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#la lumière du soir
hansdurrer · 4 months
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Bonassola, Liguria, 27 Ottobre 2019
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praline1968 · 5 months
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Mon beau Charly,
Mon petit bouchon,
Ma beauté suprême,
Ma petite merveille,
Il y a 1 an aujourd’hui, tu prenais ton envol à 3h40 alors que tu étais dans mes bras.
Tu étais agité, j’ai essayé de t’apaiser mais je n’y suis pas arrivée à mon plus grand désespoir.
Malgré des signes d’affaiblissement que j’avais mis sur le compte d’un début de vieillesse,
Je n’ai pas vu, senti, compris, qu’une tumeur grandissait dans ton ventre depuis des mois.
Le poids des regrets et de la culpabilité me ronge un peu plus chaque jour.
Ton départ est le plus grand malheur de ma vie terrestre, nous étions si fusionnels.
Tu étais ma boussole, tu étais ma lumière, aujourd’hui, sans toi, je suis perdue dans le noir.
J’ai perdu le goût de vivre, plus rien n’a d’intérêt ni de sens dorénavant.
J’attends juste la fin au plus vite en espérant que je pourrai enfin te retrouver.
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🎤 Michel Pépé ~ Le coeur des anges 🎧
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(Petit poème que j’ai écrit pour toi le 24 décembre 2022)
🩵 Mon Charly 🩵
Il y a 9 ans, tu apparaissais et venais combler ma vie,
Tél un don venu du ciel, tu rallumais mes jours et mes nuits,
Pour moi, revenait alors le goût de vivre, l’énergie,
Un vrai bonheur, un éclair de temps et de vie qui déjà s’enfuit,
Et me laisse dans un silence, une solitude et une détresse infinie.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Petit chien de caractère, petit être d’exception,
Tes grands yeux noirs respiraient l’intelligence,
Coquin, joueur, espiègle, bavard et râleur,
Tu t’exprimais toujours avec ferveur,
Florilège d’intonations sonores,
Tu t’affirmais avec assurance, énergie et passion,
T’avoir dans mon existence fut une extraordinaire chance.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Tes mimiques, ta joie de vivre, tes discours, ta drôlerie,
Emplissait la maison de joie, de rires et de fantaisie,
Ta démarche aérienne si gracieuse, telle une élégante danseuse,
Ton majestueux panachon exprimait ton humeur toujours joyeuse,
Ta présence nous inondait d’amour et rayonnait d’une manière inouïe.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Ce si triste et douloureux dernier soir,
Malgré ton hospitalisation, je t’ai ramené dans ta maison, près des tiens,
Je ne voulais pas que tu restes à la clinique sans personne ni rien,
Seul dans cette cage, dans la peur, l’angoisse, le froid et le noir,
Je ne sais pas si ma décision fût la bonne,
J’espère juste que ce choix aurait aussi été le tien.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
La nuit de ce 22 décembre qui a vu s’éteindre ta lumière,
Quand ton souffle s’est subitement arrêté,
Et que ton petit corps dans mes bras a soudain cessé de s’agiter,
J’ai senti ton esprit s’envoler, tu étais enfin libéré.
J’ai alors ressenti cet indescriptible vide abyssal où s’arrête l’univers,
Incommensurable et insupportable déchirure qu’à jamais j’aurai du mal à porter.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A présent, il me reste les médicaments pour ne pas sombrer,
Pour parvenir à trouver le sommeil et ne plus penser,
Malheureusement, chaque jour, il faut bien se réveiller,
Retrouver et affronter cette terrible réalité,
Cette douleur immense, il faudra beaucoup de temps pour l’effacer 💔
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A jamais, pour toujours, je t’aime mon Charly 💕 💞
J’espère te retrouver bientôt pour l’éternité dans l’amour infini 🙏🏻
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lisaalmeida · 18 days
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C’était l’heure étrange, suspendue aux confins du soir, où l’on peut encore se passer des lumières et où, même au sein d’une joyeuse compagnie, on peut être surpris par un vague sentiment de la fragilité des choses.
Yukio Mishima, Neige de printemps
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valardynasty · 29 days
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Elrond
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Ma représentation d'Elrond Peredhel
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"Le visage d’Elrond était sans âge, ni jeune, ni vieux, bien que le souvenir de nombreuses choses y eût été gravé, autant gaies que tristes. Ses cheveux, pareils aux ombres du crépuscule, étaient coiffés d’un mince bandeau d’argent ; ses yeux étaient du gris d’un soir clair, et il y avait en eux une lumière semblable à celle des étoiles. Il paraissait vénérable, tel un roi couronné de maints hivers, mais vigoureux néanmoins, tel un guerrier endurci, dans la force de l’âge. Il était Seigneur de Fondcombe et puissant parmi les Elfes et les Hommes."
Création par Intelligence Artificielle.
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ayadarkraicute · 2 months
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Malleus fait sa promenade nocturne en passant par le dortoir de Ramshackle qu'il croyait inhabitable mais il a remarqué qu'il y a des lumières sur les fenêtres, en face du grillage de ce dortoir il y a une jeune fille regardant vers le ciel. Par curiosité Malleus avance de plus près et pour la première fois qu'il a vu une humaine avec des cheveux bruns, yeux bleus, deux cicatrices une sur la joue et sur le coup et uniforme bleu.
??? : Que c'est joli cette lumière verte. On dirait des feux feu follet ! *Se retourner* Hum ? Oh bon soir !
Malleus : Oh bon soir, je t'ai jamais vu ici ?
??? : Oh parce que ma grande sœur et moi on est apparue il y a quelques jours et on cherche un moyen pour rentrer dans notre monde !
Malleus : Dans votre mode ?
??? : C'est un peu compliqué, ma sœur et moi même on est téléporté dans ce monde, ma sœur Zafira croyait que le directeur de ce collège nous a kidnappés. Hé hé ^w^'
Malleus : Je vois... Et comment t'appelles-tu ?
??? : Je... je m'appelle Yuri ! Et toi comment tu t'appelles ?
Malleus : Moi je suis... non attend je préfère que tu restes sur l'ignorance !
Yuri : Hein pourquoi ?
Malleus : C'est pour ton bien je t'assure, à la place je te donne la permission de me donner par le nom ce que tu désires !
