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đąđ«đ· AUTOMATISMES INCONSCIENTS ET HYPNOSE? Hypnose DCS unique au monde
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Un matin de mars
Je libĂšre. Beaucoup de vieilles croyances en moi. Je sais, ça paraĂźt bizarre pour beaucoup de gens accaparĂ©s par leur quotidien de se donner de lâespace dans sa vie pour rĂ©gler les bugs intĂ©rieurs. Ăa commence Ă vraiment moins me dĂ©ranger. Et câest justement le sujet de mon billet du jour. Le regard de lâautre. Ăa doit te parler aussi ce sujet, nâest-ce pas? Il y a quelques jours, jâai prit conscience dâune petite phrase que ma mĂšre mâa rĂ©pĂ©tĂ©e tout au long de ma vie. Dans diffĂ©rentes situations. Des moments difficiles souvent. Ou lorsque je faisais des choses quâelle ne comprenait pas. ...âMa pauvre tite fille...â Ma pauvre tite fille. Câest particulier hein, mais quand cette phrase mâest venue Ă lâesprit, je me suis mise Ă la ressentir dans mon corps. Des tensions importantes dans la nuque, qui descendait entre les omoplates. Et tout dâun coup se sont mises Ă remonter diffĂ©rentes occasions oĂč je me suis sentie comme une pauvre tite fille. Avec ces mĂȘmes douleurs, ces mĂȘmes tensions. Et jâai vu que câĂ©tait souvent des situations qui pouvaient ressembler avec dâautres vĂ©cues avec ma mĂšre. Les fois oĂč jâĂ©tais une pauvre tite fille parce que je lâavais déçue. Dâautres fois parce que je vivais des relations difficiles avec les papas de mes filles. Toutes les fois oĂč elle mâa prĂȘtĂ© de lâargent. Ou presque. Dâune situation Ă lâautre ça nâĂ©tait pas nĂ©cessairement le mĂȘme genre de pauvre tite fille. Parfois câĂ©tait parce quâelle Ă©tait fĂąchĂ©e. Dâautres fois parce quâelle Ă©tait dĂ©couragĂ©e. Ou alors quâelle me voyait sans ressource et que ça lâinquiĂ©tait. Je sais que ça nâĂ©tait jamais dans un but malveillant. Je nâai aucune colĂšre envers ma mĂšre, ça câest digĂ©rĂ© dĂ©jĂ .
Je dirais que le dĂ©nominateur commun Ă chacune de ces occasions Ă©tait de me voir comme quelquâun dâinadĂ©quat qui ne savait pas prendre soin dâelle mĂȘme. Parce quâelle ne me comprenait pas. Et ça câest la rĂ©alitĂ©, et câest correct. Et câĂ©tait son regard Ă elle. Ăa sâest compliquĂ© quand jâai acceptĂ© son regard comme ma rĂ©alitĂ©.
Maintenant les prises de conscience qui montent sont au niveau de la programmation que cela a fait en moi. Dans MON inconscient. Quand on est dans le âshadow workâ (dĂ©solĂ©e je ne connais pas le terme appropriĂ© en français), on finit par voir ces programmations qui se sont intĂ©grĂ©es en nous, par des Ă©vĂ©nements qui nous ont laissĂ© des croyances toxiques face Ă nous mĂȘme. Il arrive des situations avec des gens importants dans nos vies, peu importe pour quâelles raisons, nous marquent dâune maniĂšre quâon ne se voit plus de la mĂȘme maniĂšre aprĂšs. Câest gĂ©nial quand on est marquĂ© par de belles affaires. Ăa se complique quand câest nĂ©gatif et douloureux.
Sans mĂȘme quâon sâen rende compte, on change. Parce que maintenant il est Ă©crit en nous quâĂ quelque part quâon est une mauvaise personne. Et encore une fois sans quâon sâen rende compte, on portera ce masque dans des situations qui nous ramĂšneront Ă la sensation de la blessure premiĂšre. Je suis allĂ©e toucher Ă un de ces masques ces derniers jours, une de ces blessures. Cette blessure lĂ . La pauvre petite fille. Plus je la regarde, plus jâobserve les sensations qui me traversent parce quâelle se montrent prĂ©sentement, plus je mâen dĂ©sidentifie. Je prends de la distance et je vois ce qui mâappartient ou non. La croyance au dĂ©part vient de ce que jâai vĂ©cu avec ma mĂšre. Mais si je creuse plus loin, en fait ce qui sâest enregistrĂ© en moi vient de ce que moi jâai vĂ©cu. Ce que jâai ressenti et pensĂ© de la situation. Et câest cet aspect qui me dirige par la suite. Donc dâun cĂŽtĂ© ou de lâautre, ça nâest pas la âfauteâ de qui que ce soit. Ma mĂšre a agit dâune certaine maniĂšre. Et moi je lâai enregistrĂ© dâune certaine façon.
Une fois ceci compris, maintenant la responsabilitĂ© de transformer ça me revient. Parce que jâen ai conscience, je vois ce genre de rĂ©actions qui montent en moi dans certaines situations particuliĂšres. Ăa nâest pas parce que jâai compris ce bout lĂ que ma rĂ©action disparaĂźt comme par magie. Avec les annĂ©es de pratique, câest devenu un automatisme. Alors je dois accepter de me reprogrammer autrement. Un pas Ă la fois. Avec beaucoup de bienveillance envers moi-mĂȘme dans le processus. Accepter que je ne rĂ©ussi pas Ă chaque fois. Comprendre que dâautres blessures peuvent ĂȘtre touchĂ©es aussi. Avoir des journĂ©es meilleures que dâautres. Faire confiance au processus, et avancer. et finalement voir que jâai changĂ©e. Jâai compris que je me suis créé ça Ă rĂ©pĂ©tition dans ma vie, des situations oĂč jâai pris le rĂŽle de pauvre tite fille. Mais la rĂ©alitĂ© est que je ne suis pas pauvre, au contraire! Et je ne suis plus une petite fille! Je comprends que jâai cru ĂȘtre une victime sans ressources Ă de trĂšs nombreuses occasions dans ma vie. Mais lĂ jâai aussi compris que je le faisais parce que jây croyais. Il sera intĂ©ressant de voir la suite maintenant que je nây crois plus... Et toi, quâest-ce que cette idĂ©e de croyances nĂ©gatives face Ă toi-mĂȘme te fait ressentir?
âLaissez chanter votre coeurâ Nancy isabelle Labrie Aquarelle, pastel sec et crayon de bois sur papier, 2007 Cette illustration vous fait vibrer? Peut-ĂȘtre aimeriez-vous quâelle vous accompagne dans vos moment dâĂ©criture?https://artofwhere.com/fr/artistes/mandala-medicina/livres/carnet/2796534

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Pourquoi est-ce indispensable que l'humain créé par Dieu croit et accepte Jésus le Christ dans sa vie?
J'aimerais d'abord vous signaler que la réponse à ma question est un témoignage à l'honneur du Christ prouvé dans ma propre vie de prÚs de 10 ans; je suis aussi fermement convaincu que c'est aussi ce que peut témoigner tout vrai Chrétien à quel niveau de grùce que ce soit.
Toute personne humaine est nĂ©e avec un automatisme Ă la fois conscient et inconscient Ă pĂ©cher. Si vous voulez le constater, posez-vous les questions telles que: qui apprend Ă un bĂ©bĂ© de 3 ans ou moins comment mentir, comment accuser et peindre les autres en noir pour ĂȘtre prĂ©fĂ©rĂ© aux autres, comment rĂ©sister Ă l'autoritĂ© ?
MĂȘme sans savoir qu'il s'agirait d'un acte qu'on appelle soit mensonge, rĂ©bellion, manipulation malĂ©fique par accusation d'autrui ou autre, les enfants pĂšchent par nature adamique avec laquelle ils sont nĂ©s. Quand ces bĂ©bĂ©s avancent en Ăąge, ils embrassent trĂšs vite toute mauvaise Ă©ducation qui leur permet d'Ă©voluer dans leur Ă©goĂŻsme, Ă©vitement du chĂątiment juste et la rĂ©bellion. C'est ainsi qu'un bĂ©bĂ© qui boudait simplement en disant Ah! Papa ou Ah! Maman, vous dit j'ai droit Ă la libertĂ© selon tel droit de l'homme Ă©tabli par le monde.
Lorsque l'humain donne sa vie à Jésus:
1. Jésus lui apporte le pardon immédiat de tout péché du passé de sa vie, quel qu'il soit et réinitialise son cassier judiciaire spirituel ;
2. JĂ©sus lui accorde de dĂ©gouter, rejeter et renoncer Ă tout pĂ©chĂ© par l'acte ou la parole, que ceci soit commis par lui-mĂȘme ou par autrui.
3. Si le converti en Chrétien (nouveau ou ancien) exprime sincÚrement par la priÚre d'humilité, ce dégout du péché, surtout celui de sa propre vie, sans se relùcher, il constatera qu'il perdra le courage, l'habitude, l'automatisme de commettre les péchés du passé. C'est comme ça que nous évoluons et avançons vers la perfection que Dieu prévoit pour nous. C'est ainsi que nous avons de plus en plus la victoire sur le pouvoir du péché.
