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#j'avais envie de me faire plaisir
soeurdelune · 5 months
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avatars (400 x 640): yuka mannami, signés lune/soeurdelune
les références: masque hannya du théâtre noh japonais, shura no hana (meiko kaji), paysage (shunkin uragami, 1815), jigoku (1960), mitsukuni défiant le squelette invoquée par la princesse takiyasha (utagawa kuniyoshi, 18ème siècle).
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perduedansmatete · 4 months
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j'ai perdu le compte des jours mais finalement le deuxième soir où on voulait sortir on a fini par rester manger chez la mère d'elyas, on n'arrivait pas à partir car ses petites sœurs ne voulaient pas nous lâcher et c'était une super soirée, elles m'ont demandé plusieurs fois quand est-ce que je revenais, il y avait des chats, une quiche à la butternut et encore des cadeaux même pour moi, la plus petite sœur m'a fait un bracelet et c'est d'ailleurs à cause de ça qu'on n'a pas pu aller dans le salon pendant une heure, elle finissait tous ses petits cadeaux, on a joué à un jeu de société jusqu'à tard en entendant au loin radiohead et je sais plus quel groupe d'un des deux gars des black keys, le beau-père d'elyas s'entendrait très bien avec le mien, en fait toute la famille d'elyas s'entendrait bien avec la mienne il faut vraiment qu'on organise le retour de ma grand-mère en alsace en emmenant peut-être mon père aussi avec nous, enfin bref du coup pas de romain de strasbourg ce soir-ci j'étais un peu triste mais hier on a couru partout pour chercher les cadeaux du père noël surprise et donc j'ai passé l'après-midi à paniquer moi aussi pour lui trouver un cadeau, comme c'est vraiment une vieille personne dans sa tête elyas m'a dit que ce qui lui ferait très plaisir c'est une écharpe toute douce donc on a écumé tous les magasins du coin pour trouver la plus douce et spoiler il l'a adoré, il m'a offert une grosse boite avec plein de petits cadeaux j'étais aux anges, puis la soirée était super je me sens vraiment bien à strasbourg et avec tous ces copains, j'ai limite envie de rater mon train retour, ce qu'on m'a proposé pour passer le nouvel an ici, on a joué à des jeux encore une fois et moi je voulais toujours faire des bisous à romain mais je n'ai pas pu car encore une fois comme c'est une vieille personne il s'est couché vers deux heures, sauf que ce qu'il n'a peut-être pas vu c'est que j'avais caché un des petits canards qu'il m'a offert sous son oreiller, nous on est rentrés tard sous la pluie en marchant avec un ami compagnon du devoir que j'adore lui aussi, et je me suis réveillée tôt à cause des enfants du dessus qui crient à la mort comme chaque matin, j'ai essayé de travailler sans succès en attendant que ma soeur et elyas se réveillent car on avait dit que pour ma dernière journée on se baladait et on se faisait un resto mais il est midi et ils dorment toujours, je suis donc coincée à les attendre avant d'aller ensuite à nouveau dîner chez le père d'elyas puis de voir romain et la clique dans sa coloc et de faire nuit blanche car mon train est tôt demain matin
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 60
Quand j'arrive, je fais un bisou à Marc qui me donne l'ordre d'aller me préparer au donjon. J'y vais de suite. Je me déshabille de mon cuir et je me prépare. Après avoir ôté mon plug, je me fais un lavement histoire d'être prêt à tout. Une fois bien sec, je me re graisse bien le trou, enfonçant un demi tube de lubrifiant dedans. A l'aide d'un gode de bon diamètre, je me détend l'anneau puis Je bouche mon trou avec un nouveau plug. Ne sachant pas ce qui m'attend, je préfère plus de préparation que moins.
J'ai bien fait ! Marc arrive avec Eric. Il lui dit en me montrant que j'avais besoin d'une reprise en main et qu'il fallait me remettre en tête à qui je devais obéir.
Je suis debout devant eux, je ne bouge pas et n'ouvre pas la bouche. Marc me tourne autour, il me tâte, me palpe, de plus en plus dur, me pinçant les pecs, les fesses... Eric se met nu. La situation doit bien l'exciter car il bande comme un taureau ! Marc m'appui sur les épaules et me dit " suce ". je me penche et m'enfourne la teub d'Eric. Ce dernier pose ses mains sur mon crane et oriente ainsi ma pipe. Il maîtrise la vitesse et surtout la profondeur. Marc lui dit d'y aller que pour ce soir je sois une " petite pute " ! Eric augmente alors sa pression sur ma tête et enfile ses 25cm contre mes amygdales. Dans cette position, sa grosse tige en gorge profonde me provoque des envies de vomir et un méchant revoit l'expulse de ma gorge. Marc en voyant cela, m'ordonne de gagner un sling. Je m'y couche sur le dos. A eux deux, ils m'attachent les chevilles et les poignets aux suspentes. Après un ou deux réglages, j'ai la tête et le cul à la bonne hauteur. Eric revient me fourrer la bouche. dans cette position, c'est plus facile (plus, pas très !). Marc de son coté m'a arraché le plug et m'a enculé violemment. Je suis rempli des deux cotés. Marc se met à discuter avec Eric, de savoir comment va ses cours de moto., si il a rencontré de nouvelles petites salopes comme Phil Luc ou moi ?, sa façon a lui de me dire que c'est lui qui est le " boss " ! Moi en attendant, je ne boude pas mon plaisir et profite de leurs deux pines. Il m'interdit de jouir ! j'essaye de penser à des trucs tristes pour faire baisser mon excitation. Lui par contre se laisse aller et en m'assenant des coups de reins pour limer sur ses 22cm de long, il me rempli le cul de son sperme. Je me retiens de jouir à mon tour, j'adore sentir son jus me remplir le cul ! Il dit à Eric de prendre sa place. Heureusement que Marc m'a bien défoncé, je suis bien souple pour recevoir les 26 x 7. Je les sens quand même bien passer et quand ses cuisses noires viennent écraser mes fesses, je suis bien " plein ". Marc se met à ma tête et me murmure à l'oreille que je " suis une bonne salope ", " un bon trou à bite, un bon vide couilles ", " j ;"étais à lui, et qu'il pouvait faire de moi ce qu'il voulait "... à chaque affirmation, je lui disais " oui ". Eric, à bout d'excitation, m'empala à fond sur son gros manche et bien calé, remplit la Kpote d'une quantité impressionnante de jus. La sensation de plein ajoutée aux insultes de Marc ont déclenché ma jouissance et j'ai tapissé mes abdos de longues traînées blanches. A ce moment là, j'ai entendu Marc me dire " Je t ;"aime ". Yes ! Dans un petit nuage, c'est à peine si j'ai senti Eric se retirer et avec Marc me détacher. Ils m'ont relevé et je me suis jeté au cou de Marc pour l'embrasser furieusement, goulûment, avidement, passionnément, amoureusement ! Et Eric de dire " je ne sais pas ce que tu lui as dit, mais il a l'air d'apprécier ! ". Je n'ai rien dit. C'est entre Marc et moi. Sous les douches, Marc m'a lavé, caressé, massé. J'étais trop heureux qu'il s'occupe de moi ! Eric voyant une intimité nouvelle entre nous, nous a quitté rapidement. Nous avons passé le reste de la soirée collés l'un à l'autre.
Le vendredi matin je téléphonais à mon boulot pour les prévenir que j'étais un peu fiévreux et que je restais chez moi, pas la peine de contaminer les collègues. Mon patron me dit de bien me reposer et de profiter du WE qui suivait pour me soigner. Marc de son coté fit de même avec son bureau, cela prit plus de temps avec sa secrétaire, quelques rendez vous à reporter.
Nous avons passé le vendredi entier, seuls tous les deux...
JARDINIER
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magicalrainbownight · 15 days
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Il est en cage!!
Pour précision, je ne parle pas du même chien! Le premier, sur lequel j'avais écrit jusqu'à maintenant, s'est révélé fantasmeur ou souminateur!
Bien évidemment, il n'a pas fallu beaucoup de temps pour retrouver un soumis qui demandait à être en cage!
Sur les conseils d'un ex (premier amour), je m'inscris sur un site pour échanger et rencontrer des personnes dans le milieu BDSM. Je commence à échanger avec lui. Chaque réponse me prend 30 min au minimum, entre lire sa réponse et répondre à tout.
