Tumgik
#bijoux de te^te
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"Meander Tiara" received by Princess Alice of Battenberg for her wedding to Prince Andrew of Greece and Denmark, 1914.
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tournevole · 4 months
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Mon très cher petit Lou je t'aime
Mon très cher petit Lou je t'aime
Ma chère petite étoile palpitante je t'aime
Corps délicieusement élastique je t'aime
Vulve qui serre comme un casse-noisette je t'aime
Sein gauche si rose et si insolent je t'aime
Sein droit si tendrement rosé je t'aime
Mamelon droit couleur de champagne non champagnisé je t'aime
Mamelon gauche semblable à une bosse du front d'un petit veau qui vient de naître je t'aime
Nymphes hypertrophiées par tes attouchements fréguents je vous aime
Fesses exquisèment agiles qui se rejettent bien en arrières je vous aime
Nombril semblable à une lune creuse et sombre je t'aime
Toison claire comme une forêt en hiver je t'aime
Aisselles duvetées comme un cygne naissant je vous aime
Chute des épaules adorablement pure je t'aime
Cuisse au galbe aussi esthétique qu'une colonne de temple antique je t'aime
Oreilles ourlées comme de petits bijoux mexicains je vous aime
Chevelure trempée dedans le sang des amours je t'aime
Pieds savants pieds qui se raidissent je vous aime
Reins chevaucheurs reins puissants je vous aime
Taille qui n'a jamais connu le corset taille souple je t'aime
Dos merveilleusement fait et qui s'est courbé pour moi je t'aime
Bouche ô mes délices ô mon nectar je t'aime
Regard unique regard-étoile je t'aime
Mains dont j'adore les mouvements je vous aime
Nez singulièrement aristocratique je t'aime
Démarche onduleuse et dansante je t'aime
Ô petit Lou je t'aime je t'aime je t'aime
Guillaume Apollinaire 
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lameravigliadoro · 10 months
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French conversation starters…
if you like your coffee with lots of cream and sugar in it
est-ce que vous pouvez rajouter du lait s’il vous plaît ?
c’est possible de mettre plus de sucre ?
vous faites autre chose que des expressos ?
un café crème, merci
→ bonus point : your friend wants to make you coffee!
moi j’aime bien quand y a beaucoup de lait et de sucre
rajoute un peu de lait…
tu peux me passer du sucre s’il te plait
if you’re afraid of making mistakes in french
je parle pas super bien français (i don't speak French that well)
corrige-moi si je me trompe, mais… (correct me if i’m wrong, but)
je vais sûrement dire une connerie, mais… (i’ll probably say something dumb, but)
j’ai commencé le français y a pas longtemps (i started learning French not long ago)
… putain mais c’est dur aussi comme langue! (it is a hard language, for fuck’s sake!)
(note de la rédaction : never apologise for making mistakes, but if you really made a huge mistake, like if you misgendered bread, you can just say “désolé.e”)
if you want to impress your friends and order in french at the restaurant
alors du coup, euh, (-> gap fillers are important too) moi j’vais prendre (insert name of food on menu), avec juste de l’eau en carafe (tap water)
c’est quoi le plat du jour? (what’s the meal of the day?)
mon ami.e va prendre des tagliatelle (my friend is taking the tagliatelle, pronounce /ta-KLI-a-t-è-l/, sorry Italians)
le pain, il est gratuit? (is the bread free?)
le poisson, il est d’aujourd’hui? (is it the catch of the day?) 
et vous le faites en végan? (do you have a vegan version?)
on peut r’avoir de l’eau ? (more water please)
le café gourmand, y a quoi avec? (what sort of mignardises/pastries/sweetmeats do you put with the expresso?)
ah bon… on va prendre le moelleux alors je pense… ah vous faites juste un fondant, bah va pour fondant alors… (so, uhm, I think we’re gonna take the spongy chocolate cake, ah you only do a chocolate fondant, well, we’ll go with the chocolate fondant then…)
on peut avoir l'addition ? (could we have the bill?)
(note de la rédaction : always say s’il vous plaît, it doesn’t hurt a fly to say it, so say it! even if the waitress/waiter doesn't seem very nice, they have to deal with French people on a daily basis, show some kindness…)
if you go to thrift shops
c’est quoi la taille ? (what’s the size?)
elles sont à combien les lunettes/bagues ? (how much for the glasses/rings)
ils sont à combien les bérets/bonnets/bijoux/foulards/pin’s ? (how much for the berets/beanies/jewelry/scarf/pin’s)
vous la/le faites à combien ? (how much for this?)
vous auriez des salopettes ? et des pattes d’eph ? et des dos nu ? (do you have dungarees? flared trousers? halterneck?)
regarde ce que j’ai chopé en fripe l’autre jour! (look what i got at the thrift shop the other day!)
if you like to talk about politics
t’as vu les infos ? (did you check the news?)
putain t’as vu ce qu’il a dit (insert name of Minister, President, MP, political figure) ? (did you see what they said?)
ce projet de loi c’est n’importe quoi de toute façon (this bill is nonsense anyway)
c’est qui les candidats aux :
Européennes (for the European Parliament)
Municipales (Local)
Régionales (Local too)
Sénatoriales (Parliament, but with the old white men)
Législatives (Parliament, but with the younger white men)
Présidentielles (also white men)
c’est quand la prochaine manif ? (when’s the next protest?)
c’est des polémiques à la con (these are bloody stupid controversies)
moi, je suis d’accord/pas d’accord avec :
les verts (green MPs, called EELV)
les insoumis (“the unsubmitted” from “La France Insoumise”, they’re a left/far-left leaning group, and the biggest left-wing group at the Parliament atm, called LFI)
les macronistes (Macron’s group, right-wing liberals)
les républicains (traditionally, they're the right-wing group, called LR)
les communistes (pretty transparent, they're call PCF)
les socialistes (same here, called PS)
le RN ("Rassemblement National", the far-right group, heirs of the French version of the Nazis and Vichy France)
les macronistes et républicains sont d’accord sur (insert typical right-wing policies)
les députés RN sont des fachos, t’es pas d’accord ? (the National Rally MPs are fascists, don’t you agree?)
j’ai écouté (insert name) à la télé/radio/sur twitch/au meeting, c’était pas bête quand elle/il a dit que…
if you want to chat in French with your cat
t'as déjà mangé tes croquettes toi ? (did you eat your kibble already?)
t'es trop mignon comme potichat (internet slang for "petit chat") toi ! (you're too cute a kitty)
il est où ce sale chat ?! (where's the bloody cat?!)
descends de là Félix/Biglouche/Garfield/Caramel/Noireau/Tigrou/Gribouille/Minette/Blanchette/Mistigri/Minou/add other typical French names for cats ! (get down from here!)
miaou (meow)
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à la prochaine!
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sofya-fanfics · 4 months
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Père Noël Secret
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Fandom : Spy x Family
Relationship : Damian x Anya
Je me suis inspirée d’un prompt de @youneedsomeprompts sur Tumblr : Père Noël Secret.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Il y a quelques jours, Becky avait décidé de réunir toute la classe pour tirer au sort les Pères Noël secrets. Damian avait pioché le nom d’Anya. Depuis, la seule chose à laquelle il pensait, c’était ce qu’il pourrait lui offrir.
Disclaimer : Spy x Family appartient à Tatsuya Endo.
AO3 / FF.NET
Damian se dirigea vers le marché de Noël. Il avait passé tout l’après-midi à regarder les boutiques, mais il n’arrivait pas à trouver le cadeau idéal. Il mit sa main dans sa poche et serra le papier qui s’y trouvait. Il soupira. Sur ce papier, le nom d’Anya y était inscrit.
Il y a quelques jours, Becky avait décidé de réunir toute la classe pour tirer au sort les Pères Noël secrets. Il avait pioché le nom d’Anya. Depuis, la seule chose à laquelle il pensait, c’était ce qu’il pourrait lui offrir. Rien ne lui semblait assez bien. Il pourrait lui acheter des cacahuètes ou un goodie de Bondman. Il secoua violemment la tête. C’est n’importe quoi, pensa-t-il. Il ne pouvait pas lui offrir un cadeau aussi insignifiant. Même s’il était sûr que le goodie de Bondman lui ferait plaisir. Il se demanda qui elle avait tiré au sort. Il avait le secret espoir que se soit son nom, même s’il savait que cela était improbable.
Il arriva au marché de Noël et regarda les différents stands. Rien ne semblait convenir. Il voulait lui offrir le cadeau parfait, mais il commençait à croire qu’il n’existait pas. Il se dirigea vers un stand où plusieurs bijoux étaient déposés. Il écarquilla les yeux en voyant un bijou en particulier. Il s’agissait d’une chaîne en argent et d’un pendentif en verre en forme de bille. À l’intérieur du pendentif, un papillon vert y était gravé.
