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#jeunes gens modernes
photo-baldo · 2 years
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Diapositive Ektachrome au flash electronique de 1978 très After-Punk-Jeunes-Gens--modernes.
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aurevoirmonty · 8 months
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« Rien n’est moins idéaliste et moins religieux que le monde télévisé. Mais jamais un « modèle de vie » n’a vu sa propagande faite avec autant d’efficacité qu’à travers la télévision. Le type d’homme ou de femme qui compte, qui est moderne, qu’il faut imiter et réaliser, n’est pas décrit ou analysé : il est représenté ! Le langage de la télévision est par nature le langage physico-mimique, le langage du comportement ; qui est donc entièrement mimé, sans médiation, dans la réalité , par le langage physico-mimique et par celui du comportement : les héros de la propagande télévisée – jeunes gens sur des motos, jeunes filles à dentifrices – prolifèrent en millions de héros analogues dans la réalité. »
Ecrits corsaires, Pasolini.
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kittynannygaming · 19 hours
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[Nuit de l'Écriture] 21/09/2024
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Apparemment, ce coup-ci, ce fut une spéciale Dead Boy Detectives et plus particulièrement Charles Rowland. AO3 ou ⬇️ (Very Short Stories, you can use Google Translation if French is not your language)
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NUIT DE L’ÉCRITURE 21/09/2024
01- Ce n’est pas humain – Dead Boy Detectives – 246 mots
« Ce n’est pas humain ! » se plaint Charles, exténué. Edwin le regarda, exaspéré
« Évidemment, c’est un Chien de Garde des Cimetières, Charles. »
« Oï ! Tu sais ce que je voulais dire ! Et ce n’est pas un Chien de Garde des Cimetières. C’est un Chiot de Garde. » Charles regarda le chiot au pelage noir qui était assis à ses pieds. « Qui c’est le gentil toutou ? Qui c’est ? »
« Tu sais qu’on ne peut pas le garder ? » Charles prit le chiot dans ses bras et colla son visage à celui du canidé.
« Mais regarde comme il est mignon… » Edwin était à deux doigts de craquer mais il ne pouvait pas.
« Un compromis alors. Nous viendrons le voir tous les jours si notre emploi du temps le permet et tu pourras jouer avec lui. »
« Génial ! Tu entends ça Max ! On va venir te voir tous les jours ! Mission accomplie ! Qui sait, peut-être Edwin trouvera un compagnon à son goût parmi tes amis, hein ? »
« Ses… amis ? » Edwin se retourna vers la direction que Charles pointait avec sa tête. Des dizaines, des CENTAINES de chiots et chiens en tout genre se tenaient là. « Gentils chiens ? » bafouilla t-il.
Et là, se fut la débâcle. Edwin fut littéralement assaillit par une armée de chiens cherchant les câlins et Charles ne fit que s’esclaffer.
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02- Ta réalité n’est pas la mienne – Dead Boy Detectives – 167 mots
Kashi était un modèle de patience et il trouvait la plupart des gens qu’il avait rencontré amusants. Mais cette femme au caractère bien trempé le faisait rire intérieurement.
« Pourquoi tant de rage ? Rien de bien ne vous arrivera dans cet état. »
« Je dois sortir de ce fichu poisson et retourner trouver ces petits morveux pour qu’ils puissent aller où ils sont censés être. »
« Est-ce que ça troublerait à ce point l’Univers s’ils restaient où ils sont ? »
« Chaque chose à une place dans l’Univers, chaque personne une place dans l’au-delà. C’est la réalité des choses. »
« Ta réalité n’est pas la mienne. L’Univers ne va pas succomber et disparaître parce que deux âmes ont décidé de rester sur Terre. » La Veilleuse de Nuit de l’Au-Delà ne répondit pas. Chaque chose avait une place, chaque âme avait un au-delà, c’était le mantra qu’elle se répétait depuis son décès. Si elle n’avait même plus ça, que lui restait-il?
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03- Rencontre avec une divinité – Dead Boy Detectives – 193 mots
Crystal était surprise. Devant elle se tenait Lilith. Après Port Townsend, elle s’était renseigné autant qu’elle put sur elle. Lilith, la première épouse d’Adam, soit-disant une tueuse d’enfants selon les religions traditionnelles. Une déesse de l’indépendance, LA déesse selon la Wicca Moderne.
« En quoi puis-je vous aider ? » demanda la voyante en laissant entrer la divinité.
« Ton plaidoyer, à Port Townsend, a été assez révélateur pour moi. Les temps ont changé. J’ai décidé d’être plus pro-active. Mais j’aimerais quelqu’un qui puisse m’aider dans ma quête. Quelqu’un qui comprenne ce qu’est être une femme à cette époque. » Crystal fit de gros yeux.
« Vous voulez dire, moi ? Vous êtes sûre ? » Lilith sourit.
« Oui. Et en échange, je m’occuperais de ce petit démon dans ton esprit. »
« Vous pouvez l’enlever ? Et il ne fera plus de mal à personne ? » Lilith émit un petit rire.
« N’as-tu pas entendu ? Je suis la mère des Démons et j’en laisse 100 mourir chaque jour. Quelle terrible mère je suis. » Crystal se demandait si elle allait regretter cet accord. L’avenir lui ferait voir que non.
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04- Le cycle de l’abus – Dead Boy Detectives – 289 mots
Charles Rowland n’avait pas toujours été le «muscle de service». En fait, en voyant les photos de ces jeunes années, Charles était un adorable bambin toujours souriant, gentil comme pas deux et absolument contre toute forme de violence.
Puis, vers l’année de ces 8 ans, tout changea. Son père avait perdu son emploi dans l’industrie et il fut très difficile pour lui de retrouver un emploi dans ce secteur. Sa mère avait eu plus de chance, travaillant dans une cantine scolaire. Son père avait donc commencé un cycle infernal d’abus, d’abord verbal puis physique.
Charles avait donc dû apprendre à encaisser les coups, puis à en donner. Il aurait pu devenir abusif, comme son père mais Charles ne voulait pas être comme lui. Alors, ses poings, c’était contre d’autres brutes. Jamais contre des innocents. Cela lui a valu de mourir à 16 ans, mais cela en valait la peine.
Cela en valait la peine quand il vit sa mère finalement dire à son père ses 4 vérités. Ils resteraient mariés mais l’amour était mort en même temps que leur fils. Cela en valait la peine quand il rencontra, 10 ans après, le jeune pakistanais avec sa fille, son premier enfant, qu’il avait nommé Charlotte. Le jeune homme était un professeur et avait fondé une association qui venait en aide aux enfants victimes d’abus, que ce soit à la maison ou à l’école.
