent comme ses représentants impériaux. Iels sillonnent souvent Junfark pour faire de nouvelleaux adeptes à leurs pratiques occultes et religieuses.
 2/2 libres ;; Les gardien.nes de l'autel - sorcier.es les plus émérites et les plus ancien.nes du coven qu'on estime chef.fes légitimes du groupe. (1 des gardien.nes se trouve dans les pv).  1/1 ;; Lea pénitent - guide spirituel, cellui qui permet la pénitence des péchés. ( pv ).  5/5 ;; Les prêtre.sses - celleux qui proclament la bonne parole dans tout l'empire. ( 1 en pv ).  1/1 ;; Lea divinateur.rice -  ( 1 en pv ).  6/6 ;; Les braises - l'ensemble des sorcier.es du coven.
Coven des Nymphéa ( 11 / 11 )
Le coven des Nymphéa est un espèce de monastère au milieu des terres de Dreadmire. Il se murmure que c'est un lieu où toutes les races sont les bienvenues pour recevoir des soins, quelques soient leurs aspirations et leurs magies.
 1/1 libre ;; Lea grand.e prêtre.sse - dirigeant.e du coven, toujours présent.e lors des rites de bénédiction. ( pv ).
Les différents rôles sont réunis selon les techniques de guérison utilisées. Certain.es faisant partie de ce coven ne sont pas des Fiel de naissance, mais ont rejoint le coven, oubliant ainsi leurs premières origines.
 2/2 ;; Les prieur.ses. - utilisation de la prière de bénédiction comme technique de soin. (1 dans les pv).  2/2 ;; Les astrologues. - utilisation de l'astrologie, des lunes et des saisons comme technique de soin. (1 en pv).  4/4 ;; Les sorcier.eres. - utilisation de potions, d'herbes et de magie occulte pour soigner autrui. (1 dans les pv).  2/2 ;; Les savant.es. - utilisation des prémices de la médecine savante - saignées et autres techniques de soin. (1 en pv).
Coven du Dernier Âge ( 9 / 9 )
Le coven du Dernier Âge se caractérise par une répulsion caractéristique || tw : extra-raciale ||. Iels se lancent régulièrement dans des expéditions punitives en Junfark, tuant nombre de peuplade issus d'autres races. Iels prient le dieu de la mort, et sont axé.es vers le chaos.
 1/1 libre ;; Lea sorcier.e du premier Âge - dirigeant.e du coven.  4/4 libres ;; Les sorcier.es du deuxième Âge - niveau plus élevé dans le coven que les nouvellement initié.es  4/4 libres ;; Lea sorcier.e du troisième Âge - les sorcier.es d'un niveau initial, les initié.es récent.es.
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claudehenrion · 8 months
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La France : c'était une terre, un langage, et une culture
Une des toutes premières choses (presque plus stupides que les autres, si c'est possible !) qu'a cru utile de faire Macron à peine élu (en 2017, à Lyon), a été de proclamer que la culture française n'existait pas... C'est gros ? En fait, son raisonnement est simple à suivre, à défaut d'être intelligent : ''Je suis leur chef et je suis gravement inculte... DONC (noblesse oblige), ils sont obligatoirement encore plus incultes que moi, et DONC il n'y a pas de culture française, j'en suis la preuve indiscutable, CQFD'' ! Il avait même cru malin de préciser : ''il y a une culture en France mais elle est diverse” … ce qui est encore plus odieux, plus humiliant, plus vexant... et plus mensonger. 
Claude Lévy-Strauss dans Tristes Tropiques (Ed. Plon, 1955), insistait sur l'idée que "chaque culture se développe grâce à ses échanges avec d’autres cultures. Mais il faut, ajoutait-il, que chacune y mette une certaine résistance, sinon, très vite, elle n’aurait plus rien à échanger''. Il est de toute première importance que nous réfléchissions à cette mise en garde : à un moment de notre histoire où les cuistres s'étonnent que nous prétendions avoir ''des souches'' et des racines profondes, que reste-t-il de spécifiquement français ? Que subsiste-t-il de la France ''éternelle'' ? Qu’est-ce que l’esprit français ? Qui sont les français, comment se définissent-ils (hors de ces faux français-sur-le-papier dont parlent nos croque-morts rouges), et comment vivent-ils ? Quelles sont leurs valeurs ? Quel est le poids résilient (du latin resilire = résister) de la langue française, en France et dans le monde ?