Très vite, quelque jour après, on décide de se voir car on se rend compte qu'on habite les villes d'à côté! Un midi, je mets les pieds dedans! je lui demande de me raconter ses expériences même si du monde est à côté! Le temps défile sans s'en rendre compte, il n'y a plus personne dans le restaurant. On prévoit de se voir 2 jours après. Il m'avait déjà envoyé des photos de "son attirail". Il est du genre équipé et pas en petit modèle. Ca tombe bien, j'ai envie d'en prendre un au-delà de l'acceptable.
Bien sûr, un rituel est déjà en place. Dès qu'il me parle il doit avoir un plug! Peu importe la taille ou la longueur! je veux qu'il ait un truc dans le cul quand il s'adresse à moi! Il peut le changer car je me doute que son trou s'habitue vite (et j'ai eu raison de penser ainsi) et qu'il est capable d'encaisser gros!!! Mais s'il le change il doit me dire pour lequel!
Ce détail passé! 2 jours après le voilà chez moi! j'ai fait ma wish list où j'ai demandé de m'amener certains jouets sélectionnés sur photo. Ma table basse est vite remplie de plug, de cage, de gode, cagoule, laisse .. Mon envie qu'il vienne avec ses jouets n'est pas désintéressée, je veux qu'il reparte avec sa bite en cage, mais je ne lui ai pas dit évidemment. Durant ce temps, il masse mes pieds! Je lui mets sur la gueule pour l'envoyer à mon esclave (il aimera le lire)!
1h avant qu'il parte, je saisis une cage et lui dit qu'il ne partira pas sans!!! Il ne s'attendait pas que cela arrive aussi vite! Je n'ai plus de temps à prendre et je veux m'assurer de la motivation de mon soumis. Je lui mets!! Quel est le plaisir de prendre ses couilles et sa queue, de les faire glisser dans l'anneau puis sa verge dans la cage, tout s'emboite et je pose le cadenas!! Je vais chercher un collier (je retire le hibou) et j'insère la clef!! Je la porte quotidiennement et lui envoie des photos pour lui montrer qu'elle est là!!!
Je n'ai aucune idée du temps qu'il va rester en cage! Je n'ai aucun scrupule à le faire pourrir en cage! Son record est 1 an. Je n'ai aucune prétention de le battre mais je lui ai dit que tant qu'il était mon soumis il serait en cage et que s'il voulait la retirer (piscine), il allait devoir disserter et que je ferais tout pour lui faire passer l'envie de la retirer même 2h!
Je me prive pas pour lui dire quand je me masturbe, notamment après le repas du midi (j'ai toujours eu une envie à ce moment) et même au bureau! En ce moment je me caresse à travers mes vêtements à moitié penchée sur mon bureau et j'aime sentir mes doigts après, pour me sentir!!!
Je veux qu'il rampe!! Je veux qu'il soit obéissant!!! Je veux qu'il me remercie chaque jour de faire de lui mon soumis, mon chien, ma chienne, ma future pute!!!!
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romain8959-blog · 6 months
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mon premier pipi au lit par plaisir
½ début : Mon premier pipi au lit exprès, la découverte du plaisir J'aime bien me mouiller pour jouer et ça depuis que je suis enfant ou dans la cour de l'immeuble y avait le meilleur copain avec qui on jouait à ça ne se regardant... bon pas tous les jours, on se serait fait tabasser ! 
Plus tard, j'avais eu la chance de partir avec un copain dont la famille m'avait invité à partager leurs vacances à la neige... merveilleux ! on avait alors 12 ans. Les vacances se passaient super bien, sauf qu'un matin, contrairement à fougue habituelle, il ne se levait pas, et pour cause je n’ai pas mis longtemps à comprendre quand il m'a dit tout con… "j'ai pissé..." moi je n’y croyais pas, je ne pensais même pas qu'on puisse pisser au lit à 12 ans. Mais si c'était vrai, je l'ai vu quand il a descendu la couette. Il avait sous les fesses un beau rond mouillé et le bas du pantalon de pyjama ainsi que le bas de la veste étaient encore tout mouillé aussi... j'étais médusé et terriblement attiré...
Il avait fait quelque chose, bien malgré lui surement, que je rêvais de faire sans jamais avoir osé, à cause de mon Age... je n’y croyais pas... Par contre il était terriblement vexé que je le voie dans ce type d'intimité ! pour rester copain avec lui et qu'il s'en remette, je lui ai dit que ça m'arrivait aussi des fois de pas s'inquiéter ! Et pour le rassurer, je me suis même inventer un pipi au lit quelques semaines avant, lié à un rêve à con que je lui avais raconté, et dont la finalité était aussi un pipi au lit... j'ai dû être convainquant !
Je lui ai même dit que le matin, en me réveillant, j'avais toujours l'angoisse d'avoir fait pipi !!! j'avais eu raison d'agir comme ça, on est resté les meilleurs copains du monde, il avait oublié son accident au lit, et il n'y en eu plus d'autre. 
N'empêche, j'avais vu qu'à 12 ans on peut des fois encore faire pipi au lit, et dans mon fort intérieur j'aurais rêve d'être à sa place, surtout qu'au niveau de ses parents, ça n'avait même pas été un scandale ! le soir là on avait juste été au lavomatique plutôt que de s’amuser dans la neige comme les autres soirs. Quelques semaines après, j'allais passer quelques jours chez une vieille grand-mère, comme ça arrivait des fois pendant les petites vacances scolaires.
 Je dormais au 2éme étage, là ou mamie allait rarement.... et, j'en mourais d'envie depuis que j'avais vu mon copain, mouiller son lit je voulais le faire aussi pour voir... à la maison j'osais pas trop ! là peut  être ? 
J'y pensais sans oser depuis déjà un petit paquet de temps, et puis j’ai décidé de  "ne plus prendre mes précautions». avant de me coucher.
 2/2  suite
y a fort longtemps que j'étais propre la nuit donc une nuit ça m'a réveillé, un mal connu, envie de pipi .... mais j'ai décidé de pas me lever et d'attendre... surtout que les wc étaient 2 étages plus bas... et cette maison, qui, je l'avoue maintenant, me foutait la trouille, surtout la nuit, d'autant plus que j'étais pas du style aventurier....
 d'un coté je voulais le faire, faire pipi au lit…, de l'autre côté tout me pousser à ne pas le faire ! En fait ce n’est pas moi qui ai décidé, à un moment j'en pouvais plus et au lieu de courir au wc, j'ai attendu encore un peu pour voir...je me suis même un peu rendormi. Mais je me suis vite reréveillé…  je savais que le point de non-retour allait être franchi et que j'allais finir par faire pipi dans les draps si je me levais pas et......l'instant d'après c'était parti.j’en pouvais plus de me retenir ça me faisait mal...et.. j’ai senti mon pyjama qui commençait à se mouiller... ça y est putain...je faisais pipi au lit !!!!! j’étais en train de faire pipi au lit…. Vous me croirez si vous voulez, contrairement à l'horreur que ça aurait dû m'inspirer, j'adorais ça!!!! d’un coup je me suis senti léger, léger et bien comme on a pas idée, la douleur que j’avais ressentie de me retenir si longtemps s était immédiatement transformé  en une énorme onde de plaisir,  après m'être retenu si longtemps. et de sentir le pipi qui coulait dans la culotte et dans le pyjama hmmmm je réaliser mon fantasme. J’arrétais pas de me répéter « je fais pipi … je fais pipi au lit…. » je sentais que ça coulait entre mes jambes et je sentais un petit filet glisser entre mes cuisses... et là je savais que je mouillais tout, y compris le matelas qui n'étais meme pas protéger ! mais à ce moment précis je m'en foutais j'étais simplement heureux d’un bien être tellement fort. et puis trop vite ça s'est arrêté. sur le coup j'y croyais à peine, c'était un peu comme dans un rêve, une chose est sûre ,ça me faisait tout chaud... doucement j'ai mis nez sous la couverture... ça sentais le pipi tout chaud... c'en était limite enivrant j'ai du me résoudre à la vérité, je l'avais fait ! j'avais osé pisser au lit comme ça exprès.. avec mes mains j'ai touché le mouillé pour vérifier ! c'était bien trempé et ça m'a terriblement excité tellement que d'un coup j'ai bandé comme jamais. je n'avais pas encore découvert la jouissance à cette époque... je me suis retourné et je me suis frotté dans le mouillé pour me calmer... je me frottais dans mon pipi… j’ai senti un plaisir nouveau monter dans mon corps… et j’ai senti quelque chose monter …. Quelque chose de fort…. d'un coup j'ai senti la plus formidable onde de bonheur et de plaisir de ma vie… comme un feu d’artifice dans mon corps.. tous mes sens venaient de se vriller d’un coup,  je venais de jouir pour la première fois de ma vie. 
dans mon pipi , j'avais même pas honte.... après ça je me suis endormi comme une masse, ce n'est que le lendemain que j'ai eu la surprise de me réveiller mouillé, surprise de courte durée ! bon le lendemain tout ça à séché discrètement...... de cette expérience j'ai gardé le plaisir de faire de temps en temps pipi au lit, même encore maintenant, jamais de plan crade !, toujours pipi au lit dans des draps propres ! Pour les couches, j'ai découvert ça plus tard, c'était plus pratique et ça permettait de jouer plus souvent ! mais bof c est pas pareil
voila ça c est passé comme ça la première fois je sais c est contre nature on m’a dit mais c est comme ça
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rapha-reads · 4 months
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Bonjour la France de Tumblr ! Aimes-tu la science-fiction ? Aimes-tu les space opera ?
