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#Russes blancs
ditesdonc · 1 year
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Mademoiselle Perceval
Texte écrit par Pauline LAROCHE-VACHAUD
Dans l'ouvrage Il était une fois Trept, on trouve quelques phrases, presque anodines, traversées par ce nom tout droit sorti d'un monde de chevaliers. Puis l'on passe… Page suivante, chapitre suivant... A moins d'entendre parler celle ou celui qui l'a côtoyée. Alors on est saisi. Par la modernité, la pugnacité, le courage, l'obstination, le romanesque, même, de cette jeune femme, inconnue parmi les Justes – et pourtant... Une jeune institutrice, tout juste 25 ans, dans une petite école de campagne, aux prises avec les tourmentes de l'Histoire. Une femme en corsaire, ongles des pieds et des mains peints. Comprendre : en ce temps-là, en ce lieu-là, diablement pas comme tout le monde, déterminée, libre. Une femme qui n’a guère parlé, semble-t-il, de ses activités pendant la guerre. Or, cette humble maîtresse d’école était en lien avec des Russes devenus Salagnards d'adoption : un officier du Tsar – Michel Roubtzoff –, qui, catapulté en France suite à la Révolution de 1918, avait pris sous son aile Paul et Léon Lositsky. Ces derniers étaient les enfants de l’officier Franzevitch Lositsky, s'avéraient lointains parents, par leur mère - une Pavlona - du Tsar lui-même, et se retrouvaient exilés en France pour les mêmes raisons. Au gré d’autres tourmentes de l’Histoire, et par l’entremise d’un certain Michoud, directeur de banque parisienne, ils avaient atterri dans un Château du Nord-Isère, à Salagnon. Or, Mademoiselle Suzanne Perceval était proche de ces « Russes blancs » qui, pour aristocrates fortunés et pour militaire tsariste qu’ils étaient, avaient néanmoins choisi le chemin de la Résistance. Comme elle, sans doute. Avec elle, sans doute. Elle qui annoncera à ses élèves, très émue, la mort d’un de ces hommes lors des combats de la Libération de Bourgoin, en août 1944…
Une question se pose sérieusement, bien sûr : ces lignes peuvent-elles être une trahison de son silence ? Nous n’irons pas fouiner. Notre seul désir : écouter les souvenirs vibrants qu’elle a laissés chez celles et ceux qui sont encore présents pour en parler, et faire vivre, autant que possible, son humanité à toute épreuve.
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Messer Chups / Zombierella
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oceanofbooks · 4 months
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𝕊𝔼ℝ𝕍𝕀ℂ𝔼 ℙℝ𝔼𝕊𝕊𝔼
• Titre : "Le Rouge et le Blanc"
• Genre : Roman
• Thèmes : Guerre, révolution, Russie, URSS, histoire.
• T.W. : Violence, torture, viol, goulag.
• Auteur(e) : @haroldcobert
• Couverture : Hokus Pokus Créations
• Éditeur : @lesescales
• Note : ❤️‍🔥❤️‍🔥❤️‍🔥❤️‍🔥❤️‍🔥/5
• Extrait :
"Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre."
• Résumé :
"Une fresque historique magnifique qui raconte le destin tragique de deux frères désunis par l'Histoire mais liés par l'amour d'une femme.
Russie, 1914. Tout oppose Alexeï et Ivan Narychkine, deux frères issus de l'aristocratie. Alexeï, l'aîné, à hérité de leur père son tempérament déterminé et réfléchi. Libéral, il prône la modernisation et la démocratisation de la Russie. Ivan, lui, ressemble à leur mère : d'un naturel tourmenté et exalté, il épouse volontiers les pensées anarchiste et marxistes.
Mais les deux jeunes hommes ont quelque chose en commun : leur amour pour Natalia, leur sœur de lait, fille de leur gouvernante et de l'administrateur des terres familiales.
Quand, en 1917, la révolution éclate, tous se déchirent et chacun choisit son camp, au risque de devoir un jour s'affronter...
À travers le parcours d'Alexeï, d'Ivan et de Natalia, Harold Cobert livre une épopée passionnante de près d'un siècle, portée par des personnages inoubliables.
• Avis :
Je n'ai pas de mot assez fort pour exprimer à quel point ce livre m'a bouleversé. Dire que c'est un coup de cœur n'est pas assez, c'est au-delà de ça.
Ce livre est à la fois terrible, bouleversant, passionnant et réussi l'exploit de nous rappeler NOTRE Histoire, la boue, les larmes et le sang qui la composent. Il rappelle aussi que tout ceci, n'est pas si vieux, c'était hier et pour preuve, à la fin de cette histoire, nous sommes en 1989, j'avais 1 an.
J'ai versé beaucoup de larmes, surtout à la fin. La plume de l'auteur nous transporte à travers le temps, et nous fait faire de terribles rencontres : Lénine, Staline, Frenkel et bien d'autres.
Ivan, Alexeï et Natalia sont des personnages inventés (enfin, qui sait vraiment...) mais tout aussi marquant dans cette histoire. Mon cœur va, sans aucune hésitation, à Alexeï.