Oui, le pĂ©chĂ© a un pouvoir. N'est-ce pas que A a un pouvoir sur B, si A arrive Ă faire faire Ă B ce que B n'aurait pas fait de lui-mĂȘme sans l'intervention de A ?
Combien n'y a-t-il pas de gens qui font le mal qu'ils reconnaissent mal et qu'ils souhaitent abandonner, mais qu'ils n'arrivent pas Ă abandonner? Romains 7 : 15 - 25
Pourquoi présenter la victoire sur le Péché comme l'avantage principal du Christianisme ?
Matthieu 1 : 21 nous montre clairement que Jésus est venu pour secourir le peuple de Dieu du péché.
On ne sauve ou ne secours une personne que d'un danger ou d'entre les mains d'une autoritĂ© prĂȘt Ă nuire Ă la vie de la victime. Selon le Ciel oĂč habite le Dieu trĂšs qui rĂ©pond au nom de JĂ©sus de Nazareth, le pĂ©chĂ© met l'homme en danger, d'oĂč, il faut un secours. VoilĂ l'essence de la venue et la vie de JĂ©sus Christ sur terre.
Le péché nous livre en proie au pouvoir de la domination et de la gérance du diable.
Comment et pourquoi ?
Le diable a rĂ©ussi Ă mentir Ă l'humanitĂ© par Adam et Eve, les premiers Hommes et les a mis en conflit avec Dieu le crĂ©ateur, qui les a rejetĂ© pour un temps. Ayant perdu leur spiritualitĂ© qui avait sa base dans la communication rĂ©guliĂšre avec Dieu, le diable qui est aussi un esprit (ange prĂ©cipitĂ© du ciel) a commencer Ă manipuler les Hommes dans leurs rĂȘves, visions, rĂ©vĂ©lations et inspirations, pour leur faire faire de plus en plus de choses contre leur crĂ©ateur et par consĂ©quent contre leur propre bien-ĂȘtre.
Jésus le Oint de Dieu est venu pour que nous soyons sauvé du péché et ayons le pouvoir sur péché. Tel qu'explicité plus haut.
Qui a le pouvoir sur le pĂ©chĂ© ne peut ĂȘtre dominĂ© par le diable.
Qui n'a pas le pouvoir sur le péché est dominé par le diable de gré ou de force.
Or, sans Jésus nul ne peut vaincre le péché. Tout celui qui n'a pas Jésus dans sa vie, ne peut vaincre le péché. Ceux qui n'ont pas Jésus, s'ils ne commettent pas de péché par des actes, ils le font dans leurs pensée.
Donc, sans Jésus dans la vie d'un homme, l'homme est esclave du péché. L'homme est dominé par le péché. Et donc, l'homme est en proie au diable.
Le diable n'aime jamais et n'aimera jamais personne. Il faut donc Ă©viter d'ĂȘtre sous la domination du diable que ce soit de grĂ© ou de force.
Jésus nous délivre et nous sauve principalement du péché.
Y a-t-il une inquiétude causée par ce discours ?
Contactez-moi, si vous voulez au +243900053471
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La comparaison et lâabsence dâauthenticitĂ©
Le plus dur câest dâarrĂȘter de se dire quâon est pas au bon endroit au bon moment Ă la bonne place
Le plus dur câest dâarrĂȘter de se dire que tâas envie dâĂȘtre ailleurs, dâavoir la tĂȘte ailleurs, de te dire que tâes pas au bon endroit au bon moment.Â
Se dire que tout vient Ă temps, que chaque chose en son temps, que ca va aller.Â
Tellement absorbĂ© par la comparaison, par ce qui se passe dans les vies dâĂ cĂŽtĂ©, de son voisin, de la personne lĂ bas sur instagram, sur facebook , regarde ce quâelle a dit elle. Comment ne pas ĂȘtre influencer? Comment ne pas se dire que moi je suis ok, ce que je fais câest bien, ma vie est cool? Comment une personne comme toi et moi pouvons nous dire ça alors que la comparaison est PARTOUT. On regarde, on sâidentifie, on est influencĂ©, impressionĂ©.Â
Le rĂ©el problĂšme câest que tout ça est inconscient, que tout ça on le pense mais sans sâen rendre compte. Au quotidien, on est absorbĂ©e par tout ça, les images, les autres, nos relations avec les autres, parfois, ou trop souvent des relations qui ne comptent pas vraiment.
On arrive trop peu souvent Ă sortir notre tĂȘte hors de lâeau, hors de nos habitudes, nos rituel. On vit par automatisme, on Ă©coute sans cesse notre cerveau. On perd de notre authenticitĂ© Ă vouloir devenir comme telle ou telle personne. On est sans cesse Ă vouloir copier. On essaie de se trouver soi mĂȘme en copiant subtilement les autres en pensant quâon trouve notre style. Alors que rien de tout cela est vrai. On est formatĂ©, sans cesse influencĂ© et on nous chuchote chaque jour ce quâon doit faire, pas faire, aimer ou pas aimer. Comment se retrouver alors avec notre nous mĂȘme avec lâabus dâinformation, de photos, de lâimportance de lâimage de soi et des autres. Comment Ă©voluer dans un monde qui nous dit comment on doit ĂȘtre, comment on doit agir, qui nous dit que telle chose est bien et quâune autre est mal, quâil y a un politiquement correct, que le chemin Ă suivre, le bon, le seul, le vrai câest celui de lâĂ©cole, des Ă©tudes, dâun travail, dâun job, dâune famille.
Pourquoi la sociĂ©tĂ© nous fait autant perdre de notre authenticitĂ©, de notre raison sur terre, de notre crĂ©ativitĂ©, de notre sensibilitĂ©? Pourquoi la sociĂ©tĂ©, les humains, lâĂ©ducation, le systĂšme nous cachent, nous envahissent, nous mettent tous dans une mĂȘme case alors quâil y a des millions. Au lieu de ca, tout le monde est mis dans un mĂȘme panier, oĂč on doit tout vivre et tout subir, une situation professionnelle, sociale, amicale, financiĂšre, matĂ©riel. On nous juge sans cesse sur ces aspects. On nous dit sans cesse quâil est bon ou mauvais de faire ça, ou suivre ce chemin.
Pourquoi on devrait tout suivre ce chemin, cette voie commune Ă tous?Â
Je ne veux pas de cette vie
Pourtant, ce qui doit vraiment compter, ce qui nous fait vibrer, ceux sur quoi on peut compter, tout ce qui est rĂ©el autour de nous. On doit Ă©couter notre coeur, nos convictions, nos envies les plus profondes.Â
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Les mĂ©thodes dâenseignement de ma grand mĂšre Ă©taient les meilleures : la lecture, lâĂ©criture.

     Je suis toujours intĂ©ressĂ© quand je vois les neurophysiologistes sâintĂ©resser Ă lâapprentissage des enfants et Ă lâenseignement, notamment primaire.      Ma grand-mĂšre mâavait appris Ă lire Ă 4 ans et mon grand-pĂšre mâapprenait Ă compter,  les quatre opĂ©rations, ainsi que des problĂšmes pratiques simples et du calcul mental. Cela mâa permis dâentrer directement Ă 6 ans en CE2 et de ne jamais mâennuyer pendant mes Ă©tudes.      Ma belle-mĂšre, qui Ă©tait institutrice, puis directrice dâĂ©cole, a appris Ă lire et Ă compter Ă mes enfants et Ă certains de mes petits enfants.      Les mĂ©thodes quâil et elles utilisaient nâĂ©taient pas fondĂ©es sur la connaissance du cerveau, mais sur une longue expĂ©rience de ce qui Ă©tait efficace et ne lâĂ©tait pas.      Depuis lâEducation Nationale a trouvĂ© ces mĂ©thodes ringardes et a prĂŽnĂ© un enseignement « beaucoup plus moderne », basĂ© sur les Ă©lucubrations de quelques inspecteurs et psychologues imaginatifs, qui voulaient ne pas « traumatiser lâenfant », mais lâinstruire en lâamusant, pour ne pas le fatiguer.      Le rĂ©sultat est probant : les enfants ne savent plus ni lire, ni compter, non seulement au sortir du CP mais mĂȘme du CE2.      Et je constate que les neurobiologistes qui voudraient tenir compte du fonction-nement du cerveau, recommandent les antiques mĂ©thodes de mes grands- parents ou parents enseignants.
