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#mathématicienne
francepittoresque · 9 months
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10 septembre 1749 : mort de la mathématicienne et physicienne Émilie du Châtelet, amante de Voltaire ➽ http://bit.ly/Emilie-Chatelet Sensualiste et épicurienne, formée aux disciplines scientifiques depuis son enfance, elle fut l’interlocutrice privilégiée de Voltaire, la divulgatrice de la pensée de Newton et de Leibniz, et l’auteur des « Institutions de Physique » ainsi que d’une « Dissertation sur la nature et la propagation du feu »
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dummy-kanji · 2 years
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mathématicienne - 004 por kuma
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moradadabeleza · 2 years
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kuma
mathématicienne 01
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ladyniniane · 6 months
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Aaaand I did it and completed NaNoWriMo for the 6th time🎉🥳! It has been a eventful month between leaving work and moving homes, but I did it.
During this NaNo I:
-Finished my Fire Emblem fanfic after one year and 10 month spent on it.
-Wrote two chapters for my Shadow and Bone fanfic.
-Began another WIP (a sort of sequel of my FE fanfic).
Unlike last year, I won't try writing everyday until November 30th. I need to proofread some new chapters and to do some brainstorming for my future stories.
To celebrate this, here is some (quickly edited, and in French, as usual) mother and daughter fluff (featuring: adoption, a fallen woman finding a new purpose, a child who isn't exactly human and a dying ancient civilisation) from my newest WIP.
La pluie s’écrasait furieusement sur les murs, dégoulinait si fort sur les vitres que l'on ce serait cru sous l’eau. L’orage rendait Ismène fébrile. Ses doigts agrippaient sa jupe, ses yeux sombres contemplaient le déluge avec un mélange de peur et de fascination.
-Tu peux rester avec moi si tu veux, décida Anselma en tapotant la place à ses côtés.
Ismène lorgna le lit mais hésita.
-Tu es sûre ? Je ne suis pas un peu vieille pour ça ? 
Les autres ne lui avaient jamais proposé une chose pareille et elle aurait de toute façon refusé. Mais avec Anselma, c’était différent. 
-Bien sûr que non et j'ai moi aussi besoin d'être rassurée, rétorqua cette dernière avec une pointe d'espiéglerie. 
Cette petite semblait porter le poids du monde sur ses épaules mais était-ce vraiment surprenant ? 
Ismène retira ses souliers et se glissa à ses côtés. Le lit était suffisamment grand pour qu’elles ne se touchent pas. L’odeur des sachets aromatiques glissés sous l’oreiller leur emplit les narines. 
Anselma s’apprêta à souffler la chandelle mais Ismène tressaillit lorsqu’un éclair tomba tout proche. Le grondement parut ébranler les fondations de la maison. Ses doigts suivirent la courbe de la joue de l’enfant.
-Petite pomme…, murmura-t-elle. 
Un petit soleil s’alluma dans les yeux d’Ismène. La comparaison était venue spontanément à sa mère. Peut-être la rondeur, la douceur, le côté sucré lui rappelaient le fruit qui les avait rapprochées. 
Lorsqu’elle l’avait vue pour la première fois, Anselma avait cru à un mirage de la fièvre. Une enfant de onze ou douze ans, dans son beau costume étranger, qui l’observait depuis l’entrée de la porte. Avec son teint pâle et ses grands yeux sombres, elle ressemblait à un petit esprit. 
La jeune fille l’avait observée en silence, à moitié dissimulée et sans oser s’approcher. Anselma lui avait fait signe de s'approcher, craignant néanmoins que son visage à moitié mangé par les bandages ne l'effraie,y…mais l’enfant était venue. Elles n’avaient guère échangé de mots, si ce n’était des prénoms et des gestes. 
La maison était si calme qu’elle avait pensé que seuls les savants y vivaient. Lorsqu’elle avait demandé à Télésille : “y a-t-il d’autres enfants pour jouer avec elle ?”, la réponse de la mathématicienne était tombée en un couperet funeste : “il n’y a pas beaucoup d’enfants chez nous.”
Ismène était ensuite revenue et lui avait tendu telle une offrande une pomme coupée en quartiers fins. Anselma n’avait pendant un temps pu avaler que des soupes. L’idée de se laisser mourir de faim lui était venue. Sentir son corps fondre et de se dissoudre jusqu’à n’être plus rien était une fin appropriée pour elle.
