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#nouveaux philosophes
bocadosdefilosofia · 3 months
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«No ignoro, por supuesto, que Dios ha muerto desde que Nietzsche lo dijera: pero creo en las virtudes de un espiritualismo ateo frente a la apatía y a la resignación contemporáneas —algo así como un libertinaje austero para épocas de catástrofe. Tampoco creo en el Hombre y quisiera repetir junto con mis sanos maestros que él está en trance de desaparecer del escenario del pensamiento: pero creo simplemente que sin determinada idea del Hombre, el Estado se apresurará a ceder a los vértigos del fascismo vulgar. No otorgo el menor crédito teórico a lo que los marxistas llaman libertades formales: pero prácticamente, aquí y ahora, no veo cómo negarles el fabuloso poder de instituir y preservar una división de la sociedad, de oponer un dique, por consiguiente, a la tentación bárbara. Vale decir que nos encontramos en la turbadora posición de ya no poder contar, para zanjar una cuestión política, con otra cosa que las herramientas más frágiles e inseguras. Ya es hora, acaso, de escribir tratados de moral. »
Bernard Henry-Lévy: La barbarie con rostro humano. Monte Ávila Editores, C. A., págs. 192. Caracas, 1978.
TGO
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Deux réflexions de Georges Canguilhem sur la santé
«Les normes de vie pathologiques sont celles qui obligent désormais l’organisme à vivre dans un milieu "rétréci”, différent qualitativement, dans sa structure, du milieu antérieur de vie, et dans ce milieu rétréci exclusivement, par l’impossibilité où l’organisme se trouve d’affronter les exigences de nouveaux milieux, sous forme de réactions ou d’entreprises dictées par des situations nouvelles. Or, vivre pour l’animal déjà, et à plus forte raison pour l’homme, ce n’est pas seulement végéter et se conserver, c’est affronter des risques et en triompher. La santé est précisément, et principalement chez l’homme, une certaine latitude, un certain jeu des normes de la vie et du comportement. Ce qui la caractérise c’est la capacité de tolérer des variations des normes
auxquelles seule la stabilité, apparemment garantie et en fait toujours nécessairement précaire, des situations et du milieu confère une valeur trompeuse de normal définitif. L’homme n’est vraiment sain que lorsqu’il est capable de plusieurs normes, lorsqu’il est plus que normal. La mesure de la santé c’est une certaine capacité de surmonter des crises organiques pour instaurer un nouvel ordre physiologique, différent de l’ancien. Sans intention de plaisanterie, la santé c’est le luxe de pouvoir tomber malade et de s’en relever. Toute maladie est au contraire la réduction du pouvoir d’en surmonter d’autres. […] Il ne peut rien manquer à un vivant, si l’on veut bien admettre qu’il y a mille et une façons de vivre.» (Georges Canguilhem, La Connaissance de la vie, 1952)
«À partir du moment où "santé" a été dit de l’homme en tant que participant d’une communauté sociale ou professionnelle, son sens existentiel a été occulté par les exigences d’une comptabilité […]
L’élargissement historique de l’espace où s’exerce le contrôle administratif de la santé des individus a abouti, dans le présent, à une Organisation mondiale de la santé qui ne pouvait pas délimiter son domaine d’intervention sans publier, elle-même, sa propre définition de la santé. La voici: “La santé est un état de complet bien-être physique, moral et social, ne consistant pas
seulement en l’absence d’infirmité ou de maladie.” […] Ce discours est celui de l’Hygiène, discipline médicale traditionnelle, désormais récupérée et travestie par une ambition socio-politico-médicale de règlement de la vie des individus […] L’hygiéniste s’applique à régir une population. Il n’a pas affaire à des individus. Santé publique est une appellation contestable.
Salubrité conviendrait mieux. Ce qui est public, publié, c’est très souvent la maladie. Le malade appelle à l’aide, attire l’attention ; il est dépendant. L’homme sain qui s’adapte silencieusement à ses tâches, qui vit sa vérité d’existence dans la liberté relative de ses choix, est présent dans la société qui l’ignore. La santé n’est pas seulement la vie dans le silence des organes, c’est aussi la vie dans la discrétion des rapports sociaux.» (Georges Canguilhem, La Santé. Concept vulgaire et question philosophique, conférence donnée à Strasbourg en 1988)
Il est clair qu’aucun des télétoubibs, membres du Conseil pseudo-scientifique, journalistes ou politiques covidiotistes n’a jamais lu une ligne du plus grand philosophe français de la médecine…
Les champs sémantiques recouverts par les termes de "santé" et de "numérique" sont originellement disjoints et n’ont radicalement rien à faire ensemble, sauf à vouloir induire un forçage idéologique voué à la catastrophe humaine et sociale.
Le corps, c’est la part de "nature" qui entre dans la constitution du sujet.
Plus la "nature" (même étymologie que naissance) tarde à se venger des offenses commises contre elle, plus sa vengeance est cruelle…
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proustian-dream · 7 months
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Ensoñaciones líricas sobre Joseph Cornell:
-Cajas poéticas: Homage to the Romantic Ballet, 1942; Nouveaux Contes de Fées (New Fairy Tales), 1948; Untitled (Butterfly Habitat), c. 1940. On a moonlight night in the winter of 1835 the carriage of Marie Taglioni was halted by a Russian highwayman, and that ethereal creature commanded to dance for this audience of one upon a panther’s skin spread over the snow beneath the stars. From this actuality arose the legend that, to keep alive the memory of this adventure so precious to her, Taglioni formed the habit of placing a piece of ice in her jewel casket or dressing table drawer, where melting among the sparkling stones, there was evoked a hint of the starlit heavens over the ice-covered landscape.
-Apariciones de tendajón de María Negroni (en el medio Marcel Duchamp) en Elegía Joseph Cornell. Un rosebud una frágil familia de signos un tiempo perdido en el tiempo un juguete de trapo un memento un gran pájaro sabio.
