Tumgik
#problème d’enfants
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RECUPERER SON EX
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a-room-of-my-own · 4 months
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"l’immigration de masse dans les années 70 c’était surtout pour briser les grèves" ah parce qu'en plus ça a toujouts été utilisé pour faire taire la gauche ? Faut que je reprenne mes cours d'Histoire moderne.
Oui bien sûr. Mon grand père était ouvrier électricien dans les années 50 à 70, en usine, et il était syndiqué à la CGT. Il y a eu de l’immigration dans les années 60 mais c’était surtout des européens puis des pieds noirs après la guerre d’Algérie. Après 68 on a commencé à faire venir massivement des ouvriers du Maghreb, consécutivement aux victoires syndicales obtenues à ce moment là. Les chefs d’entreprise allaient les chercher jusque dans leurs villages. Pour mon grand-père et les autres c’était clairement pour briser les grèves, puisque les nouveaux arrivants acceptaient tout.
Évidemment ce n’était pas la faute des immigrés entendons-nous. En admettant que la France avait besoin de travailleurs étrangers il n’était pas nécessaire d’aller les chercher si loin, sauf si c’était pour pouvoir les exploiter.
Depuis avec le regroupement familial on est dans une situation différente, mais il faut bien voir que
La pression sur les salaires existent toujours dans de nombreux secteurs, comme le bâtiment, la restauration ou les services à la personne.
Ce qui fait que plutôt que de revaloriser ces professions on continue à faire venir en masse des premières générations d’immigrés pour occuper ces postes « dont les français ne veulent pas » sans évidemment jamais préciser que les français issus de l’immigration n’en veulent pas non plus.
Ce qui était d’ailleurs le plan des les années 80-90 où on envoyait systématiquement les gamins de banlieue en filière professionnelle type carrosserie ou chaudronnerie.
Pour moi dire qu’on a besoin d’étrangers pour ramasser les poubelles et garder les gosses pour pas cher, c’est pas franchement de gauche.
Dans un système social par répartition on a besoin de cotisants.
Plus on fait venir d’immigrés qui s’installent en France avec des jobs suffisamment peu payés pour qu’ils aient besoin des aides sociales, plus on a besoin d’amener d’autres personnes pour combler et cotiser. 1 actif peu avoir avec lui un conjoint qui ne travaille pas + X enfants, il suffit de faire l’opération. Et évidemment pour les retraites, il faut aussi des actifs pour les financer.
En gros, l’immigration, dans ce système, appelle l’immigration.
D’autre part on a aussi le problème de la diminution de la population active et de la baisse du taux de natalité. A génération 1, les immigrés ont plus d’enfants, ce qui augmente « artificiellement » le taux de natalité du pays. Mais à génération 2, les enfants d’immigrés ont moins d’enfants, ils rejoignent la population générale. Donc ont fait venir une autre génération et ainsi de suite.
C’est une logique qui se mord la queue et qui ne solutionne aucun des problèmes de fond. Plutôt, elle crée des déséquilibres ici et dans les pays d’origine et il est urgent de tout arrêter, et d’investir plutôt dans le développement.
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Il y a quelques temps, à l’entrée d’un gymnase, on pouvait voir un panneau avec la photo d’une fille au physique spectaculaire où il était écrit "cet été, tu veux être une sirène ou une baleine?".
On raconte qu’une femme, dont on ignore l’aspect physique, répondit à la question de la façon suivante: Chers messieurs, les baleines sont toujours entourées d’amis (dauphins, phoques, humains curieux), elles ont une vie sexuelle très active et élèvent leurs enfants avec beaucoup de tendresse. Elles s ‘amusent comme des folles avec les dauphins et mangent des gambas jusqu’à plus soif. Elles nagent toute la journée et voyagent dans des lieux fantastiques comme la Patagonie, la mer de Barens ou les barrières de corail de Polynésie. Elles chantent incroyablement bien et quelque fois on va même jusqu’à en faire des cd. Se sont des animaux impressionnants et très aimés, que tout le monde défend et admire.
Les sirènes n’existent pas. Mais si elles existaient, elles feraient la queue pour consulter un psychologue à cause d’un problème de dédoublement de personnalité, femme ou poisson? Elles n’auraient pas de vie sexuelle et ne pourraient pas avoir d’enfants. Elles seraient ravissantes, certes, mais solitaires et tristes. De plus, qui voudrait à ses côtés d’une fille qui sent le poisson? Sans aucun doute, je préfère être une baleine. À une époque ou les médias nous mettent en tête que seules les minces sont belles, je préfère manger une glace avec mes enfants, dîner avec mon mari, manger et boire et m’amuser avec mes amies. Nous, les femmes, nous prenons du poids parce que nous accumulons tellement de sagesse et de savoir qu’ils ne tiennent dans la tête et débordent dans tout notre corps. Nous ne sommes pas grosses, nous sommes énormément cultivées. A chaque fois que je vois mes formes dans le miroir, je me dis:
"Qu’est-ce que je suis intelligente!".
(Isabelle Boisvert)
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aisakalegacy · 10 months
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Printemps 1908, Hylewood, Canada (4/6)
Je dois admettre que je ne suis pas tout à fait dans mon état normal ces derniers temps. Une loi est récemment passée, l’Opium Act, qui réglemente l’usage d’un certain nombre de drogues au Canada, dont le cannabis, dont je consomme la résine pour apaiser mes états-limites. Le problème, c’est qu’avec cette loi, il est devenu bien plus difficile de se procurer du haschich, et tout ce à quoi je puis prétendre doit m’être prescrit. Tout ce que j’ai réussi à obtenir du médecin, c’est une malheureuse boîte de bonbons au sucre d’érable et à la résine de cannabis, les mêmes que l’on me donnait lorsque j’étais enfant pour me garder calme - vous pensez donc bien qu’à bientôt trente-cinq ans, ils ne me font plus aucun effet… Je suis donc particulièrement irritable ces derniers temps, et malheureusement, mon entourage en fait les frais. Je songe à faire un nouveau séjour en Egypte afin de m’en faire des réserves, car, bien que sa consommation y soit illégale aussi, on y trouve facilement et à bas coût du haschich en provenance de Turquie et du Maroc.