     Dâabord la lecture : la mĂ©thode dite » globale » dans laquelle on apprenait des le dĂ©but de lâenseignement de la lecture, Ă reconnaitre les mots entiers, a Ă©tĂ© un vĂ©ritable Ă©chec.      Les neurobiologistes ont montrĂ© que lâapprentissage devait se faire dâune part par la rĂ©pĂ©tition, mais Ă©galement par lâassemblage de donnĂ©es logiques progressives, oĂč nos organes de perception sâhabituaient peu Ă peu Ă lâinformation.      Ainsi il fallait commencer par apprendre les lettres, en les Ă©crivants et en les prononçants pour sâhabituer Ă leur son.      Puis il fallait apprendre logiquement les syllabes simples, indĂ©pendamment de tout mot b+a=ba, b+e=beâŠ. lĂ encore en sâappuyant sur la vue et le son.      Ensuite on peut utiliser ces donnĂ©es pour reconnaitre des noms simples, associĂ©s aux images correspondantes des objets dĂ©nommĂ©s; puis aborder des syllabes plus complexes telles que « on » ou « au », et les utiliser.      Il faut attendre que ce mĂ©canisme devienne un automatisme et que lâenfant nâait plus besoin de syllaber pour lire un mot, pour avoir une approche globale.      On peut alors apprendre des mots, du vocabulaire, mais en le dĂ©finissant, et en lâassociant Ă des images concrĂštes et en associant lâĂ©criture Ă la lecture, car il y a une mĂ©moire de la main (de ses commandes motrices), complĂ©mentaire des mĂ©moires visuelle et auditive.      Et ne pas vouloir trop tĂŽt faire de la grammaire : masculin, fĂ©minin, pluriel⊠à fortiori sujet, verbe , complĂ©ments, adjectifs. Il faut dâabord que lâenfant sache lire une phrase en comprenant ce quâelle veut dire, avant de lui compliquer la tĂąche par de nouvelles notions.      Il faut quâil ait dĂ©jĂ le plaisir de lire tout seul des histoires en les comprenant.      Il est cependant nĂ©cessaire dâapprendre au prĂ©alable ce quâĂ©taient les accents et la ponctuation, par des explications des consĂ©quences pratiques de leur usage.      Cela parait fastidieux, mais câest le seul moyen pour le cerveau dâobtenir un apprentissage qui reste ensuite dĂ©finitivement, car il est devenu un automatisme inconscient.
     Demain je parlerai des âmathĂ©matiquesâ
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Ah le rĂ©gime ... Il est lĂ , aprĂšs les fĂȘtes, et parfois tout le reste de lâannĂ©e. Je reçois souvent au cabinet des personnes qui viennent mâexpliquer leur difficultĂ© Ă maigrir malgrĂ© les rĂšgles strictes quâelles sâappliquent. En effet, pour elles, et peut ĂȘtre pour vous aussi, la rĂšgle du rĂ©gime est simple : se priver. Et plus on se prive, plus on perd de calories, plus câest strict, mieux câest, câest tout Ă fait logique. Il est tellement strict parfois, câest tellement difficile, quâon craque sur une douceur et lĂ , câest le retour de notre amie culpabilitĂ© qui vient nous punir. Si une absence de rĂ©sultats pointe son nez, une petite contrariĂ©tĂ© arrive, câest le dĂ©couragement qui sâensuit. Lâabandon des bonnes rĂ©solutions aprĂšs Ă©puisement des stocks de volontĂ©, jusquâau prochain essai, le tout ponctuĂ© de « je suis gros/se » et « je suis nul/le ». Que de belles Ă©motions aidantes ! Saviez vous que le cerveau avait tendance Ă fuir les Ă©motions nĂ©gatives et que pour les compenser ... et bien il peut nous pousser Ă manger ! Et si vous vous laissiez respirer : des autorisations de vous faire plaisir, sans culpabilitĂ©. ArrĂȘter lâhyper contrĂŽle et vous faire confiance ? Saviez vous que notre inconscient suivait nos croyances ? Alors quand vous vous dites Ă vous mĂȘme « je suis gros/se » et bien votre corps vous obĂ©it. Et vous prenez du poids, presque comme un automatisme. Imaginez que vous vous rĂ©pĂ©tez, avec joie : « je suis mince, lĂ©ger/Ăšre ! » Un des exercices que je peux faire rĂ©aliser Ă une personne sous hypnose câest la faire se visualiser une fois lâobjectif atteint : mince et lĂ©gĂšre ! LâidĂ©e Ă©tant de conditionner son inconscient Ă aller atteindre le rĂ©sultat voulu, puisque pour lui il nây a pas de diffĂ©rence entre fiction et rĂ©alitĂ©. Si derriĂšre la personne passe son temps Ă se rĂ©pĂ©ter Ă elle mĂȘme « je suis gros/se » câest exactement comme si elle se faisait de lâhypnose inversĂ©e : elle conditionne son inconscient Ă grossir ! Et contre ça, je ne peux pas lutter, parce que la haine du physique peut parfois ĂȘtre vĂ©cue quotidiennement ! Ce sont vos croyances qui doivent changer, et votre corps vous suivra ! (at Marie Paquotte ThĂ©rapie)
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Ce que je suis ici n'a jamais rencontrĂ© rien ni personne. Je me rends compte que je suis double. Il y a le moi superficiel qui agit et pense comme par automatisme, par rĂ©flexe, sans que ces actions et ces pensĂ©es soit doublĂ©es de ce dĂ©doublement de la pensĂ©e qui fait savoir que l'on pense et que l'on agit, sans donc que je fasse appel Ă toute l'Ă©tendue de ma conscience, Ă ma capacitĂ© de jugement, en usant plus profondĂ©ment de mes ressources intellectuelles â dans quel cas je penserais Ă deux fois chaque action et chaque pensĂ©e qui me vientâ ; et le moi de ma pensĂ©e profonde comme conscience rĂ©flĂ©chie, sĂ©parĂ©e de la rĂ©alitĂ© de mon corps et de celle de mes sensations, qu'il envisage comme simples objets de conscience. Lequel suis-je le plus ? Y a-t-il des degrĂ©s d'ĂȘtre ? Je suis, bien Ă©videment, l'ensemble des expressions de mon ĂȘtre, de mon corps, Ă la fois pensĂ©e et inconscience. Je suis le corps, sous toutes ses formes d'animations. Il est donc tout Ă fait logique que lorsque l'on me demande sĂ©rieusement ce que je suis â la rĂ©ponse dĂ©pendant de l'Ă©tat de ma sensibilitĂ© actuelle â je rĂ©ponde : « Ma pensĂ©e. », puisque, la question, posĂ©e sĂ©rieusement, m'obligeant Ă la rĂ©flexion, je cherche une rĂ©ponse par la pensĂ©e et rencontre la pensĂ©e elle-mĂȘme, m'offrant la sensation immĂ©diate de mon existence, de mon moi â simple rĂ©action de l'attention sur la mĂ©moire. Tout n'est qu'une question d'attention. Que suis-je sans les mots ? Ne sommes-nous pas toujours que l'objet de notre attention, pourvu que dans celui-ci s'y consume les pulsions de notre chair, le dĂ©sir de la Volonté ? Qu'on nous demande ce que nous sommes sous l'emprise d'une exaltation, ne serions-nous pas tenter de rĂ©pondre par le nom de l'Ă©motion qui nous submerge ? Qu'on demande pour rire Ă l'insouciant ce qu'il est, il rĂ©pondra en riant qu'il est juste « lui-mĂȘme », car son esprit, Ă lui-mĂȘme inconnu, ne se compose pas, contrairement Ă l'ĂȘtre lucide, de rĂ©flexions introspectives, de sensations retranscrites en reprĂ©sentations de la pensĂ©e, mais seulement de ces prĂ©occupations quotidiennes, auxquelles ils pensent sans jamais penser qu'ils les pensent, sans jamais y revenir â pour lui la pensĂ©e n'est qu'un pont qu'il emprunte sans savoir entre deux actions. Qui est-il ? Comment peut-il rĂ©pondre qu'il est une pensĂ©e s'il ne s'est jamais reprĂ©sentĂ© sa pensĂ©e, si sa pensĂ©e n'est pas elle-mĂȘme un objet de ses reprĂ©sentations mentales, et donc de sa pensĂ©e ? Notre individualitĂ© est rĂ©elle mais entiĂšrement tributaire des pulsions du corps, et il se trompe celui qui la pense autonome, sĂ©parĂ©e des nĂ©cessitĂ©s instinctives de la matiĂšre.
Pour moi, ĂȘtre lucide, je me sens, je me suis totalement identifiĂ© Ă cette conscience, et le corps que j'incarne n'est plus moi, les Ă©motions qui le traversent non plus. Je suis comme le regard de la conscience et cette Ă©criture. Tout ce que je vis hors de ma pensĂ©e et de cette Ă©criture que je suis ne mâintĂ©resse plus, ne me concerne plus. Je me regarde dans le miroir et le visage que je possĂšde me fait l'effet d'un masque que je porterais en permanence. Je suis sĂ©parĂ© de mon corps, au niveau de l'identification du moi ; mais je sais que mon corps me tient, que sans lui je ne suis pas. Et je ne sais pourquoi je m'identifie Ă cette pensĂ©e plutĂŽt qu'Ă autre chose. Les pulsions instinctives du corps ont leur raison que ma raison ignore⊠Pourquoi sommes-nous si attachĂ©s Ă la volontĂ© de se sentir ĂȘtre, de s'identifier Ă quelque chose, alors que l'impersonnalitĂ© du corps aurait suffit Ă satisfaire les besoins de l'organisme ? C'est que cette individualitĂ© qui ne fait que nous tourmenter n'est peut-ĂȘtre que le produit de notre attachement Ă des dĂ©sirs irrĂ©alisables, ces pures fantasmes de l'imagination, et dont il est impossible de se dĂ©tacher autrement que par un processus de dĂ©vitalisation, conscient ou apportĂ© naturellement par la vieillesseâŠ
Le moi n'est qu'une construction mentale. L'identité n'existe pas en dehors de la pensée. Tout n'est que matiÚre et la matiÚre n'est qu'énergie.