Ses sauveurs veillaient cependant au grain et le potage nourrissait sa faim. Aussi avait-elle dévoré la pomme fraîche et croquante, à la fois pour plaire à Ismène et par envie. 
L'enfant était revenue tous les matins avec ses fruits méthodiquement coupés. Anselma en avait profité pour gagner doucement sa confiance. Et puisqu’elle avait mangé le bouillon et les pommes, elle avala ensuite leurs feuilletés aux amandes, leurs beignets au miel, leurs brioches ainsi que leurs pommes et leurs coings au four. 
-Pourquoi est-ce que tu es dans cet état ? questionna-t-elle 
-Ça me fait penser au déluge. Et ça me terrifie. 
Ismène se recroquevilla sur elle-même, une réaction surprenante pour une personne si grave. Ce mot était en lui seul une condamnation à mort. C’était là toute la particularité de la chose : Anselma prenait soin d’une descendante d’une ancienne civilisation anéantie par un cataclysme. D’une enfant humaine mais pas tout et fait et qui avait grandi au milieu de gens hantés, recevant leur terreur par procuration. 
Stephanos lui avait rapidement racontés les jours funestes. Ismène savait que c'était à cause de cela que leur monde avait volé en éclat et qu’ils étaient condamnés à la dissimulation et à l’errance.
-Le ciel est en colère, oui, mais il ne nous arrivera rien. Ce lit est un îlot de sécurité. 
Anselma ébourriffa les cheveux de sa fille. 
-Je sais, c’est du passé, admit cette dernière. 
-Maintenant dors, petite pomme. Tu verras qu’il fera beau demain. 
*
La pluie ne montrait aucun signe de s’arrêter. Anselma était drapée dans plusieurs châles. Une alléchante odeur lui parvint et elle mit de côté ses travaux d’aiguille. La fièvre avait reflué, lui permettant de continuer un peu. Elle haïssait ces jours de vacuité, clouée au lit, mais avait appris à s’en contenter. 
-Surprise !
Ismène apparut avec une assiette contenant une délicieuse pomme cuite avec quelques noix dessus. Elle la posa sur le support en bois qu’elles avaient fabriqué afin que sa mère puisse manger au lit.
-Oh, le soleil est revenu ! plaisanta la plus âgée. 
Les deux femmes mangèrent avec appétit, plongeant leurs cuillères dans la chair fondante. 
-Je crois que j’ai passé tant de temps dans ce lit qu’il est devenu une partie de moi.
“Il faudrait presque m’enterrer avec”. Anselma garda cependant cette réflexion morbide pour elle.
La guérisseuse posa sa main fraîche sur le front de sa mère. Au dehors, l’orage grondait toujours.
-Je pense que tu devrais aller mieux demain. Ta fièvre a un petit peu baissé. 
Anselma la remercia et but sa décoction. Le doux goût de la pomme restait sur ses lèvres. 
-Tu veux que je reste avec toi ? offrit la plus jeune, en souvenir de son enfance.
Anselma repoussa la courtepointe. Ce serait une bonne chose, ça les rassurerait toutes les deux. Mère et fille s’allongèrent, complice et rieuse, côté à côte. 
-Qu’’est-ce que c’est agréable d’être au chaud alors qu’il fait aussi mauvais ! s’exclama Anselma.
-Naí*, ce lit est un îlot de sécurité, compléta Ismène avec un sourire joyeux. 
*"Oui" en grec.
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maaarine · 7 months
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"C'est assez différent selon les pays, ce n'est pas inévitable qu'il n'y ait pas de filles en mathématiques.
Dans les pays du nord, il y a une meilleure parité. En Italie, les filles étaient pas loin de 35-40%.
L'Allemagne était pire que la France, mais depuis 15 ans, elle fait des efforts considérables, qui ont des effets significatifs: elle est passée de 15% à 23% de femmes mathématiciennes.
Alors qu'en France, il n'y a pas d'évolution. (…)
Plus y a de choix, plus les filles auront tendance à éviter les sciences.
Il y a sans doute des normes sociales qui font qu'elles sont meilleures globalement que les garçons dans le système éducatif.
Quel que soit le niveau, quelle que soit la discipline. Sauf en math, où il y a des petites différences au niveau du lycée, qu'on a du mal à comprendre.
