Tumgik
#café et sommeil
fitnessmith · 6 months
Text
Café et sommeil profond, ce que vous devez comprendre
NOUVEL ARTICLE ET VIDÉO : Café et sommeil profond, ce que vous devez comprendre. Lien en bio @fitnessmith ou sur mon site.
Vous voulez savoir si le café va affecter votre sommeil profond ? Dans cet article, je vais répondre à vos questions sur la qualité du sommeil et la prise de caféine.   Le café, ami ou ennemi du sommeil ? Une méta-analyse[1] a exploré les effets du café et de la caféine sur le sommeil. Vous n’êtes peut-être pas consommateur de café, mais vous trouverez de la caféine ailleurs. Les sodas et…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
coovieilledentelle · 12 days
Text
Tumblr media
J'aime le sommeil, le sommeil m'aime, et le matin est contre notre relation…alors commençons par un bon café…Que cette journée même pluvieuse vous offre mille surprises et vous permette de remplir votre cœur de joie. Bon matin tout le monde …
25 notes · View notes
Text
Tumblr media
J'aime le sommeil, le sommeil m'aime, et le matin est contre notre relation...alors commençons par un bon café...Que cette journée vous offre mille surprises et vous permette de remplir votre cœur de joie. Bon matin tout le monde …
34 notes · View notes
kelthoumrambles · 4 months
Text
Ce matin, suis allée chez le psy(chologue). La séance a encore duré 2h30. Je sors de là, toute pimpante, pleine de confiance, apaisée. Ça m'a fait du bien surtout après la journée chargée d'y hier. Je reçois un mess d'un de mes poto/dealos, habitant le quartier. Je sais qu'il se demande pourquoi j'ai disparue et, il m'invite pour "un café". Il doit être 11h30 du mat'. En marchant vers sa maison, je me dis que c'est une bonne occaz' de lui dire que j'essaye de décrocher. D'un coup, mon cœur s'est mis à battre la chamade, mes mains sont devenues moites et mon cerveau s'est mis en mode CRAVING de fou malade. L'envie de consommer était plus forte que tout. Merde, en fait, c'est a very very bad idea. Trop tard, suis devant chez lui. Trop tard, je vois l'assiette et les pailles sur sa table. J'arrête pas de parler. Je lui raconte n'importe quoi. Que je reviens d'une clinique du sommeil car je suis insomniaque (au fond, j'ai juste modifié la vérité), et que blablabla "trop contente de te voir, ça fait longtemps einnh. C'est quand la prochaine teuf?" Il me répond "je monte sur Paris ce soir pour un concert, tu veux venir?" tout en préparerant les traces. Mon cerveau en ébullition "mais putain tu sors de chez le psy, t'as pris ta décision bordel ça fait 12 jours! t'es en hôpital psychiatrique tu cherches quoi!"et lui "tiens" moi "euh naan... pas aujourd'hui" il me regarde en mode "da fuck??" . Je rajoute "c'est la première fois que j'en refuse" *petit silence et rire nerveux*. En 20 min, il m'en a proposé au moins 3 fois. Il m'a dit qu'il s'inquiétait pour moi et qu'il était là pour moi si jamais j'en avais besoin. Que je compte pour lui. "T es sûre, tu veux pas?". Au final, j'ai tiré quelques taff sur son pétard puis je suis partie. Je lui ai rien dit et j'ai failli craquer comme une grosse merde mais voilà j'ai résisté mais je me sens quand même comme une grosse merde parce que j'étais à deux doigts de craquer et je pense que dans toutes les autres réalités parallèles à la notre, j'ai craqué ! Je...pfff... suis pas sûre d'y arriver.
5 notes · View notes
mauxpourdesmots · 1 year
Text
Je suis en vie
Le soleil pose doucement ses rayons sur son visage endormi Le chat arrive et se pose entre nous pour profiter de la chaleur Ses poils roux prennent toute la lumière.
L'odeur du café se répand, signe que tu es réveillé J'entends la bouilloire et l'eau qui coule dans une tasse, Le bruit de la tasse de thé sur la table de nuit me réveille.
Je me douche, l'eau chaude chasse les dernières traces de sommeil Les vêtements cachent ma peau de ton regard avide La vie reprend, les bruits de la ville, les bruits des gens, la vie.
16 notes · View notes
mister-snake · 1 month
Text
En ce moment même, il n'est même pas aux soins palliatifs mais plutôt aux soins intensifs. Son cœur fonctionnait à 50% à son arrivée à l'hôpital précédent. Ils l'ont transféré dans un autre hôpital mieux équipé pour le prendre en charge. Maintenant son cœur est à 15%. Ils devaient remplacer deux valves dans son cœur. Ils l'ont opéré pour une seule afin d'éviter que ce soit trop exigeant pour son corps. Après l'opération, il y a eu une hémorragie interne et ils ont dû le réouvrir pour s'en occuper. Aussi son rein a lâché alors il a eu besoin de dialyse. Son corps est également en manque de calcium. Ses jambes sont gonflées après son opération pour ses genoux qu'il a dû faire il y a quelques semaines puisque ses os étaient directement en contact depuis des années. Il souffrait atrocement au début, alors ils ont dû le droguer à fond pour atténuer sa douleur. Maintenant il est à peine conscient et a à peine assez de force pour bouger. Il a réussi à ouvrir les yeux une fois et à serrer la main de sa femme lorsqu'elle était à ses côtés une autre fois. Il a perdu tellement de poids. Il est livide et branché à des tonnes de fils, la salle est remplie de machines. L'infirmière est obligée de vérifier son état toutes les 5 minutes. Il ne veut même pas qu'on le sache. Encore moins qu'on vienne le voir. Je ne sais pas s'il a honte de son état ou s'il cherche à nous protéger. Mais je l'aime et j'aimerais qu'il sache qu'on pense à lui si fort.
