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#chenal
tox1c-h3art · 6 months
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Me in my sugar daddie era! ☆
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hjdem · 16 years
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Quel posto che non c'è
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Tu che non gridi mai
che sussurri gocce di pioggia sull'acqua
che accarezzi petali di gote
che mi avvolgi di sguardi notturni. 
Tu che dormi sulla schiena mia
che affondi dita nei capelli
che respiri nei miei pori
e trattieni i sorrisi. 
Tu che stai al mio fianco
e lambisci i passi miei
che sfiori un dito
negli inciampi della vita. 
Tu che sei negli odori
nei suoni dei silenzi
e nei tempi vuoti e pieni
di questi anni più vissuti. 
Tu che sei lì
che non ci sei
che non sei
che vivi solo
in quel posto che non c’è
dell’anima mia.
Chenal
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luegootravez · 3 months
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Marie Violaine Chenal by © Brydie Mack
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footballmakesmen · 16 days
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chic-a-gigot · 1 month
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L'Art et la mode, no. 33, vol. 43, 19 août 1922, Paris. À Deauville. Chapeau en satin noir et dentelle; porté par Mlle Chenal à Deauville. Création de Lewis. Bibliothèque nationale de France
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truckman816 · 8 months
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Leo and John Chenal 🏈🏈🏈
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mnetn · 9 months
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le commissaire calas ⚖
j'ai trouvé ce film en méga bonne qualité ya un bail et je l'avais oublié puis ça m'a fait tikt
lana is so real for this song
von stroheim avec jouvet c'est slayyy, florence marly is iconic vraiment 💅
comment c'est possible de slay AUTANT ???
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garadinervi · 2 years
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Kashef Chowdhury, A Glass Labyrinth in Venice, With essays by Robert McCarter and Alejandro Aravena, Photographs by Eric Chenal and Hélène Binet, Park Books, Zürich, 2018. Designed by Bruno Margreth, Martina Brassel
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difashiondiaries · 2 years
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letterboxd-loggd · 1 year
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Alibi (L’alibi) (The Alibi) (1937) Pierre Chenal
June 7th 2023
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bansidas · 6 months
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*अल्लाह एक,धरती एक।*
*मजहब कैसे बने अनेक।*
*अल्लाह रबूल आलामीन के रहमो करम से जाने रमजान की हकीकत।*
‎ *पाक मुस्लिम👆👆भाइयों के लिए विशेष पेशकश।*
जानने के लिए मुस्लिम भाई जरूर देखें👇
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tox1c-h3art · 7 months
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🚬👅, tumbler girl era
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hotelbooking · 8 months
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Chenal Hotel This charming 3-star hotel is ideally located just 5 minutes from the city centre of Beauvais, directly opposite the SNCF station which provides good access to the airport. All the guestrooms come with a private bathroom, a flat-screen TV and free Wi-Fi access. They are decorated in a bright, contemporary style. Every morning a breakfast buffet is served in the light, spacious lounge room. The hotel bar, the Bulldog Cafe serves a range of cocktails and also offers room service. Guests can visit the Saint Pierre Cathedral and are close to the city's central sites. Private parking is possible on site
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luegootravez · 1 month
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Marie Violaine Chenal by © Brydie Mack
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footballmakesmen · 15 days
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liqueuramere · 1 year
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Les deux visages de la mort
Chronique des nouvelles Le Singe et Le Chenal de Stephen King, 1980-1981 (traduction française : 1987)
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C’était la première fois que je lisais un livre de Stephen King, au hasard d’une récolte dans une boîte à lire. De ce fait il m’est impossible de situer et juger ces deux nouvelles par rapport aux autres textes de l’auteur, donc, tout en donnant mon avis, je me garderai bien de préjuger du reste de son œuvre.
Stephen King a d’abord publié ces deux nouvelles dans la presse américaine : Le Singe (en : The Monkey) en 1980 dans le magazine Gallery, et Le Chenal (en : the Reach) en 1981 dans le magazine Yankee. Les deux textes ont ensuite été publiés, avec vingt autres, dans le recueil Brume (en : Skeleton Crew) en 1985. C’est un choix des éditions françaises Flammarion d’avoir ensuite réuni ces deux nouvelles seules dans un recueil court et peu coûteux, dans leur collection “Folio”, en 1994. La traduction française est de Michèle Pressé et Serge Quadruppani.
Le Singe, 1980
L’intrigue de la nouvelle se déroule sur deux périodes temporelles séparées de vingt ans. Le texte s’ouvre sur Hal Shelburn, son épouse Terry, et leurs deux fils Dennis (12 ans) et Petey (9 ans), qui inspectent le grenier de la maison d’enfance de Hal, celle de son oncle Will et de sa tante Ida, aujourd’hui décédée. Dans un carton, Dennis et Petey trouvent un jouet, un singe mécanique à cymbales. Immédiatement cette vision saisit Hal d’effroi, car il s’agit du même singe qui, vingt ans auparavant, a hanté son enfance : “Le singe lui souriait, ses yeux d’ambre sombre fixés sur lui, des yeux de poupée, pleins d’une gaieté stupide, ses cymbales de cuivre prêtes à s’entrechoquer pour scander la marche de quelque fanfare venue de l’enfer.” (p.13) Le jouet a toujours semblé cassé (la clef qui sert à le remonter tourne dans le vide), mais de temps en temps, sans que l’on puisse l’expliquer, il se mettait à jouer des cymbales. Or à chaque activation du mécanisme, comme sous l’effet d’une malédiction, quelqu’un de l’entourage de Hal mourrait dans de tragiques circonstances. À de nombreuses reprises le jeune garçon avait essayé de se débarrasser du jouer, mais en vain : à chaque fois, il trouvait un moyen de revenir le tourmenter, y compris jusqu’à ce jour.