-Una definición de las cajas del propio Cornell: "Perhaps a definition of the box could be as a kind of ‘forgotten game,’ a philosophical toy of the Victorian era, with poetic or magical ‘moving parts,’ … that golden age of the toy alone should justify the ‘box’s’ existence” (Cornell Papers, The Art Institute of Chicago)
-Stills de la película-collage Rose Hobart (1936). Eclipse, azul de eternidad, corte de mujer. Dice P. Adams Sitney sobre el cine de Cornell: "Two principles of cinema emerge: that facial expression and gesture are its essential language and, more crucially, that the coming of sound has destroyed the immanent spiritual music of films. In this difficult time for cinema — the era of the sound film — the “poetic and evocative language” can appear only in “evanescent fragments” and their “realms of wonder” are necessarily mediated by the memory of silent films." (Visionary Film: The American Avant-Garde, 1943–2000)
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leadeschamps · 1 year
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Une société comme la nôtre qui est basée sur le fait d’alimenter constamment notre désir de consommation, qui ne peut tout simplement pas fonctionner sans nous faire miroiter de nouvelles choses brillantes, que ce soit de nouveaux vêtements, de nouvelles voitures… C’est une société qui est essentiellement conçue pour la recherche de nouveaux jouets. Ce qui est amusant, c’est qu’aucun de ces objets n’est décrit comme un jouet. On ne dit pas du dernier iPhone ou de la dernière voiture que ce sont des jouets, on les décrit comme les outils indispensables de l’âge adulte. Et les choses qu’on qualifie d’enfantines, comme vouloir changer le monde et en particulier les actions responsables de l’anéantissement de la vie sur Terre, sont dépeintes comme un fantasme enfantin idéaliste et irréaliste.
Susan Neiman (philosophe américaine spécialiste des Lumières), Grandir, Éloge de l’âge adulte à une époque qui nous infantilise, 2021 Les idées larges avec Susan Neiman, série documentaire Arte, « Peut-on grandir sans se trahir ? »
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SAMEDI 17 JUIN 2023 (Billet 3/3)
Avez-vous remarqué le nombre de fois, à la télé, à la radio ou dans les journaux, où les journalistes prennent tous les prétextes pour affoler les gens sur ChatGPT ou dénigrer cette « application ».
Nous n’allons pas entrer dans la polémique sur les dangers que représente ChatGPT, chacun a son opinion sur le sujet… mais sur leurs commentaires au sujet de cette « Intelligence Artificielle » qu'ils ne trouvent justement pas si intelligente que ça - c’est d’ailleurs à se demander pourquoi ils en ont si peur !
Et la dernière volée de bois vert qu’« elle » (nous mettons ChatGPT au féminin) a reçue, c’est quand on lui a fait passer tout dernièrement l’épreuve Philo du Baccalauréat.
Il y a eu entre autres une "confrontation" entre un célèbre et médiatique philosophe (Raphaël Einthoven pour ne pas le nommer) et ChatGPT, puis avec divers intellectuels. Bien sûr les copies étaient anonymisées pour ne pas influencer les examinateurs. A chaque fois ChatGPT a été « ridiculisée ». Par exemple, R. Einthoven a obtenu un 20 sur 20 et ChatGPT, un petit 11 sur 20. Mais vous remarquerez que ces « confrontations » n’ont jamais été organisées entre des lycéens lambda et elle. N’oublions pas que cette épreuve de Philo était destinée à des lycéens de l’« enseignement général » et « technologique ». Nous aurions été curieux de savoir ce que cela aurait alors donné.
Au fait, quels étaient ces sujets ?
Bac de philo 2023 : les candidats avaient le choix entre :
une explication de texte avec un extrait de « La Pensée sauvage » de Claude Lévi-Strauss
et deux sujets de dissertation :
« Le bonheur est-il affaire de raison ? » et
« Vouloir la paix, est-ce vouloir la justice ? ».
Evidemment, vous nous connaissez, nous n’avons pas résisté au plaisir de choisir le sujet qui nous aurait personnellement intéressé et l’avons proposé à ChatGPT : « Le bonheur est-il affaire de raison ? »
Mais en lui posant la question du sujet, nous avons ajouté quelques paramètres personnels (nos goûts dans divers domaines, des critères que nous considérons essentiels, l’envie d’être un peu original, etc.) et demandé à ChatGPT d’en tenir compte. Et puis, pour finir, d’être brève. Nous ne voulions pas une vraie dissertation mais plutôt 2 ou 3 petits paragraphes pour bien préciser notre point de vue à des interlocuteurs éventuels (pourquoi pas des lecteurs/abonnés du Blog…).
Aussitôt envoyée, aussitôt reçue sa réponse… et ce, en une fraction de seconde !
Nous ne savons pas ce que vous allez en penser, mais nous, ça nous a très bien convenu.
« Imaginez que le bonheur soit une recette de cuisine que l’on souhaiterait délicieuse. La « raison » serait alors l'un des ingrédients clés, mais pas le seul. Pensez-y comme une pincée de sel dans un plat exquis. La « raison » peut nous aider à évaluer nos choix, à prendre des décisions éclairées et à trouver un équilibre dans notre vie. Cependant, comme toute recette, le « bonheur » nécessite également d'autres éléments. Ajoutons une cuillerée de passion. Laissez-vous emporter par les choses qui vous enthousiasment et qui vous donnent un sentiment de satisfaction profonde. Ensuite, mélangeons une poignée de relations significatives : les liens que nous créons avec les autres, l'amour, l'amitié… Ce sont des ingrédients indispensables pour une vie heureuse. N'oublions pas d'ajouter une touche d'aventure. Sortez de votre zone de confort, explorez de nouveaux horizons, relevez des défis excitants. Le « bonheur » a souvent un goût exquis lorsqu'il est accompagné d'un soupçon d'audace. Enfin, assaisonnons le tout avec un peu de gratitude. Appréciez les petites joies de la vie, soyez reconnaissant pour ce que vous avez et cultivez une attitude positive envers les choses qui vous entourent. Donc, si l'on considère le « bonheur » comme une recette, la « raison » serait un ingrédient important, mais pas le seul. Une combinaison savoureuse de « raison », de passion, de relations, d'aventures, de voyages et de gratitude peut créer un mélange délicieux pour atteindre le « bonheur » dans nos vies. »
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Et vous, quel sujet vous auriez tenté ?