Il venait de trouver le cadeau idéal pour Anya. Il arrivait parfaitement à l’imaginer avec ce pendentif autour du cou. Il montra au vendeur le pendentif qu’il voulait et paya. Il passa le reste de la journée avec un immense sourire aux lèvres. Il était impatient de donner son cadeau à Anya.
******
Une semaine était passée. Il ne restait plus que quelque heures avant que les cours ne se terminent et que commencent les vacances de Noël. Toute la journée, les élèves de la classe avaient échangé leurs cadeaux, découvrant qui était leur Père Noël secret. Damian n’avait pas reçu de cadeau et il n’avait pas encore donné le sien à Anya.
Il était midi et Anya était seule dans la salle de classe, en train de finir un devoir qu’ils devaient rendre. Toute la matinée, Becky était restée avec elle. Puisqu’elle était seule, c’était maintenant où jamais. Il prit une profonde inspiration et avança vers elle. Anya leva les yeux vers lui, surprise. Le cœur de Damian s’accéléra, ses mains étaient moites. Il se demanda pendant une seconde s’il allait réussir à lui donner le cadeau.
« C’est pour toi. C’est moi ton Père Noël secret. »
Il lui tendit le petit paquet cadeau rectangulaire de couleur bleu clair entouré d’un nœud argenté. Il savait qu’il avait été un peu brusque, mais il était tellement nerveux, qu’il ne savait pas comment s’y prendre. Il n’arrivait pas à agir normalement. Anya accepta le paquet cadeau et l’ouvrit. Elle écarquilla les yeux en découvrant ce qu’il y avait à l’intérieur.
« Si ça ne te plaît pas, je peux t’offrir autre chose. Une figurine de Bondman, par exemple. »
Mais quel idiot, pensa-t-il. Il avait envie de se gifler. Pourquoi est-ce qu’il avait dit ça ? Anya sortit le pendentif du paquet et l’observa.
« C’est magnifique ! S’exclama-t-elle. C’est le plus beau bijoux que j’ai vu. »
Damian rougit. Anya attacha le pendentif autour de son cou. Elle avait un immense sourire aux lèvres et il pouvait voir qu’elle aussi rougissait.
« Moi aussi j’ai quelque chose pour toi. »
Elle prit son sac et fouilla à l’intérieur. Elle sortit un paquet cadeau rouge décoré de dessins de flocons de neige.
« C’est moi ton Père Noël secret. »
Elle lui tendit le cadeau, gênée. C’était la première fois que Damian la voyait si peu sûre d’elle. Il prit le paquet et l’ouvrit. Il y découvrit une écharpe bleue marine. Il la regarda d’un peu plus près et vit qu’elle était faite main. Il écarquilla les yeux. Elle avait tricoté elle-même l’écharpe.
« Je n’avais pas les moyens de t’offrir un cadeau comme tu as l’habitude d’en avoir, dit-elle presque comme si elle s’excusait. Alors je me suis dit que te tricoter cette écharpe serait une bonne idée. »
C’est vrai qu’il avait l’habitude de recevoir des cadeaux qui venaient des plus grandes boutiques de luxes. Mais pourtant, l’écharpe qu’il tenait était le plus beau cadeau qu’on lui avait fait. Elle avait passé du temps pour essayer de lui faire plaisir. C’était la première fois que quelqu’un avait ce genre d’attention pour lui. Cela le touchait. Plus qu’il ne l’aurait cru. Il mit l’écharpe autour de son cou.
« Merci, dit-il. »
Anya lui sourit et Damian remonta l’écharpe sur son nez pour cacher ses joues rouges. Anya avait aimé son cadeau et elle était son Père Noël secret. C’était le plus beau Noël qu’il n’ait jamais passé.
Fin
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corinneecrivaine · 1 month
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The Day You Healed My Soul.
Le Jour où tu as Guéri mon Âme
Chapitre 6
Entre Passé et Présent
Sapphic Romance Fanfiction
Main characters Kit and Jade (Willow 2022)
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Une douce lumière matinale réveilla doucement Kit de ses songes, bercée par les souvenirs d’Emma qui imprégnaient encore chaque recoin de sa chambre. Elle se leva, laissant son carnet sur la table de chevet, se préparant pour sa nouvelle journée. Cependant, les évènements de la veille l’avaient déstabilisée, se manifestant subtilement dans chacun de ses gestes hésitants et son regard troublé qu’elle croisa furtivement dans le miroir.
Arrivée au restaurant, elle échangea un sourire timide avec Jade avant de se plonger dans le travail. La journée s’écoula entre les services et les cocktails, les échanges complices et les regards qui en disaient plus que des mots.
Jade évoqua l’invitation de Boorman.
— Prête pour ce soir ? Demanda-t-elle.
Kit hésita, ses yeux reflétant une profonde incertitude. Se rendre à cette soirée représentait une confrontation avec ses émotions complexes et cette étincelle qui naissait au fond d’elle, une étincelle nommée Jade. Elle laissa échapper un soupir avant de répondre.
— Je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée que je vienne.
Mais Jade insista.
— Et louper les fêtes de Boorman dont toute l’île parle, impossible. (Elle posa sa main sur l’épaule de son amie.) Ce sera juste l’occasion de s’amuser un peu. On peut y aller ensemble si tu veux.
Bien que l’idée de se retrouver à cette fête la remplissait d’appréhension, elle finit par accepter.
L’heure approcha. Lorsqu’elle ouvrit la porte, les yeux pétillants de Jade éveillèrent en elle une lueur d’émerveillement. Une attirance mutuelle capturée dans leurs regards complices s’installa. Bien que toujours réservée, Kit prit une profonde inspiration, se préparant à affronter la vie qui continuait de s’écouler autour d’elle.
Arrivées sur place, les deux amies se retrouvèrent immergées dans une ambiance féerique et envoûtante. Les guirlandes lumineuses, entourant la façade de l’entrepôt de Boorman, projetaient leur éclat dansant sur la robe étincelante de Jade, la rendant encore plus séduisante. À ses côtés, vêtue d’un pantalon élégant en toile noire et d’un chemisier de soie bleu marine, Kit rayonnait d’une aura de mystère et de charme.
Le son mystique des notes de musique, parfois douces et mélodieuses, parfois percutantes, mêlé aux odeurs enchanteresses du jasmin, portées par une légère brise, submergeaient Kit d’un sentiment de plénitude.
Les deux amies se mêlaient aux invités parés de tenues extravagantes, lorsque Boorman, toujours aussi excentrique, troquant son gilet orné de taches de peinture contre une veste aux motifs psychédéliques, un pantalon assorti, arborant des bijoux fantaisistes, les rejoignit. Il écarquilla les yeux, un sourire enthousiasme.
— Vous êtes resplendissantes !
Jade le regarda et répondit avec malice.
— Merci Boorman, mais n’en rajoute pas.
Il posa une main sur son cœur d’un air dramatique.
— Vous faites un magnifique couple.
Légèrement embarrassée, Kit répliqua rapidement.
— Nous sommes amies.
A l’instant même, une voix féminine empreinte d’excitation, s’éleva au loin.
— Jade !!!
Elora rayonnait d’une beauté irréelle. Vêtue d’un pantalon blanc qui soulignait harmonieusement sa démarche, assorti à un bustier de dentelles. Les lignes et la coupe sophistiquée de sa tenue, mettait en valeur sa grâce naturelle, caressée par la magie. Le visage illuminé d’un sourire radieux, elle s’empressa de prendre son amie dans ses bras. Dans un élan de joie, Jade fit les présentations.
— Elora, je te présente Kit.
Kit esquissa un sourire chaleureux.
— Kit, voici Elora, la magicienne des pâtisseries de l’île et notre précieuse boulangère. C’est elle qui fournit notre resto en pains.
— Mesdemoiselles, je ne voudrais pas interrompre ce magnifique moment sentimental, mais si vous voulez bien vous diriger vers le buffet. S’exclama Boorman en écartant les bras, dévoilant les mets copieux qui n’attendaient qu’à être dégustés.
— Très bonne idée, je meurs de faim. S’exprima Elora avec enthousiasme.
Kit découvrait un buffet aux mille couleurs, des pyramides de fruits exotiques, aux côtés de rivières de chocolat fondus s’écoulant le long de fontaines gourmandes, ainsi que de véritables sculptures comestibles aux noms paradisiaques. Une variété de plats à base de fruits de mer, des cocktails rafraîchissants et phosphorescents.
— Tu as raison, Jade, Boorman ne fait pas les choses à moitié !
Jade prit une brochette de fruits de mer délicatement grillés qu’elle tendit à Kit.
— Tiens, goûte moi ça.
