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#injonctions
mariannaszymanska · 4 months
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Be the lady you were, he said
Sois la femme que tu étais, disait -il
Arête de manger !
Laisse tomber le chocolat !
Non, tu n’es pas grosse !
Sois la femme que tu étais, disait- il
Arête de te plaindre !
Tu es toujours malade !
Fais attention à toi, tu es fragile !
Sois la femme que tu étais, disait- il
Séduis- moi !
Excite- moi !
Arrête de m'embrasser !
Soit la femme que tu étais, disait -il
Écoute moi !
Regarde moi !
Arrête de me poser tant de questions !
Sois la femme que tu étais, disait -il
Tu ne vas pas sortir comme ça !
Epile toi !
Reste toi-même !
Sois la femme que tu étais, disait -il
Tu n’écris plus.
Toujours des chemises bien repassées, tu te déguises
Ton apparence est ton opium
Sois l’homme que tu étais
Ton intérieur est rangé, vide de vie
Tu fais semblant
Tu souris vaguement
Sois l’homme que tu es
Là, à côté de toi, je sombre et tu détournes le regard
Tu te caches
Tu perds ta tendresse
Sois l’homme que tu veux être.
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cestmoiquand · 2 months
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Mec d app: "Je mesure 1.94m, j'espère que tu aimes les talons 😉"
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murs · 1 year
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…de la grammaire?
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nocturnalazure · 2 years
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geroux1817 · 4 months
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Injoncterie para-sociale
©Géroux
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patrickprincipe · 4 months
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Injonction Contradictoire @ Atomic Café
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hcdahlem · 5 months
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Une maman parfaite
Marie-Fleur Albecker raconte dans son nouveau roman le combat d'un couple trentenaire pour avoir un enfant. L'occasion d'explorer les notions de famille, de procréation médicalement assistée, de maternité et de période post-partum avec acuité et humour.
  En deux mots Anne et Matthias n’arrivent pas à avoir d’enfant. Ils vont alors avoir recours à la PMA pour conjurer le sort. Finalement, l’enfant paraît. Mais le combat du jeune couple n’en est pas terminé pour autant. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique Lorsque l’enfant paraît (après un long parcours) Marie-Fleur Albecker raconte dans son nouveau roman le combat d’un couple trentenaire pour…
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restonscalmes · 2 years
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Grey Bv
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aurevoirmonty · 2 months
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« Le commencement est allé faire irruption dans notre avenir : il s’y tient comme la lointaine injonction à nous adressée d’en rejoindre à nouveau la grandeur. »
Martin Heidegger, Discours de rectorat (27 mai 1933)
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adieulesc0ns · 2 days
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On a décidé de se pacser, par amour, comme une étape à franchir avant le mariage. On l’a dit à ses parents et sa mère semblait vraiment émue.
On réfléchit déjà à qui inviter, autant dire que de mon côté à part O et L, c’est le néant. J’ai envie que mes parents soient là mais je n’arrive pas à démêler si c’est une envie réelle ou encore une de ces injonctions de merde qui reste ancrée en moi.
C’est assez triste d’avoir si peu de proches quand on a la vingtaine, parce que c’est super dur de se faire des ami.e.s et que je n’aime vraiment que très peu de gens.