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mybeingthere · 2 years
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Martial Raysse is a French artist and actor born in Golfe-Juan on in 1936. He lives in Issigeac, France. 
Raysse was born in a ceramicist family in Vallauris and began to paint and write poetry at age 12. After studying and practising athleticism at a high level, he began to accumulate rubbish odds and ends that he preserved under plexiglas. In 1958, he exhibited some of his paintings with Jean Cocteau at Galerie Longchamp.
Fascinated by the beauty of plastic, he plundered low-costs shops with plastic items and developed what became his "vision hygiene" concept; a vision that showcases consumer society. This work received attention and critical praise in 1961, and at a commercial gallery in Milan, his exhibition sold out 15 minutes before the opening. Raysse then traveled to the United States to get involved with the pop art scene in New York City.
In October 1960, Raysse, together with Arman, Yves Klein, François Dufrêne, Raymond Hains, Daniel Spoerri, Jean Tinguely, Jacques Villeglé and the art critic and philosopher Pierre Restany founded the group Nouveaux Réalistes. The group was later joined by César, Mimmo Rotella, Niki de Saint Phalle and Christo. This group of artists defined themselves as bearing in common a "new perspective approaches of reality". Their work was an attempt at reassessing the concept of art and the artist in the context of a 20th-century consumer society by reasserting the humanistic ideals in the face of industrial expansion.
In 2011 Raysse's painting, Last Year in Capri (Exotic Title), sold for $6.58 million at Christie's auction, the most expensive price paid for a work by a living French artist. The sale coincided with a resurgence in interest among collectors for Raysse's work. Attention to Raysse had waned after he moved into classicist painting in the 1960s while abstraction was peaking. The 1993 purchase of his work and commissions by billionaire François Pinault drew more attention to Raysse.Raysse acted in Jean-Pierre Prévost's 1971 film Jupiter. He then wrote and directed the 1972 film Le grand départ.
https://www.wikiart.org/en/martial-raysse
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emstar13 · 1 year
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RÉFLEXION SUR LES ENJEUX ENTOURANT L’ENVIRONNEMENT NUMÉRIQUE
Nous sommes en train de vivre la troisième révolution industrielle [1].
Amorcée à la fin du vingtième siècle, cette ère économique se caractérise par l’émergence de nouvelles sources d’énergie et de nouvelles formes de communication. Cela se traduit dans notre vie quotidienne par un changement profond dans la façon dont nous travaillons et nous consommons.
Désormais, nos objets sont qualifiés de connectés ou d’intelligents. Le lien de travail se dématérialise avec la normalisation du télétravail. Grâce à un réseau Internet performant, nous restons informés en temps réel de ce qu’il se passe dans le monde. Quant au divertissement, le contenu disponible sur Internet en constitue une source inépuisable.
À notre époque des réseaux sociaux et du tout numérique, notre société est confrontée à de nouveaux enjeux qui ont un impact sur la façon dont nous appréhendons le monde :
la collecte, l’utilisation et la protection de nos données personnelles par les acteurs de l’Internet et les gouvernements ;
l’essor de l’intelligence artificielle et l’impact sur nos emplois ;
la protection de notre vie privée et notre libre arbitre par rapport au partage de nos informations personnelles ;
la cyberintimidation, et la façon dont nous en traitons les conséquences dans la vie réelle ;
la pollution engendrée par la création de déchets numériques, l’extraction de métaux rares et le besoin accru d’électricité mondialement, dont 64 % sont de source fossile. [2]
L’ALGORITHME ET LE BIG DATA
L’environnement numérique dans lequel nous vivons remet en cause nos repères. Le philosophe Thomas d’Aquin affirmait qu’il « ne croyait que ce qu’il voyait ». Cette sagesse populaire est remise en cause par les 4,2 milliards [3] d’utilisateurs de réseaux sociaux sur Terre, qui, chaque minute, font défiler leurs fils d’actualité personnalisés par un algorithme de recommandation.
Son rôle ? Recueillir des informations concernant nos habitudes d’achat, de voyage, ou encore de type de contenu visionné pour ensuite nous proposer du contenu similaire. Ce ciblage appauvrit la diversité et la pluralité de ce qui nous est proposé, accentuant de fait notre biais cognitif. Ainsi, à l’inverse de Thomas d’Aquin, nous ne voyons que ce que nous croyons déjà.
L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
Les progrès dans le domaine de l’intelligence artificielle alimentent les inquiétudes concernant le remplacement des êtres humains par les machines.   
Grâce à cette avancée technologique, les chaînes de productions automatisées, comme on trouve par exemple dans l’industrie automobile, atteindront bientôt un nouveau niveau d’autonomie. Alors que jusqu’à présent, les robots exécutaient des tâches programmées par un humain, nous pouvons envisager qu’il devienne responsable de la prise de décision concernant son travail dans un avenir proche.
Serons-nous assez prudents pour réguler et encadrer l’utilisation de l’Internet des objets afin qu’il reste un outil au service des êtres humains ? En plus des aspects sociaux de cet enjeu, et de son impact sur le travail, il ne faut pas négliger la question éthique. Si on parle de « prise de décision » par un robot, devrons-nous envisager de lui octroyer des droits et des libertés aussi ?
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PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE
Voici un autre paradoxe de notre époque. Chacun, lorsqu’il commente une publication, se géolocalise sur une photo ou visionne une vidéo, offre ses informations personnelles à des entreprises privées qui les utiliseront ensuite à des fins marketing. De façon anodine, chacun de nos clics vient alimenter les mégadonnées numériques brutes [4].
Lorsque nous accédons à un site Internet et que nous acceptons les témoins de navigation, nous laissons une trace de notre passage. Ces données valent de l’or, car elles permettent un ciblage encore plus affiné des offres commerciales qui nous sont proposées. Or, les mêmes techniques de marketing ciblé peuvent être utilisées à des fins de lobbying ou de campagne politique, par exemple. Barack Obama fut le premier candidat aux élections présidentielles américaines, en 2008, à mettre en place une stratégie de campagne sur Facebook, premier réseau social à l’époque. Selon certains, c’est cette utilisation novatrice du réseau social de référence qui attribua la victoire au candidat Obama. [5]
Afin de garantir la protection de nos données personnelles contre des cyberattaques toujours plus fréquentes, les entreprises comme les gouvernements devront adapter leur technologie à un rythme plus soutenu que ces acteurs malveillants.