Yuri : Oh d'accord je vais réfléchir un peu... bon sens bon soir ça va être compliqué...
Zafira : Yuri ! Rentre il est tard !
Yuri : Ah désolé on se verra peut-être demain ou pendant les cours.
Malleus : Alors je te dire à très bientôt l'enfant l'homme.*se téléporté*
Yuri : *Pense : l'enfant l'homme ?* Oui bonne nuit.
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soitamespieds · 9 months
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depuis qu'il est en cage, chaque jour est un vrai plaisir pour moi
Depuis qu'il a embrassé la chasteté avec cette cage, chaque aurore m'offre un plaisir incomparable, doublé d'une palette de sensations et d'émotions que je n'avais jamais connues auparavant.
Chaque matin, à la première lumière du jour qui filtre à travers les rideaux, la chambre se remplit de cette odeur douce et boisée, rappel de notre promesse silencieuse. Ces moments, baignés dans une douce lumière dorée, sont ceux où je sens le plus notre connexion intime. Le frémissement des draps, la chaleur de sa peau à proximité de la mienne, la cage en acier froid autour de lui, tout concourt à un tableau de contrastes qui exacerbe mes sens.
Psychologiquement, cette expérience a été une révélation. J'ai découvert en moi une force et une confiance que je ne soupçonnais pas. La cage, pourtant perçue par beaucoup comme une entrave, est devenue pour nous un symbole de confiance, un pacte silencieux renouvelé chaque jour. Le poids psychologique qu'elle représente pour lui est contrebalancé par la légèreté avec laquelle notre relation s'est métamorphosée.
À chaque fois que je le regarde, il y a cette étincelle dans ses yeux, une lumière douce mais déterminée. Cette lueur, révélatrice d'une soumission consentie et d'une anticipation fiévreuse, est devenue mon phare, guidant nos interactions. Le soir, l'air se charge d'arômes épicés, écho de nos désirs contenus, et chaque souffle est une danse de promesses et d'attentes.
Le jeu de la chasteté est devenu bien plus qu'un simple accessoire physique. C'est une exploration des profondeurs de nos âmes, une cartographie de nos désirs les plus secrets. Et en ce voyage, chaque sensation, chaque odeur, chaque lueur est un repère, un témoin de la beauté et de la complexité de notre amour
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Ce nous me manque ce soir. Pourtant je t’assure j’ai arrêté de broyer du noir. J’ai arrêté d’y croire. Fini l’espoir. Je sais que notre futur était illusoire, que y’avait aucun échappatoire. Mais putain tu me manques. Ton sourire à la con, la lumière qui gagne tes yeux, ce rire mélodieux. Je donnerais beaucoup pour que tu me regardes avec amour une fois de plus
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from-derry · 3 months
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Voici enfin la tant attendue annexe de la vie quotidienne. C’est en réalité la première partie de l’annexe concernant Derry et de ce fait l’une des plus importantes. Elle pose vraiment les bases du lore.
Quelques petites précisions importantes avant d’entamer votre lecture :
- c’est un premier jet ! Compte tenu du nombres de questions qui trouvent leur réponse dans cette annexe, nous la publions maintenant.
- Elle sera sujette à changements, réorganisation, ajouts jusqu’à l’ouverture du forum.
Vie quotidienne
La vie à Derry est résolument tournée vers la survie de la communauté. On organise le quotidien autour de tâches utiles, voire essentielles au bon fonctionnement général. Il est attendu que tout le monde participe à l’effort collectif.
Technologie :
L’eau courante et l'électricité sont présentes à Derry, sans que personne n’en connaisse l’origine. 
Il n’existe aucun moyen de communiquer avec le reste du monde. Internet, le réseau téléphonique, la radio, rien ne semble fonctionner à Derry. Parfois, si on joue avec les stations de radios, il peut vous sembler entendre des voix ou de la musique, mais c’est bien souvent très fugace. 
A l’intérieur de Derry, les communications par talkie-walkies fonctionnent, pour peu d’avoir du matériel fonctionnel. Chaque leader de groupe de la communauté en possède un qui permet de communiquer entre la ville et la maison en cas d’urgence. 
Il arrive que certains objets électroniques s’animent seuls sans que personne n’y touche. Les lumières s’allument aussi parfois seules... ou s’éteignent. Les habitants ont pris l’habitude de l’ignorer. 
À Derry, l’utilisation des appareils électriques modernes est assez aléatoire. Parfois cela fonctionne, parfois pas du tout, sans qu’aucune logique ne se démarque. Il n’est pas toujours possible de recharger ces derniers. 
Nourriture et repas : 
Les habitants de Derry vivent en autonomie complète et ne peuvent consommer que ce qu’ils trouvent ou produisent. Les épices se font rares, de même que les sucreries, le café ou tous vivres de la sorte. Les habitants produisent par contre de l’alcool artisanal, pas toujours très bon, mais efficace. Il est fait souvent à partir de pomme de terre ou de maïs. On y distille aussi de l’excellente eau de vie à partir de la production de fruits. 
Au centre bourg, les repas sont traditionnellement servis au diner et il est de coutume d’aller manger le matin afin de partager avec le reste de la communauté. En journée, le diner est ouvert à tout le monde pour un café ou une collation. Il est possible, pour les habitant·es du centre bourg de venir le soir prendre à manger à emporter pour celles et ceux qui ne cuisinent pas. 
A la maison commune, les repas sont pris en commun et préparés à tour de rôle par les résident·es selon un calendrier pré-établi. Il n’est pas obligé de manger ensemble, mais les repas sont souvent partagés entre la cuisine, la salle à manger et le salon en fonction des conversations. 
Locomotion :
S’il y a des voitures à Derry, on ne trouve pas d’essence autre que celui provenant des véhicules échoués dans la ville. On s’y déplace principalement à pied ou à vélo. Les véhicules fonctionnels sont réservés aux urgences. 
Santé et hygiène :
L’accès aux médicaments est aussi strictement régulé. Ces derniers sont une denrée particulièrement rare. Il arrive parfois à un habitant chanceux de découvrir au hasard de ses promenades une trousse de secours. Pour la majorité des soins, il faut compter sur le savoir collectif qui se transmet au fil des générations et de la formation des nouveaux soignants. Les produits d’hygiène et de soin sont principalement produits par les herboristes. 