C'est un bon gars, le genre d'homme qui a un peu de difficulté à montrer ses émotions, mais qui te montre de toutes les façons possibles que t'es important pour lui à travers ses actions et toutes ses petites attentions. C'était un pompier avant qu'il prenne sa "retraite" en devenant déneigeur. Je crois qu'il n'a jamais pu arrêter de travailler, de se garder occupé, d'offrir ses services aux gens parce que c'est ce qui donnait un sens à ses yeux. Il faisait pousser tous les fruits et légumes imaginables dans son jardin, il trouvait toujours des choses à réparer, il avait toujours deux à trois chiens et chats dont il prenait soin par lui-même. Quand j'étais petite, même s'il était toujours occupé par son travail, il trouvait le temps de me faire faire des tours de tracteur, de m'emmener skier au cimetière l'hiver, de jouer aux legos avec moi. À chaque fois que j'allais là-bas, il achetait tous les aliments que j'adore et à chaque matin, il se levait vers 4 heures du matin pour sa journée de travail ou par habitude. Et je me souviens qu'à chaque fois que je restais dormir là-bas, je me levais tôt aussi pour être avec lui le matin. Dès que j'entendais des pas ou que je percevais une lumière tamisée, je m'extirpais hors du sommeil. À chaque fois, il me préparait deux toasts aux raisins beurrées, recouvertes de sirop et coupées en quatre avec un verre de lait. On déjeunait ensemble, puis avant de partir travailler, il préparait du café filtre pour qu'il soit prêt pour sa femme lorsqu'elle se réveillerait. J'adorais la façon dont il fredonnait constamment une mélodie. Tous ses habits étaient de la même couleur, un bleu foncé, et je ne l'ai jamais vu porter quoi que ce soit d'autre en 21 ans. À mes yeux, tout de lui était caractéristique de lui seul, c'était mon grand-père même si je l'ai toujours appelé par son prénom étant donné que toute la famille le faisait. L'année passée, dans une lettre pour Noël, je lui ai écrit que j'adorais passer du temps avec lui, je l'ai appelé grand-papa et je lui ai écrit que je l'aime. C'est des mots que je n'ai jamais vraiment pu lui dire à voix haute, mais j'aurais tellement aimé que ce soit suffisamment naturel pour en être capable. J'ai plus tard appris qu'il a relu ma lettre plusieurs fois et qu'il a tellement été touché qu'il a versé des larmes. Je suis si heureuse d'avoir pu lui communiquer cela avant qu'il se retrouve dans son état actuel. Il ne mérite tellement pas tout ce qu'il a dû traverser. La première femme qu'il a mariée est morte d'un cancer. Son fils est mort aussi lorsque j'étais jeune. Et à chaque année, il dépose une douzaine de fleurs sur les tombes de sa mère, sa première femme et son fils. Leurs fleurs préférées, des roses pour sa femme et des fleurs jeunes pour son fils. Les gens qu'il aime gardent une place dans son cœur, dans sa vie et c'est important pour lui, il continue de penser à eux, de les aimer. C'est quelqu'un de fidèle à ses principes, c'est quelqu'un de bien et je l'aime si fort. J'espère qu'il va s'en sortir ou alors qu'il ne souffrira pas trop et partira en paix. J'espère qu'il sait que je l'aime et que je pense à lui.
6 notes · View notes
outofsp8ce · 1 month
Text
17/08/2024
4h07
Dans mes notes sur l'update post rupture avec L j'ai écris que j'avais fais une demande d'ajout sur son insta et qu'il l'avait refusé. Je crois que quitte à paraître pathétique et folle de faire ça après 3 mois je m'en fiche, si ça me permettais d'avancer alors ok et tant pis de passé pour une ex collante ou je ne sais quoi tant que ça pouvait m'aider pour faire vraiment le deuil alors ça m'allait. Il me fallait un réel rejet de sa part pour que j'arrête de stalk et que je n'en ressente plus l'envie, que j'arrête d'espérer. Me connaissant il me faudra encore un peu de temps et j'espère ne pas replonger dans le stalk mais je pense que ça ira. Je crois qu'en fait comme j'ai eu une dose d'affection et d'amour et que ça s'est terminé subitement, ça m'a fait une sensation de manque et je veux ressentir un amour et l'affection qui va avec à nouveau mais avec quelqu'un avec qui je serai amoureuse et ça n'arrivera pas de sitôt et ça me saoule parce que je suis en manque d'amour je crois et je me suis rattaché à la dernière personne à qui j'en ai donné et qui m'en a donné, alors je vais essayer de me donner cet amour moi même et de faire en sorte que ça me suffise mais ça va être dur.
J'écris ça sur le canapé de chez T et E, j'arrive pas à dormir, les moustiques me lâchent pas, y a des gens bourrés dans la rue qui parlent fort et qui chantent fort et j'ai fais couler quelques larmes. Quelques larmes en pensant au second rejet de L, de mon avenir, du fait que je me sente bloquée, ne sachant pas quoi faire.
Demain je suis sensée aller dans une villa et je pensais qu'on serait une dizaine mais on sera plutôt une cinquantaine et je pense pas en avoir vraiment envie alors je vais essayer d'esquiver ça.