LA POLLUTION
La dématérialisation des objets et des transactions contribue à l’accroissement des rejets de gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère. Selon Greenpeace [6], la fabrication d’un téléviseur émet autant de GES qu’un vol commercial de 3 heures et nécessite une énorme quantité d’énergie fossile et d’eau. Moins connues, les conséquences engendrées par la pression due à l’extraction de métaux rares sur les humains sont dévastatrices. Dans certains pays, les retombées économiques de ces activités profitent aux entreprises illicites plutôt qu’aux populations locales. Sans parler de la quantité de déchets créés, conséquence directe de l’obsolescence rapide de nos appareils électroniques qui ne sont pas recyclés adéquatement.
Le caractère virtuel de ce qui se trouve sur Internet nous laisse croire que nos actions n’entraînent aucune conséquence dans la vie réelle. Lorsque nous téléversons une photo sur un réseau social, ou envoyons un simple courriel, ces données seront stockées dans un nuage qui se traduit physiquement par des serveurs informatiques énergivores de taille industrielle. Selon certaines études, le trafic sur Internet pourrait représenter jusqu’à 20 % de la consommation électrique mondiale d’ici 2030. [7]
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LA CYBERINTIMIDATION
Derrière un écran, les personnes malintentionnées ont tendance à penser que ce qui se passe dans le monde virtuel n’a aucune incidence dans la vie réelle. Sous couvert d’anonymat, ceux-ci font de la cyberintimidation leur mode de vie. Ils insultent, humilient et menacent sans vergogne, laissant libre cours à leur tempérament méchant et mesquin, dans le seul but de blesser leur victime.
L’intimidation, la violence verbale, les menaces sont interdites sur Internet aussi [8]. La mise en place d’un code de conduite, la nétiquette [9], dont le but est de favoriser une communication respectueuse et polie sur Internet, contribue à harmoniser les échanges dans la communauté. Cependant, il appartient aux législateurs de renforcer les conséquences réelles de tels agissements, et de protéger les victimes. Seule une éducation à l’utilisation responsable des réseaux sociaux et d’Internet permettra aux utilisateurs, dès le plus jeune âge, de comprendre les limites de ce qu’il est acceptable de dire ou de faire dans la sphère virtuelle.
Économiques, environnementaux, sociaux et éthiques, les enjeux de l’environnement numérique dans lequel nous évoluons ont de multiples tenants et aboutissants, qui vont au-delà de ce que nous pouvons envisager.
En tant qu’utilisateur d’Internet, mais aussi en tant qu’étudiant, travailleur, consommateur ou parent, nous avons un rôle à jouer. Afin que la sphère numérique reste un outil au service des êtres humains, l’éducation à une utilisation responsable des ressources numériques doit être une priorité.
[1] https://magazine.wharton.upenn.edu/issues/summer-2015/welcome-to-the-third-industrial-revolution/
[2] https://www.hydroquebec.com/a/decarboner.html
[3] https://www.lapresse.ca/affaires/techno/2021-01-27/plus-de-4-milliards-d-utilisateurs-des-reseaux-sociaux-dans-le-monde.php
[4] https://www.cairn.info/revue-les-enjeux-de-l-information-et-de-la-communication-2016-2-page-253.htm
[5] https://www.usnews.com/opinion/articles/2008/11/19/barack-obama-and-the-facebook-election
[6] https://www.greenpeace.fr/la-pollution-numerique/
[7] https://www.hydroquebec.com/a/decarboner.html
[8] https://educaloi.qc.ca/capsules/cyberintimidation-les-gestes-interdits/
[9] https://blog-de-geekette.com/communication-pro/la-netiquette-le-savoir-vivre-du-web/
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lonesomemao · 19 days
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IL SE PEUT ...
Gustavo Bueno
Philosophe espagnol franquiste
Années 70 dans le discret
Il continua le franquisme
Après Franco
La Rose rouge
De l'hispano-cubano
Moyens nouveaux
D'où Vox enfumage
Repéré par les antifachos
Jeudi 30 mai 2024
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omagazineparis · 1 month
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Candidate à la présidence de la République
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Je me lance dans le fantasme social de devenir Présidente de la République. Votez pour moi ! En préparation à cet évènement politique et social qui saura vous obnubiler malgré tous les soucis courants, en ajoutant de nouveaux frissons aux angoissants mois précédents, je me lance dans mon histoire un peu rêvée de ma conquête présidentielle. Alors, pour ouvrir mon programme électoral qui sera exposé avec la régularité d’un métronome, je fais ici ma déclaration de candidate à la présidence de la République. Faites-en ce que vous voulez : commentez, donnez des idées, envoyez vos encouragements, moquez-vous de moi. Je n’attends que ça. Le discours électoral de la candidate à la présidence Merci d’avoir accepté mon invitation dans ce lieu prestigieux pour la France, et si riche de signification pour moi. Merci d’être là pour cette rencontre au Musée du Louvre. Le Louvre qui nous accueille est le lieu parfait pour vous parler de ma candidature présidentielle pour 2022. Oui ! Oui, chères citoyennes, chers citoyens, chers exclus, chers sans-avenir, chers sacrifiés, chers gilets jaunes, chers restes… Oui, je me présente aux élections présidentielles de 2022, et je vous ai conviés à cette rencontre pour que vous, mes amis, vous en soyez les premiers témoins. Je me présente et je vous l’annonce. En 2022, je serai présente avec la ferme intention d’être Présidente. C’est une sorte d’honorable sacrifice que je fais. Car il faut que ça change, parce que le monde va de mal en pis, parce que l’on veut nous faire croire que ça a toujours été ainsi. Alors je me lève pour nous et je serai votre Présidente. Résumé du programme Mon programme tient en quelques points stratégiques et en un seul principe : le respect de l’humanité et de la France. C’est-à-dire pour moi : - Amélioration concrète de notre cadre de vie en mettant la Science au service de la qualité de notre quotidien, et en diminuant réellement toute forme de pollution. - Mise en place des moyens d’épanouissement de chacun, pour que la culture brille de toute sa lumière dans tous les coins du monde. Pas d’inquiétude. Il y a du concret derrière ces grandes phrases qui se liront encore sur mes affiches que j’aurai moi-même collées sur les piliers du périphérique. Et puis vous trouverez mon programme électoral dans mes prochains articles (à publication régulière de métronome). Et puis mince ! Certes ! Vous le trouverez sans doute très incomplet par endroits, il l’est, j’en