Dès lors, le récit alterne le présent (de la narration) et le passé (flashbacks) pour montrer comment le singe a terrorisé Hal lorsqu’il était enfant, et nous aider à comprendre pourquoi, une fois devenu adulte, ce dernier va à nouveau retomber dans ses angoisses et vouloir à tout prix réessayer de se débarrasser du singe. D’autant qu’entre-temps Hal est devenu père ; un père un brin pathétique et en conflit avec son fils aîné, mais un père tout de même soucieux de protéger ses enfants du mal qui l’a traumatisé. Impulsivement, Hal décide de “tuer” définitivement le singe et embarque avec lui son fils Petey, qui semble lui sensible à sa puissance maléfique.
Cette nouvelle illustre parfaitement la définition du fantastique telle qu’énoncée par Todorov :
Dans un monde qui est bien le nôtre, celui que nous connaissons, sans diables, sylphides, ni vampires, se produit un événement qui ne peut s’expliquer par les lois de ce même monde familier. Celui qui perçoit l’événement doit opter pour l’une des deux solutions possibles : ou bien il s’agit d’une illusion des sens, d’un produit de l’imagination et les lois du monde restent alors ce qu’elles sont ; ou bien l’événement a véritablement eu lieu, il est partie intégrante de la réalité, mais alors cette réalité est régie par des lois inconnues de nous. [...] Le fantastique occupe le temps de cette incertitude ; dès qu’on choisit l’une ou l’autre réponse, on quitte le fantastique pour entrer dans un genre voisin, l’étrange ou le merveilleux. Le fantastique, c’est l’hésitation éprouvée par un être qui ne connaît que les lois naturelles, face à un événement en apparence surnaturel. (Introduction à la littérature fantastique, Tzvetan Todorov, 1970)
Dans la nouvelle, les personnages essaient de trouver des explications rationnelles à l’inéluctable retour du singe, mais leurs hypothèses ne sont jamais pleinement satisfaisantes, en particulier pour Hal, qui reste persuadé que le jouet mécanique le persécute et qui imagine, dans des moments de terreurs, que ce dernier lui parle. Est-il un fou en plein délire ou bien le seul à être sensible à l’intentionnalité machiavélique du singe ? La question restera en suspens, même si la coïncidence et l’invraisemblance de certains événements nous feront plutôt pencher dans un sens que dans l’autre. À la fin de la nouvelle, en effet, on quitte quelque peu le temps du fantastique pour basculer dans l’horreur et embrasser pleinement l’hypothèse du singe diabolique. Les dernières phrases du texte essaient tout de même de préserver un doute, et on reste de toute façon à la frontière de ces deux genres, le sentiment de peur restant, à mon humble avis, très modéré.
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Le Chenal, 1981
L’histoire se déroule sur l’île de la Chèvre, une toute petite terre au large de l’État du Maine. Stella Flanders, une dame très âgée, y habite depuis toujours, entourée de sa famille (d’abord ses parents, puis sa descendance) et des autres habitants. Bien que le continent ne soit pas très loin, elle n’a jamais quitté l’île. Arrivée au crépuscule de sa vie et atteinte d’un cancer, elle décide d’entreprendre un unique et ultime franchissement du chenal, profitant du fait qu’il soit gelé par l’hiver. Guidée par des visions d’anciens habitants de l’île, notamment le fantôme de son défunt mari, cette traversée sera pour elle un passage du Styx.
Cette nouvelle m’a semblé beaucoup plus quelconque, même si je lui reconnais une certaine mélancolie. Contrairement à la nouvelle précédente, la mort est représentée comme étant certes imprévisible et parfois brutale, mais aussi et surtout douce et accueillante. Aucune tonalité horrifique dans ce texte (quand bien même une touche de fantastique se glisse dans sa chute) : si les morts hantent d’une certaine manière le personnage de Stella, ce n’est pas pour la tourmenter mais pour l’accompagner dans son dernier voyage (dans tous les sens de l’expression). J’aurais pu saluer une intrigue touchante et épurée si la lecture du texte n’était pas autant encombrée par un foisonnement de personnages secondaires inutiles et au milieu desquels honnêtement on se perd.
C’est, somme toute, un texte agréable mais qui m’a paru bien oubliable. Je suis particulièrement surpris de lire que cette nouvelle serait l’une des préférées de Stephen King lui-même, et que Michael R. Collings, un spécialiste de l’auteur, la considère comme “la meilleure histoire jamais racontée par King”. Encore une fois, je n’ai aucun recul global sur l’œuvre de l’auteur, mais je suis quelque peu sceptique...
Les deux nouvelles de ce recueil sont donc très différentes, et offrent deux visions opposées de la mort : dans Le Singe, elle s’immisce dans le quotidien dans toute son effroyable violence, et vaut comme un mauvais présage ; tandis que dans Le Chenal, elle est un aboutissement, la fin d’un cycle, qui peut être rude mais qui dans son passage relie joliment les morts et les vivants. Pour ma part, j’ai préféré la première nouvelle.
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