Saison et rythme de vie :
La vie de Derry est principalement dictée par les saisons et l’heure à laquelle le soleil tombe. Ainsi, la période hivernale est plus morne que l’été. Les sociabilités se font et se défont au fur et à mesure des saisons. 
Le temps d’activité ne s’organise pas en horaire de bureau, mais en fonction des besoins ou de la demande. Certains rôles sont plus demandeurs que d’autres. A quelques exceptions comme le travail d'élevage, il est rare qu’on occupe toute la journée son poste, c’est plus souvent en demi journée qu’on s'organise. 
Moeurs générales :
Derry vit coupée du monde et de son évolution générale. L’arrivée de nouveaux habitants dans la ville donne toujours la mesure du temps qui est passé, plus que n’importe quelle technologie devenue obsolète. On peut évaluer le temps vécu à Derry à la mentalité de chacun·e. 
Talisman :
Il est de coutume d’accrocher près de l’entrée principale un talisman. Celui-ci est gravé dans le bois, la pierre ou dans un bout de poterie. On y reproduit des symboles dont personne ne connaît le sens exact. La croyance est qu’il empêchent les créatures de passer par l’entrée protégée. On ignore s’ils ont un véritable effet. Personne à Derry ne sait qui a trouvé ou inventé les talismans, mais ils sont en place depuis toujours, semble-t-il. Personne ne s’est risqué à sortir avec un talisman autour du cou la nuit pour s’assurer qu’ils étaient réellement efficaces. Difficiles à reproduire, ils s'abîment rapidement, se brisent assez souvent lorsqu’on fait cuire la poterie et trouver des pierres suffisamment grosses et non friables pour les graver est souvent compliqué. Ils sont donc rares et considérés comme précieux. 
Sanctions :
Il n’existe pas de lois à proprement parler à Derry, outre la convention du partage des biens. Les shérifs des années passées ont néanmoins instauré deux sanctions. 
Construite devant l’ancienne poste, il y a une boite où l’on enferme les habitants durant une nuit pour les punir d’un petit délit. Ceux-ci sont laissés à l’appréciation du shérif en place. De mémoire actuelle, la boite n’a pas été utilisée. Les crimes (comme le meurtre) sont punis par le bannissement - cela équivaut à une peine de mort puisque sans talisman, personne ne survit longtemps dans les bois entourant Derry.  
Cachettes :
Dans les rares cas où l’on se retrouve dehors à la nuit tombée, il existe quelques cachettes connues des habitants. D’un confort rudimentaire, elles ne sont à investir qu’en cas d’extrême urgence et ne garantissent pas une aussi bonne protection que les habitations.  
Confort de vie :
De nombreux objets du quotidien en dehors de Derry manquent ou se font rares. Le plus souvent, c’est le système débrouille qui prime. On recycle beaucoup, on reprise énormément et on tire les machines jusqu'à ce qu'elles rendent l'âme.
Armement :
Les armes à feu sont interdites à Derry, du moins en principe. Il y en a quelques unes à dispositions chez le Shérif et sous contrôle d’Isidro à la maison commune, mais il est admis que sauf raisons particulières il n’est pas autorisé d’en posséder. Bien sûr, il est toujours possible de contourner la règle et d’en dissimuler mais si on découvre la vérité, gare aux conséquences. 
Relations centre-bourg / maison commune :
Les relations entre la maison commune et le Centre-bourg sont dans l’ensemble plutôt bonnes. L’ouverture de la maison commune a laissé néanmoins des traces dans la mémoire de Derry que l’on peut retrouver aujourd’hui. Les habitant·es de la maison commune ont tendance à rester ensemble, si bien que lorsqu’ils descendent en ville dans les lieux communs, on peut ressentir une sorte de réserve mâtinée de méfiance. Les habitant·es du Centre-bourg ont toujours l’impression artificielle qu’on vient piquer dans leur garde-manger. C’est notamment grâce au chassé-croisé des activités dans les différentes communautés que l’ambiance reste agréable malgré tout.
Éducation :  
La ville compte très peu d'enfants, l'école ne possède donc qu'une classe unique. On y apprend à lire, écrire, compter ainsi que les connaissances pratiques pour survivre au quotidien à Derry, comme faire son savon, planter des graines, raccommoder ses vêtements, etc. 
Animaux :
On trouve quelques animaux à Derry et plusieurs cas de figure. Certains sont arrivés avec leur propriétaire dans la ville. Certains apparaissent de façon inconnue. Il est possible de les attraper et de tenter de les domestiquer. Le bétail est assez limité : quelques vaches, quelques chèvres, quelques cochons, quelques poules. 
 Concernant le gibier, on trouve principalement de petits animaux sauvages : lapins, oiseaux, lièvre, faisan, etc. Le grand gibier existe mais se fait plus rare. Il faut souvent s’enfoncer loin dans les bois pour le débusquer et cela n’est pas sans risque. 
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alexar60 · 9 months
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La lumière sous la porte
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Les livres ont une grande place dans mon cœur. J’aime les lire, les toucher, les sentir. J’aime les exposer, voir leur couverture même si je ne les ai pas encore lus. J’aime les livres mais à trop en acheter, ils prennent de la place. J’en ai stocké dans des cartons, qui à leur tour, se sont imposés dans mon petit appartement. Je ne savais plus quoi en faire. Pas question de m’en débarrasser.
J’ai eu cette idée après avoir visité Amsterdam. A mon retour de voyage, j’ai réalisé qu’une pile de livres ressemblait beaucoup aux maisons hollandaises. Du coup, je me suis amusé à créer des rues, utilisant chaque bouquin pour faire une maison ou un petit immeuble de deux étages. Avec différents papiers, j’ai dessiné puis découpé des portes et des fenêtres. Je me suis appliqué à décorer de volets, des rideaux ainsi que des dormants et des impostes de portes. Je confectionnais des toits à l’aide de carton.
Chaque dos de livre devenait l’entrée d’une maison ou la devanture d’un vieux magasin Je me suis tellement appliqué que mes amis furent fascinés par mon travail. Ils parlaient d’œuvre d’art. Ils me proposèrent d’exposer car d’après eux, mon talent devrait être connu. Au début, trop méfiant et voulant éviter de participer à un diner de cons, je me contentais de donner une seconde vie à des livres que j’ai tant aimés lire. Cependant, j’eus un tel succès que je dus me résigner à accepter leur proposition. Dès lors, après avoir exposé dans une galerie, je me suis mis à vendre des piles de livres décorés et refaits en petites rues.