Une explosion de saveurs caressa chaque papille de sa langue, entre les sensations salées et la tendresse des fruits de mer grillés, épicés. Kit se sentait transporter dans un océan de délices. Son regard croisa celui de Jade, créant une connexion sensorielle silencieuse entre les deux jeunes femmes.
— J’ignorais que derrière cet être excentrique, se cachait un fameux cuisinier.
Elora s’empressa de répondre à Kit.
— Oh non, ce n’est pas Boorman qui a préparé tous ces plats mais son ami et mon boulanger : Lori.
Kit sourit avant de répondre.
— En tout cas ce Lori semble être un artiste en cuisine. On dirait que chaque plat est une œuvre d’art comestible. Et toi, Elora, quelle est ta spécialité ?
Elora rit doucement.
— Mes pâtisseries. Elles ont une petite touche féerique, en particulier mes muffins. .
Jade ne put s’empêcher d’intervenir et d’ajouter espièglement.
— Tu es bien modeste Elora. Lori n’a pas cuisiné tout seul et les noms de chaque préparations te reviennent de droit.
Embarrassée, la jeune femme changea de sujet.
— Je te souhaite la bienvenue Kit dans notre univers enchanté. Laisse-toi te perdre dans la magie qui t’entoure.
A l’instant même, un jeune homme arriva, avec une élégance décontractée et un sourire malicieux. Il ajusta légèrement sa veste, regarda Kit avec un air de curiosité et déclara d’une voix douce et mélodieuse.
— Si la magie ne t’a pas encore envoûtée, princesse, peut-être qu’une mélodie poétique pourrait y remédier.
Tout en s’exprimant, il s’approcha de Kit et lui fit une révérence, déposant un doux baiser sur le dos de sa main.
— Permets-moi de me présenter : Graydon.
La jeune femme fut troublée par cet homme aux longs cheveux noirs flottant sauvagement autour de son visage, une barbe naissance accentuant son allure soignée et élégante, faisant de lui, un être issu d’une époque révolue. Il arborait un costume aux tons sombres, agrémenté d’une chemise de satin blanc. Son gilet, orné de motifs de fleurs de lys, et un fin foulard de soie, accentuaient son style aristocratique.
Elora sourit et répondit à Kit avec une pointe d’humour.
— J’ignore pour quelle raison mais il a toujours tendance à se prendre pour un prince des temps anciens. (Elle se tourna gracieusement vers Graydon) Mon poète princier. Lui dit-elle avant de l’embrasser.
Graydon lui répondit amoureusement.
— Tu rayonnes d’élégance mon amour. J’adore lorsque tu portes ce pantalon et ce bustier raffinés. Ils magnifient l’éclat de tes yeux et ton charme naturel.
Exaspérée, Jade répliqua.
— On va faire un tour. Dit-elle avant de s’éloigner avec Kit.
Les deux amies se laissaient emportées par la magie envoûtante de la fête, perdues dans la féerie d’une foule vibrante au rythme de la musique. Les boissons enivrantes phosphorescentes projetaient une lueur verdoyante, rappelant des lucioles dansantes en pleine nuit dans une forêt enchantée. A chaque gorgée, une explosion fruitée de saveurs exotiques, embrasait le palais. Chaque sourire échangé, chaque silence partagé tissait un lien émotionnel qui se resserrait. Kit sentait le poids de ses émotions s’intensifier, crescendo, passionnels, au fil de ces moments partagés avec Jade. Leurs regards se croisèrent, reflétant une lueur de tendresse complice.
Un peu plus tard dans la soirée, tous se retrouvèrent assis autour d’un feu de camp dont les flammes dorées se mêlaient au bleu de la nuit étoilée. Graydon jouait de sa flûte, accompagné de musiciens locaux qui improvisaient une douce mélodie. L’air était chargé d’arômes, mélanges de la fumée du feu de bois, du parfum salé de l’océan et des effluves d’encens évoquant un sentiment de mystère. La brise marine caressait doucement chaque membre du groupe, apaisante. Scorpia les avait rejoints, blottie contre Boorman, les yeux rivés sur Kit.
Alors que tous se laissaient bercer par la musique, Boorman prit une profonde inspiration et partagea quelques mots avec Kit.
— Les parents de Graydon dirigent la distillerie familiale la plus réputée de l’île depuis des générations. Ils attendent impatiemment que Graydon prenne la relève.
— Que veut faire Graydon ? Demanda Kit, curieuse.
Boorman sourit, tenant délicatement une tasse de thé infusé de plantes locales.
— Et bien, il préfère écrire des poésies, jouer de la musique. Sa grand-mère disait souvent que la musique est un baume pour l’âme. Il trouve son accomplissement dans les arts, contrairement à l’entreprise familiale conventionnelle.
Le visage de Kit s’assombrit légèrement, ses pensées errant inconsciemment vers Emma. Elle soupira avant de demander.
— Est-ce donc si difficile pour lui de concilier ses aspirations artistiques et les attentes de sa famille ?
Boorman haussa les épaules.
— Je suppose que c’est un combat quotidien auquel il doit faire face entre ses obligations et ses choix.
Kit acquiesça et inspira profondément, appréciant la brise marine et la chaleur du feu de camp. Elle vit dans l’histoire de Graydon son propre combat émotionnel.
La musique s’interrompit doucement et les musiciens posèrent leurs instruments. Scorpia se tourna vers Elora.
— Si tu nous racontais l’histoire du gardien de l’île.
Tout le monde l’encouragea chaleureusement.
— Ok. Il y a bien longtemps, un être cherchant la rédemption pour tous ces actes passés, se perdit en mer. Seul sur sa barque, voué à une mort certaine, il fut comme attiré par un appel lointain. Les esprits bienveillants, protecteurs de l’île et la nature venaient de lui sauver la vie. En découvrant les beautés de cet endroit, il se laissa guider par les chants dans chaque arbre, chaque feuillage, chaque ruissellement des vagues.
Considéré comme un lien vivant entre la magie et les habitants, il devint le gardien de l’île. Certains prétendent qu’il est toujours là, présent, son esprit lié à cet endroit enchanté. Dans des moments calmes au milieu de la nuit, il est possible d’entendre ses murmures dans le bruit du vent. D’autres prétendent avoir vu des lumières guidant les âmes perdues.
Lori arriva à l’instant même, tout en se joignant au groupe, il ajouta.
— Autant cette île possède un côté lumineux, salvateur, autant elle possède un côté qui engloutira quiconque dans les abysses de son âme.
Scorpia en colère s’emporta.
— Bon sang, Lori, tu viens de gâcher toute l’ambiance !
Mais Lori insista.
— Allez Scorpia, ne me dis pas que tu n’as jamais eu l’impression qu’il y avait quelque chose de sinistre.
Scorpia secoua la tête.
— Non, je ne ressens rien de tel. Cet endroit est une source de guérison et de paix. C’est tout ce qui compte pour moi.
— Très bien, pense comme tu veux. Mais chacun sait qu’il ne peut y avoir de paradis sans son côté sombre. C’est la dualité de toutes choses existantes. L’ombre ne peut exister sans la lumière.
Afin d’apaiser la tension, Boorman se leva et invita chacun à le suivre.
— Mes fidèles amis, il est temps d’honorer notre tradition des lanternes à souhaits.
Il les guida vers un lieu où des tas de lanternes scintillaient comme des feux follets.
Jade, dont le visage était baigné par la douce lumière d’une lanterne, partagea avec Kit les secrets de cette coutume enchantée.
— C’est une ancienne tradition. On écrit sur ce petit parchemin notre souhait, qu’on dépose dans cette lanterne. On relâche le tout dans le ciel, et l’univers le réalise. Tiens, à ton tour.
Elle donna à Kit un petit bout de parchemin et une lanterne. Cette dernière hésita, sceptique à cette idée, et murmura.
— Un souhait… Entre le possible et l’imaginaire.
Enthousiasmée par le côté mystique de l’instant, Jade poussa son amie à accepter.
— Tu as bien un souhait, Kit. Tout le monde en a un.
— Après tout, nous sommes sur une île magique. Répondit-elle en souriant.
Kit prit le petit bout de parchemin et la lanterne et se lança dans cette aventure. Au fur et à mesure qu’elle écrivait son souhait, il lui semblait que ce geste intime était porteur de sens, comme si chaque mot posé sur ce petit bout de parchemin la reliait simultanément à Emma tout en la libérant de sa souffrance.
Alors qu’elles lancèrent ensemble, chacune leur lanterne, observant leur ascension jusqu’à ce qu’elle disparaissent dans le fond étoilé, Kit, les yeux rivés vers son souhait, laissa une pensée légèrement mélancolique tournée vers Emma.