Il est 4h30 et j'ai toujours pas envie de dormir. Je pense encore à mon avenir, qu'il faudrait que j'ai mon permis pour pouvoir être plus indépendante mais pas pour avoir un CDI. J'aimerai explorer la France et les autres pays. J'aimerai aussi avoir mon chez moi, seule mais pour ça faut que j'ai un CDI mais j'aimerai bien refaire une saison d'hiver aussi. Je suis bloquée comme un conne parce que j'ai peur comme une conne et je me trouve pas assez capable, je me sabote moi même et ça va provoquer ma chute, si elle n'a pas déjà commencée.
Ça fait une heure je tue des moustiques et y en à l'infini. Je vais pas beaucoup dormir.
Il est 5h32 et j'arrive toujours pas à dormir. Les moustiques continuent de me chasser, j'ai chaud,  je pense toujours aux même trucs d'y a une heure et je vais sûrement peut être pas dormir.
6h00, toujours pas le sommeil et mes pensées noires reviennent. Je me sens misérable ça y est.
7h00, toujours pas. Ça sera nuit blanche dû coup.
12h34, je suis partie de l'appart, les gars dormaient toujours mais j'ai prévenu T. J'ai dû dormir 1h à tout cassé.
Je suis sale, je pue la transpi et le tabac froid. hâte de rentrer et en même temps pas trop.
J'attends à l'arrêt de bus et y a un mec trop beau qui vient d'arriver, habillé trop classe, on dirait qu'il sort tout droit d'un kdrama et moi à côté je suis en gros sweat Nike, jean et baskets supplément cheveux gras, tête horribe et odeur de transpi. top.
et là je pense, sérieux je vais faire quoi de ma vie ?
Je suis rentrée de saison mi avril, ça fait 5 putain de mois et j'ai rien fait et je suis toujours aussi perdue.
je suis dans le bus dans les bouchons et je me retiens de pleurer.
13h55, en attendant le prochain bus j'ai pris un éclair au café dans une boulangerie, j'avais pas assez faim pour un sandwich.
Une dame pipelette que j'avais déjà croisé auparavant s'est assise à côté de moi, j'espère qu'elle va pas trop me parler même si elle est gentille.
5 notes · View notes
luma-az · 1 year
Text
Pour bien commencer, ma petite journée...
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 29 août 
Thème : café/dernières fois
. .
C’est fini, j’arrête le café.
C’est mauvais pour la santé, ça me stresse, ça gêne mon sommeil. Sans oublier que c’est dégueulasse. Je ne peux pas le boire sans rajouter du lait ou du sucre – ou encore mieux, les deux, voir même de la chantilly. Je ne l’aime même pas, le café. Ça va être très simple. Sevrage sec. De toutes manières, je n’en buvais pas tant que ça. Je ne suis même pas sûre que je verrai une différence.
.
J’ai envie de mourir.
Le mal de crâne est une horreur. Mes pensées ne sont plus qu’un petit tas de boue vaseuse mollement agitées par le bâton d’un gamin à moitié endormi. Et j’ai moins d’énergie qu’un combat de pokémon entre un coconfort et un chrysacier.
Pitié, que quelqu’un m’achève.
Tant pis, je vais reprendre un café. Il faut que je survive à cette journée, et que je sois opérationnelle pour la réunion. C’est important, c’est pour mon travail ! Et ce sera la dernière fois.
.
Bon. Ça n’a pas été la dernière fois, mais je me contrôle maintenant. Pas plus d’une tasse par jour, le matin, histoire de dormir malgré tout. Oui, tant qu’à me limiter à une tasse, on est plutôt sur un mug, voir un bol, mais après tout c’est un classique, le bol de café le matin, et ça n’a jamais empêché personne de dormir, non ? Ça suffira bien.
.
Ça n’a pas suffit. Ça n’a pas suffit du tout. Il faut vraiment que j’arrête. Il faut absolument, définitivement que j’arrête. Cette nuit, j’ai dormi trois heures. Celle d’avant, quatre. Celle d’encore avant, quatre et demi. Et la précédente, deux.
J’ai tenu un certain temps, et là je m’écroule.
Ce que je compense avec plus de café.
Donc maintenant c’est bon, j’ai compris ma leçon. C’est triste, il y a des milliards de gens qui vivent très bien sous caféine, ce n’est pas mon cas, il faut que je me fasse une raison. Cette fois, c’est la dernière fois. Promis, juré, craché, j’arrête.
.
Je suis une loque essorée jusqu’à la moelle de la dernière goutte d’énergie qui lui restait.
Que quelqu’un m’achève.
Comment fonctionnait mon cerveau, avant ? Il y a bien eu une époque où ce cerveau marchait sans caféine. Je m’en souviens. A peu près.
Plus envie de rien. Tout s’accumule.  Et s’accumule. Et s’accumule…
. Ok, j’ai repris, mais j’étais très stressée ! Et puis une tasse ça ne va pas me tuer. Ce n’est pas de la cigarette non plus !
Cette fois, c’est dit, c’est décidé, c’est la dernière fois.
.
.
youtube
18 notes · View notes
Text
au boulot
pas envie de me réveiller
Il m'a fallu 3h pour sortir de mon lit ; j'ai pris mon café accompagné de chats affamés par 7 terribles heures de sevrage.
J'ai conduit dans une sorte de demi-sommeil, ouvert la barrière de l'entrée, j'ai investi un parking vide en me garant à côté d'une autre voiture frileuse et mouillée.