Je garde mes préférés dans une bibliothèque particulière. En effet, elle ne contient que des livres décorés. Chaque étagère représente une rue. J’ai même ajouté quelques petits pavés devant les livres pour donner un côté plus réaliste aux maisons. J’aime les observer le soir avant d’aller me coucher. Parce qu’elles ont une apparence féerique et j’imagine des habitants vivre dedans. Je les imagine en train de marcher, ouvrir les fenêtres ou les portes et vivre paisiblement ; une ménagère à la fenêtre étendant un drap, un homme rentrant du boulot.
Un jour, en les admirant de nouveau, je remarquais quelque-chose d’étrange. Sur le moment, je pensais à un reflet lié à la lumière de mon salon. Mais en approchant, je découvris de la lumière sous une porte. C’était une porte décorée et collée par mes soins, comment de la lumière pouvait apparaitre ? Je pris le livre, l’ouvris mais ne constatais rien de particulier entre les pages qui se dépliaient correctement. Dès lors, je replaçais le livre et retournais à mes occupations. En éteignant la lampe de la salle, je constatais un petit fil lumineux sous cette même porte. La lumière était réapparue !
Je ne savais son origine. Je pouvais prendre le bouquin, l’ouvrir, le secouer, tourner les pages. Rien n’y faisait, dès que je le rangeais, la lumière réapparaissait. Je cognais de l’index sur la porte ; bien entendu, personne ne répondit, personne n’ouvrit.
C’était étrange que de voir cette lumière sous cette porte fictive. Tous les soirs, je constatais qu’elle apparaissait pour disparaitre uniquement au lever du jour. Je passais les semaines suivantes à surveiller cette anomalie, d’autant qu’elle était la seule porte à laisser passer de la lumière. Même la fenêtre en plastique, collée au dos de ce livre ne montrait rien.
J’aurais pu me débarrasser du livre, le vendre ou simplement le donner. Néanmoins, ma curiosité insistait à surveiller ce phénomène. Je regardais donc ce livre, dont je ne me souvenais plus de l’histoire, laisser passer cet étrange trait de lumière. Et puis, je découvris de la lumière sous la porte d’un autre recueil. Hier soir, la lumière traversait la fenêtre, comme si quelqu’un habitait dans ce livre.
J’ai doucement frappé à la fenêtre et à la porte. Je n’ai vu personne, pas de petit bonhomme ou autre farfadet magique. Je suis resté bêtement à observer cette lumière qui scintillait dans le noir. Mais ce soir, je déposerai quelque-chose devant ce livre. Un petit morceau de pain ou, une demi-fraise, histoire de sympathiser. En espérant que la porte s’ouvre et qu’il y ait un habitant.
Alex@r60 – août 2023
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la-isla-blanca · 2 months
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bonjour à tous ♥
toute la team, @erinye-stuff, nox et @romystigri est ravie de vous présenter la neuvième version de la isla blanca. de nombreuses nouveautés sont au programme, comme par exemple l'apparition des personnages éphémères, et bien d'autres choses encore.
l'intrigue du mois; cette année, l'incomparable carnaval d'ibiza est annulé. les commerçants souffrent du manque de tourisme, alors que l'île se trouve bien vide. l'arrivée de la nouvelle mairesse à la tête de la municipalité n'a su faire taire les grondements souterrains. malgré ses campagnes anti-corruption et les nouveaux moyens mis dans les forces de l'ordre, le taux de criminalité ne cesse de grimper. alors que les organisations criminelles semblent toujours confortablement installées, de petits groupuscules indépendants font leur apparition. personne n'est à l'abri, entre cambriolages et rapts, meurtres et disparitions. certains n'osent plus sortir le soir, d'autres ne semblent pas réaliser l'ampleur de la situation. pourtant, chacun à son rôle à jouer. qui serez-vous ? le bourreau, la victime, le témoin silencieux, une pie bavarde ? ouvrez grand les yeux, et jetez un œil par dessus votre épaule si par hasard vous vous aventurez à dehors passé une certaine heure.
-- sur lib, nous cherchons à intégrer toutes sortes de personnages, toujours avec bienveillance. entre ombre et lumière, vous avez possibilité d'incarner une large palette de personnages, du plus sombre au plus doux. ✨
aucun minimum de ligne exigé sur le forum – un rp par mois. n’hésitez pas à nous rejoindre. 🌸🐚
lien du forum : https://laislablanca.forumactif.com/ discord du forum : https://discord.gg/TWnNCehXJG
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mailamoon · 5 months
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Pour bien finir l'année, voici une petite fantaisie inspirée par l'AU Lyon de @sibmakesart. One Piece dans la capitale de la gastronomie française, Sanji alsacien, Zoro breton ❤️
Pour les francophones qui passent par ici, je vous invite à aller visiter son Tumblr, elle est super douée et son délire sur Lyon est absolument délectable (moi je plonge dedans les yeux fermés !).
C'est parti pour une petite soirée lyonnaise avec nos pirates préférés !
Un soir à Lyon...
Au cœur de la nuit, dans la ruelle, une porte s’ouvrit, laissant de la lumière éclairer la rue sombre. Un jeune homme en franchit le seuil en s’allumant une cigarette, un sac en plastique à la main.
- Hé, l’aubergine, tu sors cette nuit ? Lança une voix autoritaire depuis l’intérieur.
Le jeune homme se retourna en soufflant sa fumée.
- En quoi ça t’intéresse vieux shnock ? Fit-il d’un ton ennuyé.
- Encore ce breton ?
- C’est pas tes oignons.
- Ah, claqua la voix, fais gaffe à toi !
- C’est ça, bonne soirée, àbgenutzdi.
-HÉ !
Le jeune homme referma la porte sans attendre de savoir ce que l’autre voulait répondre. Il regarda autour de lui, visiblement à la recherche de quelque chose, mais la ruelle était déserte. Un soupir bruyant quitta ses lèvres et il grommela quelque chose qui ressemblait à « encore en retard dawer säckel de breton ». Il donna un coup de pied à une cannette qui traînait tristement sur l’asphalte. Une sonnerie retentit de sa poche et il en sortit son téléphone.
