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#je me tiens à votre disposition
male-spirit · 2 years
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selidren · 4 months
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Printemps 1920 - Champs-les-Sims
2/5
Pour changer de sujet (je pense que vous avez saisi que mon mari peut être compliqué sur de nombreux points), je n'ai pu m'empêcher de rire de la mésaventure de votre fils. Il devait se sentir penaud quand vous l'avez réprimandé, il n'est guère charitable de calomnier les souffreteux, ils ont bien d'autres choses dont se soucier sans qu'un jeune adolescent n'amène les torches et les fourches. Que voulez-vous ? C'est une jeune génération passionnée. Ces dames dont vous me parlez ont cependant l'air adorable. Si elles ont demandé à emprunter la photographie, cela ne m'étonnerait pas qu'elles aient perdu un fils à la guerre. J'imagine que cela suffit pour s'en rendre sévèrement malade.
J'ai fortement pensé à vous ces derniers temps. Selon Madame Eugénie, il fut un temps où Monsieur Auguste parlait à notre famille des anglais qui s'installent à Hylewood, et que les questions évoquant francophones et anglophones sont parfois tendus au Canada. Chez moi aussi, ces maudits anglais ont déclenché un incident diplomatique !
Il y a peu de temps, un jeune gallois (à ce qu'il semble, je ne peux me vanter de savoir différencier un gallois d'un anglais ou d'un écossais), s'est présenté chez une jeune veuve, Anne Barthélémy (ses relations font que nous la connaissons pas le biais de Jeanne, la soeur de Jules). La pauvre jeune femme a perdu son mari en 1916, et il se trouve que le nouveau venu, Monsieur Norton, dis n'avoir eu sa vie sauve que grâce à son mari. Il a mis un moment à la retrouver, et s'est mis à la disposition de la jeune femme, affirmant qu'il devait bien cela à l'homme qui avait donné sa vie pour sauver la sienne. Il est arrivé avec de nombreux cadeaux venus du Royaume-Uni et d'Amérique, et parmi tous ces cadeaux, il y avait des enregistrements magnétiques de chansons américaines pour télégraphones. Ces enregistrements ont fait le tour du village. Je ne sais pas Madame Barthélémy va laisser Monsieur Norton la courtiser encore longtemps, mais en tous cas, la musique l'a séduite. L'enregistrement est donc arrivé chez nous et a beaucoup plu aux filles. Un certain Monsieur Gershwin, à ce qu'il parait, qui commence à devenir très populaire aux Etats-Unis. Peut-être est-il déjà connu au Canada ?
Il a en revanche moins plu à Madame Eugénie qui se plaint d'une invasion de tuniques rouges dans son salon. Cela pourrait prêter à sourire si elle n'avait pas, par ce biais, ramené ses vieilles obsessions et perturbé encore une fois mes enfants.
Transcription :
Eugénie « Que faites-vous jeunes filles ? »
Sélène « Tante Juliette nous a appris la valse la dernière fois qu’elle est venue. »
Arsinoé « Nous nous sommes dit que ce serait intéressant de pratiquer un peu pour ne pas perdre le peu que nous avons assimilé. »
Eugénie « Ce n’est pas précisément une musique adaptée à la valse. Qu’est-ce d’ailleurs ? »
Sélène « De la musique américaine. Je ne me souviens plus du nom de l’artiste. Ils l’ont joué chez les Hurelle la semaine dernière, c’est un cadeau d’un anglais je crois. »
Eugénie « Mmh… Et de quoi ça parle ? »
Arsinoé « Pas la moindre idée. »
Eugénie « Jeunes filles, si vous souhaitez pratiquer la valse, il faut une musique adaptée. Changez immédiatement. »
Eugénie « Voilà qui est mieux. D’ailleurs, comment cette satanée musique s’est retrouvée en ta possession jeune fille ? »
Sélène « Et bien l’anglais l’a joué à Anne pour essayer de l’égayer un peu. »
Eugénie « Oh oui, pauvre enfant. »
Arsinoé « Puis La petite Léone l’a entendue. Elle en a parlé à Simon à l’école, qui a eu envie de l’écouter. Il l’a fait écouter à la mère et à sa grand-mère aussi. »
Eugénie « Jeanne a apprécié ? »
Sélène « Je ne sais pas. »
Eugénie « Ah… Sélène, tiens donc tes grandes jambes plus droites et suis le rythme ! »
Sélène « Mais c’est si lent ! »
Eugénie « C’est normal, il faut commencer lentement. Redresse toi donc un peu ! Seigneur, on dirait ton père quand il a commencé à marcher ! »
Arsinoé « Aïe ! »
Sélène « Oh mince, je suis désolée ! Tu as mal ? »
Eugénie « Que tu es maladroite ! »
Arsinoé « Non, ça va. C’est n’est pas si grave. »
Eugénie « Tu es encore bien trop maladroite pour danser avec ta sœur, Sélène. Je demanderai à tes cousins de te donner des leçons. En attendant, demande donc à Cléopâtre de venir, elle sera plus à même de danser. C’est une enfant qui, à défaut d’être convenable, a un indéniable sens de l’élégance. »
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claudehenrion · 6 months
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Crac ! Boum ! Hue ! (etc...)
Surtout, ne me faites pas dire ce que je ne pense pas : ce titre n'est en rien une revendication de ma part. Non, je n'ai pas, comme Jacques Dutron avait la chance d'en avoir un dans sa jeunesse, ''un piège à filles, un truc tabou, Un joujou extra qui fait crac boum hue''... Et, hélas, ''Les filles ne tombent pas à mes genoux''. En revanche, dans mon immeuble parisien, un voisin a profité de ses vacances pour se lancer dans des travaux iso-hidalguesques. Je ne sais pas à quelles destructions sont destinés les bruits incroyables qui provoquent mon réveil depuis quelques matins, mais ses corps de métiers doivent se prendre pour des décathloniens... ou pour le ''truc'' de Dutron !
Si je vous raconte ça, c'est parce que grâce à une ''pub'' parue dans le quotidien gratuit ''20 minutes'' et transmise par Alain Rémond, de ''La Croix'', je suis tombé sur une proposition d'expérimenter une toute nouvelle technique dite ''de relaxation sonore'' : si je veux vraiment être enfin bien dans ma tête, dans mon corps, et partout ailleurs, il me faut absolument ''des vibrations sonores''. Question à 100 $ (US) : ''C'est grave, docteur ?''. La réponse est : on verra plus tard... car pour le moment, il semblerait que je manque dramatiquement de cette invention ''ultra-quelque chose '' et ''extra-pleine de trucs'', dont une sophrologue-spécialisée-en-relaxation-sonore vante les mérites indubitables (?) dans la dite pub. ''Ces massages sonores, affirme-t-elle sans faiblir, sont la base d'une science nouvelle, la (je cite) sonopuncture'' qui, si j'ai tout compris, serait exactement la même chose qu'une acupuncture dont l'aiguille serait remplacée par des sons (c'est un peu comme un coq au vin, qui serait fait avec des andouilles de vire et des tripes à la mode de Caen !).
''Les vibrations sonores –explique-t-elle-- se propagent à travers les os, et le cerveau est (donc ?) directement atteint sans effort'' (Questions : atteint où, par quoi, venant de qui ?). Le résultat est sans appel  : c'est épatant ! On est relaxé dans tous les sens, comme jamais. Et c'est pour qui, toutes ces merveilles ? Mais pour tout le monde, voyons ! Pour vous et pour votre belle-mère... ce qui m'a remis en mémoire une émission récente de FR3, sur le thermalisme : devant l'effondrement du nombre de gens intéressés par ce sport, la station de Bagnères-de-Bigorre a remplacé la fréquentation de ses sources chantantes par... des siestes interminables sur un lit sous lequel des abeilles (par milliers, par trilliers, par ruches entières) font vibrer leurs ailes... ce qui vous guérit de toutes les mêmes choses que ''les eaux'' jusque là (ça me fait penser aux belles-mères à cause de la possibilité d'une erreur d'aiguillage qui donnerait à ces hyménoptères pleins de piquant(s) l'envie de se tromper d'étage... et là, ''Bonjour les dégâts'' !).
Vous allez me dire : quel lien avec ton voisin d'immeuble ? Mais voyons... dans le caractère relaxant et curatif du bruit ! Je veux parler du miracle de la ''sonothérapie'', dont je suis en mesure de mesurer à leur juste mesure les avantages (pour moi rigoureusement introuvables) et les inconvénients (dont je tiens la liste à votre disposition : elle n'entre pas dans les limites fixées par mon fournisseur d'espace !). Mais je peux vous dire que, depuis quelques jours, j'expérimente, à fond la caisse, les massages sonores, les voyages éponymes, la sono- et la -puncture et que, jusqu'à cet instant, cela ne marche pas avec ou sur moi. Mais alors... pas du tout !