Elles sont vraisemblablement liées à des menaces de stéréotypes: le fait de dire aux filles que là elles sont moins bonnes, fait que c'est une prophétie auto-réalisatrice.
Mais sinon, partout ailleurs elles sont meilleures.
Donc en fait, comme elles sont bonnes partout, elles vont se répartir équitablement.
Alors que les garçons, ils sont plutôt moins bons en lettres. Et puis il y a le stéréotype qui dit qu'un garçon va plus aller dans les sciences.
Donc eux ils ont moins de choix, parce qu'ils ne vont pas là où ils sont moins bons. (…)
Une étude montre que les lycéennes s'estiment moins aptes que les garçons à se diriger vers les filières scientifiques.
Parmi celles dont la moyenne excède 14/20 dans ces matières, 43% pensent être capables de suivre une formation en école informatique, contre 78% des garçons. (…)
En fait c'est vraiment la société qui leur dit que ce n'est pas leur place.
Par exemple, les études de médecine sont aussi difficiles, voire plus difficiles, que les études de mathématiques, et elles y vont et y réussissent en masse, parce que la société leur dit qu'elles peuvent.
Il y a vraiment quelque chose de très puissant, de culturel."
Source: La Science, CQFD: Mathématiques : debout les femmes !
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tomdiaryblog · 11 months
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Aujourd'hui c'est un intéressant travail de Sophie Legrand que je vous présente. Elle est française et mathématicienne. Elle explique son oeuvre d'art digital par ceci (je la cite) : "Dans la nature, la technologie et l'art, la forme de régularité la plus courante est la RÉPÉTITION : un seul élément répété plusieurs fois. Mais une autre forme est possible, dans laquelle des copies de plus en plus petites d'un motif sont successivement imbriquées les unes dans les autres, de sorte que les mêmes formes complexes apparaissent, peu importe à quel point vous "zoomez" sur l'ensemble. Les feuilles de fougère et le brocoli Romanesco sont deux exemples tirés de la nature"
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havaforever · 7 months
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LE THEOREME DE MARGUERITE -
Rivé aux émotions d’une mathématicienne qui se sent en décalage avec le monde, ce récit d’apprentissage passe par différentes atmosphères et s’appuie sur une mise en scène énergisante, des belles trouvailles et des moments de grâce.
Un peu prévisible mais touchant et souvent humoristique, ce film donne à ressentir la passion de Margueritte tout en explorant un milieu méconnu, très majoritairement masculin et concurrentiel. C'est ce qui fait l'intérêt du film, même si son charme réside bien ailleurs.
C’est la narration qui reste étonnante, faite de petits bouts étonnants comme les parties de majong clandestines, ou les scènes en boite de nuit avec la belle Noah. L'ensemble reste sans prétention, ce qui lui donne assez de rondeur pour reconnaître au film une capacité à exciter même l’imagination des non matheux desquels je fais partie. Rien d’évident à filmer le ping-pong intellectuel fait de fonctions et d'intégrales, mais il se mène comme un pas de deux à suspense, et on se laisse alors cueillir par le phrasé tremblé de la Franco-Suisse Ella Rumpf.
Malgré une fin un brin fleur bleue, Anne Novion réussit un pari difficile : restituer la fougue, la créativité, l’obsession de la recherche en mathématiques…rendre cinématographique une discipline réputée peu sympathique et à laquelle personne – ou presque – ne comprend rien.
Elle parvient à nous faire ressentir la passion de celles et ceux qui la pratiquent à un haut niveau tout comme ses applications dans la vie de tous les jours. Elle nous ouvre également les portes d'un monde finalement semblable à tant d'autres, gouverné par l'esprit de compétition, les abus de pouvoir et un certain machisme masculin. C’est sur le registre de la traduction du langage mathématique en langage cinématographique et poétique que le film s’avère le plus original. Les lignes de raisonnement et équations abstraites (et véridiques) se projettent sur les murs transformés en tableau noir, telles des hiéroglyphes indéchiffrables pour le commun des mortels.
NOTE 13/20 - Ella Rumpf, nous attache à son caractère presque autiste, comme en sont dotés certains HPI. Les esprits chagrins diront que tout est cousu de fil blanc dans la progression dramatique et que cette boss des maths finira bien à un moment ou à un autre par s'ouvrir un tant soit peu au monde extérieur et à l'amour, comme de bien entendu, pour un succédané de comédie romantique. 