Edwin ne comprit pas la raison pour laquelle Charles l’enlaça pendant 5 bonnes minutes après être revenu de sa sortie mais il n’allait pas s’en plaindre. Il n’apprendrait la vérité que bien plus tard. Le cycle de l’abus était vicieux mais il pouvait être rompu. Un jour, peut-être, l’abus ne serait que de l’histoire ancienne.
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05- Partir ou rester - Dead Boy Detectives - 262 mots
Partir avec la Mort ou rester avec le garçon qui lui avait permis de vivre ses dernières heures le plus gentiment possible ? Pour Charles, la question ne se posait même pas. Edwin était un garçon socialement maladroit qui avait probablement dû se débrouiller seul la majeur partie du temps tout en essayant de se conformer à une façon d’être qui n’était pas la sienne. Bref, Edwin avait besoin de Charles. Et en plus, il n’était pas vraiment pressé d’aller dans l’au-delà. Il n’était pas vraiment croyant (quelque soit la religion) donc les promesses de paradis éternel et tout ça, il n’en avait rien à faire.
« Donc, c’est ici que tu vis ? » demanda Charles.
« C’est exact. J’étudie tout ce qui à trait à l’occulte. J’espère ouvrir une agence de détectives. »
« Une agence de détectives ? »
« Oui, pour aider les âmes qui restent coincés à cause d’affaires non finies. Où les cas comme le mien. » Edwin lui avait parler de son cas. Raison de plus pour rester avec lui.
« C’est cool. Je serai les muscles, tu seras le cerveau. Hey ! Ce sac a l’air cool ! »
« Techniquement, c’est un sac magique sans fond mais je n’arrive pas à le faire fonctionner correctement. Il est à toi si tu y arrives. »
« C’est cool ! Merci, je vais m’y mettre de suite. » Et effectivement, il lui fallut peu de temps pour s’approprier le sac. Même après 35 ans ensemble, Charles savait qu’il avait pris la meilleure décision en restant.
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swgzl · 8 months
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BACK TO THE FUTURE.
Un projet sur lequel j'ai travaillé avec Monocle et Sophie. Design by Monocle, code par moi-même.
Contexte :
2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitant·e·s. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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jules-and-company · 7 months
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wow ok donc je vais rant un peu
j’en ai MARRE de voir des gens sur les réseaux (tiktok je te fixe bien fort) qui font « ouin on étudie que des mecs morts racistes et homophobes alors qu’il y a george sand et madame de lafayette et colette » et bien que je respecte ces trois femmes au plus haut point, ARRÊTEZ de faire comme s’il n’y avait pas un PUTAIN de CONTEXTE HISTORIQUE. les mecs morts racistes et homophobes l’étaient 1) dans une époque qui l’était et 2) par rapport à d’autres ???? le curser raciste et homophobe était plus ou moins placé à l’extrême par rapport à la société dans laquelle ils vivaient ???? je viens de voir passer un truc qui citait À L’Ombre Des Jeunes Filles En Fleur avec une citation vaguement misogyne MAIS AS-TU LU LE BOUQUIN BORDEL. AS-TU COMPRIS LA RECHERCHE. ayez un début d’esprit critique je vous en supplie. que baudelaire ait dit des trucs dégueu sur les femmes et sur les femmes noires en particulier ? certes. nous rappelons à tous que bien que j’adore sa poésie, le charles était un gros camé dépressif avec une carte gold dans tous les bordels de paname. donc non, c’était pas exactement un parangon de vertu. je n’en PEUX PLUS de voir (et pas seulement avec la littérature française mais la littérature en général) les gens essayer d’appliquer un code moral, un set de valeurs modernes à ce qu’il ne l’est pas. de l’esprit critique et un début de connaissance historique je vous en supplie. ça sert, justement, pour pouvoir lire les mecs morts racistes et homophobes en reconnaissant quelle partie de leur discours est le reflet d’une époque et d’une société, et pouvoir apprécier ce qu’il y a de beau dans leurs œuvres, car je me plais à croire que si ça fait depuis tout ce temps qu’on les étudie, c’est peut-être pas pour rien. merde. là.
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bttf-rpg · 9 months
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2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitants. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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mmepastel · 9 months
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In extremis avant la fin de l’année, j’ai un de mes plus gros coups de cœur de lecture de 2023 avec -encore- Audur Ava Ólafsdóttir et son Éden !
Il s’agit de cultiver son jardin… comme Voltaire le préconisait il y a longtemps, phrase qu’elle paraphrase et prête à d’autres écrivains dans le roman… (ou bien ces autres citations existent vraiment et je ne les connaissais pas ? Hypothèse plus crédible)
Plus libre que jamais, l’autrice nous emmène dans un genre de fable enchantée. Elle a l’air de se promener avec son héroïne placide (tout le monde lui parle mais elle répond très peu, ce qui est déconcertant, comique et assez puissant à l’arrivée, j’ai trouvé), de passer du coq-à-l’âne, de digresser, mais un vrai itinéraire se trace, mine de rien.
Alba, l’héroïne assez taiseuse et pourtant amoureuse des mots (elle est linguiste et attache un intérêt infini à ceux-ci, leur étymologie, leur évolution, leur déclinaison, leurs échos…), évolue grandement du début à la fin du récit. Le langage et ses racines, les arbres et les leurs… drôle d’écho et de paradoxe. Au début du récit, Alba parcours le monde en avion pour participer à des colloques sur les langues menacées d’extinction. Mais dans ce monde, très moderne, le dérèglement climatique s’impose à elle. L’Islande a trop de vent pour posséder beaucoup d’arbres, et ceux qui ont peu de racines sont vite menacés. Et pour sauver des langues, elle alourdit son empreinte carbone ! Elle procède à un calcul et réalise qu’il lui faut planter 5600 arbres pour compenser ce qu’elle inflige à la planète. Elle aime toujours les mots, mais elle semble aimer de façon croissante le silence. Hop, changement de vie, face à son père perplexe et à sa sœur bavarde et assommante de questions. Elle garde le cap. Fait fi de rumeurs concernant une liaison tapageuse. Se tait, agit.
