Tumgik
#Ville volante
chic-a-gigot · 2 months
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La Mode illustrée, no. 28, 13 juillet 1890, Paris. Robe en lainage à carreaux. Robe en vigogne d'été. Modèles de chez Mme Gradoz, rue de Provence, 47. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Robe en lainage à carreaux.
Robe en lainage à carreaux beige clair, garnie de passementerie bleu foncé posée sur un fond beige uni. On coupe la jupe de dessous en faille légère; on la recouvre au bord inférieur sur 15 centimètres de hauteur avec du lainage à carreaux, on la garnit sur le côté gauche avec un morceau de lainage recouvert de passementerie. Le reste de la jupe est recouvert de draperies en lainage à carreaux, plissées devant, et agrafées sur le côté gauche du corsage de façon à laisser voir la garniture en passementerie de la jupe, et la basque du corsage recouverte en passementerie. Le corsage est garni devant et derrière d'un empiècement en passementerie, auquel se rattachent les devants et le dos lissés en lainage. Manches froncées, ornées de motifs en passementerie.
Light beige checked woolen dress, trimmed with dark blue trimmings placed on a plain beige background. We cut the underskirt in light fault; we cover it at the lower edge for a height of 15 centimeters with checked wool, we garnish it on the left side with a piece of wool covered with trimmings. The rest of the skirt is covered with checkered wool draperies, pleated in front, and stapled on the left side of the bodice so as to reveal the trimmings of the skirt, and the basque of the bodice covered in trimmings. The bodice is trimmed in front and back with a trimmings yoke, to which the smoothed woolen fronts and back are attached. Gathered sleeves, decorated with trimmings patterns.
Robe en vigogne d'été.
La jupe de dessous, coupée en faille, est garnie au bord inférieur d'un volant plissé ayant 5 centimètres de largeur. La robe de dessus, faite en vigogne d'été, mastic, rayée, est disposée derrière à 5 centimètres de distance de la taille en deux plis creux. On la relève légèrement sur les côtés, on la garnit devant et derrière avec un plastron en velours brun; devant la robe est garnie de morceaux en lainage uni, posés l'un sur l'autre, légèrement plissés à la taille, et ornés de ruban de velours brun. Col droit et manchettes en velours. Manches très froncées en vigogne rayée.
The underskirt, cut in a faille pattern, is trimmed at the lower edge with a pleated flounce 5 centimeters wide. The outer dress, made of summer vicuna, putty, striped, is placed behind 5 centimeters away from the waist in two box pleats. We raise it slightly on the sides, we garnish it in front and behind with a brown velvet bib; in front of the dress is trimmed with pieces of plain wool, placed one on top of the other, slightly pleated at the waist, and decorated with brown velvet ribbon. Stand-up collar and velvet cuffs. Very gathered sleeves in striped vicuna.
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hellmouthheritage · 1 year
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HELLMOUTH RPG est à la recherche du personnage légendaire de FAITH LEHANE.
Sunnydale 2023 :
La nuit du 2 octobre 2001, Faith était en prison lorsqu'elle a senti son corps commencer à geler. La tueuse a crié de toutes ses forces, mais ayant la réputation qu'elle avait à l'époque, aucun policier n'a voulu s'approcher de sa cellule et lui venir en aide. Lorsque l'équipe tactique du matin arriva devant une cellule remplie de cristaux de sang au sol, ils déclenchèrent l'état d'alerte. En analysant le sang qui était dans les morceaux de glace, le médecin légiste déclara que la fugitive avait belle et bien été tuée par un froid glacial qui avait gelé son corps en entier. Les policiers de Los Angeles ont voulu étouffer l'affaire et n'ont rien déclaré aux médias au sujet de sa mort.
Le 1 juin 2023, le corps de Faith se reconstitua dans la cellule là où elle était morte il y a 22 années. La tueuse regarda autour d'elle complètement désemparée et traumatisée. Elle grelottait et n'avait pas encore conscience de ce qu'il lui arrivait. Elle frappa de toutes ses forces la prisonnière qui résidait maintenant dans son ancienne cage. La tueuse prit possession des vêtements de la femme qu'elle venait d'assommer sans aucune pitié, avec rage. Faith posa ses deux mains sur les barreaux et les écarta avec facilité comme si ce n'était que des cures-dents. Dans le couloir, son regard croisa celui d'un policier qu'elle avait connu autrefois. Le jeune homme commençait sa carrière à l'époque, l'officier ouvrit grand les yeux et reconnu la fugitive qui avait été tué il y a 22 années. Il fonça sur elle, mais malheureusement la tueuse avait toujours ses réflexes de tigresse. La brune haussa le bras dans les airs et fonça sur lui le faisant traverser une fenêtre pour entendre son corps tomber du troisième étage de l'établissement.
Faith en profita pour sauter par la fenêtre et courir rapidement pour escalader le grillage de la prison. Le bruit des voitures de police criait dans tous les sens, mais elle croyait fortement qu'elle allait réussir. La tueuse passa par dessus la grille et sauta dans une voiture en agressant le conducteur, le jetant dehors de son véhicule en pleine conduite. Elle savait très bien quelle direction prendre. La route vers Sunnydale était la seule destination envisageable. Elle regarda rapidement son reflet dans le rétroviseur et elle remarqua qu'elle avait une vingtaine d'années en plus. Elle n'en croyait pas ses yeux, elle continua de se regarder quelques secondes sans remarquer que son véhicule était entrain de dévié de la route. Elle donna un coup de volant pour ramener sa voiture sur la bonne voie juste à temps pour ne pas heurter un autre véhicule qui venait de la klaxonner.
Quelques heures plus tard, elle débarqua à Sunnydale. Une ville hantée par les monstres et par les erreurs de son passé. Elle ressentait la présence de Buffy, mais aussi d'une nouvelle élue. Après 22 années passées dans la noirceur de la mort, elle savait très bien qu'il allait falloir qu'elle se trouve un refuge où habiter sans avoir à payer trop cher, mais la tueuse avait toujours su se débrouiller seule. Faith décida de se rendre dans un lieu qu'elle connaissait bien, elle y avait passé son adolescence. Le Bronze. N'ayant pas reprise complètement ses esprits, la brune défonça d'un coup pied la porte du propriétaire et le poignarda dans le ventre sans pitié utilisant le couteau ensuite pour ouvrir la serrure du coffre-fort de l'établissement où elle trouva quelques milliers de dollars en liquide. La tueuse décida de se débarrasser du corps et de prendre en charge la grande responsabilité de propriétaire du Bronze sachant qu'elle retrouverait rapidement ses anciennes connaissances.
