#folie-a-dois
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#dc#dc comics#arlequina#coringa#joker#arthur fleck#coringa: delírio a dois#joker: folie à deux#lady gaga#joaquin phoenix
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Warner Bros. Pictures apresenta seus lançamentos de 2024
Ansiosos para o que vai rolar no cinema em 2024? Então venha conferir os lançamentos da Warner em 2024: 'Duna: Parte Dois', 'A Cor Púrpura', 'Furiosa: Uma Saga Mad Max' e mais.
Nesta segunda-feira (8), a Warner divulgou a data de estreia de seus lançamentos mais esperados de 2024. Dentre eles: ‘Duna: Parte Dois’ (Denis Villeneuve), ‘A Cor Púrpura’ (Blitz Bazawule), Furiosa: Uma Saga Mad Max’ (George Miller) e muito mais. Então, confira as datas e sinopses em ordem! A Cor Púrpura – 08/02 Com produção de Oprah Winfrey, Steven Spielberg, Scott Sanders e Quincy Jones, ‘A…

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#2024#A cor púrpura#Alto Knights#Beetlejuice 2#Challengers#Duna: Parte Dois#Evidências do Amor#Furiosa#godzilla#horizon#Joker: Folie Á Deux#Lançamentos#Lord of The Rings#Mickey 17#Rivais#The Watchers#trap#Warner
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Pour bien pécher,un esprit raffiné s'impose.....✨🪽

Une folie perverse
Et un complice digne.
Si tu dois aller en enfer,
au moins ça devrait être classe....💞✨

(web)
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Quelle position "philosophique" adopter par gros temps? Quelle éthique pour les périodes troubles?
L’expérience psychanalytique montre qu’une éthique du désir ne se fonde pas sur la prévisibilité ou la prédiction mais sur la rétroactivité…
Qu’est-ce que ça veut dire?
Si Hegel découvre une déraison au cœur même de la raison (la folle danse des opposés qui sape l'ordre rationnel…) Freud, lui, démontre que la logique habite ce qui apparaît comme la déraison (lapsus, rêves, actes manqués, folie...)
La dialectique de Hegel et la logique à l’œuvre dans la psychanalyse (Freud-Lacan) aboutissent à une même considération de la rétroactivité, celle qui opère dans le raisonnement hégélien (l'Un(ité) n’apparaît que comme l'effet rétroactif de sa perte...) se retrouvant dans la performativité rétroactive du signifiant chez Lacan, qui fait que refoulement et retour du refoulé sont le même (il n’y aura pas eu: d’abord refoulement puis retour du refoulé, le refoulement n’est en vérité que l'effet rétroactif de son retour...)
La performativité rétroactive du signifiant est ce qui permet de lever le faux clivage qui aujourd’hui oppose rationalité et irrationalité, d’un côté ce qui paraît ressortir de l’esprit rationnel (les sciences dites "dures", la mathématique, la physique, la biologie, la technologie...) et de l’autre les croyances (la religion, la spiritualité, la philosophie, la psychologie, les sciences (dites) humaines...
Ce que nous apprend la psychanalyse c'est que le rationnel est (aussi) une croyance, d'autant plus pernicieuse qu'elle se présente comme n'en étant pas une: rationaliser ce n’est rien d’autre qu’inventer des fictions pour tenter de se rassurer en niant ce qui nous détermine.
«Espérez ce qu'il vous plaira!» (Lacan)
La moindre des choses que vous aurez pu demander à votre analyse, c'est qu’elle vous ait opéré de l'espoir.
L’espérance dans ce qu’on appelle des «lendemains qui chantent» est ce qui a toujours conduit les hommes à toutes sortes de catastrophes.
La leçon de la psychanalyse n'est pas: «renoncez à vos rêves et à vos désirs dénués de sens, la vie est cruelle, acceptez-la telle qu'elle est...» mais plutôt: «vos jérémiades, vos gémissements, tout autant que vos espoirs et vos croyances ne sont qu'hypocrisie, car ils sont le paravent derrière lequel vous vous adaptez à cette réalité faite de manipulation et d'exploitation.»
Il n’y a rien à espérer, et encore moins du désespoir.
Dans Télévision, Lacan répond aux trois questions de Kant:
• Que puis-je savoir ?
«Rien qui n’ait la structure du langage en tout cas, d'où résulte que jusqu'où j'irai dans cette limite, est une question de logique.»
• Que dois-je faire ? «De ma pratique tirer l'éthique du Bien-dire.»
• Que m'est-il permis d'espérer ? «Vous comme tout autre …espérez ce qu'il vous plaira! La psychanalyse vous permettrait d’espérer assurément de tirer au clair l'inconscient dont vous êtes sujet.»
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Automne 1940 - Londres
5/9
Nous avions réussi à ouvrir les portes à glissières, ne serait-ce que pour avoir un peu d'air qui n'ait pas de relents nauséabonds. Cela faisait un moment que personne ne faisait attention à nous, et j'entendais les préparatifs pour reprendre la route au loin. J'ai donc compris que c'était le moment où jamais. Sauter d'un train lancé à pleine vitesse est extrêmement dangereux, pas besoin d'être un génie pour le savoir. En revanche, sauter d'un train au départ en train de prendre de la vitesse, c'est bien plus envisageable. J'aurais bien pris tout le monde avec moi, mais Edgar a préféré rester (craignant à juste titre les représailles) et Adrien était encore dans un état tel que je n'étais même pas sûr qu'il ait suivi notre conversation. J'ai attrapé Jean-François et nous nous sommes tenus prêts.
Transcription :
Marc-Antoine « Jean-François. Je vais sauter. J’ai promis de tout faire pour survivre. Je voudrais que tu viennes avec moi. »
Jean-François « Antoine, c’est de la folie. »
Marc-Antoine « Écoute, je pense qu’une fois en Allemagne, ils te traiteront bien. Ce ne sera pas facile, mais je te fais confiance pour t’en sortir. Mais tu seras prisonnier pour Dieu sait combien de temps, loin de Catherine et du petit Roger. Et surtout, je ne veux pas te laisser derrière. Tu es mon petit-frère, je dois prendre soin de toi. »
Jean-François « Antoine, je ne peux pas… C’est trop dangereux. »
Marc-Antoine « S’il te plait. J’ai besoin de toi. »
Jean-François « Je… Bon, d’accord. »
Edgar « Vous deux, vous êtes complètement détraqués. Moi je reste. »
Marc-Antoine « Grand bien te fasse Edgar. Toi, tu ne risque rien là-bas. J’espère au moins que tu ne vas pas nous vendre. »
Edgar « Pour qui me prends-tu ? Je ne suis pas un traître ! Et s’ils me posent des questions, je saurai encaisser. Et le petit aussi. De toute façon, dans l’état où il est, ils le laisseront tranquille. »
Marc-Antoine « Merci. »
Edgar « Je crois toujours que tu es complètement fou. »
Marc-Antoine « Et je te remercie encore pour cet avis très pertinent. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#Marc-Antoine Le Bris#Albertine Maigret#Constantin Le Bris#Edgar Hautbourg#Adrien Béate#Catherine Yvain#Roger Le Bris#Jean-François Le Bris
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On ne part pas. - Reprenons les chemins d'ici, chargé de mon vice, le vice qui a poussé ses racines de souffrance à mon côté, dès l'âge de raison - qui monte au ciel, me bat, me renverse, me traîne.