Une langue définit une Nation autant qu’elle en est le reflet, mais elle est très loin de n’être que cela : au-delà d'un langage, le français est toute une histoire, une culture, un système de pensée et de valeurs, des modes de vie, des caractéristiques individuelles et collectives (Cf. André Siegfried, L’ Ame des peuples, Hachette, 1950.), et la détermination de nombreuses caractéristiques dans pratiquement tous les domaines de la vie. Contrairement à ce que racontent aujourd'hui nos cuistres patentés, une langue n’est pas qu’un vecteur de communication entre les hommes, elle est également porteuse d’une vision du monde, et cette vision s’étend bien au-delà de situations locales voire nationales, puisque ce vaste ensemble de ''langue / nation / culture / parler'' que l’on appelle "la Francophonie" aurait dû être le véritable véhicule de façons convergentes de partager émotions, souvenirs, sensations, fraternité, ambitions, et même rêves.
J’ai encore en mémoire les jolies phrases des  "pères fondateurs" de cet émouvant espoir universel autour du français, cette langue de la culture, disait Léopold Sédar Senghor, en union avec Habib Bourguiba, Hamani Diori, le "petit Prince" Norodom Sihanouk et Félix Houphouët-Boigny, en un temps où des leaders de grande dimension savaient offrir un espoir au monde et à leurs peuples... Sédar Senghor avait ajouté, dans son discours inaugural : "La création d’une communauté de langue française [...] exprime le besoin de notre époque, où l’homme, menacé par le progrès scientifique dont il est l’auteur, veut construire un nouvel humanisme qui soit en même temps à sa propre mesure et à celle du cosmos". Il reste tout de même de cette belle ambition quelque 250 millions de "locuteurs" français dans le monde.... dont certains ont l'air bien partis pour parler russe ou chinois d'ici... pas très longtemps.
Le monde, alors, paraissait infiniment plus amical, harmonieux, courtois, civilisé ! Que ce temps me paraît lointain, au moment où j’écris ces lignes ! Est-ce mon âge qui me le fait regretter si fort, ou n’était-il pas, tout simplement, plus aimable aux hommes ? ''Le progrès'', avez-vous dit ? Mais où le voyez-vous, grands dieux, à part la médecine (et encore : tempérée par le honteux –pour elle-- épisode ''covid'' où ses membres se sont couverts de ridicule) ? La vérité force à dire que la France, en ce temps-là, était et représentait encore quelque chose dans le monde. Vaincue en apparence en 1940, elle avait réussi à redresser la tête et –c'est la principale différence avec les tristes jours que nous vivons-- elle s'était forgé un avenir autre que la seule perspective actuelle d'une inter-minable descente vers des enfers dont personne ne se risque –par terreur du résultat-- à évaluer la profondeur.
Pour que le tableau soit complet, il faut ajouter que le monde, alors, était dirigé par de véritables ''grands hommes'' de la politique –pas de petits boutiquiers incapables de voir au delà du bout de leur rue. Et la France, parmi ces géants (qui, comparés aux nabots actuels, paraissent encore plus immenses), tenait son rang. A côté d'un De Gaulle, d'un Pompidou, d'un Couve de Murville (qu'on peut aimer ou pas : je parle ici de leur stature et de leur envergure d'hommes d'Etat)... que pèsent un Macron, un Attal, un Séjourné (non, ne riez pas : ce serait cruel !) ? Quel rapport peut-il y avoir entre un Ministère de la Culture avec Malraux et un autre avec l'arriviste Rachida Dati (pour qui je voterai pourtant, pour la Mairie de Paris : ''N'importe quoi, mais pas Hidalgo''!) ?