Graydon les extirpa de leurs songes en les entourant toutes les deux de ses bras, et avec un grand sourire, partagea l’existence d’une présence mystique à la fête.
— Mesdames, seriez-vous partantes pour une escapade en territoire mystique. Une source sûre m’a affirmé que la diseuse d’aventure la plus exceptionnelle de l’île est présente à la soirée.
Kit et Jade échangèrent un regard. Sans leur laisser le temps de réagir, Graydon les guida à travers la foule, dirigeant leur attention vers une petite tente située à l’écart. Les voiles rouges dansaient avec la brise nocturne, laissant filtrer une lueur tamisée
Avant de les laisser, il s’exprima avec passion.
— Prêtes à vous laisser guider dans les méandres du spiritisme ?
— Je crois qu’en matière de magie ou appelez ça comme vous voulez, ça ira pour moi. Répondit sèchement Kit.
Mais Jade, les yeux pétillants d’excitation, n’écoutait plus son amie.
— Absolument Graydon, nous sommes prêtes. Dit-elle avec engouement.
Elle ignora le regard sceptique de Kit et se dirigea vers la petite tente. Cette dernière soupira avant de la suivre et se murmura à elle-même : « Tu ressembles trop à Emma, Jade. »
Graydon, les laissa, un clin d’œil et un sourire en coin.
A l’intérieur, une femme énigmatique, les attendait, assise à une petite table ronde drapée d’un voile de velours blanc, sur laquelle reposaient divers outils ésotériques. Ses mains gantées de fines dentelles noires étaient jointes devant elle et son allure mystérieuse, accentuée par son long manteau sombre qui masquait presque tout son corps. Ses cheveux d’un noir profond, désordonnés, encadraient son visage aux traits indiscernables, dissimulé par la lumière vacillante des bougies posées sur la table.
D’un geste gracieux de la main, elle invita les deux amies à s’asseoir. Les jeunes femmes s’exécutèrent, se regardant l’une et l’autre, silencieuses avant de prendre place.
La diseuse d’aventure prit doucement la main de chacune, ses doigts gantés glissant tendrement sur leur peau. Malgré l’aura de mystère qui l’entourait, cette femme semblait empreinte de bienveillance. Lorsqu’elle s’exprima, sa voix douce et mélodieuse résonna comme un écho dans leur esprit.
Tout en murmurant, elle leur dit :
— Nous allons explorer ensemble les profondeurs de votre être, là où résident vos aspirations les plus secrètes et vos peurs les plus enfouies. Je vous invite à vous abandonner à cette expérience, à vous laisser aller et à faire confiance au processus. Soyez ouvertes et honnêtes envers vous-mêmes.
Elle ferma les yeux et inspira profondément pour harmoniser ses propres vibrations avec celles de Kit et Jade. Après quelques secondes, elle releva les paupières et fixa les deux amies mais son attention se portait particulièrement sur Kit.
— Il y a tant d’ombres dans ton regard Kit, le passé qui s’entremêle au présent, liés tous deux par une forte douleur de l’âme, un fardeau que tu ne peux plus porter ni cacher derrière ce bandage.
Kit frissonna à l’entente de ces mots, les lumières des bougies vacillant au rythme de son cœur angoissé. Sa voix tremblait légèrement lorsqu’elle demanda :
— Qui êtes-vous ? Comment connaissez-vous mon nom et que savez-vous de ma douleur ?
Préoccupée par ce qu’elle venait d’entendre et la réaction de son amie, Jade posa délicatement une main réconfortante sur son bras tout en lui murmurant avec douceur :
— Ça va aller, Kit. Ce n’est qu’une séance.
La diseuse d’aventure esquissa un léger sourire en observant la réaction de Jade puis inspira profondément avant de répondre à Kit.
— Je suis la messagère du passé et du présent. Je perçois au-delà des apparences et ressens les émotions les plus profondes de l’âme. Ta douleur est si visible dans ton aura, une souffrance qui te hante depuis bien trop longtemps. Subsistent, une absence, un amour, tous deux inachevés. Ton père connaissait les mystères de cette île. Ta bien-aimée Emma a laissé en toi une flamme qui te consume.
Les mots frappèrent Kit comme un coup de poing glacial à l’âme. Son cœur battait la chamade, balayant toute tentative de calme intérieur. Ne sachant plus quoi penser ni quoi ressentir, entre colère, tristesse, et peut-être l’espoir. Elle tenta de dissimuler ses émotions mais le ton de sa voix la trahissait lorsqu’elle demanda :
— Mon père… Que savez-vous sur mon père ?
Stupéfaite par l’évolution de la séance, alors qu’elle prenait conscience de l’intense douleur liée à ce père absent qui tourmentait l’âme de son amie, Jade resserra son étreinte sur le bras de Kit pour lui témoigner sa présence et son soutien, lui adressant un regard empreint de sollicitude.
La diseuse d’aventures continua de s’adresser à Kit d’une voix douce et apaisante.
— Explore cette île, Kit, découvre ses mystères, plonge au plus profond de ton âme. Il est temps de libérer ces émotions et ces pensées qui te retiennent. N'aie pas peur de ce que tu pourrais découvrir, car c'est dans l'exploration de tes vérités les plus profondes que tu trouveras la paix.
Prise de rage, une tempête de fureur tourbillonnant en elle, Kit se leva brusquement.
— Ça suffit !!! S’exclama-t-elle en partant.
Jade se retourna vers la diseuse d’aventure, le visage marqué par l’inquiétude.
— Désolée.
Mais avant qu’elle ne puisse quitter la pièce, la femme mystérieuse l’interpella.
— Vous étiez destinées à vous retrouver en ce lieu, Jade. Vos destins sont intimement liés.
*******
Submergée par ses émotions, Kit décida de s’isoler, marchant au milieu de cette foule ivre et joyeuse, elle sentit comme un appel mystérieux qui la guida vers l’entrepôt de Boorman.
Alors qu’elle explorait cet endroit insolite, temple de tas d’objets plus étranges les uns que les autres, les lumières vacillèrent, créant des ombres dansantes sur chaque étagère. Ses pas la menèrent vers la moto. Elle s’adressa à Emma.
— Qu’est ce que je fous ici, Emma ? Je ne sais plus quoi penser, quoi ressentir.
Elle posa sa main sur le siège de la moto, ferma les yeux et se laissa emporter par le silence.
Soudain, une présence à ses côtés, brisa le calme de ses pensées. Kit rouvrit les yeux et vit une ombre s’approchant d’elle. Pendant un court instant, elle crut voir le visage d’Emma, mais lorsque la silhouette se précisa, elle réalisa que c’était Jade. Cette dernière lui adressa un regard compatissant.
— Je… Je suis désolée Kit de ce qui s’est passé à la séance de spiritisme. Murmura-t-elle tendrement.
Mais devant le silence de son amie, le regard tourné vers la moto, Jade essaya de radoucir la situation.
— Tu vas la remettre en état ?
Kit prit une profonde inspiration et hocha la tête.
— Je ne peux pas.
— Kit, accepter l’offre de Boorman ne veut pas dire que tu trahiras la mémoire d’Emma. (Elle fit une pause avant d’ajouter.) Crois-tu qu’elle aurait souhaité que tu t’arrêtes de vivre ?
— Que sais-tu de ce qu’elle aurait souhaité ou pas ! Tu ne l’as connais pas !
— Kit, écoute-moi, je…
Jade tenta de la calmer, mais Kit, les poings serrés, prit une profonde inspiration, ses émotions bouillonnaient toujours en elle et coupa court la conversation.
— Venir ici fut une véritable erreur !
Elle partit, laissant Jade seule, silencieuse, méditant sur ce qui venait de se produire.
Lorsque la jeune femme regagna son groupe d’amis, Scorpia ne put s’empêcher d’intervenir en voyant le visage de sa sœur marqué par la tristesse.
— Où est-elle ? Demanda Scorpia d’un ton sec.
— Arrête, je n’ai ni l’envie ni la force de me disputer avec toi. Répondit Jade exaspérée.
Afin de calmer la tension entre les deux sœurs, Elora s’adressa à Jade avec une grande douceur.
— Viens avec moi.
Elle l’éloigna de sa sœur et commença à la questionner.
— Que s’est-il passé ?
— J’ai blessé Kit involontairement en mentionnant Emma. Elle s’est enfermée dans sa colère. Répondit-elle tristement.
Elora lui prit les mains.
— C’est douloureux pour elle, coincée entre ses émotions passées et le présent. Retrouve-la. Dis-lui simplement que tu regrettes. Je ne pense pas que sa colère soit dirigée contre toi mais plutôt contre elle-même.