La dernière innocence et la dernière timidité. C'est dit. Ne pas porter au monde mes dégoûts et mes trahisons.
Allons ! La marche, le fardeau, le désert, l'ennui et la colère.
À qui me louer ? Quelle bête faut-il adorer ? Quelle sainte image attaque-t-on ? Quels coeurs briserai-je ? Quel mensonge dois-je tenir ? - Dans quel sang marcher ?
Plutôt, se garder de la justice. - La vie dure, l'abrutissement simple, - soulever, le poing desséché, le couvercle du cercueil, s'asseoir, s'étouffer. (…)
- Ah ! je suis tellement délaissé que j'offre à n'importe quelle divine image des élans vers la perfection.
O mon abnégation, ô ma charité merveilleuse ! ici-bas, pourtant !
De profundis Domine, suis-je bête !
(…)
L'ennui n'est plus mon amour. Les rages, les débauches, la folie, dont je sais tous les élans et les désastres, - tout mon fardeau est déposé. Apprécions sans vertige l'étendu de mon innocence.
— Arthur Rimbaud, « Mauvais sang »
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Nos folies et notre rapport au corps
Tw: pedocriminalité, viol, parties génitales, automutilation, TCA, racisme
J'ai toujours détesté mon corps. Détesté profondément, viscéralement, comme l'envie de m'arracher tous les organes, un par un. Les moments où je lâche prise par rapport à mon corps sont rares. Et mon cerveau saisit toutes les occasions possibles et imaginables de nous détester.
Surtout ceux qui veulent dire que je suis adulte. Les seins. Les hanches. Le visage. La taille. La grandeur générale. Que je suis un corps adulte et mature, et donc, la disparition du corps désiré par nos abuseurs. Ça dépasse. Je suis devenue trop. Je ne suis plus celle que j'ai été conditionnée à être. Je dois redevenir minuscule pour leur plaire. Car une petite voix au fond me dit que c'est la seule chose qui importe.
Et les littles catalysent ce sentiment, et bien plus encore. Pour les littles, le corps adulte est aussi le douloureux symbole que l'enfance est passée et ne repassera pas. C'est fini. Nous sommes grandes et l'enfance est gâchée. Oui, c'est du gâchis. C'est pas juste. Leurs sensation corporelles sont violentes. Le corps, immense réceptacle vide dans lequel leurs corps ressentis d'enfants se noient, se perdent, se meurent. Les membres ressentis plus petits de moitié se désagrègent dans le void froid et sombre du corps adulte. C'est comme ne pas avoir de frontières et se fondre dans le néant dans une douleur infinie, et pour tenter d'en regagner, un de mes littles aime bouger, faire des roulades, sauter.
Combattre le néant. Toujours. Pour nous, le corps, bien souvent, c'est un gigantesque néant flou. Nous nous percevons souvent comme des fantômes, sans âme, sans corps, sans genre, qui flottent dans l'existence. On reconnaît souvent pas notre reflet, car on existe pas. On oublie souvent qu'on a un corps, et quand on s'en rappelle, au détour d'un miroir, c'est presque toujours, passé l'étonnement initial, atroce à vivre.
Atroce car nous sommes un ensemble cosmopolite de personnes ayant des apparences diverses dans le monde intérieur, et que spoiler, peu d'entre nous collent au corps, bien que cela ait une importance plus ou moins grande pour chaque individu. Déjà parce qu'on est un système racisé et que pour des raisons de survie psychique, un nombre non négligeable d'entre nous sont blancs. Faut bien s'imaginer un peu qu'on est blanc et donc privilégié pour pas qu'on vrille trop face au racisme. Les entités blanches se sentent en sécurité, inclues, protégées, représentées, et ça nous aide. Ce déni racial de survie a pourtant des effets pervers. Si le racisme intériorisé tabasse déjà notre image de nous, les identités blanches sont ressenties comme une colonisation de l'intérieur. Une énième victoire blanche. Une prise d'otage de notre corps racisé par la blanchité. Il se peut que les identités blanches voient notre corps racisé comme un obstacle au corps blanc ressenti comme parfait et idéal. Pour certain-es d'entre nous, c'est une vraie frustration. On travaille donc sur le fait de modifier l'apparence des identités blanches (puisqu'on peut le faire, avec plus ou moins de difficultés).
N'oublions pas non plus qu'être un système, c'est être, de fait, presque systématiquement et inevitablement, genderfluid, et je dirais même, être la définition de la genderfluidité. Chez nous, environ 40% des identités ne peuvent pas être identifiées comme des femmes, et un certain nombre d'entre nous sont des mecs. Cela n'est pas sans impact sur le système, même si je ne développerai pas trop cette partie, par honte et illegitimité. Celui qui en porte le plus grand mal être est notre colocatete Nathan. Il ne supporte pas le corps, et là où c'est "drôle", c'est que ses rejets convergent avec ceux des littles: sur les seins, les hanches, ce qui se combine de manière tout à fait amusante (non). Souvent, Nathan a envie purement et simplement de s'arracher les seins.
Mais aussi, les parties génitales. On donnerait beaucoup pour raser cette partie de la carte de notre anatomie. Pour l'effacer. Parce que pour Nathan c'est pas possible. Et chose tout à fait séparée, parce que pour nous, les fronteuses principales, c'est le lieu du viol. C'est le lieu de l'effraction. De la domination. Et qui continue de vivre malgré cette mort. Et on souhaite souvent découper cette vulve à la lame de rasoir et la jeter à la poubelle tellement elle nous dégoûte.
Tout notre corps en fait. Tout notre corps nous donne envie de gerber et mériterai d'être découpé et jeté à la poubelle. Les viols nous ont rendues ignobles et sales. Sales sales sales. La crasse est tellement profondément insunuée dans notre etre qu'il est impossible de nous nettoyer. Corps sur ou dans lequel nos violeurs ont ejaculé. Pendant des années. C'est partout. Partout sur mon corps. Surtout sur mon visage. Ça dégouline partout, je le sens. Donc déjà mort.
La mort. Et à défaut de l'atteindre, la simuler. S'ouvrir pour voir son sang couler. Couler couler couler. Ne pas manger pour se voir crever lentement. Dans d'atroces souffrances. Et aimer se regarder mourir, se voir aux frontières de la mort. Aimer la faim, aimer perdre du poids, aimer devenir un ange blême avant l'heure, sans ailes, donc toujours au sol. Le corps mort. Le corps que j'ai essayé de tuer. Lentement. Plus rapidement parfois.
Aujourd'hui je suis sortie du pire de ce cycle mortifère mais j'en garde des séquelles. Souvent, je pense à la manière dont mon corps, et par extension moi, est de trop, trop vivant, trop existant, trop trop trop. Trop moche, aussi. Le harcèlement scolaire sur le physique. Mon père qui me viole en me disant que je suis laide. Le racisme reçu ou intériorisé. Les marques de ma folie et de mon passé sur mon corps (dents, cicatrices). La vision déformée que j'ai de mon corps. Je suis trop moche. Laide. C'est même pas vrai. Mais j'en suis persuadée. Je me trouve jamais belle sur les photos. Le reflet me renvoie sous tous les angles comme je suis vilaine. Comme je serais mieux si j'étais blanche, si j'étais çi, si j'étais ça. En réalité, je suis une métisse tout ce qu'il y a de plus banale (sauf pour les fétichistes). Mais je n'arrive pas à l'intégrer, tellement j'ai été construite mentalement comme une figure folle monstrueuse et rebutante.
