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#Une Petite Mousse
yaznomadeurbain · 6 months
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Une petite Mousse, le calendrier de l'Avent Bières 100 % breuvages originaux
La période de Noël se rapproche, et il vous manque peut-être le petit calendrier qui accompagne l’attente du soir du réveillon. Si vous manquez d’idées ou d’inspiration ? Voici un petit coup de pouce avec notre coup de cœur signé par Une petite Mousse et qui est pour nous le meilleur calendrier de l’Avent Bières 2023. Le calendrier de l’Avent Bières des meilleures bières par Une Petite…
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coolvieilledentelle · 7 months
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Ma vie J'ai eu vingt ans et bientôt trente, les quarante ont suivi et aussi les cinquante et bien plus... , avec quelques unités pour perturber les comptes. J'ai lu des magazines qui parlaient de mes rides, de bouchers qui taillaient dans les bides et remontaient des seins à la file comme dans les usines pour les automobiles. Rester jeune, peu importe le prix ! Info, intox, il paraît même que le botox... Alors, là, moi, j'dis stop. Remonter le temps ? Avoir encore vingt ans ? Ça va pas, non ? Tu sais quoi ? J'ai pas le temps ! Demain, dans un mois, dans un an, j'irai me balader pas très loin sur la plage et je ramasserai des galets arrondis que je colorierai aux couleurs du bonheur. Je lirai des légendes, écouterai des contes et puis les offrirai à qui voudra entendre. Je me ferai des amis, au hasard sur la toile, dans la rue ou au bar; on discutera jusqu'au bout de la nuit de la vie, de l'amour et de la mort aussi. Demain, dans un mois, dans un an, j'aurai les bras câlins de mes petits enfants à mon cou enroulés pour mieux me protéger. Mes enfants seront là et nous nous sourirons, heureux d'avoir su traverser sans sombrer les tempêtes, les naufrages et puis quelques orages. Il m'arrivera encore de chanter, de danser et de me régaler de gâteaux, de bonbons, de p'tits plats mijotés sans penser aux kilos ou bien à ma santé. Demain, dans un mois, dans un an, je sortirai la nuit avec tous les hiboux et verrai le soleil sur la mer se lever. Je marcherai longtemps en goûtant le silence J'aimerai les odeurs de la mousse en automne et du foin en été et le chant des cigales et le soleil brûlant. J'écouterai toujours le malheur qui se plaint. J'éprouverai encore les bouffées de colère face à la bêtise et la haine étalées. Jamais ni l'injustice ni l'infamie je n'accepterai et lèverai en l'air, mon poing avec rage ! Demain, dans un mois, dans un an... Et si la mort survient, car elle survient toujours, la garce, elle me trouvera debout, occupée et ridée.
Mireille Bergès- (Rêves-Poussières)
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chic-a-gigot · 2 months
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Le Petit écho de la mode, no. 10, vol 23, 10 mars 1901, Paris. 4. Toilettes de ville. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
I. Corsage en soie glacée bleu ciel de Nice. Ce délicieux corsage est composé de plis creux montés sur un empiècement carré en satin blanc recouvert de grosse guipure Cluny encadré par une patte entourée de petits galons d’argent. Cette patte se termine à gauche par un bouton fantaisie. Les plis sont réunis à la taille sous une ceinture en étoffe pareille; entre les plis, petites pattes en velours même ton. Manches plissées sur crevé de velours garni d’un parement rayé de galon d’argent.
I. Nice sky blue ice silk bodice. This delicious bodice is made up of box pleats mounted on a square white satin yoke covered with large Cluny guipure framed by a tab surrounded by small silver braid. This tab ends on the left with a fancy button. The pleats are gathered at the waist under a belt of similar fabric; between the folds, small velvet tabs of the same tone. Pleated sleeves on velvet trimmed with a striped silver braid facing.
Mat.: 4 mèt. de soie, 0m50 de velours, 0m60 de guipure.
II. Costume tailleur en drap jersey coque de noix. Jupe souple non doublée, garnie au bas d’une bande piquée, formant des dents, des pattes piquées plus étroites garnissent le haut. Boléro court avec revers. Col et pattes piqués. Manches unies avec revers piqués. Gilet croisé en soie mauve surmonté d’un col droit rabattu. Ceinture ronde en drap. Toquet en taffetas noir orné de plumes noires. Gants blancs.
II. Tailored suit in walnut shell jersey cloth. Soft, unlined skirt, trimmed at the bottom with a stitched band, forming teeth, narrower stitched tabs garnish the top. Short bolero with lapels. Stitched collar and legs. Plain sleeves with stitched cuffs. Purple silk double-breasted vest topped with a straight turn-down collar. Round cloth belt. Black taffeta hat decorated with black feathers. White gloves.
Mat.: 5m50 de drap, 1m50 de soie.