Avec beaucoup d’humour, de poésie et une forme d’optimisme résolu (bienvenu en ces temps catastrophistes anxiogènes), on assiste à sa mutation. Elle devient semeuse ; semeuse de mots : dans son nouveau hameau où elle a acheté une petite maison (plus petite que son appartement de la capitale !), elle dépose ses livres de linguistique à l’épicerie solidaire. Contre toute attente, ses livres séduisent et circulent ; tous ces gens prétendument peu cultivés se passionnent pour les mots et en redemandent). Elle sème aussi dans son jardin, ou plutôt elle plante bouleaux et mélèzes, un érable symboliquement important, répare une serre pour d’autres cultures, construit lentement mais sûrement un mur de pierres pour protéger ses plants du vent. Elle sème la langue islandaise au hameau qui a accueilli des migrants, et se prend d’affection pour un jeune homme qu’elle va prendre sous son aile. Par ces petits gestes, elle réenchante sa vie et celle de ceux qui l’entourent sans perdre de son œil acéré. Elle se réinvente et donne au lecteur une immense bouffée d’air frais, extrêmement appréciable, revigorante. Elle se place au centre de son existence comme si elle arrangeait son environnement autour d’elle. Pas pour être importante, mais pour être au cœur de quelque chose de vivant, en faire partie, être à l’intérieur d’un tout.
Cette lecture fait du bien, à partager sans modération, on est loin de risquer l’overdose d’optimisme en ce moment, ce serait bête de se priver.
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lemondeabicyclette · 11 months
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Engin ingénieux : Deux jeunes hommes habillés à la mode se tiennent près d'un vélo en tandem remorquant un buggy de transport.
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Paris occupé par les nazis : des swastikas géants bordent les rues de la capitale française. Paris est tombé aux mains des Allemands quelques semaines seulement après que les nazis aient lancé une invasion en 1940.
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Loisirs : Une femme galbée penchée sur le pont est au centre de cette photographie. Zucca a eu accès au dernier - et extrêmement rare - film Agfacolor pour montrer Paris comme une grande ville amusante et pleine de gens heureux. Lorsque ses photos furent exposées à Paris en 2008, Bertrand Delanoë, alors maire de Paris, a ordonné un avis pour accompagner les images indiquant que les images évitaient la réalité de l'occupation et ses aspects tragiques.
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Une femme élégante quitte un vélo-taxi : le ministre nazi de la Propagande Joseph Goebbels voulait que Paris conserve son image d'avant-guerre, du moins en surface.
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Pas encore moderne : les vélos sont rejoints dans cette image par la vue même anachronique d'une voiture tirée par des chevaux. Lorsque ces photos furent exposées en 2008 - plus de 60 ans après avoir été prises - beaucoup ont appelé à la fermeture de l'exposition.
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Fat of the land : Un homme et une femme à l'air riche roulent dans un chariot tiré par deux Parisiens minces sur un vélo tandem. La richesse et la collaboration avec les nazis ont contribué à préserver la vie d'une certaine élite alors que des milliers de Juifs français étaient envoyés dans les camps de la mort.
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sanstatouage · 1 year
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X
Jeux Érotiques
Le jeu avait simplement commencé par quelques regards, négligemment échangés lors des cours magistraux. Au début, Lila avait cru à un hasard, elle fixait naturellement les professeurs et les professeurs, eux, promenaient leurs yeux dans toute la salle, lorsqu'ils parlaient. Ces échanges subtiles se faisant de plus en plus nombreux, la jeune femme fini par croire à un intérêt purement professionnel de la part de sa professeure. Elle excellait en lettres modernes et avait déjà été de nombreuses fois félicitée, grâce à ça. Les yeux noirs de Madame Francés n'étaient donc qu'un encouragement à l'écouter un peu plus, ou encore un compliment pour son assiduité ? Naïve et encore jeune, Lila y croyait. Jusqu'à ce soir-là.
Comme beaucoup de jeunes adultes, Lila aime sortir, danser, boire. Le tout jusqu'à en oublier la vie, jusqu'à en perdre le souffle, jusqu'à en perdre la tête. Chaque vendredi soir, elle sort avec ses amis, chaque samedi matin elle dit « plus jamais ça » et chaque samedi soir, elle recommence. Ce samedi-là ne fait pas exception. La jeune femme fait face une dernière fois au miroir, le minois ravi. Il fait chaud, déjà, alors elle porte un short ridiculement court, un petit crop-top au crochet blanc. Ses longs cheveux sont lâchés dans son dos, de longues boucles rousses roulant contre ses reins. Un petit perfecto en simili-cuir, quelques bijoux et elle prend sa voiture, récupère quelques uns de ses amis.
C'est une petite troupe déjà bien échauffée qui arrive dans un des bars les plus branchés de la ville, situé sur un bateau et flottant dans l'immense cours d'eau qui traverse la ville. Sur le pont, des tables et des serveurs et serveuses qui voguent entre elles, des cocktails très colorés sur leurs plateaux. Dans la cale est aménagée une pièce immense où viennent danser les gens fatigués de boire. Un endroit dépaysant, où Lila vient s'évader tous les week-end... sans se douter que ce voyage-là sera sans doute d'autant plus exotique.
Sur place, ils retrouvent encore quelques potes de fac, un petit groupe déjà attablé autour d'une bonne bière fraîche ou d'un mojito alléchant. Lila s'assied parmi eux, commande à son tour un Blue Lagoon. Les conversations débutent, les esprits s'échauffent... Lila, elle, reste pleinement maîtresse d'elle-même. Force est de constater que ses petites soirées lui ont donné une certaine résistance et heureusement. A une table non loin, viennent de s'installer deux femmes. Et la présence de l'une d'elle... vient de déposer un sacré poids dans l'estomac de Lila. Madame Francés, Celene de son prénom, est installée juste à côté de la fenêtre, les coudes posés sur la table. C'est la première fois que Lila la voit... hors de la fac. La professeure a laissé tomber son chignon pour rassembler son incroyable chevelure noire sur l'une de ses épaules. Oubliée la sage tenue chemisier-jupe fourreau-chaussures à petits talons, la belle et tranquille femme est désormais vêtue d'une robe d'un rouge provoquant, moulante, fendue sur sa cuisse. Sa poitrine généreuse est pleinement offerte au regard, un collier doré roulant sur le moelleux de la chair bronzée. Machinalement, elle repousse une mèche de cheveux ébène, échange quelques paroles avec son amie, rit... Lila déglutit. Madame Francés est belle, libérée des carcans scolaires, femme parmi les femmes... Une nouvelle gorgée de son cocktail et elle tente d'en revenir à la conversation, s'empêchant de regarder à nouveau sa professeure. Perdue, elle ne remarque pas que c'est à son tour d'être regardée... désirée.