Dans les couloirs, il y a des ouvriers qui finissent les toilettes, donc pas d'eau de la journée.
J'ai mangé.
Je vais me rendormir pour le reste de l'après-midi.
2 notes · View notes
alain-keler · 8 months
Text
Tumblr media
Samedi 28 janvier 2012.
La salle d’attente de la gare de Spisska nova Ves est un peu triste. Vendredi soir il y a quelques personnes qui sont venus y chercher un refuge contre le froid. A minuit elles devront aller voir ailleurs. C’est sans doute la même chose dans toutes les gares de Slovaquie, de République tchèque et de tous les autres pays.
Les couchettes du train qui nous emmène vers Prague sont assez simples, vieillottes et me font penser à nos vieux trains de nuit. Le train s’arrête souvent, grince, fait toutes sortes de bruits. Épuisé, je trouve enfin le sommeil. C’est à ce moment, au petit matin, que le contrôleur nous annonce l’arrivée prochaine en gare de Prague.
De chaque côté de la voie ferrée, des cheminées se dressent telles des vestiges d’un temps révolu. A la fin des années 80, un peu avant les bouleversements qui secouèrent le monde communiste, j’étais venu faire un reportage sur l’église souterraine en Tchécoslovaquie. Dans un hôtel où nous étions descendus, des peintures au réalisme socialiste étaient accrochées sur les murs. On y voyait des usines avec des cheminées qui crachaient de la fumée noire, ce qui fit dire à mon chauffeur "plus il y a de fumée, plus c’est socialiste". Les cheminées sont toujours là, mais au moins ce matin la fumée a disparu. Et le socialisme aussi !
Deux cafés pour me réveiller, puis un autre convoi nous emmène vers une petite ville du sud où ce soir est organisé un bal avec une tombola dont le prix est un sanglier. L’endroit où la soirée aura lieu est une espèce de bar un peu bizarre tenu par l’ami de Lenka.
La fatigue est toujours présente chez moi et l’inspiration se fait rare. Je vais faire une sieste. Si jamais je dois courir après la bête !
Vous pouvez retrouver ces histoires dans le livre "Un voyage en hiver" publié aux éditions de juillet en 2021.
4 notes · View notes
cestdanslatete · 1 year
Text
Je suis partie, ce week-end, au mariage de ma meilleure amie. C'était le premier mariage auquel j'assistais (qui plus est, en tant que témoin (j'ai d'ailleurs appris l'expression "témoin majeur" (et, sinon, on peut être plusieurs fois témoin, dans sa vie ?))) et j'ai beaucoup aimé l'expérience. J'y ai ressenti beaucoup d'amour ; dans le choix des mots pour les discours, dans celui des musiques dédicacées. Gros coup de foudre, enfin, pour la "salade olivier" 🔥 (la version iranienne) et pour les chambres du haras dans lequel nous logions (à jamais dans mon cœur : les tableaux représentant des chats que je n'ai pas pensé à prendre en photo).
Hier, lorsque j'ai dû préparer à nouveau mon sac pour partir en séjour avec mes collègues, j'ai senti l'anxiété m'envahir. J'ai repensé à tous les mails à traiter, les manip' à faire sur nos plateformes, les articles à rédiger, la peur de ne pas être à ma place… J'ai respiré un bon coup, et puis j'ai pris la ligne 6, parce qu'il fallait bien décoller, et je suis arrivée devant le TGV 3 minutes avant son départ (🤙 easy 🤙).
On a bu un café dans un bar avec un mur couvert de vieilles valises, on a pris un TER dont l'une des gares d'arrêt est Saint-Sébastien Pas Enchantés (salut, c seb, pas enchanté), on a pris place à bord de 2 CV pour parcourir les routes et résoudre des énigmes, on s'est acheminés vers notre hôtel magnifique (et là, clairement, je suis reconnaissante de pouvoir profiter de trucs aussi cool) pour déposer nos affaires, on est ressortis pour une BALADE EN BÂTEAU (le meilleur truc (bonne bouffe, bons vins, une lumière incroyable, de chouettes paysages, une enceinte pour se faire des blind tests)), après une mini poignée d'heures de sommeil, on a savouré un bon petit-déj' (toujours l'impression d'être une reine dans ces moments-là) (+ un des signes que le buffet était bon = pain aux céréales au moelleux et à la température parfaite), on a marché vers plein d'endroits (Machines qui étaient fermées pour cause de mouvement social (ON EST LÀ 💪), tour LU, château, cathédrale), on a encore bien mangé (tartare à l'italienne) mais en deux-deux pour ne pas rater le train du retour.
Pour moi, c'est important de noter ces petits détails ; autrement j'oublie.
8 notes · View notes
cendres-et-volcans · 2 years
Text
Trouve moi du courage et du sens ce matin,
Je manque de musique de toi
Je manque de visibilité.
Parce que la cicatrice sur ma main
S'effacera elle aussi au fil des jours,
Des évènements et des autres visages.
N'entends tu pas mes appels ?
Toujours dans la retenue et la fierté
Comme si un rejet pouvait blesser plus qu'une absence.
Toi et moi savons ce qu'est l'amour.
Et nous savons ce qu'est de l'attendre.
Je suis dans notre café,
Je brûle mes yeux a l'amertume des passantes
Chez toi il fait nuit et chaud,
Et le silence enveloppe tes sommeils.