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brotherconstant · 14 days
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Slow Horses 4.02 A Stranger Comes to Town He had a return ticket to France, a café receipt for Le Blanc Russe, which is White Russian… don't say anything… in a town called Lavande, and a passport.
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pupsmailbox · 7 months
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FOX ID PACK
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NAMES ⌇ aiden. ajax. amber. arbusto. auburn. bark. baya. bella. berrian. blanc. blanche. blanchette. bosque. briar. bush. bushette. buster. byakko. caelus. cameron. canidae. canis. cedar. chepi. christel. cinnamon. claud. claudia. claw. clawette. corsac. crimson. dash. eris. faux. fennec. fern. flannery. fluffers. fluffy. forest. fox. foxen. foxette foxette. foxian. foxie. foxsse. foxy. frost. frostette. frostine. ginger. grim. harlow. hiver. holly. hunter. invierno. james. jamie. kit. lily. maple. mary. mischiefesse. mischiefette. neige. nevada. nieve. nixie. noir. patches. paw. pawer. pawette. pawie. powder. red. redd. rena. renard. reynard. rita. rogue. rojo. rouge. rougette. rufus. russ. rust. rustesse. rustette. ruston. rusty. scarlett. scout. sly. snow. snowball. snowbelle. snowy. socks. softse. sox. tawny. tod. todd. velox. vivi. vivienne. vix. vixen. vixenne. vulpa. vulpes. vulpine. vulpus. vuvu. whisp. winter. yako. yap. yappy. yip. yippers. zorro.
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PRONOUNS ⌇ ae/aem. artic/artic. bark/bark. berry/berry. bite/bite. blanc/blanc. burrow/burrow. can/canid. can/canine. canid/canid. canidae/canidae. caninae/caninae. canine/canine. chew/chew. chomp/chomp. claw/claw. climb/climb. den/den. dig/dig. fang/fang. fast/fast. fennec/fennec. fi/fer. floof/floof. fluff/fluff. fluff/fluffer. forest/forest. fox/fox. frost/frost. fur/fur. fwu/fwu. grr/grr. gnaw/gnaw. gray/gray. growl/grow. growl/growl. hide/hide. hide/hider. howl/howl. hunt/hunt. hunt/hunter. ice/ice. jump/jump. kit/kit. leap/leap. mischief/mischief. nib/nib. nibble/nibble. noir/noir. nom/nom. nussle/nussle. orange/orange. pad/pad. paw/pad. paw/paw. pawpad/pawpad. pelt/pelt. pounce/pounce. prowl/prowl. puff/puff. pup/pup. purr/purr. quick/quick. rabbit/rabbit. red/red. scream/scream. silver/silver. sly/fox. sly/sly. sneak/sneak. sneak/sneaky. sneaky/sneaky. sno/snow. snout/snout. snow/snow. soft/soft. spirit/spirit. swift/swift. tail/tail. trick/trick. trot/trot. twitch/twitche. vix/vix. vix/vixen. vulp/vulp. vulp/vulpine. vulpine/vulpine. wag/wag. whine/whine. white/white. wild/wild. winter/winter. woof/woof. yap/yap. yelp/yelp. yip/yap. yip/yip. yop/yop. zoom/zoomie. ⛰️ . 🌲 . 🌿 . 🍁 . 🍂 . 🐾 . 🥩 . 🦊 . 🦴 . 🧡 .
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chic-a-gigot · 2 months
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La Mode nationale, no. 65, 23 juillet 1887, Paris. No. 1. — 1. Toilette de promenade. 2. Toilette de réception. Bibliothèque nationale de France
(1) Toilette de promenade en cachemire beige. La première jupe, unie, froncée à la taille, est recouverte par une longue draperie formant pan de jupe, et relevée sur un côté pour aller former pouf derrière. Le corsage, coupé en biais, forme corselet boutonné en pointe sur le côté. Il ouvre sur une chemisette bouffante en pareil. Manches bouffantes avec jockeys. Les deux jupes, le col et les manches sont garnies de galon russe.
(1) Beige cashmere walking ensemble. The first skirt, plain, gathered at the waist, is covered by a long drapery forming a skirt section, and raised on one side to form a pouf behind. The bodice, cut on the bias, corselet shape buttoned pointedly on the side. It opens onto a similar puffy shirt. Puff sleeves with jockeys. The two skirts, the collar and the sleeves are trimmed with Russian braid.
Métrage: 12 mètres cachemire grande largeur.
Chapeau de paille fermé, sans brides, à passe doublée de velours garni sur la forme par un panache.
Closed straw hat, without straps, with velvet-lined pass trimmed on the shape with a plume.
(2) Toilette de réception en cachemire loutre. La jupe, bonne femme, est froncée tout autour et recouverte d'une seconde jupe, formant pouf derrière. Elle ouvre, d'un côté, sur une quille en cachemire blanc, brodée d'épis de blé et de feuillages. Le corsage, à la vierge, est orné devant d'une draperie retournée doublée de cachemire blanc. Ceinture russe, col et parements en galon perlé. Coiffure catogan.