Car la folie rend laide. Être folle c'est ne pas savoir comment se rendre désirable et belle au regard de la société. C'est avoir des façons de se tenir, de parler, de bouger, qui sont perçues comme anti-sexualisées et non humaines. C'est avoir les bras rayés et le casque antibruit sur les oreilles. Tout ce qui fait la folie est perçu comme un enlaidissement. Tu n'es pas une femme, tu es une folle. Quand j'étais ado ou jeune adulte, j'étais cette folle laide. Pas parce que mon corps était spécialement laid en soi, mais parce que c'était un corps habité par un esprit fol, loin des standards de la meuf baisable. Et maintenant, je dirais que ça a changé, pas parce que je suis moins fol mais parce que je relationne exclusivement avec des folles, qui me voient desirable selon leurs propres standards, dans nos magnifiques marges.
Pour nous, en conséquence de toutes ces problématiques qui se croisent et parfois s'explosent les unes contre les autres, il est très difficile d'aimer notre corps, d'en développer une image saine et durable. C'est le chaos (surtout en ce qui concerne le genre), ça fluctue et change sans cesse, on déteste toujours notre corps pour une raison aléatoire tirée au sort plusieurs fois par jour. Notre corps est comme le miroir déformant de toutes nos peurs, nos angoisses, nos identités personnelles, nos traumas. On ne sait pas comment s'aimer. Pourtant l'une d'entre nous montre la voie. Ivy. Elle aime notre corps pour nous toustes. Elle aime notre corps pour les 149 autres.
Rédigé par une identité non identifiée et par Amethyst Spiralis
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[Who planted the dark seeds of your dreams?]
XIII - La Marche Triangulaire
Environ deux semaines plus tard, les livres sont arrivés. Deux grosses briques. C'était vraiment un plan formidable.
Je dois dire que ce sont de très belles rééditions. Comparé à l'article que j'ai imprimé, par exemple, les illustrations sont incroyablement claires, comme si quelqu'un avait voyagé dans le temps et scanné la première édition. Clair, seulement visuellement. Leur signification n'était certainement pas claire. Stéganographie surtout était jolie, avec ses instructions détaillées pour invoquer les esprits.
Le processus de traduction (Stéganographie était en latin) a été lent, mais il est vite devenu évident que les livres ressemblaient essentiellement à l'écriture d'un fou, et je savais qu'il y avait même une autre couche de folie cachée ou cryptée dans le texte. J'étais entouré de notes sur papier, d'articles, de livres, comme un vrai fou moi-même. Et comme tant de fois ces derniers mois, j'étais perdu.
Eh bien, les livres n'étaient pas utiles pour résoudre le puzzle, mais j'ai découvert que c'étaient de très bons oreillers. Un nuit, la traduction m'endormait et je me suis réveillé avec mon visage collé sur Polygraphie. L'article que j'ai imprimé, qui contenait une copie de la couverture du livre, était juste à côté. En regardant la couverture de si près (peut-être de trop près), je l'ai finalement vu. Les clés.
Dans l'article, l'homme tenait deux clés, mais dans le livre, c'était trois. Au début, je pensais que la photo dans l'article était simplement dégradée, mais il y a beaucoup de numérisations haute définition en ligne, et toutes contenaient deux clés, pas trois. Le description partout était: "Trithème, s'agenouillant et présentant son livre à l'empereur Maximilien. Derrière lui, Haselberger détient deux clés." C'est très subtil, mais quand regardé côte à côte, c'est si évident. Au lieu de deux clés, dans mon exemplaire, j'en ai vu trois.

Tout le reste était pareil. J'ai jeté Polygraphie de côté et coincé mon nez dans Stéganographie.

C'était beaucoup moins évident, mais je l'ai trouvé. Partout, la porte avait deux fenêtres, mais dans chez Mars Éditions, il y avait trois:

Clefs altérées, portes altérées. Dans quel but ? Quelque chose de si subtil, si caché devait être important, mais pourquoi ? Trois : un nombre sacré et magique. Une trinité.
Je suis retourné à Nuit Sans Fin et j'ai recommencé depuis le début. En pensant au chiffre 3, pour la première fois, le triangle de la première page (le triangle réapparu sur la dernière page) m'a semblé important. Ensuite, je suis revenu aux livres Trithème et au chiffre expliqué dans l'article. Pour dériver l’incantation, on prend la deuxième lettre d’un mot sur deux. Le nombre critique ici est donc 2. Deux. Deux clés. Deux fenêtres. Mais ce chiffre n'a pas fonctionné. Peut-être que le nombre qu'on cherche n'est pas deux, mais trois. Trois clés, trois fenêtres. Trois, le nombre sacré. Le numéro du triangle. Peut-être qu'on doit prendre chaque troisième lettre de chaque troisième mot dans Nuit Sans Fin ? Qu'une seule façon de le savoir.
Cet esprit ondulant Ce voyageur capuchonné Qui existe odieusement ailleurs Vous vagabondiez et elle fantasmait Elle a cultivée, avec les philosophes une incantation évidente Pour les lucifuges Pour les moqueurs Ce fantôme fieffant Loin des fadasseries terrestres et badines Ils se perchaient Les cormorans aporétiques Une plaine vaste
Le résultat:
daphnisegoinsilvishincusqueadsideranotus
Mon cœur battait à tout rompre. J'ai immédiatement reconnu le nom Daphnis du tableau Et In Arcadia Ego et j'ai su que c'était la clé.
J'ai répété ce processus depuis le début du livre et suis arrivé au paragraphe suivant après avoir rempli là où je supposais que les espaces et les ponctions devaient se trouver :
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
J'aurais dû être heureux que tout ce qui avait conduit à ce moment n'était pas une coïncidence après tout, mais tout à coup, j'ai été terrifié.
#s36e03 sicilian and seafood#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
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Man Ray, Virginia Woolf, 1935.
"Mon chéri,
J’ai la certitude que je vais devenir folle à nouveau : je sens que nous ne pourrons pas supporter une nouvelle fois l’une de ces horribles périodes. Et je sens que je ne m’en remettrai pas cette fois-ci. Je commence à entendre des voix et je ne peux pas me concentrer.
Alors, je fais ce qui semble être la meilleure chose à faire. Tu m’as donné le plus grand bonheur possible. Tu as été pour moi ce que personne d’autre n’aurait pu être. Je ne crois pas que deux êtres eussent pu être plus heureux que nous jusqu’à l’arrivée de cette affreuse maladie. Je ne peux plus lutter davantage, je sais que je gâche ta vie, que sans moi tu pourrais travailler. Et tu travailleras, je le sais.
Vois-tu, je ne peux même pas écrire cette lettre correctement. Je ne peux pas lire. Ce que je veux dire, c’est que je te dois tout le bonheur de ma vie. Tu t’es montré d’une patience absolue avec moi et d’une incroyable bonté. Je tiens à dire cela — tout le monde le sait.
Si quelqu’un avait pu me sauver, cela aurait été toi. Je ne sais plus rien si ce n’est la certitude de ta bonté. Je ne peux pas continuer à gâcher ta vie plus longtemps. Je ne pense pas que deux personnes auraient pu être plus heureuses que nous l’avons été."