« Et voilà pour vous un autre Blue Lagoon, de la part de la dame en rouge, près de la fenêtre. » Lila fixe un instant le serveur, stupéfaite. Il a posé le verre devant elle, chuchotant quelques mots juste à côté d'elle pour qu'elle soit seule à les entendre. La dame en rouge... Lila relève la tête. Madame Francès est là, le menton appuyé sur son poing, observant son élève avec un sourire doux aux lèvres. Son amie parle au téléphone, lancée dans une discussion visiblement passionnante, laissant la liberté à la belle espagnole de séduire qui elle veut. Elle semble si assurée, c'en est presque provoquant. Lila l'observe un instant sans sourire, histoire de bien lui faire comprendre qu'elle n'est pas amusée par la situation... Quand la professeure se lève, lui jette un dernier regard en coin, une invitation on ne peut plus clair. Lila repousse le verre, sourcil froncé. Alors c'est comme ça ? Elle s'imagine gagner avec cette technique si simple ? La jeune femme se lève aussitôt, traversant la foule pour pousser la porte précédemment traversée par sa professeure. Elle mène à des escaliers qui descendent dans la cale, direction... les toilettes. Tellement, tellement prévisible...
Lila les descend rapidement, le battement de la musique la faisant vibrer, son pas rendu plus léger par l'alcool. A peine assez, elle a encore toute sa tête, et toute sa volonté. Ce n'est que pour faire payer à cette femme qui ose tout qu'elle est venue et elle le sait. La porte s'ouvre à la volée, Madame Francés est appuyée sur le lavabo, visiblement amusée.
« Je peux savoir ce que vous me voulez ?! »
Le ton de Lila est sec, son visage sérieux. On dirait une fillette qui joue mal la comédie. Celene s'approche, riant discrètement.
« Ces vêtements te mettent en valeur, Lila. »
Lila fait la moue.
« Vous pouvez parler, vous avez vu votre robe ? »
Un pas et Celene brise la distance entre elles. Lila regarde en haut, à droite, à gauche... tout, pour ne pas voir l'arrogante poitrine de sa professeure.
« J'en déduis qu'elle te plaît ? Regarde moi, Lila... c'est pour toi que je l'ai mise. »
La professeure prend doucement la main de son élève et la pose sur ses propres hanches, où l'on sent le tissu délicat de son vêtement et... rien d'autre. Ici, on aurait dû sentir la couture de son string, de sa culotte... peu importe, mais on aurait dû sentir quelque chose.
« Et ça aussi, c'est pour toi. »
Lila a les joues rouges et le cœur battant la chamade. Sa professeure... l'invite explicitement à partager un moment, là tout de suite. Un moment intime. Ses doigts se referment sur le tissu, elle sent la peau chaude au travers. Elle pourrait l'enlever, la repousser, foutre le camp de ces toilettes où elles sont seules, loin de la réalité. Elle pourrait... elle pourrait. Celene noue ses bras autour de sa taille, se rapproche, petit à petit. Ne se voyant pas repoussée, la professeure se fait de plus en plus téméraire. Une seconde et elle est blottie contre elle. Une seconde de plus et elle embrasse son cou, y laissant de petites traces rouges, sensuelles. Encore une seconde et leurs respirations s'accélèrent, leurs mains hâtives cherchent les limites de leurs vêtements. Le petit top en crochet est repoussé pour laisser les seins de Lila nus. La robe rouge si provocante est remontée sur les fesses de Celene, désormais offertes aux caresses, aux griffures... et même à une petite fessée qui fait couiner de surprise la femme. C'est à deux mains que Lila prend son fessier superbe, l'agrippant fermement. Leurs lèvres se joignent dans un baiser furieux, la jeune étudiante repousse sa professeure contre les lavabos. Ses doigts se baladent, s'enfoncent dans la chair souple, s'en vont même jusqu'à caresser ses cuisses, puis entre elles, là où poussent quelques petits poils aussi noirs que ses cheveux.
« Depuis combien de temps... ? »
Celene ricane, saisit une poignée de cheveux roux vifs.
« Depuis la première fois où mes yeux ont croisé les tiens. »
Alors c'est ça... ? Ça a toujours été plus que ça, plus qu'un regard venu d'une professeure fière d'une de ses élèves ?! Presque trahie, Lila la repousse encore, la soulève brutalement pour l'asseoir sur le dessus du lavabo, les fesses nues sur le marbre glacial. Madame Francés la voulait depuis le début, n'attendant visiblement que la bonne occasion pour lui faire part de son attirance. Le moment est là, enfin, intense et brutal... enivrant. La colère ne s'attarde pas, chassée par l'envie charnelle, si difficile à contrôler, à repousser. Les yeux dans les yeux, les deux femmes mènent une danse rythmée par la musique, pourtant si lointaine. Lila met un genou à terre, puis l'autre. L'une des mains de Celene se perd dans ses boucles, l'autre tient le tissu de sa robe relevé, s'offrant au regard de sa jeune élève. Lila n'a jamais embrassé entre les cuisses d'une femme et ses amants étaient toujours médiocres dans ce même acte. Mais entre femmes... elle ressent instinctivement là où embrasser, là où mordre... ses paupières se ferment, elle inspire profondément son parfum, ses lèvres courant sur la peau douce de ses cuisses. La poigne de la professeure se referme sur ses cheveux, l'incitant à venir un peu plus près, un peu plus intimement. Pour la forme, Lila y résiste, faisant soupirer Celene de dépit.
« Viens, s'il te plaît... Lila... »
Jugeant le ton assez suppliant, la jeune femme lui accorde un baiser sur le pubis, puis un autre, encore un, sa bouche caressant les petits poils drus, puis son clitoris, ses lèvres gonflées par l'excitation. Un soupir plus fort au-dessus d'elle et elle s'autorise à glisser sa langue le long de la fente trempée, les plaisirs féminins gouttant sur le marbre du lavabo. La belle robe rouge risque d'être souillée... Ses doigts qui crissent contre le vêtement, qui le repoussent, qui découvrent le ventre de Madame Francès... Et la femme qui gémit, les cuisses grandes ouvertes, la tête renversée en arrière, une cascade de cheveux noirs lui tombant contre les reins. Lila entend son prénom une fois, deux fois, cinq fois... puis cesse de compter alors qu'elle l'embrasse à pleine bouche, qu'elle dévore son intimité, qu'elle boit ses sucs à même la source. C'est délicieux, un nectar bien plus sucré, bien plus doux que la semence masculine, que Lila a toujours si peu aimé. Encouragée par les mouvements de sa désormais amante, elle la déguste jusqu'à la conduire royalement sur le chemin d'un orgasme bruyant, violent. Lila relève la tête, les yeux luisants, le menton trempé. C'était pour elle... c'était par elle.