[Transcription] Eugénie Le Bris : Bonjour, Jeanne, on m’a fait dire de vous rejoindre ? Jeanne Rumédier : Comme je suis contente de vous voir ! J’ai une grande nouvelle, et vous êtes la première personne à laquelle je souhaitais l’annoncer. Eugénie Le Bris : Vous n’avez pas besoin de faire autant de cachettes, dites-moi donc ! Jeanne Rumédier : Vous ne le devinez pas ? Eugénie Le Bris : Non ?… Jeanne Rumédier : Si ! Je suis enceinte ! Eugénie Le Bris : Enceinte ?? Mais… Je croyais… Jeanne Rumédier : Je croyais aussi ! Virgile était si déçu que nous n’ayons jamais eu d’enfants, je pensais que le problème venait de moi. Et pourtant… Je le suis ! Eugénie Le Bris : Je suis ben contente pour vous ! Et pis vu que nous en sommes en train de tout s’dire… Moi aussi ! Jeanne Rumédier : Vous aussi ?… Oh ! Bien sûr, comment ai-je pu ne pas le remarquer ? Jeanne Rumédier : Alors cela va mieux avec Jules ? Eugénie Le Bris : C’est plus compliqué que cela… Jeanne Rumédier : Asseyons-nous. Vous allez me raconter.
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lepartidelamort · 3 months
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C’est désormais officiel : en Palestine, les juifs affament les enfants à grande échelle
Les juifs, le peuple qui a organisé l’Holodomor en Ukraine, a décidé de revenir aux formules qui ont fait son succès du temps de l’Union Soviétique.
Désormais, ils affament les enfants de Gaza.
La situation est si répugnante, que CNN a dû se résigner à en parler pour ne pas perdre le peu de crédit international qui lui reste.
« La mort, c’est mieux que ça ».
Des images choquantes d’enfants affamés et émaciés provenant de l’intérieur de Gaza mettent à nu le désespoir qui règne dans la bande de Gaza, comme le rapporte @nadaabashir.
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Tout le monde peut admirer la nature des juifs à l’oeuvre.
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Depuis le lancement de leur campagne d’extermination à Gaza, des milliards de personnes ont découvert les juifs tels qu’ils ont toujours été.
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Ils en sont très fiers, au plus haut niveau.
Kay Burley : « Que faites-vous au sujet des enfants qui meurent de faim ?
Porte-parole du Premier ministre israélien : « Tout d’abord, permettez-moi de dire que le problème humanitaire numéro un dans la bande de Gaza en ce moment et depuis le 7 octobre est le sort de nos otages. C’est le problème numéro un »
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La bande de Macron semble ne pas vouloir être associée de trop près à ces crimes de masse. La chaîne du milliardaire israélien Patrick Drahi a inhabituellement reçu l’ordre d’en parler.
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C’est purement formel, mais ce recul macroniste indique que même les shabbat goyim les plus serviles commencent à pressentir que suivre aveuglément les juifs aura un coût colossal.
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En dernière instance, peu importe leurs hésitations, ils devront suivre leurs maîtres jusqu’à la catastrophe finale.
Les juifs ne sont pas seulement en guerre contre la Palestine, ils sont en guerre contre l’humanité entière et si cette guerre était froide avant le déclenchement des hostilités en Ukraine, puis à Gaza, elle est désormais ouverte. Pour les juifs, c’est une question de vie ou de mort. Perdre en Palestine et en Ukraine entraînerait la désintégration rapide du système démocratique occidental, donc leur ruine.
C’est la raison de leur acharnement à vouloir déclencher une nouvelle guerre mondiale. Le temps joue contre eux. La vengeance des peuples contre eux sera terrifiante, inédite, ils le savent et prennent directement les choses en mains. Contrairement aux guerres mondiales passées où ils tiraient les ficelles dans les coulisses, les juifs ne se dissimulent plus, ils sont en première ligne partout pour retarder l’inévitable.
C’est ce qui fait de cette Troisième Guerre Mondiale la plus juive de toutes les guerres.
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unarbreenflandres · 10 months
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Un cousin DENAES, pensionnaire à l’hôtel des Invalides
Pierre Joseph DENAES est un petit-cousin de mon arrière-arrière-arrière-grand-père Jean François DENAES.
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Il a vu le jour le 13 mai 1776 à Hazebrouck.
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Son père Jacques DENAES était marchand. Beaucoup de ses frères et sœurs sont décédés en bas-âge. Du premier mariage de son père avec Rose ELIAS, en plus de Pierre Joseph, ont vécu jusqu’à l’âge adulte : Marie Angélique qui a épousé sur le tard, un veuf qui était tisserand à Zermezeele, Marie Françoise qui s’est mariée à un boucher de Cassel, Jacques WYON et Pierre Jean Baptiste qui était journalier à Hondeghem et qui a eu beaucoup d’enfants.
Pierre Joseph DENAES s’est probablement engagé dans l’armée vers l’âge de vingt ans. Il était fusilier dans la treizième demi-brigade. Il a vraisemblablement combattu en Italie puis en Egypte.
La vie de Pierre Joseph DENAES
A son retour de l’armée, Pierre Joseph DENAES qui avait perdu l’usage du bras droit a repris les activités de marchand de son père. Son père est mort le 29 mai 1802 et la deuxième épouse de son père, Marie Françoise PLOCKYN, le 4 novembre de la même année.
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Pierre Joseph DENAES a épousé le 12 vendémiaire an XII (5 octobre 1803) une jeune-fille de son âge qu’il avait mis enceinte. Il connaissait bien Marie Jeanne Cécile CLEP car le père de celle-ci, Guillaume CLEP (1716-1800) avait épousé en premières noces Marie Joseph CLEP (1719-1765) dont la nièce était Marie Françoise PLOCKYN (1748-1802), la deuxième épouse de Jacques DENAES.
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Caroline Sophie DENAES, la fille de Pierre Joseph et de Marie Cécile CLEP est née le 3 ventôse an XII (23 février 1804) à Hazebrouck. Il est à noter que son père était absent à sa naissance, sans doute pris par ses activités de marchand. Caroline n’a vécu que dix-neuf jours. Elle est décédée le 22 ventôse an XII (14 mars 1804) à Hazebrouck.
L’activité de marchand n’était sans doute pas assez florissante ou trop fatigante pour un homme handicapé ou encore l’épouse de Pierre Joseph DENAES aspirait-elle à ce que son mari ait une vie plus sédentaire comme l’un de leurs beaux-frères ? Toujours est-il qu’on retrouve Pierre Joseph DENAES, cabaretier à Morbecque, à la naissance de son fils Louis Alexandre Joseph, le 26 mars 1806.
Dans l’acte de mariage de ce fils, le 2 avril 1834, à Lille, celui-ci affirme qu’il réside à Lille, rue du Sec Arembault, depuis seize ans, soit depuis 1818. Des problèmes financiers ont sans doute conduit Pierre Joseph DENAES et sa famille à prendre le large à Lille.