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Câest quoi lâinconscient ?
Câest quoi lâinconscient ?
Lâinconscient, pour commencer par une lapalissade, je dirais que câest tout ce qui se passe en dehors du champ de la conscience Ă un moment donnĂ©. Les Ă©lĂ©ments inconscients peuvent ĂȘtre de nature interne ou externe. Souvent associĂ© Ă un contexte psychologique et Ă des difficultĂ©s, angoisses, peurs, dĂ©sirs refoulĂ©s, Ă la base pourtant, lâinconscient est notre ami.
Notre cerveau est bombardĂ©âŠ
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#actes manquĂ©s#automatismes#croyances#croyances aidantes#croyances limitantes#fluiditĂ©#habitudes#inconscient#lapsus#rĂȘve#stratĂ©gies mentales#symptĂŽme
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Le surrĂ©alisme est un mouvement littĂ©raire, culturel et artistique du XX e siĂšcle, comprenant l'ensemble des procĂ©dĂ©s de crĂ©ation et d'expression utilisant toutes les forces psychiques (automatisme, rĂȘve, inconscient) libĂ©rĂ©es du contrĂŽle de la raison et en lutte contre les valeurs reçues.
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Jeudi 31 AoĂ»t 2017 â Partie 03/03 : Lac Maligne, la reusta des lacs de Jasper.
Selon les recommandations des prospectus et de mon guide, le lac Maligne porte en lui la promesse dâun des plus beaux lieux de visite du parc de Jasper. Toutefois, la route qui y mĂšne justifie Ă elle seule lâadage qui dit que « lâimportant ce nâest pas la destination, mais le voyage ». Les 40mn de route offrent qui montent au lac offrent une variĂ©tĂ© de paysage et de curiositĂ© absolument spectaculaire : Tout dâabord les vues sur la vallĂ©e et ses riviĂšres en serpent donnent lâimpression de se trouver face Ă un dĂ©cor tropical. Plus loin, la route marque une Ă©pingle et offre une vue sur le lac MĂ©decine en contrebas. Si ce dernier nâa rien dâexceptionnel, il est surplombĂ© par un impressionnant mur de barres rocheuses, aux pieds desquelles se trouve une forĂȘt manifestement dĂ©pouillĂ©e par un incendie⊠lâĂ©chelle du paysage, Ă la fois ouvert et gigantesque, a de quoi couper le souffle.
Plus haut, alors que la route perd un peu de sa superbe en sâenfonçant dans une zone forestiĂšre, je stoppe ma progression derriĂšre plusieurs vĂ©hicules arrĂȘtĂ©s sur le cĂŽtĂ© de la chaussĂ©. Du haut de son camping-car, un foutu hipster Ă barbe longue pointe son appareil Ă©quipĂ© dâun Ă©norme objectif vers le talus de mon cĂŽtĂ© de la route. Curieux, je quitte mon habitacle, pour mâapprocher du lieu de la curiosité⊠pour y trouver un ours brun ! JuchĂ© sur le talus de bord de route, la grosse bĂȘte sâaffaire Ă fouiller des buissons pour y trouve des baies, laissant entrevoir sa belle bouille et son popotin Ă nos yeux Ă©baubis. Sur la route, les locaux en pick-up qui montent travailler au lac maligne pestent Ă coup de klaxon contre les gens qui nâont pas pris la peine de se ranger sur le bas-cĂŽtĂ©. Un peu inconscient, ou dĂ©sespĂ©rĂ© (ou les deux), je mâapproche plus que de raison de lâanimal, qui ne lĂšve Ă aucun moment la truffe vers son public, pour prendre un meilleur clichĂ©. Câest Ă ce moment que le nounours se dĂ©cide Ă descendre sur la route pour poursuivre ses emplettes ; et câest le moment oĂč je me dis « non. Non non non non non. Câest bon, merci, ça suffira pour aujourdâhui ». Tout le monde se remet en marche. Ăa y est, je suis en haut de lâĂ©chelle du « lâhomme qui a vu lâhomme qui a vu lâours », expression qui me ramĂšne illico aux souvenirs des rĂ©cits de mes parents sur leur voyage canadien.
ArrivĂ© sur les rives du Lac Maligne, je dĂ©couvre un lieu bien plus touristique que je ne lâimaginais : Le « maligne Lake Chalet » qui abrite un restaurant, un magasin de souvenirs et un cafĂ©, est blindĂ© de touristes. Plus loin, on trouve carrĂ©ment un petit ensemble de bungalows de location. Devant ces installation, deux embarcadĂšres dâoĂč partent rĂ©guliĂšrement des bateaux chargĂ©s de curieux qui veulent aller jusquâau milieu du lac pour un tarif exorbitant. Pour lâexpĂ©rience sauvage du lac isolĂ© en haute montagne, on repassera, mais le tout ne dĂ©nature finalement pas trop le paysage.
Le lac Maligne est rĂ©putĂ© pour la couleur de ses eaux, mais il mâest impossible dâen profiter, le ciel sâĂ©tant encombrĂ©, ternissant les teintes et nuances du paysage, et les fumĂ©es latentes nâarrangent rien. NĂ©anmoins, la vue, avec sa jolie boat house, offre tout de mĂȘme un paysage de carte postale, avec ses pics rocheux dans le lointain et ses collines qui se superposent comme autant de calques. Je pose mon popotin sur une petite plage au sol meuble pour y bouloter la fin de mon paquet de chips, avant de commencer une boucle sur la rive nord du Lac.
Quelques centaines de mĂštres plus loin, le parc de Jasper mâoffre une deuxiĂšme surprise animaliĂšre : Dans les fourrĂ©s sur le bord du sentier, une famille dâĂ©lan est occupĂ©e Ă brouter, pas du tout inquiĂšte du petit groupe de touristes en train de les prendre en photos. Nous resterons ainsi silencieux quelques minutes Ă observer les majestueuses bestioles. Alors quâelle Ă se remet en marche aprĂšs avoir pris ses photos, une femme invite les gens arrĂȘtĂ©s : « continuez Ă marcher, ne vous arrĂȘtez pas, ces animaux nâaiment pas la proximitĂ© humaine ». Je pense avoir Ă faire avec une guide du Parc, mais il en est rien, il sâagit juste dâune experte auto-proclamĂ©e qui a dĂ©cidĂ© dâexpliquer aux gens comment vivre leur vacances. Les gens sont bizarres.
La boucle que jâai choisie longe les rives du lac pendant un petit kilomĂštre, offre des points de vue sympathiques sur le lac, peuplĂ© de japonais en canoĂ«, avant de sâenfoncer dans les bois. Je suis apparemment le seul Ă avoir choisi ce tracĂ©, puisque je ne croiserai personne durant ma longue promenade dans une forĂȘt Ă©paisse et humide, au point que jâen viens Ă me demander si je ne me suis pas perdu. Je mâarrĂȘte quelques secondes pour Ă©couter le silence, rapidement comblĂ© par le brouhaha dans ma tĂȘte qui mâencourage Ă me remettre en ordre de marche.
La boucle bouclĂ©e, je fais un petit arrĂȘt dans le Maligne Lake Chalet, pour considĂ©rer un instant les pĂątisseries offertes par le cafĂ©, avant de me raviser, lâestomac pas du tout attirĂ© par la promesse dâune douceur. VoilĂ qui ne me ressemble pas. Je flĂąne dans le magasin de souvenirs sans rien y acheter, et je regarde dâun Ćil attendri et amusĂ© les gens poser avec la mascotte du parc, sorte de gros ours en peluche grimĂ© de lâuniforme de la police montĂ©e. Je les prends en photos, me sentant un peu dĂ©plumĂ© de nâavoir personne avec qui cĂąliner le gros nounours, et me sentant un peu couillon de constituer mes souvenirs de vacances avec des photos dâinconnus. Mais bon, câest le jeu du voyage en solitaire.