Faith Lehane découvrira qu'à sa mort en 2001, elle était enceinte. Son fils créé par la magie des puissances supérieures Lukas Lehane. Apprenant que la tueuse est en route vers Sunnydale, il essaiera de la retrouver pour se présenter à elle et en connaitre un peu plus sur la véritable nature de sa mère.
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abridurif · 1 month
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Et puis, au fond, est-il nécessaire que je parle aussi directement de moi ? Il me plaît bien davantage de me décrire dans les caresses que je réserve à mes amants. Il s’en fallait de peu que ce nouveau Jean ne devînt Mignon. Que lui manquait-il ? Quand il pète, à bruit sec, il a ce geste de fléchir sur les cuisses tout en gardant ses mains dans ses poches et en tournant un peu son torse, comme s’il le vissait. C’est le mouvement d’un pilote à la barre. Il refait Mignon, de qui j’aimais entre autres ceci : quand il fredonnait un air de java, il faisait un pas de danse et plaçait ses deux mains devant lui, comme si elles eussent tenu la taille d’une cavalière (à son gré, il faisait cette taille plus ou moins fine, en écartant ou rapprochant ses mains toujours mobiles) ; il paraissait ainsi tenir encore le volant sensible d’une Delage sur une route presque droite ; il paraissait encore être le boxeur agité, qui pare à mains plates et agiles son foie ; ainsi le même geste était commun à bien des héros, que Mignon devenait tout à coup, et il se trouvait toujours que ce geste était celui qui symbolisait avec le plus de force le mâle le plus gracieux. Il faisait de ces gestes merveilleux qui nous mettent à leurs genoux. Des gestes durs, qui nous éperonnent et nous font geindre comme cette ville dont je vis les flancs saigner des coulées de statues en marche, avançant sur un rythme de statues que le sommeil soulève. Jean Genet, Notre-Dame-des-Fleurs, Éditions Gallimard, 1951, p. 169, 170
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alexar60 · 11 months
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La rencontre
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Le mercredi 11 mai 1983, Arthur Dias de Almeida est appelé pour intervenir près de la ville de Sinop dans le Mato Grosso. En effet, d’étranges lumières ont été aperçues au-dessus de la campagne et de constructions neuves. Le policier ne fut pas le seul à avoir été sollicité. Deux avions de chasse brésiliens décolèrent, après le survol de l’Amazonie par un engin inconnu, et toujours à côté de la ville de Sinop.
Au début, Arthur pensait avoir à faire à des braconniers ou des trafiquants d’or. Il pensait aux phares de leur jeep vus de loin par quelques fermiers. D’ailleurs, il s’attendait à les croiser au détour d’un carrefour. Mais après une dizaine de minutes à scruter les environs, il découvrit avec stupeur que l’origine de cette luminosité, venait du ciel. En effet, il aperçut au loin ce qui ressemblait à un cigare volant dont les bords rayonnaient.
Après un moment de stupéfaction, il appela le commissariat afin d’obtenir de l’aide. Puis, il profita du déplacement extrêmement lent du véhicule, pour le suivre. Arthur demeurait fasciné par cette chose. Il se demanda si l’engin était habité. Peut-être était-ce une sorte de ballon sonde ou d’une expérience militaire ? La base n’était pas très loin. D’ailleurs, il entendit les deux avions de chasse passer à toute vitesse.
L’OVNI continua de se déplacer lentement. Il ne faisait pas de bruit, et se limitait à avancer au-dessus des bords de l’Amazonie. Enfin de ce qui en restait, car tout avait été rasé pour construire des fermes et des quartiers résidentiels. Un appel provenant de la radio avertit Arthur de l’arrivée de renfort. En attendant, il ne devait rien faire.
Le policier s’arrêtait de temps en temps pour rassurer des habitants sortis regarder le vaisseau volant. Il parlait calmement, prévenant que tout était sous contrôle et qu’ils pouvaient retourner chez eux. Puis, il repartait en direction des lumières visibles de la machine volante. Les avions militaires continuaient de tourner autour d’elle sans pour autant la gêner.
Cela dura un bon quart d’heure lorsqu’Arthur réalisa quitter l’agglomération. L’objet non identifié continua de voler puis s’arrêta brusquement au-dessus d’un enclos. Dès lors, l’agent descendit de sa voiture, continuant à pieds, la main posée sur son arme vers le champ, qui ne présentait rien de particulier.
C’est alors qu’une lumière jaune sortit de l’engin jusque sur le chemin. Arthur n’en croyait pas ses yeux, une forme vivante semblait descendre en glissant par le rayon. Aussitôt, le policier courut pour mieux voir l’individu. Il voulait être le premier homme à entrer en contact avec ce qui paraissait être évident, un extra-terrestre. Soudain, une réflexion envahit son esprit : « Et s’il était dangereux ? »
Plus il avançait, plus la raison poussait le policier à fuir. Malgré la peur au ventre, il continua d’approcher du point de chute de la lumière jaune. Il n’était plus très loin. Arthur remarqua une étable, les portes grandes ouvertes. Il n’y avait rien dans l’enclos. Il entendit le meuglement de quelques vaches. Celles-ci ne semblaient pas paniquer. Il approcha furtivement lorsqu’il vit quelque-chose sortir du bâtiment.
Ça portait une combinaison de cosmonaute. Son casque empêchait de voir sa tête. Il sortit calmement de l’étable puis s’arrêta, tout-à-coup, au milieu du chemin. Il ne remarqua pas l’agent Dias de Almeida, préférant observer les arbres de l’autre côté de l’enclos. Dans le ciel, on ne remarquait plus l’OVNI qui pourtant, continuait de stagner, sans faire de bruit, au-dessus de l’Alien.
Ne bougez-pas ! cria Arthur.