III. Toilette en crêpe de Chine gris étain, velours cerise, satin blanc et guipure. Jupe plissée par groupes, montée sur un empiècement découpé en velours entouré d’un entre-deux de guipure. Boléro bouillonné encadré de guipure et d'un dépassant de velours. Ce boléro, très ouvert, laisse voir un gilet de satin blanc croisé sur un plastron de guipure surmonté d’un col droit en guipure et de petites oreilles de velours. Ceinture en velours. Manches bouillonnées. Fond de jupe séparé.
III. Ensemble in pewter gray crepe de chine, cherry velvet, white satin and guipure. Skirt pleated in groups, mounted on a cut-out velvet yoke surrounded by a guipure insert. Bubbled bolero framed with guipure and a velvet overhang. This very open bolero reveals a white satin vest crossed over a guipure bib topped with a straight guipure collar and small velvet ears. Velvet belt. Bubble sleeves. Separate skirt bottom.
Mat.: 11 mèt. de crêpe de Chine, 1 m. de velours, i m. de guipure.
IV. Costume en drap léger bleu toile, velours même ton et mousseline de soie. Jupe plissée à petits plis sur les hanches donnant l’ampleur au bas. Tablier plat devant. Cette jupe est montée sur un fond de jupe. Corsage-veste plissé à plis lingerie très fins formant une petite basque bordée de velours. Le haut, décolleté en rond, est garni d’une berthe en velours terminée par un nœud; petits nœuds retenant les devants. Chemisette plissée en mousseline de soie blanche avec col rabattu en velours. Ceinture en velours. Manches ouvertes du bas sur un petit bouffant en mousse line de soie serré par un poignet en velours.
IV. Suit in light blue canvas cloth, same-tone velvet and silk chiffon. Pleated skirt with small pleats on the hips giving fullness to the bottom. Flat apron in front. This skirt is mounted on a skirt base. Pleated bodice-jacket with very fine lingerie pleats forming a small basque lined with velvet. The top, with a round neckline, is trimmed with a velvet berthe finished with a bow; small knots holding the fronts. Pleated white silk chiffon shirt with velvet turn-down collar. Velvet belt. Sleeves open at the bottom to a small bouffant in linen silk foam tightened by a velvet cuff.
Mat.: 6 mèt. de drap, 1 mèt. de velours, 1 mèt. de mousseline de soie
V. Costume en cover-coat « café », velours même ton et guipure. Jupe avec tablier plat, garnie de petits plis prenant des côtés entourant le bas. Corsage-blouse plissé en travers croisé de côté sous un revers fantaisie en drap recouvert de velours. Le haut ouvert laisse voir un gilet en guipure surmonté d’un col droit. Cravate de soie noire. Ceinture ronde en velours. Manches garnies de grands revers de guipure.
V. Suit in “coffee” cover coat, same-tone velvet and guipure. Skirt with flat apron, trimmed with small pleats taking from the sides surrounding the bottom. Bodice-blouse pleated crosswise crossed on the side under a fancy lapel in cloth covered with velvet. The open top reveals a guipure vest topped with a straight collar. Black silk tie. Round velvet belt. Sleeves trimmed with large guipure lapels.
Mat.: 6 mèt. de drap, 1 mèt. de velours.
VI. Costume en lainage bleu militaire. Jupe ronde unie doublée de soie ou d’alpaga. Corsage-blouse ouvert devant sur un gilet de satin blanc. Le haut du corsage est garni d'up col fantaisie entouré de petits galons d’or. Coi droit garni de galon d’or. Ceinture ronde unie. Manches avec revers garnis de galon d’or. Petit bouffant en satin blanc retenu par un poignet rayé de galon d’or. Chapeau en paille maïs, orné de plumes blanches, soie maïs et roses roses.
VI. Military blue wool suit. Plain round skirt lined with silk or alpaca. Bodice-blouse open in front over a white satin vest. The top of the bodice is trimmed with a fancy high collar surrounded by small gold braid. Right side garnished with gold braid. Plain round belt. Sleeves with cuffs trimmed with gold braid. Small white satin bouffant held by a cuff striped with gold braid. Corn straw hat, decorated with white feathers, corn silk and pink roses.
Mat.: 6 mèt. de lainage, 1 mèt. de satin. 10 mèt. de galon.
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Photo
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Scène hivernale 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 Quoi de mieux que commencer le week-end avec une petite mousse ? Leur taille est telle qu'il faut être très proche pour faire une telle photo ce qui est un gros avantage pour le bokeh et le flou. 🇬🇧 What could be better than starting the weekend with a little moss? Their size is such that you have to be very close to take such a picture, which is a big advantage for bokeh and blur. https://ift.tt/wF26ijg
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porcelainerose · 5 months
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I take french as an elective course, and for the sake of learning it mors fluently I thought I'd ask if you could recommend me any music, movies, or other favourite things within the sphere of the french language. ♡ I adore your style and it is similar to mine, so I thought I'd ask.
hello ! merry christmas anonymous ! i hope you enjoy learning french, even tho it's kinda difficult...i'd be delighted to help you learn french. so i'm going to make you a little list ! but to be honest, i don't listen to much french music or films...i'll try my best for you !
musics ;
Yves Montand - Le temps des cerises
Françoise Hardy - Mon amie la rose
Superbus - Ça mousse
The Brian Jonestown Massacre - Bout des doigts
Alain Souchon - La ballade de Jim
Ghostly Kisses - Comme un Saule
Movies/french animation ;
Jack et la mécanique du cœur by Mathias Malzieu (very poetic, recommend you to read the book ! it's amazing)
Jules et Jim by François Truffaut
Le nom des gens by Michel Leclerc
Jeux d'enfants Yann Samuell
and some books ;
Le petit Prince de Antoine de Saint-Exupery
L'écume des jours Boris Vian
Jack et la mécanique du cœur de Mathias Malzieu
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1340fatboy · 10 months
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Camille Monfort, la légende du "Vampire de l'Amazonie" (1896).