- Allo ?
- Allo, Sanji ? Fit une voie féminine.
- Nami ! T’as pas vu Zoro ?
- Beeeeh si, justement, c’est pour ça que je t’appelle.
- Il est avec vous ? Demanda-t-il en entendant Usopp et Luffy se disputer derrière elle.
- Non il est pas… TAISEZ-VOUS ! Putain, j’essaie de parler au téléphone ! Je te disais, non il n’est pas avec nous. Il m'a dit qu’il devait passer te prendre à la fin du service mais il a fait tomber son portable dans le Rhône cet après-midi. Je sais que t’avais enregistré les coordonnées du bouchon dedans…
Sanji leva les yeux au ciel.
- Donc il est perdu ?
- Tu le connais, il n’est pas capable de distinguer sa gauche de sa droite. Bref, je voulais juste te prévenir, pas que tu l’attende et… VOUS ALLEZ VOUS CALMER ! LES VOISINS VONT ENCORE APPELER LES FLICS SI VOUS CONTINUEZ ! Pardon Sanji, je te laisse.
La communication se coupa.
-GOPFERDAMMI ! Cria Sanji en donnant un coup de poing dans le vide. Il tira rageusement sur sa cigarette. C’était GRAND Lyon, qui sait où ce connard de primate avait bien pu aller ?!
Sanji se mit en route, la nuit promettait d’être longue.
C’est au petit matin que l’alsacien retrouva enfin le breton. Après avoir parcouru la ville de long en large et en travers. Après avoir espéré que non, non, non ce bon à rien ne s’était quand même pas aventuré dans les sous-sols de Lyon… Il avançait enfin vers lui.
Zoro était accoudé à la rambarde de Fourvière en train de contempler les rayons du soleil qui commençaient timidement à pointer le bout de leurs nez sur la ville.
Après de longues heures de recherches, Sanji sentait une certaine fatigue gagner ses jambes. Il s’avança sans bruit derrière son petit ami.
- Hé, nixnutz !
L’homme aux cheveux vert ne sursauta même pas. Il tourna la tête vers Sanji. Malgré ses yeux cernés, un sourire éclaira son visage.
- Te voilà enfin cuistot !
Sanji roula des yeux. L’autre lui sortait ça comme si cette fichue basilique avait été leur point de rendez-vous depuis le début. Il appuya son dos contre la rambarde en frôlant le coude de Zoro.
- Tu m’as encore fais courir, fit-il en s’allumant une cigarette et en soufflant sa fumée dans l’air cristallin du petit matin.
- Genaoueg ! Je savais que t’arriverais à me retrouver.
Sanji lui tendit le sac qu’il avait transporté avec lui la moitié de la nuit. Zoro l’ouvrit pour y trouver une bouteille de chouchen et des bretzels enveloppés dans un papier kraft. Il prit la bouteille et sortit de sa poche un couteau suisse pour la déboucher.
- Pas de verre. Constata-t-il.
- Non, pas de verre. J’ai pas envie qu’on en casse d’autres. Le vieux va encore criser si les stocks continuent de diminuer.
Zoro porta la bouteille à sa bouche pour boire au goulot. La saveur lui rappelait sa région. Il passa ensuite le chouchen à Sanji qui bu à son tour.
- La prochaine fois j’amène du schnaps.
- C’est quoi ça ?
- C’est plus fort, ça devrait te plaire. Même si je préfère un bon pinot gris vieille vignes…
- Qu’est-ce que tu marmonne ?
Le blond lui sourit et, sans un mot, s’avança vers lui pour l’enlacer en collant son corps au sien. Ils s’embrassèrent puis s’appuyèrent de nouveau à la rambarde, coude à coude en se passant le chouchen et les bretzels. Ils restèrent là à regarder le lever de soleil sur Lyon en savourant ce petit déjeuner alcoolisé improvisé.
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orageusealizarine · 5 months
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étalant des jaunes d’œuf sur mes seins, je pense obsessionnellement et indifféremment à Simone et Van Gogh. pour l'une, je crève des œufs. je casse des yeux. jusqu'aux couilles, aux globes, aux corridas, aux sacrifices. couille, fouille, mouille... la liste demande à être creusée (à être fouillée - et le corps, excavations brutales, totales). je démembre tranquillement le réel en cherchant la jouissance immédiate que je sais à portée de mots et de mains. c'est pourquoi je suis la Reine des Bois. fertilité atroce. je choisis la dépense inutile. la perte qui m'est faite et que je fais faire à la consommation, à la procréation m'éjouit. et me terrasse - radicalement.
à Nemi, j'égorge le prêtre qui célèbre Diane. mais je ne suis pas une meurtrière, je fais l'expérience d'une mort. je fais l'expérience de l'amour, dans les bois, dans le sang, dans le miel et les jaunes d’œuf. mais la chasteté de l'astre a des odeurs de sang. le soir où... le ciel est constellé de sève et l'horreur se dissout dans la verdeur de mes yeux.
lucus, bois sacré où je me perds. à force de fièvre. à force de sensualité. je règne dans ces bois où la cruauté du soleil ne perce pas. allongée, j'attends l'assaut. et le crime qui délivre. puisque le roi est dans le bois, la seule personne que l'on peut tuer impunément. le sommeil ne ternit plus la nuit. je lance les dés, concrétions du destin que l'on tient dans la main.
pour l'autre, c'était la peinture vivante du bonheur. j'étalais du soleil sur ma peau. lui, dans l’obscurité de son esprit, ingérait la joie. chaude et crémeuse coulure jaune qui laisse à la chair sa transparence. profondeur de l'Inconnu. dans laquelle se vautrer, puisque la réjouissance est généreuse. et sans restriction. j'ai perdu toute limite.
mais je veux boire votre sang à votre bouche. au nombre de douze, les tournesols rendent ivres et sont des émanations d'enfantement. sur un plateau, nous coupons toutes leurs têtes. et les bouquets dégorgent entre mes doigts. nectar ému d'être perdu pour la germination.
je suis nue dans les blés et les parfums ocres. des gouttes d'ambre sur les joues et des anneaux d'or à tous les doigts, ils versent la lumière sur mon corps. pour quel sacrifice ? dans les bois, j'ai aimé. l'odeur crue menait au fin fond du rêve. et les œufs sont restés sur ma peau.