Retour Ă Jasper pour prendre possession de ma chambre dans lâauberge de jeunesse. Le duo dâanciens qui tient la rĂ©ception (une anglophone et un quĂ©bĂ©quois) me donnent mon nĂ©cessaire (draps et vaisselle), et me voici installĂ© dans un grand  dortoir au sous-sol. Le couchage est exigu mais Ă ce stade, tout ce qui sera plus confortable que lâhabitacle de ma suzuki mâapparait comme un luxe Ă©hontĂ©. La cuisine a elle lâattirail complet de lâauberge de jeunesse : sans fenĂȘtre, meublĂ©es de tables longues, deux pianos de cuisson, frigos et Ă©tagĂšres Ă foison avec Ă©tiquettes et une free food shelf dans laquelle je vais directement fouiller, par automatisme, un vieux rĂ©flexe de backpacker. Une douche bien chaude plus tard (quel bonheur !), je pars faire un tour rapide du centre-ville. Jây retrouve le parking principal, rĂ©alisant quelle mauvaise idĂ©e câĂ©tait dâenvisager dây passer la nuit, mais aussi Ă quelle vitesse la vile de Jasper est passĂ©e de territoire inconnu, nocturne et hostile, Ă bourgade chaleureuse. Je prends au passage une photo du centre-ville et lâenvoie Ă Taylor, le joyeux luron canadien, natif de Jasper (que jâavais connu Ă Collaroy beach en Australie) pour lui demander si le lieu lui est familier. FidĂšle Ă lui-mĂȘme, le prodige de la guitare me rĂ©pond quâil vient de rentrer au pays la veille aprĂšs 3 ans Ă bourlinguer de par le monde. CoĂŻncidence incroyable. Il mâinvite Ă venir le voir jouer de la guitare dans son groupe sur la scĂšne du pub « Legion » le lendemain soir, pour son concert de retour. Taylor fait partie des rares personnes dont je suis sĂ»r que le tempĂ©rament implacablement joyeux et enthousiaste mâĂ©viteras toute situation gĂȘnante, jâaccepte donc le rendez-vous, quand mĂȘme anxieux Ă lâidĂ©e de me pointer dans un pub Ă lâheure de pointe pour renouer dans le bruit avec une vieille connaissance. ParĂ© dâun cafĂ© et dâune pĂątisserie de chez Tim Hortons, je me pose sur la terrasse de lâhĂŽtel avec mes prospectus pour Ă©tudier mon plan dâaction pour le lendemain. Sur le table Ă cĂŽtĂ© de moi deux jeunes aux allures de hippies se fument un pĂ©tard, et sont rejoints par deux ouvriers peintres des pays de lâEst, parĂ©s Ă cĂ©lĂ©brer la fin de journĂ©e avec un pack de biĂšre. Je reste en retrait, toujours incapable (et sans lâenvie) de copiner autour du simple Ă©change dâalcool et de fumette.
Premier jour « dâaventure » en solitaire, et me voici de retour dans les mĂȘmes chaussures quâĂ mon tout premier jour de voyage, en auberge en Australie : inadaptĂ©, paumĂ©, en retrait, sans projet, avec pour seule consolation le fait dâavoir un matelas financier et une pratique du voyage qui me fait me sentir en sĂ©curitĂ©. Alors que la lumiĂšre du jour sâĂ©puise, il devient difficile de lire mes prospectus Ă la seule lueur des lampadaires et de mon inspiration terne et infertile.
Je dĂ©ciderai du programme dans la matinĂ©e, car MorphĂ©e mâappelle, et il ne me faudra pas longtemps pour mâĂ©teindre, Ă©puisĂ©, dans mon petit lit finalement bien confortable.
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đ Explorer les Automatismes Inconscients et l'Auto-hypnose! đ§ âš
đ Salut tout le monde ! Aujourd'hui, je veux parler d'un sujet fascinant et puissant : les automatismes inconscients et comment nous pouvons les modifier Ă notre avantage en utilisant l'auto-hypnose. đ€đ
đ§ Les automatismes inconscients sont ces mĂ©canismes mentaux qui nous permettent d'accomplir des tĂąches rĂ©pĂ©titives sans avoir Ă les analyser Ă chaque fois. Cependant, parfois ces automatismes peuvent nous limiter et nous empĂȘcher d'atteindre notre plein potentiel. C'est lĂ que l'auto-hypnose intervient ! đȘđ
đ« L'auto-hypnose est une technique qui nous permet d'accĂ©der Ă notre subconscient et de modifier les automatismes qui nous conditionnent. Ă travers la relaxation et la focalisation mentale, nous pouvons communiquer avec notre esprit profond et reprogrammer nos pensĂ©es et comportements. đđ
đ Par exemple, si nous avons un automatisme inconscient qui nous pousse Ă procrastiner, nous pouvons utiliser l'auto-hypnose pour renforcer notre motivation et notre discipline, afin d'agir de maniĂšre plus productive et atteindre nos objectifs. C'est une puissante technique de transformation personnelle ! đđĄ
đŻ La clĂ© pour utiliser l'auto-hypnose de maniĂšre efficace est la pratique rĂ©guliĂšre et la confiance en notre potentiel. Pas besoin d'ĂȘtre un expert, il suffit d'ĂȘtre ouvert Ă l'expĂ©rience et prĂȘt Ă travailler sur soi-mĂȘme. Avec le temps, l'auto-hypnose peut devenir un outil prĂ©cieux pour amĂ©liorer notre vie. đâš
đ Alors, la prochaine fois que vous voulez modifier un automatisme inconscient qui vous limite, essayez d'explorer l'auto-hypnose. Trouvez un espace tranquille, dĂ©tendez-vous et laissez votre esprit s'ouvrir aux possibilitĂ©s de changement. Rappelez-vous que vous ĂȘtes les crĂ©ateurs de votre rĂ©alitĂ© ! đđ
đ J'espĂšre que ce post vous a inspirĂ© Ă explorer les automatismes inconscients et l'auto-hypnose comme outil de transformation personnelle. Rappelez-vous que le pouvoir de changer est en vous ! đ«đȘ
#AutomatismesInconscients #AutoHypnose #TransformationPersonnelle #CroissanceIntérieure #PouvoirDeL'Esprit #Conscience #ExplorationPersonnelle
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Pourquoi est-ce indispensable que l'humain créé par Dieu croit et accepte Jésus le Christ dans sa vie?
J'aimerais d'abord vous signaler que la réponse à ma question est un témoignage à l'honneur du Christ prouvé dans ma propre vie de prÚs de 10 ans; je suis aussi fermement convaincu que c'est aussi ce que peut témoigner tout vrai Chrétien à quel niveau de grùce que ce soit.
Toute personne humaine est nĂ©e avec un automatisme Ă la fois conscient et inconscient Ă pĂ©cher. Si vous voulez le constater, posez-vous les questions telles que: qui apprend Ă un bĂ©bĂ© de 3 ans ou moins comment mentir, comment accuser et peindre les autres en noir pour ĂȘtre prĂ©fĂ©rĂ© aux autres, comment rĂ©sister Ă l'autoritĂ© ?
MĂȘme sans savoir qu'il s'agirait d'un acte qu'on appelle soit mensonge, rĂ©bellion, manipulation malĂ©fique par accusation d'autrui ou autre, les enfants pĂšchent par nature adamique avec laquelle ils sont nĂ©s. Quand ces bĂ©bĂ©s avancent en Ăąge, ils embrassent trĂšs vite toute mauvaise Ă©ducation qui leur permet d'Ă©voluer dans leur Ă©goĂŻsme, Ă©vitement du chĂątiment juste et la rĂ©bellion. C'est ainsi qu'un bĂ©bĂ© qui boudait simplement en disant Ah! Papa ou Ah! Maman, vous dit j'ai droit Ă la libertĂ© selon tel droit de l'homme Ă©tabli par le monde.
Lorsque l'humain donne sa vie à Jésus:
1. Jésus lui apporte le pardon immédiat de tout péché du passé de sa vie, quel qu'il soit et réinitialise son cassier judiciaire spirituel ;
2. JĂ©sus lui accorde de dĂ©gouter, rejeter et renoncer Ă tout pĂ©chĂ© par l'acte ou la parole, que ceci soit commis par lui-mĂȘme ou par autrui.
3. Si le converti en Chrétien (nouveau ou ancien) exprime sincÚrement par la priÚre d'humilité, ce dégout du péché, surtout celui de sa propre vie, sans se relùcher, il constatera qu'il perdra le courage, l'habitude, l'automatisme de commettre les péchés du passé. C'est comme ça que nous évoluons et avançons vers la perfection que Dieu prévoit pour nous. C'est ainsi que nous avons de plus en plus la victoire sur le pouvoir du péché.
Oui, le pĂ©chĂ© a un pouvoir. N'est-ce pas que A a un pouvoir sur B, si A arrive Ă faire faire Ă B ce que B n'aurait pas fait de lui-mĂȘme sans l'intervention de A ?
Combien n'y a-t-il pas de gens qui font le mal qu'ils reconnaissent mal et qu'ils souhaitent abandonner, mais qu'ils n'arrivent pas Ă abandonner? Romains 7 : 15 - 25
Pourquoi présenter la victoire sur le Péché comme l'avantage principal du Christianisme ?
Matthieu 1 : 21 nous montre clairement que Jésus est venu pour secourir le peuple de Dieu du péché.