En fait, si quelqu'un pouvait être intéressé par mon avis (ce qui est rarement le cas...), je dirais même que ça a un effet rigoureusement inverse : les perceuses et les marteaux-piqueurs semblent créer sur mon système nerveux des dégâts collatéraux qui me foutent un coup de vieux dont je n'avais absolument pas besoin. Je peux même vous dire que le seul fait d'entendre des murs d'habitude protecteurs se mettre à trembler comme un volcan en Islande, et menacer de s'écouler après s'être fissurés comme un hôpital à Gaza, m'angoisse et génère en moi des torrents de gros mots et d'insultes que je n'avais pas éructées depuis les années (à peu près trois, comme toute ma classe d'âge !) où je fréquentais assidûment l'institution militaire en tant que ''Maintenu''.
En fait, j'en ai même tiré une sorte de règle générale : ''Plus ça vibre, et plus je stresse !'', et plus je suis enveloppé, jeté, trimballé, secoué, violenté et j'en passe, dans une solitude généralement réservée aux coureurs de fond, pour paraphraser Alan Sillitoe (''The loneliness of the long distance runner'' –1959). Et, un peu comme les paysans français ou les habitants du Pas de Calais, j'ai une forte impression d'abandon, de ''trop, c'est trop'', et de ''personne ne m'aime''...
C'est d'ailleurs à cette impression d'abandon que vous devez cet édito encore plus ''déjanté'' que les autres : il fallait que je partage ma ''différence ressentie'' entre les textes qui circulent, en cette période où la folie sort de plus en plus souvent des asiles … et le ressenti, justement, d'un pauvre citoyen lambda confronté aux terribles réalités du siècle ! Pour un peu, je deviendrais sartrien (c'est vous dire combien je suis touché, en profondeur !), au point de penser que l'enfer, c'est le bruit des autres ! Bonne sieste et à demain, pour un sujet plus sérieux...
H-Cl.
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putainsoumise · 1 year
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2ème partie 1ère rencontre d'une longue série Stephane a Disposition
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J’étais gèné qu’elle s‘en soit aperçu. Je ne savais pas quoi répondre et je n’ai pas eu le temps de lui répondre, qu’elle me dit de lui retirer sa chaussure… Elle me tend son pied et je lui retire sa chaussure. Elle commence par faire glisser lentement son pied entre mes cuisses… tout en remontant elle insiste et en appuie sur mon sexe quelques secondes… puis continue et remontant encore… jusqu’aux tétons qu’elle pris soin d’exciter avec son orteil… elle joue quelques instant avec les pinces qui me font de plus en plus mal… pendant ce temps son autre pied se frotte sur mon sexe dressé. Je suis de plus en plus excité. puis elle continue et remonte son pied jusqu'à ma bouche… J’étais prêt à embrasser ou lécher à nouveau quand elle me dit
Suce le Je prends son pied entre mes main et je commence à le lécher
Tu es sourd ? Je ne t’ai pas dit LECHE mais SUCE LE! Je ne suis pas certain de bien comprendre.
Ouvre la bouche J’exécute… et elle me rentre ses orteils dans la bouche puis tout doucement elle les enfonce de plus en plus en faisant de légers vas et viens
Mais tu es une bonne petite salope pour sucer comme ca… continue comme cela et applique toi bien… je sens que tu vas plaire a beaucoup de monde… Après quelques minutes elle retira son pied et me dit Soudain elle me dit
Cela suffit redresse toi et baisse les yeux Elle me passe le collier que j’avais acheté autour du cou, sort de son sac à main une laisse qu’elle accroche à l’anneau du collier. Elle me tient en laisse… elle enfile sa chaussure et me traînant derrière elle nous faisons quelques pas dans le couloir… Sa démarche chaloupée devant moi me met dans un état second… Arrivés au bout de ce couloir nous faisons demi-tour... elle me regarde d’un air amusé puis revenons vers la cabine… arrivé à coté de la cabine elle me demande de me remettre à genoux.
Bon Il faut que je téléphone à des amis… Et puis non tiens c’est toi qui vas appeler… Tu vas tomber sur Anne ou Jacques et tu leur dis que je passerais dans 30 minutes. Mais je te préviens tu ne fais aucune allusion sur quoique ce soit… Tu ne dis que ce que je t’ai demandé. Elle sort de son sac un carnet, le feuillette puis décroche le téléphone, fait le numéro et me tend le combiné. Ca sonne... Une fois… Deux fois… On décroche… c’est Anne
Bonjour Madame… Je suis Stéphane et je vous appelle de la part de Madame XXXX qui m’a chargé de vous prévenir de sa visite, elle sera chez vous dans environ 30 minutes
Ok merci Stéphane Bonne fin de journée au revoir. La conversation a été un peu plus longue mais cela ne présentait pas grand intérêt. Madame me félicita pour cette conversation… puis les événements s’enchaînèrent… Une fois le téléphone raccroché… elle tire sur la laisse et m’entraîne dans les toilettes des femmes… De pire en pire… je ne sais plus quoi faire je panique totalement… Elle ouvre la porte des toilettes pour handicapés (plus large que des toilettes habituelles) et me pousse à l’intérieur… Elle entre et referme la porte en la verrouillant.
Très bien tu me sembles être au niveau de ce que tu m’as dit être… dévoué... obéissant… soumis à souhait mais es tu capable de me donner totale satisfaction ?
Je ne sais pas Madame… je ne sais pas ce que vous attendez de moi
TOUT, je veux tout de toi et que tu me sois TOTALEMENT DEVOUE, que tu obéisses au moindre de mes ordres
Oui Madame, je désire réellement vous appartenir afin de devenir votre esclave et assouvir vos désirs et plaisirs. Elle s’esclaffe et me dit :
PARFAIT, J’AIME CE LANGAGE mais tu as encore beaucoup de chemin à parcourir… Retire ta veste A peine l’avais je retiré et accrochée au porte manteau qu’elle me plaque au mur face contre la paroi… elle se serre contre moi… les pinces touchant le mur me mordent les seins et j’ai de plus en plus mal… Elle me place un foulard sur les yeux… puis elle me retourne… tire la laisse de côté… et je la sens se frotter contre moi… une jambe entre les miennes… son genou remonte entre mes cuisses pour venir appuyer sur mon sexe (en érection depuis longtemps) Elle commence à me palper de partout… serre mes fesses à pleine main… m’enfonce deux doigts dans la bouche en faisant des vas et viens… Puis ses mains descendent sur mon torse, elle joue rapidement avec les pinces puis glisse sur mon ventre et à travers mon pantalon elle attrappe mon sexe à pleine main… Je n’en peux déjà plus… l’excitation est à son comble… je tremble de partout d’excitation et de plaisir... elle me comprime le sexe… m’écrase les couilles… puis elle s’écarte et me laisse ainsi dans un état proche de l’orgasme… elle me dit
Baisse ton pantalon et appuis toi sur la réserve d’eau des toilettes. J’exécute, Je suis maintenant pantalon baissé, le cul nu et offert à ses caprices, ses mains reprennent leur promenade sur mon corps … elle me masturbe avec vigueur 10 secondes puis arrête… elle me presse les couilles de plus en plus fort les tire avant de me caresser l’anus… Elle me demande…
Je continue ou pas ?
Oui Madame, utilisez moi comme vous le désirerez
J’ADORE CELA mais sache que tu peux toujours me dire STOP j’arrêterais… et selon mon niveau de satisfaction atteint tu seras ou ne seras pas mon esclave c’est à toi de voir !