Virginia Woolf s’est suicidée le 28 mars 1941. L’immense écrivaine anglaise, romancière hors pair et féministe de la première heure, a épousé très jeune Leonard, auteur mineur qui eut la grandeur de s’effacer devant le talent de sa femme et de la protéger des appels de la folie. Si ce mariage fut non consommé, si Virginia trouva des âmes sœurs féminines où s’adonner à la sensualité, c’est à cet époux dévoué et exemplaire qu’elle adresse ses derniers mots avant de se noyer dans un lac, de nuit. Voici sa dernière lettre d’amour.
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#dc#dc comics#joker#joker: folie à deux#coringa#coringa: delírio a dois#lady gaga#arthur fleck#joaquin phoenix#arlequina
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Bom dia amigos, tem novo video em meu canal Marcuslash, 131 - Filme Coringa Delírio a Dois, deixem seu like no vídeo, comentem sugestões, compartilhem com seus amigo 😉🖖
youtube
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Always And Forever
Chapitre 4 -> Halloween
♥*♡∞:。.。 。.。:∞♡*♥ ♥*♡∞:。.。 。.。:∞♡*♥
Wanda venait d'accoucher il y a six ans de ses deux garçons, Billy et Tommy. Maintenant âgés de 6 ans, ils débordaient d'énergie. Ce matin-là, la cuisine était leur terrain de jeu. Des éclats de rire résonnaient alors qu'ils se lançaient des morceaux de pain et des cuillères de confiture dans une bataille de nourriture hilarante. Wanda, les mains sur les hanches, regardait la scène, partagée entre l'envie de gronder et celle de sourire devant leur complicité.
« Billy, Tommy ! Ça suffit maintenant ! Qui va nettoyer tout ça ? » dit-elle en croisant les bras.
Les deux garçons s'arrêtèrent, échangeant un regard coupable avant d'éclater de rire.
Billy, les joues encore couvertes de confiture, leva une main victorieuse en criant :
« Tommy, on est des pirates ! Et c'est notre navire ! »
Tommy, armé d'une cuillère dégoulinante de yaourt, répliqua :
« Pas si je te bats, Capitaine Billy ! »
Avant que Wanda ne puisse réagir, Tommy fit un lancer parfait, et le yaourt atterrit directement sur le front de son frère. Billy, bouche bée, resta figé une seconde avant de riposter avec une pluie de céréales.
Wanda, exaspérée mais amusée, attrapa un torchon et s'écria :
« Très bien, si c'est comme ça... J'arrive dans votre équipage ! »
Elle plongea ses mains dans un bol de farine, en lança une poignée en l'air, et la bataille devint un véritable chaos. Billy et Tommy éclatèrent de rire en voyant leur mère si complice dans leur folie.
Vision brève de la scène : des morceaux de pain sur la table, des flaques de lait sur le sol, et toute la petite famille couverte de farine et de confiture. La bataille s'arrêta enfin lorsque Vision entra dans la cuisine, regardant le carnage avec son calme habituel.
« Wanda... Est-ce que je dois demander ce qu'il s'est passé ici ? »
Wanda haussa les épaules avec un sourire espiègle.
« Disons qu'on a fait... un peu d'art moderne. Tu veux participer ? »
Vision soupira, un léger sourire trahissant sa fausse sévérité. « Je vais chercher un balai. »
Vision, en essuyant une tâche de confiture sur son épaule, posa le balai avec un soupir dramatique.
« Très bien, si vous refusez de vous calmer... je vais devoir appeler Rosalía. »
Billy et Tommy échangèrent un regard complice, avant de hausser les épaules.
« Vas-y ! » s'exclama Tommy en riant.
« Elle est trop gentille, de toute façon, » ajouta Billy avec un grand sourire.
Vision les regarda, clairement décontenancé. « Vous ne comprenez pas... Rosalía est implacable. Une fois qu'elle arrive, c'est fini pour vous. Vous allez devoir... » Il fit une pause dramatique. « ...ranger ! »
Billy croisa les bras, un air de défi sur le visage. « Elle nous laisse toujours des bonbons quand on range. Alors c'est nous qui gagnons. »
Tommy acquiesça en riant. « Ouais, elle dit que le travail bien fait mérite une récompense ! »
Vision cligna des yeux, son plan complètement démoli. « Eh bien... c'était... inattendu. »
Wanda, les bras croisés, s'amusait clairement de la scène. « Tu vois, chéri ? Tes menaces tombent à l'eau. »
Vision, finalement vaincu, posa son téléphone sur la table. « Vous savez quoi ? Je rends mon tablier. Wanda, ces pirates sont maintenant tes pirates. »
Wanda éclata de rire et se tourna vers ses garçons. « D'accord, les petits malins. Si vous ne craignez pas Rosalía, peut-être que vous devriez avoir peur de moi. Parce que moi, je ne donne pas de bonbons pour ranger. »
À ces mots, Billy et Tommy filèrent comme des fusées, attrapant des torchons pour nettoyer en riant. Wanda jeta un coup d'œil amusé à Vision. « Voilà. Ça, c'est une vraie menace. »
༺♡༻
Rosalia était tranquillement installée chez elle, enveloppée dans son plaid préféré, une tasse de café chaud entre les mains. Les rayons du matin filtraient à travers les rideaux, apportant une lumière douce et agréable dans la pièce. Elle se détendait après une semaine bien remplie, savourant chaque gorgée de sa boisson.
Le silence de la maison fut soudainement brisé par un coup frappé à la porte. Rosalia posa son café sur la table basse et se leva lentement, se demandant qui pouvait bien venir à cette heure-ci. En ouvrant la porte, elle se retrouva face à Billy et Tommy, les sourires éclatants et les yeux brillants d'excitation.
"Salut, Rosalia !" s'écria Tommy, les mains sur les hanches, tout aussi enthousiaste que toujours. "On a une super nouvelle à te dire !"
"Oui, et tu vas adorer," ajouta Billy, presque en chuchotant, comme s'il voulait garder un peu de mystère.
"Eh bien, maman organise une fête d'Halloween ce soir !" dit Billy en levant les bras en l'air. "Et on voulait savoir si tu voulais venir. On a même des costumes super cools et on va préparer des bonbons !"
Rosalia les regarda, touchée par leur enthousiasme. Halloween était toujours une période amusante, et l'idée de passer la soirée avec eux, Agnes, et tous les autres la tentait beaucoup. Elle avait hâte de les rejoindre pour une soirée de rires, de jeux, et d'amusement.
"Eh bien, comment dire non à une invitation aussi enthousiaste ?" répondit-elle avec un sourire chaleureux. "Je serai là, bien sûr. J'ai hâte de voir ce que vous avez prévu pour cette fête !"
Les enfants sautèrent de joie à la réponse positive de Rosalia. Billy la remercia avec un grand sourire, et Tommy, ne pouvant contenir son excitation, laissa échapper un petit cri de joie.
"Ça va être génial ! On va faire des jeux, des concours de costumes, et même un coin hanté ! On te laisse préparer un super costume, ok ?"
Rosalia hocha la tête en rigolant. "Promis, je vais trouver quelque chose de parfait. Vous allez être impressionnés."
Les enfants lui firent signe et partirent en courant, impatients de continuer leurs préparatifs pour la soirée. Rosalia retourna dans sa maison, le sourire aux lèvres, prête pour cette soirée d'Halloween mémorable
Rosalia retourna s'installer dans son salon, un sourire toujours sur les lèvres en repensant à la réaction des enfants. Elle avait hâte de les voir déguisés, et la perspective de passer une soirée amusante en compagnie de Wanda, Vision et les enfants la réjouissait.