*******
Kit marchait le long de la plage baignée par la lueur de la lune, cherchant un peu de solitude pour apaiser son esprit. Elle fixait l’horizon où les étoiles, scintillant à la surface de l’océan, berçaient son âme avec la douce mélodie des vagues. La solitude et la contemplation de cette immensité naturelle étaient pour elle un refuge face à la tempête émotionnelle qui la submergeait. Lorsqu’elle tourna la tête, son regard croisa celui de Jade, immobile, à quelques mètres. Sans un mot, un torrent d’émotions passa entre elles. La brise légère caressait leurs visages et accompagnait les pas de Jade, un écho de tendresse vibrait dans l’air de cette nuit magique.
Elle s’arrêta près de Kit et leurs yeux se fixaient mutuellement. Elle s’exprima tendrement.
— Je suis désolée Kit, mon intention n’était pas de te blesser. Je sais combien c’est difficile pour toi, cette souffrance que tu traverses.
Jade lui prit doucement la main. Kit frissonna involontairement à ce contact et contre toute attente, accueillit ce geste en resserrant ses doigts autour de ceux de Jade.
— Je suis désolée Jade de m’être emportée de la sorte. Je ne sais pas comment faire face à tout cela, mes émotions, ma douleur.
— Tu n’es pas obligée d’y faire face seule.
Kit esquissa un léger sourire, puis s’abandonna contre Jade. Les deux femmes restèrent silencieuses, se laissant bercer par la douce mélodie des vagues. Les battements de leur cœur s’accordaient, et un sentiment de paix les submergea. La lune éclairait leurs silhouettes. Elles restèrent, ainsi, enlacées profitant de cet instant.
*******
Seule, chez-elle, Kit ne pouvait chasser de son esprit les paroles de la diseuse d’aventure. Assise sur son lit, elle tenta de comprendre le sens de ses propos.
Elle se murmura à elle-même « Quel lien mon père peut-il avoir avec cette île ?.»
A l’instant même, elle plongea sa main dans la couverture de son carnet et en sortit la photo d’Emma. Tandis qu’elle observait le portrait, elle repensa à la vision de l’entrepôt.
« Étais-tu réellement là ? Cet endroit est en train de me rendre folle. » Pensa-t-elle, submergée par un mélange de confusion et d’appréhension.
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bluesecchymauroses · 2 months
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KurtGaby Shop — kurtgaby
KurtGaby Shop — kurtartfactory
Two collages that I had made to present the different models and jewellery that I made in leather for my shop.
They are all handmade !
The links in my shop to buy a product or place an order:
🌿Vinted: https://www.vinted.fr/member/38165789
☀️Instagram: https://www.instagram.com/kurtartfactory
🌈Twitch (where I do orders and other artistic things): https://www.twitch.tv/kurtgaby
Do you like a model? Do you want more information about a product? Do you want a model that is no longer available? Do you want to place an order? Send me a DM 🤍
🍄FR Version🍄
Deux collages que j’avais fait pour présenter les différents modèles et bijoux que j’ai fabriqué en cuir pour mon shop.
Ils sont tous fait main
Les liens de mon shop pour acheter un produit ou passer commande :
🌿Vinted : https://www.vinted.fr/member/38165789
☀️Instagram : https://www.instagram.com/kurtartfactory
🌈Twitch (où je fais les commandes et d’autres choses artistiques) : https://www.twitch.tv/kurtgaby
Un modèle te plaît ? Tu veux + d’infos sur un produit ? Tu veux un modèle qui n’est plus dispo ? Tu veux passer commande ? Envoie moi un DM 🤍
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peut-etre · 1 year
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Toute ta télépathie me l’a dit
Tu n’es pas satisfaite tu n’es pas ordinaire
Tu as de quoi voler même les souvenirs des morts
Tu vois dans les miroirs des reflets infinis
Ils s’arrondissent tous quand ils font face à ta force
Le ciel s’efface d’un morceau au dessus de toi
Tu sens les ondes même à travers les téléphones
Tes appels sont des murmures qui ne sonnent même pas
Tu n’as pas grand chose à dire aux femmes Madones
Quand je ne comprends pas tu ris longtemps doucement derrière moi
Tous tes bijoux ont des symboliques tous tes passés sont clairs
Toute ta peau est réceptive tous tes yeux sont ouverts
Et ton salon c’est une église presque secrète
Il y a des saints devant toutes les fenêtres
Des anges assis sur le canapé
De l’eau bénite qui coule du robinet
Mais as-tu fait ta vaisselle
Ta mythologie personnelle ne t’a jamais menti
Heureusement tu n’as pas la mégalomanie
De Dieu ni de tous les heureux
Tu as vu le bout du chemin et tu es venu me le dire
C’est gentil
J’écoute d’une oreille quand doucement tu ris
J’écoute d’une oreille
Je sors mon paquet de cigarette mais tu ne supportes pas les odeurs de tabac
Ça me donne une excuse pour te fuir
C’est comme la mort de Dieu.
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mesouvenirdetoi · 3 months
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Une chanson que j'adore…❤️🎶🎵🎶
Moi, si j'étais un homme, je serais capitaine
D'un bateau vert et blanc
D'une élégance rare et plus fort que l'ébène
Pour les trop mauvais temps
Je t'emmènerais en voyage
Dans les plus beaux pays du monde
Te ferais l'amour sur la plage
En savourant chaque seconde
Où mon corps engourdi s'enflamme
Jusqu'à s'endormir dans tes bras
Je suis femme et quand on est femme
On ne dit pas ces choses-là
Je t'offrirais de beaux bijoux
Des fleurs pour ton appartement
Des parfums à vous rendre fou
Et juste à côté de Milan
Dans une ville qu'on appelle Bergame
Je te ferais construire une villa
Je suis femme et quand on est femme
On n'achète pas ces choses-là
Il faut dire que les temps ont changé
De nos jours, c'est chacun pour soi
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma
On devient économe
C'est dommage, moi j'aurais bien aimé
Un peu plus d'humour et de tendresse
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse
Ah, si j'étais un homme
Je t'appellerais tous les jours
Rien que pour entendre ta voix
Je t'appellerais "mon amour"
Insisterais pour qu'on se voit
Et t'inventerais un programme
À l'allure d'un soir de gala
Je suis femme et quand on est femme
Ces choses-là ne se font pas
Il faut dire que les temps ont changé
De nos jours, c'est chacun pour soi
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma
On devient économe
C'est dommage, moi j'aurais bien aimé
Oui, un peu plus d'humour et de tendresse
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse
Ah, si j'étais un homme
Je serais romantique
Source : Musixmatch
Compositeurs : Diane Tell
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unmondesanspourquoi · 3 months
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Après des mois d'errance, de vagabondage sur les applis, de ruptures et de bijoux réconfortants, j'ai ressenti le besoin de me reposer. C'est dingue les efforts que l'on déploie quand on relation avec les hommes cis. A force de formater ma féminité afin qu'elle reste désirable et bankable, j'en arrivais à un stade où je ne me désirais plus. Il me fallait de la tranquillité pour me reconquérir. (...) Quand tu es une femme noire ou une personne minorisée, tu sais que ton corps ne correspond pas aux attentes d'un système hétéro-patriarcal. Tu dois sans cesse résister, te protéger contre des discours, des remarques, des injonctions, des normes qui fragilisent souvent ton bien-être. Cela fait partie des luttes nécessaires à ton émancipation. (...) C'est un combat de tous les jours de croire en sa féminité et lui rendre justice. Moi, je veux faire de mon intimité un lieu sécurisant, apaisant, où l'amour et l'égalité réelles sont possibles. (...) J'ai également envie de rendre hommage aux Femmes Noires, celles de ma famille, de ma communauté et à toutes les autres qui m'ont appris à m'aimer, à célébrer chaque parcelle de ma peau, de mes cheveux, de mon corps. Elles m'ont encouragée à me réapproprier mon afroféminité. Toutes les femmes minoriseés brillent par leurs résiliences et leurs flamboyances. Je pense qu'il n'y a pas d'émancipation possible si les femmes ne se réapproprient pas leur puissance pour elles-mêmes. Pendant longtemps, j'ai cru naïvement que ma féminité se révélerait dans le regard amoureux d'un homme. Carl, Seun et les autres m'ont appris une chose : n'attends rien des mecs, Sharone et deviens la femme de ta vie."
La débrouillardise pimpante, Sharone Omankoy, Nos amours radicales
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palafoxiana · 4 months
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T'en souviens-tu Tonia ?
Désir d'appartenance, désir de possession. Notre faim de l'un pour l'autre n'était jamais rassasiée. Nous avons repoussé ensemble les limites de nos fantasmes et si je n'en avais pas conscience alors, il me faut bien reconnaître que tu as su me guider tout au long de notre relation.