L’extra-terrestre tourna la tête. Il fit un mouvement de recul quand il découvrit le policier en train de pointer son arme. Il ne prononça aucun mot et attendit sagement pendant quelques secondes. Arthur ne savait que faire. Il braquait la chose en réalisant que personne ne savait où les trouver. Tout-à-coup, le visiteur posa brutalement sa main sur son ceinturon. Arthur comprit qu’il cherchait une arme et sans hésiter, il tira vers l’extra-terrestre.
Mais qu’ai-je fait ?
Il réalisa avoir oublié les sommations d’usage. Touché à l’épaule, l’ET entra précipitamment dans l’étable, immédiatement suivi par Arthur Dias de Almeida. Ce dernier tendait son arme et ciblait toutes les vaches qui se présentaient. Il marchait en tournant sur lui-même. Il chercha partout, dans tous les recoins de la grange. Lorsqu’il entendit un grincement, il aperçut le cosmonaute qui sortait en courant. Le policier tira une seconde fois avant de pourchasser le fuyard.
Mais en sortant, il n’y avait plus personne. Il leva les yeux. L’OVNI éclairait le ciel comme un feu d’artifice. Il s’éloignait d’abord lentement. Puis d’un claquement de doigt, il disparut totalement, ne laissant d’une petite trainée blanche à la place. Au même moment, les deux avions de chasse annoncèrent avoir perdu de vue le vaisseau inconnu en forme de cigare.
Hector Baumann quitta l’hôpital tout de suite après l’opération. Il gardait cependant son bras en écharpe afin d’immobiliser l’épaule blessée. La portière d’une voiture attendant sur le parvis s’ouvrit, l’invitant à entrer. Un homme attendait patiemment en lisant une tablette. Il ne regarda pas Hector s’assoir. La voiture démarra aussitôt dans un silence incroyable. Elle n’avait pas de roue, elle flottait sur l’air
Alors, le XXe siècle est comment ? demanda-t-il.
J’étais au XXe siècle ? s’esclaffa Hector.
L’homme tendit la tablette et continua de parler.
D’après le rapport sur la balle, oui. Elle vaut une fortune maintenant pour les collectionneurs et les musées. Ensuite, d’après un rapport retrouvé dans les archives du ministère de la défense Brésilienne.
Hector n’en croyait pas ses yeux. Il lisait le fameux document qui relatait son contact avec un autochtone. Celui-ci racontait avoir blessé un extra-terrestre. Dehors, un paysage urbain et gris dévalait le long des vitres. L’homme sourit en regardant un groupe d’écoliers attendre sur le trottoir.
Pourquoi avoir ramené une fiole de sang de bœuf ? Votre mission était de récupérer des graines d’arbres et de plantes disparues.
Quand j’ai vu qu’il n’y avait pas d’arbre. J’ai pris ce qui me tombait sous la main. Il y avait des vaches. Alors, j’ai fait un prélèvement. Par contre, j’étais censé débarquer au milieu de l’Amazonie bien avant l’arrivée de Christophe Colomb.
Il y a eu un bug, répondit l’homme. Ce doit être corrigé pour la prochaine expédition.
Le jeune cosmonaute spatio-temporel continuait de lire le rapport datant de 1983. Il trouva rigolo d’être décrit comme un monstre de trois mètres avec des tentacules et de gros yeux ronds. Il rit en lisant avoir été aperçu plusieurs fois durant la nuit, alors qu’il n’était sorti qu’une seule fois. Il comprit pourquoi le dossier n’avait pas été pris au sérieux. Du coup, la hiérarchie ne l’avait pas retenu dans leurs paramètres de probabilité d’incidents possibles. De plus, l’erreur de date  fut à l’origine de cette rencontre avec le policier Arthur Dias de Almeida.
J’ai fait retarder le prochain vol pour dans six mois. Je veux trouver la raison de ce bug de date. Je suppose que vous en serez ?
Je n’hésiterai pas. Les risques en valent la peine, réagit Hector.
Ce n’était pas son premier vol dans le temps. Il aimait visiter le passé de la terre et découvrir ce que l’homme a perdu…ou plutôt détruit. Son seul regret était de garder une combinaison afin d’éviter tout contact avec des maladies disparus, ou d’apporter de nouvelles maladies. Il aurait voulu plonger dans une mer dépolluée ou juste sentir une fleur.
La voiture s’arrêta devant une porte de garage. Elle attendit son ouverture avant de s’engouffrer dans un bâtiment connu pour être abandonné, mais classé « secret défense ».
Alex@r60 – novembre 2023
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fashionbooksmilano · 8 months
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Dards d'art
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Dards d'Art
Mouches, moustiques...Modernitè
catalogue par Michèle Moutashar
Musée Arles, 1999, 198 pages, 20x30cm, Rel. à spirale, ISBN 0982-291, L'ouvrage a la forme d'un papillon
euro 45,00
email if you want to buy [email protected]
Arles, Musée Réattu et Musée Carmarguais, 9 juillet - 10 octobre 1999 organisée par la Ville d'Arles
Chef-lieu des Bouches-du-Rhône, commune la plus étendue de France (elle couvre 75 000 hectares) et, en l'occurrence, capitale des moustiques ­ qui n'ont pas leur pareil pour transformer le plus bucolique des pique-niques en scène de Starship Troopers ­ Arles a temporairement trouvé la solution en localisant au musée Réattu l'exposition «Dards d'art». Sous-titrée «mouches, moustiques" modernité», celle-ci propose un survol panoramique de la rencontre entre le monde des insectes et celui des arts, photo, peinture, vidéo, installation et sculpture confondues. Où l'on observe en effet, à grand renfort de pointures réquisitionnées pour l'occasion (Alechinsky, Calder, Man Ray, Dora Maar, Miró, Annette Messager, Germaine Richier"), que toutes ces petites bestioles rampantes ou volantes sont à peu près autant une source de peurs phobiques pour le vulgum pecus qu'un inépuisable vivier d'inspiration créatrice, circonscrite ici au XXe siècle.
Ce catalogue d'exposition de Michèle Moutashahar (Musée Réattu, Arles, 1999) se présente comme un gros papillon bleu aux ailes repliées. Le dos du livre est constitué de spirales, une fois ouvert, il figure le corps du papillon. Le titre, construit sur un calembour et des allitérations, et la fantaisie de la reliure sont autant d'accroches destinées à piquer la curiosité du lecteur, convié à une rencontre entre l'art contemporain et les insectes.