Elle attrapa son téléphone, parcourut ses contacts, et appuya sur le nom d'Agnès. Elle espérait qu'elle serait disponible pour discuter un peu, surtout après la surprise de la matinée.
L'appel se connecta rapidement, et la voix d'Agnès, joyeuse et pleine d'énergie, se fit entendre au bout du fil.
"Allô, Rosalia ! Ça va ?"
"Salut Agnès, ça va très bien, merci. Écoute, les enfants m'ont invitée à la soirée d'Halloween ce soir chez Wanda et Vision, et je voulais savoir si tu comptais y aller aussi ?" Rosalia laissa échapper un léger rire en pensant à toute l'effervescence de la soirée à venir.
Agnès, toujours aussi enthousiaste, répondit presque sans hésitation : "Bien sûr que je vais y aller ! J'adore Halloween, et avec Wanda et Vision, ça promet d'être une soirée incroyable. Tu seras là aussi, non ?"
Rosalia sourit, contente de savoir qu'Agnès serait présente. "Oui, les enfants m'ont invitée et je ne pouvais pas dire non à une soirée aussi fun. Je pensais qu'on pourrait y aller ensemble, si tu veux ?"
Agnès pouffa de rire. "Tu sais que c'est une excellente idée. Je suis partante ! On va s'éclater !"
Les deux femmes échangèrent quelques mots supplémentaires, planifiant leur arrivée et discutant brièvement des costumes. Rosalia raccrocha le téléphone, son esprit déjà plongé dans les préparatifs pour la soirée. Elle savait qu'elle allait passer un moment fantastique entourée de ses proches, et avec Agnès à ses côtés, cela promettait d'être encore plus amusant.
Rosalia se laissa aller dans le canapé en attendant la réponse d'Agnès, tout en imaginant la soirée d'Halloween à venir. Quand Agnès reprit la parole, c'était avec une touche de malice dans sa voix.
"Je vais me déguiser en pirate. Ça fait un moment que je voulais essayer ce look, tu sais, avec un bon chapeau, un cache-œil et tout. Qu'en penses-tu ?" Agnès semblait très enthousiaste à l'idée de son costume.
Rosalia sourit, ses pensées déjà tournées vers son propre déguisement. "Ah, j'adore l'idée ! Ça te va parfaitement, tu as ce petit côté audacieux qui ira bien avec un pirate," répondit-elle, amusée. "De mon côté, je pensais me déguiser en vampire. Ça me semble un peu cliché, mais c'est tellement classique que ça passe toujours bien."
Agnès éclata de rire de l'autre côté du téléphone. "Un vampire ? Oh, j'adore ! Ça va te rendre encore plus mystérieuse, et avec tes yeux... Je suis sûre que tu vas être la plus séduisante des créatures de la nuit."
Rosalia sentit une chaleur douce monter à ses joues en entendant la taquinerie dans la voix d'Agnès. Elle s'assit un peu plus droite, ne pouvant empêcher un léger sourire de se dessiner sur ses lèvres. "Ah, tu sais comment flatter une fille," répondit-elle d'une voix plus douce. "Mais je vais devoir te prévenir, si tu oses m'approcher avec ce regard de pirate, tu risques de me transformer en une créature bien plus dangereuse que tu ne penses."
Agnès rit, et Rosalia pouvait presque imaginer son sourire séducteur. "Je suis sûre que je saurais me défendre contre une vampire aussi mignonne. Peut-être que tu me mordras... qui sait ?" Sa voix était pleine de sous-entendus.
Rosalia sentit son cœur s'emballer un peu, mais elle ne pouvait s'empêcher de sourire. "On verra bien... Mais fais attention, parce que dans la nuit, même un pirate audacieux pourrait se faire surprendre par un vampire trop... irrésistible."
Agnès ne se fit pas prier et répondit d'un ton charmeur : "Je vais devoir être prudente alors. Mais je pense que tu me tiendras en haleine, ma chère vampire."
Les deux femmes se laissèrent aller à rire, les sous-entendus et la taquinerie flottant dans l'air entre elles. La conversation se poursuivit sur un ton léger et complice, alors qu'elles s'imaginaient déjà la soirée et l'effet de leurs costumes respectifs. Mais plus la conversation avançait, plus Rosalia se rendait compte que ce simple appel venait de rendre cette soirée d'Halloween encore plus excitante qu'elle ne l'avait imaginée.
༺♡༻
Rosalia arriva chez Wanda en milieu d'après-midi, prête à l'aider pour les derniers préparatifs de la soirée d'Halloween. La maison était décorée de manière chaleureuse, et l'atmosphère festive la mettait déjà dans l'ambiance. Wanda, tout sourire, l'accueillit à l'entrée.
"Salut ! Je suis tellement contente que tu sois là. Tu es prête à me donner un coup de main ?" demanda Wanda, son ton plein de bonne humeur.
"Bien sûr, qu'est-ce que tu veux que je fasse ?" répondit Rosalia avec un sourire, toujours prête à aider.
Wanda la guida jusqu'au salon, où elle avait déjà préparé son costume. "J'ai un petit problème avec l'arrière de ma robe. Les boutons ne tiennent pas très bien. Tu pourrais m'aider à les attacher ?" demanda Wanda, en se tournant légèrement pour lui montrer le dos de la robe.
Rosalia acquiesça et se mit immédiatement au travail, ajustant les boutons un par un. Elle était concentrée, mais elle ne put s'empêcher de remarquer à quel point la situation était légèrement intime, même si Wanda ne semblait pas s'en rendre compte.
"Tu sais, tu es vraiment efficace pour ça," taquina Wanda, un sourire malicieux aux lèvres. "Peut-être que je devrais t'engager comme assistante personnelle pour mes futurs costumes."
Rosalia sourit en continuant d'attacher les boutons. "Je ne sais pas si je pourrais gérer une carrière à plein temps, mais je ferai volontiers des remplacements," répondit-elle en plaisantant.
"Tu es sûre ? Parce que je dois dire que j'aime bien l'idée de te voir encore plus souvent," ajouta Wanda avec une petite moue amusée, jouant avec l'idée.
Rosalia haussait les épaules sans vraiment y prêter attention. "Bon, maintenant que tu es prête, je crois qu'il est temps de passer aux décorations, non ?" dit-elle en se reculant pour observer son travail.
Wanda, qui avait toujours ce sourire complice, secoua la tête. "Vraiment, tu n'as aucune idée de ce que tu me fais faire, hein ?" dit-elle en rigolant légèrement. "Mais tu sais, j'apprécie vraiment que tu sois là. Ça rend tout plus facile."
Rosalia sourit, heureuse d'être là pour Wanda. "Tu sais que j'adore t'aider. Et puis, ça me donne une bonne excuse pour passer du temps avec toi," répondit-elle en fixant Wanda d'un regard sincère.
Les deux échangèrent un sourire complice avant que Wanda ne se dirige vers un miroir pour ajuster sa robe. "Bon, je crois que tout est en ordre, grâce à toi," dit-elle avec un sourire radieux. "Tu es vraiment un atout pour la soirée."
Rosalia, toujours un peu surprise par la douceur de Wanda, lui rendit son sourire. "On dirait qu'on est prêtes pour la fête."