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la feuille malgré la peine et le doute décrète l’hospitalité d’une clarté ; ses congénères suivent son exemple en multipliant à leur tour le geste généreux, bouleversant l’ordonnance habituelle du vieil arbre qui se plie sans réserve à ces injonctions simultanées ; il y répond par un formulaire nuageux de lumière qui immobilise davantage l’ensemble du feuillage, qui mobilise toute la perspective du chemin, qui en dessine un ciel ; il semble alors sceller le retour de la saison qui s’était égarée, lui octroyant son plus beau silence, allongeant sa durée, lui offrant un surplus d’éclats ; la nature résiste toujours mieux lorsqu’elle laisse les morsures de l’accueil pénétrer en son coeur sans répliquer
© Pierre Cressant
(jeudi 22 septembre 2022)
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e642 · 18 days
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C'est fou les problèmes et débats que pose le topless dans mon entourage, personnes de mon âge comme génération du dessus. Par exemple, mes parents refusent que je le sois devant eux et leur excuse c'est souvent que ça les met dans une position inconfortable. Surtout mon père en fait. Il m'a souvent dit que ce qui le mettait mal à l'aise c'était d'imaginer que les mecs qui passent ont un regard sexuel sur moi. Ça part d'une bonne intention, me préserver de la perversité d'autrui donc. Ce à quoi je lui réponds toujours "mais toi quand tu vois une femme seins nus, tu as des intérêts sexuels à son égard ?". Il m'a toujours dit non. Peu importe que ce soit vrai ou faux mais si tu as peur qu'on regarde quelque chose d'une certaine manière c'est peut-être parce que tu as pu le regarder comme ça. Et c'est en alimentant cette peur qui a lieu d'être vu les mecs mais qui ne devrait pas qu'on ne se met pas seins nus, et encore moins à 20 ans. Mes potes, c'est pareil, ça les met mal a l'aise, que les mecs évidemment. La réelle question c'est pourquoi être mal à l'aise si on défend l'idée que le corps des femmes n'est pas à sexualiser ou du moins dans des contextes précis ? C'est la peur de me sexualiser quand même ? La peur que les gens à côté pensent que tu traines avec une meuf qui n'a pas de pudeur ? La peur de le prendre comme une invitation ? C'est fou que cet acte soit si peu intégré et encore moins quand ça concerne des petites zooz de 20/30/40 piges. Souvent c'est accepté quand les madames sont âgées alors est-ce que c'est une façon de discriminer sans s'en rendre compte en insinuant que le corps vieillissant n'est pas objet de désir, n'a pas vocation à être sexualisé à l'inverse de celui des femmes plus jeunes ? Il y a quand même une sorte d'hypocrisie énorme de la part des autres, notamment des hommes, ce n'est pas pour moi qu'on me dit de pas le faire, c'est pour eux en réalité. Moi si je pouvais aller à la mer sans maillot ou juste sans haut je le ferai tout le temps mais c'est pas du tout popularisé et encore mal vu. C'est bien que beaucoup n'arrive pas à distinguer ni les contextes, ni les intentions des femmes et c'est effrayant. Je n'invente rien évidemment mais plus je grandis et plus je suis soumise aux injonctions patriarcales. Et si je passe vraiment tout en détail, je décèle toujours plus de comportements et d'idées border à l'égard des femmes.
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raisongardee · 7 days
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"Deleuze reproche en effet au capitalisme d’alors de ne pas aller assez loin, de ne pas "décoder" assez, de ne pas assez utiliser les passions, les pulsions, c’est-à-dire, selon son vocabulaire, les "flux" traversant les individus, alors même que ceci serait à l’avantage de la société civile. Et il indique une voie royale pour y parvenir : renoncer à tenir un vain discours critique en son nom, renoncer à toute identité (comme telle "paranoïaque") pour devenir autre, toujours autre, "nomade", en obéissant aux injonctions pulsionnelles qui traversent les individus et qui les mènent vers un "devenir femme" de l’homme ou un "devenir animal" de l’homme et de la femme ou un "devenir post-humain" de l’humanité. Il n’y a clairement, pour Deleuze, qu’un capitalisme totalement désinhibé qui puisse parvenir à ce merveilleux programme. C’est exactement ce qui arrivera à partir de 1980. A cette date, comme Foucault l’avait annoncé en 1970, "le monde est devenu deleuzien". Caractérisé par la destitution progressive du sujet (moderne) qui pensait et agissait en son nom. Et par l’avènement graduel d’un sujet (postmoderne) qui ne sera plus que machines et flux. Un a-sujet donc plutôt qu’un sujet. Jouissant d’être lancé en aveugle dans un procès sans sujet. Avec pour seul horizon de s’éclater la tête. Sans limites."
Dany-Robert Dufour, Qui est Bernard de Mandeville ?, 2017.
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contesdefleurs · 1 month
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Dépolitiser la littérature met des vies en danger
Permettez-moi de faire au plus simple dans ce billet, parce que je m'adresse essentiellement à des personnes qui, comme moi, à l'époque où je ne comprenais pas ce que le mot "politique" impliquait, n'ont que peu de notions. Si vous souhaitez nuancer mon propos ou partager des ressources, n'hésitez pas à laisser des commentaires.
Cela semble exagéré comme titre ? Et pourtant, il n'en est rien. Depuis que je suis sur les réseaux sociaux, et en particulier dans la sphère littéraire de divers milieux numériques, beaucoup ont clamé haut et fort qu'il fallait "cesser de tout politiser" ou d'arrêter d'évoquer les questions relatives à la place de la politique dans nos ouvrages. Comme si dire que la littérature a un rôle social et politique, c'était prêter trop d'importance, ou trop de sérieux, à "un simple loisir". Chose que beaucoup de personnes pensent, la réduisant ainsi à un rôle unique : celui de nous divertir. Or, notre manière de nous divertir est bien plus politique que vous ne le pensez.