Madame Francès remet pied à terre, tremblante sur ses talons hauts. Elle attire sa jeune élève dans une étreinte, échange avec elle un baiser encore mouillé de ses plaisirs. Lila l'enlace, presse ses fesses, la dévore de baisers... elle aussi en veut, sa culotte lui colle à la peau, son ventre la brûle terriblement.
« A toi, ma Lil... »
Des bruits de pas dans le couloir et la jeune femme cache sa poitrine découverte, sa professeure redescend tant bien que mal sa robe avant de l'attirer dans l'une des cabines. Les deux amantes se cachent en riant, comme deux adolescentes découvrant les plaisirs de la chair, ainsi que tous ses secrets. L'une intime à l'autre le silence, alors que la cabine d'à côté se fait occuper. Les jeux reprendront quand elles seront à nouveau seules... et en attendant, pourquoi ne pas se couvrir de baisers ?
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girafeduvexin · 1 year
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Alors tu peux nous donner tes recommendations récentes ? 🧐🗒️✍️
AVEC PLAISIR alors les derniers livres que j'ai lus :
Tous les hommes sont des menteurs, d'Alberto Manguel. Un écrivain argentin est retrouvé mort à Madrid, tombé par la fenêtre, alors qu'il vient de publier une oeuvre magistrale. Un journaliste interroge les gens qui l'ont connu pour comprendre. Ca a l'air sombre dit comme ça, mais c'est assez drôle parce que le premier témoignage, c'est Alberto Manguel lui-même et le deuxième témoignage commence en gros par "Alberto Manguel est un connard", beaucoup de second degré, d'humour sur lui-même, sur la littérature. On se rend rapidement compte que chacun a une vision différente de ce qui s'est passé et que la vérité est multiple. Ca parle aussi de la dictature en Argentine, de la torture, de littérature évidemment, c'est assez facile à lire et j'avoue que je l'ai dévoré !
Les Détectives sauvages, de Roberto Bolaño. J'adooooore Bolaño, lisez La Littérature nazie en Amérique, lisez 2666, mais en vrai, je me demande si Les Détectives sauvages ne serait pas mon préféré de lui. On suit un jeune poète mexicain qui rejoint le mouvement du "réalisme viscéral", mouvement qu'il a cependant du mal à définir, et qui est inspiré par le vrai mouvement de l'infraréalisme. Au début, on suit ce poète, puis on s'intéresse à deux figures du réalisme viscéral, Arturo Belano (chilien, comme Bolaño, wink wink) et Ulises Lima dont on va découvrir la vie entre les années 70 et les années 90 par le biais de multiples témoignages de gens qui les ont connus - un peu comme Manguel. C'est à la fois très drôle, avec des littéraires qui se prennent pour des dieux vivants (et ayant fait un master de littérature, ça me parle) mais aussi très touchant, avec des vies brisées, des vies qui évoluent, le temps qui passe. Bolaño réussit à nous faire nous attacher à un personnage qu'on ne va connaître que pour quinze pages et ne plus jamais revoir du livre. C'est une accumulation d'histoires différentes qui forment un grand ensemble et c'est extraordinaire, sans doute dans mon top 10 de mes livres préférés. C'est un pavé par contre, 800/900 pages mais moi j'adore.
Cent ans de solitude, de Gabriel García Márquez (oui j'aime la littérature sud-américaine), un classique sur le coup mais que je n'avais jamais lu bizarrement. C'est l'histoire d'une famille dans un village de Colombie, sur plusieurs décennies et par ce biais, on raconte l'histoire de la Colombie, la modernité qui arrive petit à petit, la décadence : la famille et le village vont s'élever puis chuter, de la richesse à la destruction. Le bonus, c'est que c'est du réalisme magique, un mouvement littéraire qu'honnêtement je ne connais pas si bien que ça (j'adore Borges mais je ne suis pas certaine que ça en soit par exemple), qui mélange la réalité avec le merveilleux, où à la fois on a des problématiques ancrées dans le réel mais aussi des prophéties, des créatures étranges, des gens qui vivent beaucoup trop longtemps etc. C'est du conte de fée moderne, en tout cas je l'ai compris comme ça en lisant Cent ans de solitude, navrée si c'est un raccourci ! Et bref, c'est un livre assez difficile parfois, avec une narration qui revient en arrière, qui avance dans le temps, qui joue avec les chronologies, avec une multitude de personnages à retenir, mais c'est très plaisant de s'y perdre et c'est magnifiquement écrit donc, que dire de plus.
Le prochain sur ma liste, c'est Les Choses de Perec, mais je peux déjà vivement conseiller La Vie mode d'emploi du même auteur qui fait aussi partie de mes livres préférés, même si ça fait des siècles que je ne l'ai pas lu - j'en reparlerai quand je le relirai. C'est l'histoire d'un immeuble parisien et on raconte l'historique de chaque appartement, avec un fil rouge porté par le propriétaire de l'immeuble, c'est extraordinaire (j'aime les narrations multiples oups).
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maddiesbookshelves · 2 years
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Zachary Ying and the Dragon Emperor by Xiran Jay Zhao (November 2022)
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Zachary Ying never had many opportunities to learn about his Chinese heritage. His single mom was busy enough making sure they got by, and his schools never taught anything except Western history and myths. So Zack is woefully unprepared when he discovers he was born to host the spirit of the First Emperor of China for a vital mission: sealing the leaking portal to the Chinese underworld before the upcoming Ghost Month blows it wide open. 
The mission takes an immediate wrong turn when the First Emperor botches his attempt to possess Zack’s body and binds to Zack’s AR gaming headset instead, leading to a battle where Zack’s mom’s soul gets taken by demons. Now, with one of history’s most infamous tyrants yapping in his headset, Zack must journey across China to heist magical artifacts and defeat figures from history and myth, all while learning to wield the emperor’s incredible water dragon powers.
And if Zack can’t finish the mission in time, the spirits of the underworld will flood into the mortal realm, and he could lose his mom forever.