Mais c'est justement ça qu'on aime.
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plaque-memoire · 1 year
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Plaque en hommage à : Sophie Germain
Type : Lieu de décès
Adresse : 13 rue de Savoie, 75006 Paris, France
Date de pose : mars 1894
Texte : Sophie Germain, philosophe et mathématicienne, née à Paris en 1776, est morte dans cette maison le 27 juin 1831
Quelques précisions : Sophie Germain (1776-1831) est une mathématicienne, physicienne et philosophe française. Elle se forme aux mathématiques en autodidacte, étudiant les travaux des plus grands mathématiciens de son temps comme Leonhard Euler ou Carl Friedrich Gauss. Elle correspondra d'ailleurs avec ce dernier, et avec d'autres figures scientifiques comme Joseph-Louis Lagrange, en se faisant passer pour un homme, sa féminité étant un obstacle à sa carrière scientifique. Une fois la supercherie dévoilée, elle sera toutefois reconnue comme mathématicienne, même si elle devra faire face à une opposition vis-à-vis de son sexe jusqu'à sa mort (son certificat de décès la décrit d'ailleurs comme rentière et non scientifique). Elle mène et publie nombre de travaux remarquables, s'intéressant à la théorie des nombres et au problème des surfaces vibrantes, proposant des travaux qui attirent l'attention (et parfois l'inimitié) de nombre de ses pairs, en particulier Adrien-Marie Legendre, son mentor. Atteinte d'un cancer du sein, elle meurt en 1831. Son nom est donné à de nombreux établissements scolaires.
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ernestinee · 1 year
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Le passage à la dizaine supérieure c'est toujours fastidieux chez mes patients. Ça demande une connaissance des quantités ET une représentation mentale, et il faut que les deux soient synchronisées.
On travaille ces deux compétences séparément en commençant par celle qui demande le moins d'efforts. Après on crée des petits énoncés qui utilisent les deux compétences.
Ici la petite choupinette propose elle-même (!!) des bateaux pour "une attraction qui fait peur" , il ne peut y avoir que 10 personnes par bateau et donc on remplit le bateau avant de voir combien il y en a dans le suivant omg omg elle a compris le ciel s'éclaircit les oiseaux chantent.
On manipule les Playmobil, on compte, on les fait faire la file pour entrer dans l'attraction. Puis je la vois tracassée. Plongée dans ses pensées. Je me dis que la Grâce des Mathématiques est en train de la toucher du doigt, qu'on est proches du déclic, que décidément mon métier est formidable, et je suis géniale et grâce à moi elle sera peut-être mathématicienne un jour, elle donnera des interviews "Et dire que j'étais dyscalculique, je n'en serais pas là aujourd'hui sans ma logopède qui a tout donné sans compter son temps, je lui ai d'ailleurs écrit deux pages de dédicace dans mon nouveau livre sur les intégrales des tangentes, big up à elle" bam bam voilà.
Et là.
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Elle ajoute un seau pour le Playmobil enceinte.
Hum.
Bon bah c'est pas synchronisé.
(On y est arrivées quand même)
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(et pour la petite histoire, le Playmobil a vomi avant d'entrer dans l'attraction parce qu'elle avait trop mal au dos, du coup elle a laissé sa place, c'était très réaliste les bruits de vomi, et heuuu on est bons pour la représentation mentale ^^ )
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nouveau-blog · 2 months
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Artiste ? Robot ? Comment au cœur de l’art la technologie se fait une place ?
Les recours des nouvelles technologies au cœur de l’art se fait une grande place, effectivement dans un monde hyperconnecté la place de la technologie dans l’art se fait de plus en plus ressentir. Utilisé le plus souvent dans les œuvres, elle est presque maintenant indispensable, et surtout permet une plus grand ouverture dans celle-ci, elle est le plus utilisé dans l’art contemporain, et souvent critiqué par les grands artistes qui considère que l’utilisation abusive de celle-ci fait perdre toute l’authenticité des œuvres.
Même si les avis sont très divisés, ici dans cet article je vais aborder le sujet de la technologie sous une nouvelle forme et un nouvel aspect mêlant la technologie et l’art sous un nouvel point de vue, celle de l’art contrôlé par la technologie.
Je vais donc parler de AI DA, une artiste différente des autres, qui mêle l’art et la technologie dans un renouveau.