Oui madame Elle est derrière moi… Je lui tourne le dos… mais je l’entends fouiller dans son sac… sans rien voir de ce qui se passe… puis après quelques secondes… je sens un corps froid glisser sur mon anus… puis se faire insistant… puis se retirer… puis de nouveau se faire de plus en plus insistant… puis me forcer… de plus en plus fort… Puis me pénétrer d’un coup et d’une telle force que j’en vacille… de douleur… la douleur et le plaisir mélangés me font perdre mes moyens. Je ne le saurais que plus tard mais en fait elle vient de me sodomiser avec un plug ENORME… qui de plus s’avèrera être vibrant. Mais pour le moment elle n’a fait que de me le mettre violemment avec des vas et viens de plus en plus profonds
SUPERBE, de plus tu es vraiment une bonne salope et tu prends bien Cela me plait énormément… Retourne toi et mets toi à genoux. J’exécute. Elle me guide la tête sur son sexe et me demande de la lécher. Elle me plaque la bouche sur son sexe …
Allez lèche moi et correctement petite salope Je m’y emploie du mieux que je peux… elle m’empoigne par la tête et me guide pour son plaisir. Mes lèvres s’abîment sur son sexe … ma langue la pénètre et la lèche en douceur… je fais de mon mieux… Son goût est sucré… Son odeur suave… je suis son objet de plaisir. Je parcours les plis et les replis de son sexe… elle guide ma bouche… j’excite son clitoris… je l’entends gémir… Elle laisse à peine suinter son nectar dans ma bouche et d’un coup me rejette en arrière…
Stop ca suffit. Je l’entend baisser l’abattant des toilettes et me dit assieds toi sur les toilettes J’exécute je m’assieds… je sens le plug me pénétrer encore plus profondément. Elle m’enfile un préservatif puis elle vient s’empaler sur mon sexe qui n’en peut plus d’être en érection. Elle s’enfonce mon sexe en elle… Elle se pénètre sur le gode vivant que je suis devenu…elle s’excite elle même à son rythme avec les mouvements qui lui plaisent… je suis au bord de l’extase… Elle me viole… et je ne suis plus que son jouet sexuel à sa merci… quand enfin elle jouit en lâchant des gémissements de plaisirs. Je n’ai pas éjaculé mais le plaisir est intense… je reste tendu et cela m’en fait mal. Je n’en puis plus j’aurais tellement aimé l’accompagner dans ce plaisir. Elle se dégage. Je prends mon sexe en me caressant pour me masturber et en finir quand je reçois une gifle magistrale
Qui t’a permis de te branler ? espèce de sale petite pute… tu te prends pour qui pour décider de toi même ? Je ne sais plus ou me mettre… elle me lance
Ne recommence jamais à prendre des initiatives de ce genre. Tu veux être mon esclave … A partir de maintenant tu l’es, je t’ai pris donc je te possède. A partir de maintenant je ne tolèrerais plus aucun écart que cela soit bien clair. Habilles toi. Cela suffit pour l’instant je n’ai pas de temps à perdre… j’ai rendez vous… et puisque tu n’as rien à faire tu vas m’accompagner.
Oui Madame Sans rien voir venir je me prends à nouveau une gifle magistrale…
MAITRESSE... Tu es idiot ou quoi ? je viens de te le dire. A présent je suis TA MAITRESSE tu n’as pas compris ou quoi ? J’exige que tu utilises ce terme systématiquement à chaque fois que tu t’adresse à moi… sauf quand je t’appellerais Stéphane face à des gens non initiés… dans ce cas tu me diras Madame. Est ce bien clair salope
Oui Maîtresse
Parfait … Tout à l’heure tu as appelé chez Anne et Jacques… nous y allons ensemble… Mais j’exige une discrétion absolue, je ne veux aucune allusion sur notre relation Maîtresse Esclave c’est compris ? Ce sont des amis qui ne pratiquent pas, donc si on te questionne tu te présenteras comme une connaissance de travail, point barre. A la moindre incartade de ta part tu en subiras les conséquences Est ce bien clair
Oui Maîtresse
Bien, avant d’y aller je veux que tu mettes ton carcan a pointe il faut que je vois cela… Je sors donc le carcan que je le fixe sur mon sexe encore en érection… Les pointes me mordent mais c’est supportable.
Très intéressant… Regarde moi Je lève la tête elle me fixe droit dans les yeux et je sens sa main empoigner le carcan en le serrant… Elle serre de plus en plus fort tout en me regardant fixement. Arrivé à un certain stade la douleur se fait trop grande et je grimace de douleur… Elle sourit avec un petit air de satisfaction sadique
Tu me plais quand tu grimaces. J’aime que tu souffres par et pour moi. Bon habille toi nous y allons Je remonte mon pantalon et je m’habille. Elle détache mon collier et le range dans son sac. Nous sommes remontés et nous partîmes chez ses amis Anne et Jacques.
Cette première rencontre a été le début d'une relation éducative qui a duré plus de 2 ans et le début d'une grande aventure qui a suivi
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manue-ringo · 2 months
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Chapitre 130 : Alliances inattendues Partie 1
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Bonjour, monsieur. Dit-elle en s'asseyant face à lui, essayant de masquer son inquiétude.
Bonjour, Parker. Merci d’être venue si rapidement. Répondit-il, son visage grave et ses yeux trahissant une profonde préoccupation.
Il poursuivit en demandant poliment :
Comment ça va ? J'imagine que ça ne doit pas être très facile pour vous.
Elle répondit dans un haussement d'épaule, tentant de paraître détachée :
Disons que je n'ai pas eu le choix. Il était nécessaire que je prenne mes distances. Ça fait partie du jeu. Maintenant, je suis libre d'agir comme je le souhaite.
Vous ne croyez pas si bien dire Parker. Justement, j'ai une proposition à vous faire. Dit-il en se penchant vers elle son ton devenant plus intense.
Ah oui ? Je vous écoute. Demanda-t-elle, quelque peu perplexe son cœur battant plus vite.
Il prit une grande inspiration avant de reprendre :
Que diriez-vous de travailler ensemble ? De manière officieuse, bien entendu.
Parker arqua un sourcil, visiblement surprise par cette proposition. Une vague de confusion et de méfiance traversa son esprit.
Vous êtes sérieux ? S'interrogea-t-elle, quelque peu abasourdie.
Je suis conscient de tout ce que cela implique, mais j'ai beaucoup réfléchi à la question. Ne vous sentez pas obligé d'accepter Andréa. Seulement, vous êtes brillante et déterminée et je crois qu'en travaillant à vos côtés, je pourrais peut-être vous aider à vous sortir de cette impasse, une bonne fois pour toutes. Dit-il sous un air très sérieux, ses yeux cherchant les siens pour y trouver une réponse.
Je vous avoue que je ne sais pas quoi dire. Vous avez une carrière et je ne voudrais pas…
Skinner ne la laissa pas terminer, il déclara, l'air décidé :
… Ne vous en faite pas pour ça. C'est tout réfléchi. Laissez-moi vous expliquer la situation. En tant que directeur adjoint, je peux avoir accès à des informations sensibles qui pourraient grandement faire avancer cette affaire. Je sais que vous en savez assez sur le sujet pour pouvoir agir, seulement, il vous manque un appui de taille pour pouvoir le faire sans vous compromettre. Je peux être cet appui. Qu'en dite vous ? Proposa-t-il, en la regardant droit dans les yeux, une lueur de détermination dans son regard.
Parker semblait réfléchir à ses paroles. Elle hésita un instant, son esprit tourbillonnant de doutes et d’espoirs contradictoires, avant de répondre :
Je dois admettre que l'idée est très alléchante et j'en serais très honoré, mais…
Vous doutez de ma loyauté, n'est ce pas ? Je comprends. Comme je vous l'ai dit, vous êtes libre de refuser, évidemment. Mais je tiens à vous et il me serait impossible pour moi de trahir votre confiance. Je vous donne ma parole. Dit-il le regard brillant de sincérité.
Parker marqua une pause pesant ses options, puis reprit :
Très bien. Je marche. Je vous fais confiance. Laissez-moi le temps de rassembler tout ce que j'ai sur le sujet et nous pourrons ensuite passer à l'action.
C'est d'accord. Je suppose que vous avez pris vos dispositions pour votre sécurité. Dit-il, tentant de se rassurer.
Oui en effet. Je vous tiens au courant. Dit-elle avec assurance, un nouveau sentiment de détermination se mêlant à son anxiété.
Parfait. Attendez mon appel. Dit-il, un sourire rassurant se dessinant sur ses lèvres.
Parker quitta le bar, son esprit en ébullition. L’offre de Skinner était tentante, mais elle savait que cela impliquait des risques. Elle passa le reste de la journée à rassembler ses pensées et à préparer les documents nécessaires. Parker semblait avoir retrouvé un nouvel espoir grâce à lui. La jeune femme avait encore du mal à comprendre pourquoi Skinner tenait tant à lui venir en aide. Peut-être se sentait-il en partie responsable de tout cela ? Bien que ses projets en seraient bouleversés, Parker espérait avoir fait le bon choix en lui accordant sa confiance, tout en réalisant que la situation dans laquelle elle se trouvait, la dépassé totalement. Parker ne pouvait plus se permettre d'échouer à nouveau. Pas après tout ce qu'elle avait enduré.
Le lendemain matin, Parker reçut un appel de Skinner. Sa voix était calme mais déterminée.
Parker, j’ai sécurisé un lieu de rendez-vous. Pouvez-vous être là dans une heure ?
Oui, comptez sur moi. Répondit-elle, son cœur battant la chamade.
Elle se rendit à l’adresse indiquée, un petit bureau discret en périphérie de la ville. En entrant, elle trouva Skinner déjà installé, entouré de dossiers et de cartes.
Bonjour, Andréa. Merci d’être venue. Dit-il en lui faisant signe de s’asseoir.
On ne peut pas dire que vous avez chômé. Lui fit-elle remarquer en scrutant le lieu.
Bon, j’ai apporté tout ce que j’ai Dit-elle en posant une pile de documents sur la table.
Skinner hocha la tête et commença à examiner les papiers. Après quelques minutes de silence, il leva les yeux vers elle.
Vous avez fait un excellent travail Andréa. J'ignorais que vous possédiez autant d'informations. Avec ça, nous avons une chance de faire tomber le Centre. Dit-il, une lueur d’espoir dans les yeux.