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J'exigeais de toi des choses simples, croyant te soumettre en bousculant ta pudeur. J'aimais te savoir nue sous ta robe lorsque nous sortions en ville, te sentir ouverte à mes caresses et prête à accueillir mon desir. À bien y réfléchir, c'est toi qui provoquais ces opportunités à des moments où dans des lieux si inappropriés que notre excitation était à son comble.
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Puis est venu le temps de ma domination. Comment sommes nous parvenus à ce mode de fonctionnement ? En nous écrivant. Beaucoup. En nous avouant nos désirs profonds. Tu avais accepté tous mes fantasmes avant même que nous les réalisions. Mais n'étaient-ce pas aussi les tiens ? À la manière que tu as eu de me guider sur la voie de ta soumission, je comprends aujourd'hui que l'esclave dominait le maître.
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Un après midi d'hiver, alors que tu étais à genoux sur la moquette d'une chambre d'hôtel, tu t'es positionnée pour me tendre ostensiblement ton cul. Je m'en souviens précisément. L'invitation à te fesser était claire. Ma première tape ne provoqua chez toi qu'une moue dubitative et un sourire contrit. Tu remuais tes jolies fesses dans l'attente d'une action plus vive de ma part.
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Je pris alors ma ceinture et te fouettais violemment à trois reprises. Tu laissas échapper un cri de surprise puis de douleur à chaque morsure du cuir dans ta chair, mais tu ne cherchas pas à t'échapper. Lorsque j'arrêtais, le souffle court, peu sûr de moi, tu relevas la tête en me regardant avec ce sourire de satisfaction que j'avais pu apprécier en d'autres occasions.
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Puis est venu le temps des accessoires, des jouets et des bijoux pour provoquer ton plaisir ou marquer ma possession. Sextoys en tout genre, connectés ou non. Bijoux, collier et boules de geisha. J'aimais aussi t'infliger des sévices que je ne répétais que s'ils t'excitaient.
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Nous avons écrit ensemble une multitude de scénarios où nos désirs conjoints pouvaient s'épanouir en toute confiance. Et l'amour ? La passion le consume aussi vite qu'elle l'attise avec force. Les meilleures choses ont une fin.
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Jean-Paul Belmondo et Gina Lollobrigida dans “Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma” d'Agnès Varda (1995), mars 2024.
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tournevole · 1 year
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"Mort d'une putain", la carte blanche de Laure Calamy
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Mort d'une Putain
A Gabrielle Partenza A toutes, A nous autres
Enterrez-moi nue Comme je suis venue Au monde hors du ventre De ma mère inconnue
Enterrez-moi droite Sans argent sans vêtements Sans bijoux sans fioritures Sans fard sans ornement Sans voile sans bague sans rien Sans collier ni boucles d'or fin Sans rouge à lèvres ni noir aux yeux
De mon regard fermé Je veux voir le monde décroître Les étoiles le soleil tomber La nuit se répandre à sa source Et m'ensevelir dans sa bouche Muette la dernière couche Où m'étendre enfin solitaire Comme un diamant gorgé de terre
Me reposer dormir enfin Dormir dormir dormir dormir Sans plus jamais penser à rien Mourir mourir mourir mourir Pour te rejoindre enfin ma mère
Et retrouver dans ton sourire L'innocence qui m'a manqué Toute une vie à te chercher Te trouver pour pouvoir te perdre Et te dire que je t'aimais
Ecrit la nuit. Genève, 17 avril 2005. Clinique Le Cesco
Grisélidis Real
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kisilinramblings · 1 year
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Yeah! Trop contente! Je me demandais quand est-ce que Ladybug et Chat Noir allaient avoir leur EPIC PIXEL BATTLE !!
Lyrics (in French) under the read more
LB Ladybug entre en scène pour affoler ton spider-sense ! Tu veux ma photo histoire de gratter quelques cents ? Étoile montante, j’ai pas ton temps, Des villains j’en bats tant, tant que j’ai plus le montant. Pouvoir épatants, team de combattants, Et toi, qu’est-ce qui t’attend ? Livreur de pizza ? Prends-toi mes quatre saisons ! Tu perds toute identité dès que t’es loin de ta maison. Je balaie tout d’un coup de yoyo Musicalement, je t’enterre, yo ! Te retourne comme ton scénario ! Et ruine ta vie comme Mysterio !
Spidey Wesh ! Tu rushes et c’est moche ! J’comprends pourquoi tu crushes sur un riche C’est ça le pitch : un clash avec ma version wish !? Et en kitsch ! J’ai 60 ans en tête d’affiche. Tu brasses du vent comme Swish, Retourne t’occuper de tes miches ! Cette rivalité sert à rien, j’suis le maître et toi, mon kwami. Laisse-moi te dire comme Adrien : t’es juste une amie. J’ai tissé ma toile, suis dans les étoiles, Succès mondial et qui t’es toi ? Personne le sait... Waouh, mais t’es mé-cra ! Ils sont tous aveugle ou quoI !?
CN FEUR !! Besoin d’aide, ma Lady? Envie d’un peu de comédie ? On le connaît Parker, v’là des multiverses inédits !
LB Sans papa Stark, t’es game over !
CN Il est temps qu’on t’oublie.
LB Tu nous regardes de haut, CN Mais t’es qu’un bouffon vert de jalousie ! Rien qu’une cata. LB Tout le monde est triste autour de toi. Un jour, Papillon va akuma ta tata !
CN MATOUKEN à nous deux, on va tout ken !
LB La victoire est certaine !
CN Je claque des doigts
LB / CN et tu rejoins ton oncle Ben.
HM Hmm... Un super-héros en proie au doute Perte de proches, colère, les conditions y sont toutes ! Va, mon bel Akuma, emplis son coeur de rage ! Tu m’entends, Peter ? Spidey Ouais, je vais faire un carnage !! Protégez vos bijoux ou je tape dedans et c’est fini ! Nous, Avengers, on vous explose Puis vous expose dans une ménagerie ! Des minettes noires, j’en ai dompté Joue pas les caïds, j’vais vous spoiler... Papillon est ton père... Oups ! Tu vas chialer ? Sérieux, c’est quo’Astruc ? Respecte un peu ton modèle ! Un vrai miracle serait que tu jettes tes sapes à la poubelle ! Tu galères contre Agreste, j’te laisse te prendre une veste J’vais sauver vite fait l’univers, tu peux t’occuper du reste ?
LB  Pas besoin de tes Miles Morales on a déjà l’école.
CN On dirait Gwen Stacy tellement t’es explosé au sol !!
LB Dire que Plagg a tué tous les dinosaures
CN  Mais il en restait un dernier !
LB Reste à ta place ! Tu peux pas être le seul à régner Pas d’amalgame t’es qu’un nerd sans pouvoir pour te soigner.
CN  Amazing toi ? Aïe aie aïe t’es pas ressigné. Même sur Fortnite t’es pas de taille-taille pour gagner !
LB C’est fini ! Je te dis bye-bye petite araignée !
Spidey D’habitude j’aime mes stans, mais finis de jouer les comics’ Ton flow est un crime et mérite de se faire censurer par les flics ! J’viens ramasser les copies, cette fois vous l’avez mérité Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités !! Tu veux te racheter ? Chez Disney on sait y faire, D’ailleurs Mickey veut récuperer son Maxi-Outil Mystère! Comme Luka t’as de quoi plaire mais tu vas rester seul derrière Sois fière au moins je t’ai offert le plus grand feat. de ta carrière !
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sillycatglassblower · 10 months
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Collier Galaxie✨ Disponible
✨Je T'Offre L'Univers pour te montrer qu'il n'y a pas de limites à l'amour que je te porte ✨
Ce bijoux Galactique a été réalisé par une technique de filage et soufflage de verre au Chalumeau.
C'est une œuvre unique qui ne peut être reproduite à l'identique.