Mais, dans une grande ville, la misère était encore plus rude, au XIX° siècle. Marie Cécile CLEP est décédée à l’âge de cinquante et un ans mais il est indiqué dans son acte de décès qu’elle en avait cinquante-cinq. Elle est morte le 29 août 1828, à l’hôpital Saint Sauveur de Lille. Ce sont deux infirmiers de l’hôpital qui ne savaient ni lire ni écrire qui ont déclaré son décès ! Le secrétaire de mairie a écrit le nom DENAES comme ça se prononçait, c’est-à-dire DENASSE et il a même déclaré que l’époux de Marie Cécile portait les prénoms d’Alexandre Joseph (ce sont ceux de son fils) au lieu de Pierre Joseph. Il y a fort à parier que son corps a été jeté dans la fosse commune.
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Un an avant la mort de son épouse, le 1° juin 1827, Pierre Joseph DENAES qui ne devait pas être bien vaillant non plus, était admis à l’Hôtel des Invalides. Il avait alors cinquante et un ans. Le registre d’entrée, consulté au Service Historique de la Défense, à Vincennes, nous indique que Pierre Joseph DENAES a été pensionné à partir du 6 février 1830 mais le montant de la pension n’est pas indiqué. Il est également fait mention d’une réadmission à l’hôtel des Invalides, le 22 août 1832. On peut donc penser que Pierre Joseph DENAES est retourné vivre à Lille pendant quelques temps ou qu’il s’est trouvé un petit logement à louer à Paris.
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source: SHD/GR/2XY272
Pierre Joseph DENAES est décédé le 9 février 1833 à l’hôtel des Invalides. Il avait cinquante-sept ans. Il a été inhumé le 12 février suivant, au cimetière du Montparnasse, dans la fosse commune.
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information donnée par Filae
A cette époque, de très nombreux soldats étaient admis à entrer à l’hôtel des Invalides. J’ai dénombré deux cent soixante-six entrées pour l’année 1827. La moyenne d’âge des entrants était d’un peu plus de cinquante ans, certains n’avaient qu’une vingtaine d’années et d’autres plus de soixante-dix ans.
La descendance de Pierre Joseph DENAES
Le fils de Pierre Joseph DENAES, Louis Alexandre Joseph qui était fileur de coton a donc épousé, en 1834, Florimonde Sophie Joseph BERNARD, couturière et de six ans sa cadette. Ce jeune-homme qui avait perdu ses deux parents allait donc se créer une nouvelle famille.
Ils ont eu un fils, Louis Romain DENAES, né le 23 mars 1836 à Lille mais la vie de ce pauvre enfant fut brève. Il est décédé à Lille, le 22 juin 1838.
J’ai remarqué que Louis Alexandre Joseph DENAES changeait souvent d’adresse. En 1828, il demeurait avec sa mère, 27 rue du Priez, en 1834, son adresse était rue du Sec Arembault, en 1836, il partageait avec sa femme un domicile au 23 rue Saint Nicaise et en 1838, ils étaient au 18 rue du Priez. Il est probable que lorsqu’ils ne pouvaient plus payer le loyer, ils étaient expulsés de leur modeste masure ou ils partaient à la cloche de bois et allaient s’installer un peu plus loin.
Je me demande si Louis Alexandre Joseph DENAES était encore à Lille, à la mort de son fils car ce sont deux voisins qui ont déclaré le décès. Louis Alexandre Joseph est mort le 30 juillet 1842 à l’asile d’aliénés d’Armentières, à seulement trente-quatre ans. Etait-il un trouble à l’ordre public, était-il trop souvent pris de boisson qu’il a dû être enfermé ?
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Ainsi s’éteint la descendance de Pierre Joseph DENAES.
Du côté de Marie Cécile CLEP
Alexandrine Bonaventure CLEP, une sœur de Marie Cécile CLEP avait épousé, en 1797, le chef du bureau des impositions à Hazebrouck, Pierre MERVAILLIE dont elle a eu un fils, Louis MERVAILLIE qui fut marchand d’épices. Celui-ci n’avait pas encore un an et demi lorsque son père est mort. Sa mère épousa, ensuite, en 1802, un cabaretier de Morbecque, Dominique HUBERT.
Il se trouve que l’un des arrière-petits-fils de Louis MERVAILLIE était un ami de mon père. Pierre MERVAILLIE était né le même jour que lui, le 5 mai 1914, mais à Hazebrouck. Ils se sont peut-être connus au collège Saint Jacques à Hazebrouck ou plus tard, lors de leur service militaire, au 91ème régiment d’infanterie. Avec un autre ami, André VANNOBEL, né aussi le même jour mais à Wormhout comme mon père, ils formaient un trio. André VANNOBEL organisait des excursions d’une dizaine de jours, chaque année au mois de juin, dans les années 70 et 80. J’ai eu l’occasion de les rencontrer, à Paris, place des Ternes, en 1991, et je peux dire que l’ambiance était joyeuse.
PS: Je remercie vivement mon cousin Arnaud DENAES qui m'a permis de finaliser cet article en me fournissant l'acte du mariage à Lille du fils de Pierre Joseph DENAES.
Je remercie également les bénévoles de la base de données HOTEL DES INVALIDES (https://www.hoteldesinvalides.org/) et tout particulièrement Denise RAY qui m'a bien guidée dans mes recherches au SHD.
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iferhounene · 1 year
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la guerre atomique
La 3eme guerre mondiale sera nucléaire
La troisième guerre mondiale est inévitable. Elle sera nucléaire. Elle sera déclenchée par une puissance nucléaire mais causée sous le prétexte d’une cause d’un petit pays. Les causes de la guerre mondiale nucléaire existent et ne peuvent être ni ignorées, ni évitées. Les système politiques qui s’opposent et s’excluent sur la planète sont purement économiques et échappent donc au raisonnement humaniste. D’un côté, le monde libre, capitaliste, démocratique, de l’autre le système dirigiste, autocratique, dictatorial. D’un côté la libre entreprise, de l’autre l’État entrepreneur. La crise du capital ne peut être résolue que dans une optique de libre échange mondial. L’émergence de puissances communistes constituent une barrière aux desseins de prospérité du capitalisme. La réduction du champ d’action du capitalisme accentue la crise. La conquête d’autres planètes est fastidieuse, onéreuse et longue, alors que l’humanité est menacée par la faim, la maladie, le réchauffement climatique, la pollution. Il est urgent de trouver des solutions aux problèmes qui menacent la survie de l’humanité entière. L’Amérique est un vaste et très populeux territoire, le maintien d’une organisation a même d’assurer la stabilité dépend de la prospérité de l’économie américaine. Une guerre civile qui se déroulerait aux USA, aura un effet dévastateur sur le monde, par son impact géostratégique, l’Amérique est puissante. Mais elle est plus vulnérable qu’un petit pays africain dont les besoins sociaux sont réduits à leur plus simple expression. L’Amérique a atteint un stade de non-retour dans le développement.