(2) Otter cashmere reception ensemble. The skirt, good woman, is gathered all around and covered by a second skirt, forming a pouf behind. It opens, on one side, onto a white cashmere keel, embroidered with ears of wheat and foliage. The bodice, in the virgin style, is adorned at the front with an upturned drapery lined with white cashmere. Russian belt, collar and facings in beaded braid. Ponytail hairstyle.
Métrage: 10 mèt. cachemire loutre, 1 mèt. cachemire blanc, grande largeur.
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aurevoirmonty · 10 days
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Voici un livre qui ravira les inconditionnels, et nous les savons nombreux, du « Baron », ainsi qu’ils le nomment entre eux, sans précision supplémentaire, comme on prononce une évidence. Un livre qui en intriguera aussi plus d’un, tant le texte qu’on va lire, surgi de nulle part – quoique, pas tout à fait – alors qu’on avait cessé d’espérer l’exhumation d’un tel trésor, est de nature à susciter la méfiance du lecteur le moins rompu aux subtilités de l’herméneutique.
Ce livre, unique et inédit, nous le devons à Paul Serey. Sa découverte, aux confins de la Transbaïkalie, tient presque du miracle. Serey raconte :
« C’est alors que commença une longue discussion. Le Baron… Ce Baron que je traquais depuis des semaines… Oh, il le connaissait bien ! On aurait pu jurer qu’il l’avait rencontré. Il en parlait avec des accents terribles. Il citait des noms, lieux, officiers, soldats… Et les Rouges, et les Blancs… Et la guerre, et le sang… Les massacres, les tortures, et toutes les turpitudes de la guerre civile. 1921, Ungern.
Je le quittai étourdi… Je revins le lendemain. Il ne semblait pas étonné. L’œil asiate me dévisagea et l’homme prit un air grave. Il se pencha, ouvrit un tiroir et en sortit un document relié. Voilà, me dit-il.
Tu peux regarder. Je pris le manuscrit et commençai à lire. Noudatoff. L’officier Noudatoff. Russe blanc repenti. L’officier repenti Noudatoff, témoin de l’épopée du Baron fou ! Un témoignage ! »
C’est le fruit de cette découverte que le lecteur tient actuellement entre ses mains. Un document exceptionnel, répétons-le, un trésor.
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subzeroparade · 11 months
Note
What's a ballet with real snazzy costume work, in your humble and/or professional opinion? c:
Oh, you’ve activated my trap card - asking about costume design and ballet and not expecting me to barf up the entirety of my PhD. I’ve also done work on the ballet blancs costumes (Giselle and La Sylphide specifically) but they are interesting on a theoretical level and not so much visually, so I’ll skip that.
So here are some personal favs of mine - the highlights, if you will. Caveat: long post, and mostly limited to the work of the Ballets Russes, because they are my longtime obsession and I think (and have argued) for their role in fundamentally changing stage and costume design (to say nothing of dance, and George Balanchine can sit the fuck down). I didn’t put that in my thesis but I wanted to.
Anyway tldr in the first decade of the 20th century a troupe of dancers from the Russian Imperial Ballet (later the Mariinsky) travelled through Europe under impresario Serge Diaghilev, for what became known as the Saisons Russes, or Russian Seasons. They performed both opera and ballet, and are probably best remembered today (if at all) as the troupe that danced the premier of Stravinsky’s Rite of Spring and caused a riot at the Theatre des Champs Elysées. The eminent artists that worked with them include Debussy, Cocteau, Picasso, Chanel - and these are only a few recognisable names. But my focus was primarily on the Russian roots of the ballet, in their visual language and presentation of gender and nationality, more precisely around the work of artist Leon Bakst and dancer Vaslav Nijinsky. 
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Second image of Nijinsky from Le Dieu Bleu, and Bakst’s set design from Scheherazade (1911). These are mainly photos and scans I have from the year I spent in the archives of the Palais Garnier (the Paris Opera) where all the good stuff is.
The crux of why these costumes are insanely interesting to me is because they are very specific to their time - they are a product of a resurgence in nationalist interests in Russian art (Diaghilev ran Mir Isskustva and worked with Savva Mamontov before he organised the BR) as well as a carefully crafted, highly artificial presentation of Otherness, expressly destined for export to the west. French audiences in the first decade of the 20th century (because there is a stark cut-off at the beginning of WW1) still had an appetite for Orientalism, despite their flagging colonial power. What the Russians brought them was compelling mix of performative Orientalism just vague enough to be appealing and fantastical, visually intriguing, and refreshing to a society that had otherwise come to recognise itself as decadent, fallen “victim” to modernity. In the athletic virtuosity of Russian bodies, Bakst’s exotic visual language and the soaring music of Rimsky-Korsakov and Stravinsky, the French devoured what they deemed a sort of noble savagery (yes, that kind). Despite the oversaturation of Orientalism in painting throughout the 19th century, the French identified a kind of masculine vigour and freedom in these live performances they found they themselves lacked, and longed for. Primitivism, as demonstrated in myriad ways by the BR, was for them a way to reconnect with a virility that they felt modernity had stolen, or at the very least, weakened. If you think this sounds eerily akin to the discourse around mounting desire for war to “cleanse” or “reset” Europe during that same period, you are right. 