Mais Parker ne semblait pas du même avis. Le doute la submergea tout à coup. Elle demanda, d'une petite voix trahissant son inquiétude :
Je ne suis pas sûr que cela suffit monsieur. Qui voudra croire ça ? L'affaire a été classée, et quand bien même elle serait rouverte, nous aurions à faire face à un autre problème. Monsieur, je ne remets pas en cause vos compétences, seulement, il y a un détail qui pourrait tout faire basculer.
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globmedia · 4 months
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Viol en milieu scolaire
La fondation Keyword4sucess mène le combat
À l’occasion de la deuxième journée de la caravane nationale Brisons les tabous, l’équipe du projet national Brisons les tabous a effectué une descente au collège de la vallée à l’effet de sensibiliser les apprenants sur les risques liés au viol, les méthodes pour éviter de tomber dans les pièges des prédateurs. C’était en présence de Coach Lisa Prudy, fondatrice de Keyword4sucess.
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« Ensemble, brisons les tabous », c’est ce cri de guerre qui a retenti dans les salles de classe du collège de la vallée ce mercredi 22 mai 2024. L’équipe du projet national Brisons les tabous n’a ménagé aucun effort pour mettre les élèves au pas dans ce creuset du savoir. Pilotée par la fondatrice de Keyword4sucess revenue des États-Unis dans l’optique de parcourir l’ensemble du triangle national pour toucher du doigt les réalités, cette dernière a mené un combat de titan ce jour en amenant certaines jeunes filles à avouer qu’elles portent en elles les séquelles du viol et restent jusqu’ici emprisonnées dans un silence total. Un constat alarmant dans un contexte où il se vit dans notre société, une prolifération des cas de viol, de kidnappings de d’assassinats. « J’étais victime de viol parce que je n’étais pas sensibilisée. Je n’étais pas éduquée, je n’étais pas préparée. Je ne savais pas qu’il fallait se méfier de certaines personnes. J’étais naïve, et je faisais confiance à tout le monde. Aujourd’hui je me tiens devant vous pour vous dire d’être préparés psychologiquement. Il y a des prédateurs dehors, sachez que votre corps est un temple qui doit rester sain. Personne ne doit avoir accès à votre temple. Si quelqu’un commence à vous faire des remarques sur votre physique, votre forme et vos lèvres, c’est déjà un harcèlement avec les paroles, il faut ainsi vous méfier et prendre des dispositions pour ne pas tomber dans le piège » affirme coach Lisa Prudy face à une foule d’élèves très concentrés à suivre ces leçons pleines de morale.
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Chimène Wandja, responsable du point focal littoral a ensuite pris la parole dans le même sens pour inviter les élèves à redoubler davantage de vigilance face aux potentiels prédateurs qui se trouvent partout, même dans les milieux éducatifs. C’est avec un sentiment de devoir accompli que l’équipe du projet national brisons les tabous est repartie et compte multiplier des descentes sur le terrain durant toute la période de la caravane nationale brisons les tabous pour toucher un maximum de victimes et limiter les dégâts dans notre société.
Panisse Istral Fotso
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screenwritinggym · 8 months
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Une lettre pour informer Monsieur Mr.Bernard Arnault des agissements de ses concurrents qui essaient de mettre ma demeure sur écoute.
À Bernard Arnault,
Je soussigné Alien Putin, résidant à l'Elsau, Strasbourg, tiens à porter à votre attention une série d'incidents troublants survenus récemment. Je suis dans l'obligation de vous informer des événements survenus chez moi aujourd'hui, entre 13 heures et 15 heures.
Durant cette période, un groupe d'individus se présentant comme des agents de Ophéa est entré de force dans ma résidence sous prétexte de réparer un tuyau dans les toilettes. Ils étaient au nombre de sept, je tiens à souligner ce chiffre précis, sept individus travaillant pour Ophéa ont pénétré ma demeure.
Ophéa, principal bailleur social de l'Eurométropole de Strasbourg avec plus de 20 000 logements. Voici le site de Ophéa: https://www.ophea.fr/
Je me suis vu dans l'obligation de surveiller étroitement ces individus pendant toute la durée de leur intervention. Leur nombre inhabituel pour une simple réparation de plomberie m'a profondément alarmé(e). J'ai été contraint de garder un œil vigilant sur eux afin de prévenir toute action intrusive dans mon domicile.
Il est impératif que la famille Arnault soit informée de cette situation, car je suis persuadé que cette tentative d'intrusion dissimule des intentions bien plus sinistres. Il semble y avoir des personnes malveillantes, peut-être liées à des intérêts opposés, qui cherchent à compromettre ma loyauté envers la famille Arnault.
Je vous demande instamment de transmettre cette information au Président Macron afin qu'il prenne les mesures nécessaires pour mettre fin à ces agissements inquiétants de la part de l'agence Ophéa. Il est primordial de protéger l'intégrité de ma résidence ainsi que ma sécurité personnelle.
Je tiens à vous informer d'une situation délicate qui nécessite votre attention. Actuellement, certains de vos concurrents semblent vouloir utiliser des agents corrompus, apparemment des employés de Ophéa, pour pénétrer dans ma demeure. Leur objectif semble être la mise sur écoute de ma maison. En tant que ALIEN loyal à la famille Arnault, je ressens le devoir de vous informer de ces agissements inquiétants. Il est crucial que vous soyez au courant de cette tentative d'intrusion, car cela pourrait impacter la sécurité et la confidentialité de nos interactions. Votre considération et votre action face à cette situation seraient grandement appréciées.
Je vous remercie de votre prompte attention à cette affaire et je reste à votre disposition pour tout complément d'information ou toute action que vous jugerez nécessaire.
Veuillez agréer l'expression de mes salutations distinguées.
Cordialement,
Votre ami. Alien Putin.
P.S:
En anglais, Google search this:
"How can you find a bug (listening or video device) in your house?"
Read this article "How To Detect Listening Devices In My Home":
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2024 L'année de tous les projets !
Chers lecteurs, chères lectrices,
En ce début d’année 2024, je tiens à vous adresser mes meilleurs vœux de bonheur, de santé, de réussite et de créativité. Que cette nouvelle année soit riche en découvertes, en émotions, en partages et en écriture !
Je vous remercie de me suivre, de me lire, de me soutenir, de me faire part de vos commentaires, de vos suggestions, de vos envies. Vous êtes ma source d’inspiration et de motivation. Grâce à vous, j’ai pu construire des projets en 2023 qui me tenaient à cœur, comme la documentation pour mon prochain roman, l’animation d’ateliers d’écriture en distanciel et la création de nouveaux modules de formation à l’écriture créative.
En 2024, je vous réserve encore plein de surprises, de nouveautés, de défis. Je vous invite à rester connectés, à vous abonner à mon infolettre, à me rejoindre sur mes réseaux sociaux, à me contacter si vous avez des questions, des demandes, des propositions. Je serai toujours à votre écoute, à votre service, à votre disposition.
Je vous souhaite une merveilleuse année 2024, pleine de joie, de rêve, d’imaginaire, d’expression. Que l’écriture soit votre passion, votre plaisir, votre liberté !
Meilleurs vœux,
À vos mots, PPB.
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boutique-matelas-peb · 9 months
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Chers clients,
En ce début d'année, je tenais à vous exprimer mes vœux les plus sincères de bonheur, de réussite et de prospérité.
Je tiens à vous remercier de votre confiance et de votre soutien au cours de l'année écoulée. Votre fidélité a été un véritable moteur pour mon activité, et je suis reconnaissant de pouvoir compter sur vous.
Que cette nouvelle année soit riche en opportunités et en réussite pour vous. Puissiez-vous réaliser tous vos projets et atteindre vos objectifs professionnels et personnels. Que chaque jour soit une occasion de croissance, d'épanouissement et de succès.
Sachez que je suis à votre disposition pour vous accompagner et vous servir au mieux de mes compétences. J'espère pouvoir continuer à répondre à vos attentes et à vous offrir des services de qualité tout au long de l'année à venir.
Je vous souhaite également une excellente santé, car c'est le bien le plus précieux. Prenez soin de vous et de vos proches, et profitez des bons moments de la vie.
Merci encore pour votre confiance et votre soutien. Que 2024 soit une année exceptionnelle pour vous.
Bien cordialement,
Boutique Matelas PEB
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hannianssg · 10 months
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Le vocabulaire du TRAVAIL
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Madame, Monsieur Suite à votre annonce, je vous adresse ma candidature pour... Cordialement Curriculum vitae
1-Elle cite l'annonce et pose sa candidature. 2-Elle résume son parcours et cite ses qualités et compétences. 3-Elle sollicite un entretien. 4-Elle prend congé avec une formule de politesse.