Je me permets de faire un peu de promo pour le premier roman que mon frère vient d'auto-publier sur Amazon (oui, oui, boooo Jeff, mais n'empêche, on fait ce qu'on peut).
https://www.reddit.com/r/FranceDetendue/comments/1939xvi/instant_autopromo_jai_publi%C3%A9_un_bouquin_de/
Ses propres mots :
"Bon, allez, je me permets, petit instant auto-promo. Il y'a deux/trois ans, j'ai écrit un bouquin de science-fiction... première fois depuis mes 20 ans (au moins) que j'arrivais à mener un projet à son terme, à ne pas l'avorter en cours de route pour passer à un autre projet que j'abandonnerai inévitablement. Je l'ai envoyé à des éditeurs et j'ai reçu trois réponses très encourageantes me disant (je paraphrase) : "c'est pas mal, hein, mais il y'a plusieurs petits trucs qu'il faudrait corriger avant qu'on puisse l'accepter. Mais il manque pas grand chose, et voilà des pistes de réflexion sur ce qui pourrait être amélioré." Bon... malheureusement, j'en ai pas trouvé la motivation et je suis passé à autre chose depuis. Mais j'avais envie de lui donner une seconde-vie à ce bouquin... j'ai donc décidé de le publier sur Kindle (merci Jeff de permettre à tout le monde de s'autopublier en deux clics, maintenant va payer tes impôts et essaie de faire quelque chose de bien pour l'humanité avec toute ta fortune bordel de merde). So without further ado, si vous avez envie de lire de la bonne grosse SF à base d'exploration de nouveaux mondes, d'anciennes civilisations ou encore de collisions culturelles, voilà voilà :
Oui la couverture est ultra-cheesy (mais je l'aime bien), oui ça mériterait que je taille dans le gras, oui ce n'est pas encore mon chef d'oeuvre... mais je suis quand même super fier de ce que j'ai fait et j'avais envie de le partager. Et si vous avez un compte Amazon, il est gratuit pendant encore une semaine ! Merci et bonne lecture si jamais y'en a parmi vous qui décident de plonger dedans. :)"
Et en prime la couverture :
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N'hésitez pas à lui lâcher un petit mot sur son Reddit si vous téléchargez le bouquin, ça lui fera plaisir !
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petitmimo · 7 months
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Chose étrange qu'est la vie humaine. On rit, on danse, on se chuchote des mots doux à l'oreille.
Je n'ai jamais compris ce besoin ou cette envie d'abattre l'autre, de l'écraser, de se prouver plus fort, plus grand, plus violent.
Si j'avais à redessiner la vie humaine, je ne la ferait que de douceur et de miel. Je la remplirai de chant, d'art, d'air pure, d'eau fraîche, d'herbe folle, du chant des colombes, de l'odeur des moissons, de la caresse de la pluie, du salé de la sueur d'un travail accompli. Je la couserai de tartes à la cerise, de fromage frais, de confiture à l'abricot, de douceur sucré. Je la peindrai au milieu d'un tableau impressionniste de nacre, de perle, d'ivoire, d'ébène, de bleu royal, de cramoisie et de violet. J'effacerai les vices, les torts, la lâcheté, la tyrannie, la trahison, les mots bas. Je tâcherai d'y rajouter les caresses du bout des doigts, celles qui font frissonner, les doux baisers mouillés de rosé, la tendresse sûre et pure, celle dont on ne doute pas. Je n'oublierai pas les montagnes énormes, géantes si dociles, les rivières en guisent de larmes, les plaines verdoyante, la toundra endormie sous la neige, la mer dangereuse mais irrésistible.
Refaire la vie. La revoir sous un nouvel angle. Je n'ai jamais compris la haine, je ne l'ai jamais vraiment senti en moi, je n'ai jamais eu de plaisir sadique à voir l'autre souffrir même si selon certain, il le mérite, même si il m'a fait du mal. Je voudrais sauver, aider, planter quelque chose de nouveau, de beau, d'extraordinaire. Je donnerais raison à ceux d'avant, ceux qui ont rêvé la vie meilleure. Je racheterais leurs erreurs à coup d'amour et d'entraide.
Trop gentille, trop généreuse, trop aidante, mais qui va le faire alors? Pourquoi rester chacun sur ses gardes, chiens de faïence qui montre les crocs sans vraiment mordre. Pourquoi se craindre, pourquoi devoir toujours se demander si l'autre n'est pas la pour me mettre un poignard dans le dos? Je ne veux pas que ma bonne volonté se transforme en aigreur, des fois je me sens glisser dans l'acide, dans la froideur. J'en ressort toujours certes, mais à chaque fois avec l'âme un peu plus sale qu'avant.
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swedesinstockholm · 12 days
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15 mars
mon cheminement de pensée juste avant d'éteindre l'ordi: je discutais avec a. p. parce qu'il venait de voir nelken, a. p. petit bébé de 24 ans, et tout d'un coup je me suis dit que je pourrais être mariée. j'ai 33 ans je pourrais être mariée, je pourrais avoir une vie sophistiquée, comme maman à mon âge. je pourrais avoir un brushing et un bébé et accompagner mon mari à des congrès de médecine à l'étranger et porter un trench et boire du champagne et rentrer à la maison et dormir dans le lit conjugal. je pourrais écrire à ce petit morveux d'a. p. depuis cette perspective-là, et non depuis celle d'une ado attardée de 33 ans qui ne veut pas grandir. j'ai regardé frances ha ce soir et ça m'a rendue triste de pas avoir passé ma vingtaine à vivre la vie de struggling artist épuisante mais charmante et riche en aventures. je pensais à la fille de tumblr qui avait comparé mon journal à ce film, ça me fait plaisir que ma vie sclérosée puisse d'une manière ou d'une autre évoquer ce film qui m'a donné envie de vivre. elle m'a dit que mon journal était dynamique. voilà pourquoi je suis obsédée par mon journal. dans la vraie vie, le mot dynamique appliqué à moi c'est de la science fiction. ça n'existe pas.
18 mars
j'ai tellement besoin qu'il se passe quelque chose dans ma vie que je me suis fait pleurer en écoutant it's not up to you de björk en rentrant de la chorale ce soir. avant d'y aller je m'étais mis dans la tête que r. avait une nouvelle copine à cause d'un truc con et pendant que je coupais des morceaux de fromage de brebis dans la cuisine ma voix américaine disait it was bound to happen it was bound to happen, quand je me parle avec ma voix américaine ça me rassure parce que dans les films ça finit toujours par aller mieux à un moment ou à un autre. et donc j'étais là à attendre le bus dans mon long manteau noir et mes dr. martens la partition du requiem de fauré serrée contre moi, en deuil, le regard perdu dans le vide, je croyais que j'avais dépassé ce stade mais visiblement non. et puis après la chorale, après avoir dit au revoir à audrey, j'ai regardé ses stories et j'ai vu qu'il avait mis une photo à moi du mois de décembre avec une chanson de björk par dessus et ça m'a mise dans tous mes états, je me suis posé mille questions (pourquoi il met que des posts à moi toujours et jamais ceux des autres?) ça m'a rendue complètement zinzin mais qu'est-ce que c'était beau de rentrer dans la nuit en pleurant sur björk en regardant la lune et les bourgeons sur les arbres éclairés par les lampadaires.