AI DA est une artiste robot basé sur l’intelligence artificielle (IA), plus précisément, Ai-Da est une gynoïde (robot humanoïde sous l’apparence d’une femme), achevée en 2019 qui intègre des algorithmes issus de l'infographie et de l'intelligence artificielle et qui réalise des dessins, de la peinture et des sculptures. Equipé d’un algorithme, elle intègre des œuvres déjà réalisé et crée à partir de celle-ci ses propres œuvres.
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Pour réaliser ses œuvres, Ai-Da regarde d’abord ce qui se trouve devant elle grâce aux caméras qui se cachent dans ses yeux, l’intelligence artificielle développée par les scientifiques des universités d’Oxford et de Leeds (Royaume-Uni) interprète ensuite cette image pour envoyer des ordres à son bras robotisé, sa main se met à bouger petit à petit pour créer une image qu’on peut jamais prédire à l’avance.
Portant le nom de Ada Lovelace, qui était une grande mathématicienne, informaticienne, programmeuse, mais qui malheureusement par son statut (noblesse) et son genre ne fut jamais reconnu de son temps, notre gynoïde conçu par le professeur/directeur de la BARN GALLERY AIDAN MELLER,  peut donc peindre, sculpter, dessiner et même écrire, tout ça grâce a une grande panoplie de données qui sont intégrées puis remanier pour créer de nouvelle œuvres.
Mais quel est donc le but de cela ? Que permet-il de comprendre ?
Il faut savoir que les œuvres que conçoit notre robot, permet de s'interroger sur le rôle de l’IA dans l’Art, et même si cela parait très paradoxale elle est réellement la personnification de l’Art et de la technologie, et surtout elle permet de créer un pont entre notre monde et celui de l’IA, "Nous voulions explorer les usages et les abus de l’IA aujourd’hui, parce que nous sommes préoccupés par la prochaine décennie qui arrive brutalement et les questions éthiques qu’elle pose", explique Aidan Meller à l’agence Reuters, lorsque l’on lui demande le but de cette humanoïde en tant qu’artiste.
Lorsque l’on demande l’avis de Ai Da sur la question de l’utilisation des technologies dans l’art, elle répond ainsi : "Les nouvelles technologies peuvent être source du meilleur comme du pire. Tenter de freiner leur utilisation négative est une grande responsabilité dont nous devrions tous prendre notre part."
Je vais donc vous présenter certaines de ses ouvres qui vous permettront de comprendre un plus l’art de cette artiste.
Ses œuvres sont un peu partout, répartis dans le monde entier et notamment exposées a « la biennale du design » à Londres.
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Ai Da a déjà à son active plusieurs autres expositions faites, donc notamment celle dont nous allons parler, « Portrait of a Robot », cette exposition soulève plusieurs questions, mais revient toujours à celle du début, l’Art et la technologie, effectivement dans cette exposition on a donc un paradoxe entre le mot « moi » et le mot « portait », comment un robot, qui n’a pas de conscience peut avoir un « moi » ?
Et bien justement cette exposition permet se faire un avis à chacun, tandis que certains pourront trouver cela totolement normal d’autres diront qu’ils trouvent cela très étonnant et surtout pas très commun, ce qui est le but rechercher car à travers ces questionnements on permet aux humains de comprendre un peu plus cette grande place qu’a pris la technologie et comment elle modifie nos sens et nos perceptions.
Voici quelques ouvres de cette exposition que vous pouvez voir dans cette vidéo :
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Pour conclure, je dirais que le plus important est de s’informer, je pense que vous devriez chacun vous faire votre avis, en étudiant le sujet par vous-même pour vous faire votre propre avis et surtout de comprendre le but de cette grande œuvre, car oui n’oublions pas que avant d’être une artiste, Ai Da est d’abord avant tout une œuvre, elle permet de comprendre de l’impact de la technologie dans l’art mais elle est avant cette même technologie dans son Art.
Je pense que le fait de nous montrer l’impact de celle-ci par un artiste robot permet de mieux comprendre, si nous arrivons a créer des robots capable de si grande choses en ayant seulement une base de données sur l’art comment savoir comment si la technologie ne va pas prendre contrôle de tout l’humanité ? Et bien il ne faut pas oublier sans humains cela n’est pas possible, alors n’ayant pas peur, cela ne se passera surement pas comme ça.