Formation Expérience Langues Divers Connaissances informatiques Sports Loisirs Voyages et séjours à l'étranger
-Suite à votre annonce, je vous adresse ma candidature… Titulaire du BAFA / du baccalauréat / d'un master en, je… -Je maîtrise l'anglais / les outils de bureautique… -Je possède de l'expérience… -Je me tiens à votre disposition pour vous exposer mes motivations lors d'un entretien
Renseignez-vous Entraînez-vous Asseoir au bord de votre siège Faites des relances
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grompf3 · 10 months
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Complosphère et harcèlement : Appel à votre générosité
Depuis des mois, une personne est ciblée par une campagne de dénigrement, de menaces, d'insultes, de harcèlement.
Cette personne avait entrepris de lutter contre la désinformation en ligne, en créant un site consacré au fact-checking, Fact and Furious. Ce qui lui a valu l'hostilité de quelques figures majeures du monde de la désinformation.
Ce que la complosphère francophone compte de pire s'est joint à cette campagne qui a aussi ciblé diverses personnes ayant eu des liens avec le fondateur du site, notamment sa compagne.
Un nouveau pallier a été franchi dans cette campagne.
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Et un appel à l'aide a été lancé. Un appel à votre générosité.
Je tiens à relayer ici cet appel.
Repartagez le lien ci-dessous. Et, si vous en avez les moyens, contribuez.
Vous trouverez quelques explications sur le dernier épisode en date de cette sinistre affaire.
2 petits extraits vidéos, de personnages floutés, sans que l'on n'entende les questions qui leurs sont posées. Voilà
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Ce pourrait être n'importe qui, parlant de n'importe quoi. En soi les accusations ne sont pas nouvelles. Ces histoires de trafic de faux tests PCR avaient déjà été diffusées il y a une année. Mais là, France Soir et son patron prétendent amener des témoignage avec ces vidéos, qui prêteraient à rire si le contexte n'était pas à ce point tragique. Des "témoignages" naturellement destinés aux réseaux sociaux et pas à la justice..
Et c'est avec ces "preuves" que, sur les réseaux sociaux, on attaque encore une fois, non seulement le fondateur du site visé, A Daoust, mais toutes sortes de personnes ayant eu des liens avec lui.
Je vous laisse juge du genre de "preuves" brandies ici :
Voilà.
De tels "témoignages" pourraient être utilisés pour démontrer n'importe quoi, comme le met en évidence ici un twittos, avec un certain humour :
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Et cela dure depuis des mois.
Voilà, donc, s'il-vous-plaît, faites de la pub à cette cagnotte.
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas bien cette affaire...
Je me permets de joindre ci-dessous les liens vers 6 articles remontant aux mois de novembre et décembre 2022, qui vous donneront quelques repères.
Je joins aussi 2 autres liens importants. Le témoignage de la compagne d'A Daoust (et je la désigne comme "la compagne d'A Daoust" parce que c'est à ce titre que sa vie a quasiment été anéantie : parce qu'elle est la compagne d'un homme que certains veulent détruire). Et la première partie du témoignage d'A Daoust lui-même.
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Je m'appelle Zoë Davidson et j'aimerais travailler dans le domaine du son pour le spectacle vivant.
Afin de compléter mon dossier Parcoursup en vue d'intégrer un DN MADE Spectacle spécialité Son, je me suis enregistrée en reprenant la chanson "bellyache" de Billie Eilish.
J'ai enregistré ma voix ainsi que plusieurs instruments et objets : guitare, synthétiseur, des baguettes de batterie pour la caisse claire et un coussin pour la grosse caisse ; tout cela à l'aide d'un micro et d'une carte son.
J'ai ensuite effectué du montage au fur et à mesure, ajusté le niveau et réalisé une équalisation pour chaque instrument. J'ai également ajouté différents effets sur la voix et le synthétiseur.
Je vous remercie de l’attention portée à ma candidature et je me tiens à votre disposition pour toute information complémentaire.
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idevart-blog · 2 years
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Selon une récente étude américaine, 90% des sites e-commerce connaissent un échec après 120 jours d'existence ! Les deux causes principales sont liées à la capacité pour ces nouvelles entreprises de se faire connaître et d’acquérir des clients : 37% des entrepreneurs sondés ont attribué leur échec à l’incapacité à réussir leur marketing digital, et 35% ont mis en cause leur absence de visibilité en ligne. En effet, si les gens ne savent pas que vous existez, ils ne pourront évidemment pas acheter dans votre boutique en ligne. Et pour la plupart des personnes qui démarrent une entreprise en ligne, l’investissement dans le marketing et la visibilité des moteurs de recherche n’est pas aussi robuste qu’il devrait l’être. Quelques causes possibles d'échecs de votre stratégie de communication Méconnaissance de son public cible Il n'y a pas pire scénario que de dépenser son budget en communication en direction du mauvais public cible par manque de préparation. Pour que votre site soit compris par vos visiteurs et vos futurs acheteurs, vous devez parler leur langage. Trouver les bons mots afin de communiquer les bonnes informations au bon moment du parcours d’achat de votre prospect est indispensable. Mauvaise gestion de son budget Un budget se prépare tout comme la définition de votre cible. L’erreur que les jeunes e-commerçants font souvent est de placer tout le budget dans la création technique du site. Votre contenu n'est pas correctement structuré Si votre contenu n’est pas optimisé pour le référencement, votre site e-commerce a très peu de chance de ressortir dans les résultats des moteurs de recherche tels que Google. Vous vous devez de trouver les bons mots-clés sur lesquels votre site e-commerce doit être présent. C’est pourquoi, étudier votre cible et ses problèmes est essentiel. Plus vous comprenez les véritables problématiques de vos acheteurs, plus vos contenus seront appropriés et répondront à ces problèmes. Votre site n’est pas réactif (Ou responsive) Le chiffre d’affaires des achats sur mobile représentaient 11,2 milliards en 2017 soit 16% des 72% d'achats générés par l’e-commerce en France. Si votre site e-commerce ne répond pas aux exigences mobiles, vous perdrez un potentiel de 18% minimum de ventes en ligne. D’autant plus que les acheteurs ont tendance à chercher, se renseigner sur mobile bien avant leur acte d’achat. Votre site internet se doit donc d'être réactif. Un terme que Google prend à cœur. Par ailleurs, Google n’aura aucun scrupule à vous pénaliser et à baisser votre position dans ses résultats de recherche.   Conclusion J'ai déjà fait quelques articles sur le sujet du e-commerce dont un qui parlait notamment de l'énergie et de l'implication qu'il y aurait à avoir si vous vous lanciez dans l'aventure. Si après ces avertissement vous aimeriez quand même lancer un business de vente en ligne, peut-être devriez-vous penser à l'univers du dropshipping ? Quoiqu'il en soit, je me tiens à votre entière disposition pour vous aider à lancer votre boutique en ligne ou site de dropshipping que je vous propose de réaliser à moins de 500€ incluant le serveur du site pour la première année (Avec l'optimisation de votre site pour le référencement).
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scienceoftheidiot · 3 years
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Je vais quitter mes atours de personne agréable et de scientifique éclairée et de zeteticienne tendance tolérante et bienveillante (je suis zet depuis 2008, ne m'amalgamez pas aux connards de droite d'intérnet merci) pour 2 min et avoir une réaction épidermique parce que des fois moi aussi j'ai le droit :
Concernant le vaccin les restrictions et les gens qui se réveillent maintenant parce que oh non on pourra plus aller au restau alors qu'avant ils voulaient pas se faire vacciner pour x ou y raison voire souvent juste par flemme (et les "phobiques" aussi. Mon frangin est phobique. Il a fait ses deux doses. Il en a chié. Il les a faites.)
Vous êtes des petites merdes
C'est bien de changer d'avis et d'aller se faire vacciner hein faites le c'est pour ça que ce gouvernement de petites bites vous balance des restrictions, et je dis gouvernement de petites bites parce que s'ils portaient leur couilles ils les poseraient sur la table ET RENDRAIENT ENFIN CE VACCIN OBLIGATOIRE (et gratuit pour les pays en voie de développement mais ceci est une autre histoire)
Mais vous êtes quand même des petites merdes des raclures de fond de chiottes
Vous faites partie du problème vous êtes ceux qui causent la 4eme vague vous êtes ceux qui donnent de la force aux antivax purs et durs qui se croient tout permis
Vous les "indécis" alors que vous avez tout à votre disposition et des tonnes de gens comme moi qui se plient en 4 pour vous proposer de vous expliquer, 40 fois de suite s'il le faut, comment ça marche, d'où viennent les vaccins, quels sont les vrais risques, etc
J'y ai perdu des heures IRL et sur le net. Je me suis faite insulter. J'ai eu une menace de mort. Bah voilà tiens je vous la rends: allez crever
Vous la "majorité silencieuse" de mes couilles
Vous qui avez peut être tué des gens parce que "c'est qu'une petite grippe"-à partir de mars 2020 cette phrase n'a plus eu aucun sens pourtant vous continuez à nous la sortir
Vous qui maintenant chouinez devant les restrictions annoncées
Je vous vomis
.