à la chorale j'ai du être normale et faire la conversation avec des gens que je connaissais pas parce que c'était le jour du pot mensuel et j'ai plus aucune notion de comment me comporter socialement, j'arrivais pas à me concentrer trop longtemps sur ce qui se disait, à me tenir correctement, je sais pas. on m'a demandé si je travaillais ou si je faisais des études et j'ai dit aucun des deux sans développer alors audrey s'est empressée de jouer mon agente en disant que j'étais écrivaine et que j'avais gagné des prix et que ce que j'écrivais était vraiment bien, bébé.
tw suicide
24 mars
j'ai plongé tellement bas que j'arrive même plus à écrire. juste à m'allonger sur le canapé pour regarder newport beach en enchainant les épisodes même si j'en suis à la saison 3 maintenant et que je la trouve trop dramatique. je préfère me plonger dans les drames de marissa et ryan que dans les miens. j'ai du changer mes plans pour les vacances de pâques parce que m. s'est aperçu que finalement je pourrais pas aller chez elle, et comme je peux pas non plus rester seule ici parce que je me laisserais mourir de faim en semi-coma devant newport beach, j'ai pas d'autre choix que d'accompagner maman à la mer et puis je prendrai l'avion dimanche pour être à la maison poème le soir parce que hors de question de rater ça, l'écriture étant le seul truc qui me rattache à peu près à une vague envie de vivre. j'ai pris mon billet ce matin. je déteste avoir à faire ça. je déteste en être là, à forcer maman à me payer un billet d'avion, même si c'est un billet d'avion ryanair pas cher, parce que je suis trop malade pour rester seule.
vendredi soir après avoir regardé mamma mia, quand m. s'est rendu compte que je venais la semaine prochaine et qu'elle m'a dit que non, ça allait pas, la terre s'est ouverte sous mes pieds et m'a aspirée dans son antre et j'y suis restée pendant 24 heures. je calculais dans ma tête combien d'années il me restait à vivre si j'attendais de mourir d'une mort naturelle, j'en suis même pas à la moitié encore, c'est trop long, mes dvd de newport beach ne tiendront pas le coup. alors j'ai commencé à réfléchir à des alternatives à la mort par défenestration, mon go-to usuel, parce que j'ai trop peur que ça rate et que je finisse paralysée. mais peut être que je serais plus heureuse si j'étais paralysée peut être que ça me donnerait envie de me battre comme tous les gens handicapés qu'on voit à la télé. j'ai pensé à la jeune adolescente qui s'est pendue récemment parce qu'elle était harcelée à l'école. comment elle a trouvé le courage de se pendre? et avec quoi? et elle a fait ça où? me couper les veines je peux pas, rien que d'y penser j'ai l'impression que je vais m'évanouir et je dois presser l'intérieur de mes poignets contre quelque chose pour rappeler à mon corps que tout va bien. me jeter sous un train, efficace mais pas sympa pour les autres.
elles sont montées au lit et je suis restée sur le canapé paralysée par mes tentatives de suicides hypothétiques. je pleurais en écoutant abba qui continuait de passer sur mon téléphone. j'ai pensé à r. je me demandais ce que ça lui ferait si je me tuais. et puis je me suis demandé ce que ça ferait à audrey que j'avais vue la veille. je suis allée la voir chanter avec son autre chorale dans la crypte de la cathédrale et après on est allées boire un verre avec son amie indienne et la soeur de son amie indienne qui habite à londres et qui vient de finir ses études de psy, j'étais assise à côté d'elle à la terrasse du café. est-ce qu'elle se dirait qu'elle l'avait vu venir?
je veux mourir parce que je vois pas d'issue. c'est ça la raison habituelle non? je vois pas d'issue à ma situation, je vois pas comment m'en extraire, j'en vois pas la fin, je me sens usée jusqu'à la corde et j'ai l'impression d'être un boulet pour tout le monde. j'ai l'impression que personne m'a jamais aimée à part maman et que personne ne m'aimera jamais et donc je vois pas à quoi ça me sert de rester en vie. j'essaierais probablement pas de me tuer si je restais seule ici la semaine prochaine, mais je ferais pas non plus d'effort pour vivre. c'est pas que rien ne me donne envie de vivre, mais ça fait pas le poids, ça pèse pas assez pour contrer la souffrance. et en plus je fais souffrir les autres. vendredi soir m. devait probablement se dire qu'elle aurait mieux fait de pas venir, elle doit parler de moi à son copain comme le boulet malade de la famille avec qui il faut être gentille. peut être qu'elle fait même des efforts pour rire à mes blagues. et maman doit vivre avec moi TOUS LES JOURS. peut être que si je mourrais ce serait comme quand loki est mort, douloureux sur le moment mais aussi un grand soulagement. est-ce qu'ils me dédieraient le concert de la chorale au mois de juin? nous dédions ce requiem de fauré aux palestiniens, aux ukrainiens et à lara w. qui nous a quittés au printemps parce que sa vie était trop dure, la pauvre.
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sloubs · 1 year
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des fois ça me prend comme ça des moments de colère genre j'y pense parce que c'est tout frais mais j'en veux trop à mon ex de m'avoir ruiné mon expérience à lyon vraiment j'ai l'impression de rien avoir vu de la ville ni de ses richesses ni de ses particularités ou de ses coins intéressants, j'aurais voulu la visiter avec quelqu'un qui la connaissait vraiment et j'aurais voulu faire des rencontres là-bas et tout, là j'me refais le film et j'ai juste trop la haine parce que sans arrêt j'l'ai suivi elle dans ce qu'elle voulait faire et aussi parce qu'elle a jamais voulu s'intéresser à ce qui pouvait me faire plaisir et j'suis dég vraiment dég parce que ça m'a coûté cher et parce que j'attendais ça depuis tellement longtemps, tout ça pour rien, j'ai l'impression d'avoir rien vu ni visité, on aurait pu passer un weekend dans le bled d'à côté ça aurait fait la même chose et j'suis juste trop en colère voilà
c'est toute la frustration et tout ce que j'ai encaissé pendant des mois sans rien dire qui ressort et j'en veux autant à elle qu'à moi de m'être laissé mener par le bout du nez comme ça et de pas avoir su m'imposer plus tôt
elle m'a fait sentir comme de la merde, je sentais son jugement tout le temps sans arrêt, des silences à vouloir m'en arracher les oreilles, je stressais tout le temps, je mangeais rien alors qu'on était dans la ville que j'avais envie de visiter depuis tellement longtemps
putain mais genre lyon quoi j'en rêvais et tout j'me faisais v'là les films dans la tête, dites vous j'suis passée rue juiverie devant l'acting studio sans même m'en rendre compte parce que j'étais trop occupée à essayer de la rattraper parce qu'elle s'était barrée en faisant la gueule mdr j'ai envie de balancer des trucs tellement j'suis en colère et chaque fois que j'y repense ça fait toujours aussi mal vraiment ça me saoule
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e642 · 4 months
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Je commence une longue insomnie. Ça faisait 2/3 jours que j'avais un sommeil très propre et même réparateur. Je n'en connaissais plus la valeur ni la saveur. Puis plus rien. Ce n'est pas faute d'être dans mon lit depuis 22h. J'aime pas tourner et virer. Car penser à rien, ça finit par me faire penser à tout. Je suis étrangement pas stressée pour les examens à venir, c'est le calme plat. Enfin, disons que si je fais une moyenne pondérée des moments critiques et des moments sereins, le bilan est bon. Je sais pas pourquoi mais j'ai accepté que ça passerait et qu'on verrait bien malgré le fait que j'ai, à vu de nez, 75% d'échouer pour ce semestre. C'est marrant, je pense plus sérieusement à l'échec dans une filière plus enclin à me plaire que pour les 3 années d'enfer passées dans une filière que je détestais. Quelle ironique ce serait de rater des études qui me plaisent et d'avoir réussi celles qui ne me plaisaient pas. Une frustration qui en sera néanmoins douloureuse. C'est peut-être la première semaine que je trouve agréable depuis que je suis à nice. Soit presque 5 mois. Je ne sais pas si c'est bien sain de trouver confortable d'être seule, exclue, et reclus dans la pénombre de cette pièce de vie qui résonne. En réalité, j'ai pas vraiment une sensation de solitude, mais plutôt de soulagement et je retrouve un peu de l'engouement pour moi même, de l'enthousiasme à me cotoyer. Je m'ennuie moins. Je crois que je me manque, s'égarer ne fait qu'un temps. Je sens l'impérieux besoin d'être seule. J'ai même du mal à ressentir du manque à son égard, je me considère terriblement célibataire dès lors que nous partageons plus le même lieu. Mais peut-être que c'était ce temps là qu'il me fallait pour m'habituer. Après tout, cette année, ce couple, ces rebondissements, j'avais sûrement pas compris que je ne souffrirai plus jamais de la même solitude qu'avant. D'ailleurs je la vois évoluer au gré des aléas de ma vie, elle est toujours aussi perforante mais jamais de la même manière. Tandis que l'angoisse, elle, reste un constant martèlement contre chaque paroi de mon corps, même amplitude, même fréquence, même durée depuis toutes ces années. Dernièrement, j'ai jamais eu autant la sensation que je devenais adulte. Dans le sens où j'ai rarement ressenti aussi peu d'insouciance et de légèreté. Et j'ai adapté mon quotidien à ça. Il m'arrive de plus en plus fréquemment de me demander si je ne vais pas regretter cette exclusion sociale volontaire, cette minimisation de prise de risque ou d'initiative, cet acharnement à effacer mon existence des radars. J'ai l'impression de me forcer à avoir la vie que je redoute, la vie qui ne fait pas envie, la vie qu'on finit tous par avoir peu importe à quel point on pensait qu'on était différent. Évidemment qu'en pensant comme ça l'écart se creuse, je ne dirais pas que amusement ou plaisir sont des termes qui colleraient à ma façon d'exister.