Introduction
Si vous n'en êtes pas convaincu-e, c'est peut-être que vous ne vous êtes pas interrogé-e sur le sujet, ce qui est normal, personne ne l'a vraiment appris. C'est en faisant des recherches, en rencontrant des gens ou en militant qu'on peut en venir à se questionner. Au cœur de notre imaginaire collectif, nous n'avons de cesse de voir partout des domaines relatifs au divertissement être réduits à une seule fonction : divertir. Certes, elle n'est pas négligeable, et elle est tout aussi importante à considérer. Sauf que c'est aussi un moyen de porter des idées. La mentionner chaque fois que l'on parle de politique a été, dans bien des situations, une façon de délégitimer des critiques, qui visaient, entre autres, des idées conservatrices et oppressives. Donc des idées susceptibles de mettre des personnes en danger, car les mettre en avant et les banaliser normalise des violences : le racisme, la misogynie, le validisme, la grossophobie, etc.
Quelques notions
"Discriminations", "oppressions". Voici des formes de violences dont vous connaissez peut-être les noms, ou que vous avez pu lire sur les réseaux. Ce sont des violences basées sur des critères arbitraires qui consistent à marginaliser, exclure, des groupes de personnes du fait qu'elles ne correspondent pas à des normes établies ou à un modèle social défini selon des hiérarchies, et cela varie en fonction des pays et cultures (aux causes et conséquences sociologiques et historiques différentes). Le fait d'être un homme blanc (au sens littéral comme au sens social), cisgenre, riche, valide, neuroT, hétéro, mince, etc fera que vous serez valorisé-e en France par exemple. Il vous sera plus facile d'obtenir un logement, un travail et d'autres avantages, au détriment d'autrui parfois. Pour peu que vous n'entriez pas dans ces critères, et que vous ne faisiez pas partie d'un groupe haut dans la hiérarchie, vous pouvez donc subir des violences. Les degrés dépendent du milieu où vous évoluez en société, de l'exposition à ces dernières, de vos liens sociaux et divers autres facteurs.
Le conservatisme est, d'après le dictionnaire de l'Académie française : "une doctrine ou état d’esprit qui tend à s’opposer à toute modification ou innovation, par attachement aux pratiques traditionnelles ou à un ordre existant". C'est donc un ensemble d'idées qui tend vers le maintien de ces dernières. Dans une société aux pensées conservatrices, il est donc fréquent que les normes, injonctions et modèles soient défendus au point de réprimer des idées qui osent s'y confronter, puisqu'elles sont banalisées et institutionnalisées. Cet "attachement" décrit dans cette définition n'existe non pas que pour la valeur sentimentale des traditions (argument souvent utilisé par la droite et l'extrême droite qui jouent sur les paniques morales et la fameuse "perte des valeurs et de notre identité"). Il est aussi présent parce que conserver ces hiérarchies favorise et avantage des groupes privilégiés (ceux qui sont donc en haut) au détriment des autres par leur exploitation. Il s'agit là d'un rapport de force se trouvant être le résultat d'évènements socio-historiques, et cet ensemble d'éléments (idées, rapport de force et un pouvoir institutionnel et gouvernemental) forme un système.
À présent que vous avez quelques notions, humblement définies, sachez que les idées (vous vous en doutez) ne se présentent pas que sous la forme d'injonctions. Elles circulent à travers notre manière de vivre, et bien sûr, notre manière de se divertir. Et oui. Même l'humour est un vecteur d'idées. C'est parce qu'on normalise certaines blagues, basées sur des clichés oppressifs, qu'elles perdurent. En les réduisant à du divertissement, on minimise et sous-estime l'impact qu'elles peuvent avoir dans nos représentations et elles finissent par perdurer en perpétuant des violences déjà existantes (parfois en les augmentant dans des périodes de tensions politiques, comme lorsque des idées progressistes ou des luttes prennent de l'ampleur ou que des droits sont enfin obtenus).
Dire "ce n'est qu'un récit" quand on parle de littérature en ignorant (volontairement ou non) son rôle politique, cela fait partie de la dépolitisation. C'est-à-dire nier ou retirer dans notre propos le caractère, le rôle et l'impact politique (au sens social du terme) que peuvent avoir des livres. Des personnes vont les lire et des idées seront diffusées à travers ces lectures, d'une manière ou d'une autre. En dépolitisant des sujets qui concernent des vies humaines (souvent des groupes oppressés et discriminés), nous les mettons donc en danger. En dépolitisant la littérature, nous maintenons des idées destructrices.