La guerre nucléaire est inscrite dans la logique du développement de l’humanité et de l’évolution naturelle des choses.
Quand sera-t- elle déclenchée ? ce n’est qu’une question d’années. Elle interviendra de façon imprévue, soudainement, quand un dirigeant d’une puissance nucléaire aura perdu la raison. Attention ! cette guerre, la dernière de l’humanité peut être déclenche aussi bien par le petit communiste de Corée du Nord, que par le géant Xi chinois. Erreur pour ce qui croient que la guerre atomique est le monopole de Poutine ou de Joe Biden ou encore Benjamin Netanyahu.
Mais le développement de l’industrie militaire est devenu incontrôlable, et si tout se passe bien ,en l’absence d’une guerre nucléaire précoce, les palestiniens, les kurdes, et autres mouvements indépendantistes auront leur petite bombe atomique portable.
Mais restons sur notre sujet pressamment préoccupant. C’est la réaction à la première attaque nucléaire qu’Il faut craindre. Car celle-ci sera fulgurante, et interviendra dans un geste de panique. Elle ne sera pas, je veux dire, la réaction, mesurée, calculée, mais dans un réflexe de légitime défense contre la mort. Il ne s’agit pas d’une simple bagarre d’enfants à mains nues. Il s’agit bien de coup fatal, imparable, mortel! C’est donc celui qui aura a faire usage de l’arme atomique en réponse à une première attaque qu’il faut craindre et non pas celui qui tentera en premier de dissuader l’adversaire par une seule ou 2 oignes. Hiroshima et Nagasaki ne se reproduiront plus, car la Russie, la Corée du Nord, le Pakistan, l’Inde, la France, l’Angleterre, l’Afrique du Sud, Israël, la Chine, ne sont pas le Japon ou l’Allemagne de la 2eme guerre mondiale.
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i7traductionfr · 11 months
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Carte d'Anniversaire de Mitsuki: 16 Idoles Album
Partie 1 / Partie 2 / Partie 3 / lien vers la traduction anglaise
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Partie 1 : 16 Idoles Album
Yamato : Ça a vraiment plu ? L’émission à laquelle on a participé l’autre fois, Bienvenue dans la chambre d’enfant ? 
Tsumugi : Oui !! Apparemment, vous étiez tellement adorables que c’est devenu très populaire !
Tsumugi : C’est pourquoi on a décidé de participer à un projet, où les fans pourront entendre vos souvenirs d’enfance, afin d’en apprendre plus sur vos origines. Sur comment vous en êtes arrivés là aujourd'hui !
Iori : Nos origines ?
Riku : Nos origines, trop cool ! Je suppose qu’il y a des programmes de ce genre !!
Mitsuki : Aah ! Le genre de conversation que vous avez avec votre conducteur de taxi. Comme : “Comment vous voyez la vie” ou encore “À quel point vous aimez votre boulot”… 
Nagi : Oh ! Les chansons qui passent à la fin de ce genre de programmes sont toujours impressionnantes.
Yamato : C’est le genre de chanson avec laquelle tu peux qu’avoir l’air cool, peu importe ce que tu dis. Ça rend les mots plus classe que dans une conversation normale.
Tamaki : Exactement ! J’veux que ces chansons se mettent à jouer la prochaine fois que je mets So-chan en colère !
Sogo : Hein ? Pourquoi ?
Riku : Oh, je vois ce que tu veux dire ! Pour que les mots de Sogo-san résonnent dans ton cœur, grâce au pouvoir de la chanson !
Tamaki : Ça aussi, mais surtout pour que le moment où il me pardonnera résonne encore plus dans mon cœur.
Sogo : Le pouvoir de la musique, c’est vraiment quelque chose… Il décuple les émotions…
Tamaki : Ouais ! Pourquoi on n’essaierait pas là, tout de suite ? 
Iori : Aah… Manager, s'il vous plaît, poursuivez.
Tsumugi : Oui…
Tsumugi : Cette fois, ce ne sera pas un programme spécifique… On aimerait entendre des histoires basées sur vos photos d’enfance.
Tsumugi : Apparemment, Re:vale, Trigger et Zool participeront aussi à ce projet, c’est pour ça que le producteur a dit qu’il voudrait que ce soit comme une grande fête avec seize personnes !
Sogo : Seize personnes… C'est un nombre considérable…
Nagi : C’est le nombre parfait pour une fête !
Mitsuki : Comment on pourrait rendre ça amusant ? Si tout le monde se met à parler en même temps, ça risque d’être le bazar…
Yamato : Ne te focalise pas sur les nombres, Mitsu. On a déjà géré ce genre de situation avant. Et, si je me souviens bien, on n’a jamais eu ce genre de problèmes.
Iori : Il a raison, Nii-san. Je veux dire, s’il était question que de nous sept…
Riku : Qu’est-ce que je pourrais raconter si je rencontre Toma-san ? Ah, je me demande s’il a vu le film qui est sorti récemment et qui a fait pleurer toute l’Amérique !
Riku : D’ailleurs, pourquoi “toute l’Amérique” est écrit avec le même kanji qu’on utilise pour dire “riz”  ? 
Nagi : Hmm, ne dit-on au Japon qu'il y a sept dieux dans chaque grain de riz, et que ces dieux pleurent… Peut-être est-ce la raison ?
Tamaki : Ils sont sept comme nous… Quand je verrai Isumin pour le projet, j’lui dirai qu’on est comme des dieux.
Sogo : Tamaki-kun, tu ne pourrais pas le lui dire quand tu le verras au lycée ? On est supposé parler de nos souvenirs d'enfance dans ce projet.
Iori : … Et voilà.
Mitsuki & Yamato : Ah.
Yamato : Bah, s’ils commencent à parler de tous les sujets de l’univers, tu n’auras qu’à en profiter pour nous montrer un gros Big Bang, Mitsu.
Mitsuki : Je me demande combien d’univers ça donnera… M’enfin, on finira de toute façon par s’amuser, comme c’est toujours le cas !
Yamato : C’est vrai, c’est vrai.
Mitsuki : Ok ! Faisons en sorte de nous amuser autant que possible, tous les seize !
Tout le monde : Ouais !