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perduedansmatete · 7 months
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ce soir je suis allée dans l'endroit interdit juste pour un concert pas pour le reste parce que de toute façon j'avais déjà pas envie d'aller au concert après m'être engueulée avec lui qui est con même s'il me demande pardon après aussi il comprend pas quand je lui explique des trucs je crois mais bon j'ai bien fait de ne pas annuler après ma crise de larmes puisque je rejoignais une amie de vacances avec ma sœur car un de ses pote de lycée jouait dans le groupe qui passait ce soir, elle était donc venue avec tous les potes de lycée du gars et c'était drôle j'avais l'impression d'être avec la elle de dix ans en arrière quoique j'exagère un peu moins, et le concert était super cool ça commençait comme du parcels et puis au final pas du tout ils jouaient du français et de l'anglais mais trop cool et ils avaient vraiment de super interactions avec le public bref je parle comme une vieille mais c'était top et le chanteur était vraiment très beau et en même temps kitsch (comme le nom du groupe) mais beau, ce qui m'a poussé à prolonger ma théorie de l'homme beau universellement: pour être sûr qu'un homme est vraiment beau il faut qu'il le soit le crâne rasé, sans barbe moustache et artifices, et avec un marcel (là il avait juste un marcel sous sa chemise mais je pense que sans cheveux et artifice il aurait été beau bref je m'égare) sinon la fameuse amie est prise en internat à strasbourg, elle attend de trouver un appart mais j'ai une raison supplémentaire d'y retourner très vite sachant qu'on devait déjà y aller pour les vacances de la toussaint avec ma sœur et ma grand-mère pour faire une surprise à cette dernière mais que ça ne va certainement pas être possible puisqu'elle et mon grand-père seront trop occupés à fêter les cents ans d'un ami... mais tout me ramène à strasbourg dans tous les cas j'irai avant la fin de l'année ou pour le nouvel an, puis du coup on est rentrée tôt avec ma sœur car elle bosse demain et que je n'avais pas envie de croiser l'autre con (que j'aime mais il me soûle trop) et après lui avoir un peu raconté ma vie puis à d'autres personnes je me dis que d'un point de vue extérieur ça a l'air cool tout ce qu'il se passe même si j'omets volontairement quelques passages franchement tout le monde a l'air super content pour moi et ça me fait plaisir tout en me motivant, je me dis que je devrais me voir d'un point de vue extérieur aussi mais compliqué et ça ressemble un peu à de la dissociation enfin bref je devrais aller dormir car sinon je risque d'avoir encore envie de pleurer mais c'était une belle soirée
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Mon premier fist... partie 1
C'est une soirée dont je me rappellerai toute ma vie je crois... tellement elle s'est bien déroulée.
A l'époque je m'appelais Sophie Delane, j'habitais à Nantes et j'avais un blog sur Erog... oui oui c'était avant Facebook😅
Je discutais avec un mec qui s'appelait Florent et qui était très chaud !
On parlait de baise et tout et tout... puis on s'est donné rendez-vous un soir sur le parking d'un supermarché à Ancenis, histoire de faire connaissance et d'éventuellement aller chez lui après.
Comme il y avait un peu de route ce soir là, j'ai évité de m'habiller trop court au cas où et j'ai pris une mini-jupe dans mon sac à mains.
Me voici en train de prendre la route, j'étais Sophie dans ma tête. Jolie brunette. Petit top moulant blanc et leggings couleur jean avec escarpins à talons.
Je me sentais trop bien, avec cette pointe de stress habituelle quand je sors. Un stress très excitant! Et en même temps, je ressentais un sentiment de liberté incroyable.
J'arrive sur le parking, une Clio est déjà garée. Il est 22h environ et il fait nuit. Des lampadaires éclairent un peu la zone. Je me gare un peu plus loin. L'appréhension est à son comble. Mon cœur bât fort. La peur de l'inconnu, l'envie de faire la pute, tout se mélange en moi.
Je remets mes escarpins que j'avais enlevés pour conduire, je prends mon sac à mains je regarde aux alentours avant de sortir. Personne.
Juste sa Clio. Il me l'avait dit sur un message.
Je sors. Je marche tranquillement vers sa voiture. Je respire. Je fais attention à ma démarche tout en me mattant dans la vitrine du supermarché. Je me trouve trop belle.
Il sort de sa voiture. On se salue. Il est plutôt jeune et beau gosse. Par rassuré non plus de ce que j'observe.
Quelques petites phrases de politesse... il me trouve belle. Je kiffe.
On avait pas mal discuté par messages. Il était beaucoup moins chaud en vrai.
Pour casser la glace et détendre l'atmosphère, je lui propose directement d'aller le sucer dans un coin du parking.
Il n'ose pas. J'insiste.
- Non, pas dans la voiture, je préfère en extérieur. T'inquiète il n'y a personne...
Bref il me suit. Je kiffe. Il me matte, toujours pas rassuré.
J'ai trop envie. Je suis très exhib!
Au coin du bâtiment, je me mets face à lui et je m'accroupis. J'adore. Je me sens très pute. Directe. Cash. Les préliminaire ce n'est pas mon truc!
Je défait son pantalon. Je baise son caleçon et je prends sa bite en main.
Elle est déjà bien tendue. Elle est agréable au toucher. De bonne taille.
Je m'approche un peu et la glisse dans ma bouche. Elle est bonne. Oui toutes les bites sont différentes. La sienne est vraiment bonne. Propre. Douce. Elle durcit vite.
Je m'applique. Doucement au début. Des vas-et-vient de plus en plus profonds. Puis je la léche doucement. Sur le gland avec le bout de ma langue. Puis sur toute la longueur, depuis ses couilles lisses jusqu'au bou. C'est bon.
Agréable. Je suis bien. Je me sens tellement chienne, là, dans la pénombre, à le sucer!
Il a l'air d'apprécier. Je prends mon temps.
Je continue à alterner avec ma langue et ma bouche. C'est trop bon.
Je jouis du moment.
Je le carresse un peu. Ses couilles, que je prends d'une main. Que je malaxe délicatement pendant que ma langue s'occupe de son gland.
Puis à nouveau à pleine bouche. A priori il est satisfait. Je le sens. Ça ce sent.
Un petit moment de recul.
Je l'interroge du regard.
Il vient déjà.
Il ne sait pas quoi faire.
- Tu veux que je mette une capote?
- Non t'inquiète. Laisse toi aller.
- Sûre?
- Oui!
Je l'enfourne profondément pour lui montrer qu'il n'y a pas de sujet. Que j'ai envie. Qu'il peut se laisser aller!
Encore quelques caresses. Je sens qu'il se contracte. C'est imperceptible, mais je le sens. En même temps, dans ma bouche, je commence à sentir le goût de son jus. Ça y est, il jute!
C'est bon. Enfin non.
Le sperme c'est dégueu. Ce qui est bon, c'est d'être accroupie devant un mec et de le sentir juter de plaisir dans ma bouche. C'est la situation qui est bonne! Me sentir rabaissée. Avoir la sensation d'être une salope. De savoir vider un mec. De se sentir à la place de la pire des putes, d'être prise pour un vide-couille. Et en même temps, de maîtriser la situation. D'être à l'initiative. De savoir que tous les mecs, après avoir joui, redeviennent des petits garçons polis et gênés...
Je finis par le lécher avec soin. Je fais toujours cela. J'appuie doucement sur sa bite. Du pubis au gland. Plusieurs fois. Pour tout faire sortir jusqu'à la dernière goutte. Puis je lèche très doucement et assez vite parce qu'un gland est très sensible après l'éjaculation.
Une fois propre, je relâche doucement sa bite qui reprend sa taille normale et je me relève.
Je me détourne pour lui laisser le temps de se rhabiller. Je lui parle doucement.