suis convaincue. Et puis il est naïf aussi. Mais je compte bien le concrétiser avec vous quand il sera l’heure d’agir. Candidate à la présidence, j’offre ma vie En 2022, à 32 ans je serai Présidente de la République. N’en doutez pas. Même si je sais bien qu’avec toute la révolution contenue dans mes idées, je cours le risque de me faire assassiner dès la première année… Mourir à 33 ans, comme le Christ, comme Bruce Lee. C’est vrai, j’ai conscience de ce risque. Mais à la lecture de Platon, « Tant que les philosophes ne seront pas rois dans les cités ou que ceux que l'on appelle aujourd'hui rois et souverains ne seront pas vraiment philosophes... il n'y aura de cesse aux maux des cités. », qui depuis 2 500 ans apporte un savoir éternel à qui sait lire, j’éprouve la nécessité de réformer ce monde. Chères citoyennes, chers citoyens, en 2022, votons Bénédicte. À lire aussi : Fiction présidentielle : le constat qui mène à des idées pareilles Par Bénédicte, enfin candidate à quelque chose Read the full article
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philippequeau · 1 month
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L’Occident face à l'abîme
“L’Occident face à l’abîme” ©Philippe Quéau (Art Κέω) 2024 Pourquoi Heidegger n’a-t-il pas intrinsèquement tort ? Parce que ce philosophe, qui était, certes, alors nazi, sut écrire en 1938 des phrases comme celles-ci : « Déclin de l’Occidenti ? – Pourquoi Spengler a-t-il tort ? Non parce que les optimistes héroïques ont raison, mais parce que ces derniers organisent les Temps nouveaux pour…
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entomoblog · 2 months
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Les mots qui motivent ou paralysent notre engagement écologique
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
Les mots utilisés pour parler du changement climatique peuvent créer de nouveaux imaginaires, analyse la linguiste Pauline Bureau. De quoi nous pousser à l’action... ou la paralysie.
  Par Émilie Massemin
16 avril 2024 à 15h34 Mis à jour le 17 avril 2024 à 16h27
  "Pauline Bureau est linguiste à l’université Paris-Nanterre et vice-présidente du groupe de réflexion La Fabrique écologique. Elle s’intéresse notamment aux effets du langage sur la description du changement climatique et sur la transition écologique."
  [...]
  Quel est l’intérêt de créer de nouveaux mots pour la transition écologique ?
  "Ce sont des termes d’avant-garde, dans le sens ou dans la forme.
  Un exemple est le néologisme « symbiocratie », inventé par le philosophe de l’environnement Glenn Albrecht — également à l’origine du mot « solastalgie ». Symbiocratie désigne ainsi une forme de gouvernement régie par le principe de protection des relations symbiotiques [2] entre les différents êtres vivants. Ces néologismes introduisent de nouvelles façons de penser, de consommer, de produire, sans être associés a priori à un courant politique — ce qui participe de leur intérêt.
  Certains viennent de domaines très techniques, très innovants, comme la bioarchitecture, le biodesign : « design naturocentré », « décomposition programmée », etc. Ce que je trouve intéressant dans ces termes naturocentrés, c’est qu’ils impliquent un rapport différent au vivant. Ces mots ne désignent plus la nature comme ressource, comme matière sur laquelle on agit. Elle est promue au rang d’actrice, de collègue. Mais dans ces domaines-là, c’est le rapport différent à la nature qui modifie le langage, et non l’inverse.
  D’autres de ces néologismes sont issus du champ assez récent de la psychologie et de la philosophie environnementales. Dans son ouvrage Les Émotions de la Terre, Glenn Albrecht introduit de nouveaux termes pour désigner des émotions nouvelles nées de la crise écologique : la solastalgie, l’écoanxiété… Leur intérêt est de mettre en avant le lien entre notre psyché et notre environnement et à quel point la dégradation de nos lieux de vie nous affecte."
  [...]
Bernadette Cassel's insight:
  'La Fabrique écologique' in Variétés entomologiques
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comme-du-monde · 3 months
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Val-Terreur 15 En faveur d’une colonie spatiale embryonnaire
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Projet Cybèle: En faveur d’une colonisation spatiale embryonnaire
Chère direction,
Je fais, par la présente, la demande formelle que la sonde autonome ADOFARIN soit convertie en mission robotisée autonome en vue d’une colonisation spatiale embryonnaire. Cette requête est appuyée par l’ensemble du personnel ainsi que par l’entièreté de l’équipe de recherche de l’ESRIN. Étant consciente de l’hermétisme de votre position quant à la nature de cet effort, je vous prie de prendre le temps de considérer cette lettre et le désespoir qui la motive.
Attaquons-nous d’abord au débat éthique.
Les plus récentes observations démontrent que le parasite aranéen occupe maintenant près de soixante pour cent du territoire et s’étend sur la totalité des continents. Comme vous le savez, nous dénombrons en moyenne quatre représentants des gouvernements occidentaux sur cinq qui sont eux-mêmes aranéens. Nous attendons l’annonce d’une compression de notre financement d’une semaine à l’autre. L’heure est grave. Pourrions-nous tolérer l'envoi de milliers d’embryons humains dans le vide intersidéral, errant seuls dans la longue nuit; bombardés sur plusieurs millénaires par l’incessant rayonnement cosmique? Serions-nous en mesure de supporter que cette première génération de nouveau-nés ne connaisse jamais ni la chaleur ni l’amour d’un parent? Nous permettrions-nous de reléguer cet espoir à l’étreinte froide de l’intelligence artificielle, au régime strict des probabilités de survie ainsi qu’aux sacrifices réclamés par cette nécessité? Je le répète: l’heure est grave. Je préfère priver cette première génération de pionniers d’un amour maternel plutôt que de condamner lâchement l’humanité à l’assimilation aranéenne. Les plus grands spécialistes en sciences sociales du Projet seront en mesure, je le crois, d’offrir à cette mission un cadre culturel nouveau propice à son émancipation vis-à-vis des écueils auxquels notre espèce s’est toujours frottée. Ces nouveaux humains assisteront-ils à l’aube d’une civilisation diverse; libre des contraintes imposées par les doctrines économiques, les flammes insatiables de la guerre et l’érosion de l’intégrité environnementale? Pourront-ils se réclamer des plus illustres philosophes et apprendre des leçons que nous, anciens humains, avons durement apprises? Plus spectaculairement, seront-ils affranchis des aranéens?