Would I recommend it to anyone? This is amazing for people who like Percy Jackson but wish it had more representation and more modern themes.
Level of (dis)satisfaction based on the summary and my expectations? Iron Widow was one of my favorite books of 2021, Xiran catapulted themself into the top 5 of celebrities I love so I had high expectations for this book. And it delivered.
My thoughts on it? The only negative thing I thought while reading this is at some point I thought it was starting to get a little long. Other than that, it was amazing, there are a lot of elements that made me adore Iron Widow, but adapted for a younger audience. I can't wait to see what's next.
French version under the cut
Zachary Ying n'a jamais trop eu l'opportunité d'en apprendre plus sur son héritage chinois. Sa mère célibataire était déjà assée occupée à s'assurer qu'ils survivent, et ses écoles n'enseignaient que l'histoire et les mythes occidentaux. Zack n'est donc absolument pas préparé lorsqu'il apprend qu'il est né pour abriter l'esprit du Premier Empereur de la Chine pour une mission vitale : sceller le portail vers le monde des morts avant que le Mois des Fantômes ne l'ouvre en grand.
La mission tourne immédiatement au désastre lorsque le Premier Empereur rate sa tentative de possession sur Zack et se retrouve lié à son casque de jeu RA à la place, entraînant un combat durant lequel des démons enlèvent l'âme de la mère de Zack. A présent, avec un des tyrants les plus notoires de l'Histoire qui piaille dans son casque, Zack doit parcourir la Chine pour dérober des artéfectes magiques et vaincre des figures historiques et mythiques, tout en essayant de maîtriser les immenses pouvoirs de l'empereur.
Et si Zack ne réussit pas dans les temps, les esprits du monde des morts déferleront dans le monde des vivants, et Zack pourrait perdre sa mère pour toujours.
Est-ce que tu le conseillerais à quelqu’un ? C’est génial pour les gens qui aiment Percy Jackson mais qui aimeraient plus de représentation et de sujets modernes.
Niveau de déception/satisfaction par rapport au résumé et tes attentes ? Iron Widow a été un de mes livres préférés de 2021, Xiran s’est catapulté.e dans mon top 5 des célébrités que j’adore donc j’attendais beaucoup de ce livre et j’ai été servie.
Avis sans spoiler ? Le seul truc négatif que j’ai pensé en le lisant c’est qu’à un moment je me suis dit que ça commençait à être un peu long. Sinon c’était vraiment super, on retrouve beaucoup d‘éléments qui m’ont fait adorer Iron Widow, mais adaptés pour un public plus jeune. J’ai vraiment hâte de lire la suite.
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Primeros días
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Après avoir atterris à Santiago, nous nous sommes rendus chez Gregorio, un des meilleurs amis de ma grand-mère Madyl. Il a gentiment accepté de nous prêter son appartement et il tenait à passer quelques jours avec nous.
Ma mère m’avait prévenu qu’il me ferait sûrement beaucoup penser à Madyl et elle ne s’est pas trompée. En entrant dans l’appartement son odeur m’a tout de suite parue familière, cela sentait comme chez elle. Gregorio nous a accueillis comme si nous nous connaissions depuis toujours et nous avons évoqué avec nostalgie nos souvenirs de cette douce connaissance commune.
Je lui ai présenté Charles et nous nous sommes rapidement couchés car il était déjà 2h du matin passées !
Le lendemain Charles et moi avons été à l’agence Suzi Santiago CW (que je recommande vivement à tous les voyageurs souhaitant acheter un véhicule au Chili) afin de commencer les démarches pour acheter notre future voiture.
Ensuite, nous avons flâné dans les rues de Santiago en attendant d’aller rencontrer le notaire (avec qui nous devons préparer les papiers en vue de l’achat du véhicule).
La ville de Santiago est immense, les tours y sont si hautes qu’on se casserait presque la nuque en voulant voir leur cime. C’est une ville très moderne avec d’immenses avenues comme aux États-Unis et le moins qu’on puisse dire c’est que nous nous sentions minuscules.
J’ai remarqué plusieurs choses en me baladant :
Les gens adorent s’assoir sur le sol du métro. Dans chaque station et chaque rame on trouve des jeunes assis à même le sol, lisant des livres ou écoutant de la musique.
Il est possible de se faire dire la bonne aventure par des voyantes à la sauvette qui installent leurs tentes près du mercado central (le marché des poissons). D’ailleurs, elles font beaucoup de publicité sur le sol et les passages piétons. C’est drôle de voir que la culture spirituelle est assez développée.
Il y a un nombre incroyable de vendeurs ambulants. Du lot de pansement jusqu’aux glaces en passant par des babioles sans aucun sens, tu peux pratiquement tout trouver rien qu’en te promenant dans les rues ou le métro.
Il y a énormément de bougainvilliers, l'arbre préféré de Madyl et moi. Ils ne sont pas seulement roses mais parfois rouges, blancs et même orange !
Le soir nous avons été dîner dans un super restaurant de Jazz qui faisait des pizzas à tomber par terre. Nous avons écouté les notes de musique s’éparpiller dans l’air tandis que Gregorio nous berçait des histoires de sa jeunesse. Un vrai régal !
Hier, Gregorio a décidé qu’il nous accompagnerait au Museo Chileno de Arte Precolombino qui recense l’art des populations natives d’Amérique Latine. Nous avons adoré nous promener lentement à ses côtés en observant toutes les œuvres. Ça m’a rappelé les musées que je faisais avec Madyl.
Il nous a ensuite emmené voir le mercado central, un marché de poissons, pour y manger un bon repas. Je pense que c'est le moment où nous avons été le plus dépaysés depuis notre départ. Le marché avait une atmosphère géniale, très locale, avec des vendeurs de poissons et des restaurateurs prêts à tout pour t'appâter à leur échoppe ou leur table. Des musiciens et leurs guitares accompagnaient les mets en fredonnant des chansons de Valparaiso. J'aurais pu passer la journée là à observer la ville vivre.
Ce matin, Gregorio est parti. Il est rentré dans son petit village à Lolol où nous le rejoindrons dès que nous aurons la voiture pour lui rendre visite. Il m’a montré une vidéos des mygales qui traînent parfois dans son jardin, j’ai pâli de terreur puis j’ai fini par me dire qu’il était sûrement peut être temps d’affronter cette peur.
Charles et moi nous retrouvons donc tous deux face au monstre qu’est Santiago, nous avons hâte de la suite !
On se retrouve très vite pour de nouvelles aventures.