Il a aimé.
Il est dans le sentiment du regret. C'est normal après s'être vidé. Ça dure quelques minutes. Je m'allume une cigarette. J'ai son goût dans ma bouche.
- Tu viens chez moi?
- ok avec plaisir... je te suis.
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homomenhommes · 6 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 11
Marc avait commandé les travaux pour notre " donjon ". Je dus ranger tout le matériel que j'avais mis en place dans le garage d'à coté car comme il voulait faire les choses bien, il avait commandé, un électricien et un plombier puis dans un deuxième temps le carreleur pour les 5 mètres du mur du fond de la pièce (carrelage noir formant un receveur unique sur 2m de profondeur et montant sur les murs à plus de 2m50), 4 grosses pommes de douche type Italiennes distribuant l'eau et trois flexible normaux (ultérieurement équipés d'embout de lavement) en utilisent 4 m. La robinetterie, elle fut choisie en fonction de sa solidité pour pouvoir le cas échéant servir à y menotter un mec. Le dernier mètre du mur du fond est équipé d'une cuvette de WC (isolable par un rideau de vinyle lourd). Il a fait passer aussi un plaquiste car si au rez de chaussée nous avons gardé la pierre brute des murs, à l'étage toutes les parois et le toit sont isolés et doublés (laissant les poutres maîtresses visibles et utilisables !).
L'électricien revient alors pour finir la pose des éclairages dont à chaque niveau un spot type " théâtre " orientables par mini joystick, du chauffage et livrer le frigo américain et installer un projecteur vidéo pour, si l'on veut, projeter un film en grande dimension sur un mur. Une dernière touche, un copain de Marc dans la sécurité, nous installe une série de cameras de surveillance, dont deux infra rouge (pour voir dans le noir), officiellement pour sécuriser les lieux mais surtout pour enregistrer les plans cul qui s'y passeront.
Trois lits de 2m x 2m achève l'équipement de notre nouvel antre à plaisir. j'ai solidarisé les trois sommiers par boulonnage pour obtenir ainsi une base de 2m x 6 et ai placé tous les deux mètres de chaque cotés un anneaux (on peut avoir envie un jour d'y fixer un mec ! non ?). Les matelas formés d'une épaisse plaque de mousse très dense sont soudés entre eux à la colle. Ainsi terminé, je pus rapporter les équipements premiers ajoutant deux nouveaux slings, les trois étant ajustables en hauteur par l'intermédiaires de treuils à manivelle fixés au mur. Une étagère à roulettes style paniers rectangulaires métalliques de grande surface nous permis de stocker les accessoires (boules de gueisha, godes, plugs, mors et autres menottes) Les barres d'écartements y furent rangées pendues sur le coté. Le sol pavé ayant été gardé, j'ai opté avec l'accord de Marc pour de grand tapis de gym placé idéalement sous chaque " agrès " mais déplaçables selon l'envie du moment. J'étais assez fier du résultat obtenu et Marc décida de l'inaugurer par un we spécial. Il désira que j'organise une touze avec les habituels Eric, Phil et Luc plus Jean et mes deux nouvelles recrues Ric et Pierre. Avec quelques coups de portable, j'arrive à mettre tout le monde d'accord pour 15 jours après.
Le samedi prévu, je passe chercher les jeunes avec la voiture de Marc. Jean en premier s'installe à l'avant, nous passons chercher les deux autres chez eux. Ils me remettent chacun de la part de leur père une enveloppe. Ayant ajouté leurs sacs dans le coffre à celui de Jean, ils montèrent à l'arrière. Je faisais les présentations, Jean, Pierre et Ric. Je ressenti de la part de Jean une pointe de jalousie qui me fis sourire. Alors que mes deux nouveaux étaient un peu intimidés, je leur demandais des nouvelles de leurs paternels. Pierre me dit que depuis l'" épisode ", il n'arrêtait pas d'entendre baiser ses parents et que même une fois, il était entré dans la cuisine et avait surpris son père en train de sauter sa mère appuyée sur la table ! Ric de son coté fut plus discret et me dit juste que son père tenait la forme. Jean pour montrer son degré d'intimité avec moi, entrepris de me tailler une pipe alors que je conduisais. Je le calmais en leur promettant à tous les trois un week end d'anthologie. Contrarié, Jean voulu savoir qui participerait au w e, citant Eric Phil et Luc afin de bien asseoir sa prévalence sur les deux autres jeunes plus costauds physiquement. Les deux à l'arrière ne savaient pas trop comment prendre cela et me demandèrent ce qui était prévu. Je leur annonçais qu'ils participeraient à leur première partouze. Ils restèrent silencieux jusqu'à la maison.
Il n'est que 16h et les autres n'arriverons qu'en début de soirée. Comme prévu, j'évite Marc qui bosse dans son bureau et les fait descendre à la salle de muscu. Là, j'ordonne " tout le monde à poil ". Une fois nus, je les inspecte et leur ordonne de renouveler leurs épilations. Ils se tartinent mutuellement et une douche bien chaude fait apparaître des peaux lisses comme au premier jour. J'en profite pour rafraîchir ma ligne sexe-nombril puis je prends Ric à part et lui remet la boule à zéro au rasoir. Nous passons aux choses sérieuses, je les oblige à faire un lavement. Pierre découvrit cette pratique. Quand ils eurent tous les boyaux nickel, j'ordonnais une dernière douche et un séchage mutuel. Je fais passer à chacun un jock strape qui met leurs petits culs en valeur et dans chaque j'enfonce un plug bien graissé. Une paire de tongs et un peignoir, ils sont prêts à servir !
Déjà 17h30, il est temps de faire la mise en scène. Je les emmènes tous les trois à notre donjon. Ils sont ébahis par ce qu'ils voient. Pierre lui admire la différence avec l'ébauche qu'il avait testé quelques semaines auparavant. Je leur explique un peu la soirée. Ils seront à dispo de 5 mecs, moi, mon mec et 3 potes. Ils devraient s'en prendre plein le cul et la bouche, le tout sous kpote sauf entre moi, Marc et Pierre, (Ric se faisant maintenant baiser par son père qui , lui, baise ailleurs, Jean entre autre, c'en était fini de le monter à cru).
Après avoir fait le tour des installations, je leur dis à se placer sur les slings. Une fois chacun sur le dos, je fixe les poignets et les chevilles aux suspentes. Pas trop serrés car il vont devoir attendre un peu. Je fais un bisou à chacun et lorsque je sors, je me retourne, le spectacle est bandant, dès la porte, on ne voit que les trois cul pluggés offerts. J'éteins la lumière et leur ordonne de se taire quoi qu'il arrive. Je referme juste la porte que les motos de nos invités se font entendre. J'ai à peine le temps de rejoindre le perron qu'ils arrivent. Je vais à leur rencontre et les conduit au garage afin qu'ils y parquent leurs engins.
Nous rejoignons Marc qui nous attend. Embrassades et palpations de paquets, Marc prévient que le we sera spécial. Ça commence à intriguer nos invités. Je reste muet à leurs regards interrogatifs. Ils ont toujours leurs blousons cuirs que nous les emmenons devant la porte du donjon. Là nous leur bandons les yeux et les faisons entrer. Une fois la porte refermée, il fait un noir complet. Je leur retire les bandeaux puis allume le spot centré sur les trois cul. Je tâte la bite d'Eric à ma droite, il bande comme un âne le salaud ! il s'avance doucement et fait le tour du trio, tâtant, pinçant, estimant le petit nouveau. Phil et Luc font eux aussi la connaissance de Pierre. J'allume les autres lumières et l'ensemble de la salle devient visible. Ils admirent tous les installations. Gentiment Marc leur dit que j'en suis l'unique promoteur. Ils viennent me féliciter. Eric lui me prend le paquet en main et tout bas me demande si Pierre est à son calibre ? je lui dis que jusqu'à présent son maxi a été la queue de Marc, mais que ce w e, comme les deux autres il est à sa disposition moyennant une bonne préparation.
En un tour de main, nous sommes tous nus et nos trois invités testent les douches. Les deux mètres de profondeur du receveur carrelés évitent les projections d'eau dans la salle. Ils nous rejoignent autour de nos trois captifs. Avec Marc, nous avons descendus les slings à la bonne hauteur et commencés à les chauffer un peu en passant nos bites d'une bouche à l'autre. Marc et Eric nous demande de leur préparer les culs. Phil, Luc et moi passons donc en face et chacun prenant le sien, nous avons commencés à jouer avec les plugs en place. Je m'étais réservé Pierre afin de bien le préparer pour Eric. Après quelques assouplissements d'anneaux, j'ai rapproché l'étagère roulante pour mettre le matériel à portée de mains. Nous avons remplacé les plugs par des godes ou des boules. Moi j'ai choisi un gode de 24cm conique partant d'un gland de 4,5 cm de diamètre à 6,5 cm la base près des fausses couilles. C'est l'engin idéal pour préparer un cul pour la bite d'Eric ( 26 par 5 à 7). J'envoi Luc chercher dans le frigo les poppers.