A few of Bakst’s lesser known designs from the archive, for context (including a reprod by Barbier which I don’t have the OG of but is saved in my Bakst folder so please take my word for it). I have a thousand more of these but tumblr has an image limit per post 😤
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Tamara Karsavina, who often performed with Nijinsky, and one of my most beloved historical figures. The existence of a strong classical ballet cirruculumin the UK today is in part thanks to her. 
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One of her most famous roles, as the Firebird:
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Nijinsky is by far the most interesting figure to come out of the BR. He combined virtuosity and strength (that most audiences identified as masculine) with a glittering, joyful, and expressive queerness on stage (and off). Some of his greatest roles are expressly feminine in their costume design: Le Spectre de La Rose, for example.
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There’s a colorised version of this out there where you can see every pink rose petal on him.
While others are much more decorative but still markedly Orientalist (or Russian-Orientalist): Le Dieu Bleu, La Peri, Les Orientales, L’Oiseaux de Feu. 
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This last image above is not, the last I saw it, in a private collection. It hangs above the vestibule of the Palais Garnier archives (also Napoleon’s private hangout room) where it faces the sort of “diptych” version that features Karsavina, and on occasion I would stand below them and weep quietly).
Either way, there is an argument to be made about Nijinsky’s physicality and, more importantly nationality as a kind of avenue of permission through which the French could admire both his beauty and athleticism and even, to a degree, imagine themselves in his place while still maintaining that safe distance of Otherness.  
But I would argue that his greatest role was the Golden Slave in Scheherazade, a wild, erotic orientalist fantasy that has little to nothing to do with the actual tale of Scheherazade. In it, Nijinsky - bejewelled, wild, ecstatic, (and yeah often in blackface) - cavorts with Zobeide, the Sultan’s favourite, in a very sexually explicit storyline. Both characters are equally decorative in their costumes, and both, in real life, were recognisably queer(ed) figures. It’s Scheherazade in particular that helped accelerate an obsessive trend in fashion (Paul Poiret was at the centre) for Orientalist design. Bakst himself did some silhouettes that are hard to distinguish from his costume design, and through the remarkable illustrations by Paul Iribe, Georges Lepape and Georges Barbier, we can see some of the blatant repetition of motif and silhouette in these ensembles that are designed, among other things, to be worn to the theatre. 
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3rd and 5th are depictions of costumes of the Firebird and Zobeide respectively; the rest are fashion plates. This doesn’t even include the lampshade dress - which I don’t have a handy picture of, but have seen in real life - that is a pretty blatant melange of the Firebird and Zobeide, as designed by Poiret. Below is one of my favourite examples: A woman in a lampshade-style dress, standing against a backdrop not unlike Bakst’s set design above, attended by a archetypal oriental servant wearing Nijinsky’s Golden Slave costume.
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These motifs also proliferated in advertisements and in all kinds of other consumer products (perfumes, for example, and decorative objects). Thus, there’s a performative aim in wearing these designs that I read as a sort of pseudo-kinetic empathy (and can funnnily enough probably be compared to cosplay). There is an attempt here to channel what is being presented onstage, to reenact it, to physically embody it, in the way that fashion is, at its core, a tool through which to construct identity. That the French pulled inspiration from an openly queer man leaping across the stage dripping in jewels, and from femme fatal-style odalisques, says a lot about the visual and cultural impact the BR had on the theatre-going public at the time.
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You can see in these fan designs by Paquin some pretty obvious references to the BR aesthetic: L’apres-midi d’un faune, Daphnis et Chloe, Scheherazade, even a little Le Pavillon d’Armide in that first one. 
Nijinsky was not the only one to queer the stage: despite not being a dancer trained to the level of the BR troupe, Ida Rubinstein, no doubt purposefully channelling Sarah Bernhardt, was also a beloved stage presence, whether as the sly harem favourite Zobeide or as the strikingly androgynous St Sebastian, gayest of saints. 
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This is not to say there haven’t been wonderful and brilliant costume designs since - and quite a few known fashion designers working alongside dance companies, to great success or otherwise. I will, however, shoutout my favourite contemporary work: Akram Khan’s Giselle, which has everything and yet nothing to do with Adolph Adam’s 1842 piece. I don’t even want to post pictures because the costumes of the nobles (the landowners, in this very apocalyptically late-stage capitalist version) are so fucking breathtaking in relation to the overall design, and their entrance itself is probably one of the most spectacular parts of the ballet, that all I can say is just see it. Or buy the dvd. What Khan does gesturally is beyond words, what Vincenzo Lamagna does with Adam’s original score is visceral and haunting and churns my insides. I make a point to see it live at least once a season when it’s touring with the ENB, and I will do so until it leaves the repertory or until I die. It’s my contemporary Scheherazade. It’s a gesamtkunstwerk. 
Tldr Leon Bakst is one of the greatest costume designers of the 19th and 20th century and criminally underrated. 
It’s not ballet, and it’s not the sumptuous costumes from Boris Godunov, but as a bonus here’s my favourite image of opera star Fedor Chaliapine as Ivan the Terrible.