Regardons le triste spectacle que nous offre notre lamentable personnel politique à qui il faut 3 semaines pour nommer des ''n'importe qui'' à des ministères dans lesquels on peut prétendre sans se trmper qu'il ou elle ne fera rien de bon, rien d'utile, rien qui aille dans le bon sens... et rien du tout, d'ailleurs ! Notre école effondrée a-t-elle, alors, une seule chance, même toute petite, de promouvoir un moyen de communication entre les hommes… ce qu'elle a été pendant tant de siècles, sous cet ''Ancien régime'' qu'on nous a appris à détester... alors qu'il n'avait rien ou très peu à voir avec les mensonges du discours officiel devenu ''ambiant'' : le français était ''lingua franca'', en ce temps-là !
Tant d'années plus tard, nous n'avons plus rien à proposer, si ce n'est quelques très mauvaises idées sur des sujets sans le moindre intérêt réel qui ne sont là que pour détourner tous les regards des vrais problèmes que posent le monde, le mouvement et le progrès. La haine, la jalousie, l'envie, les petits calculs mesquins, et un désir de vengeance sont seuls savamment entretenus par des leaders sans leadership et indignes, comme autant de ''non-réponses'' à tous les défis qui frappent violemment à notre porte... pendant que eux discutent de sexualité pervertie, de ''genre'' suicidaire, de l'égalité de ce qui ne saurait l'être juste parce que ce n'est pas à cette aune que le problème se mesure.
L'Empire byzantin, avait-on coutume de dire au temps où les écoliers et les lycéens savaient ce que recouvraient ces mots, serait mort de se disputer sur le sexe des anges. C'est évidement un bobard de plus, mais notre formidable civilisation, la plus prometteuse que l'Homme ait jamais su construire, a décidé de se suicider en se disputant sur le sexe des démons. On voit tout de suite le progrès... Et pendant que le monde entre dans une violence que le XX ème siècle avait, hélas, trop connue trop longtemps... que se passe-t-il en France ?
La sinistre option Bayrou enfin levée (Ouf ! On a eu chaud ! Imaginez qu'il ait accepté un poste !), il ne reste plus qu’une voie ouverte pour Attal : décevoir ! Après avoir organisé un suspense (?) de 4 semaines perdues autour du déplorable ''casting'' gouvernemental, il a donc nommé ou, pire, re-nommé une quinzaine d’inconnus et d'ex-ministres ex-sortis par la petite porte (cf Nicole Belloubet, exfiltrée du Ministère de la Justice en 2020, et infiltrée à l’Education quatre ans plus tard, pour le malheur de tous), le tout dans l’indifférence totale des citoyens écoeurés.
Seul résultat tangible de cette triste séquence : l'usure prématurée du ''le plus jeune etc..'' (NDLR - le coup du ''le plus jeune'', on nous l'a fait (n+1) fois, depuis Giscard... On l'a toujours regretté et payé très cher). Mais le ''baromètre'' Huff-Post est formel : en un mois, Gabriel Attal a perdu 6 points de popularité, soit 3 fois plus que ses 2 devanciers dans le même temps. Ça doit être ça, le ''réarmement'' promis par Macron ! Et pendant ce temps, Poutine se marre, sur tous les écrans de télévision du monde. Mais peut-on le lui reprocher ?
H-Cl.
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Vichuquén, el pueblo de la bruja 🧙🏻‍♀️
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Comme promis, voilà un petit billet à propos de Vichuquén, un village figé dans le temps, absolument magnifique.
Ce lieu emprunt de l'architecture coloniale espagnol date de 1865, même si les colons espagnols avaient déjà envahi le lieu en 1585.
Nous y avons séjourné dans un petit hôtel : el hostal del inglés. Ce logement a été nommé d'après son propriétaire, un britannique très sympathique venu dans ces terres pour y vivre avec sa femme chilienne. Le propriétaire nous a raconté l'histoire de Vichuquén en voyant notre intérêt pour son accointance avec l'univers des sorcières.
D'après lui, beaucoup de légendes existent sur ce lieu mais la plus connue serait liée à l'arrivée des colons. Après leur prise des lieux au XVIème siècle, ces derniers auraient fait les frais des médecines locales procurées par les natifs. Après être tombés malades, les envahisseurs auraient décrété que le lieu était un village de sorciers. L'appellation serait restée dans le temps, amenant un lot de mythes et légendes entourant le village.
Nous avons adoré nous y promener de jour comme de nuit. Nous avons même eu la chance de participer à la fête du village qui tombait pile à ce moment-là, une chance !
Besitos,
Luna
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