Alors que la tête en arrière, ils se font défoncer la gorge (là je m'aperçois que Ric à fait d'énormes progrès, la faute à son père sûrement !), les grosses queues de nos aînés faisaient remonter les pommes d'Adam à chaque passage des glands derrière les amygdales ! Je prépare bien l'anneau de Pierre. Je le graisse bien avec les doigts et quand j'arrive à lui rentrer les quatre de ma main droite, je passe au gode. De chaque coté, ses confrères sont déjà emmanchés sur leur " jouet ". Doucement, progressivement, un peu de poppers aidant, je fais pénétrer la fausse bite dans son cul, écartant les parois sous la poussée. Je stoppe quand il ne reste que 2cm à rentrer. Je tiens à ce que le gland d'Eric soit bien serré et donc ne prépare pas les 4 derniers centimètres de boyau nécessaires aux 26cm de son futur enculeur. Nous retirons les différents objets de leurs trous, pour les laisser se rétracter un peu. Marc passe le premier et encule Pierre sans Kpote, puis s'équipant, il enfile successivement les deux autres.
Eric s'attaque au cul qu'il ne connaît pas. Il enfile le gland dans l'anus de Pierre, puis lentement pousse des reins tout en tirant à lui le sling. arrivé à 22cm (longueur que je lui ai préparé), il s'arrête. Placé à sa tête, je vois de petites larmes couler sur ses joues, la préparation limité fait son effet ! je lui roule une pelle puis avant qu'Eric porte l'estocade, lui fait sniffer une bonne dose de poppers. Il chauffe immédiatement et Eric en profite pour se caler au fond ! à coté de moi, Phil et Luc se font à leur tour les gorges de Jean et Ric. Tout au long de la saillie par Eric, je câline, rassure et encourage Pierre. Marc cède sa place à Phil et Luc et ôtant sa Kpote vient me saillir à mon tour. Plié en deux me tenant aux suspentes du sling de Pierre, je me fais bourrer comme une reine ! Les trois " petits " jutent sur leur ventre sans s'être touchés, leurs orgasmes déclenchent ceux de leur enculeurs qui se retirent et y ajoutent le leurs. Marc se libère de mon trou et tous lee deux, participons aux dons !
Marc et Eric partent sous les douches nous laissant nous occuper de nos trois jeunes amis. Nous les détachons, je demande à pierre comment il a trouvé le plan car c'est quand même lui qui avait le moins d'expérience de ce genre. Il est fatigué mais avoue avoir pris un pieds terrible, ça me rassure. Nous allons chacun avec notre préféré du moment nous doucher. Marc et Eric installés dans les confortables fauteuils club, sirotent un whisky glace en nous regardant prendre soin de nos instruments de plaisir, leur remettant en dernier lieu leurs plugs bien graissés dans leurs trous rodés.
Affamés, nous regagnons la maison où nous attend un buffet froid.
JARDINIER
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alexisgeorge24 · 4 months
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19 décembre :
Hélas la fin de mon séjour au Brésil arrive déjà. Avant de rentrer en Argentine je visite le barrage d'Itaipu situé sur le fleuve Paraná qui sépare le Brésil du Paraguay. Mais je devrais plutôt écrire "qui unit", puisqu'il s'agit d'un site "binacional" où l'on se situe à la fois au Brésil et au Paraguay en même temps. Cette centrale énergétique est tout autant une prouesse technique que diplomatique; chaque pays détenant 50% de l'énergie produite et toute l'administration étant divisée entre les deux pays (2 PDG). 2e plus gros barrage au monde après celui des trois gorges en Chine, les installations sont impressionnantes; j'ai même visité une turbine en fonctionnement dont on ne voyait "que" l'arbre qui reliait la turbine à l'alternateur (!!!). De retoure à Puerto Iguazu en Argentine j'enchaîne avec un bus de 4h jusqu'à San Ignacio. Arrivé en fin de soirée je me couche direct.
20 décembre:
Si je suis dans ce village c'est parce qu'il se situe dans la région où les Jésuites se sont implantés à partir du XVIe siècle. De véritable cités monastiques en autarcie exclusives aux guaranis se sont ainsi développées pendant à peu près 2 siècles avant que l'ordre ne se fasse expulser par les couronnes espagnol et portugaise. Puis les guerres entre les nouveaux pays formés de nouveau monde on finit d'achever ce qui restait des missions. Du coup il ne reste que des ruines qui sont aujourd'hui plus nettoyées que restaurées et classées patrimoine mondiale Unesco. BREF, j'ai visité celle de San Ignacio, j'étais tout seul, et ça m'a fait pensé un peu à Angkor Wat, des ruines dans la jungle qui sortent d'un temps perdu et mystiques. On a envie de se téléporter dans le temps et faire revivre cette société "communiste" (mais aussi esclavagiste, rien n'est parfait finalement avec cette doctrine). Puisque je suis dans la jungle autant profiter de cet enfers vert. Je loue donc un vélo (tout aussi pourri que la VW que j'avais loué) pour me rendre au parc Teyucuaré et admirer des points de vue sur le Paraná. Il fait trop chaud; 38° et 1000000% d'humidité. J'ai mon 1er accident de drone quand je le fais décoller direct sur un arbre... il se casse la gueule devant moi (une torture à regarder) mais j'arrive à le faire revoler malgré un bras disloqué que je n'arrive plus à replier. Il s'en sort... l'après midi je prends un bus de 1h pour Posada, la grande ville de la région.
21 décembre :
Je continue donc ma visite des missions Jésuites à partir de Posada, à la frontière Paraguayenne, que je franchi pour visiter Trinidad. Tout autant en ruine que San Ignacio, je prends autant de plaisir à m'y balader. Je passerai 4h à faire l'AR depuis Posadas pour 40min de visite mais j'ai mon tampon du Paraguay sur mon passeport, et ça, ça n'a pas de prix. Puis je refais le grand saut du retour vers Córdoba avec un bus de 18h. Mention spéciale à Yuri, un Paraguayen que j'aurai croisé 2 fois et qui m'expliquera comment il est poursuivi par les mafias, comment Dieu exterminera ses ennemis avec des éclairs, et comment il a le droit d'user de la forces d'ici là. Aucune idée comment je me suis retrouvé à papoter avec lui mais j'ai vite pris mes distance avec ce fou furieu.
22 décembre :
Arrivé à 9h à Córdoba que je connais déjà, je m'occupe comme je peux jusqu'à prendre mon bus de 23h30 pour Mendoza. Je fais entre autre un musée d'art moderne puis un musée d'art contemporain dont je ne comprends absolument rien. Vivement retrouver les Andes, ça fait 2 nuits de suite que je rêve (littéralement) de randonnée.
23 décembre :
Arrivé à 09h00 à la capitale viticole d'Amerique du sud, je découvre la ville surtout pendant mon trajet à pied de la gare routière à mon hostel. La ville a été détruite pendant un tremblement de terre et il n'y a pas vraiment d'attraction touristique. Par contre elle a été reconstruite avec de larges trottoirs sous de gros arbres abritant les piétons du soleil; c'est très agréable. Journée logistique : lessive, achat camping gaz, transfert vidéos sur le cloud, courses en prévisions de mes prochains bivouacs, apero (je respecte le région et ça sera du vin cette fois).
24 décembre :
Sans émotions de m'éloigner de la civilation en ces jours où les relations sociales sont de coutume, je pars m'isoler dans la montagne. Que Mendoza soit réputée pour son vin, c'est comme l'eau sur les plumes d'un canard, ca glisse (ballec), qu'elle soit située au pied de l'Aconcagua (6990m !!!), sommet des Amériques, le canard s'est pris un obus dans la gueule. Du coup, bus jusqu'au lieu dit "las cuevas" juste avant le tunnel qui mène au Chilie (officiellement je suis d'ailleurs ni en Argentine ni au Chilie, étant entre les 2 postes frontière). Puis, ENFIN, je randonne jusqu'à un lac gelé situé dans une vallée aux couleurs incroyables, ça ressemble un peu aux Alpes mais en plus austère, toujours ces touches rougeâtres qui doivent être du à l'immersion de cette chaîne de montagne gigantesque dans l'océan, et qui doit être à l'origine de tous ces matériaux donnant des couleurs originales. Je voulais camper au lac mais c'est assez exposé au vent et je ne n'avais pas prévu qu'il soit gelé, je risque de passer une sale nuit dans le froid (pourtant je ne suis "que" à 3700m). Je plante ma tente plus bas à 3500m, ce qui ne m'empêchera pas d'avoir un peu froid. J'ai une vue panoramique sur la vallée, je suis complètement seul, la "presque" pleine lune prend le relais au soleil donnant un spectacle de lumière.