En 1896, Belém s'enrichit en vendant le caoutchouc amazonien au monde entier, enrichissant du jour au lendemain les paysans qui construisent leurs riches demeures avec des matériaux venus d'Europe, tandis que leurs femmes et leurs filles envoient leurs vêtements se faire laver sur le vieux continent et importent de l'eau minérale de Londres pour leurs bains.
Le "Theatro da Paz" était le centre de la vie culturelle en Amazonie, avec des concerts d'artistes européens. Parmi eux, l'un d'entre eux attirait particulièrement l'attention du public, la belle chanteuse d'opéra française Camille Monfort (1869 - 1896), qui suscitait des désirs inavouables chez les riches seigneurs de la région, et une jalousie atroce chez ses épouses en raison de sa grande beauté.
Camille Monfort a également suscité l'indignation pour son comportement affranchi des conventions sociales de son époque. La légende raconte qu'on l'a vue, à moitié nue, danser dans les rues de Belém, alors qu'elle se rafraîchissait sous la pluie de l'après-midi, et la curiosité a également été attisée par ses promenades nocturnes solitaires, lorsqu'on l'a vue dans ses longues robes noires et fluides, sous la pleine lune, sur les rives du fleuve Guajará, vers l'Igarapé das Almas.
Bientôt, autour d'elle, des rumeurs se créent et des commentaires malveillants prennent vie. On disait qu'elle était l'amante de Francisco Bolonha (1872 - 1938), qui l'avait ramenée d'Europe, et qu'il la baignait avec de coûteux champagnes importés d'Europe, dans la baignoire de son manoir.
On disait aussi qu'elle avait été attaquée par le vampirisme à Londres, à cause de sa pâleur et de son apparence maladive, et qu'elle avait apporté ce grand mal à l'Amazonie, ayant une mystérieuse envie de boire du sang humain, au point d'hypnotiser les jeunes femmes avec sa voix lors de ses concerts, les faisant s'endormir dans sa loge, pour que la mystérieuse dame puisse leur atteindre le cou. Ce qui, curieusement, coïncidait avec des rapports d'évanouissements dans le théâtre pendant ses concerts, expliqués simplement comme un effet de la forte émotion que sa musique produisait dans les oreilles du public.
On disait aussi qu'elle avait le pouvoir de communiquer avec les morts et de matérialiser ses esprits dans des brumes éthérées denses de matériaux ectoplasmiques expulsés de son propre corps, lors de séances de médiumnité. Il s'agit sans aucun doute des premières manifestations en Amazonie de ce que l'on appellera plus tard le spiritisme, pratiqué dans des cultes mystérieux dans des palais de Belém, comme le Palacete Pinho.
À la fin de l'année 1896, une terrible épidémie de choléra ravagea la ville de Belém, faisant de Camille Monfort l'une de ses victimes, qui fut enterrée dans le cimetière de Soledade.
Aujourd'hui, sa tombe est toujours là, couverte de boue, de mousse et de feuilles sèches, sous un énorme manguier qui la fait plonger dans l'obscurité de son ombre, seulement éclairée par quelques rayons de soleil projetés à travers les feuilles vertes.
Il s'agit d'un mausolée néoclassique dont la porte est fermée par un vieux cadenas rouillé, d'où l'on peut voir un buste de femme en marbre blanc sur le large couvercle de la tombe abandonnée, et attachée au mur, une petite image encadrée d'une femme vêtue de noir.
Sur sa pierre tombale, on peut lire l'inscription :
« Ci-gît
Camille Marie Monfort (1869 - 1896)
La voix qui a charmé le monde ».
Mais certains affirment encore aujourd'hui que sa tombe est vide, que sa mort et son enterrement n'étaient rien d'autre qu'un acte visant à dissimuler son cas de vampirisme, et que Camille Monfort vit toujours en Europe, aujourd'hui à l'âge de 154 ans.
(L'image originale a été retouchée pour extraire les détails. Et non, ce n'est pas un téléphone portable qu'elle tient dans ses mains, mais un petit carnet).
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luma-az · 9 months
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En mer
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 18 août 
Thème : sieste/oui mon capitaine
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Partout, une mer d’azur s’étale à perte de vue. Le bateau est le seul point dépassant sur l’horizon. En dehors d’une petite brise, à peine suffisante pour avancer, c’est ce qu’on pourrait appeler le calme plat.