01/02/24
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carraways-son · 8 months
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Mercredi
Les jours se suivent, etc... En fin de matinée, virée en ville sous un ciel infiniment bleu jusqu'à un savoureux restaurant libanais de la rue Gambetta, puis direction l'hôtel d'Assézat qui abrite la Fondation Bemberg, enfin rouverte après des années de travaux. Des centaines de peintures, sculptures, meubles et objets, de l'Antiquité à la première moitié du XXe siècle, des dizaines de signatures prestigieuses du Tintoret à Picasso en passant par Monet et Rodin, et dans cette profusion quelques œuvres  qui me sont chères. De haut en bas : Elisabeth Louise Vigée-Le Brun, "Portrait de la comtesse von Kagenek en Flore" (1792), Lucas Cranach l'Ancien, "Vénus et Cupidon volant du miel" (1531), Pierre Bonnard, dont la Fondation Bemberg réunit la plus grande collection au monde : "Autoportrait sur fond blanc, chemise col ouvert" (1930), "La forêt des pins, Le Cannet" (1922), "Femme au tub" (1903), et encore Georges Romney, "Portrait de Miss Frances E. Sage" (1779-82), ou Paul Gauguin, "Etude préparatoire pour Aita tamari vahiné Judith te parari" (1894-95). Quel bonheur !
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kiuntisss · 8 months
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Ce week-end je suis allée à la MAILLERIE ( à Villeneuve d’asq ) pour le playground market avec mon ami James (jamesb_art sur insta, allez le suivre). C’était trop cool ! On a évidemment acheté des truc (dont du pâté). Mais question art, j’ai acheté 2 illustrations :
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La première, celle de Roubaix comme île volante, a été réalisé par art_chitecture_leriche (toujours sur insta). Outre le fait que j’habite Roubaix (et c’est super cool comme ville faut pas croire) le détail de l’illu m’a envoûté. Partout où l’on pose les yeux il y a quelque chose à voir ! C’est aussi le cas de la deuxième illustration. Et je dois dire que le côté steampunk / the mortal engines m’a aussi fait craquer…
La deuxième illustration a été réalisé part mygrilabd (insta toujours). C’est une étudiante de l’académie brassard Delcourt, une école de bd ! J’ai trouvé son talent impressionnant ! Cette illu est numérique, mais il y avait aussi l’original à l’encre de Chine qui était incroyable !
Bref j’étais ravie d’aller à la maillerie, qui plus est en bonne compagnie :)
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muzukashiidesune · 2 months
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本語能力試験 (JLPT)
Dans la salle où a lieu l’examen, trois boules disco pendent du plafond. Touche festive qui se marie mal au silence précédant la remise des copies. Tout le monde fixe le vide.
Salle de bal, moquette, vague odeur de cigarette. Longueur et lenteur. Trente minutes avant l’heure.
Ryan et moi nous sommes inscrits sur un coup de tête au JLPT, ce test de langue standardisé qui détermine l’avenir de beaucoup d’immigrants au Japon. Une idée que nous avons eue en mars, lors des vacances scolaires, quelque part au milieu de ces journées sans école qui s’éternisent et se confondent maintenant dans ma mémoire. Un défi, s’était-on dit, pourquoi pas.
À la reprise des cours, cette idée fut vite écartée. Puis, retour en flèche tout juste un mois avant l’examen. Constat inquiet: on aurait dû s’y mettre il y a longtemps.
Ryan m’a déposée beaucoup trop tôt. Inquiet de l’état des parkings dans ce coin de Kōchi-centre. Impossible de le raisonner — toujours à son rythme.
Je regarde mon téléphone; vingt-huit minutes avant le début de l’examen.
Un message de Juliette sur mon écran. Elle fera le même examen que moi, à des kilomètres de là, au pied du Mont Fuji où elle habite.
🪩💃🕺 — sa réponse à ma photo des boules disco.
Nous avons toutes deux une confiance très moyenne en nos habiletés. Il y a quelques semaines, en annonçant à Maryko, une partenaire de taiko, le niveau pour lequel j’avais opté — coup de grâce.
« N4? » s’était-elle exclamée. Le bout de ses doigts couvraient le trait inquiet de sa bouche. « N’est-ce pas un peu trop ambitieux? »
Le JLPT se mesure sur cinq; de N5 à N1, en ordre croissant de difficulté. Le N4 a une valeur nulle. Il n’est même pas remboursé par notre employeur. À peine une stepping stone vers les niveaux les plus importants, de N3 à N1.
L’expression consternée de Maryko, piqûre.
J’en parle à Kusumoto le lundi, tâchant de ne pas laisser le découragement m’atteindre.
« Ah, » me dit-il, vague relent de pitié au fond des yeux. Sur son écran de téléphone, traduction, et revers de la gifle: « Mais tu as payé pour le prendre, cet examen. Vaut mieux y aller tout de même. »
Peu de réconfort à puiser auprès de lui.
Je me ré-attelle à mon étude de kanji, wanikani, comme chaque jour depuis mon arrivée au Japon. L’impression de le faire pour rien. À quoi bon, avec ma mémoire de carpe. Tous les mots se ressemblent; variations autour du kyo, kyō, ko, kou, kyu, kyū. Et les kanji qui font presque douter de notre lucidité, 夫, 末, 天.
La honte, la lenteur.
L’air doux-amer des gens qui me disent sur le même ton que mon japonais est bon depuis le début — compliment qui tourne à la farce plus le temps passe. Nihongo jōzu desu ne.
Se faire ré-expliquer le sens du même mot plus de cinq fois d’affilée. Kusumoto, forcé d’apprendre l’anglais pour palier à mes lacunes. Tax. License. Pay. No pay.
La rangée des liquides à l’épicerie. Huile, vinaigre, mirin, sake — liquide clair dans une bouteille illisible, aux kanji stylisés et intraduisibles.
Terminer une conversation, et se rendre compte du ridicule de mes erreurs après coup. Front pressé sur le volant de ma voiture.