Bilan: 10km, 600m d+
25 décembre :
Grosse journée au programme. Je reviens sur la ruta 7, qui relie Buenos Aires à Santiago, pendant le réveil du soleil. Puis je monte au Pico del Cristo Redentor, marquant la frontière avec le Chili. Belle vue mais pas aussi impressionnante que décrit par le routard. Puis stop jusqu'au sentier qui mène à la Laguna Horcones, dans le parc provincial Aconcagua, et que je dois donc payé (3eur). Belle vue sur l'Aconcagua. Parenthèse ouverte sur ce parc: ça aurait été un pure bonheur que d'essayer (restons humble) de monter au sommet de l'Aconcagua. Il n'est pas du tout technique (moins que le Huyana Potosi en Bolivie) et le "seul" challenge, c'est l'altitude. Sachant que j'ai fait un sommet à 6300m sans ressentir aucun effet d'altitude, j'avais très envie de tester mes limites. MAIS, s'y aventurer coûte 5000e, rien que le permis pour y accéder c'est 1000e. On est loin des 40eur que j'ai payé pour le Parinacota (6300m). Donc j'y fais l'impasse et je me ballade hors de ce parc. L'accès à la nature doit être un bien publique et je refuse de participer à sa commercialisation. Parenthèse fermée. Puis stop jusqu'à la puente del Inca ou je fait le début de la randonnée menant au Cerro Penitentes. La nuit je sors ma tête de la tente et je vois que toute la vallée est éclairée par la pleine lune. J'en suis émus tellement c'est merveilleux.
Bilan: 23km, 1100m d+
26 décembre :
C'est parti pour finir le (gros du) travail entamée la veille. Day pack et je grimpe 1400m d+, traverse 4 gués dechaussé, pour arrivé à 4400m d'altitude sur un plateau aux falaises verticales et qui domine mon bivouac. Le paysage me fait toujours penser aux Alpes, mais en tellement plus impressionnant... pour commencer j'ai une vue directe et dégagée sur le mythique Aconcagua, et tout autour sur 360°, plein de monts blanc (oui au pluriel), des vallées, un lac turquoise, des cours d'eau (c'est le debut de l'été et la montagne perd toute ses eaux). J'ai l'impression d'être au sommet du monde, noyé dans un univers qui, littéralement, me dépasse. Je redescends, reprend mon gros sac au bivouac, et reviens sur la ruta 7. L'autostop sera infructueux et je médite sur comment l'humain peut être naturellement bon lorsque le contact est direct, et naturellement un gros connard lorsqu'une barrière nous sépare; ici un pare-brise. Donc je marche jusqu'à un bled et attends 1h le bus qui m'amène au village d'Uspallata où je dormirai au camping.
Bilan: 22km, 1500m d+
27 décembre :
Ah j'oubliais: Feliz Navidad! Sans festivité, je prends le bus du retour pour Mendoza où je me repose jusqu'à l'heure de l'apero mais surtout du dîner. Mendoza étant réputé pour sa gastronomie je me fais un bon resto. Et bien les argentins n'ont obsolument rien à envier à nos vins, ils sont excellents et surtout très bon marché. Un (gros) verre ne coûte que 1,5eur. La viande est sans surprise dionisiaque, fondante dans la bouche, et le rhum Barceló Gran Anejo (République dominicaine) d'une douceur qui manque je trouve aux rhums Martiniquais (ma seul référence).
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profenscene · 1 year
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Jeudi 20 avril
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Je détestais le cours sur les Métamorphoses d'Ovide, en sixième.
Parce que si le sujet me plaisait, je trouvais que littérairement, c'était à la fois trop pauvre et trop complexe. J'étais passé à autre chose.
"En CM2, la maîtresse elle a dit qu'on verrait les histoires de dieux qui se transforment."
Ils ont insisté, les sixièmes. Alors en grommelant, j'ai intercalé un petit cours à la fin de l'Odyssée. Je suis tombé sur la traduction des Métamorphoses de Marie Cosnay. J'ai regardé Tiana réaliser l'un des meilleurs exposés que j'ai jamais vu sur Arachné. J'ai écouté Ulrich lutter contre son handicap de lecture, parce qu'il adorait l'histoire de Daphné, changée en laurier.
Et je me suis cultivé. En ai appris plus sur l'étymologie et la mythologie que ces dix dernières années. Parce que j'avais envie de leur faire plaisir, parce que ces petits mômes, avec leur bouille de chatons, m'avaient mis là-dedans.
Ça arrive tous les ans ou presque. Et c'est sans doute l'une des raisons qui me fait rester, contre vents et marées : on se rend meilleurs mutuellement.
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vabazeri · 6 months
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Jour 24
Ouais ouais je sais, ça fait un moment. En vrai, j'avais pas trop le moral de vous racconter quoi que ce soit, eh puis, j'en ai un peu marre de vous raconter au final, toujours la même choses...
Bon, j'vous fait un mini bilan quand même : ça va, il est toujours gentils et cash, il est "jaloux" ou "inquiet" je sais pas trop comment le qualifié mais il a eu mal sur un truc à la con concernant un autre homme en jeu, et j'ai eue de la peine pour lui aussi alors j'ai tout stopper, il est très présent attentionné et... Bah j'ai la dalle voilà. La seule question que je me pose en ce moment (et depuis qu'il est malade et que ça traîne) c'est qu'il a vraiment pas l'air mal l'aise avec la gentillesse et l'attention, je me demande s'il a déjà eu quelqu'un qui s'est vraiment inquiéter de lui, qui a déjà fait preuve de gentillesse sans rien attendre en retour...
À part ça, aujourd'hui j'ai un peu de nouveau si je puis dire.
J'ai quitter le boulot si prometteur et si bien payé ! Ouais, j'me suis barré et en vrai, la raison est simple, j'ai pas tant besoin de gagner autant. En fait, à la réflexion, j'aurais peut être jamais à m'occuper de qui que ce soit à part moi et mes animaux alors autant ne pas ce fatigué pour rien.
J'avais envie d'un boulot chill, un truc de bureau pour une fois, de la paperasse à faire, un truc ou j'ai la même choses en boucle à faire, de la routine quoi pour pouvoir rentrée à heure fixe et passé du temps à autre chose en fait. J'avais envie de passer mes soir en jeu et en live surtout.
En rp, baaah, pareil, des hauts et des bas en fait. Y avait des trucs qui me faisait vraiment plaisir, j'adorais jouer avec les membres de mon secteur (enfin presque) mais je supportais de moins en moins certaines choses et les émotions liées avec que j'avais du mal à contenir genre la colère, la jalousie ou même pire, la méprise.
À côté, j'ai profité à fond de mon temps de maladie et de recherche de nouveau taff, j'ai beaucoup streamer et pas forcément que du rp, j'ai jouer et dessiné, j'ai ENFIN pu passé chez le coiffeur (et putain ça fait du bien !) j'ai récupéré des logiciels et diverses choses que je ne pouvais pas avec Red et qui me donnaient la sensation de me récupérer moi même. Bon, j'avais pas récupéré toute mes affaires chez lui encore et au fond, je me disais que je les récupérerai probablement jamais ...
Niveau santé c'était pas dingue dingue il faut avoué MAIS je retenais quand même une choses qui me rendait vraiment fière : je n'étais plus sous traitement ! Et surtout, je n'en sentais plus le besoin réel !
Ouais alors OK, on va remettre les choses à plat, je faisait parfois des chutes de morale impressionnante et partant de rien mais, en vrai, c'était de plus en plus rare et j'arrivais à gérer à peut près. (et puis putain, je peu de nouveau boire et manger du pamplemousses ! Et juste ça, ça a pas de prix !) J'arrivais aussi à sortir de plus en plus, j'avais récupéré un semblant de corps qui m'appartenait et le regard des autres commençait à ne plus peser si lourd. C'était un sacré boulot mais je m'en sortais, je me battais et c'était le plus important.
En vrai, la vie commençait doucement à avoir une apparence "normale" eh putain... Ça fait du bien en fait !
Merci Bunny !
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