Perché dans le nid-de-pie, je succombe à la tentation d’une petite sieste. Après tout, qu’est-ce qui pourrait arriver ?
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Le bateau est désert.
Je ne comprends pas. Je me suis réveillé à peine une heure après avoir fermé les yeux, deux peut-être, trois grand maximum ! Ils ne peuvent pas avoir tous disparus aussi vite ! Et où est-ce qu’ils seraient passés ?
J’arpente le pont comme une âme en peine, en appelant mes camarades. En vain. L’angoisse me tord les tripes. Il n’y a aucune trace de lutte. Toutes leurs affaires sont encore là. Le café est froid dans la tasse du capitaine. Les dés des gars qui n’étaient pas de quart sont encore posés par terre, à coté des piécettes. Ça n’a aucun putain de sens !
Je cours partout, je cherche. Je regarde dans la mer, mais je ne vois aucune trace. Comme il n’y a plus personne à la barre, le bateau s’est mit vent debout et il est resté dans la même zone depuis, je pourrais voir quelque chose – un foulard, un chapeau, n’importe quoi qui flotterait sur les vagues et me dirait une bonne fois pour toute qu’ils sont tombés à l’eau. Mais non, je ne vois rien.
Ne pas paniquer ne pas paniquer ne pas…
Je cours jusqu’à la cuisine. Les réserves d’eau et de nourriture sont intactes. En étant seul, je devrais pouvoir tenir des m…
Mais je ne vais pas rester seul aussi longtemps, bien sûr. Comment je pourrais être seul aussi longtemps ? Quelqu’un va forcément me trouver avant ! On est sur une route commerciale, quelqu’un va voir le navire, et…
Je fouille dans la malle à pavillon et en sort ceux qui indiquent une urgence vitale, et que le bateau se rend sans résister. Peut importe qui me trouvera, ils viendront !
Maintenant, il faut que… il faut que je m’organise. Le bateau est bien gréé, si je reprends la barre je peux avancer. Même si je ne suis pas sûr de la direction. Je ne suis pas capitaine ni officier, moi, je n’ai jamais eut à faire tous ces calculs compliqués, mais je saurais à peu près me repérer au soleil ! Et je ne veux rien de bien extraordinaire, juste me rapprocher de la côte. Oui, oui, plus je serais proche des terres, plus il y a des chances qu’on me voit et qu’on vienne  me sauver. Oui. Ce n’est qu’une question de jours. De semaines, tout au plus. Tant que je ne croise pas de tempête, je peux m’en sortir. J’en ai pour des mois de provisions, après tout.
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Je ne sais pas depuis combien de temps nous errons en mer.
Au moins je ne suis plus seul. J’ai fabriqué le coq Brisepâte, pour me tenir compagnie quand je fais l’inventaire des vivres. Le mousse Filedroit, pour les moments  où j’ai envie de me lancer dans de grandes explications sur le métier de marin ou de lui raconter mes aventures excitantes. Les matelots Bonnepinte, Grandepinte et Bellechopine, pour les soirs où j’ai envie de boire un petit coup. Bizarrement, j’ai fini le rhum bien avant de finir la farine à biscuits.
Ah, et j’ai aussi fait le capitaine Briselame – aucun lien de parenté avec le coq. Ma fierté, honnêtement. Il est habillé avec les vrais vêtements du capitaine, il a même son monocle, et il a une paire de moustaches en étoupe qui ferait peur à n’importe quel abordeur. Il me rassure quand je me sens perdu. Je lui parle beaucoup. Il me répond parfois. Sans lui, je ne sais pas comment je m’en serais sorti vivant quand j’ai affronté la première tempête. Bon, le bateau est dans un piètre état, c’est plutôt une épave à la dérive maintenant qu’un vrai navire, et mes espoirs d’atteindre une côte fondent comme neige au soleil. Mais je suis vivant. Merci mon capitaine.
J’ai faim. J’ai mangé la viande séchée. J’ai mangé les fruits secs. J’ai mangé les biscuits. J’ai mangé la farine. J’ai mangé les vers qui mangeaient la farine. J’ai mangé les pommes, aussi. Enfin, celles qui n’ont pas fini  dans ma tentative de faire de l’alcool maison. C’était atroce, mais ça m’a occupé un moment.
Maintenant, je n’ai plus grand-chose à faire à part regarder l’horizon. Le capitaine tient la barre, aidé de quelques cordages. C’est important de maintenir le cap, même si c’est dur vu le peu de gouvernail qu’il reste.
Je regarde l’eau en rêvassant quand j’entends le chant.
Jamais encore je n’avais entendu un chant aussi beau. Comme si les portes du paradis s’étaient ouvertes pour moi. Je me penche et là, sous les vagues, dans l’eau cristalline, je les vois tous ! Tout l’équipage est là, qui me sourit et me fait des grands gestes pour que je les rejoigne. Des sirènes sont avec eux. Mais c’est bien sûr ! Ce sont elles qui les ont sauvés, il y a si longtemps !  Je n’ai plus qu’à les rejoindre !