Mon père, au téléphone. À quoi ça pourra bien te servir, tout ça. Même réflexion que lorsque je lui avais annoncé mon départ.
Toutefois, ces moments.
Dans la toile opaque de la langue, le flou sombre du quotidien — un éclat de lumière. Quelque chose, saisi, enfin.
Kihon, foundation.
Souzou suru, to imagine.
Kekkyoku, in the end.
Modoru, to return.
Trou d’aiguille dans la toile, à la clarté si fine qu’on en doute presque. Scintillement lointain, qui peu à peu se rassure, se concrétise, se joint à ceux des autres. Tracé, tapisserie.
Quand je rentre au soir, après ma pratique de taiko, le ciel noir de Muroto s’éclaircit. Fil des saisons. Nous sommes loins des lumières de la ville, et loin des profondeurs de l’hiver.
Après un an à en faire l’ascension tous les jours, depuis peu, je monte les escaliers de mon bloc appartement sans avoir à m’aider du flash de mon téléphone.
Sur ma copie d’examen, des petits reflets de lumières tournent, lents.
Je lève les yeux vers les boules disco, et me sens sourire.
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philoursmars · 5 months
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Il y a une dizaine de jours, je suis parti retrouver Christine à Narbonne.
Le Musée Narbo Via, dédié à la Narbo romaine (cette ville fut la première ville romaine hors d'Italie et un des 3 plus grands ports de l'Empire romain)
Lare en bronze - Narbonne, Ier-IIème s. ap. J-C.
Vénus pudique en bronze - Cuxac-d'Aude, Ier-IIIème s. ap. J-C.
Mercure en bronze - Narbonne, Ier-IIIème s. ap. J-C.
amulettes phalliques en bronze (des bites volantes, quoi) - Haut-Empire
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vague-abondage · 8 months
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Je suis né en 1902
Je ne suis jamais revenu dans ma ville natale
Je n’aime pas les retours.
À l’âge de trois ans à Alep, je fis profession de petit-fils de pacha
à dix-neuf ans, d’étudiant à l’université communiste de Moscou
à quarante-neuf ans à Moscou, d’invité du Comité central,
et depuis ma quatorzième année, j’exerce le métier de poète.
Il y a des gens qui connaissent les diverses variétés de poissons moi celles des séparations.
Il y a des gens qui peuvent citer par cœur le nom des étoiles, moi ceux des nostalgies.
J’ai été locataire et des prisons et des grands hôtels,
J’ai connu la faim et aussi la grève de la faim et il n’est pas de mets dont j’ignore le goût.
Quand j’ai atteint trente ans on a voulu me pendre,
à ma quarante huitième année on a voulu me donner le Prix mondial de la Paix
et on me l’a donné.
Au cours de ma trente-sixième année, j’ai parcouru en six mois quatre mètres carrés de béton.
Dans ma cinquante-neuvième année j’ai volé de Prague à La Havane en dix-huit heures.
Je n’ai pas vu Lénine, mais j’ai monté la garde près de son catafalque en 1924.
En 1961 le mausolée que je visite, ce sont ses livres.
On s’est efforcé de me détacher de mon Parti
ça n’a pas marché
Je n’ai pas été écrasé sous les idoles qui tombent.
En 1951 sur une mer, en compagnie d’un camarade, j’ai marché vers la mort.
En 1952, le cœur fêlé, j’ai attendu la mort quatre mois allongé sur le dos.
J’ai été fou de jalousie des femmes que j’ai aimées.
Je n’ai même pas envié Charlot pour un iota.
J’ai trompé mes femmes
Mais je n’ai jamais médit derrière le dos de mes amis.
J’ai bu sans devenir ivrogne,
Par bonheur, j’ai toujours gagné mon pain à la sueur de mon front.
Si j’ai menti c’est qu’il m’est arrivé d’avoir honte pour autrui,
J’ai menti pour ne pas peiner un autre,
Mais j’ai aussi menti sans raison.
J’ai pris le train, l’avion, l’automobile,
la plupart des gens ne peuvent les prendre.
Je suis allé à l’opéra
la plupart des gens ne peuvent y aller et en ignorent même le nom,
Mais là où vont la plupart des gens, je n’y suis pas allé depuis 1921 :
à la Mosquée, à l’église, à la synagogue, au temple, chez le sorcier,
mais j’ai lu quelquefois dans le marc de café.
On m’imprime dans trente ou quarante langues
mais en Turquie je suis interdit dans ma propre langue.
Je n’ai pas eu de cancer jusqu’à présent,
On n’est pas obligé de l’avoir
je ne serai pas Premier ministre, etc.
et je n’ai aucun penchant pour ce genre d’occupation.
Je n’ai pas fait la guerre,
Je ne suis pas descendu la nuit dans les abris,
Je n’étais pas sur les routes d’exode, sous les avions volant en rase-mottes,
mais à l’approche de la soixantaine je suis tombé amoureux.
En bref, camarade,
aujourd’hui à Berlin, crevant de nostalgie comme un chien,
Je ne puis dire que j’ai vécu comme un homme
mais le temps qu’il me reste à vivre,
et ce qui pourra m’arriver
qui le sait ?
Nâzim Hikmet
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Le chef du bureau de Pittsburgh du FBI, Kevin Rojek trouve surprenant qu’un assaillant ait pu tirer à plusieurs reprises sans que le Secret Service ai agit. Ce dimanche 14 juillet 2024, le Secret Service a par ailleurs démenti une rumeur «selon laquelle un membre de l'équipe de l'ex-président avait demandé des moyens supplémentaires de sécurité et que ceux-ci avaient été refusés». «C'est absolument faux, a déclaré le porte-parole du Secret Service Anthony Guglielmi. En réalité, nous avons ajouté des moyens de protection dans le cadre du rythme accru des déplacements de campagne.