La dépolitisation de la littérature
Plusieurs auteurices ont présenté des œuvres avec des idées oppressives (participant de fait à des violences visant des groupes de personnes pour leurs origines, couleur de peau, handicaps, identité de genre, religion, orientations romantico-sexuelles, et bien d'autres choses...). Que cela soit volontaire ou non, les mêmes arguments, plus que discutables, sont encore tenaces de nos jours : "ce n'est que de la fiction" ; "mon livre n'est pas politique, il est divertissant" ; "il faut arrêter de tout politiser, c'est juste un récit".
La politique n'est pas détachable de toute sphère ou domaine, car elle les influence en permanence. Elle est présente dans notre langage et nos représentations, d'où l'importance de ne pas négliger sa présence dans la littérature. Certain-e-s pourraient dire qu'il ne s'agit là que de questions culturelles : en réalité, les deux sont très liés. Les cultures se sont construites autour d'environnements, de sociétés, elles-mêmes grandement liées à des évènements et évolutions socio-historiques, comme mentionné plus tôt, qui ont émergé parce qu'elles ont été portées par des idées.
Répandre l'idée selon laquelle il faut différencier politique et divertissement/littérature, c'est passer à côté du rôle que l'on a. C'est aussi dépolitiser notre propre place d'écrivain-e et/ou lecteurice. En tant qu'individu membre d'une société, qui que l'on soit, on porte, diffuse, partage un regard politique sur notre monde de manière consciente et/ou inconsciente. Ignorer cela, ne pas prendre en compte la place que la politique prend dans les milieux littéraires, c'est participer, volontairement ou non, au maintien de violences. Ne pas agir, c'est devenir complice.
Conclusion
Il est vrai que se positionner, agir, sur des sujets politiques, s'éduquer, apprendre, n'est pas toujours chose aisée. C'est un inconfort que l'on doit surmonter si l'on souhaite contribuer à une littérature plus éthique engagée. L'esprit critique garantit une forme d'autonomie et une liberté de penser, qu'il faut considérer avec sérieux, selon moi. Au-delà de l'aspect moral (ce n'est pas un combat entre le bien et le mal). N'est-il pas plus enviable de prendre conscience et comprendre la société dans laquelle on évolue ? Dans les milieux centrés sur l'écriture, on parle davantage de diversité, d'inclusivité, ce qui montre que les mentalités ont évolué et qu'il est possible de surmonter cet inconfort. Il devient moindre grâce au travail collectif réalisé dans nos luttes et nos efforts individuels.
Plus tard, j'envisage de présenter quelques ressources pour compléter ce modeste billet. J'espère qu'il éclaircit un peu plus les enjeux présentés. La dépolitisation touche bien d'autres domaines, alors gardons en mémoire que la politique ne concerne pas que le vote ou les débats.
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Merci pour ta lecture, à bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
Si cela vous intéresse, vous pouvez me retrouver sur les réseaux sociaux et lire mes projets publiés ici, à bientôt ! :
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helene-tolden · 4 months
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🇫🇷Café Gaudi Février 2024.
Jour 17. Couple.
👩‍❤️‍💋‍👨
C'est l'une des injonctions sociales qui met le plus de pression : se mettre en couple, et par la suite, s'installer, se marier et avoir des enfants. Ce schéma ultra conservateur impose une vision de la vie très rigide qui manque cruellement de tolérance pour celles et ceux qui ne souhaitent pas s'y conformer.
🤷🏻‍♀️
Pourquoi une telle urgence à se mettre en couple avec une autre personne quand on apprend encore à se connaître soi-même et que l'on cherche encore sa voie professionnelle ou tout simplement son but dans la vie ? La planète étant déjà surpeuplée, la priorité n'est plus à la procréation comme la religion l'a imposé avec force et fracas à travers les siècles.
👶🏻
Chacun devrait être libre de choisir son style de vie, avec ou sans sexualité, avec ou sans partenaire amoureux, avec ou sans enfants. Car, en fin de compte il n'y a que la liberté de choix et le consentement total qui permet d'atteindre le bonheur.
❤️
Forcer une pièce à entrer dans un espace qui n'est pas adapté à sa forme ne fera qu'abimer cette pièce et tout ce qui l'entoure.
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patrickprincipe · 6 months
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Injonction Contradictoire @ Urgence Disk Records
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