D’un point de vue technique, la sonde autonome ADOFARIN est déjà en mesure de se propulser dix fois plus vite que les dernières lancées, mais surtout possède l’incroyable capacité de ralentir et d’entrer dans l’atmosphère d’une planète viable. Un module de colonisation tel celui proposé par mon équipe ne représenterait qu’une fraction de la charge utile de la sonde et utiliserait les systèmes de régulation thermique déjà présents sur celle-ci.
Les superbes avancées en robotique et en intelligence artificielle, dont l’Advanced Offworld Artificial Intelligence Project est en majorité responsable, pourront même permettre la collecte et la transformation des matériaux nécessaires à la fabrication d’utérus artificiels tout en assurant l’éducation, la protection et l’épanouissement de cette première génération d’humains nouveaux.
J’attache à cette requête les plus récentes données en matière de SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence) attestant de la découverte d’un motif régulier dans les ondes gravitationnelles en provenance de XXX XX XXXXX XX XXXXXX. Un calcul différentiel des impulsions d’une dizaine de pulsars permet d’affirmer la présence d’une influence intelligente sur ces ondes, ce qui augmenterait les chances de succès de l’opération d’une manière considérable. Dans l’éventualité d’un mauvais fonctionnement de l’IA ou d’une corruption génétique des échantillons, un contact avec une civilisation bienveillante de TYPE II pourrait éventuellement donner naissance aux humains du futur, sous la tutelle d’hôtes technologiquement supérieurs.
Pour finir, sachez que je suis pleinement consciente de la nature de notre coopération. La sonde ADOFARIN est d’abord et avant tout un système de mise en garde, un espoir de continuité dans notre univers. Je vous propose d’outrepasser cette vocation et d’en faire le fer de lance de notre offensive envers les aranéens. Un acte de résistance, oui, mais aussi un acte de création. De préservation BIOLOGIQUE de notre espèce. Un œuf lancé en l’air dans l’espoir qu’il ne retombe pas, mais qu’il fleurisse en millier d’unicités. Sous peu (lire ici plusieurs milliers d’années), une seconde génération d’humains sera bercée par la première et ajoutera sa marque à l’histoire lointaine des gens d’ici; des grands-parents reculés d’années-lumière que nous serons devenus.
Que nous sommes, si vous voulez bien considérer cette requête.
Humblement et humaine à jamais,
Professeure Monica Manfredo
Directrice de l’Institut européen de recherche spatiale
P.-S. — Considérez la nature de cette correspondance comme un appui à l’adoption du plan de sabotage global du 5 novembre prochain. L’Institut demeure prêt.
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Le philosophe produit des idées, le poète des poèmes, l’ecclésiastique des sermons, le professeur des traités…
Le criminel produit des crimes.
Si on regarde de plus près les rapports qui existent entre cette dernière branche de production et la société dans son ensemble, on reviendra de bien des préjugés.
Le criminel ne produit pas que des crimes : c’est lui qui produit le droit pénal, donc le Professeur de droit pénal, et donc l’inévitable traité dans lequel le professeur consigne ses cours afin de les mettre sur le marché en tant que «marchandise».
Il en résulte une augmentation de la richesse nationale, sans parler de la satisfaction intérieure que selon le professeur Roscher, témoin autorisé, le manuscrit du traité procure à son auteur.
Plus : le criminel produit tout l’appareil policier et judiciaire : gendarmes, juges, bourreaux, jurés, etc., et tous ces divers métiers, qui constituent autant de catégories de la division sociale du travail, développent différentes facultés de l’esprit humain et créent en même temps de nouveaux besoins et de nouveaux moyens de les satisfaire.
La torture, à elle seule, a engendré les trouvailles mécaniques les plus ingénieuses, dont la Production procure de l’ouvrage à une foule d’honnêtes artisans.
Le criminel crée une sensation qui participe de la morale et du tragique, et ce faisant il fournit un «service» en remuant les sentiments moraux et esthétiques du public.
Il ne produit pas que des traités de droit pénal, des codes pénaux et, partant, des législateurs de droit pénal : il produit aussi de l’art, des belles-lettres, voire des tragédies, témoins non seulement La Faute de Msüllner et Les Brigands de Schiller mais aussi Œdipe et Richard III.
Le criminel brise la monotonie et la sécurité quotidienne de la vie bourgeoise, la mettant ainsi à l’abri de la stagnation et suscitant cette incessante tension et agitation sans laquelle l’aiguillon de la concurrence elle-même s’émousserait. Il stimule ainsi les forces productives.
En même temps que le crime retire du marché du travail une part de la population en surnombre et qu’il réduit ainsi la concurrence entre travailleurs et contribue à empêcher les salaires de tomber au-dessous du minimum.
La lutte contre la criminalité absorbe une autre partie de cette même population.
Ainsi le criminel opère une de ces «compensations» naturelles qui créent l’équilibre et suscitent une multitude de métiers «utiles».
On peut démontrer par le détail l’influence qu’exerce le criminel sur le développement de la force productive :
— Faute de voleurs, les serrures fussent-elles parvenues à leur stade actuel de perfection ?
— Faute de faux-monnayeurs, la fabrication des billets de banque ?
— Faute de fraudeurs, le microscope eût-il pénétré les sphères du commerce ordinaire ?
La chimie appliquée ne doit-elle pas autant aux tromperies et à leur répression qu’aux efforts Légitimes pour améliorer la production ?