*On passe dans un dressing*
*toc toc*
Mitsuki : Momo-san, Yuki-san, vous êtes là ? C’est Mitsuki ! J’ai entendu dire que vous étiez là aujourd’hui, donc je suis venu vous saluer !
Momo : Hé, Mitsuki ! Entre !
*Porte qui s’ouvre*
Mitsuki : Bonjour !
Ryunosuke : Bonjour, Mitsuki-kun.
Tenn : Bonjour.
Mitsuki : Oh ! Trigger, vous êtes là aussi !
Momo : Le styliste avait besoin de voir Yuki et Gaku pour un moment, alors ils ne sont pas là pour l’instant.
Tenn : Sans le faire exprès ils portaient des costumes de la même couleur qu’une idole féminine avec qui on va jouer.
Mitsuki : Oh, les deux ? Vous allez participer au même programme ?
Ryunosuke : Non, mais on leur a dit d’aller voir le styliste pour la même raison…
Momo : Et quand Yuki a vu tous les efforts que faisait Gaku, il a décidé de faire de même. Il a été emporté par la virilité de Gaku.
Tenn : Ils étaient en train de parler à propos de qui devrait changer leur costume et Gaku s’exclama : “Je vais le faire. Ça va être plus difficile pour elle” et il est parti.
Mitsuki : Ahaha, je vois. La virilité de Yaotome a dû être vraiment ardent s'il a réussi un tel exploit.
Ryunosuke : N’est-ce pas ? Ce matin, j’avais eu des problèmes, car le dentifrice était presque fini et Gaku m’a dit : “Ne t’inquiète pas, Ryu ! Tu peux le faire ! Essaye encore une fois, tu peux le faire !” Et il a continué à m’encourager ainsi.
Ryunosuke : Donc, j’ai pressé en utilisant toute ma force, et à la fin le dentifrice est sortie. Je me suis vraiment senti victorieux.
Momo : Kyaaah ! Si puissant, Ryunosuke ! Mais, il est peut-être possible qu’il soit juste trop paresseux pour presser le dentifrice lui-même…
Ryunosuke : Hein, ah bon ?
Mitsuki : Notre vieux croûton utilise aussi cette stratégie. Qui sait, connaissant Yaotome, je pense qu’il était vraiment en train de t’encourager…
Tenn : D’ailleurs, on a un nouveau stock de dentifrice dans le tiroir sous le lavabo.
Ryunosuke : Ah, vraiment ?! J’ai pensé que c’était fini et qu’on devait en racheter un autre !
Tenn : Je te l’ai dit, en plus, que j’ai mis un nouveau paquet sous le lavabo.
Tenn : Gaku et toi achetez de nouveaux paquets à chaque fois que celui que vous utilisez est terminé, donc maintenant, on en a environ cinq paquets.
Ryunosuke : Ahah, désolé ! J’ai du mal à briser l’habitude que j’avais quand je vivais seul.
Mitsuki : C’est pareil pour nous !
Mitsuki : Quand on est à court de quelque chose, on a au moins trois personnes qui en rachètent sans vérifier s’il y a déjà un à la maison. Grâce à eux, on a désormais 15 shampoings et dentifrices encore emballés.
Momo : Aaah ! Que de souvenirs… Quand je suis légèrement ivre généralement, je vais au konbini et étrangement commence à faire du shopping. Pour une raison quelconque, je finis toujours par acheter du dentifrice et des cotons-tiges.
Ryunosuke : Je comprends. Qu'aviez-vous l’habitude d’acheter ? Habituellement, j’achète du déodorant en spray et du détergent…
Tenn : Je comprends mieux pourquoi on a autant de détergent…
Momo : Pourquoi on achète des choses aussi similaires ? C’est ce que j’appelle un mystère…
Mitsuki : Ouais.
Ryunosuke : Peut-être que c’est juste moi, mais quand je suis ivre, j'achète habituellement des choses que je trouvais amusant ou qui m’ont rendues heureux par le passé…
Momo : Des choses que tu trouvais amusant ou qui te rendaient heureux ? De quel genre de chose, tu parles, Ryu-chan ?
Tenn : Donc, inconsciemment, tu essayes de faire remonter d’anciennes expériences… ou quelque chose comme ça.
Ryunosuke : La première fois que ma grand-mère m’a demandé de lui acheter quelque chose, elle voulait du déodorant en spray et du détergent.
Ryunosuke : Ensuite, elle m’a félicité et dit que j’étais un bon garçon… Je crois que c’est pour ça que je continue d’acheter la même chose.
Momo : Waah, c’est peut-être ça !
Momo : Il y a longtemps, je me suis arrêté à un konbini en allant chez Yuki-san quand soudainement, je me suis souvenu qu’on avait plus de cotons-tiges, donc j’étais extrêmement reconnaissant d’en avoir trouvé…
Mitsuki : Je vois. Donc, c’est pour ça que j’achète toujours des timbres au konbini quand je suis ivre.
Ryunosuke : Des timbres ? Tu parles des timbres qu’on met normalement sur une lettre ?
Mitsuki : Oui ! Quand j’étais enfant, j’avais l’habitude d’envoyer des lettres de fan à Zéro ! J’achetais des timbres au konbini près de chez moi, mais j’étais tellement nerveux à chaque fois !
Mitsuki : Je me disais : “La lettre que j’écris va être remise à Zéro. Zéro va lire ma lettre !” Mon cœur battait à tout rompre. Aujourd’hui encore, il m’arrive parfois d’en rêver.
Mitsuki : Aaaah, que c’est nostalgique… ! La première lettre que j’ai écrite avec Iori. Ahah, c’est peut-être pour ça que j’achète des timbres quand je suis ivre.
Momo : Ça doit être à peu près au même moment où tu as pris cette photo ! Tu étais un garçon si mignon, qui avait l’impression d’être si cool déguisé en Zéro dans son costume de “Midnight” !
Mitsuki :  Oui, c’était à la même période. J’adorais tellement ce costume… mes parents l’ont fait pour moi.
Tenn : Tu en as aussi parler pendant le programme. Ils t’ont fait ce costume et Izumi Iori a un peu aidé aussi.
Tenn : Si je me rappelle bien, il a aidé avec le papier d’emballage, le ruban adhésif et les trucs comme ça.
Mitsuki : Oui, oui ! Il a essentiellement aidé à la présentation. Je pense que cela nous a pris un mois pour terminer le plan.
Momo : Un mois ?! C’est beaucoup ! Je peux sentir l’amour pour Zéro !
Ryunosuke : Iori-kun avait quoi… trois ans à l’époque ? C’est incroyable qu’il ait pu aider.