On ne sauve ou ne secours une personne que d'un danger ou d'entre les mains d'une autoritĂ© prĂȘt Ă nuire Ă la vie de la victime. Selon le Ciel oĂč habite le Dieu trĂšs qui rĂ©pond au nom de JĂ©sus de Nazareth, le pĂ©chĂ© met l'homme en danger, d'oĂč, il faut un secours. VoilĂ l'essence de la venue et la vie de JĂ©sus Christ sur terre.
Le péché nous livre en proie au pouvoir de la domination et de la gérance du diable.
Comment et pourquoi ?
Le diable a rĂ©ussi Ă mentir Ă l'humanitĂ© par Adam et Eve, les premiers Hommes et les a mis en conflit avec Dieu le crĂ©ateur, qui les a rejetĂ© pour un temps. Ayant perdu leur spiritualitĂ© qui avait sa base dans la communication rĂ©guliĂšre avec Dieu, le diable qui est aussi un esprit (ange prĂ©cipitĂ© du ciel) a commencer Ă manipuler les Hommes dans leurs rĂȘves, visions, rĂ©vĂ©lations et inspirations, pour leur faire faire de plus en plus de choses contre leur crĂ©ateur et par consĂ©quent contre leur propre bien-ĂȘtre.
Jésus le Oint de Dieu est venu pour que nous soyons sauvé du péché et ayons le pouvoir sur péché. Tel qu'explicité plus haut.
Qui a le pouvoir sur le pĂ©chĂ© ne peut ĂȘtre dominĂ© par le diable.
Qui n'a pas le pouvoir sur le péché est dominé par le diable de gré ou de force.
Or, sans Jésus nul ne peut vaincre le péché. Tout celui qui n'a pas Jésus dans sa vie, ne peut vaincre le péché. Ceux qui n'ont pas Jésus, s'ils ne commettent pas de péché par des actes, ils le font dans leurs pensée.
Donc, sans Jésus dans la vie d'un homme, l'homme est esclave du péché. L'homme est dominé par le péché. Et donc, l'homme est en proie au diable.
Le diable n'aime jamais et n'aimera jamais personne. Il faut donc Ă©viter d'ĂȘtre sous la domination du diable que ce soit de grĂ© ou de force.
Jésus nous délivre et nous sauve principalement du péché.
Y a-t-il une inquiétude causée par ce discours ?
Contactez-moi, si vous voulez au +243900053471
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Cet artiste est principalement poĂšte, donc il sâinspire souvent des mots et des tournures de phrase pour crĂ©er des Ćuvres surrĂ©els. Il est assez romantique, de mĂȘme quâil aime reprĂ©senter les thĂšmes de la magie, lâoccultisme et les automatismes inconscients. Ses sujets sont assez variĂ©s, il fait autant des Ćuvres qui reprĂ©sentent la nature que des Ćuvres mettant en valeur la race humaine dans son environnement. LâĂ©criture automatique est, pour AndrĂ© Breton, une maniĂšre de laisser aller son esprit et de faire exprimer son subconscient. Il pige parfois ses idĂ©es en faisant une Ă©criture automatique avant de rĂ©aliser une Ćuvre. Plusieurs techniques abordĂ©es par bien des surrĂ©alistes sont les rĂ©cits de rĂȘves, les cadavres exquis et lâĂ©criture sous hypnose. AndrĂ© Breton a Ă©galement rĂ©alisĂ© un mur nommĂ© le `` Mur de Breton`` dans lequel il a utilisĂ© : un os de baleine gravĂ©, une boĂźte de cigales momifiĂ©es, une amulette Ă©gyptienne, un masque Tatanua, un oursin fossilisĂ©, une peinture de Joan MirĂł, une poupĂ©e maya, les pierres du lit d'une riviĂšre, un tableau de Francis Picabia, un masque iroquois, une boĂźte de papillons⊠Il a utilisĂ© cet oeuvre pour passer un message subtil tel que le respect des diffĂ©rences.
http://republique-des-lettres.com/breton-9782824900483.php
http://www.surrealiste.net/histoire/techniques-ecriture.html
http://www.andrebreton.fr/work/56600100228260
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Les mĂ©thodes dâenseignement de mon grand-pĂšre Ă©taient les meilleures : calcul
     Jâai parlĂ© hier de lecture et dâĂ©criture, aujourdâhui, parlons de calculette de numĂ©ration.
     Lâenseignement actuel trouve peu intelligent de compter sur ses doigts et veut apprendre les modes opĂ©ratoire, en nĂ©gligent les exercices rĂ©pĂ©titifs manuels fastidieux et en utilisant tout de suite calculette et ordinateur. LĂ encore câest un Ă©chec; je connais de nombreux jeunes de pus de vingt ans qui ne savent plus faire une division Ă la main, et la plupart sont nuls en calcul mental.      Bien sĂ»r il y a les calculettes et les tableurs, mais on se trompe souvent sans sâen apercevoir dâun facteur 10 ou 100, par manque dâexpĂ©rience de la numĂ©ration.      Les neurobiologistes estiment que, au dĂ©but de la rencontre avec les nombres, compter sur ses doigts est un rĂ©flexe presque inconscient et qui est salutaire pour avoir une notion pratique des premiers nombres et se familiariser avec le processus dâaddition      Avec la rĂ©pĂ©tition, la mĂ©moire crĂ©e un automatisme, mais compter sur ses doigts nâest pas, comme on le croit aujourdâhui, un rĂ©flexe de mauvais Ă©lĂšve ou de manque dâintelligence. Câest au contraire une stratĂ©gie intelligente     Et dans le cerveau, certaines zones motrices caractĂ©ristiques des doigts et des nombres sont proches voire se chevauchent.      Câest dâailleurs de lâusage de nos dix doigts que provient le systĂšme dĂ©cimal.      Son apprentissage ne doit pas ĂȘtre thĂ©orique. Mon grand-pĂšre pour me faire comprendre le systĂšme utilisait des buchettes (des allumettes sans phosphore). Chacune reprĂ©sentait une unitĂ© et il les groupait par dix avec un Ă©lastique, puis par dix paquet de dix avec un gros Ă©lastique, et en mĂȘme temps me montrait comment Ă©tait liĂ©e lâĂ©criture du nombre, chaque chiffre Ă©tant en relation du nombre de buchettes, de paquets de 10 et de paquet de 100. Et il insistait bien sur les notions de 1, 10, 100, 1.000, 10.000⊠en utilisant ce point sĂ©parateur tant galvaudĂ© aujourdâhui.
     Quant aux opĂ©rations câest simple : câest la rĂ©pĂ©tition qui enseigne lâessentiel, en montrant le mĂ©canisme et en rĂ©pĂ©tant son application quelques centaines de fois.      La « table dâaddition » devient automatique Ă force de compter sur ses doigts. Quant aux tables de multiplication, il faut quâelles soient apprises par cĆur, pour que chaque item devienne un rĂ©flexe inconscient de la mĂ©moire, et ensuite le mĂ©canisme des multiplications et des divisions devient un rĂ©flexe Ă force dâen faire.      Mais Ă©videmment pour faciliter la comprĂ©hension et la mĂ©morisation, il faut montrer quâune multiplication rĂ©sulte dâadditions successives.      Et il ne faut pas encombrer de thĂ©orie par dâautres notions inutiles, tant que le rĂ©flexe nâest pas acquit. Ne parlons surtout pas de thĂ©orie des ensembles pour montrer que 2X3 = 3X2. Lâenfant sâen rendra compte trĂšs simplement par la pratique.      Enfin le calcul mental nâest plus enseignĂ© aujourdâhui. Et pourtant câest lui qui donne une idĂ©e des ordres de grandeur et qui nous Ă©vite des erreurs grossiĂšres de calcul, en nous donnant une idĂ©e approximative des rĂ©sultats. De plus il conforte la comprĂ©hension du systĂšme dĂ©cimal.      Cela me semble bĂ©nĂ©fique de prendre lâhabitude que 362 X 5 = 3620/2 = 1810, ce qui est plus facile Ă faire de tĂȘte, ou que 25 X 9 = 250-25 = 225
     Enfin je vais faire hurler certains professeurs, mais il faudrait ne plus faire des classes par âïżœïżœgeâ, mais grouper les Ă©lĂšves par niveaux de compĂ©tences pour chaque matiĂšre. Ce nâest pas trĂšs compliquĂ© Ă faire, cela ne demande pas de moyen supplĂ©mentaire, et toutes les Ă©tudes faites sur des milliers dâĂ©lĂšves ont montrĂ© que câĂ©tait beaucoup plus efficace pour les Ă©lĂšves de tous niveaux. Et cela nâempĂȘche pas la mixitĂ© sociale.
Jâen reparlerai dans un prochain article.