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 129
Marc et moi avons été très excité de notre virée de l'autre soir (aire de repos). Ça nous a rappelé les premiers temps de notre rencontre ou nous étions beaucoup plus audacieux.
Il est vrai que ces derniers temps, à part nos vacances à La Palmyre, nous ronronnons avec le groupe d'amis que nous nous sommes fait.
C'est décidé, samedi soir il me remmènera à la boite de nuit de nos débuts.
Dès le mercredi soir, je vérifie que je peux toujours fermer le collier de chien à piques qu'il m'avait offert dans nos débuts. C'est juste, il ne reste qu'un trou de plus ! C'est là que je m'aperçois que j'ai pris musculairement. Quand je reprend mes premiers jeans taillés en shorts spéciaux, c'est pareil, à la taille ça va. Par contre coté cul, je suis serré, mes fesses se sont arrondies façon black (c'est à dire que du muscle). ;Le tissu est hyper tendu et dans la glace, je vois bien que la couture des fesses est décousue et que les bords s'écartent quand je marche. Ça fait encore plus salope ! Je teste aussi les plugs pour savoir lequel s'harmonise le mieux avec le reste de ma tenue. Je pense que le noir moyen fera l'affaire. Quand je me penche, sa base apparaît entre mes fesses dans l'écartement du jeans.
Quand Marc rentre je suis dans cet accoutrement. Il me prend dans ses bras dès l'entrée et alors qu'on se roule un patin, je sens ses doigts écarter le jeans et buter contre le plug. Sans que sa langue quitte ma bouche, il tire sur la base et fait coulisser le plug sur le cm de son étranglement, puis me le sort sur sa partie renflée et le rentre à nouveau.
Il se recule pour admirer l'ensemble. Pour voir il me demande de passer mes chaps en cuir par dessus. Ça va faire un bail que je ne les ai mis. A la ceinture c'est bon, par contre si les mollets passent bien, ce n'est pas le cas de mes cuisses qui ont forcies. Les zip fermés, je suis moulé et la bande de chair entre le cuir et le bas du short en jeans a un effet très sex. Pour les chaps il va falloir que je les détende, juste un cm de plus de diamètre suffirait. En attendant Marc me dit d'enfiler une paire de Cat et mon vieux blouson cuir (celui qui à une attache qui me passe entre les fesses et fait un Y devant pour encadre mon paquet). Pas la peine de gâcher ma préparation. Nous prenons nos casques et allons chercher nos motos. La traversée de la cour me donne un aperçu des effets que je vais ressentir. L'attache du blouson appuyant fortement sur la base du plug ! Je le suis ne sachant pas ce qu'il veut faire. Il nous fait prendre des petites routes histoire que je ressente bien les irrégularités du goudron au fond de mon trou transmissent par le plug, puis autoroute. Je devine que nous allons rejoindre l'aire de repos que je connais. Autres jour de la semaine, autres camions de garés. Nous garons nos motos en pleine lumière devant le block sanitaire. Nous nous approchons et je reste dans la partie éclairée, devant l'entrée, blouson ouvert sur mon torse glabre, lanière du blouson qu'à demi détachée devant. Je me penche pour me laver les mains au robinet extérieur, laissant deviner le plug qui me rempli. S'il n'y avait pas de chauffeurs à pisser, 2mn plus tard, je suis entouré de 3 mecs. Le premier visuellement 25 ans, 1,80m musclé juste recouvert d'un short nylon flottant tendu par un sexe en phase de raidissement. Le second la trentaine boule à zéro et boucle d'oreille, dans le même équipement mais sa bite bandée le long de sa cuisse laisse dépasser du short un gland pas mal gros. Le troisième a dépassé les 50ans, bedonnant en short et chemisette ouverte (beurk pas mon style !).
Marc sort des WC où il avait vérifié la présence de clients potentiels et l'absence de gendarmerie. Il éconduit gentiment le vieux et me vend aux deux autres. L'annonce du tarif refroidi un peu les deux mecs. Négociations, pour emporter le morceau, je me penche et leur fait admirer ma rondelle couverte par la base du plug. Ils acceptent et un des chauffeur propose de faire ça à l'arrière de son camion, il n'est pas chargé à fond et cela laisse une place suffisante. Entrée par la petite porte de coté. Il éclaire la remorque et un halogène nous aveugle jusqu'à ce qu'il pose une caisse devant pour en atténuer la violence. Marc s'installe dans un coin et me laisse entre leurs mains. Le plus jeune se colle à moi et tire sur la lanière qui passe entre mes cuisses. Le plug me rentre dans le cul et je me lève sur la pointe des pieds. Il laisse retomber. Le deuxième est derrière moi et lève mon blouson. Je le quitte. Devant, le mec me masse la bite, je bande sans pouvoir développer normalement, bloqué par le jeans. Il n'a pas l'air de vouloir me libérer de cette pression. Mes mains ne sont pas restées inactive et je lui ai descendu le short sous ses fesses, libérant sa bite. En main, je l'estime à 20/22cm par un bon 5 cm de diamètre, circoncise. Ses boules imberbes se rétractent sous mes caresses et viennent se coller à sa tige. Le second presse son paquet contre mon cul et je sens entre mes fesses coulisser un sexe de bonne taille. J'ai faim !! Je prend un préso et l'enfile au mec devant moi. Cela fait je me penche en avant et commence une pipe de bonne salope. La tête en arrière, je me l'enfourne jusqu'aux boules. Il n'en revient pas et me bloque en position " étouffement ". Je m'agite, il relâche la pression et je lui dis que s'il me laisse faire je recommencerai ça. Comme je me suis penché, le jeans s'est ouvert et la base noire du plug est apparu sous le nez du second client. J'ai bientôt senti ses doigts tirer dessus. Il admire ma rondelle s'écarter alors qu'il retire le plug. Puis il le relâche et ce dernier rentre brutalement. Je sursaute mais c'est excitant ! Il finit par me l'arracher totalement. Ses doigts (au moins trois) viennent combler le trou avant qu'il ne se referme. J'entend une pochette de kpote se déchirer et après quelques instants, je sens la pression du gland sur ma rondelle. Heureusement que j'étais bien graissé d'avance car le mec ne se préoccupe pas de savoir comment ça va glisser et pousse durement. Mon anneau se déplisse et je laisse son sexe m'envahir. Bon, très bon ! il me tient aux hanches et me bourrine le cul. Chaque buttée de ses couilles contre les miennes m'envoi prendre le gland de son collègue dans la gorge. Il ne faut pas longtemps avant que le mec se tire de ma bouche, gueulant que si ça continu il va juter avant de m'avoir enculé. Il presse son pote d'en finir pour m'enculer à son tour. Chose faite 5 mn plus tard. L'échange de place n'a pas laissé le temps à mon trou de se refermer qu'il subissait de nouveau un assaut. Pas le même genre. Comme le type était déjà passablement excité, il y est allé doucement pour pas juter dès le début. J'ai apprécié le fait qu'il tourne son bassin pendant la pénétration, qu'il se suffise à jouer à entrer et sortir son gland uniquement, puis sur 5cm seulement, puis 10/12 cm avant de me faire prendre sa bite sur la longueur totale. Cette façon de faire m'a emmené très près de ma propre jouissance et c'aurait été chose faite, si Marc ne m'avait pas dit que la soirée ne faisait que commencer.