20 notes · View notes
sarahaubel · 11 months
Text
Déni de rentrée.
Tumblr media
Elle fait un déni de rentrée. Elle a oublié de mettre ses chaussures pour promener son chien et sur le chemin du retour elle a fait un doigt d’honneur au voisin qui lui demandait des nouvelles. Ça a commencé comme ça. Puis l’autre soir son mari lui a fait la blague des cornichons et des girafes “C’est un mec qui en surprend un autre en train d’accrocher des cornichons dans un arbre. Il lui demande “ Pourquoi tu mets des cornichons dans les arbres” et l’autre lui répond “Pour faire fuir les girafes !”. Alors il lui dit “Mais y a pas de girafes ici !” et l’autre rétorque “Bah oui parce que j’ai mis des cornichons”. Elle a éclaté en sanglots et s’est mise à hurler dans son oreiller. Alors son mari il s'est demandé si il avait pas dit un truc de travers, il savait qu’elle aimait pas trop les cornichons mais pas à ce point quand même. Depuis son retour elle ignore ses enfants. Se demande même si dans le fond elle les aime vraiment. Nouvelle manie, avant chaque effort (ouvrir le frigo, mettre un slip, allumer une clope) elle fourre la tête dans son paréo sale et inspire à s’en faire sauter les poumons. Pour terminer, elle chantonne 30 fois par jour cette même chanson qu’elle détestait auparavant. C’est le temps de l’amour, le temps des copains et de l’aventure mmmhmmmh. Mais de l’avoir écoutée là à la terrasse de ce café après un plouf à la piscine, soleil tapant, 4h de sommeil dans les dents, croissants, jus d’ananas, magazines qu’elle ne lira jamais et meilleures potes dans le même état, la chanson a changé de goût.
Ce matin les vieux d’en face l’ont vu aller chercher son courrier complètement à poil. “Henri ! Regarde ! Y a la voisine qu’est rentrée d’vacances !!”
Bref. Vivement l’été prochain. Quand le temps va et vient on ne pense à rien malgré ses blessures mmmhmmh.
5 notes · View notes
satinea · 2 years
Text
Dimanche /
C'est un jour désordonné.
Il me ressemble. Il me plaît.
Rien ne presse, je bois un thé, un café, c'est selon.
Je le sirote avec le reste de sommeil et de rêve sucrés dedans.
Je m'attarde dans la chaleur des draps.
Je regarde le ciel par la fenêtre.
Il pleut ? Qu'importe, le soleil reviendra.
J'ai le temps. Rien ne presse.
La ville respire un autre rythme, lent, assourdi.
C'est un jour sans direction précise, sans directive.
C'est ainsi que je pense à vous, sans idée précise.
Je vous pense en images.
Je les brasse et les colore à l'envie.
C'est l'hiver.
Vous avez une écharpe enroulée autour du cou.
Vous avez un stylo glissé dans la poche de votre veste.
Vous marchez seul dans cette ville qui est la vôtre et que je ne connais pas.
J'invente un livre entre vos mains
une tasse que vous portez à vos lèvres
un journal déplié sur la table du café.
Votre regard quitte le journal ou le livre.
Au delà de l'arbre, des toitures, il s'envole
pour rejoindre l'oiseau qui plane dans le ciel gris.
À quoi rêvez-vous, à qui ?
C'est dimanche.
Rien ne presse.
Je rêve sans en avoir l'air.
Je parle de vous au vent.
Je suis toute à mon affaire.
J'invente votre rêve dans le mien
Je m'invente dans votre rêve.
Je suis l'oiseau.
J’aime ces moments-là quand je nous imagine.
J’aime ces moments-là et que dure le temps.
*
8 notes · View notes
redstar07 · 2 years
Text
L'Ombre et la Proie
Chapitre 2
L’immeuble qui portait le numéro 628, à Pack Street, était un de ces immeubles d’habitation dont on sentait le poids des ans d’un simple regard, mais qui restait suffisamment bien entretenu pour qu’on puisse y trouver des logements modestes, mais pratiques et confortables. La plupart de ceux du quatrième étage, bien que petits, offraient tout le même le nécessaire pour un mammifère seul, voire un jeune couple. L’appartement 403 était un de ceux-là.
L’entrée donnait sur un couloir parallèle au corridor de l’immeuble. Au fond, à gauche, une porte donnait accès à l’unique chambre du logement. Le lit était installé sous la fenêtre de la pièce, contre le mur. Sur la table de nuit juste à côté, le réveil passa à 15h00, et commença à diffuser les programmes de l’après-midi.
Judy émergea de son sommeil. Par réflexe, elle éteignit l’appareil. À moitié assommée de fatigue, elle s’assit au bord du lit, prête à se préparer pour une journée de travail, avant de prendre véritablement conscience du moment qu’il était. Le matin même, comme après chaque fois qu’elle travaillait la nuit, elle s’était immédiatement mise au lit pour récupérer son sommeil perdu. Et comme chaque fois qu’elle avait travaillé la nuit, elle se réveillait au milieu de l’après-midi, afin de ne pas courir le risque de subir une insomnie la nuit suivante. Levant la tête, elle vit devant elle la porte ouverte de la salle de bain.
Avant même que Nick ait terminé sa formation à l’académie de police, Judy avait suffisamment économisé pour se permettre de déménager. Cet appartement était plus excentré que son précédent logement, mais il lui permettait cependant de ne plus se limiter aux plats à réchauffer au micro-onde, et, par chance, sa chambre était épargnée de tout tapage de la part de ses voisins.