Je commence à enjamber le bastingage quand j’entends le capitaine Briselame qui crie, de sa voix de tonnerre :
« Dégage-moi tout ça et remonte sur le pont !
— Mais… ce sont des sirènes !
— Justement, espèce d’imbécile ! Elles viennent pour te noyer et te dévorer, comme tous les autres ! Remonte tout de suite et va te mettre de la cire dans les oreilles jusqu’à ce qu’elles se lassent !
Je suis déchiré. Je n’en peux plus de vivre comme ça. Je ne veux plus !
Mais dans ce monde de folie, j’ai reçu un ordre, et c’est la seule chose qui a encore du sens, alors qu’est-ce que je pourrais répondre d’autre que :
— Oui mon capitaine ! »
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Comment préparer le café turc ?
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Il se prépare d’une façon bien particulière en Turquie. Cela relèverait même du rituel. Pour ce faire, munissez-vous d’une cezve, la cafetière traditionnelle turque en cuivre. Versez-y l’équivalent d’une tasse d’eau, puis ajoutez une cuillère de café moulu. Mettez la cafetière sur le feu, mélangez et attendez jusqu’à ce que le café commence à créer une petite mousse sur le dessus. Versez la mousse dans la tasse et remettez la cafetière sur le feu pour obtenir une nouvelle mousse. Versez-la dans la tasse et recommencez une nouvelle fois. Une fois terminé, le café est prêt à être dégusté
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sous-le-saule · 9 months
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Forêt
C’est un beau jour pour mourir.
Je l’ai choisi il y a presque une lune. Je ne pouvais prévoir le temps qu’il ferait, mais les esprits me font ce dernier cadeau : un soleil chaud et une agréable brise pour le tempérer.
Je m’éloigne de la clairière sans me retourner. Personne ne me regarde m’en aller. Les adieux ont eu lieu hier soir. J’ai distribué mes possessions, et nous nous sommes dit ce que nous voulions nous dire avant la fin. C’était une belle cérémonie.
Tout le village était là, et parmi eux, mes enfants, et leurs enfants, et les enfants de leurs enfants. J’ai eu la chance de les voir grandir. J’ai aidé à les élever. Ils n’ont plus besoin de moi, désormais. J’ai seulement regretté qu’il n’y ait plus personne qui m’ait vue grandir, moi, mais tous ont cessé de fouler cette terre depuis longtemps déjà.
A ma ceinture se balance le petit sac empli de feuilles de Douce-Mort que m’a remis la guérisseuse.
Je m’enfonce parmi les Arbres Vieux, posant la main sur les troncs au passage, en guise de salut. Ils me souhaitent la bienvenue d’un bruissement enveloppant. Mes pieds nus s’enfoncent dans la mousse fraiche sans un bruit. Les oiseaux ne se sont pas tus à mon approche. C’est bien. La Forêt accepte mon offrande.
Je choisis un Ancêtre à l’écorce rougeâtre, un peu au hasard, parce qu’un rayon de soleil perce entre ses branches. Je m’assieds contre le tronc, difficilement.
Tout mon corps me fait mal ces jours-ci. Cela a commencé insidieusement, il y a des années, gagnant peu à peu chaque membre, chaque articulation. Jusqu’à ce que vivre m’apporte plus de douleur et d’inconfort que de plaisir. Alors j’ai su que c’était le moment.
C’est un grand privilège que de choisir son heure. Et c’est un honneur de pouvoir rendre à la Forêt ce qu’elle m’a donné au cours de ma longue vie. Elle m’a abritée, m’a nourrie, a donné à mes sens de quoi s’émerveiller chaque jour. Il est juste que je la nourrisse à mon tour.
Il y aura un peu de moi dans ses insectes, dans ses charognards, dans ses arbres même. Je deviendrai humus pour que la Forêt perdure et abrite ma descendance.
Je mâche les feuilles en admirant la lumière se faufiler à travers la frondaison.
C’est un beau jour pour mourir.
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ernestinee · 1 year
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Bon ça va ? Ça ne va pas ? J'en sais rien en fait on est en mars et au lieu de me réjouir du printemps qui va bien finir par arriver, je suis en boucle sur des trucs douloureux, que dis-je, sur un seul truc douloureux qui date d'il y a un an bientôt tout pile quand il a décidé que ce que nous étions chamboulait trop sa vie. Totalement d'accord avec lui. Quel chamboulement. Cela dit, ça reste chamboulé alors que nous ne sommes plus rien donc utilité zéro son ghosting de merde là. En plus je suis sûre qu'il n'est pas fier de lui donc franchement technique de merde le ghosting faites pas ça c'est nul.
Est ce que je laisse un évènement passé prendre l'ascendant sur tous les évènements du moment ? Absolument. Je suis en colère et je déteste ça. Pourtant il y a plein de trucs positifs en ce moment. L'amitié, le boulot, la fin de ma grosse formation qui dure depuis 3 ans et les projets que ça va pouvoir démarrer, la nouvelle formation qui se profile à l'horizon, le challenge que représente le spectacle de trapèze, les nouveaux apprentissages... C'est ça la vie peut-être on laisse des petits trucs prendre trop d'importance c'est normal d'être subjectif on n'est pas des robots. Enfin bref du coup je suis en mode colère tristesse nostalgie, même qd il se passe un truc chouette.