En trouvant sans cesse de nouveaux moyens de s’attaquer à la propriété, le crime fait naître sans cesse de nouveaux moyens de la défendre, de sorte qu’il donne à la mécanisation une impulsion tout aussi productive que celle qui résulte des grèves.
En dehors du domaine du crime privé, le marché mondial serait-il né sans crimes nationaux ?
Et les nations elles-mêmes ?
Et depuis Adam, l’arbre du péché n’est-il pas en même temps l’arbre de la science ?
(Éloge du crime par Karl Marx. Cette notule écrite entre 1860 et 1862, fut intégrée par son éditeur à la Théorie de la plus-value, dans le tome IV du Capital)
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feelmir · 3 months
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Raphael Glucksmann, agent étranger ?
Glucksman comme Macron et les réseaux souterrains implantés par la CIA et les think tank made USA, est un agen américain comme ce fut son père et les soi disant nouveaux philosophes(lire philosophes de supermarché). il était marié à une géorgienne et fut le conseiller de l'ancien président géorgien, un autre agent américain, Sakhasvili croupi actuellement dans une prison depuis quelques années. ce type est financé comme BHL par une myriade de réseaux souterrains par l'Europe et les USA pour servir les intérêts de l'impérialisme américain en europe et barrer la route avec Le pen et Zemmour à tout parti de gauche(. la vraie gauche) En oppurtuniste avisé, il est aujourd'hui avec une larbine de la télé, Léo Salamé dont le père a servi les intérêts du néo colonialisme occidental en Irak et en Libye. C'est incompréhensible comment Olivier Faure cautionne la candidature d'un agent étranger complotant contre la gauche et l'électorat populaire comme Hollande, Vals, Cazeneuve et la macronie
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lesfrancophiles · 6 months
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philosophes en France
René Descartes est un mathématicien, physicien et philosophe français, né le 31 mars 1596 à La Haye-en-Touraine1 et mort le 11 février 1650 à Stockholm.
Il est considéré comme l’un des fondateurs de la philosophie moderne. Il reste célèbre pour avoir exprimé dans son Discours de la méthode le cogiton 1 — « Je pense, donc je suis » — fondant ainsi le système des sciences sur le sujet connaissant face au monde qu'il se représente. En physique, il a apporté une contribution à l’optique et est considéré comme l'un des fondateurs du mécanisme. En mathématiques, il est à l’origine de la géométrie analytique3. 
Blaise Pascal, né le 19 juin 1623 à Clermont (devenue Clermont-Ferrand) en Auvergne et mort le 19 août 1662 à Paris, est un polymathe : mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien français.
Enfant précoce, il est éduqué par son père. Les premiers travaux de Pascal concernent les sciences naturelles et appliquées. Il contribue de manière importante à l’étude des fluides et clarifie les concepts de pression et de vide en étendant le travail de Torricelli. Il est l'auteur de textes importants sur la méthode scientifique.
Mathématicien de premier ordre, il crée deux nouveaux champs de recherche majeurs : 
À 16 ans, il publie un traité de géométrie projective ;
À 19 ans, il invente la première machine à calculer, la développe, puis présente à ses contemporains sa pascalineachevée ;
À 31 ans, il développe une méthode de résolution du « problème des partis » qui, donnant naissance au cours du xviiie siècle au calcul des probabilités, influencera fortement les théories économiques modernes et les sciences sociales.
Après une bouleversante expérience mystique, le 23 novembre 1654, il se consacre essentiellement à la réflexion philosophique et religieuse, sans toutefois renoncer aux travaux scientifiques. Il écrit pendant cette période Les Provinciales, et les Pensées, publiées seulement après sa mort qui survient deux mois après son 39e anniversaire, après une longue maladie. 
Sa pensée marque le point de conjonction entre le pessimisme de saint Augustin et le scepticisme de Montaigne, et présente une conception théologique de l’homme et de sa destinée, souvent jugée tragique ; la réflexion politique de Pascal, indissociable d’une interrogation métaphysique sur le tout de l’homme, révèle de nos jours son actualité. Le 8 juillet 2017, dans un entretien au quotidien italien La Repubblica, le pape François annonce que Blaise Pascal, chrétien plein d’ardeur pour la défense de l’Évangile, vivant dans la prière et la charité au service des pauvres, « mériterait la béatification » et qu'il envisage de lancer la procédure officielle.
’Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît point.’ ’L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature; mais c’est un roseau pensant.’ ’La dernière démarche de la raison est de reconnaître qu’il y a une infinité de choses qui la surpassent.’
Le Précepteur. Le coeur a ses raisons ...
Jean Paul Sartre
[ ʒɑ̃pol saχtχ]n 1 est un philosophe et écrivain français, né le 21 juin 1905 dans le 16e arrondissement de Paris et mort le 15 avril 1980 dans le 14e arrondissement. 
Représentant du courant existentialiste, il a marqué la vie intellectuelle et politique de la France de 1945 à la fin des années 1970.
...
Sartre est considéré comme le père de l'existentialisme français et sa conférence de 1945, L'existentialisme est un humanisme, est considéré comme le manifeste de ce mouvement philosophique. Toutefois, la philosophie de Sartre, en 20 ans, a évolué entre existentialisme et marxisme. Ses œuvres philosophiques majeures sont L'Être et le Néant (1943) et la Critique de la raison dialectique (1960).
Être en-soi et être pour-soi (cf La-Philo) Dans L'Être et le Néant, Sartre s'interroge sur les modalités de l'être. Il en distingue trois : l'être en-soi, l'être pour-soi et l'être pour autrui. – l'être en-soi, c'est la manière d'être de ce qui « est ce qu'il est », par exemple l'objet inanimé « est » par nature de manière absolue, sans nuance, un ; – l'être pour-soi est l'être par lequel le néant vient au monde (de l'en soi). C'est l'être de la conscience, toujours ailleurs que là où on l'attend : c'est précisément cet ailleurs, ce qu'il n'est pas qui constitue son être, qui n'est d'ailleurs rien d'autre que ce non être ; – l'être pour-autrui est lié au regard d'autrui qui, pour le dire vite, transforme le pour soi en en soi, me chosifie.