Les autres qui avaient prévu de se faire vacciner cette semaine avant tout ça, je vous fait des câlins. Peace.
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th3lost4uthor · 3 years
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Les nouvelles expériences d’une vie sans fin
Chapitre 2 
I2.eT-/5t : le prisonnier médite
Partie 1
           À l’aube de cette nouvelle journée, alors que les Tofus chantaient le lever de l’astre solaire, l’humeur n’avait pourtant rien de ces matinées embrumées par les affres du sommeil. Bien au contraire, autours des larges tréteaux sculptés de Pouplier, sur lesquels avaient été disposés une multitude de fruits frais, brioches vanillées et pains de seigle, les premiers levés étaient aussi alertes qu’un Écaflip en pleine partie de poker. Il aurait pu s’agir d’une assemblée des plus banales auprès de la Cour dont ils s’étaient faits les gardiens involontaires… La large coiffe crème, aux lacets de cuir et aux boutons de cuivre, attablée à leur extrême opposé, mais dont les discrets soubresauts ponctuels, capturait, du coin de l’œil, l’attention de tous, était là pour leur rappeler les récents évènements. Qilby avait été l’un des derniers à arriver, la couturière royale s’excusant des ultimes retouches nécessaires qu’elle avait dû pratiquer en urgence. Après un bref regard évaluateur derrière de larges cercles de verres flambant neufs, l’Éliatrope ne leur avait présenté qu’un modeste hochement de la tête, avant de trouver place aux côtés de Yugo… Avec cependant une place de distance.
         Les aventuriers, ainsi que le prince Armand et Phaeris, avaient examiné la nouvelle apparence de leur « invité », scruté la moindre expression. La tenue fraichement confectionnée était assez proche de son modèle original, à la différence d’une ample mante brune-orangée attachée à l’épaule droite par une très sobre fibule en argent, et qui dissimulait ainsi ingénieusement le membre manquant du scientifique. Personne ne sembla remarquer que les cornes de son couvre-chef étaient à présent plus basses, ou n’en fit pas montre. Seul Yugo les contempla avec un air proche de la culpabilité. Autrement, il était heureux de voir qu’avec une nuit de repos ainsi que des habits frais, Qilby apparaissait déjà en meilleure forme. Les cernes étaient moins profonds, quoique toujours présents, ses cheveux avaient été débarrassés de leur graisse par des ablutions matinales, et la fatigue avait cédé sa place à une inspection méthodique dans son regard. Ce dernier élément, s’il témoignait du retour d’un esprit perçant et rusé, n’avait rien de rassurant pour les Douziens lui faisant face… Enfin… En omettant le terrible défi que représentait…
 « Hum… Qilby ? Si tu veux, je-… » Tenta Yugo, se rapprochant même de l’individu désigné.
« Non, » Un ton sec, tranchant, à la différence de la lame qu’il tenait. « Je n’ai pas besoin de ton aide et encore moins de ta pit-... »
           Une tentative désespérée de beurrer une tartine d’une seule main, et la malheureuse se retrouva expulsée à l’autre bout de la pièce. Ce qui déclencha l’hilarité du Iop et d’Adamaï, tout en éveillant des pouffements, allant de mesquins à compatissants, chez les autres.
 « Whahahaha : magnifique vol plané !! » S’étouffa presque le dragonnet avec le propre contenu de son assiette. « On a perdu de son agilité à manier une lame ?
- En même temps, héhé, sa main droite doit compenser pour la g- ! »
           Dite main s’empara alors vivement de la fourchette de bois laissée à sa disposition, avant de la faire tourner habilement… Et de la planter de toutes ses forces dans une malheureuse  mangue… Dont le jus parfumé s’écoula lentement sur la chair dorée.
 « Un commentaire, Messire Tristepin ? » Susurra Qilby avec, sur le visage, le sourire le plus innocent qu’il pouvait façonner.
« N-Non, j-je… » Il déglutit lourdement à la vue du scientifique arrachant de ses canines un morceau du fruit. « J-juste une b-blague avec Adamaï : p-pas vrai, A-Ad’ ?
- Vraiment ? » S’enquit l’Éliatrope, aussi mielleux que la plus douce des pâtisseries trônant sur les plateaux d’ébène. « Merveilleux, j’apprécierai beaucoup de l’entendre !
- Qilby… » Gronda Phaeris, la mâchoire serrée et les griffes presque apparentes.
« Enfin, voyons mon cher Phaeris, ne souhaites-tu donc pas, toi aussi, t’initier à l’humour de ces nouveaux peuples ? » Une lueur de folie dans le regard s’ajouta au rictus mauvais. « Par exemple : quelle différence il y-a-t-il entre un Pandawa et un Sadida ? »
 L’un finit en bière, l’autre sent le sapin ?
Ils finiront tous les deux par manger les Pissenlions par la racine ?
Vider sa chope et éradiquer la mauvaise herbe ?
           Tous se figèrent, les yeux rivés vers la famille royale présidant l’assemblée. Tellement de possibilités, de chûtes morbides… Et de calamités diplomatiques en vue ! Ce plan ne pouvait-il attendre plus d’une journée avant d’échouer complètement ?
 « Hum, je ne crois pas que cela soit une bonne id-…» Tenta d’intercepter Yugo.
« Tout dépend de l’état d’ivresse du premier ! » S’exclama le plus âgé.
           La Dimension Blanche n’aurait pas pu offrir un silence aussi parfait que celui-ci. Qilby, tout sourire, en profita pour prendre quelques gorgées de thé vert, tandis que tous cherchaient l’explication tordue de cette devinette. Celle-ci provint du Roi en personne, qui fit retentir un rire généreux :
 « Par Sadida, c’est bien sûr ! » Devant l’incrédulité générale. « La réponse se trouve dans l’expression « avoir la gueule de bois » : cela fait référence à notre constitution naturelle, tout en jouant avec l’ébriété notoire de nos chers voisins ! Bel essai, Messire Qilby !
- Je vous remercie, Votre Majesté. » Le breuvage une fois de plus porté aux lèvres, détaché. « Bien que les meilleures plaisanteries ne nécessitent pas d’explications en temps normal… J’espère avoir l’occasion de m’y perfectionner… »
           Yugo, à peine remis de cette quasi-catastrophe, se redressa subitement : avait-il bien entendu ? Avait-il compris ce que- ?
 « L’heure n’est pas à l’amusement et Phaeris se doit de rappeler que le Traître doit encore expliquer comment l’une de ses créatures s’est retrouvée en liberté, et ce aussi loin du Zinit. » Coupa sèchement le vieux dragon.
           L’autre se défit presque instantanément de sa bonne humeur apparente. Ses yeux furent rivés sur Phaeris en un battement de cils, ses traits prirent un ton grave, sérieux, presque féroce, et, pour les plus observateurs, la jointure de ses phalanges pâlit contre la tasse de terre cuite.
 « Comment cela… « l’une de mes créatures » ? »
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         Les premières révélations houleuses avaient rapidement été déplacées à l’écart de toute oreille indiscrète imaginable, le Roi Sadida ayant conduit ses invités dans ce qui faisait autrefois office d’antichambre des appartements de la défunte Reine Sheran Sharm. Selon lui, nul serviteur ou membre autre que la famille royale n’était admis en ces lieux, ce qui facilita grandement le discours de Maître Joris. Ce dernier narra au scientifique l’exact récit qui l’avait mené jusqu’à la Cour des Sadidas : les meurtres répétés, la bête insaisissable, la terreur des villages… Il prit néanmoins soin d’omettre les tensions entretenues avec la nation de Sufokia suite à la dernière apparition de l’Éliatrope et du Cube… Non pas qu’il s’imaginait que l’homme, décrit comme un habitué des manigances politiques, ne puisse les déduire par lui-même : une simple histoire de monstre n’aurait pas réellement nécessité son intervention personnelle, mais l’on n’était jamais assez prudent…
         Toutefois, l’émissaire bontarien fut quelque peu surpris de constater la profonde réflexion dans laquelle s’état emmuré leur « invité » à la fin de son discours. Paupière close, visage fermé et main lissant méthodiquement sa longue barbe, il semblait perdu dans ses réflexions… Ses souvenirs.
 « En conclusion, et si je m’en tiens à votre description des faits, Maître Joris,… » Finit-il par répondre. « …Vous êtes actuellement confrontés à une créature dont vous ignorez absolument tout, qui menace votre nation, ce depuis des semaines, et contre laquelle la force d’une armée entière n’a pu que s’avouer vaincue… » Acquiescement. « Et donc, dans la plus pure des logiques, vous avez ultimement décidé de faire appel au vieillard dérangé, manchot, connu comme génocidaire et dont la tête doit surement être mise à prix dans bon nombre de vos cités, en vous convainquant que je pourrai vous être d’une quelconque aide ?
- Connaissez-vous la nature de cette bête ?» Rétorqua Maître Joris, imperturbable. « Plus que tout, savez-vous comment la vaincre ? Le pouvez-vous ?