Rosalia sourit en entendant la question de Wanda et hocha la tête. "Bien sûr, je vais juste aller me changer et être de retour dans un instant."
Elle monta les escaliers et se dirigea vers la salle de bain. Une fois à l'intérieur, elle prit son temps pour enfiler son costume de vampire. Le tissu noir et rouge, accentué par des détails effrayants mais élégants, se collait parfaitement à sa silhouette. Après avoir ajusté son maquillage pour accentuer son regard, elle se regarda dans le miroir en se faisant un petit sourire.
Elle descendit les escaliers quelques minutes plus tard, sa démarche un peu plus assurée dans sa tenue, et retrouva Wanda dans le salon. Wanda la regarda, les yeux écarquillés, et émit un léger sifflement d'admiration.
"Wow, tu es absolument ravissante ! Je suis presque jalouse, tu fais une vampire parfaite," dit Wanda en applaudissant doucement, un sourire admiratif sur le visage. "Tu sais, tu pourrais très bien jouer dans un film d'horreur."
Rosalia, un peu gênée par l'attention, se mit à sourire et haussait les épaules. "Merci, mais je pense que c'est juste un costume. Rien de bien extraordinaire."
Wanda s'approcha un peu, observant Rosalia sous tous les angles, comme si elle ne pouvait pas se retenir d'admirer la tenue. "Ce n'est pas juste un costume, c'est une transformation complète," répondit-elle, un sourire espiègle. "Tu es magnifique."
Rosalia rougit légèrement mais tenta de rester calme. "Tu me flattes trop. C'est juste un vampire, pas une star du cinéma," répliqua-t-elle avec un petit rire nerveux, jouant le jeu de l'humilité.
Juste à ce moment-là, la porte d'entrée s'ouvrit, et Agnès entra dans la pièce, habillée de son costume de pirate. Elle sourit en voyant Rosalia dans sa tenue.
"Alors, comment ça va ici ? Je vois que la vampire a fait son entrée," dit Agnès avec un clin d'œil, son ton léger mais appréciateur.
Wanda tourna la tête vers elle, un sourire toujours présent. "Regarde Agnès, n'est-ce pas incroyable ? Elle est tout simplement parfaite en vampire."
Agnès se rapprocha et fit un tour autour de Rosalia, ses yeux s'attardant sur sa silhouette. "Effectivement, tu es à couper le souffle," dit-elle, sa voix légèrement plus basse, presque une caresse dans l'air.
Rosalia, un peu intimidée par l'attention, se contenta de sourire et de répondre d'un ton léger, "Merci, mais ne vous y habituez pas trop, ce n'est pas mon look habituel."
"Je ne suis pas sûre de ça," répondit Agnès en riant doucement, "Je pense que tu pourrais très bien le porter tous les jours."
Les trois femmes échangèrent des sourires complices alors que l'atmosphère devenait un peu plus détendue, l'excitation pour la soirée grandissant encore.
༺♡༻
Agnès et Rosalia marchaient côte à côte, un peu en retrait de Billy et Tommy qui étaient excités à l'idée de récolter des bonbons pour Halloween. Agnès gardait un regard appuyé sur Rosalia, et chaque fois qu'elles se croisaient du regard, un sourire furtif se dessinait sur leurs visages. Les deux femmes avaient cette complicité silencieuse, mais l'attention de Billy rompit ce moment lorsque la question sortit de sa bouche.
"Alors, Agnès, Rosalia, vous êtes amoureuses ?" demanda Billy en souriant, en jetant un coup d'œil taquin à Rosalia.
Rosalia s'arrêta un instant, choquée par la question soudaine. Elle tourna son regard vers Agnès, incertaine de la façon dont elles allaient répondre. Agnès sembla aussi un peu déconcertée, mais un petit rire s'échappa de ses lèvres.
"Non, Billy, ce n'est pas ça," répondit Rosalia en secouant la tête, essayant de garder une réponse légère et décontractée. "On est juste de très bonnes amies, rien de plus."
Billy sembla déçu, et avec une moue, il ajouta : "Dommage, vous seriez un beau couple, vous deux."
Les deux femmes se figèrent un instant, toutes les deux incertaines de comment réagir. Agnès baissa légèrement la tête en essayant de cacher un sourire, son cœur battant un peu plus vite. Rosalia, quant à elle, sentit son visage s'empourprer légèrement, ne sachant pas exactement comment traiter la situation.
"Eh bien, Billy," répondit Agnès d'un ton taquin, "tu n'as pas tort, on ferait peut-être un beau couple, mais pour l'instant, on est juste deux amies qui profitent d'une soirée d'Halloween ensemble."
Rosalia hocha la tête, avec un sourire timide. "Oui, c'est ça. Juste des amies."
Billy sembla être satisfait de la réponse et, avec un grand sourire, se tourna vers Tommy pour repartir en courant vers la prochaine maison avec un enthousiasme retrouvé. Agnès et Rosalia restèrent un moment en retrait, se regardant en silence. Agnès ne put s'empêcher de rire doucement, en se tournant vers Rosalia.
"Tu sais, ce gamin n'a pas tort," murmura Agnès, son regard un peu plus tendre. "On ferait peut-être un beau couple."
Rosalia rougit à nouveau, sentant la chaleur de la situation s'intensifier légèrement. "Il est un peu jeune pour ce genre de commentaires, non ? Mais..." Elle s'arrêta, cherchant ses mots, avant de se contenter d'un sourire. "Peut-être qu'il a raison."
Les deux femmes continuèrent leur marche, un peu plus proches, tout en se laissant emporter par les rires des enfants qui criaient "des bonbons ou un sort", mais la complicité entre elles était palpable, et, même si les choses n'étaient pas dites ouvertement, quelque chose de plus semblait être en train de naître.
Agnès et Rosalia accompagnèrent Billy et Tommy jusqu'à la maison de leurs amis, tout en échangeant des sourires et quelques taquineries. Les enfants étaient excités par les bonbons qu'ils venaient de récolter, et après un dernier "merci et au revoir", Agnès et Rosalia se retrouvèrent seules.
"Alors, prête à rentrer chez Wanda et profiter de la soirée ?" demanda Agnès en souriant, mais son regard, un peu plus malicieux, se posa sur Rosalia.
Rosalia hocha la tête, mais avant qu'elle ne puisse répondre, Agnès ajouta d'un ton suggestif : "Ou alors, on pourrait faire un petit détour avant de revenir. Juste nous deux, loin de toute cette agitation... Qu'en dis-tu ?"
Rosalia se figea un instant, surprise par la proposition. Elle se tourna vers Agnès, un peu hésitante, mais un sourire amusé se dessina sur ses lèvres. "Un détour, hein ?" dit-elle en arquant un sourcil. "Tu veux vraiment que l'on parte seules toutes les deux à cette heure-ci, juste pour un petit tour ?"
Agnès la fixa un instant, son sourire s'élargissant. "Pourquoi pas ? Je pense que ça nous ferait du bien à toutes les deux. Et puis, tu sais, je trouve que ça pourrait être... agréable. Un peu de calme avant de retourner chez Wanda. Qu'en dis-tu ?"
Rosalia la regarda un instant, son regard doux mais plein de curiosité. Elle se sentait un peu nerveuse, mais en même temps, une certaine excitation commençait à s'emparer d'elle. "Eh bien... pourquoi pas. Après tout, on mérite bien une petite pause. Mais juste un petit tour, d'accord ? Pas trop longtemps."