Se décidant à se lever, elle ralluma le radio-réveil et gagna la salle de bain. Laissant la porte ouverte pour profiter de la musique, elle resta un bon moment sous la douche afin d’achever de se réveiller. Et après s’être soigneusement passée la fourrure au sèche-poils, elle enfila un t-shirt, sortit de sa chambre et traversa le couloir pour se retrouver dans le séjour. Un bref passage à la cuisine et, tasse de café à la main, elle s’affala dans le canapé.
Elle put enfin repenser à la nuit précédente. L’équipe scientifique et plusieurs enquêteurs avaient fini par arriver, et reprirent en main la scène de crime. Les officiers de patrouille leur avaient déblayé le terrain, ils avaient lord du leur céder le relai. Après leur avoir fait un bref rapport, il ne restait plus à Nick et Judy qu’à veiller à ce que les civils n’accèdent pas à la zone.
Judy aimait beaucoup son travail, par bien des aspects. Comme tous les emplois, il avait ses côtés pénibles, et affirmer que c’était facile aurait été mentir. Mais le simple fait d’avoir eu la chance d’emprunter la voie qu’elle souhaitait depuis son enfance, était une source de satisfaction permanente. Pourtant, elle sentait également qu’elle ne passerait pas sa carrière à contrôler le stationnement et à patrouiller dans les rues : pour elle, il était clair qu’elle pourrait… qu’elle voulait faire plus.
Elle repensait régulièrement à l’affaire Bellwether. Depuis lors, elle n’avait plus eu l’occasion de mener une enquête jusqu’à son terme. Après tout, le chef Bogo ne l’avait laissée faire que pour se débarrasser d’elle, la remettre à sa place de manière définitive. Même si la réussite de l’enquête lui avait montré que Judy était une recrue de valeur, elle restait un officier en uniforme : son job, c’était les patrouilles, y compris dans le cadre d’enquêtes. Les officiers étaient régulièrement requis par les services d’enquête pour aller à la pêche aux informations, mais ils ne pouvaient qu’obéir aux instructions.
Même si ce qui était arrivé avec ce véhicule était exceptionnel sur bien des aspects, le travail effectué était purement routinier : contrôler les accès, dévier la circulation, commencer à interroger les témoins, inspecter les lieux à la recherche d’indices… Mais une fois les enquêteurs sur place, ce n’était plus aux officiers de patrouille de procéder à l’enquête. Le fait de ne pas pouvoir y contribuer davantage, et même, de rarement pouvoir savoir comment l’affaire était clôturée, tout cela la frustrait fréquemment, quand elle y pensait. Alors, la meilleure solution, c’était…
Sur la table basse, son téléphone vibra. Elle lut le court message qu’elle venait de recevoir en avalant une gorgée de café.
« Hey, Carotte. Réveillée ? »
« Pourquoi poses-tu la question si tu connais la réponse ? »
Elle était réglée comme une horloge, et il le savait. Son travail comptait beaucoup pour elle, et face aux horaires contraignants, elle faisait tout ce qu’il faut pour s’assurer d’être fraiche et dispo. Les jours de repos qui suivaient un service de nuit, elle se levait au milieu de l’après-midi. Nick le savait. Et Judy savait quel serait le prochain message.
Quelques heures plus tard, ils se retrouvèrent à la pizzeria qu’ils avaient l’habitude de fréquenter. C’était devenu un rituel pour eux : le jour de repos qui suivait un service de nuit, ils retrouvaient au soir, au début à une adresse que Nick lui recommandait. Depuis, il lui avait fait découvrir suffisamment d’endroits pour qu’elle ait ses préférences, et Nick la laissait toujours choisir. « Solide ou liquide ? » : c’était ainsi qu’il lui demandait s’ils allaient manger ensemble, ou simplement boire un verre. Ensuite, il cherchait à savoir si elle préférait le confort d’une des quelques adresses où ils avaient fini par avoir leurs habitudes, ou l’expérience d’un endroit qui lui était encore inconnu. A force, elle avait l’impression que ceux-ci devaient être de plus en plus rares, mais jusque là jamais Nick ne s’était trouvé à court d’adresses. Elle connaissait maintenant suffisamment de bon plans où pouvoir manger sans se ruiner.
Plus rarement, quand l’envie de rester chez elle était plus forte que la volonté de sortir, Nick la rejoignait à son appartement, où elle lui faisait profiter des recettes de sa mère, avant qu’ils ne regardent un film pour passer la soirée. Mais ce soir-là, l’envie des pizzas de chez Sergio fut la plus forte. De toute façon, son frigo était vide.
Le restaurant Chez Sergio, comme toutes les adresses recommandées par Nick, alliait plusieurs avantages : relativement petit, ce qui garantissait une certaine tranquillité, bien situé pour qu’elle puisse rentrer à pied en quelques minutes et que Nick puisse gagner une station de métro non loin, et, enfin et surtout, la qualité de la cuisine. Sergio préparait la pâte de ses pizzas à la patte, et les légumes étaient d’une fraicheur qui rappelait à Judy les plats de la ferme. C’était sans doute l’endroit où ils se retrouvaient le plus souvent, après le commissariat. Ils avaient même fini par avoir leur table attitrée.
Judy était déjà installée depuis quelques instants, lorsque Nick arriva à son tour. Il prit le temps de saluer Ennio, le Bouc qui assurait le service, avant de rejoindre sa coéquipière. Enio passa de suite prendre leur commande : ils connaissaient la carte, ils savaient généralement ce qu’ils voulaient manger avant même d’avoir franchi l’entrée.