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girafeduvexin · 3 months
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Très random mais j'y pense parce qu'étant officiellement au chômage, je postule à des offres d'emploi et vraiment, sur mon CV, y a pas ma photo, juste mon prénom (pas Miriam, mon prénom de naissance, que j'utilise au quotidien) et mon nom de famille et vraiment mes parents, mes parents bien blancs hein, quand je suis née, au coeur du Val d'Oise, au fin fond du Vexin, ils se sont vraiment dits "On va lui donner un prénom arabe, ça passe crème" vraiment des visionnaires.
Et ils ont donné un prénom ultra français à ma petite sœur, genre français bourgeois catho de fou. Et un nom italo-russe (?) à la dernière, mais avec une orthographe unique parce que l'infirmière a fait une erreur en l'écrivant. Trois enfants, aucune cohérence, et le tout avec un nom de famille italien, mes parents sont vraiment les personnages principaux de leur ville de 3000 habitants.
Après, j'exagère un peu, mon prénom peut se retrouver dans d'autres langues, il a un côté multiculturel et je vois de plus en plus de meuf blanches le porter + je vais pas faire genre j'ai été discriminée à cause de mon prénom parce que vraiment pas du tout, mais très marrant le nombre de chauffeurs uber, même des élèves une fois !, qui m'ont dit "je croyais que vous étiez arabe" ah non gars, y a juste un couple de bobos dans les années 90 qui ont voulu délirer un peu.
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lounesdarbois · 9 months
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Salut Lounès ! Voyons tes réactions à ces quelques citations… taquines ! 
Première citation :
Je suis de ces auteurs qu’ont du souffle, du répondant, du biscoto. J’emmerde le genre entier humain à cause de mon répondant terrible, de ma paire de burnes fantastiques (et bordel de dieu je le prouve !). Je jute, je conclus, je triomphe, je trempe la page de plein génie… De vous à moi, entre copains, c’est ce qu’on me pardonne pas du tout, à la ronde, ce qu’on me pardonnera jamais, jamais, la façon que je termine, que j’achève les entreprises, que je vais au pied comme une reine, à tous les coups. Ils voudraient bien me faire mourir, mes émules, même mes petits élèves, par chagrins, par méchants propos, me faire périr sous les morsures d’une foison de cancrelats, sous les venins d’une pullulation atroce d’aspics effroyablement voyous, martyrivores. Mais ma peau de vache me protège, jusqu’ici j’ai réchappé. Louis-Ferdinand Céline, L’École des cadavres (1938) 
Lounès Darbois : Eh oui ! Dans une confrontation, se coucher excite rarement la pitié de l’adversaire mais plutôt son sadisme. Les cruels sont souvent des lâches et vice-versa. C’est pourquoi il faut être « terrible et fantastique » pour durer et endurer. J’ai une photo de Raymond Poulidor grimpant une côte. Tout est résumé dans l’expression de son visage, le genre qui ne plaisante pas, sourd à la douleur, tendu vers son idéal. Parfois je la regarde. 
Deuxième citation :
(…) il ne s’agit plus de comprendre et d’aider son prochain mais de le fasciner et de l’enculer. Philippe de Vulpillières, L’homme tue et la femme rend fou (2017) 
Lounès Darbois : Brutal mais exact vu les mœurs actuelles ! La fascination, la « possession » sont des caractéristiques du diable. Tendance fatale quand on veut bien croire à tout sauf au bon sens ! Auteur au parcours intéressant soit dit en passant. 
Troisième citation :
Les hommes sont devenus avides, mesquins, menteurs, […] ils ont perdu la foi et le sens du vrai, il n’y a plus de rois, il n’y a plus de bonheur. Ils chercheront la mort sans la trouver ; ils désireront mourir, mais la mort les fuira. Roman von Ungern-Sternberg cité par Léonid Youzéfovitch, Le Baron Ungern (2001) 
Lounès Darbois : Terrible lorsqu’on sait le destin de cet homme. Lui et sa troupe se battaient à 1 contre 100 dans la steppe, dans une guerre sans espoir. La chanson sur les Russes blancs finit bien par « et leur agonie cruelle, la honte de l’Occident ». 
Quatrième citation :
La vie de l’homme oscille, comme un pendule, entre la douleur et l’ennui. Arthur Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation (1819) 
Lounès Darbois : Qu’est-ce qui est le plus agaçant : est-ce le poison de la philosophie du soupçon que Schopenhauer et Nietzsche, en suivant les pas de La Rochefoucauld, ont répandu sur les meilleures générations d’Européens qu’ils avaient au contraire pour mission de galvaniser ? Ou est-ce la complaisance dans la déprime où aiment se morfondre les jeunes Blancs intelligents pour justifier leur inertie ? Difficile à dire ! Enfin tout cela mérite une bonne douche froide et deux jours de diète. Il y a plus de sagesse dans la vie sans parole de François d’Assises que dans les 10 000 pages de l’oncle Arthur et j’ai le droit de le dire car je les ai toutes lues ! Flaubert plus laconique disait à Maupassant : « Méfiez vous de la tristesse, c’est un vice. » 
Cinquième citation :
Ainsi devient raciste celui qui ne veut pas voir son pays envahi par l’étranger, réactionnaire celui qui regrette le temps passé, révisionniste celui qui n’adhère pas à la doxa nationale, fondamentaliste celui qui se réclame de la religion de ses pères. Jean de Pingon, préface à Laurent Gruaz, Et si la Savoie redevenait indépendante ? Projet pour un état souverain, catholique et royal (2020) 
Lounès Darbois : La xénophobie que l’on essaie toujours de faire passer pour une agression active est un réflexe de défense à une agression. Au plan des instincts, elle procède de la pulsion de vie ; au plan politique elle est une résistance à la colonisation ; au plan moral elle est morale ; et au plan chrétien… elle est justifiée par la parabole du bon Samaritain : seul l’étranger qui vous sauve est votre prochain, pas les étrangers en général. 