L'homme se distingue de l'objet en ce qu'il a conscience d'être (qu'il a conscience de sa propre existence). Cette conscience crée une distance entre l'homme qui est et l'homme qui prend conscience d'être. Or toute conscience est conscience de quelque chose (idée d'intentionnalité reprise de Brentano). L'homme est donc fondamentalement ouvert sur le monde, « incomplet », « tourné vers », existant (projeté hors de soi) : il y a en lui un néant, un « trou dans l'être » susceptible de recevoir les objets du monde.
« Le pour soi est ce qu'il n'est pas et n'est pas ce qu'il est » L'Être et le Néant
« Il n'y a pour une conscience qu'une façon d'exister, c'est d'avoir conscience qu'elle existe »
« En fait, nous sommes une liberté qui choisit, mais nous ne choisissons pas d'être libres : nous sommes condamnés à la liberté. »
« Les objets sont ce qu'ils sont, l'homme n'est pas ce qu'il est, il est ce qu'il n'est pas. »
An-sich-sein - unbewußtes, sich seiner selbst nicht bewußtes Sein ?Für-sich-sein - bewußtes Sein, offen, mit ’Leerstellen’ ?Für-andere-sein - Meinung, Interpretation, Projektion, Beeinflussung ?
’L’existence précède l’essence.’
la mauvaise foi ’La mauvaise foi ... est l’envers de la liberté, comme le mensonge est l’envers de la vérité.’
’L’existence du monde comme celle de l’homme sont absurdes.’
L'histoire de Sartre Cyrus North
Simone de Beauvoir
Albert Camus
BHL Bernard Henry Levi
La nouvelle philosophie
les nouveaux philosophes
la philosophie
Michel Foucault
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yes-bernie-stuff · 7 months
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Réveille toi Noël - Conte de Noël - Auteur: Gilles Geiser
« Comme un légume… » Ce docteur parlait aussi mal qu’il écrivait. Incompréhensible ! Illisible ! Tous les mots étaient mâchés. Sauf les derniers. Ceux que je ne voulais pas entendre.
«Pardon ?» dis-je. «Votre mari va devenir comme un légume» répéta-t-il.
J’avais bien compris, donc ! Non seulement ce médecin était incapable de parler audiblement, mais, pire encore, il était incapable du moindre tact. Une blouse blanche sur un coeur étanche.
Ce n’était pas de la colère que je ressentais au fond de moi, non. C’était du mépris, de la tristesse, du désespoir, des envies de meurtre. Une rage !
Comment pouvait-on parler ainsi ? Comment un professionnel de la santé pouvait-il dire des horreurs pareilles ? Un légume !… et pourquoi pas un poireau tant que vous y êtes ?
N’empêche qu’il avait raison. Le médecin. Dans le fond.
Raison pour laquelle je m’enrageais ! Pas seulement contre le médecin, d’ailleurs. Contre la vie, contre le destin. C’était tellement pas juste !
Un AVC avait enlevé la vie à mon mari. Non pas qu’il était mort, non… mais il n’était plus lui. Le corps était là, mais lui pas. Je ne sais pas comment vous dire ça autrement. Ce n’était plus mon mari, c’est tout. Ou alors c’était lui mais sans sa vie, sans sa joie, sans son sourire énigmatique qui m’avait charmé dès notre première rencontre. Ce n’était plus «lui».
Les infirmières avaient beau le raser, l’habiller, l’apprêter, rien n’y faisait. Il avait encore le costume, mais plus l’allure.
Heureusement, cette épreuve n’a pas duré trop longtemps. Il est resté deux mois dans cet état. Un second accident vasculaire l’a emporté, en pleine nuit. J’ai pu faire mon deuil, du coup. Un vrai deuil.
C’était le premier dimanche de l’Avent.
Je m’en souviens, j’avais allumé la première bougie en pensant à lui. Noël. C’était son nom.
Réveille-toi Noël ! - Lige décorative
«Je vous présente mon Noël» J’aimais bien cette phrase, cette manière de présenter mon mari à nos nouveaux voisins, à mes nouvelles amies. J’aimais bien cette tournure, je la trouvais drôle ! Et en même temps, elle était vraie. C’était «mon Noël».
En allumant cette bougie de l’Avent, je n’ai pas pu m’empêcher de faire un parallèle entre ce que je venais de vivre avec Noël - mon mari - et ce qu’on vivait à Noël - la période - depuis bien des années. Noël, mais sans l’âme.
Toujours les bougies, bien sûr. Toujours le sapin. Toujours la famille, bien sûr. Toujours le gratin. Mais plus d’âme. Bon sang ! Plus d’âme.
Réveille-toi Noël ! - Lige décorative
« Réveille-toi, Noël ! Pour l’amour du ciel, réveille-toi !! » Combien de fois je lui ai dit ! Combien de fois… J’aurais tellement aimé que l’âme de mon mari le remplisse à nouveau, qu’elle revitalise ses pupilles, qu’elle ressuscite son esprit. J’aurais tellement aimé… mais Noël est parti.
Et ce soir-là, en allumant ma première bougie, cette même phrase tournait en boucle dans mes pensées: «Réveille-toi, Noël ! Pour l’amour du ciel, réveille-toi !» Sauf que ce n’était plus à mon mari que je m’adressais, mais à la fête, au sens.
Elle m’a vu philosopher, ce soir-là, cette bougie ! Philosopher comme jamais, je crois ! «Le décor sans le sens, c’est comme le corps sans l’âme; on préférerait qu’il s’en aille.» Voilà ce que je me disais.
Alors j’ai recherché le sens. Uniquement le sens. Le sens unique… J’ai lu les évangiles. J’ai rencontré un Dieu qui nous visite.
J’ai cru que je passerais ce Noël seule. Je me suis sentie entourée. J’ai lu, relu, et re-relu les premiers chapitres des évangiles. J’ai rencontré une Présence dans ces paroles. J’ai découvert un Sens dans cette histoire.
J’ai retrouvé l’âme. Ça m’a rendu la vie. J’ai vécu un Noël rempli.
Réveille-toi Noël ! - Lige décorative
Noël, c’est Dieu qui visite ma vie et qui la remplit. Joyeux Noël à chacun !
Un conte de Gilles Geiser
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