- Alors ? lança-t-il tandis que le caprin transmettait la commande à Sergio, qui s’affairait devant le four à bois. Qu’est-ce que tu penses de cette nouvelle affaire ?
- Tu es sûr de vouloir parler boulot ?
- Quand voudrais-tu que nous en parlions ? Surement pas quand nous sommes en service : il y a trop de travail pour qu’on ait le temps d’en parler.
- Bien d’accord avec toi, mais j’ai l’impression que tu ne lances le sujet que parce que tu crois que c’est ce dont je voudrais qu’on parle.
- Ce n’est pas faux, reconnut-il.
Alberto attrapa un plateau chargé de verres au bar, et passa entre les tables, déposant au passage leurs apéritifs à leur table.
- C’est un peu de ta faute, après tout, reprit Nick. Pas besoin de te connaitre depuis très longtemps pour savoir que tu es toute dévouée à ton job. À ta mission, devrais-je même dire. Tiens, un exemple : où es-tu, généralement, quand tu n’es ni avec moi, ni chez toi ?
Judy réfléchit une seconde… Nick était indéniablement l’animal qu’elle fréquentait le plus : non content d’assurer leur service ensemble, à quelques rares exceptions, ils devaient bien se retrouver en dehors du travail un jour sur deux. Généralement, quand ils n’étaient pas à deux, Judy était…
- Chez mes parents ? finit-elle par répondre. Ce qui faisait…
- Un week-end par mois, quand tu as la chance de ne pas être de service le samedi ou le dimanche ? Pas assez représentatif, Peluche !
Elle n’avait jamais pris la peine d’y réfléchir comme ça, mais maintenant qu’il posait la question…
- A la salle de sport.
- Précisément.
- Tu y viens également.
- À peu près trois fois moins que toi. Et pourquoi est-ce que nous allons à cette salle de sport ?
- Pour rester au mieux de notre forme pour…
Judy s’interrompit lorsqu’elle prit conscience de ce qu’elle allait dire. Ce fut Nick qui acheva sa phrase.
- Pour le travail, conclut-il avant de piocher une olive dans le bol posé sur la table.
Alberto, à ce moment-là, vint poser leur commande sur la table. Deux pizzas fumantes à peine sorties du four,  aussi belles à voir que leur fumet était agréable, se trouvaient alors entre eux
- Tu vis pour ce travail, Carotte, reprit Nick en attaquant une part. Si je t’emmène partout où je peux, c’est pour que tu puisses justement te le sortir un peu de la tête.
- Mais quand tu y arrives, à peu près trois fois par semaine, tu entames la conversation en parlant du travail ?
- Simplement pour que le sevrage ne soit pas trop brutal. On évacue le sujet, et comme ça il ne reviendra pas sur le tapis plus tard. Il nous restera alors plus d’autre choix pour conclure la soirée : il faudra que tu me dises ce qui te plairait pour ton prochain anniversaire.
Judy ne put retenir une exclamation amusée.
- Rusé, reconnut-elle.
- Dis plutôt : malin.
- Bon, marché conclu, mais alors, c’est moi qui offre le restaurant pour mon anniversaire.
- Deal !
- Evacuons ça en vitesse, alors. De toute manière, il n’y a pas grand-chose à dire. Ca n’aurait été qu’un accident impressionnant, mais presque banal. Sans le chargement de billets et la fuite des chauffeurs, nous n’en parlerions peut-être même pas.
- Peut-être… Mais je trouve tout ça loin d’être banal ! Un animal de grande taille, masqué comme un Renard des histoires que j’aimais quand j’étais enfant, qui traverse la moitié de la ville cramponné à l’aile d’une camionnette. Je ne pense pas que les Sangliers de la Task Force s’amuseraient à ce genre d’exploit. Alors : pourquoi ne pas profiter de cette affaire ? Imagine si nous parvenons à identifier ce gaillard, l’avancement que ça pourrait nous procurer.
Judy acheva de mâcher, et avala avant de répondre.
- Tu t’imagines toujours que Bogo nous signera une promotion un de ces quatre matins si nous résolvons une enquête de ce genre ?
- En tout cas, ça pourrait le pousser à choisir la bonne personne, un jour. Et puis…
- Et puis ?
- Et puis, je ne dirais pas non à une nouvelle enquête. Rappelle-toi, quand nous avons du parcourir la moitié de la ville pour retrouver Otterton. L’excitation de la recherche, la montée d’adrénaline lorsque Manchas nous poursuivait… La satisfaction d’avoir retrouvé les prédateurs disparus. Et celle plus grande encore d’avoir réussi à berner Bellwether et à trouver la véritable responsable.
- Ça te manque tant que ça ?
- Pour te faire une idée : ça doit me manquer autant qu’à toi. Je sais que tu guettes impatiemment de refaire preuve de tes qualités d’enquêtrice. Ça pourrait être l’occasion.
- Tu sais ce qui va se passer ? rétorqua Judy. Demain, au briefing, si jamais les services d’enquête ont besoin de nous, Bogo nous donnera instruction d’ouvrir l’œil sur certaines zones, de ramener certains suspects, ou d’aller faire une enquête de voisinage ou l’autre. Au mieux, on nous demandera d’aller interroger un témoin ou l’autre avec une liste d’informations à ramener. Notre rapport finira sur le bureau de l’inspecteur chargé de l’enquête, et c’est lui qui se chargera de démêler tous les fils qui constituent cette affaire.