Sixième citation :
Ah la sale gueule des honnêtes gens… Pierre-Antoine Cousteau, pensées et aphorismes (2021) 
Lounès Darbois : Se vérifie souvent chez des gens très fiers d’avoir étudié en école de commerce. 
Septième citation :
La conversation d’une femme : 95 % de reproches. Paul Morand, Journal inutile (1968-1972 et 1973-1976) 
Lounès Darbois : Vrai sauf… sauf si vous l’« honorez », comme on disait jadis. Alors elle vous fiche la paix. 
Huitième citation :
À vingt ans on a déjà plus que du passé. Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932) 
Lounès Darbois : Avez-vous déjà eu cette impression malgré tous les voyages que vous avez entrepris, malgré toutes les réalisations que vous avez accomplies, que tout pendant l’enfance et l’adolescence étaient encore plus intense, plus beau, plus spontané, en somme plus vrai ? Il me semble que la vraie vie, c’est l’enfance, et que le reste est accessoire. 
Retrouvez Lounès Darbois chez Kontre Kulture
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alessandro55 · 1 month
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Monte Carlo A living legend
Frédéric Mitterand
The Vendome Press, New York 1994, 176 pages, 80 phot.in rich duotone, ISBN 9780865659537
euro 60,00
email if you want to buy [email protected]
Monte Carlo, a city so opulently devoted to money and worldly pleasure that Queen Victoria refused to cast her royal eyes upon it, proves to have considerably more going for it than the two sensational pursuits just cited. Not only is the Principality of Monaco a tax haven for the high-rolling superrich: it is also a haven for the high-rolling superrich; it is also a haven for those who enjoy the natural beauties of the Mediterranean sky, sea, and air, even the science of oceanography at its most distinguished. On a more human scale, there are also, in great abundance, the wonders of superb Belle Epoque architecture, world-class ballet and opera, young people with lean, healthy bodies clad in revealing leisure wear, and mature ones with wit, charm, a generous spirit, and variable luck at the gaming tables. An ancient fortified site ruled by one of Europe's oldest and most enlightened dynasties - the Grimaldi - Monte Carlo abounds in history, no part of which is more interesting than the story of how Pierre and Louis Blanc transformed a tiny feudal enclave - sun-baked, rock-bound, impoverished - into the world's greatest gambling empire under the aegis of the famous SBM (Societe des Bains de Mer). Thanks to the grandiose vision of these entrepreneurs, a vision intimately linked to the development of travel by rail, Monte Carlo very quickly became a legend in its own time, along with several generations of legendary visitors and "residents" - everyone from Edward VII of England and legions of Russian Grand Dukes to Coco Chanel, Calouste Gulbenkian, Sergei Diaghilev and the Ballets Russes, Errol Flynn, Tamara de Lempicka, Karl Lagerfeld, Aristotle Onassis, Sophia Loren, and, of course, Princess Grace, now the most legendary of all the glittering people ever associated with the "Grimaldi Rock." All live again in Monte Carlo, and annotated album of irresistibly fascinating photographs selected from a treasure-trove archive assembled over the years by the SBM but never before opened for publication.
23/08/24
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logi1974 · 4 months
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Südengland / Cornwall 2024 - Tag 9
Ladies and Gentlemen!
Nur 15 Fahrminuten von unserer Unterkunft entfernt liegt das Adgestone Vineyard.
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Ein 10 Hektar großes, sanft nach Süden abfallendes Weingut, dessen Hänge ursprünglich schon vor rund 2000 Jahren von den Römern mit Reben bepflanzt wurden. Derzeit sind neun Hektar mit Trauben bepflanzt und ein Hektar ungenutzt.
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Es handelt sich tatsächlich um das älteste kontinuierlich betriebene Weingut in Großbritannien, gegründet 1968. Produziert werden bis zu 30.000 Flaschen englischer und Country-Weine pro Jahr.
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Neben einer guten Auswahl an konventionelleren Weinen wird in Adgestone ein blauer Schaumwein aus Trauben hergestellt, die tatsächlich auch vor Ort angebaut werden.
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Something Blue ist eine leicht sprudelnde Cuvée, die nach der Methode Traditionelle hergestellt wird. Es ist der einzige blaue Sparkling Wine, der in Großbritannien hergestellt wird.
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Er wird nach der traditionellen Champagnermethode hergestellt und ruht vor der Freigabe zwei Jahre auf der Hefe, um seine Geschmackskomplexität zu steigern. Die natürliche blau-türkisfarbene Farbe des Cuvee ist besonders beliebt bei Hochzeiten, daher auch der Name. In vielerlei Hinsicht ist er wie traditionellere Schaumweine … nur eben in Blau.