Plusieurs témoins ont affirmé avoir aperçu le tireur avant qu’il n’ouvre le feu et avoir tenté d’alerter la police de la ville, qui a rapporté avoir épondu à un certain nombre de rapports d'activité suspecte, sans donner plus de précisions. Un témoin interrogé par la BBC assure avoir vu «un homme ramper sur le toit» et l’avoir montré «pendant plusieurs minutes» aux forces de l’ordre. «On pouvait clairement le voir avec son arme», a-t-il ajouté, expliquant que la police semblait ne pas comprendre ce qu’il se passait. Selon lui, l’inclinaison du toit faisait que les agents du Secret Service ne pouvaient probablement pas le voir de là où ils se trouvaient. Des élus demandent une enquête parlementaire pour faire la lumière sur les événements. Il est incroyablement difficile d’avoir un lieu ouvert au public et de le sécuriser contre toute menace potentielle, a reconnu George Bivens, porte-parole de la police de l’État de Pennsylvanie. L’enquête nous donnera l’opportunité de voir ce qui n’a pas marché et ce qui pourra être mieux fait dans le futur. Les élus républicains ont appelé à une enquête parlementaire au Congrès. La commission de la Sécurité intérieure doit enquêter sur la tentative d’assassinat et la tentative de tuerie de masse et déterminer comment cela a pu arriver, a affirmé Josh Hawley, sénateur du Missouri. Son collègue de Floride, Rick Scott, a jugé «absolument inexcusable» qu’un tireur «ait pu avoir en ligne de mire l’ancien président et candidat en tête à la présidentielle», soutenant également une enquête au Congrès.
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Le sniper du Secret Service aurait posté ce message en prenant soins de prendre une photo : “Mon nom est Jonathan Willis, je suis l'officier sur la célèbre photo des deux tireurs d'élite sur le toit du rassemblement de Trump, je suis venu ici pour informer le public que j'avais l'assassin en ligne de mire pendant au moins 3 minutes, mais le chef du services secrets ont refusé de donner l'ordre d'éliminer le criminel. À 100 %, les hauts gradés m'ont empêché de tuer l'assassin avant qu'il ne tire sur Le président Trump.” Cette affaire va faire couler beaucoup d’encre ….
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«Hé, il y a un type sur le toit avec un fusil…» : les quelques minutes qui ont bouleversé la campagne présidentielle américaine les politiques réagissent après la tentative d’assassinat de Trump
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Une photo prise par Doug Mills du New York Times montre une balle volant vers la tête de Donald Trump. Dans une publication sur les réseaux sociaux, Truth Social, Trump a déclaré qu’il avait su que quelque chose n’allait pas dans la mesure où j’ai entendu un sifflement, des coups de feu et j’ai immédiatement senti la balle déchirer la peau ».
Photo prise à l'arrière du pupitre, ça démontre un plan préparé
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Plan de la scène
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Publication pour ceux qui le déteste
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chic-a-gigot · 3 months
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Le Petit écho de la mode, no. 24, vol. 18, 14 juin 1896, Paris. 1. (1.) Toilette de mariée en satin. (2.) Toilette en moire. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(1.) Toilette de mariée en satin — Polonaise ouverte devant sur un plastron de dentelle brodée sur tulle, retenue par des liens de ruban fixés par des bouquets de fleurs d’oranger, le dos ajusté forme traîne carrée. Grand col bordé d’un plis s é de mousseline. Manche ample du haut, étroite du bas, terminée par un volant de dentelle. Col de ruban garni de bouclettes.
(1.) Satin bridal gown - Polonaise open in front on a bib of embroidered lace on tulle, held by ribbon ties secured with bouquets of orange blossoms, the fitted back forms a square train. Large collar edged with pleats of muslin. Loose sleeve at the top, narrow at the bottom, finished with a lace ruffle. Ribbon collar trimmed with loops.
Matériaux: 20 mètres de satin, 3 mètres plissé mousseline.
(2.) Toilette en moire. — Jupe unie. Corsage recouvert de dentelle Luxeuil, garni mousseline de soie claire et noire, ruban à l’encolure et à la taille, manche ajustée avec ballon très court, sabot de dentelle au bas. Chapeau garni tulle et fleurs.
(2.) Moire ensemble. — Plain skirt. Bodice covered in Luxeuil lace, trimmed in light and black silk chiffon, ribbon at the neckline and waist, fitted sleeve with very short balloon, lace shoe at the bottom. Hat trimmed with tulle and flowers.
Matériaux: 15 mètres de moire, 0m,60 broderie, 2 mètres plissé mousseline noire, 0m,50 plissé clair.
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SUPER MARIO BROS. LE FILM (2023)
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Mario et Luigi sont deux frères, âgés de 25 ans, qui vivent chez leurs parents, dans le quartier de Brooklyn à New York. Plombiers de métier, ils ont décidé de ne plus travailler avec leur ex-employeur escroc, Spike, et créer leur propre entreprise sous l'initiative de l'aîné. Après une première intervention chez de riches particuliers qui tourne à la catastrophe à cause de leur chien, leur père leur reproche d'avoir lâché un emploi stable, ainsi qu'à son fils aîné d'avoir entrainé son cadet dans cette situation. En voyant à la télé que la ville est inondée, les deux frères voient là une chance de devenir des héros. Ils se rendent tous deux dans un sous-sol pour réparer la vanne de pression, mais échouent. En explorant le lieu, ils sont aspirés par un mystérieux tuyau vert et se retrouvent séparés, car Luigi est téléporté au Pays Noir, tandis que Mario atterrit au Royaume Champignon.
Après la séparation de son frère, Mario tombe ensuite sur Toad, qui lui apprend qu'il se trouve au Royaume Champignon et que Luigi, au vu des informations données par le premier, a été entraîné sur le territoire du roi des Koopas : Bowser, qui cherche depuis des années à conquérir le royaume. Toad le conduit alors auprès de la princesse Peach, en plein conseil de guerre : Bowser a en effet dérobé la Super étoile possédée par le peuple des Pingouins et va tenter d'envahir le royaume grâce à son pouvoir. Peach accepte l'aide de Mario, prêt à tout pour sauver son frère, et le teste sur un parcours d'obstacles tout en lui dévoilant les habilités que peuvent lui octroyer les power-ups comme les champignons. De son côté, Luigi est capturé par les soldats de Bowser et emmené devant le chef des Koopas en personne. Voulant la princesse pour lui-même, il n'accepte pas qu'un humain, de la même espèce qu'elle, la fréquente. Il soutire à Luigi ce qu'il sait sur Mario sans trop de difficultés, en raison de son caractère peureux, avant de le jeter aux oubliettes.