Malgré tout je pense que sans la technologie beaucoup d’œuvres n’aurait pas pu voir le jour, elle est avant tout primordiale et prend une grande place dans notre monde, que ca soit dans le monde de l’art ou dans la vie de tous les jours.
Elodie Aktil.
sources :
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francepittoresque · 2 years
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10 septembre 1749 : mort de la mathématicienne et physicienne Émilie du Châtelet, amante de Voltaire ➽ https://bit.ly/3P7tE3B Sensualiste et épicurienne, formée aux disciplines scientifiques depuis son enfance, elle fut l’interlocutrice privilégiée de Voltaire, la divulgatrice de la pensée de Newton et de Leibniz, et l’auteur des « Institutions de Physique » ainsi que d’une « Dissertation sur la nature et la propagation du feu »
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Recherches du visage de Nancy
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Recherches du corps, des habits et accessoires de Nancy et de ses silhouettes (avec et sans son manteau)
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Le rough sur Procreate
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Le propre sur Procreate
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Post #112
Un personnage que j'ai créé du rough jusqu'au propre. Je me suis rendue compte que je n'avais pas assez mis en évidence mes recherches du personnage d'Anastasia Marie donc je lui donne ici une amie: Nancy de Ixe.
En faisant des recherches sur le visage, les habits et les couleurs de celle-ci, j'ai cherché à exprimer sa personnalité au mieux: ce qu'elle montre aux autres (évoqué par le manteau épais et lourd d'un rouge vif qu'elle porte, ses lunettes de soleil,...) et ce qu'elle dissimule (l'expression mélancolique qu'elle cache derrière ses lunettes, les habits et le corps d'une couleur plutôt pastel et bleutée qu'elle cache derrière son manteau).
Nancy est la fille d'une grande mathématicienne (et une princesse, selon les rumeurs), réservée et froide, têtue et irritable, mais aussi une véritable rêveuse qui préfère passer ses journées confinée dans sa chambre à regarder les étoiles au lieu de fréquenter les soirées de sa mère.
Technique utilisée: Crayon couleur, feutre couleur, digital (Procreate)
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moradadabeleza · 2 years
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kuma
mathématicienne - 019
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omagazineparis · 4 months
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Il était une femme... Donatella Ponziani, ingénieure à L'ESA
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Il était une femme... est une série de portraits sur les femmes et pour les femmes. Aujourd’hui, il était Donatella Ponziani, mathématicienne et ingénieure à l’ESA (l’agence spatiale européenne).  Nous voici à l’intérieur de L’ESA où Donatella Ponziani m’accueille le sourire et l’accent italien. Pour commencer, l’ingénieure se présente en trois parties :  son moi professionnel, son moi personnel et son moi social.  Son moi professionnel est un moi passionné en quête de créativité et de nouveauté : « Je suis née l’année des premiers pas de l’Homme sur la lune. J’avais seulement quelques mois mais c’est peut-être une aura qui m’a accompagnée. Depuis mon plus jeune âge, je suis intéressée par les mathématiques et la physique. Tandis que la passion pour le spatiale est venue un peu par hasard. Après mes études de mathématiques, j’ai fait un doctorat ingénierie mécanique et là j’ai pu commencer à travailler sur des projets spatiaux. Évidemment, il y a eu plusieurs étapes. D’abord de nombreuses recherches à l’université en postdoctoral. Ensuite, j’ai élaboré plusieurs programmes dans des agences spatiales (comme le centre italien de recherche aérospatiale, puis le CNES (centre national d’études spatiales) et l’ESA en 2007). Et dernièrement j’évolue dans la stratégie et le management stratégique. Je suis également chargée des applications spatiales au sein de L’ESA.».  Concernant  la disparité entre les hommes et les femmes dans les milieux scientifiques, Donatella Ponziani affirme : «  Il n’y a pas de métier d’homme, il n’y a que des métiers de compétences. Hommes et femmes raisonnons différemment, mais c’est là l’enrichissement et la complémentarité. Régulièrement, je suis à une réunion avec vingt hommes et je suis la seule femme pourtant je ne ressens aucune différence. C’était plus compliqué lorsque j’étais jeune avec des hommes qui avaient plus d’expérience, j’ai pu ressentir un certain népotisme. Évidemment, aujourd’hui encore il y a plus d’hommes que de femmes dans les milieux scientifiques (les femmes représentent moins de 30% de l’effectif total des étudiants dans l’ingénierie), elles doivent savoir s’éjecter, oser sortir des stéréotypes. ».  À lire aussi : Le parcours inspirant de Maëva Bentitallah de Clever Beauty  Enfin, Donatella Ponziani nous raconte son moi personnel : «  Je suis née dans le centre d’Italie, une petite ville de province de 5000 habitants, mon père était ingénieur et ma mère ne travaillait pas. Aujourd’hui, je suis mère de deux enfants, j’ai fait en sorte qu’ils soient dès le plus jeune âge indépendants. Je me dédie totalement à eux lorsque je suis en dehors du milieu professionnel. Ils sont mon île de ravissement lorsque quelque chose ne va pas. ».  Pour finir, la scientifique évoque son moi sociale : «  J’ai beaucoup d’amis, je suis curieuse de tout. Avoir des contacts avec des personnes qui viennent d’un milieu professionnel différent est très enrichissant. C’est quelque chose qui me nourrit et me rend vivante. »  Il était Donatella Ponziani, ses mille vies et recherches spatiales.  N’hésitez pas à partager et commenter l’article   !  Read the full article
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droitsdesfemmes · 5 months
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Ada Lovelace, daguerréotype - Antoine Claudet - Vers 1843.