Besos,
Luna.
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luma-az · 1 year
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Parfaitement normal
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 8 août 
Thème : monstres/noir et blanc
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Ces vieux films de monstre en noir et blanc la remplissaient de fascination. Mais d’une manière tout à fait normale, bien sûr.
Mona n’y pouvait rien, elle adorait tout simplement ces créatures. Bien que l’Hollywood du début du XXème siècle décerne automatiquement le rôle de méchant à chacun de ces êtres en effets spéciaux hasardeux, Mona était toujours du coté des monstres : incompris, humiliés, chassés impitoyablement, ils étaient sans aucun doute la véritable victime dans toutes ces histoires ! Qui ne commencerait pas à enlever de belles jeunes femmes et tuer des villageois sans nom s’il était traité comme ça ?
Elle était moins fan des monstres de l’horreur modernes. Ce n’était pas parce qu’elle détestait les effets numériques, ni la qualité des œuvres et des monstres. Beaucoup avec été créés avec beaucoup de soin et de passion par de grands artistes. Non, ce qu’elle leur reprochait, c’était la place dans l’histoire. Dans les vieux films, le monstre est un monstre pour ce qu’il est, ce qu’on voit. La réaction du spectateur est censée être la même que celle des humains qui le croisent, et les quelques moments de communication sont chargés de sens et d’émotion, lourds de la possibilité d’un autre avenir, d’une autre façon de faire. Alors que dans les films modernes, le monstre est un prétexte à la bravoure des personnages. Ce ne sont pas les monstres le sujet. Ce que Mona avait beaucoup de mal apprécier.
Enfin, peu importe. A son âge, c’était son petit plaisir coupable et inattendu, voilà. Un jardin secret. C’est parfaitement normal d’avoir ses petites passions de niche. Vive internet et ses pépites de l’âge d’or d’Hollywood, patiemment restaurées pour de belles rééditions blue-rays et tout aussi patiemment piratées pour être disponibles à qui veut se donner la peine de les chercher. Et de les aimer. Différents, oui, différents des humains, différents des autres films, différents des goûts des autres gens. Les petits détails de soi qui n’ont aucune importance et qu’on cache au fond d’un placard ou de son historique de navigation. Ça ne comptait pas.
Et l’envie – juste une vague idée accompagnée d’un désir plus vague encore -  d’être à leur place ne comptait pas non plus. Evidemment qu’elle ne voulait pas réellement provoquer le choc et la peur juste en étant une silhouette floue qui se découpe à l’horizon. Elle ne voulait pas non plus que la seule mention de son nom terrorise des villageois inculte et pousse le héros à s’armer lourdement. Elle n’a jamais rêvé d’avoir des crocs, des griffes ou même des pinces géantes qui feraient hurler les belles jeunes femmes en robe blanche.
C’est juste qu’elle y pense, parfois.
C’est sûr que ce n’est pas avec son mètre cinquante quatre et ses quarante-neuf kilos qu’elle pourrait susciter un jour ce genre de réaction.
Ce n’est qu’une pensée vague. Une idée en l’air. Qui lui vient souvent.
Et de plus en plus.
C’est sans doute parfaitement normal.
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christophe76460 · 1 year
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prédication Jimmy dans les derniers temps Vie et Lumière
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Nous sommes tous au bord d'un grand effondrement historique, d'une marée qui engloutira l'ensemble de la civilisation et changera notre époque. La société moderne est hypnotisée.
Elle se trompe elle-même, vit dans l'illusion et a perdu le sens des dangers. Liée au matérialisme, elle offre les produits de confort et les plaisirs. C'est pourquoi, elle n'est plus capable de percevoir ce qui s'avance toujours plus rapidement vers elle.
La terre chancellera comme un ivrogne
Toujours plus de violence, de terreur, de guerres et de bruits de guerres, d'épidémies, de famine, de tremblements de terre, de tempêtes, de sécheresses et d'inondation d'une étendue encore jamais vue et toutes sortes de catastrophes frappent aujourd'hui le monde.
Des millions de gens sont en fuite. Non seulement l'économie mondiale, mais aussi les valeurs monétaires sont en train de s'effondrer.
La terre, qui compte déjà tant d'années, vieillit comme un vêtement et l'on pourra la comparer à un roulement à billes qui ne fonctionne plus. L'orientation de son axe, aujourd'hui, n'est plus tout à fait ce qu'elle était.
En vertu de ce qui se passe aujourd'hui et vu les sombres perspectives d'avenir que les scientifiques ont déjà calculées pour cette décennie, la peur ne cesse d'augmenter parmi la population.
C'est pourquoi, toujours plus de personnes, jeunes et plus âgées, se réfugient dans le monde illusoire de la drogue ou mettent prématurément fin à leur vie par le suicide.
Nous vivons à l'époque que Christ Jésus a caractérisée ainsi : " les hommes rendant l'âme de terreur dans l'attente de ce qui surviendra pour la terre; car les puissances des cieux seront ébranlées " (Luc 21: 26)
Ce monde n'a encore jamais vécu de guerres locales et mondiales si horribles et si sanglantes, comme de nos jours.
Et aujourd'hui, il semble que l'humanité soit proche de la troisième guerre mondiale qui la menace.
Eisenhower, l'ancien président des USA, disait pertinemment : " Sans une nouvelle naissance spirituelle, l'humanité ne pourra échapper au Golgotha de la troisième guerre mondiale. "
L'anarchie croissante ne se caractérise pas seulement par la privation des droits, la violence brutale et le surmenage de beaucoup, mais également par l'éducation, c'est-à-dire la séduction des commodités excessives et l'avidité des jouissances, ce qui conduit à la paresse et, finalement, favorise la criminalité.
Et parce que l'iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira. (Matthieu 24: 12), les uns sont favorisés de façon malsaine et injuste, les autres désavantagés, dans une bureaucratie froide, arbitrairement et sans amour, pour être poussés sans merci dans la détresse.
Aucun homme ne connaît l'heure de sa mort. C'est pourquoi la Bible dit : " Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu. " (Amos 4: 12).
Personne ne peut vous dire le temps qui vous reste à vivre. Peut-être est-ce aujourd'hui votre dernier jour.
Aucun homme, vous non plus, ne peut savoir s'il vivra encore demain.
C'est pourquoi, le Seigneur Jésus Christ dit " Aujourd'hui, si vous entendez ma voix, n'endurcissez pas votre cœur " (Hébreux 4: 7).