Mitsuki : N’est-ce pas ?! Quand maman et papa travaillaient sur mon costume, il entrait et disait: “Iori veut aider !”
Mitsuki : Je n’oublierai jamais la concentration sur son visage enfantin quand il mettait le ruban adhésif.
Ryunosuke : Je comprends ! Les enfants font des visages si mignons quand ils font de leurs mieux pour faire quelque chose !
Tenn : C’est vrai. Riku aussi était adorable quand il était absorbé par quelque chose, il était tellement concentré.
Ryunosuke : Tiens, c’est rare… Tenn qui loue Riku-kun en présence d’autres personnes.
Tenn : Je suis juste en train du parler du bon vieux temps.
Mitsuki : Riku serait heureux d’entendre ça.
Momo : Entendre vos histoires de grand frère, je me suis souvenu que quand j’étais un enfant, ma sœur avait l’habitude de dire à quel point j’étais mignon puis me mettait des rubans et des fleurs et m’habiller comme une poupée.
Momo : Ensuite, elle m’emmenait au parc, habillait comme ça et on jouait ensemble avec ses amies. J’étais la princesse. Eh bien, je dois admettre que ce n’était pas si mal de s’entendre dire “mignon” autant de fois !
Ryunosuke : Je suppose que c’était normal chez vous, puisque vous avez une grande sœur.
Mitsuki : On faisait ça aussi chez nous, bien qu’on soit des frères ! On avait l’habitude de mettre des rubans que nos parents utilisaient pour emballer les gâteaux sur nos têtes.
Momo : Ahaha ! C’est juste trop mignon ! Je vous aurais certainement acheté.
Mitsuki : Nos clients nous disaient la même chose ! Mais Iori se mettait toujours à pleurer, en criant quelque chose du genre : “Onii-chan est notre idole, vous ne pouvez pas l’emmener !!”
Tenn : ……
Mitsuki : Mes parents m’ont parlé de ça que récemment, et j’ai pas pu supporter… ahaha !
Mitsuki : Je ne suis pas doué à accepter les choses et parfois, je me comporte mal, et pourtant, Iori continue de me supporter quoi qu’il arrive…
Mitsuki : …… Que c’est nostalgique. Iori qui sourit, portant son ruban, mon costume de Zéro fait main, la lettre de fan que j’ai écrite à Zéro…
Mitsuki : Ah, en parlant de lettre de fan…
Tenn : Que s'était-il passé ?
Mitsuki : Eh bien, l’histoire ne s’arrête pas ici.
Momo : Quoi, quoi ? J’ai besoin de savoir !
Mitsuki : Ahah… c’est une longue histoire, donc je pense que je vais la garder pour le projet. Je vais préparer un épisode très spécial !
Fin de la partie 1
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howloftheshadow · 1 year
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Ma mère est toxique.
Ça fait longtemps que je le sais, que j’en ai pris conscience. Et maintenant, plutôt que d’être touchée par ce qu’elle dit et/ou fait, ça me fait rire. C’est plutôt nerveux. Mais je me rends vraiment compte qu’elle a un problème quand elle me sort que je me suis comportée en victime, que j’ai manipulé des gens pour les monter contre elle alors qu’à l’époque je n’avais qu’une dizaine d’années …
J’aurai tellement aimé avoir une mère normale. Avec qui je vais faire du shopping, une mère a qui je me confie, à qui je peux faire confiance, une mère que j’aime, qui n’est pas jalouse de moi, qui ne me fait pas culpabiliser, qui ne me dit pas qu’un jour j’aurai sa mort sur la conscience. Une mère qui me soutient quand j’en ai besoin, pas une mère qui se réjouit de mon malheur car ça me permet de me rendre compte de ce qu’elle a vécu, une mère avec qui j’aurai pu être en sécurité affective et physique, une mère avec laquelle les rôles n’auraient pas été inversés. J’aurai aimé avoir une mère comme toutes les autres mères. Mais ça n’est pas le cas. Ça n’est pas mon cas. Je dois faire le deuil de cette mère idéale, de cette mère parfaite, ou tout du moins, d’une mère. Juste ça. En tant que telle.
Et finalement, c’est ça qui est le plus difficile. De me dire qu’elle ne sera jamais comme ce que j’aurai souhaité, imaginé. Qu’elle ne sera jamais une mère d’une autre façon que le simple fait de m’avoir mise au monde.
Et maintenant on se demande : pourquoi j’ai toujours voulu travailler auprès des enfants, et pourquoi je ne veux pas d’enfants.
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raisongardee · 2 years
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“Il y a quelques années, nous fîmes parvenir l’un de nos livres à un certain souverain, en respectant les règles normales d’étiquette, donc non directement mais par un intermédiaire. Eh bien, nous disons la pure vérité en affirmant avoir éprouvé comme un choc à la réception d’une lettre de remerciements qui commençait par les mots "Cher ( !) Evola", alors que nous ne connaissions pas personnellement ce personnage et que nous ne lui avions jamais parlé. Cet "esprit démocratique" semble de bon ton. En fait, il dégoûte ceux qui ont encore une sensibilité pour les valeurs anciennes. 
Dans un domaine très banal, on pourrait rappeler, comme signe de la même tendance, un usage très répandu aux Etats-Unis, le pays le plus plébéien du monde. Surtout dans la jeune génération, on ne peut pas dire là-bas quatre mots à quelqu’un sans qu’aussitôt ce quelqu’un vous invite à le tutoyer et à l’appeler par son prénom, Al, Joe, etc. A l’inverse, nous avons souvenance d’enfants qui disaient "vous" à leurs parents et d’une certaine personne, très proche de nous, qui continuait à dire "vous" à des jeunes filles (des jeunes filles bien élevées) même après avoir passé la nuit avec elles. A l’opposé, on sait que certains films, qui reflètent à n’en pas douter les mœurs d’outre-Atlantique, nous présentent le stéréotype de l’homme qui, après un simple et insipide baiser, dit immédiatement "tu" à la femme.”
Julius Evola, Explorations. Hommes et problèmes, trad. Philippe Baillet, 1974.
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selidren · 1 year
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Eté 1901 - Champs-les-Sims
6/25
Comme je vous l’avais dit, c’est une jeune fille brillante. Elle a commencé à l’école du village comme tous les autres enfants, mais il est devenu évident très rapidement qu’elle était déjà bien plus avancé que les autres petits de six ans. La retirer de l’école a d’ailleurs été des dernières choses que Oncle Maximilien a fait, et il a engagé un percepteur privé. Grand-Mère m’a aussi confié plus tard qu’elle n’aimait pas l’idée que ses petites filles soient forcé de suivre la classe avec des garçons, ce avec quoi mon oncle était également d’accord. Vous ne le savez peut-être pas, mais l’école de notre village accueille si peu d’enfants qu’il n’y pas eu moyen d’y mettre en place des cours non mixtes. J’ai moi même été à l’école avec des jeunes filles, et pour ma génération, cela est assez normal au demeurant. Le jour où Alexandra ira à son tour à l’école, cela ne me gênera pas le moins du monde.