Je pense à tout ce qui n'est plus là. En plus il a fait mauvais pendant mes congés et ensoleillé juste après. En plus mon chat me manque tellement. Oreo et Muffin sont sympas mais bien sûr c'est différent d'un chaton d'amour qui a partagé ma vie pendant 17 ans. Ils m'ont quand même sentie triste depuis quelques jours et dorment près de moi la nuit, du coup j'ai un peu mieux dormi.
J'essaie de me focaliser sur des anciennes sensations. L'autre jour en voiture j'ai bien aimé les ombres entremêlées des branches d'arbres. Quand j'étais petite, je fermais les yeux et ça clignotait rouge noir rouge noir rouge noir super vite.
Bon, je conduisais, j'ai pas fermé les yeux.
Il y a aussi eu la mousse au chocolat de Michel et Célestin, ou Lucien et Augustin ? Qqchose dans le genre, une marque qui joue très fort sur le "comme si c'était fait à la maison il y a longtemps par la grand-mère" et ohlala leur mousse au chocolat c'est pépite.
Ah et il y a aussi eu un rêve familier que j'avais totalement oublié et qui est revenu. Depuis super longtemps, mais genre vraiment longtemps, depuis l'adolescence, je rêvais régulièrement que j'etais étudiante dans une école un peu cosy avec des vieilles boiseries, des petites classes où on étudie des trucs intéressants dans une bonne ambiance. Avant j'avais limite une seconde vie dans ce rêve, je le faisais souvent et il se passait des trucs absolument pas bizarres, j'étais juste étudiante, et ma petite vie d'étudiante avec des potes évoluait la nuit lors de ces rêves. Ça doit faire 15 ans que je n'avais plus rêvé de tout ça. Et la nuit passée hop me revoilà à l'école, toujours étudiante mais il y avait quand même la notion de "ça fait longtemps" pcq une pote me faisait la gueule pcq je n'étais plus venue depuis trop longtemps, et une autre - mon amoureuse - était super contente de me revoir. Je l'avais oubliée aussi mais elle m'a reconnue de dos pcq j'étais arrivée en classe avant elle et elle m'avait fait un bisou sur la joue en frôlant mes omoplates avec ses doigts. Puis alors qu'elle était assise, je me suis assise à côté d'elle en l'embrassant sur la bouche. J'ai encore la sensation du bisou là maintenant en écrivant. J'étais un peu deg de me réveiller du coup.
Puis j'ai fait un autre rêve qui a aussi mis en scène une personne du passé. C'était une longue accolade très douce dont j'essaie de ne pas perdre la sensation parce que j'en avais bien besoin.
Bref mon inconscient a bien compris que j'avais besoin d'ancrage, de retrouver des racines, des socles, parce que trop de choses m'émeuvent en ce moment.
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exutoiredepenser · 1 month
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C’est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
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redlabopedagogique · 1 month
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#La Petite école : un oeuf, une rose trémière, un bougainvillier, un hortensia et un cosmos.
En Pologne à Pâques on décore des œufs préalablement cuits. Pourquoi pas en faire en céramique pour que Louison puisse les garder comme souvenir sur les années. Et pourquoi pas aussi pour les enfants de la Petite école. Pour cette année c’est trop tard, nous sommes à la veille de Pâques. La céramique demande du temps : faire le moule, attendre qu’il sèche, faire un tirage, le cuire … puis le peindre. Je m’y prends trop tard. Ce sera pour l’année suivante. Je fais donc le moule cette semaine. Je trouve toujours ça très beau comme objet. 
Jeudi matin
Il est là sous mes yeux, les deux parties du moule et le positif à l’intérieur, l’orignal d’une longue série à venir, dans plusieurs mois, presqu’une année entière, pour nos prochains enfants.
À l’atelier cette après-midi du même jour, Soma, Zahra, Emanuel et Mohammad sont avec moi pour faire leur fleur. Une rose trémière, un bougainvillier, un hortensia et un cosmos. Ils découpent, concentrés. Ils s’alternent pour aller voir Julie. Ils s’échangent des blagues que je ne comprends pas toujours, des sourires. Soma murmure « doucement, un petit peu, bonjour, je parle le Dari, très bien, ça c’est qui… » Mohammad lève la tête, la regarde, puis se remet à sa branche de bougainvillier. 
Vendredi
C’est la fête c’est l’anniversaire d’Amadou. En rentrant du parc Mohammad et lui se parlent en arabe, ils rigolent ensemble. Derrière Zahra rigole aussi timidement. Je dis à Amadou « Mais Amadou tu comprends si bien l’arabe ? » « Oui oui Madame » me sourit-il. « Et Zahra, tu comprends aussi? ». Oui me hoche-t-elle de la tête en souriant aussi.