- Je pensais que c’était moi le cynique de nous deux. Tu n’es tout de même pas en train de me faire une déprime ?
- Non, rassure-toi : j’aime toujours autant mon job, Nick. Notre job, corrigea-t-elle. Mais je me dis juste je ne devrais pas miser mon avancement sur un coup de dés. Ce serait plus judicieux de me préparer correctement aux examens et de veiller à ce que mes évaluations soient impeccables
- Je ne suis pas d’accord avec toi. Avant d’être flic, je n’attendais pas que quelqu’un vienne me demander de lui fournir ce qu’il voulait : je lui procurais avant même qu’il ait pris conscience d’en avoir besoin.
- Et donc… ?
- N’attends pas que Bogo te dise d’aller le chercher : amène-lui le suspect menotté en cellule.
- Pourquoi pas…
Le repas se poursuivit, et la conversation tourna autour de sujets moins graves. Mais alors qu’ils étaient occupés à profiter de leurs desserts, Judy se rappela d’une question qu’elle avait oublié de lui poser depuis quelques temps.
- Au fait : tu ne m’as jamais dit si ce rencard s’était bien passé, à Toundratown.
- Celui avec Émilia ? ça remonte à un mois… et c’est la seule fois où nous nous sommes vus : ça doit répondre à ta question.
- Loufard avait l’air persuadé que cette Renarde avait tout pour te plaire.
- Une Renarde polaire, précisa Nick. Il a manqué de flair, sur ce coup. Mais ce n’est pas de sa faute : je n’aurais pas du accepter. Je me suis très bien senti jusqu’à aujourd’hui sans avoir besoin de ce type de relation.
Il termina sa coupe de glace.
- Et toi ? Rien de neuf à ce sujet ?
- Je crois que l’expression « mariée à son boulot » est tout indiquée. Mais je n’ai pas plus de regrets que toi.
- Tant qu’on se sent bien. Tu sais, Carotte : je ne vois pas comment je pourrais être mieux accompagné qu’en étant avec toi.
Judy leva son verre.
- Aux amis de bonne compagnie, alors ?
Nick fit tinter son verre contre le sien.
- Aux amis de bonne compagnie, répéta-t-il avant d’achever son vin
8 notes · View notes
leseffrontesfr · 2 years
Photo
Tumblr media
Je suis bien, là ? Nan, je veux dire, je suis vraiment au top ou pas ? Mes cheveux, ça va ? Je sens que ça ne va pas… J’ai mal dormi, je pensais à la séance photo. Déjà, en me réveillant, j’ai senti que c’était un mauvais jour pour mes cheveux. Quand je me suis vue dans le miroir, j’ai hurlé ! Alors j’ai appelé ma pote Lola, à cinq heures du matin. Et tu es venue ma Lolo, avec tout ton matos ! Je t’adore trop ! Douche, shampoing, brushing… Maquillage aussi. Je ne voulais pas attendre, je ne pouvais pas me voir. À sept heures j’étais prête. Je suis resté assise, je ne voulais pas me décoiffer, mais j’avais sommeil. On est restées à parler. Les mecs, les chats, les followers… De tout, quoi. Je m’endormais un peu, alors Lola m’a fait du café très fort — je t’aime ma Lolo ! Alors on a encore parlé. L’herpès, le vétérinaire, le business model… Toute la vie, quoi. Après six mugs de café, je m’endormais quand même et je ne pouvais plus boire une goutte. Alors, à chaque fois que je piquais du nez, Lola me mettait une claque — t’es la pote de ma vie Lolo ! T’as toujours une solution ! Je suis allé pisser tout le café et Lola m’a fait des retouches de maquillage.
Ensuite vous êtes arrivé, à dix heures, comme prévu. Ça fait plaisir de travailler avec un vrai pro. (Même si, en vrai, j’avais des doutes. Je pensais que ça coûtait plus cher, un photographe professionnel. Vous devriez vous mettre sur OnlyFans, vous gagneriez mieux votre vie. Merci qui ? Merci Vanity !) Et vous avez déballé tout votre matériel compliqué, le décor, le costume… Le costume ! Les accessoires ! C’est trop beau ! Exactement ce que je voulais. C’est tellement dur de se démarquer aujourd’hui. Il y a trop de filles sur Instagram, OnlyFans, TikTok… Même les boudins — j’hallucine ! — même les thons ont des comptes. Et en plus elles ont des followers ! Il y a des garçons qui n’ont vraiment pas de goût, vraiment. Pas étonnants qu’ils soient frustrés. Qui voudrait sortir avec des idiots pareils ? Maintenant j’ai moins de progression des abonnements, alors j’ai décidé de faire plus de selfies-bikini et d’essayer un truc différent !
C’est hyper trop chou la chemise de grand-mère froncée, glissant sur mon épaule ! Lola, tu me retouches s’il-te-plaît ? C’est bon. Alors, je dois regarder le miroir ? Vous êtes sûr ? D’habitude je regarde l’appareil. Bon, c’est vous qui savez. Les bras comme ça, vous ne trouvez pas que ça cache trop ma poitrine ? D’accord, d’accord, je vous fais confiance. Après, on en fera quand même une avec les tétons en transparence. J’ai toujours de bonnes stats quand les followers devinent mes tétons.
https://leseffrontes.fr/index.php/2023/01/31/leffrontee-du-mois-de-janvier-2023-vanity/
7 notes · View notes