Transcription :
Zéphir : Elle a peut être raison ceci dit. Si tu deviens médecin, il faudrait moi aussi que j’ai un bon métier.
Rose : Je ne vois pas ce qui t’inquiète. Avec un nom comme le tien, tu n’as pas besoin d’un quelconque diplôme. 
Zéphir : Tu sais bien...
Rose : J’y suis. Si elles jugent que ton estime de toi ne peut survivre au fait d’avoir une compagne plus brillante que toi, elles ont une bien piètre opinion de toi.
Zéphir : Je sais que je suis moins intelligent que toi. Pour elles, c’est un problème.
Rose : Je ne vois toujours pas en quoi. 
Zéphir : Je ne ferai jamais une brillante carrière universitaire, encore moins militaire. Je ne suis ni mon frère, ni le tien. Pour ce que ça m’importe, je rêverai d’un poste au département des eaux et forêts. Pouvoir rester dehors toute la journée, me promener, observer les alentours...
Rose : Ce serai juste parfait pour toi.
Zéphir : Soyons réalistes, cela n’arrivera jamais.
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[VOULOIR OU NON UN COLOCATAIRE DANS SON UTERUS]
Avec “Et toi, c’est pour quand ?”, France Télévision nous a offert un téléfilm adorable, qui nous apporte un beau message de sororité. (Et ça parle aussi d’endométriose, d’où le présent article.)
A lire jusqu’au bout, parce que c’est plein de rebondissements !
L’héroïne ne veut pas d’enfant. Le souci c’est que la société n’est pas d’accord avec ça, à commencer par son gynéco, qui lui fait la morale et à qui elle doit quémander une ordonnance de pilule.
Elle finit par dire qu’elle a une endométriose et que c’est pour cela qu’elle n’a “toujours” pas d’enfant, afin d’échapper à la pression sociale. Et là, j’avoue qu’on se dit “mais quelle connasse ! Elle utilise une maladie douloureuse comme alibi, c’est monstrueux.”
Mais les scénaristes voient plus loin. Ils visent même une étude au microscope de notre société. En effet, la société est tellement persuadée qu’une femme n’a de valeur que si elle se reproduit, que sa soi-disant infertilité va transformer tout son entourage !
Ses collègues qui lui mettent la pression, sont soudainement aux petits soins. Sa mère qui n’a à la bouche que des griefs, la dorlote. Son copain qui, en réalité, n’a jamais été éperdument amoureux d’elle, s’intéresse enfin à leur couple. Son *bip* de frère, convaincu qu’il doit être canonisé parce qu’il a assuré la reproduction de l’espèce humaine, cesse de s’en servir comme boniche au prétexte que “bah toi t’as pas d’enfant, donc t’as pas mieux à faire.” Ses copines mamans, cessent de la prendre de haut parce que la maternité leur a permis d’accéder à un autre plan astral (oui je viens de faire un parallèle avec Stargate, les Anciens et l’ascension !) 
Pour autant, il y a un problème : sa nouvelle amie, qui elle souffre réellement d’endométriose et est dans l’enfer de la PMA. Car dans cette relation, ce mensonge devient cruel.
Mais c’est sans compter le scénario merveilleusement bien ficelé, qui est une ode à toutes les femmes : celle qui ne veut pas d’enfant, celle qui se bat pour être mère, celle qui est maman jeune, celle qui a eu des enfants et depuis ne cesse de s’en plaindre, celle qui aime sa belle-fille comme si elle l’avait portée, celle heureuse de montrer la photo de ses petiots, celle qui se bat pour garantir de l’accès à l’IVG.
Du féminisme et une belle déclaration aux femmes : notre corps, notre choix, cela ne nous empêche pas de nous aimer et de nous soutenir.
(Bravo à Blandine Bellavoir qui porte ce rôle, tout en profondeur, à la perfection.) 
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sdaryane · 1 year
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Le décor à l’envers...
J’ai souvent tendance à dire que je ne suis pas comme les autres mais en réalité rien n’est plus ressemblant à un être quelconque qu’un autre être qui se dit différent du premier !
Je sais bien que je n’ai sans doute aucune excentricité ni aucune particularité qui mérite que l’on s’arrête sur moi ou bien que je demeure inoubliable aux yeux du commun des mortels. Toutefois, je refuse ce postulat et m’insurge quand on me parle « des gens » comme si je devais m’y apparenter ou les comprendre !
Malgré mon association évidente avec l’archétype de la femme traditionnelle et conservatrice, je me présente constamment comme étant décalée, exceptionnelle et unique ! Sur ce dernier point, je finis par penser que c’est bel et bien mon statut d’enfant unique qui m’oblige à insister sur ma singularité.
Pourquoi détestais-je autant que l’on me jette dans le pot commun ? Quel était ce besoin permanent de bénéficier d’un statut particulier aux yeux du reste du monde ? Avais-je une raison supérieure à ma conscience ou étais-je tout simplement imbue de moi-même et finalement narcissique ?
Pour être honnête, je n’avais jamais autant creusé le sujet ! Aujourd’hui, je me pose enfin ces questions car je traverse une crise émotionnelle et existentielle. Quelle est la différence avec toutes celles déjà traversées jusqu’ici me direz-vous ? Eh bien, tout simplement que l’âge avançant je m’aperçois que je gaspille trop de temps dans la mélancolie et la douleur. Il est temps pour moi de vivre enfin la vie que j’ai décidé de mener. Il est temps que je sois réellement heureuse et pas seulement forte. Il est temps que je vive mon texte sacré et que je me positionne définitivement au cœur de la cible.
Mais alors comment dois-je m’y prendre ? Décidément, je ne peux pas m’empêcher de me jeter à nouveau dans un tourbillon de questions…C’est comme si, chaque fois que je m’approchais de la solution le problème s’intensifiait…
Après tout, lorsque je réussi à défaire le nœud formé par mes colliers entremêlés je ne sais pas comment j’y suis parvenu alors je vais conclure que ce n’est pas le « comment » qui est important désormais, mais plutôt le « quand » !!!En effet, cela devient urgent. C’est vital pour moi de passer à l’étape suivante de ma vie. Je dois véritablement finir de me réaliser et vivre enfin cette liberté retrouvée. Je ne parle pas d’indépendance ni d’autonomie car ce sont des notions déjà acquises mais bel et bien de paix intérieure que seul un être totalement libre d’entraves et de carcans peut ressentir.