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Blauer Wein wird im Allgemeinen aus einer Mischung roter und weißer Trauben hergestellt, denen Anthocyane – ein Pigment aus roten Traubenschalen – zusammen mit dem organischen, pflanzlichen Lebensmittelfarbstoff Indigotime zugesetzt werden. Die genaue Methode ist ein streng gehütetes Geheimnis.
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Der Schöpfer, der ehemalige Ingenieur Russ Broughton, arbeitete ursprünglich in der Robotik bei Ford, bevor er in die Containerhafenindustrie in Southampton und London Gateway wechselte. Zusammen mit der Unternehmensanwältin Philippa Jane kaufte er Adgestone Vineyard.
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Weder Broughton noch Jane hatten zuvor Erfahrung in der Weinindustrie. Während eines Urlaubs entdeckte er eine Anzeige in der Lokalzeitung: “Vineyard For Sale”.
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Adgestone Winery war einst ein prestigeträchtiges Weingut und gewann 1970 die Gore Brown Trophy für englischen Wein. 
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Die ursprünglichen Seyval Blanc Reben aus dem Jahr 1968 sind bis heute erhalten – sie werden liebevoll als „Old Ladies“ bezeichnet und sie sind die ältesten kommerziellen Reben im Vereinigten Königreich.
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Seit dem Kauf des Unternehmens im Jahr 2013 hat Broughton über 6.000 Reben gepflanzt, davon 3.000 im ersten Jahr, zusammen mit 600 Pfählen und 20 km Spalier. 
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Er hat die Produktion von 3.000 Flaschen auf über 25.000 erhöht. Daneben wurde das Geschäft auf die Landwein- und Likörproduktion ausgeweitet.
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Für 12 £ gibt es einen Audioguide, der die Besucher durch die Weinberge führt. Für 15 £ lässt sich auch ein 30-minütiger animierter und informativer Wein-Chat (inklusive Verkostung) buchen, der die Entwicklung der englischen Weinindustrie von den Römern bis heute, die verschiedenen angebauten Sorten und auch detailliertes Weinbauwissen, behandelt. Beides im Paket kostet 22 £.
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Die Tische waren nur mäßig voll. Zugegebenermaßen kamen wir erst nach dem Mittagsansturm um 14:30 Uhr an. Die Tiere des Hauses (verschiedene exotische Hühnerrassen & Hunde) wuselten zwischen den Tischen herum und hofften darauf, dass zufällig etwas herunter fällt. 
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Die Hühner waren ausgesprochen zahm und ließen sich streicheln. Sehr amüsierten wir uns darüber, als sie sich über die Wasserschalen der Hunde hermachten. 
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Als ob sie kein Wasser oben in ihrem Gehege hätten - aber woanders schmeckt es eben immer viel besser. Das war bei uns, als wir Kinder waren, auch nicht anders.
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Der Service war zügig. Überaus flott wurde unsere große, gemischte kalte Platte, natürlich begleitet von einem Glas “Something Blue”, serviert.
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Ganz günstig ist dieser Spaß natürlich nicht. 27 £ für die kalte Platte für zwei Personen und ein Glas “Something Blue” kostet schlappe 9,50 £ - für die ganze Flasche werden respektable 46 £ (im Shop 41,95 £) aufgerufen. 
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Adgestones charakteristische Geschmacksnote, der die Essensplatten begleitet, ist das auf Chili basierende „Arson Fire“, und der Nameszug erscheint auch auf der Rückseite der T-Shirts des Personals: mit Flammen, die aus ihrem Hintern aufsteigen. Englischer Humor eben!
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Die Audiotour, das Gartenlokal und mit dem angenehme Sitzbereich im Freien machen das Adgestone zu einem interessanten und angenehmen Weingut.
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Natürlich nehmen wir hier auch dieses Mal eine Kiste des Verkaufsschlagers “Something Blue” aus dem Shop mit.
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Wer hat schon englischen Schaumwein zu Hause - und noch dazu blauen Schaumwein? Ich kenne Keinen!
Good Night
Angie, Micha und Mister Bunnybear (Hasenbär)
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Messer Chups / Zombierella
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Victor Pelevine a publié un livre satirique divertissant intitulé Transhumanism INC.
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Pour ceux qui ne le connaissent pas, Pelevine est probablement l’écrivain russe vivant le plus important, un Voltaire du XXIe siècle, en quelque sorte. C’est une énigme, car personne ne l’a aperçu au cours des dix dernières années, bien qu’il produise un livre par an, et le publie invariablement au début du mois de septembre. Ses premiers livres ont été traduits et publiés en Occident, surtout pour leur côté antisoviétique. Plus tard, il a attaqué (ou raillé) l’ordre du jour occidental dominant, et on a cessé de le publier en anglais, alors que ses livres sont imprimés à des millions d’exemplaires pour les lecteurs russes politiquement incorrects. Un lecteur de Ron Unz apprécierait ses écrits satiriques. Pelevine s’intéresse à Wikileaks et à l’Afghanistan (The Anti-Aircraft Codes of Al Efesbi), aux droits de l’homme comme prétexte aux bombardements (S.N.U.F.F.), aux rôles des sexes et à la diversité (IPhuck 10), au politiquement correct comme complot du GRU contre la société américaine (The Art of Light Touches), et maintenant il s’en prend au transhumanisme.