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Comment maximiser la guérison
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Résumé
Dans cet épisode, je vous propose de découvrir comment maximiser votre guérison, indépendamment du problÚme de santé que vous pouvez avoir. Quand on étudie une voie de guérison, il faut observer les dimensions physiques, émotionnelles, psychologiques et spirituelles de la personne. Chez les personnes ayant expérimenté une guérison spontanée, on a distingué 4 caractéristiques récurrentes :
Elles reconnaissent de maniĂšre innĂ©e lâexistence dâune intelligence supĂ©rieure en nous et les capacitĂ©s exceptionnelles de notre corps. La physiologie phĂ©nomĂ©nale de notre corps, tout ce qui le fait fonctionner inconsciemment est une forme dâintelligence extraordinaire dont il faut ĂȘtre conscient.
Elles ont compris que leurs pensées et leurs émotions influent sur leur santé physique. Chaque pensée a un impact biochimique sur notre physiologie et nous créons ainsi qui nous sommes et qui nous devenons. Par exemple, si vous doutez beaucoup, vous allez créer des équivalents biochimiques dans votre corps.
Elles ont compris lâimportance de se rĂ©inventer pour changer sa vie. Quand on fait toujours la mĂȘme chose de la mĂȘme maniĂšre, rien ne change. Nous devons apprendre Ă nous amĂ©liorer et Ă changer notre personnalitĂ©, nos Ă©motions, nos pensĂ©es pour devenir quelqu'un dâautre et avoir un impact diffĂ©rent sur notre santĂ©.
Enfin, pour pouvoir se rĂ©inventer, il faut pouvoir sortir de nos automatismes de pensĂ©es et dâaction. Il est indispensable de dĂ©velopper ses capacitĂ©s dâattention pour sortir des routines. Vous devez prendre la dĂ©cision consciente de changer et en faire votre prioritĂ© de vie.
Si vous avez vraiment envie de guĂ©rir, faites-en votre prioritĂ© de vie, avant toute autre chose. Commencez Ă vous transformer, vos pensĂ©es et Ă©motions, votre comportement, vos actions pour devenir une meilleure version de vous-mĂȘme. Sortez de votre zone de confort, affrontez vos peurs du changement, recentrez-vous sur vous-mĂȘme et rĂ©inventez-vous.
Texte intégral
Dans cet Ă©pisode, je vous propose de dĂ©couvrir comment maximiser votre guĂ©rison. Parce que la vie est bien trop magique pour ĂȘtre petite et que nous avons tous besoin dâune prescription pour grandir en conscience et faire que nos rĂȘves dĂ©vorent notre vie. Bonjour, je suis le Docteur Yannick Pauli, bienvenue Ă un nouvel Ă©pisode dâUne Grande Vie. Vous le savez, chaque semaine, je vous propose des stratĂ©gies pratiques pour grandir en conscience, quâelle soit dâordre physique, Ă©motionnel, psychologique ou spirituel, parce que c'est cette conscience qui est au cĆur de notre Ă©volution en tant quâĂȘtre humain et dâune vie pleinement vĂ©cue.
Cette semaine, jâavais envie de partager avec vous des stratĂ©gies pour maximiser votre guĂ©rison, indĂ©pendamment du problĂšme de santĂ© que vous pouvez avoir, en explorant une dimension assez intrigante de cette santĂ©. La raison pour laquelle jâai Ă©tĂ© inspirĂ© pour faire cette vidĂ©o, c'est que derniĂšrement, jâĂ©tais en train de lire et faire des recherches sur les guĂ©risons spontanĂ©es. Des recherches ont Ă©tĂ© faites, notamment par lâInstitut des Sciences NoĂ©tiques aux Ătats-Unis, qui a fait tout un travail de recherche sur les guĂ©risons spontanĂ©es, c'est-Ă -dire des gens qui avaient des maladies documentĂ©es mĂ©dicalement, et qui sont partis en rĂ©mission spontanĂ©e. C'est trĂšs intĂ©ressant, des milliers de maladies sont documentĂ©es oĂč certaines personnes sont passĂ©es dâayant cette pathologie Ă ne lâayant plus en une pĂ©riode de temps trĂšs courte. Pour moi, c'est toujours intĂ©ressant de se dire que finalement, observons ce qui marche, observons la rĂ©ussite. Si vous voulez comprendre la santĂ©, il faut Ă©tudier les gens qui sont en bonne santĂ©, pas uniquement Ă©tudier les gens malades et imaginer que la santĂ© est lâinverse. Si on veut guĂ©rir de quelque chose, apprenons des gens qui ont eu des guĂ©risons vraiment spectaculaires, c'est-Ă -dire qui avaient des maladies qui potentiellement Ă©taient incurables et qui sont partis en guĂ©rison, en rĂ©mission spontanĂ©e.
Si on regarde le modĂšle que jâutilise pour les soins, quand on apprend, on cherche quelqu'un, il faut qu'on regarde 4 grandes dimensions : la dimension physique, la dimension Ă©motionnelle, la dimension psychologique et la dimension spirituelle. Pour la plupart dâentre nous, avec les avancĂ©es de la mĂ©decine moderne, on est au courant de ce lien qui existe entre le corps et lâesprit et lâinfluence de lâesprit sur notre corps. Nous avons tous eu des expĂ©riences oĂč vous devez faire une prĂ©sentation en public ou devant vos collĂšgues, vous avez la boule au ventre, vous faites lâexpĂ©rience de ce lien entre le corps et lâesprit. Mais au-delĂ de ça, pour beaucoup dâentre nous, c'est encore un lien trĂšs conceptuel. Au fur et Ă mesure de mes annĂ©es dâexpĂ©rience clinique, plus de 17 ans maintenant, la plupart des gens nâapprĂ©cient vraiment pas Ă quel point cette dimension Ă©motionnelle, psychologique et spirituelle impacte leur corps physique. Ils nâont pas lâapprĂ©ciation de ce que cela demande au niveau dâune rĂ©alisation, dâune prise de conscience Ă ces niveaux-lĂ , pour pouvoir influencer positivement notre corps.
Ce que je vais partager avec vous aujourd'hui, ce sont 4 caractĂ©ristiques des personnes qui sont passĂ©es en rĂ©mission spontanĂ©e, qui avaient des maladies souvent considĂ©rĂ©es incurables, mais qui ont malgrĂ© tout guĂ©ri. Plusieurs livres ont Ă©tĂ© Ă©crits Ă ce sujet. Aujourdâhui je vais mâinspirer des enseignements dâun chiropraticien amĂ©ricain, le Docteur John Dispenza. Vous en avez peut-ĂȘtre entendu parler si vous avez vu le film What the Bleep, il y est interviewĂ©. Câest un chiropraticien qui a eu une propre expĂ©rience de problĂšmes de santĂ©, oĂč il sâest fracturĂ© les vertĂšbres au point oĂč les mĂ©decins ont pensĂ© que sâil ne se faisait pas opĂ©rer, il allait rester paralysĂ©. Et au travers dâun travail sur lui, il a rĂ©ussi Ă rĂ©cupĂ©rer et il est parti au-delĂ de la chiropratique, dans les aspects de mĂ©ditation, de lâimpact de lâesprit sur le corps. Il parle donc de 4 caractĂ©ristiques de ces personnes.
CaractĂ©ristique 1 : LâIntelligence
La premiĂšre caractĂ©ristique, c'est la notion dâintelligence. Alors, la notion dâintelligence ici, ce n'est pas la notion dâintelligence de notre intellect. Toutes les personnes qui ont eu cette expĂ©rience de rĂ©mission spontanĂ©e croyaient, avaient la certitude, comme une forme de connaissance intrinsĂšque quâil y a une intelligence supĂ©rieure Ă lâintĂ©rieur de notre corps. Alors que vous lâappeliez intelligence innĂ©e comme nous lâappelons en chiropratique, que vous lâappeliez inconscient, peu importe. C'est la reconnaissance que notre corps est absolument incroyable. Pensez-y pendant une minute. Imaginez que demain matin vous vous levez, que lâintelligence de votre corps, qui rĂ©gule votre corps, sâen est allĂ©e, et que c'est maintenant Ă vous, consciemment, de gĂ©nĂ©rer toutes les fonctions de votre corps. Vous vous levez et vous vous dites « Qu'est-ce qu'il faut que je fasse ? Respirer pour les poumons, faire battre le cĆur, digĂ©rer les aliments dâhier soir, changer les globules rouges, respirer respirer ! DigĂ©rer, filtrer lâurine dans les reins, respirer ! Etc. » Ăa serait absolument impossible. Donc c'est la reconnaissance qu'il y a, Ă lâintĂ©rieur de notre corps, une intelligence qui dĂ©passe tout entendement intellectuel. Si on pouvait prendre tous les grands professeurs, mĂ©decins du monde, tous les brancher sur un mĂȘme ordinateur et tĂ©lĂ©charger leur cerveau, aucun dâentre eux ne serait capable de gĂ©rer la physiologie humaine. Donc il y a une intelligence phĂ©nomĂ©nale.
Des études estiment que chaque cellule de notre corps, chaque seconde, effectue environ 100 000 réactions chimiques. Donc vous multipliez ça par le nombre de cellules dans notre corps, environ 70 trillions, vous avez un chiffre qui devient absolument inimaginable de fonctions qui sont réalisées par notre organisme chaque seconde. Et pourtant, derriÚre tout ça, il y a une intelligence. Donc c'est la premiÚre reconnaissance de ces gens-là .