Mario, Peach et Toad se rendent ensemble auprès du royaume des Kong, dans le but d'obtenir une armée pour défendre le Royaume Champignon. En chemin, Peach révèle à Mario qu'elle est également arrivée accidentellement par un tuyau vert dans cet endroit quand elle était petite. Élevée par les Toads, ils l'ont nommée princesse de leur royaume une fois qu'elle est devenue adulte. Arrivés chez leurs hôtes, ils se voient initialement opposer une fin de non-recevoir par le roi Cranky Kong, mais ce dernier change d'avis, à condition que Mario batte son fils Donkey Kong lors d'un duel en ring. Alors que la situation est en sa défaveur, le plombier parvient grâce aux power-ups dispersés dans l'arène, à prendre le dessus et à battre le singe.
L'arrivée de Bowser étant imminente, Cranky Kong suggère de prendre le raccourci de la route arc-en-ciel pour se rendre au château de Peach à bord de karts pour prendre l'ennemi en embuscade. Mais une fois sur la route, l'embuscade est un désastre : l'ensemble de l'armée de Kong est capturé, Mario et Donkey Kong chutent de la route, atterrissent dans l'océan et seuls Peach et Toad parviennent à revenir au château. La princesse ordonne l'évacuation de la ville et se prépare à affronter Bowser seule. La forteresse volante des Koopas arrive peu après, Bowser la demande en mariage et menace de torturer Toad et de le tuer si elle refuse.
Après une dispute, Mario et Donkey Kong parviennent de leur côté à s'échapper du système digestif d'un poisson géant qui les avait avalés, retournent au château grâce à une pièce détachée du kart de Donkey et deviennent amis. Utilisant les différents power-ups qu'ils trouvent sur leur chemin, ils éliminent les membres de l'armée Koopa et arrivent au moment où Bowser allait jeter dans un lac de lave l'ensemble de ses prisonniers en hommage à Peach. La princesse absorbe simultanément une fleur de glace qui lui permet de congeler Bowser temporairement et de sauver les prisonniers. Luigi est sauvé par Mario alors qu'il allait tomber dans la lave : les deux frères se retrouvent. Furieux, Bowser envoie un Bill Bourrin géant détruire le château, mais Mario parvient à le diriger vers un tuyau vert, le faisant exploser dans le passage entre les mondes. Mais l'explosion dans ce lieu a pour conséquence d'absorber également la forteresse de Bowser et tous ses occupants, qui se trouvent téléportés à Brooklyn.
Aveuglé par la haine, la rage et sa volonté sans faille, Bowser tente de tuer Mario qui ne fait pas le poids face à lui. Peach, Toad et Donkey Kong viennent le défendre, mais se font eux aussi dominer par le chef des Koopas qui tente également de les tuer, en commençant par Donkey Kong avant de se rabattre sur Mario qui parvient à vaincre sa peur. Luigi vient en aide à son frère aîné et les deux finissent par absorber la Super étoile. Grâce à l'invulnérabilité qu'elle leur confère, ils arrivent à vaincre le roi des Koopas et l'ensemble de son armée, sous les yeux des habitants de Brooklyn et de leurs parents. Vaincu, Bowser supplie Peach de lui donner une autre chance. Mais celle-ci, sachant parfaitement qu'il va réessayer de les tuer, ne se laisse pas berner par sa l��cheté et le miniaturise avec un mini-champignon. Ils l'enferment dans un bocal en verre, mettant un terme à sa menace. Acclamés par tous, les deux frères prennent la décision d'habiter dans le Royaume Champignon où ils reprennent leur activité de plombiers.
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alioversus · 6 months
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CollAGE D(ouble)
CollAGE D | Lotophagus Records | 2024
1. Le moteur tourne encore, mais le véhicule est à l’arrêt. À l’extérieur, des promesses bucoliques, de la nature radieuse : entourées de béton. Petits oiseaux qui chantent dans le parc… Ils ne se doutent pas. Et pourtant… Même une journée aussi ensoleillée, aussi tranquillement nonchalante, peut être le cadre rêvé d’un drame. Ça arrive tout le temps. Untel apprend la mort d’un ami proche, tel autre qu’il est atteint du cancer, telle autre que son mari la trompe, tel autre qu’il va nécessairement lui arriver quelque chose de pas très sympathique, puisque des gros bras l’ont kidnappé. Ce con essaie de taper dans la porte du coffre, ou de soulever la plage arrière. Je serre le volant, machinalement. De toute façon, il y a trop de bruit dehors pour qu’on puisse l’entendre. J’ai tout de même envie d’engueuler Maurice, de lui dire : putain, tu l’as mal ligoté ou quoi ? J’ai envie de l’appeler Momo. Je sais qu’il déteste ça. Il est sur les nerfs, lui aussi. Il me devance. Pourquoi t’es passé par là ? me dit-il. Tu savais pas que c’était jour de marché ? Le feu passe au vert, j’embraye. On sort de la ville. Un peu plus loin, on est encore arrêtés par un passage à niveau. Long train de marchandise, puis la campagne. 
2. On est arrivés à l’entrepôt. Gégé remplit les bassines pendant que le con attend encore dans la bagnole, encagoulé. La Perceuse étale ses outils de travail. Il en a bien cinquante, parfaitement alignés sur la table dépliante. Il est parfois difficile de deviner l’usage de certains, qu’est-ce que c’est censé pincer, qu’est-ce que c’est censé couper, où est-ce que c’est censé s’introduire… Maurice attend que les instructions arrivent sur le téléphone jetable. Parfois j’ai l’impression qu’il joue à un jeu vidéo ; ce genre de modèle tout en plastique bipe pour un rien. Gégé et La Perceuse comparent leurs attirails. Ils se charrient entre potes, comme deux catcheurs avant un combat, à qui prétend mieux faire, entre la méthode dite technologique et la méthode dite artisanale. Gégé dit qu’avec lui, c’est du propre. La Perceuse lui rétorque qu’il a encore ramené une vieille batterie qui suinte, qu'il ferait mieux de la fermer, alors qu’avec lui, au moins, tout est sous contrôle, qu’il sait doser…  L’ambiance est plutôt bon enfant. Sur la banquette arrière, je crois que l’otage récite des psaumes ou je ne sais quoi. Va ! Si ça peut l’aider à garder son calme…  Ça sera toujours supplications et pleurniche, quand on le lui fera couler, son sang-froid. Alors, Maurice, ça vient ? Je me garde bien de dire que je ne serais pas contre un contrordre. Ça y est, ça sonne. Oui, dit Maurice. Oui. Non. D’accord. Je regarde comment réagit l’otage. Il se tait, il écoute… Maurice raccroche. Alors, Maurice, on fait quoi ? 