L’histoire se déroule dans 300 ans. Les personnes les plus importantes du monde se sont débarrassées de leur corps et ont déplacé leur cerveau pour qu’il soit conservé et entretenu pour toujours par Transhumanism Inc. pendant qu’ils profitent des plaisirs paradisiaques induits par le numérique. Chaque humain a un implant cérébral et se laisse guider par l’IA. Le sale boulot est fait par des esclaves clonés qui sont tous blancs pour se conformer aux idées de BLM. Selon la loi, les esclaves doivent toujours porter un masque sur le visage, quelle que soit la situation épidémiologique. Les esclaves eux-mêmes ne tombent pas malades, mais ils propagent les virus de manière asymptomatique. Il n’y a pratiquement pas de sexe, tel que nous le connaissons: les femmes préfèrent sodomiser leurs partenaires masculins pour se venger du patriarcat. L’agenda vert a gagné ; il n’y a plus de voitures, seulement des chevaux et des calèches à puce. L’électricité est chère et les gens se débrouillent avec des lampes à kérosène.
La Transhumanism Inc. a une filiale, Open Mind, qui s’occupe de l’esprit des gens. Open Mind est un Facebook amélioré auquel vous ne pouvez pas échapper, ou des lunettes intelligentes de Google que vous ne pouvez pas enlever. Lorsque vous regardez une personne ou un bâtiment, ou que vous écoutez une chanson, Open Mind vous suggère la bonne réaction, la bonne évaluation. La fille d’un banquier a l’air charmante, une chanson populaire a l’air populaire, dès lors que les créateurs ont payé la publicité ad hoc. Ainsi, les réactions humaines sont gardées sous contrôle. Ce système coexiste avec la politique locale. Dans le roman, la Russie a un gouvernement quasi communiste-nationaliste qui a également accès à l’implant, mais la grande majorité des réponses est déterminée par le marché, c’est-à-dire par la Transhumanism Inc. Le grand dirigeant russe communiste-nationaliste, un Poutine sous stéroïdes, a également son cerveau stocké, à côté de celui du Cheikh Ahmed, le chef du djihad mondial.
Ce n’est pas très différent de ce que nous avons aujourd’hui. Les gouvernements diffèrent, les partis diffèrent, de Poutine à Modi, de Biden à Merkel, mais les réponses humaines et l’ordre du jour sont assez similaires dans le monde entier, qu’il s’agisse du covid ou du climat, de la privatisation ou du transgenrisme. Là où ils ne sont pas si superposables, ils se rapprochent de cette similitude. Dans le triste monde du transhumanisme, les dirigeants ont succombé à la tentation suprême de vivre éternellement au paradis tout en restant en contact avec leurs pays. Leurs cerveaux (placés dans des bocaux) reposent sur une étagère dans une cave bien protégée à Londres ou dans le Nevada, mais à tout moment, ils peuvent se connecter à leurs assistants (comme dans le film Avatar) et interagir avec des personnes de moindre importance.
(Extrait d’un billet d’Israël Shamir)
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jloisse · 7 months
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"Les Occidentaux sont « voués à une condition de parias, d’esclaves défaillants et flasques, à laquelle échapperont peut-être les Russes, ces derniers Blancs."
— Emil Cioran, Écartèlement (1979)
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languagestoday · 1 year
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Vous vous souvenez de cette friandise qu'on appelait "la Tête-de-nègre"... Eh bien, devinez quoi? Maintenant, ils l'appellent la "Meringue chocolat" ou même "tête de choco". Étonnant, non?
Mais ce n'est pas tout. Vous savez, je me suis demandé si c'était vraiment approprié de déguster une "religieuse", un "Congolais", un "Jésuite", un "Diplomate" ou même un "Financier". Des noms de pâtisseries qui pourraient sembler étranges dans un autre contexte.
Et que dire de la fameuse Forêt Noire? Il semblerait qu'elle doive bientôt être rebaptisée "forêt sombre"! C'est incroyable de voir comment les choses évoluent, n'est-ce pas?
Je me demande ce qui nous attend à l'avenir.
J'imagine que la S.P.A finira par nous interdire de savourer des "langues de chats". Et les défenseurs de la lutte contre le tabac, eux, s'attaqueront aux "Cigarettes russes". On ne sait jamais ce qui pourrait arriver!
Et que dire de ces délicieux beignets appelés "Pets de nonne"? Est-ce un affront envers les bonnes soeurs aérophagiques?
J'ai du mal à croire que certains noms de pâtisseries ont pu survivre jusqu'à présent sans être modifiés.
Finalement, je me demande où s'arrêtera la bêtise humaine... Les gens savent-ils seulement que pour faire une tête de nègre, il faut battre les blancs au fouet? C'est ironique, n'est-ce pas?
En fin de compte, il y a une chose qui reste immuable : les têtes de cons... On peut toujours compter sur elles pour être là.
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