« Alors ça c’est une école incroyable je leur réponds, tous les enfants comprennent et nous les grands on comprend plus rien ». Ils explosent de rire.  
Vendredi soir
« Coucou Maya,
Cette chanson m’a tout de suite fait penser à toi, à vous. Pour plusieurs raisons, d’abord c’est Antony and the Johnson’s, deusio il est question d’enfance, et ce que j’adore c’est qu’il parle de lui, garçon, et aussi des filles.
Donc il envisage une frontière ténue entre les unes et les uns. Puis troisièmement, c’est une belle chanson pour Louison et aussi pour Gaston qui je suis sûre l’entendra d’où il est.
J’écoute la chanson à ma fenêtre, une mésange se pose sur la branche juste devant moi, prend dans son bec toute la mousse qu’elle peut, pour aller plus loin construire son nid, qui accueillera bientôt, ses oeufs de l’année. 
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chic-a-gigot · 11 months
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La Mode illustrée, no. 27, 2 juillet 1882, Paris. Toilettes de la Mon Fladry, Mme Coussinet Succr, 43 r. Richer. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Description de toilettes (Bibliothèque Forney):
Toilette de plage. Robe en batiste de laine rose très-pâle. Le devant de la jupe courte est fait en canevas rose. Le bord inférieur de cette jupe est garni de trois volants de dentelle écrue. Le devant du corsage est fait en satin rose pâle et son bord inférieur est garni d'une ruche de dentelle écrue. Même ruche sur l'encolure. Sur ce devant en satin rose s'adapte une veste très-écartée, faite en batiste de laine rose, dont le contour est orné d'une dentelle écrue posée à plat. Entre les deux pans de la veste passe un pouf faisant partie de la tunique faite en batiste rose; la veste est retenue par une ceinture. Immense ombrelle de taffetas écru, doublée de taffetas rose pâle, garnie de dentelle écrue. Chapeau de batiste rose garni de dentelle écrue.
Toilette de promenade en moire poudre d'or, gaze poudre d'or et velours ottoman nuance mousse. La jupe, faite en moire, est courte, toute plate, garnie sur son bord inférieur d'une grosse ruche faite en dentelle blanche, et remontant en quille coquillée sur le côté de droite de la robe. Écharpe très-large en gaze de même teinte (poudre d'or) à bouquets rubis rose et mousse. Cette écharpe est disposée devant en petite tunique, derrière en draperie. Gilet en moire. Veste Figaro en velours ottoman, nuance mousse. Bas et souliers mousse. Chapeau rond, en paille jaune, doublé de faille mousse.
Beach ensemble. Dress in very pale pink wool batiste. The front of the short skirt is made of pink canvas. The lower edge of this skirt is trimmed with three flounces of ecru lace. The front of the bodice is made of pale pink satin and its lower edge is trimmed with an ecru lace ruffle. Same ruffle on the neckline. On this pink satin front fits a very wide jacket, made of pink wool batiste, the outline of which is adorned with ecru lace laid flat. Between the two sides of the jacket passes a pouf forming part of the tunic made of pink cambric; the jacket is held by a belt. Large ecru taffeta umbrella, lined with pale pink taffeta, trimmed with ecru lace. Pink cambric hat trimmed with ecru lace.
Promenade ensemble in gold powder moire, gold powder gauze and moss shade ottoman velvet. The skirt, made of moire, is short, quite flat, trimmed on its lower edge with a large ruffle made of white lace, and going up in a shell quille on the right side of the dress. Very large gauze scarf of the same shade (gold powder) with pink ruby and moss bouquets. This scarf is arranged in front as a small tunic, behind as a drapery. Moiré waistcoat. Figaro jacket in Ottoman velvet, moss shade. Foam stockings and shoes. Round hat, in yellow straw, lined with foam faille.
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Fraude sur les mots, fausse science et fascisme postmoderne… deux ou trois mots sur l’idéologie du point de vue de la psychanalyse
Lorsque Nicolás Gómez Dávila écrit: «La science nous trompe de trois manières: en transformant ses propositions en normes, en divulguant ses résultats plutôt que ses méthodes, en passant sous silence ses limitations épistémologiques», il parle de la science d’avant, une science "baconienne" certes trompeuse mais dont la réfutabilite était de structure (cf. Karl Popper: "il n’y a de science que réfutable"), mais une "science" non encore passée par la moulinette idéologique de "l’innovation technologique" postmoderne, qui en pervertit radicalement la structure, ce qui se traduit en termes de logique borroméenne par: passer du statut SIR (la science Symbolise ce qu’elle Imagine du Réel) au nœud RSI caractéristique de la religion (la religion Réalise le Symbolique qu’elle Imagine)…
Qu’est-ce que ça veut dire?