3. Ça allait commencer quand ils m’ont envoyé chercher le toubib à cause de Big R. Je ne l’aime pas, Big R. Il est aussi con que son pseudo. Et il se fout toujours dans la merde. Apparemment, cette fois-ci, il se serait pris une balle… Mais pas mécontent de ne pas pouvoir assister au travail à cause de ça. Je ne suis que le chauffeur, moi, dans cette histoire… Je suis la route champêtre avec la fenêtre ouverte, en écoutant un CD pour me détendre : du jazz un peu trop free pour quand il y a Maurice à côté de moi. Putain, mais il ne font plus pousser que du maïs par ici ? Et du colza. Je débouche sur une parcelle de forêt. Je longe la rivière. Des nuées de moineaux à la sortie. J’arrive enfin dans le hameau. Le vieux m’attend déjà avec sa mallette, derrière le portail. C’est un médecin à la retraite. Cela se voit. Ça démarche est tout aussi disloquée que les couacs de saxo. Il dit qu’il a encore la main. Il n’y a pas non plus avalanche de concurrents… Il dit que c’est les pieds et les genoux qui ont trinqué, que c’est pour ça qu’il ne conduit pas. À peine monté, il me demande de couper le disque, parce que ça l'agace. Le toubib, lui non plus, je ne l’aime pas. 
4. Big R était planqué chez Annette. Elle aurait bien pu aller chercher le toubib elle-même. Ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille… Maintenant, la nuit est en train de tomber. Je dois être mort depuis deux heures ou trois. Je ne sais même pas vraiment pourquoi. Je sens que je fais corps avec la terre, avec l’humus, avec les racines, avec les insectes… Je sens que je suis en train de nourrir la forêt. Moi, le chauffeur, me voilà complètement étranger au son des rares voitures qui passent. C’était malin de la part de Big R, tout de même, d’utiliser un fusil de chasse. C'est vrai qu'il y a plein de battues dans le secteur, en ce moment…
5. Thierry, tout tremblant, explique encore une fois aux gendarmes. Tout s’embrouille dans sa tête, et il s’inquiète pour ses deux fils, forcément eux aussi traumatisés par leur découverte dominicale… Thierry répète : ils étaient là, en ballade, pour essayer leurs nouveaux VTT. Et paf, c’est le plus petit qui tombe sur le cadavre, au milieu des gazouillis. Le gendarme tape uniquement des index, mais il tape fort et vite, comme une mitraillette. Thierry se demande si Inès va chercher à lui sucrer la garde du week-end. Parfois Thierry a l’impression que le sergent le suspecte… On lui fait signer sa déposition, on lui dit de ne pas partir en vacances. Il sort du bureau. Les enfants l’attendent en compagnie de la seule femme de la brigade. Ils ont l’air déphasé, mais calme. Thierry a la gorge serrée. Il leur avait promis d’aller au restau, ce midi. Puis il réalise qu’ils vont vouloir rentrer chez Maman, de toute façon.
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Sous le ciel gris d'une ville indifférente, un livreur trace sa route. Chaque coup d'accélérateur, chaque coup de volant, l'éloigne davantage de la chaleur humaine. Les adresses défilent, les visages se succèdent, mais aucun ne s'attarde. Dans le vrombissement des moteurs et le claquement des portes, il porte des histoires qu'il ne lira jamais, des cadeaux qu'il ne recevra pas. Entre les rues encombrées et les immeubles impassibles, il se fraie un chemin, seul, accompagné uniquement par le murmure distant de la ville et l'écho de sa propre solitude.
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fashionbooksmilano · 1 year
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Sous l’Empire des crinolines   Musée Galliera
Catherine Join-Diéterle,  Françoise Tétart-Vittu
Paris Musées, Paris 2008, 212 pages, Relié, 180 ill.couleurs, 17,5 x 24,5 cm, ISBN : 978-2-7596-0069-4
euro 80,00
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Catalogue publié à l'occasion de l'exposition "Sous l'empire des crinolines" présentée au Palais Galliera du 26 novembre 2008 au 26 avril 2009, Editeur Paris Musées. Symbole du Second Empire, la crinoline apparaît dès 1830 avec l’utilisation de jupons en crin qui font gonfler les jupes. Ils seront remplacés en 1856 par la fameuse cage à fanons de baleine, puis substitués par une armature métallique. Le succès de cette dernière sera immédiat : en France, 5 millions sont confectionnés en 1860. Sa forme évolue également. D’abord ronde, elle est ensuite plate devant et se projette loin vers l’arrière. Puis, à partir de 1867, une «demi crinoline», plus étroite, s’impose. Souvent comparée aux coupoles en métal et en verre la crinoline témoigne de la passion de l’époque pour le volume. Cependant, ce qui frappe surtout c’est l’exubérance de la silhouette, l’emploi récurrent des volants, l’accumulation des étoffes et des ornements, l’éclectisme des décors où se mêlent historicisme et orientalisme, où le bleu vif côtoie le rose pastel. Mais au delà du port de la crinoline, de la rapidité des transformations de la silhouette, de la diversité des sources d’inspiration, la mode du Second Empire reflète les changements survenus en France depuis le début du siècle. Cet ouvrage richement illustré, témoigne de cette période très particulière dans l’histoire de la mode française. Conçu autour de trois grands thèmes (la fête à la ville et à la cour ; la modernisation ; la commercialisation) il aborde l’ensemble des aspects propres à la crinoline et à son époque. Mais il nous montre également à quel point elle fascine encore les créateurs. Regardons pour cela comment Jean-Paul Gaultier ou John Galliano (pour Dior) l’interprètent dans leurs collections automnes-hivers 2008-2009.
12/05/23
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