Artisanal et Made in Lyon 💙✨
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jeanchrisosme · 7 months
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Aime toi comme tu es !!!!… Aime tes blessures… Elles révèlent ce qui compte le plus pour toi, ce que le plus profond de ton âme recherche et ce que tu es venu guérir dans la communauté. C’est pour cela que nous choisissons de nous incarner dans les familles et situations dans lesquelles nous sommes, pour que nous puissions faire l’expérience de cette souffrance, nous l’approprier et la surmonter pour le bien de tous. Aime tes soi-disant défauts… Ils sont les bijoux spirituels qui pavent ton voyage et révèlent où abandonner le monde physique pour embrasser pleinement le monde spirituel. Ils te connectent au voyage le plus profond de l’âme – sagesse, maturité, profondeur et transcendance. Nous sommes programmés pour les voir comme des défauts, alors qu’ils sont des initiations aux mystères les plus profonds. Aime tes dysfonctionnements et tout ce qui cause la perte de tes amis, succès et te jette dans les leçons de la vie… Ils t’aident à trouver l’humour, la sagesse, la libération et ton enfant intérieur, et te détachent de ce que les autres pensent pour te permettre de trouver l’amour de toi-même et t’élever au dessus du jugement des autres. Aime ta douleur… Elle enseigne le pardon, la tolérance, la patience et donne l’humilité nécessaire pour nous unir dans une conscience plus élevée et dans l’intégrité. Elle nous montre notre pouvoir de guérison, comment nous transformer et être vrai avec qui nous sommes et ce que nous avons besoin de partager et exprimer. Aime tes failles… Elles font partie de ton génie et des aspects les plus élevés de ton être qui ont tout simplement été muselés ou abandonnés. Elles nous montrent nos dons et notre créativité, et nous aident à lâcher prise, prendre des risques et être bien dans notre peau avec nos propres frontières et standards. Aime ton Ego/identité quand il est en crise… Laisse le être la boussole qui t’indique ton Toi le plus élevé, afin que toutes actions, mots, décisions et attitudes reflètent la nature de ton empreinte divine. Il te montre comment retirer les masques, les programmes et les anciens schémas. Il enseigne comment utiliser abondamment de ton libre-arbitre et te rappelle comment être authentique, puissant, influent et exemplaire. Aime et honore toutes ces choses en toi et chez les autres, et demande toi où elles peuvent te mener et ce qu’elles signifient vraiment au lieu de comment elles te font paraître. Quand on voit la Vérité, on voit la perfection dans toutes choses et nous savons comment retrouver le chemin de la maison…
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moon-girls-stories · 1 year
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~ Hunger Games ~ Finnick Odair X F!Reader
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Synopsis : Être la fille de Snow n'est pas toujours facile. En fait, ça ne l'est jamais. Encore plus lorsque le chéri du Capitol vous plaît. Et si ce n’était que ça…
Point de vue Reader :
Je suis allongée de tout mon long sur mon lit king size, bouquinant un vieux livre d’histoire  qui raconte la chute de l’ancienne politique. Mais je ne reste pas tranquille bien longtemps, l’un des serviteurs de mon père venant toquer à la porte de ma chambre.
-Entrez !
Le serviteur entre après mon ordre. Il se courbe en avant alors que je me redresse en une position assise.
-Jameson, je vous ai déjà dit que vous n’aviez pas à vous courber devant moi sans la présence de mon père. Redressez vous. 
-Excusez moi mademoiselle. Votre père vous demande dans son bureau.
-N’est-il pas en réunion avec les vainqueurs du 4 ?
-Il demande votre présence. Je n’ai pas plus d'informations.
Je me lève de mon lit et mets mes chaussures à talons transparents, ajustant ma robe courte faites de grandes plumes synthétiques blanches. 
-Comment suis-je, Jameson ? Et sois honnête.
-Magnifique, comme à votre habitude. Mais si je peux me permettre…
Il entre complètement dans ma chambre et se dirige vers mes bijoux. Je l’observe faire, lui souriant gentiment. Il récupère un joli collier d’épaule fait de diamant sublime. Ceci est un cadeau de Cina et César pour mon 19ème anniversaire. Il m’aide à le mettre avant de reculer de deux grands pas.
-Très bien, allons-y maintenant ou mon père risque de s’impatienter.
-Je suis convaincu qu’il l’est déjà.
Je ricane avant de mettre une main devant ma bouche. Je me tourne vers Jameson, c’est un vieux monsieur bien conservé qui est au service de mon père depuis des années maintenant. Il m’a vu grandir et a essuyé d’un revers de main tous mes chagrins. Il me connait surement mieux que mon père.
-Jameson, nous ne mettons pas dans l’embarras. Les murs ont des oreilles vous savez.
-Bien sûr, mademoiselle.
Nous marchons à la hâte jusqu’au bureau de mon père, parlant tranquillement de plusieurs sujets sans importance avant de discuter des futurs Hunger Games, ce jeu ne va pas tarder à faire son grand retour.
-Quel district allez-vous parrainés cette année ?
-Je ne sais pas encore. J’aimerai aller à la rencontre des districts un par un, être en contact avec eux pour savoir quoi mettre en place pour les aider. 
-Votre demande sera refusée, mademoiselle. Les habitants de ces districts essaieront sans aucun doute de vous tuer pour se venger du président.
-Au risque de se faire incendier par mon père ? Je ne les crois pas aussi stupide, Jameson.
-Je ne veux que votre sécurité.
-Et mon père fera toujours en sorte que je le sois. Ne vous en faites pas, faites moi confiance.
Après la fin de ma phrase nous entrons sans même avoir toqué dans le bureau. Je marche jusqu’à mon père qui est assis face aux vainqueurs du district 4. Je lui embrasse la joue tendrement en m’excusant de l’attente.
-Tu es très jolie aujourd’hui. Me complimente-t-il.
-Merci, papa. Jameson m’a aidé à choisir.
Il regarde le serviteur qui a fermé les portes et reste planté devant elle, droit comme un piqué. Il lui adresse un mouvement de tête avant de me présenter d’un mouvement de main les vainqueurs. 
-Tu dois sûrement les connaître. 
-Oui bien sûr, j’ai beaucoup entendu parler de vous.
-En bien j’espère. Me sourit le seul tribut mâle.
Finnick Odair, le chouchou du Capitol entier. Enfin il est aussi connu pour les expériences incroyables qu’il offre au lit.
-Cela dépend des domaines. 
Il me sourit, ses dents blanches bien alignées scintillantes alors que Mags pose une main sur le bras d’une petite rousse, Annie. Elle a gagné ses jeux sur un pur coup de chance. Mais je suis heureuse qu'elle ait pu survivre à l’arène. 
-Pourquoi ma présence ?
-Je voulais que tu les rencontres. J'aimerais te  laisser la gestion des Hunger Games, d’ici quelques années. Il est temps que tu apprennes.
Mon visage devient livide alors que je me tourne vers lui, complètement démunie.
-Je ne suis pas une grande fan de la violence, tu le sais bien, papa. Je ne suis pas convaincue que je sois la meilleure personne pour superviser un jeu de mort imminent.
Ma réponse n’a pas l’air de lui plaire, je le vois à la contraction de sa mâchoire et ses yeux vicieux qui se posent sur moi. Je prends une inspiration avant d’essayer de m’expliquer. 
-Ecoute-moi pour une fois, s’il te plaît. Les Hunger Games sous mon commandement seront une catastrophe, je ne peux pas faire ça aussi bien que toi. Je n’ai pas ton expérience.
-C’est pour cela que tu apprendras à mes côtés. Je serai ton formateur. Ton apprentissage commence dès cette année.
Je jette un regard à Jameson qui me fait signe d’accepter. Je me retiens de soupirer et souris à mon père, comme si j’étais heureuse de la responsabilité qu’il me donne.
-Je ne te décevrai pas, papa.
-Je le sais. Finnick s’occupera de ton introduction aux dessous des Hunger Games. Tout est déjà vu avec lui.
-Oh. Très bien. Pourquoi pas les vainqueurs du 1 ou du 2 ?
-Je m’occuperai de toi comme une princesse. Les autres sont un peu brutes.
-Mais il faut l’être pour gagner les jeux, n’est-ce pas ?
-Bien sûr, mais il faut savoir être pleins d’autres choses pour gagner.
-J’ai hâte que vous m’en appreniez plus, monsieur Odair.
Je lui souris sincèrement, ce qui semble le perturbé un peu. Mon père toussote faiblement, me ramenant à lui.
-Finnick restera au petit palais avec toi, ta sœur et les domestiques.
-Bien.
-Peux-tu l’accompagner avec Jameson ?
-Avec plaisir.
Je me tourne pour faire face à Finnick qui est déjà debout, disant au revoir aux deux femmes. Je l’observe silencieusement et patiemment, il tient à elle, cela se voit par ses gestes. Il est tendre et protecteur avec elles. Il finit par se tourner vers moi avec un fin sourire mais qui ne reflète rien de particulier. Je l’invite à me suivre alors que Jameson nous ouvre les portes. 
-Jameson, demandez aux domestiques de préparer notre voyage au petit palais. Qu’ils fassent les valises, je pense que nous allons y rester un long moment.
-Très bien mademoiselle.
-Merci. Suivez-moi, je pense pouvoir vous emmener à un endroit qui devrait vous plaire.
-Ah oui ? Quel est cet endroit, mademoiselle Snow ?
- T/P T/N.
Il me regarde en fronçant les sourcils, ne comprenant pas vraiment alors que je ricane de son état. Mais je ne compte pas lui expliquer quoi que ce soit, s’il veut savoir il devra demander.
-Par ici.