Agnès, ravie de sa réponse, sourit et s'approcha d'elle. "Parfait. Viens, on va profiter de ce moment." Elle lui fit signe de la suivre et ensemble, elles se dirigèrent vers une ruelle tranquille, loin de l'agitation d'Halloween, profitant de la fraîcheur de la nuit.
Au fur et à mesure qu'elles marchaient, les deux femmes se rapprochaient, leurs conversations devenant de plus en plus personnelles, et la connexion entre elles semblait se renforcer à chaque pas. La soirée promettait d'être pleine de surprises, et pour Rosalia, ce moment avec Agnès avait quelque chose de spécial, comme une promesse silencieuse de quelque chose de plus à découvrir.
Agnès et Rosalia marchaient tranquillement, leurs pas résonnant doucement sur le trottoir déserté. La fraîcheur de la soirée ajoutait une touche agréable à l'atmosphère, et à mesure qu'elles avançaient, leur complicité semblait se renforcer.
Agnès, un sourire en coin, regardait Rosalia d'un air espiègle. "Alors, Rosalia," dit-elle, sa voix légèrement plus basse, "tu es plutôt du genre à taquiner les gens, hein ?"
Rosalia se tourna vers elle, un sourire mutin aux lèvres. "Oh, tu sais, j'aime bien un peu de jeu... Et je pense que tu es une cible parfaite pour ça."
Agnès arqua un sourcil, amusée par sa réponse. Elle s'arrêta un instant pour la regarder, avant de se pencher légèrement vers elle. "Tu sais, tu n'es pas en mesure de me taquiner, bébé. Souviens-toi de ça."
Rosalia, sans hésiter, se rapprocha un peu plus, défiant Agnès du regard. "Vraiment ? Tu crois ça ? Parce que je crois bien que tu viens de me donner un défi." Elle prit un ton légèrement provocateur, tout en continuant à avancer.
Agnès se mit à rire doucement, un éclat dans ses yeux. "Oh, je suis prête à relever ce défi, tu n'as aucune idée de ce qui t'attend." Elle fit un petit mouvement du bras pour la frôler, un geste subtil mais plein de signification.
Rosalia sentit son cœur s'emballer légèrement, mais elle garda son calme et répondit d'une voix douce, presque un murmure : "Tu ne sais pas à qui tu as affaire, Agnès. Je ne suis pas du genre à reculer devant un défi."
Agnès la regarda intensément, un sourire malicieux étirant ses lèvres. "C'est ce que j'aime entendre." Elle fit un pas en avant, se rapprochant de Rosalia, avant de chuchoter près de son oreille : "Prépare-toi, Rosalia. Parce que ça pourrait bien devenir intéressant."
Leurs regards se croisèrent, un moment suspendu entre taquinerie et désir. Chacune savait que le jeu de drague était loin d'être fini et que, peut-être, cette complicité s'intensifierait encore plus au fil des minutes. Rosalia baissa les yeux un instant, mais son sourire s'élargit, et elle lança d'une voix plus basse, presque un défi.
"Je ne perds jamais, Agnès. Et si tu crois que c'est facile de me faire céder, tu vas vite comprendre que je n'ai pas l'habitude de me laisser dominer." Elle laissa sa phrase suspendue dans l'air, son regard se relevant vers Agnès, avec un éclat de défi.
Agnès, à peine impressionnée, sourit davantage, amusée par la confiance de Rosalia. "C'est exactement ce que j'aime," répondit-elle en glissant sa main discrètement dans les cheveux de Rosalia, les caressant avec une douceur insolente. "Une bonne dose de résistance, ça pimente tout."
Rosalia, un peu surprise par le geste, se tourna légèrement vers Agnès, un léger rire amusé échappant de ses lèvres. "Tu crois vraiment que tu peux me rendre nerveuse avec ça ?" Elle se pencha légèrement en avant, la provocant en douceur. "Parce que tu n'es qu'au début, tu sais. Il va falloir mieux que ça."
Agnès la regarda intensément, ralentissant son pas pour se mettre face à elle. "Je ne fais que commencer," dit-elle doucement, en levant une main pour effleurer la joue de Rosalia, ses doigts caressant doucement sa peau. "Tu verras, Rosalia... On n'est jamais vraiment prêt à ce qui nous attend."
Rosalia ferma un instant les yeux sous la caresse, avant de les rouvrir, un sourire taquin toujours présent. "Tu veux me faire céder, Agnès ? Il va falloir redoubler d'efforts." Elle laissa sa main effleurer discrètement celle d'Agnès, un geste doux mais chargé de sens.
Agnès sourit, plus séduisante que jamais. "Challenge accepté."
༺♡༻
Vision commençait à ressentir une étrange sensation en se dirigeant vers les frontières de la ville. Après avoir passé la journée à travailler sur ses projets, il décida de prendre un peu de temps pour sortir et respirer l'air frais. Cependant, à chaque fois qu'il s'approchait des limites de la ville, quelque chose semblait le repousser, une sorte de force invisible l'empêchait de franchir cette ligne invisible.
Il s'arrêta devant l'une des grandes rues menant hors de la ville, fixant les barrières immatérielles qui l'empêchaient de continuer son chemin. Il tenta de s'approcher, mais à chaque tentative, une pression croissante semblait l'entourer, comme si la ville elle-même ne voulait pas qu'il en sorte.
Son esprit commença à bouillonner de questions. Pourquoi est-ce que je ne peux pas quitter la ville ? se demanda-t-il. Il avait traversé ces mêmes frontières des centaines de fois auparavant sans problème. Alors pourquoi maintenant ?
Frustré et confus, Vision décida de se rendre chez Wanda, se doutant qu'elle pourrait avoir une explication. Il se doutait qu'il y avait quelque chose de surnaturel à l'œuvre. La ville de Westview n'était pas comme les autres, et la barrière qui l'entourait, qu'il avait à peine remarqué auparavant, semblait maintenant se manifester plus clairement qu'il ne l'aurait cru.
Il arriva chez Wanda, qui était dans la cuisine, et la regarda, hésitant à lui poser la question. "Wanda, est-ce que tu sais pourquoi je ne peux pas quitter la ville ?"
Wanda leva les yeux vers lui, une lueur d'inquiétude traversant son regard. Elle avait ressenti un étrange changement dans l'air ces derniers jours, mais elle n'avait pas compris ce que c'était. "Je pensais que tu pourrais avoir des réponses," dit-elle, son ton à la fois calme et légèrement tendu.
"Je suis sérieux, Wanda," insista Vision. "Il y a quelque chose qui m'empêche de franchir la frontière de la ville. C'est comme une barrière invisible."
Wanda se leva, marchant lentement vers lui, son visage marqué par une inquiétude qu'elle ne cherchait pas à cacher. "Je... Je ne suis pas sûre de ce qui se passe, Vision," répondit-elle, sa voix légèrement tremblante. "Mais je sens que quelque chose est en train de changer ici. Nous ne sommes pas vraiment libres, pas comme avant."
Vision la regarda, un frisson parcourant son corps. Il comprenait maintenant que la situation était plus complexe qu'il ne l'avait imaginée. "Tu crois que quelqu'un ou quelque chose nous retient ici ?" demanda-t-il, cherchant une réponse qui pourrait éclairer les mystères de leur existence.