Ada Lovelace, née le 10 décembre 1815, s'est distinguée comme une figure fondatrice de l'informatique, ayant conçu le premier programme informatique à l'ère victorienne. Issue d'une lignée illustre, elle était la progéniture du poète renommé Lord Byron et de l'érudite mathématicienne Anne Isabella Milbanke. Son mariage en 1835 avec William King-Noel, comte de Lovelace, l'éleva au rang de baronne Lovelace.
Dotée d'une intelligence remarquable et d'une curiosité insatiable, Ada se lança dès l'adolescence dans l'étude de la mécanique du vol des oiseaux, aspirant à concevoir des modèles d'ailes innovants. Son intérêt prononcé pour les mathématiques et l'anatomie animale, considéré comme atypique pour une femme de son temps, la motiva à braver les contraintes sociales et sexistes de l'époque pour poursuivre son éducation dans ces domaines.
Ada a reçu une éducation en mathématiques et en sciences à un niveau exceptionnel pour une femme de son époque, en partie à cause de l'influence de sa mère. Cela a été crucial dans le développement de ses compétences en mathématiques et en analyse.
L'année 1832 marqua un tournant décisif dans sa vie : elle rencontra Mary Somerville, une éminente scientifique qui la présenta à Charles Babbage, le créateur de la machine analytique, précurseur de l'ordinateur moderne. Captivée par ses travaux, Ada entama une collaboration étroite avec Babbage après avoir repris ses études scientifiques en 1839 sous la direction d'Auguste de Morgan.
En 1843, Ada Lovelace réalisa un exploit majeur : elle développa un algorithme pour le calcul des nombres de Bernoulli à l'aide de la machine de Babbage, jetant ainsi les bases du premier programme informatique. Elle a non seulement écrit le premier algorithme conçu pour être exécuté par une machine, mais elle a également perçu la capacité des machines à aller au-delà de simples calculs numériques. Elle a envisagé des applications futures, y compris la création de musique, ce qui est une vision très en avance sur son temps. Malheureusement, ses contributions révolutionnaires ne furent pas reconnues de son vivant, et elle fut souvent critiquée pour ses recherches scientifiques non conventionnelles, souvent décrites comme « poétiques ».
Ada a lutté contre divers problèmes de santé tout au long de sa vie. Il est souvent mentionné qu'elle est décédée d'un cancer de l'utérus, mais certaines sources suggèrent qu'elle pourrait avoir succombé à des complications liées à des saignées thérapeutiques. Elle a quitté ce monde prématurément à l'âge de 36 ans en 1852.
Ce n'est que dans les années 1970 que l'héritage d'Ada Lovelace fut pleinement reconnu et célébré, notamment avec la création en son honneur, du langage de programmation Ada. Aujourd'hui, en utilisant un ordinateur, il est essentiel de se souvenir que nous lui devons une part significative de cette technologie. Sa reconnaissance en tant que pionnière de l'informatique s'est considérablement accrue au fil des ans, avec de nombreuses références dans la culture populaire et la célébration de la journée Ada Lovelace.
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