Une fois mes deux premiers clients purgés, le plug remis en place, ;je suis ressorti faire le " trottoir ", Marc à 10 m derrière moi. Le casque à la main, j'ai déambulé sur la bordure passant devant toutes les cabines des camions. Beaucoup avait les rideaux tirés mais je me suis pris des réflexions de chauffeurs prenant le frais, assis sur les marches pieds. Plusieurs m'ont demandé " combien la pipe ?". Je me suis arrêté dans un groupe de 4 mecs en train de se passer une bouteille. Ils étaient plus jeunes que les autres chauffeurs et leurs physiques m'allaient bien. Un m'a filé la bouteille et une lampée m'a fait prendre conscience que c'était loin d'être de l'eau. Je la rendais en toussant ce qui m'a valu le commentaire que c'était une boisson d'Homme. Je répliquais d'un " c'est pas la boisson qui fait l'Homme mais le poids de sa queue ". Ça les a excité et j'ai vu sortir des jeans et shorts 4 paquets, plus qu'au repos même si pas encore bandés à fond. Je sortais le mien qui n'avait pas débandé depuis le premier assaut de mon cul. Quatre sifflements on accompagné mon exhibition. Faut dire que mes 20cm sont sortis comme poussés par un ressort. Les mecs ont bandé ferme de suite. Concours de longueur et de diamètre. J'étais dans la moyenne. Deux bites plus courtes mais plus larges et deux plus longues même largeur que moi. Pour m'en assurer, je les avais toutes prise en mains l'une après l'autre, sans provoquer de recul. Les boules, elles étaient plus ou moins poilues mais aucunes rasées, dommage ! Un des mecs à queue plus courte était " sévèrement burné ", deux très grosses boules pendaient sous sa queue. Marc s'est alors approché et leur a mis le marché en main. Leur disant qu'il était prêt à faire un tarif groupe. Les types qui dans un premier temps s'étaient méfié de son approche, ont négocier dur et je me suis trouvé vendu pour 160€ (les chauffeurs routiers ne roulent pas sur l'or !). Le premier qui m'a mis la main au cul a été surpris de le trouvé plein de mon plug. Il a rameuté les autres pour qu'ils viennent voir. J'ai lâché les bites que je branlais et je me suis plié. Mes fesses se sont écartés pour laisser voir le rond noir de la base du plug. Commentaires : " qu"elle salope, il en veut de la bite, j'vais te mettre du vrai ce sera meilleurs..." Marc a veillé à la distribution de kpotes au déplaisir de certains mais à ma grande sécurité !! Rapidement je me suis trouvé la bouche prise par une bite envahissante, le cul ramoné consciencieusement et les mains pleines des deux autres participants. J'ai subit une vraie tournante. Dans le sens des aiguilles d'une montre, il ont échangé leurs places. Bien que cachés entre deux de leurs camions, nous avons attirés quelques spectateurs. Marc a laissé faire, essayant de repéré dans le lot mes prochains clients. Au deuxième tours, ils ont tous déchargés au fond de mon cul leurs spermes bloqués par le latex. Il a fallu que je pense à des trucs moches pour ne pas juter.
Alors que les choses étant finies et que l'attroupement se dispersait, un beau viking a abordé Marc avec un billet de 100€. Occupé à replacer mon plug, je n'ai pas suivi l'arrangement. Marc m'a juste dit de le suivre dans sa cabine. Nous montons, les rideaux sont tirés et l'espace ainsi protégé est conséquent. Quand mon viking tombe le short, je vois apparaître un sexe blanc juste surplombé d'une ligne de poils taillés. Encore mou, il doit faire déjà dans les 12cm par 3. je me penche et le prend en main pour le faire bander et le kpoter. Il se développe, encore et encore pour finalement avancer un sexe hors norme de 24/25 cm de long par plus de 6 de large à la base. Je Kpote et commence ma pipe. Marc s'est calé contre une portière et nous laisse faire. Je suce donc à m'écraser les cordes vocales, son gros gland rose envahissant régulièrement ma gorge. D'ailleurs, à chaque fois que ses couilles tapaient mon menton, il gémissait de plaisir. Ce traitement devait avoir trop d'effet car il m'a repoussé et tourné. Plié sur le siège passager, la tête sur sa couchette, il m'a écarter les cuisses et à joué quelques minutes avec le plug. Je laissais coulisser facile puis serrant mon anneau j'ai bloqué tout mouvement, je ne voulais pas qu'il croit que mon cul était une chatte molle. Il a grommelé un " yeh, good ass ". Comme il s'apprêtait à m'enfiler ses 25 sans précautions particulières, Marc m'a rapidement fait sniffer du poppers. J'ai pris du coup la totalité du mec dès le premier coup de rein ! Son limage profond et puissant m'a emmené rapidement aux portes de la jouissance. Il faut dire qu'il venait après tous les autres qui m'avaient bien chauffé. Il m'a tourné la tête vers la portière et à baissé la glace pour mettre ma tête dehors. Je l'ai senti s'immobiliser quelques instants au fond de mon trou puis reprendre ses va et vient. Je l'ai senti après la pause, plus rapide et encore plus gros dans mon cul. De plus lui qui m'avait jusque là sauté sans un mot, geignait à chaque fois qu'il reculait. (j'ai su plus tard que Marc à ce moment là l'enculait sévèrement, à sa demande). J'ai eu aussi du mal à ne pas geindre aussi et nos bruits ont alerté le camion d'à coté. Nous avons eu un spectateur qui n'a pas tardé à se branler devant notre prestation. J'ai senti simultanément : le viking s'enfoncer à fond et remplir sa kpote, une morsure du même individu sur mon trapèze droit et vu le jus de notre voyeur s'écraser sur notre portière juste sous mon menton. Quelques secondes plus tard, de nouvelles secousses dans mon cul me transmettaient l'éjaculation de Marc dans le cul du viking.