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raisongardee · 1 year
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“Lorsque le caractère et non l’intelligence, lorsque l’âme et non le cerveau sont choisis par un professeur comme matériau à travailler et à développer, sa profession prend un caractère sacré. "Ce sont mes parents qui m’ont donné naissance ; c’est le professeur qui m’a fait homme." Le précepteur était donc tenu en très haute estime. Pour qu’un homme puisse inspirer une telle confiance et un tel respect aux jeunes gens, il devait nécessairement être doté d’une personnalité supérieure et d’une certaine érudition. Il était un père pour l’orphelin et un conseiller pour le pêcheur. "Ton père et ta mère, dit notre maxime, sont comme le Ciel et la Terre ; ton professeur et ton seigneur sont comme le Soleil et la Lune." Le système actuel, consistant à rémunérer toutes sortes de services, n’était pas en vogue parmi les adeptes du Bushido. Ils ne croyaient qu’au service rendu sans contrepartie financière et dont on ne peut mesurer le prix. Ainsi, un service spirituel, celui d’un prêtre ou d’un professeur par exemple, ne devait pas être rémunéré en or ou en argent, non parce qu’il était dépourvu de valeur, mais parce qu’il était inestimable. Ici, le sens de l’honneur non arithmétique du Bushido nous enseigne une leçon plus vraie que celle de l’économie politique moderne. Car les gages et les salaires ne peuvent être versés que pour des services dont les résultats sont définis, tangibles et mesurables, alors que le meilleur service rendu en matière d’éducation, c’est-à-dire le développement de l’âme (ce qui inclut les services d’un prêtre), n’est ni défini, ni tangible, ni mesurable. Ce service étant incommensurable, l’argent – mesure manifeste de la valeur – était inadéquat. Selon l’usage, les élèves apportaient de l’argent ou des marchandises à leurs professeurs à différentes saisons de l’année. Mais il s’agissait là non de paiements mais d’offrandes, qui étaient d’ailleurs bienvenues car c’était généralement des hommes austères se vantant de leur honorable misère, trop dignes pour travailler de leurs mains et trop fiers pour mendier. Ils personnifiaient, avec gravité, l’esprit élevé que l’adversité ne saurait atteindre. Ils incarnaient ce que l’on considérait comme l’aboutissement de tout apprentissage et étaient donc un exemple vivant de cette discipline des disciplines : la maîtrise de soi, qui était unanimement exigée d’un samouraï.”
Inazo Nitobe, Bushido. Le code du Samouraï. L’âme du Japon, trad. Laurence Seguin, 1900. 
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THE END OF THE FUCKING WORLD
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PRÉSENTATION DES FACTIONS.
Yo tous.tes les gens!
Des nouveautés sur TEOTFW.
Après une période de ralentissement non-volontaire, la construction du projet reprend! Si le design, les éléments graphiques ainsi que le codage sont presque ENTIÈREMENT terminé (et on remercie @tiababylo pour son engagement et son magnifique travail - for real, vous êtes pas prêt.e.s à tant de BEAUTÉ), la rédaction des annexes et des ressources sont encore en cours de création, mais nous sommes optimistes à compléter le tout très rapidement.
Pour vous, aujourd’hui, une présentation sommaire des FACTIONS dans laquelle vos personnages pourront évolués. Bien évidemment, ses groupes ne sont pas à l’abri des enjeux de survie et chaque groupe pourrait voir son avenir (et survie) à jamais changer par les actions posées en jeu. Eh oui, sur le forum vous êtes MAÎTRE de votre destion (mais surtout, responsable de vos décisions).
Description partielle, vous pourrez en découvrir DAVANTAGE dans les annexes prévues à cet effet. Encore une fois, on remercie le travail de @tiababylo dans la rédaction et création de ses groupes. Un énorme merci également à @reyes pour la relecture.
On vous laisse découvrir!
Et à trèèèèès bientôt.
→ la FEDRA.
Organisme gouvernemental, vestige et ruine de ce qu'était le gouvernement américain, c'est l'autorité en place depuis l'établissement de la loi Marshall et la création des Zones de Quarantaines. Militaires, scientifiques, citoyen.ne.s, iels sont tous rallié.e.s derrière les ruines du gouvernement.
→ les CIVILES.
Habitant.e.s de Zone de Quarantaine ou encore d'autres communautés, iels sont ce qu'il y a de plus commun dans ce monde où tout est prompt à la violence.
→ les LUCIOLES.
Organisme en combat direct avec la FEDRA, dont l'objectif principal est de trouver un vaccin au virus ayant causé la pandémie mais également de bousculer l'état Marshall imposé sur les Etats-Unis, en venant chercher des noises à la FEDRA.
→ les habitant.e.s de JACKSON CITY.
Communauté implantée dans le coeur du Wyoming, il s'agit d'un groupe auto-suffisant, possédant leurs propres champs et leur propre bétail afin de faire perdurer la vie, en plus de l'utilisation d'une centrale hydroélectrique qui est un atout non négligeable.
→ les SOLITAIRES.
Vagabond.e.s ayant décidé que la vie seul.e était préférable à rejoindre un groupuscule et accepter des idéologies pas forcément similaires, iels parcourent les villes et les villages, les terres et les campagnes, essayent de survivre du mieux qu'iels le peuvent.
→ les CROTALES.
Groupe réputé pour sa violence, originaire de Santa Barbara, il constitue un groupe de bandits des grands chemins, terrorisant les petites villes et petites communautés, saccageant tout sur leur passage.
→ les WLF.
Organisme ayant pris possession des territoires de la FEDRA à Seattle, c'est un groupuscule ayant décidé de se dessouder du groupe originel pour pouvoir rejoindre le Wyoming.
→ les SÉRAPHITES.
Les Séraphites sont un groupe de survivant.e.s réunis autour d'un culte fait à une prêtresse. Culte religieux visant à renier les technologies les plus modernes et revenir à un mode de vie plus primitif. Agriculture, chasse, pêche, ce sont des valeurs qu'iels portent avec elleux, en plus de cette violence exacerbée qui se retrouve dans nombre de leurs méthodes.
→ les LOST BOYS.
Enfants esseulés par les tords de la FEDRA, les Lost Boys sont un groupe de jeunes adultes et adolescent.e.s ayant eu leurs rêves brisés par la FEDRA. Des ancien.ne.s étudiant.e.s derrière les bancs militaires de l'organisme fédéral qui croient en une vie meilleure, un monde meilleur. (minimum 21 ans)
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