- Oui, encore oui, et… Non. » La salle s’assombrit.
« Comment ça : non ?! » C’était Adamaï. « Si tu connais la manière d’attraper ou de tuer cette chose, pourquoi ne pourrais-tu pas le f- ?
- Car je ne suis pas de taille à rivaliser avec elle, tout simplement. » L’aveu figea son dégoût pour sa propre faiblesse. La chaîne, visible sous sa tunique légère, rayonna d’une aura malsaine. « Je demeure avant tout un chercheur : me battre n’est pas ma spécialité…
- Cela ne t’empêche pourtant pas d’y avoir recours quand cela t’arrange. » Argua Phaeris. Si l’autre pris ombrage du commentaire, il ne le fit pas paraître.
« D’après le portrait dressé par vos éclaireurs, la créature qui sévit actuellement dans vos campagnes, Maître Joris, doit être un Nemerus Phylarium Felisis.
- Un Nepha-quoi ? » Retentit l’interrogation de Tristepin.
- « Félidé des Sylves », « Félin Sylvestre », ou dans sa forme abrégée, un Nephylis… » Reprit Qilby avec un léger soupir. « Un fauve dont la constitution même représente une formidable illustration du concept de symbiose. En effet, les bois portés sont en réalités indépendants de la créature elle-même, un hôte végétal fusionnant avec le système nerveux de l’animal à la naissance, le défendant et effrayant ses adversaires en échange d’éléments nutritifs. L’empoisonnement de vos terres leur est également dû … Si ce n’est les Nephylis, ils ne parviennent pas à survivre avec d’autres espèces : la décomposition des rhizomes immatures lors du toilettage ou du renouvellement des bois, en l’absence d’organisme compatible, dégage des vapeurs extrêmement toxiques. Quant aux larges cercles bruns sur son pelage, ils lui permettaient de se fondre dans les hautes cimes des arbres aux feuillages dorés de sa planète d’ori-…
- Nous ne sommes pas là pour une séance d’étude, Qilby. » L’arrêta Phaeris, à la légère déception de Yugo, qui était envouté par la perspective de mondes si différents du sien.
« Qu’en est-il de la manière de vaincre ce « Nephylis » ? Pourquoi ne parvenons-nous pas à l’arrêter ? » Poursuivit Maître Joris, également frustré de ne pas pouvoir en connaître davantage sur leur ennemi.
« Sans vouloir dévaloriser vos hommes, j’image certainement, à l’image de certains ici présents, que ceux-ci se sont lancés tête baissée dans la bataille, hum ? » Un regard en coin au Iop de la troupe révéla une naïveté totale aux insinuations. « Or, il s’agit là exactement de ce que la créature désire… Les Néphylis constituent une espèce extrêmement intelligente, l’une des plus développées que j’ai eu la chance d’étudier lors de nos voyages krosmiques : leur apparence vous suggère de les attaquer au niveau du flanc et de ses organes vitaux, comme n’importe quel animal à sang chaud, mais si vous procédez ainsi, alors vous êtes certains de vous faire embrocher vivant par son symbiote végétal… » Ses yeux se perdirent dans le vague. Brièvement. « En outre, si vous parveniez à lui arracher, ne serait-ce qu’un minuscule morceau de chair… Alors celui-ci donnerait presque instantanément naissance à un second Néphylis, leur système de reproduction se basant essentiellement sur la scissiparité… » Devant l’incompréhension générale. « Par clonage… Un cas unique pour des individus de cette taille et corpulence, mais après tout, la nature est pleine de surprises lorsqu’il s’agit de survivre… 
- Bien, bien... ! » Approuva le Roi Sadida. « Nous voilà au moins avec de nouvelles informations concernant notre fauteur de troubles ! Toutefois, concernant cette question de la duplication, n’auriez-vous donc pas une solution ?
- Le Roi a raison Qilby ! » Déclara Yugo en se rapprochant de son aîné. « Si nous sommes parvenus jusqu’au Monde des Douzes, c’est que nous avons dû réussir à les maîtriser, ou, du moins à ne pas nous faire dévorer en entier… Tu as bien dû découvrir un point faible en les observant ? »
 « Tu as dû… »
« Il faut que tu… »
« As-tu enfin, ou déjà… »
Pourquoi Déesse devait-il toujours être celui
qui était responsable de tout ?
 « Oui, Yugo, après plusieurs mois sur cette planète… » Enfermé dans mon laboratoire, nuit et jour, la rage au cœur après que Nora et Efrim aient été- « … j’ai pu découvrir qu’en extrayant la sève du végétal symbiote et en en concentrant les éléments basiques, l’effet s’en trouvait inversé : un poison, temporaire certes, mais largement suffisant pour déstabiliser la bête et en profiter pour lui arracher ses bois… Ces derniers étant profondément enracinés dans l’encéphale et la moelle du Néphylis, aucune des deux parties ne survivra à l’amputation…
- Et… Comment l’obtenir ?
- Autrefois, j’avais pu récupérer des échantillons sur des spécimens décédés de vieillesse ou de combats rivaux. Aujourd’hui… » Il prit une profonde inspiration. Il savait que cela n’allait pas être facile. « Aujourd’hui il faudrait que je puisse retourner à mon laboratoire sur le Zinit afin de récupérer quelques-uns de mes manuels et ouvrages, ainsi que des préparations en réserve…
- Bon, eh bien c’est décidé : direction le Mont Zi-… ! » S’exclama Adamaï.
« Je refuse. »
           Comme il s’y attendait, sa remarque ne fut pas accueillie paisiblement, et bientôt, confrontations et menaces reprirent le dessus. Cependant… Les reflets d’une douce matinée ravivaient une impression bien plus vive, bien plus douloureuse… Il ne pouvait pas permettre qu’un tel acte ne se reproduise.
 « Maître Joris… » Remarqua-t-il enfin. « L’anneau que vous m’avez présenté ne provient pas de mon laboratoire, et pour cause, les spécimens y ét-, hum, y ayant été entretenus étaient déjà identifiés par les inscriptions portées par leurs caissons de stabilisation.
- Mais si cette bête s’est bien enfuie du Zinit… » Tenta Ruel. « … Alors cela signifie que-
- À sa construction, et au fil de notre traversée du Krosmoz, d’autres salles d’étude ont été conçues. » Cette fois-ci en fixant Phaeris, méfiant. « L’une d’elle fut spécifiquement définie afin d’abriter des individus vivants... Ainsi que leurs écosystèmes… Dans la mesure du possible. Ce sont ces bagues, conçues par Chibi et Grougal, qui permettaient de les recenser tout en assurant une vérification constante de leur état vital.
- Peut-on alors savoir pourquoi vous avez décidé de conserver un Néphylis en vie, sachant que ces derniers représentaient une menace, même pour votre peuple ? » S’enquit Maître Joris, suspicieux.
« Je n’avais pas d’autres choix ! » Grommela l’autre. « Cette réserve avait pour but premier de limiter la destruction des mondes dans lesquels nous puissions le Wakfu nécessaire au décollage du Zinit, mais le second, était également de maintenir l’Éliacube approvisionné en plein vol. Nous pouvions passer plusieurs mois sans croiser la moindre planète compatible… Et cet artefact de malheur consomme une quantité astronomique d’énergie pour ne serait-ce que produire de l’eau chaude ! » Des tics nerveux se faisaient visibles, la semelle battant la poussière à un rythme frénétique. Réviviscences de pas pressés dans ces couloirs d’acier aux lumières vacillantes. « Dès notre première découverte, nous nous sommes alors mis en quête d’un moyen de « cultiver » ce Wakfu qui nous faisait tant défaut, et c’est à ce moment précis que l’idée d’une réserve artificielle nous est venue : en prélevant les flux émis naturellement par tous ces êtres vivants via des capteurs inédits, elle deviendrait auto-suffisante tout en supplémentant les batteries du Zinit… ! Quant à moi, il s’agirait d’une fantastique opportunité pour-…
- T’adonner à tes expérimentations tordues ! » Conclut Phaeris, les crocs découverts.
« Je ne vous laisserez pas détruire un autre joyau de notre civilisation pour la simple raison que j’en suis le fondateur !! » Cracha Qilby, les yeux brillants de rage. « Je refuse de voir Zeden être réduite en cendres !
- Peur de voir ton terrain de jeu disparaître, Traître ?! «  Rétorqua l’autre, brasier grondant dans ses poumons. « À moins que cela ne soit celle que l’on n’en vienne à oublier jusqu’à ton existence de crimes ?!
- Si tel était le cas, alors je te laisse le soin de détruire chacune de mes inventions ! » Ricana presque le premier. Vaste désignation de la main. « Explique donc à toutes ces personnes pourquoi tu les priveras de leurs Zaaps, de leur fontaines de Wakfu, de leurs- !