J'ai remis le plug pour le retour histoire de pas saloper la selle, les limages successifs m'ayant bien ouvert le trou (demain exercices de contraction d'anus !!).
Nous sommes rentrés à 3 h du matin moi, sur les rotules, et Marc ravi de mon comportement. J'aime être à sa botte, lui peut tout me demander, il le sait et n'en abuse pas. Je finis la nuit blotti au creux de ses bras.
JARDINIER
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tosteur-gluteal · 2 months
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OMOFALLS ONESHOT - tulip (FR)
Ce oneshot se passe avant les évènements présents de OMOFALLS. Pour un peu de contexte, le pronostic vital de Sunny est engagé après le récital. SPOILERS OMOFALLS + les trigger warnings associés à OMORI, mention de la mort, présence de lame, et en général, les deux p'tits gars vont pas très bien. Peut-être une version anglaise plus tard, qui sait?
Elles tombaient une à une, décapitées dans la froideur de leur amer requiem. De leur corps ruisselle leur sang jaunis, un venin dont l'odeur florale étouffe, dont les épines qui grattent le fond de la gorge. De cette même gorge en asphyxie s'échappait la douce torture d'une mélodie d'un soir de décembre.
Le soir fatidique, où Basil avait tout perdu.
Basil, dont l'allure est habituellement si droite, rappelait maintenant son œuvre, tuait toutes ses fleurs sans remords. Les cisailles tranchaient les tiges comme dans du beurre, chaque fibre méticuleusement condamnée d'un coup net et mécanique. Efficace, sans flancher, sans empathie et sans inutile hystérie. Il décapitait ce glaïeul.
«…Mh…hm..»
Cette mélodie étouffée et fausse, si grinçante qu'elle s'enfonçait dans des plaies ouvertes. Son âme dont les fleurs l'ont privé d'amour. Ces maudites fleurs, toutes coupables aux regards innocents, toutes témoins, pourritures dédaigneuses qui le toisaient.
«…Lalala… La,...la la…»
Basil avait tout perdu; ou plutôt, on lui avait tout pris. Quelle malheureuse fin, quand le regret lui fut si insoutenable que la violence lui semblait être la seule issue. La grisaille dans ses yeux creusait tout ce qu'il restait de lui; un corps dont la peine avait engendré la négligence, jusque cette violence de dernier recours.  Après un énième coup, il balayait ses rares larmes d’une traite. Il ne reviendra pas, peu importe les punitions infligées à ces hypocrites de fleurs.
«…La…lala…la…lala..!»
Il haïssait cette mélodie. Elle est hors de ton, arrogante, pleine de fausse modestie et de cette maligne innocence malgré le meurtre. La mélodie d’une menteuse.
Il jeta un coup franc dans un pot de muguet.
«…La…la…la…»
A la fin, il ne resta d’un seul pot intact.
«…Sunny…»
Une seule tulipe blanche, mourrante au pas de sa fenêtre. Le froid et le manque de le lumière ont dû finir par la scarifier, la faire partir de la manière la plus atroce. Une agonie solitaire qui découvrait la perfection sous l’angle le plus laid.
Basil se demandait pourquoi. La douleur qu’il ressentait l’éteignait un peu plus chaque jour, en même temps que cette pâle imitation de perfection. La tulipe, bulbeuse, simple, modeste, parfaite. “Parfait” était un mot qui lui donnait envie de mourir. “Parfait”sonnait comme une injure. Un mot si plat qu’il en est intouchable. Il se maudissait pour avoir un jour osé appeler Sunny “parfait”. Tout ça, c’était de sa faute. Son parfait petit Sunny était mort par sa faute.
«…»
Comme cette tulipe-là qui suppliait la délivrance. 
Comme Sunny seul dans sa chambre, étranglé par ces sombres murmures aux cordes du violon.
Et Basil, au pas de la porte, qui regardait.
Basil lui avait tout pris. 
La tulipe fanée regardait la guillotine qui l’invitait.
«…»
Abréger ses souffrances – la chavirante fleur ne respirait déjà plus.
«…Je l’ai tué.»
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source : @cheminer-poesie-cressant
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être dans l’inquiétude du temps et réduire ma vie à son épaisseur que j’essaie de maîtriser en vain
la lumière qui m’en parle ce soir plus que les autres soirs
au bout de la rue
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© Pierre Cressant
(lundi 7 novembre 2022)
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sloubs · 1 month
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hier soir j'ai fait un restaurant dans le noir pour la première fois de ma vie et vous pouvez pas savoir comme c'est apaisant pour l'esprit. aucune pollution visuelle, pas de téléphone, pas de lumière, pas d'écran : le noir complet, total, qui pendant deux heures t'oblige à profiter du moment présent. t'es autour d'une table avec des gens que tu connais pas, que tu vois pas, et tu apprends à les connaître autrement qu'en te basant sur un physique ou une tenue. même toi, tu te sens pas observé, pas jugé. ça t'enlève une espèce de poids sur les épaules que tu pourrais avoir d'ordinaire dans n'importe quelle autre expérience sociale.
tu peux t'en mettre partout et personne te voit, tu peux manger avec les doigts et personne ne le sait. les gens sont doux, bienveillants parce qu'ils sont tous dans le même bateau que toi, sans aucun repère ni idée de ce qui se présente à eux. tu accueilles tout ce qui te vient sans te poser de question, tu touches des épaules et des mains d'inconnus et pour autant, c'est ok. tu fais confiance, tu te laisses guider, tu embrasses la perte de contrôle. et ça fait énormément de bien.
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