Il me suit jusqu’à l’extérieur dans les jardins avant qu’on n’entre dans une serre. On suit un petit chemin avant d’arriver sur une piscine ressemblant plus à un lac à l’eau bleu turquoise magnifique.
Je me tourne vers le vainqueur et vois sa mâchoire se décrocher. Je ricane légèrement attirant son attention alors je mets une main sur ma bouche, étouffant mon rire. Il attrape doucement mon poignet et le tire doucement vers le bas, me souriant comme s’il voulait me charmer.
-Je n’ai jamais entendu quelque chose de si mignon.
Je n’ai le temps de rétorquer que Marlo débarque comme un bourrin. 
-Ne la touchez pas, vous n’en êtes ni digne ni autorisé.
-Marlo. Ai-je coupé alors que mon agent de sécurité s'approchait de Finnick, l'éloignant de moi.
-Et vous, mademoiselle, il va falloir que l’on revoit les règles de sécurité. Me dit-il durement alors que je le regarde suppliante. Et ne me faites pas votre regard de chaton en détresse. Cela ne marche pas.
Il prend ma main et me fait prendre une distance absolument exagérée du vainqueur du 4. Ce dernier sourit, amusé de la situation, pour autant je ne trouve rien de drôle.
-Visiblement s’il faut que je révise les règles de sécurité il faut que tu révises tes bonnes manières, Marlo.
-Mademoiselle n’est pas en mesure de me réprimander.
-Et pourquoi ?
-Parce que vous vous mettez en danger telle la petite fille naïve que vous êtes !
Je fronce les sourcils, nous sommes repartis pour une longue dispute pleine de cris et d'insultes.
-Hé, n’hausse pas le ton sur elle. Elle n’a fait que me montrer cet endroit.
-Où il y a de l’eau. Et tu es un tueur hors pairs au sol autant que dans l’eau.
-Il ne me fera pas de mal, Marlo. Ce n’est pas un monstre !
-C’est un tueur, mademoiselle. C’est du pareil au même.
-Vous avez fait de lui un tueur de ce que je sache alors cessez votre hypocrisie ! 
-Mais…
-Dehors ! Immédiatement !
-Votre père… !
-Je viens de te donner un ordre, exécute le ou tu le seras.
Le grand homme en smoking noir dévisage longuement Finnick avant de me regarder froidement mais je tiens son regard.
-Je ne serai pas loin.
-Parfait, faites en sorte que je ne vois pas votre tête d’ici notre arrivée au petit palais.
Il acquiesce avant de se poser je ne sais trop où en dehors de la serre.
-Tout va bien ? Me demande le blond, le visage penché en avant.
-Ce n’est pas moi qui a été insulté. Allez-vous bien, vous ?
Il semble surpris mais chasse le sentiment en quelques secondes seulement. Cette capacité à passer d’une émotion à une autre est inquiétante. Il arbore maintenant un sourire suffisant.
-Je n’ai pas pour habitude qu’on me pose cette question. Mais ça va, j’ai vécu pire.
-J’imagine.
-Vous n’avez pas l’air de vraiment savoir mon parcours. Suivez-vous les Hunger Games, mademoiselle ?
-Pas vraiment, je n’aime pas ce jeu. Il est stupide. Je préfère lire des livres contant l’histoire. Mais récemment j’ai dû m’y intéresser. Pour vous.
-Pour moi ? Interroge-t-il, presque au bord de l’hilarité.
Je fronce les sourcils, ne trouvant pas le sujet drôle.
-Riez-vous des tributs morts dans l’arène monsieur ? Ou encore de la pauvreté dans laquelle vit les populations des 5 à 12 ? Parce que je ne trouve pas cela amusant.
-Non, pardon. 
-Vous êtes quelqu’un de bizarre. Est-ce que Marlo a raison, êtes-vous fou ?
-Je suppose qu’il faut être un peu fou pour survivre au jeu. Qu’est-ce que vous en pensez ?
-Je pense qu’il faut être courageux et fort. Dans plein de domaines.
-Vous n’avez pas totalement tort.
-Bien sur.
Un blanc s’ensuit alors que je réfléchis à ce qu’il vient de me dire. Les tributs choisis ne peuvent décidément pas tous être un peu fous. Comment mon père aurait su que ces tribus étaient fou avant même que les jeux commencent ? Soudain j’entends le bruit d’un plongeon avant que de le ne m’éclabousse sur la joue. Je laisse échapper un cri de surprise avant de regarder le lac, Finnick est dedans, torse nu, seulement avec son pantalon ample. Son tee-shirt est par terre, à quelques pieds de moi. Il ressort de l’eau plus loin, secouant la tête en reprenant sa respiration.
-L’eau est-elle à votre convenance, monsieur Odair ?
-Aussi parfaite que vous, mademoiselle.
Son compliment raisonne dans la serre alors que je ne peux m’empêcher de rire à sa bêtise. Je m’installe sur un transate alors qu’une domestique arrive pour me demander les collations que je souhaite, je lui demande simplement deux limonades fraîches. Entre-temps, Jameson revient vers moi, apportant deux trois livres pour m’occuper. Il observe longuement Finnick faire des longueurs avant que je ne lui donne un coup de coude léger sur son côté, il me regarde à présent.
-Jameson, ne le regardez pas comme s’il venait d’une autre planète. C’est impoli.
-Se mettre à moitié nu devant vous est impolie, mademoiselle.
-Je l’aurai trouvé stupide s’il se baignait tout habillé.
-Il est vrai.
-Le trouvez-vous stupide Jameson ?
-Finnick Odair est quelqu’un de très malin, mademoiselle. C’est pour cela que vous devez redoubler de méfiance.
-Vous, vous avez parlé avec Marlo, je me trompe ?
-C’est possible.
Je souris à leurs comportements surprotecteurs mais dans tous les cas Finnick va m’accompagner de partout pendant un certain temps alors autant le mettre à l’aise dès maintenant. 
-Nous partirons ce soir. 
-Superbe. Merci, Jameson. Vous pouvez disposer.
Il semble hésitant avant de se courber en avant et de quitter la serre. C’est alors que Finnick nage vers moi avant de sortir de l’eau. L’eau ruisselle sur sa peau bronzée, venant finir leur course sur son vêtement.
-La vue vous plaît mademoiselle T/N ?
Je le regarde droit dans les yeux, les joues chauffantes alors que la honte grimpe en flèche dans mon corps. Je bafouille des excuses avant de porter mon attention sur mon livre d’histoire. Il s’amuse de la situation, ricanant joliment, mais encore une fois quelque chose me dérange de sa manière de faire. On dirait que toutes ses réactions sont faussées par je ne sais trop quoi. 
Il s’assoit à côté de moi, sur le transate parallèle au mien. Je ferme mon bouquin et le fixe dans les yeux, il fait de même me souriant.
-Puis-je poser une question ?
-Vous devrez payer.
-Comment payer ?
-Oh vous voulez vraiment poser votre question… 
-Dites moi.
-Un secret. Et vous aurez ma réponse.
Je fronce les sourcils, il veut un secret ? Pourquoi faire ? Je trouve ça totalement déplacé.
-Les secrets sont personnels. 
-C’est ce qui est intéressant.
-Et les gens vous disent leurs secrets ?
-Bien sûr.
-Qu’ont-ils en échange ?
Son visage se ferme quelques secondes avant qu’il ne détourne le regard, se massant le menton, comme s’il réfléchissait à la meilleure réponse.
-Qu’est-ce que vous connaissez sur moi ?
-Que vous êtes le vainqueur mâle du district 4, tout le monde vous idolâtre au capitol mais je ne comprends pas pourquoi. Vous êtes certes beau garçon et charmant je ne trouve pas que vous avez une âme exceptionnelle.
Il me regarde comme si j’étais un extraterrestre et je ne comprends pas. L’ai-je vexé ?
-Vous ne me voulez pas alors ?
-Vous vouloir pour quoi faire ?
 -Mon corps. 
Là, c'est moi qui le regarde comme s’il venait d’une autre planète. Je prends enfin conscience de ce qu’il m’avance et je lui envoie mon livre dans la figure, le surprenant. Il se l’est pris dans le nez.
-Hé !
-Non mais qu’est-ce que vous avez dans la tête ?
-C’était une simple question.
-Nous devons nous préparer pour le voyage ! Magdalen, donnez lui de quoi se sécher et dites à Jameson de s’occuper de lui. 
-Oui, mademoiselle.
Je me tourne vers Finnick toujours aussi rougeoyante. Je ne sais pas quoi lui dire alors je le dépasse en récupérant mon second livre. Je lui laisse cependant celui qu’il a dans les mains. Je me tourne de nouveau vers lui et le lui montre de l’index.
-En espérant qu’il vous serve un minimum à vous instruire.
Puis je quitte la serre, retrouvant directement Marlo.
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