-… Zeden ? »
           Les deux adversaires détournèrent leur attention de ce duel pour fixer la petite coiffe turquoise. Ils en avaient presque oublié leur auditoire dans cet accès de pure rancœur. Qilby finit par se rasseoir, bien que toujours contrarié et sur la défensive, tandis que Yugo capta du coin de l’œil, et avec soulagement, que le dragon avait relâché son étreinte sur le Cube qu’il tenait habilement dissimulé derrière lui.
 « Zeden est le nom donné aux entrepôts SPR-594 à 603, les plus proches du cœur du Zinit. » Reprit l’aîné. « C’est là que fut instaurée la réserve naturelle.
- Zeden… Car il appartient au Zinit ?
- Haha, déduction intéressante, princesse ! «  Sourire nostalgique. « Mais non… Nous devons ce nom à notre petite Mina, qui venait alors à peine de renaître… Je me souviens de sa joie en découvrant ce lieu unique et créé de toutes pièces, mais aussi la perspective d’en faire un jardin où elle et son frère, Efrim, pourraient s’amuser durant les longues heures de vide spatial. Elle ne devait avoir que quinze ou vingt cycles à l’époque, l’équivalent pour vous autres de trois ou quatre années d’âge douzien, lorsque j’acceptai pour la première fois de l’y emmener ; il faut dire qu’elle n’avait cessé de me harceler sur le sujet depuis plusieurs semaines. Chibi et moi-même n’avions pas réellement songé à un nom spécifique : c’était un simple domaine d’étude, un noyau d’énergie. Mais en découvrant cet endroit, Nora ne put contenir son émerveillement, pour le génie de son peuple, certes, mais aussi pour la faune et la flore y résidant, tout simplement. » Un raclement de gorge, pouvant être mépris pour un rire discret. « Zeden n’est en réalité qu’un néologisme dû à son jeune âge… Le « merveilleux Éden » que je tentais de lui expliquer s’est vite transformé en « Zeden », et ainsi, par habitude et force des choses, demeura.
- Voilà une histoire très touchante, mais sauf votre respect… » Questionna le prince Armand, clairement dubitatif face à toutes ces révélations. « Peut-on réellement croire qu’après ces millénaires d’absence, cette réserve soit toujours opérationnelle ? »
« Oh, elle l’est, croyez moi : les espèces en son sein ont très probablement évolué depuis sa dernière ouverture, mais, comme expliqué précédemment, le système de maintien des écosystèmes a été conçu pour se régénérer de lui-même grâce à l’énergie dégagée par ses résidents. Les espèces nous intéressant devraient toujours s’y trouver, et sinon, alors leurs descendants.» Plus grave. « Même après la destruction du laboratoire principal, les dégâts ne devraient pas s’être étendus aussi profondément dans les entrailles du vaisseau. »
           Son regard se posa sur Yugo, conscient que les autres n’entendraient pas sa plainte. Le plus jeune avait déjà fait montre de plus de tolérance à son égard, et si cela lui permettait de préserver son dernier héritage, il ne s’en priverait pas.
 « Enfin, pour revenir à mon premier point… S’il s’agit simplement pour vous de prendre ce qui vous intéresse, avant de calciner le reste, alors je-…
- Nous n’y toucherons pas. » Affirma Yugo, avant de lancer un bref regard à Phaeris. « À moins que Zeden ne se révèle une réelle menace pour le Monde des Douze, il n’y a aucune raison que nous la détruisions... » Plus bas. « Je le jure.
- Tss…» Rechigna le scientifique. Il s’agissait sans doute de la plus grande assurance qu’il pourrait obtenir de toutes manières. Tergiverser davantage ne risquait pas de lui attirer davantage de sympathie de la part des autres membres, alors… « Soit, dans ces conditions, j’accepte de vous guider à travers le Zinit pour récupérer ce dont nous aurons besoin pour préparer la solution. Maître Joris, concernant vos habitants, il existe également quelques astuces et dispositifs qui permettraient de tenir le Néphylis à l’écart… Je ne vous garantis pas une réduction drastique du nombre de victimes, mais cela aura le mérite d’alléger les comptes…
- Très bien, la nation de Bonta vous remercie, Qilby. » Salua sobrement l’émissaire. « J’allais d’ailleurs envoyer une missive à la cité-mère afin de les avertir de l’avancée de mon enquête, et de ce fait, du voyage qui nous attend. À ce propos…
- Ne vous en faites pas, mon cher, nous allons nous occuper du nécessaire ! Vous savez où se trouve le Tofulailler ainsi que notre maître messager : je vous laisse y accompagner Sir Qilby pour compléter votre rapport ! » Poursuivit le Roi Sadida. « Et je suis plus que certain que nos aventuriers ici présents se feront une joie de participer aux préparatifs de leur prochaine excursion !
- Tout à fait, Votre Majesté. » S’empressa de répondre Évangéline
« Vous pouvez compter sur nous ! » Renchérit Ruel, souriant à son fidèle Phorreur.
           Alors que la troupe s’apprêtait à se dissoudre à travers les vastes galeries boisées, une main se leva néanmoins.
 « Oui, Messire Tristeprin ?
- Hum, juste pour être sûr d’avoir tout compris… « Sylvestre »… Ça n’a rien à voir avec le prénom de la bestiole, on est d’accord ?! »
           Le soupir unanime, mi- exaspéré, mi- amusé, lui faisant écho ne répondit malheureusement pas à sa question…
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iloveyuiknow · 3 years
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Request are closed
(FR) Bonjour à tous 🤍  J'espère que vous allez bien Petit billet informatif afin d'annoncer que je ferme temporairement les demandes de crackship. J'ai plusieurs raisons à cette décision dont je vous exposerai en deux principales: 
Premièrement, jusque là, j'arrivais à maintenir moins d'une dizaine de demandes de crackship mais depuis quelques publications, les commandes ont explosé. Je ne veux pas faire vos demandes à la va-vite et je préfère donc fermer les demandes pour pouvoir répondre à ces demandes là avant tout. De plus j'ai mes propres crackship personnels (ou ceux qui m'inspirent de forums sur lesquels je suis) et que je réalise en plus des commandes.
Deuxièmement, et c'est pour moi la raison la plus importante:  je tiens à repasser sur toutes mes publications précédentes afin de créditer les créateurs des gifs que j'ai utilisé dans mes crackship. J'ai conscience que je n'arriverai peut être à pas à retrouver tout le monde et que certaines resteront sans crédit car j'ai trouvé mes ressources dans des gifs hunt ou dans des endroits un peu obscurs et oubliés de mon ordinateur. Mais pour ceux que je suis en capacité de créditer je tiens à le faire.
Ce travail va me demander un petit moment donc je compte sur votre compréhension. On sous-estime beaucoup trop le travail que représente la création d'un gif (pour la fluidité du gif, sa coloration, ...). Tout ça c'est beaucoup de boulot et ces personnes mettent gracieusement leur travail à disposition, il me parait donc normal qu'elle reçoivent les remerciements qu'elles méritent. De plus, je trouve que ça porte à confusion quand au travail que je fais moi et qui, certes, demande du temps, mais serait impossible sans ces ressources. A cette heure je ne peux pas dire dans combien de temps je vais rouvrir les demandes. J'espère pouvoir faire tout ça avant la mi-aout mais j'ai aussi des raisons personnelles qui peuvent retarder le tout. Je vous remercie encore pour l'intérêt que vous portez à ce que je fais : recevoir vos messages et vos demandes sont une source de fierté et de satisfaction pour mon moi qui s'est, un jour, décidé à tenter l'expérience du crackship. 
On se retrouve très vite, 
(ENG) Hi everyone 🤍 I hope you are well
Just a quick note to announce that I am temporarily closing the crackship requests. I have several reasons for this decision, two of which I will explain to you: 
Firstly, until now, I was able to maintain less than a dozen crackship requests but since a few publications, the orders have exploded. I don't want to rush your requests and I prefer to close the requests to be able to answer them first. In addition I have my own personal crackship (or those inspired by forums I'm on) that I make in addition to the orders.
Secondly, and this is the most important reason for me: I want to go back over all my previous publications to credit the gifmakers of the gifs I used in my crackship. I know that I may not be able to find everyone and that some might remain uncredited because I found my resources in gifs hunts or in obscure and forgotten places on my computer. But for those that I am able to credit I want to do so. This job will take me a while so I'm counting on your understanding. 
We underestimate too much the work that represents the creation of a gif (for the fluidity of the gif, its coloring, ...). It's a lot of work and these people put their work at our disposal for free, so it seems normal to me that they receive the thanks they deserve.  Furthermore, I find it confusing when it comes to the work that I do, which certainly requires time, but would be impossible without these resources. 
At this time I can't say how long it will take to re-open the request. I hope to be able to do all this before mid-August but I also have personal reasons that may delay it. 
I thank you again for your interest in what I am doing: receiving your messages and requests is a source of pride and satisfaction for my younger self who, one day, decided to try the experiment of “crackshiping”. 
See you soon
Insomnia ❤
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