CaractĂ©ristique 2 : Ămotions et pensĂ©es
La deuxiĂšme caractĂ©ristique est qu'ils ont compris, reconnu, intĂ©grĂ© le fait que leurs Ă©motions et leurs pensĂ©es avaient quelque chose Ă voir avec leurs problĂšmes de santĂ©. Donc c'est vraiment la rĂ©alisation que ce qu'il se passe entre nos 2 oreilles, nos pensĂ©es, vont dĂ©clencher un certain ressenti Ă lâintĂ©rieur de notre corps, que nos pensĂ©es, il y a une composante biochimique derriĂšre, des neurotransmetteurs, des neuropeptides, des hormones qui sont associĂ©s à ça. Donc pour chaque pensĂ©e, il y a une expression physique dans notre corps. Et Ă chaque fois que nous avons une pensĂ©e, nous allons dĂ©velopper un certain ressenti, une certaine physiologie, et cette physiologie va donner un feedback Ă nos pensĂ©es, et ainsi de suite, petit Ă petit nous crĂ©ons qui nous devenons.
On devient trĂšs bon Ă faire ce que lâon fait rĂ©guliĂšrement. Un de mes amis, auteur du livre Le Muscle du Bien-Etre, Mani Hesam, parle de « muscle Ă©motionnel ». Câest un peu comme si vous musclez toujours les mĂȘmes Ă©motions, vous pouvez muscler les mĂȘmes pensĂ©es. Donc si souvent, vous avez envie dâĂȘtre dans des pensĂ©es de peur ou de doute, vous devenez bon Ă gĂ©nĂ©rer des pensĂ©es de doute et de peur, et de crĂ©er des Ă©quivalents biochimiques Ă lâintĂ©rieur de votre corps. Donc c'est une prise de conscience qu'on devient petit Ă petit la personne que lâon est, en fonction de nos maniĂšres de penser et de nos Ă©motions.
Caractéristique 3 : Ré-inventer
La troisiĂšme caractĂ©ristique de ces personnes, c'est la rĂ©alisation que si elles veulent changer, elles doivent se rĂ©inventer. Ăa veut dire que si elles sont la personne A en ce moment et que câest cette personne A, avec ses comportements, ses pensĂ©es, ses ressentis, ses Ă©motions qui a, en partie, créé le problĂšme de santĂ©, il va falloir, si on ne veut plus avoir ce problĂšme de santĂ©, suspendre cette personnalitĂ© et se crĂ©er une nouvelle personnalitĂ©, c'est-Ă -dire se rĂ©inventer, devenir quelqu'un qui a des pensĂ©es diffĂ©rentes, des Ă©motions diffĂ©rentes, des ressentis diffĂ©rents, des comportements diffĂ©rents dans la vie de tous les jours. Et ça, c'est quelque chose de fondamental.
Pour pouvoir se rĂ©-inventer, il va falloir prendre du temps pour observer, il va falloir contempler qui on est, contempler sa vie pour pouvoir avoir suffisamment de recul. TrĂšs souvent, ces personnes, pour arriver Ă se rĂ©-inventer, se sont posĂ© beaucoup de questions « Et si ? » : et si au lieu de faire comme ça, je faisais comme ça ? Et si au lieu dâavoir ces pensĂ©es-lĂ , je pensais comme ça ? Et si au lieu de manger cela, je mangeais ça ? Etc. Donc vraiment, il sâagit de se poser des questions qui vont au cĆur de qui elles sont, afin de pouvoir se crĂ©er un nouveau soi, quelque part.
LĂ -dedans, quelque chose de trĂšs important, c'est de pouvoir sâinspirer dâautres personnes qui sont aussi passĂ©es par lĂ , au travers de lectures ou au travers de contacts, de discussions, qu'on puisse vraiment changer en profondeur les pensĂ©es qu'on a, les Ă©motions qu'on a, les ressentis, les actions, les comportements, etc. C'est fondamental.
Caractéristique 4 : Attention
QuatriĂšme caractĂ©ristique de ces personnes qui sont passĂ©es en rĂ©mission, c'Ă©tait leur attention. C'est-Ă -dire quâau bout dâun moment, pour pouvoir se rĂ©-inventer, elles ont dĂ» focaliser leur attention sur cette partie dâelle-mĂȘme qui est au-delĂ au physique. Elles ont finalement dĂ» sortir des habitudes de lâespace-temps, elles ont dĂ» sortir de leur routine, sortir de ce quâelles faisaient. Ăa, ça demande vraiment une dĂ©cision. Une dĂ©cision que guĂ©rir devient une prioritĂ©. Si vous avez pris cette conscience-lĂ , vous ne pouvez pas vous dire « Tiens, je vais dĂ©dier 5 minutes par jour Ă ma guĂ©rison. Je vais prendre 10 minutes par jour pour mĂ©diter. » Non, c'est devenu une dĂ©cision, une intention que cette guĂ©rison, au travers de la reconnaissance de cette intelligence du corps, de ce lien corps â esprit et du besoin de se rĂ©-inventer, de se transformer, est devenue la prioritĂ© principale pour cette personne-lĂ , et que rien dâautre nâimporte. Dans cette prise de dĂ©cision, une chose fondamentale Ă comprendre, c'est lâintention de protĂ©ger cette intention, parce que jusquâĂ prĂ©sent, tout lâenvironnement autour dâelles allait Ă lâencontre de ça. Elles donnaient du temps pour les autres mais ne prenaient pas de temps pour elles-mĂȘmes. Elles Ă©taient toujours Ă lâĂ©coute de besoin dâautrui, de lâextĂ©rieur, de ce que le monde demandait, mais jamais pour elles. Donc une forme dâinternalisation, que maintenant, la prioritĂ©, c'est moi. Maintenant la prioritĂ©, c'est de guĂ©rir. C'est cette intention de pouvoir prendre du temps pour moi pour ne plus focaliser sur lâenvironnement extĂ©rieur, ne plus me focaliser juste sur mon corps ou juste sur mes pensĂ©es, mais pour me focaliser vraiment Ă lâintĂ©rieur, sur ce qui se cache derriĂšre la forme, sur ce qui va au-delĂ des apparences, sur cet ordre que le physicien Bohm appelle lâordre impliquĂ©, ce qui se cache derriĂšre la forme, sur ce qui va au-delĂ des apparences, ce qui se cache vraiment derriĂšre lâaspect du monde physique, pour pouvoir se connecter, pour pouvoir ĂȘtre tellement dans le moment prĂ©sent qu'on perd cette notion du temps, de lâespace, du corps, et de pouvoir se connecter avec ce qui vraiment la fabrique de notre Univers, de cette intelligence qui sâexprime au travers de notre corps.
Je voulais donc dans cette vidĂ©o vous montrer quâindĂ©pendamment de ce qu'il se passe, des problĂšmes de santĂ© que vous pourriez avoir, il y a cet aspect fondamental Ă©motionnel, psychologique et spirituel qui joue un rĂŽle bien plus profond qu'on veut le croire. Si vous voulez vous donner tous les moyens pour guĂ©rir, il faut prendre cette dimension-lĂ avec sĂ©rieux. Ce n'est pas en lui dĂ©diant 5 minutes par semaine que les choses vont se passer, mais si vous avez vraiment envie de guĂ©rir et que vous avez une problĂ©matique chronique, voilĂ un peu la marche Ă suivre : acceptez qu'il y a quelque chose de plus que nous. LĂ , on n'est pas juste dans de la croyance, c'est juste le fait de savoir, de se rendre compte, de prendre conscience de cette intelligence formidable de notre corps qui dĂ©passe tout entendement, et quâau travers de nos pensĂ©es, elles ont jouĂ© un rĂŽle dans la crĂ©ation du problĂšme, donc on peut aussi les utiliser pour crĂ©er une nouvelle solution, mais que cette solution ne passera pas par ĂȘtre le mĂȘme «nous» que nous sommes, avec les mĂȘmes pensĂ©es, les mĂȘmes Ă©motions, les mĂȘmes actions, les mĂȘmes ressentis, que nous devons nous rĂ©-inventer, et que pour cela, il faut que ça devienne une prioritĂ© pour vous, dans votre vie de tous les jours, il faut que vous ayez lâintention et que vous preniez la dĂ©cision de cette prioritĂ©, de lâintention que c'est quelque chose dâimportant et de protĂ©ger cette intention contre les demandes de lâextĂ©rieur qui, elles, vont essayer de vous sortir de cette intention, pour que vous puissiez passer plus de temps avec vous-mĂȘmes, Ă lâintĂ©rieur.
JâespĂšre que cette vidĂ©o vous inspire, surtout, si vous avez des problĂšmes chroniques. Faites-moi savoir ce que vous en pensez. Nous, on se retrouve bientĂŽt pour une nouvelle vidĂ©o. Dâici lĂ , souvenez-vous : Ă©merveillez-vous, aimez la vie et contribuez chaque jour un petit peu plus.
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