Wanda baissa les yeux, le silence s'installant entre eux. "Je pense que c'est moi, Vision. Je crois que je contrôle cette ville, cette réalité. Mais je n'ai pas pleinement conscience de ce que je fais... Je suis peut-être la cause de tout ça."
Vision la regarda avec une intensité nouvelle, comprenant qu'il n'avait pas encore vu toute l'étendue du pouvoir de Wanda. Il se sentait à la fois inquiet et rassuré, sachant que sa femme détenait une partie de la clé, mais que l'autre moitié restait mystérieuse.
"Tu es celle qui contrôle cette réalité ?" demanda-t-il doucement.
Elle acquiesça lentement, ses yeux évitant les siens, comme si elle avait du mal à admettre l'ampleur de ce qu'elle venait de dire. "Je n'ai jamais voulu que ça devienne ainsi, mais je ne sais plus comment arrêter tout ça."
Vision posa une main sur son épaule, la regardant avec une profonde compréhension. "Nous allons le découvrir ensemble, Wanda. Tu n'es pas seule dans cette situation."
Wanda leva enfin les yeux vers lui, un léger sourire traversant son visage. "Merci, Vision. Je ne pourrais pas y arriver sans toi."
༺♡༻
Wanda se rendait seule à la frontière de la ville, un sentiment de détermination mêlé d'appréhension la guidant. Alors qu'elle s'approchait de la barrière invisible, elle pouvait sentir l'intensité de la magie qui se déployait autour d'elle. Les limites de Westview semblaient l'enfermer, et chaque pas qu'elle faisait vers la frontière augmentait cette pression, cette sensation qu'elle était à la fois à l'intérieur et à l'extérieur de son propre monde.
Elle s'arrêta juste devant la frontière, observant l'horizon flou où la ville semblait se dilater et se contracter. Il y avait des éclats de lumière, comme si la réalité elle-même était en train de se déformer. Wanda savait que quelque chose de puissant et d'incontrôlable résidait dans cette barrière, et, même si elle en était la créatrice, elle ne pouvait plus en contrôler tous les aspects.
Pendant ce temps, à l'extérieur, les agents du SHIELD étaient en train de préparer une opération pour entrer dans la ville. Ils avaient eu vent des anomalies à Westview et voulaient absolument savoir ce qui s'y passait. Plusieurs équipes étaient déployées autour des frontières de la ville, mais leurs tentatives d'entrer échouaient systématiquement. Les véhicules blindés et les équipes à pied étaient systématiquement repoussés par une force invisible. La magie de Wanda était présente à chaque frontière, la rejetant de manière invisible mais très réelle.
C'est alors qu'une équipe de l'unité spéciale arriva, dirigée par Maria Hill, déterminée à comprendre ce qui se passait à Westview. Ils essayèrent de passer une nouvelle fois, cette fois avec une approche plus stratégique, espérant qu'une simple force brute pourrait les faire céder.
Mais comme avant, la barrière réagit. Une vague de lumière scintillante jaillit à la rencontre des agents du SHIELD. La lumière se fit intense, et une vibration d'énergie pure repoussa violemment leurs véhicules. Ils furent projetés en arrière, certains trébuchant sous la force de l'onde. Maria Hill, sous le choc, se redressa et observa la frontière avec un mélange de crainte et de frustration.
"Ce n'est pas normal," murmura-t-elle, son regard fixé sur le mur invisible qui repoussait chaque tentative. "Elle ne peut pas tout contrôler... elle doit avoir laissé une porte ouverte."
Alors que les agents du SHIELD se regroupaient, Maria se tourna vers un autre officier à ses côtés. "Préparez une autre approche. On ne peut pas abandonner maintenant. Elle doit être en train de manipuler la réalité elle-même. Nous devons trouver une solution."
Mais Wanda, qui se trouvait toujours à la frontière, sentit la présence des intrus. Elle savait que le SHIELD était là, à l'extérieur, et une vague de colère la traversa. La pensée que ses actions pouvaient affecter des innocents, que des gens comme Maria Hill et les autres agents tentaient d'entrer pour les sauver ou les arrêter, la perturbait.
Elle ferma les yeux, et un autre rayon de lumière s'échappa de la barrière. La pression s'intensifia et la barrière se renforça, déployant une aura plus dense autour de la ville.
Le vent souffla autour d'elle alors qu'elle se concentrait, une aura rougeoyant émanant de ses mains. Wanda savait qu'elle était en train de toucher à des forces qu'elle ne comprenait plus complètement. Tout cela avait commencé comme un moyen de créer une réalité où elle pouvait vivre une vie normale avec Vision, mais maintenant, cela devenait de plus en plus incontrôlable.
Les agents du SHIELD, de l'autre côté, ressentirent la pression de cette force. Ils savaient maintenant qu'ils ne pourraient pas entrer facilement. Leurs tentatives continueraient de se briser contre ce pouvoir invisible, mais cela n'arrêterait pas leur mission. Ils devaient absolument comprendre ce qui se passait à Westview et pourquoi Wanda Maximoff, la sorcière rouge, contrôlait cette ville.
~~<><><><>~~ FIN~~<><><><>~~
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Si tu veux savoir si c'est vraiment de l'amour, réfléchis à la façon dont tu te sens à ses côtés. Est ce que tu fais semblant d'être quelqu'un d'autre ? Est ce que tu dois porter un masque pour lui plaire ? Est ce que tu dois te taire par peur de dire une bêtise ? Est-ce que tu fais attention à la manière dont tu te comportes ou es tu vraiment toi-même ? Réfléchis bien à la façon dont tu peux être libre avec cette personne. Quelqu'un qui t'aime, ne t'aime pas juste pour ton physique. Il aime le mélange éclectique de toutes tes facettes. Il accepte tes folies et tes tristesses, il accepte tes défauts autant que tes qualités, il accepte ta personnalité et ne cherche pas à te changer. Quelqu'un qui t'aime te laisse être qui tu es vraiment et te soutient dans ton évolution.
Emmanuelle Girin
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Le Vent du Front
Le vent est venu me murmurer des nouvelles du front. Son souffle était aussi froid que la mort. Tel un baiser que l’on laisse à un défunt. Beau mais sans âme.
Je caresse l’herbe du bout des doigts. Le toucher est pareil à de la cendre. Vaporeux et fugace.
Je marche dans les champs de blé, La moisson n’est pas encore passée. Si seulement ça pouvait être pareil sur le front...
Je fixe le soleil à l’horizon, Le ciel est magnifique et dégagé. Si seulement ils pouvaient voir ça...
L’eau qui parcourt les collines dessine, sculpte et modélise cette étendue verdoyante. Comment pouvons-nous détruire ça ? Comment pouvons-nous détruire des vies ? Comment peuvent-ils nous détruire ? Ce suicide collectif. Ce génocide consenti.
À l’ombre des arbres de cette forêt, je me sens serein. À l’abri de tout. À l’abri des regards de ce monde qui nous juge. À l’abri de la folie d’expansion humaine. À l’abri de ces guerres où nous sommes juste sur un échiquier sans libre arbitre.
Demain, je dois y retourner, ce n’est pas sans regret. Mais ils ont fait une percée dans nos lignes.
Je pense très fort à vous. Car dans la vallée de l’ombre et de la mort, je ne crains personne car tu es avec moi.
Je t’aime. J’espère bientôt pouvoir vous revoir.
Ashen Soul
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