La "vraie" science revendique la rigueur de sa méthode qui s’appuie d’abord sur des faits consciencieusement répertoriés, ("table des présences" de Bacon, qui implique un primat du Réel sur le Symbolique dans l’observation et la collecte des données…), puis la logique consiste à rapporter les dits faits dans un ordre qui permet d’en tirer les conséquences mesurables donnant lieu à des anticipations. Le réel est a priori visé, cerné, décrit par le symbolique. Aujourd’hui, avec l’arrivée de la "fausse science" charriée par le discours dominant (Discours Capitaliste dans son acception stricte lacanienne) la plupart de ceux qui sont présentés comme des "scientifiques" s’appuient a priori sur des modélisations mathématiques, des calculs de probabilités qui leur confèrent une "imaginarisation du réel" auxquels ils croient et ils demandent "à tout le monde" de croire comme si c’était "la réalité"... à venir! Pour un véritable esprit scientifique, il n’y a rien de plus anti-scientifique que cette procédure invertie. Le réel est évacué, il reste seulement du symbolique détrempé d’imaginaire, autrement dit du fantasme, homologue au plan de la structure, à la mousse religieuse… Qui croit "les professeurs" Delfraissy ou Fauci comme à des prophètes? Réponse: les sujets pris dans le discours courant…
Rappelons ici que c’est suite à une note confidentielle du mathématicien universitaire modélisateur Neil Ferguson prévoyant un demi-million de morts en France, parvenue le 12 mars 2020 au président Macron, qu’un confinement généralisé fut décidé le soir même...
On sait depuis lors que c’est ce même Neil Ferguson (devenu conseiller de la Banque mondiale et de nombreux gouvernements) qui, en 2001, avait convaincu le Premier ministre britannique Tony Blair de faire abattre 6 millions de bovins pour stopper l’épidémie de fièvre aphteuse (une décision qui coûta 10 milliards de livres et qui est aujourd’hui considérée comme aberrante). En 2002, l’expert Neil Ferguson calcula que la maladie de la vache folle tuerait environ 50 000 britanniques et 150 000 de plus lorsque elle se transmettrait aux moutons. Il y en eut en réalité 177. En 2005, il prédit que la grippe aviaire tuerait 65 000 Britanniques. Il y en eut au total 457. (C’est ce même genre de "raisonnement" qui fait conclure à l’Intelligence Artificielle qu’il faut une infirmière pour quinze lits, ou qu’un résident en Ehpad doit manger pour 4,57€ par jour. )
Le sujet postmoderne, formaté par soixante-dix ans de l’idéologie qui a accouché du "numérique", devrait être averti qu’il n’existe aucun bouton "réinstaller les réglages d’origine" ou "restaurer le système" en cas de nécessité ultime.
Le système immunitaire naturel fonctionne selon le principe que toute récupération confère l’immunité et aura renforcé le sujet dans l’épreuve, ainsi en est-il de l'espèce qui devient plus forte. L’être peut s’enorgueillir d’un milliard d'années de perfectionnement biologique, et depuis le petit million et demi d’années que l’homme est arrivé sur Terre, c’est ce qu’il fait, les animaux ayant commencé avant lui.
Une politique réfléchie et responsable de santé publique aurait isolé les quelques uns qui risquaient de mourir suite à l’infection virale et aurait laissé l’immunité faire son travail, la récupération offrant toujours de loin la meilleure sécurité immunitaire, pareil pour toutes les mutations.
Ce n’est pas la médecine qui a inventé la santé, encore moins l’ascience. Quant aux politiques… faire confiance à un gouvernement pour "éradiquer un virus", a-t-on déjà entendu proposition plus délirante? Évacuez les intérêts de l’industrie pharmaceutique de l'équation, et vous verrez que les choses se présentent avec une certaine logique: ne pas se faire tester sauf en cas de symptômes précis, l’attraper quand on n’aura pas pu faire autrement (ce n’est pas dans le "moi" que ça se décide…) et le surmonter.
Voilà ce qu’un "président" sain aurait pu dire à un peuple sain. Les peuples ont le gouvernement qu’ils méritent…
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frauleinledzi · 5 months
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𝕱𝖎𝖛𝖊 𝖈𝖔𝖚𝖗𝖘𝖊𝖘 𝖋𝖔𝖗 𝖊𝖛𝖊𝖗 is an accessible and critically acclaimed set of simple recipes for cooking the world. The formulas – prepared under the watchful eye of Björk – will allow you to prepare a complete and functional reality in a few simple steps. Eintopf boiling with prana, creamy mousse scented with trust, un petit vulcan, a heartbeat? From now on it will no longer be a sorcery!
A5, 16 pages, risograph; print run: 50
Co-author: Maciek Misiewicz
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Happy new year ! 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 Bonne année à vous tous ! Je vous souhaite de réaliser quelques uns de vos rêves et d'en trouver d'autres qui vous feront vibrer en 2023. Pour commencer 2023, je vous propose une petite mousse, un sujet que je laisse facilement de côté, et à tort tant il est source d'émerveillement ! 🇬🇧 Happy New Year to all of you! I wish you to realize some of your dreams and to find others that will make you thrill in 2023. To start 2023, I offer you a little moss, a subject that I easily leave aside, and wrongly as it is such a source of wonder! https://ift.tt/m2NtSo9
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