C’est cette face cachée de l’iceberg que je dois découvrir, l’envers du décor qui me permettra d’atteindre mon vrai moi et d’être enfin celle dont je rêve depuis toujours. Cet être parfaitement équilibré, serein et dénué d’ondes négatives car il se crée son propre bonheur…
Comme dirait Marko avec son superbe accent albanais : « Bon chance » !
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laulywood · 1 year
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À vos tutus !
Le ballet-core, c’est la trend qui envahit nos tik tok. Avec plus d’une dizaine de hashtags en référence à cette tendance qui accumule des millions de vues, on se devait d’en parler. Mais d'où vient ce phénomène ?
Bien que cette tendance fasse fureur sur nos réseaux depuis quelque temps, elle ne date pas d'hier. Il y a déjà quelques mois, voire années, de nombreux articles avaient prédit la popularité de cette esthétique et de son ascension en 2022.
Le ballet a souvent été une source d’inspiration sur les défilés de mode. Aujourd'hui, en accord avec son temps, l'esthétique s’expose à toutes échelles en grande surface, sur les réseaux, tout en gardant sa place sur les podiums.
“Je vois le mouvement de ballet-toute-la-journée comme l'évolution naturelle du sportswear chic”. - Madeleine Jones.
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Comme son nom l’indique, le ballet-core est une tendance revisitant l’esthétique des danseuses étoiles avec des pièces typiques de la garde robe de la danse classique. De nos jours, cette esthétique, c’est surtout une mode élaborée pour tous les jours et également plus accessible. Cette esthétique est marquée par les ballerines culte de Miu Miu, la jupe en tulle de Molly Goddard et marque le retour inattendu des Ultra Mini Boots de UGG. Mais comment vraiment adopter le look ballerina ?
Deux options s'offrent à nous. Dans un premier temps, on opte pour la panoplie complète avec le body, les hauts cache-cœur ou boléro, les jambières ainsi que les mini-jupes et le fameux chignon tiré à quatre épingle. À l'inverse, pour s'intégrer un peu plus aux différentes saisons, et avoir un style plutôt minimaliste de la tendance, on incorpore seulement quelques pièces dans nos tenues quotidiennes. Ici on opte pour les cache oreilles et les jambières en tricot, parfait pour nous aider à affronter la période hivernale.
Pour les couleurs, on mise tout sur des tons très doux, tel que le rose poudré, ou beige champagne toujours associé aux ballerines ainsi que le blanc et pour joeur avec la dualité comme dans le film “ Black Swan”. On n’oublie pas le grand retour de la tendance gothique avec une légère présence pour le noir.
Une tendance ambivalente
Après le barbie-core, le ballet-core nous plonge en enfance avec nos souvenirs de danse classique. Mais c’est pour beaucoup, c’est le moment de réaliser un rêve d’enfant. Car au-delà des belles tenues délicates et des jolies couleurs pastels, de nombreuses femmes commencent le ballet dans la vingtaine pour se lier d'amitié avec leur enfant intérieur et améliorer leur bien-être mental.
Cette mode permet aussi de mettre en avant toutes les femmes. À l’époque, l’aspect physique des femmes ne rentrait pas toujours dans la norme, en ce qui concerne leurs morphologies ou leurs couleurs de peau. Aujourd'hui, les marques de fast-fashion permettent à tout le monde de s’éloigner des tailles xs des défilés de mode. La maison miu miu, quant à elle, participera à cette évolution en proposant des ballerines de différentes teintes, un problème majeur qui touchait beaucoup d’entre nous,il y a encore peu.
Mais à l'inverse, cette tendance s’accompagne également de tout un aspect physique, que l’on a souvent dénoncé. L‘esthétique d’une jeune femme, blanche très féminisé, fine et élancé, dont certains semblent rechercher. Les danseuses classiques sont les premières à faire appel à la vigilance pour ne pas perdre pied.
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Il y a quelques temps, à l’entrée de la piscine, on pouvait voir un panneau avec la photo d’une fille au physique spectaculaire où il était écrit " cet été, tu veux être une sirène ou une baleine ? "On raconte qu’une femme, dont on ignore l’aspect physique, répondit à la question de la façon suivante : Chers messieurs, les baleines sont toujours entourées d’amis (dauphins, phoques, humains curieux), elles ont une vie sexuelle très active et élèvent leurs enfants avec beaucoup de tendresse. Elles s ‘amusent comme des folles avec les dauphins et mangent des gambas jusqu’à plus soif. Elles nagent toute la journée et voyagent dans des lieux fantastiques comme la Patagonie, la mer de Barens ou les barrières de corail de Polynésie. Elles chantent incroyablement bien et quelque fois on va même jusqu’à en faire des cd. Se sont des animaux impressionnants et très aimés, que tout le monde défend et admire. Les sirènes n’existent pas. Mais si elles existaient, elles feraient la queue pour consulter un psychologue à cause d’un problème de dédoublement de personnalité, femme ou poisson ? Elles n’auraient pas de vie sexuelle et ne pourraient pas avoir d’enfants. Elles seraient ravissantes, certes, mais solitaires et tristes. De plus, qui voudrait à ses côtés d’une fille qui sent le poisson ? Sans aucun doute, je préfère être une baleine. À une époque ou les médias nous mettent en tête que seules les minces sont belles, je préfère manger une glace avec mes enfants, dîner avec mon mari, manger et boire et m’amuser avec mes amies. Nous, les femmes, nous prenons du poids parce que nous accumulons tellement de sagesse et de savoir qu’ils ne tiennent dans la tête et débordent dans tout notre corps. Nous ne sommes pas grosses, nous sommes énormément cultivées. A chaque fois que je vois mes formes dans le miroir, je me dis : "Qu’est-ce que je suis intelligente ! " Isabelle Boisvert
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chourzahi · 2 years
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Hamza El-Alia
Constatant le problème de terres pour cimetière à Alger, Elle a décidé d’acheter en 1928 ce vaste lot de terrain auprès d’un colon, offrant ainsi à ses concitoyens un espace pour enterrer leurs morts. Hamza El-Alia Décéda le 17 novembre 1932, n’ayant pas eu d’enfants de son mariage, la rumeur dit que sa mort est due à un empoisonnement. Elle sera enterrée chez elle dans son village natal, à Sour-El-Ghozlane.
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