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#problèmes d’amour
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COMMENT FAIRE REVENIR SON BIEN AMOUR
COMMENT FAIRE REVENIR SON BIEN AMOUR
Comment faire revenir son bien aime Comment faire revenir son bien aime est ceux à quoi vous pensez actuellement , la personne que vous aimez le plus au monde à commencé à changer son comportement, à prendre ses distances, à s’éloigner de vous, et s’apprête même à briser ce bonheur et vous ne comprenez pas ce qui vous arrive. Alors, tout s’écroule autour de vous. Personnellement, je souhaite que…
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maitremaraboutkpomevo · 4 months
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Le plus grand maitre marabout puissant de l’Afrique
Le plus grand maitre marabout puissant de l’Afrique, depuis des décennies déjà, il est un des rares que vous trouverez capable de réaliser pour vous des rituels bien faits. Il utilise une connaissance spirituelle antique très puissante qui lui permet de résoudre tous vos problèmes sentimentaux dans Honnêteté, efficacité et rapidité, surtout en discrétion totale , retour de l’être aimé en moins…
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fieriframes · 2 years
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[Do you speak with my voice? Do I speak with yours? We create the world where darkness once stood.]
III - Le Corbeau Albinos
Je l'ai interrompue et j'ai demandé avec terreur “où avez-vous obtenu ce jeu de cartes?” Le ton de ma voix et l’absurdité de la question l'ont clairement découragée, car elle a répondu sèchement qu’il lui avait été offert par un ami proche il y a des décennies, puis elle a immédiatement repris la séance.
Je ne me souviens vraiment pas d'un seul mot de ce qu'elle dit après ça. Je n'arrêtais pas de compter les doigts du magicien, atteignant parfois cinq, parfois six, incapable de me concentrer, de respirer normalement ou de revenir à la réalité. Finalement, j'ai réussi à la remercier, à payer, à partir et à rentrer chez moi.
Je me suis demandé comment cette situation allait dégénérer. La prochaine carte apparaîtra-t-elle dans ma poche ? Sous mon oreiller ? Comme un tatouage sur mon bras ? À ce stade, pourquoi pas ? La personne qui était responsable de ces événements avait déjà mon adresse et ce n'était pas particulièrement réconfortant. Pendant des semaines, j'ai regardé par-dessus mon épaule. Me méfiant de tout et de tous. En attendant la prochaine étape de ce jeu étrange.
Ça n'est jamais arrivé. Un mois a passé. Ensuite un autre. Plus de rencontres fortuites. Plus de coïncidences. Plus de cartes. La vie était revenue à la normale. Quel que soit le message que les cartes avaient pour moi, ça avait clairement été reçu.
Finalement, ma curiosité grandissante, j'étais prêt à essayer de comprendre tout ça.
Vraiment, quelles étaient les chances que le médium utilise les cartes de Leonora Carrington ? Je ne savais pas. La seule chose dont j'étais sûr était ce que j'avais vu de mes propres yeux. J'ai décidé de me plonger dans les tarots qui avaient croisé ma route.
L'Amoureux; une carte d’harmonie et d’amour. Avant d’être en harmonie avec l’autre, il s’agit d’être en harmonie avec soi-même.
La Papesse, une carte de spiritualité et de sagesse. Le lien avec le divin et toutes les choses au-delà de la raison. Un rappel pour vous connecter avec votre voix intérieure et votre intuition et pour faire confiance à votre puissance supérieure. Ces deux cartes sont apparues deux fois. Pourquoi, je ne sais pas.
Puis, l'Empereur, qui reflète un système lié par des règles et des règlements. Créez le calme à partir du chaos en décomposant tous problèmes, puis planifiez les actions nécessaires pour les résoudre.
Le Chariot, représentant le dépassement des obstacles grâce à la détermination, la concentration et la volonté.
Les trois cartes suivantes, celles révélées par Amélia, m'avaient le plus marqué. L'Impératrice, le Pape et, pour finir, le Bateleur. Le dernier est souvent représenté avec une main pointant vers le ciel et l'autre pointant vers la terre, ce qui est largement interprété comme une référence aux domaines spirituel et physique. Quod est superius est sicut quod inferius, et quod inferius est sicut quod est superius. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Entre deux mondes.
Tout semblait étrangement logique. Les cartes me parlaient clairement de spiritualité, de paradis et de terre, d'un voyage difficile. Mais s'il y avait un message concret ici, je ne pourrais pas l’entendre/comprendre. Chacune de ces cartes avait sa propre signification. Alors j’ai continué à y penser en boucle pendant des mois. L'ordre. Les significations. J’essayais de faire des connexions là où il n’y en avait pas.
Les jours passèrent.
Un soir après le travail, avec Nocturne n° 5 en fa dièse majeur de Chopin jouant en fond sonore, j'ai pris le jeu de cartes que j'ai récemment acheté et les mets sur la table. J'ai remarqué, pour la première fois, qu'ils étaient tous numérotés. L'Amoureux avec un numéro 6 dans le coin. La Papesse: 2. L'Empereur, 4. Le Chariot: 7. L'Impératrice: 3. Le Pape: 5. Le Bateleur: 1.
En raison de mes terribles compétences en maths, la seule chose à laquelle je pouvais penser était d'additionner les nombres. Le résultat était 28. 2 + 8 = 10. Le nombre d'achèvement. Ça signifiait-il quelque chose ? Si j'inclus les occurrences répétées, L'Amoureux et la Papesse, j'ai eu 36. 3 + 6 = 9. 9 qui représente une fin qui n'est pas définitive. L'accomplissement d'un cycle, d'un voyage, pour préparer le suivant.
28, 36, 10, 9… Tout semblait important, mais complètement inutile. Insérer du sens dans le non-sens.
J'ai essayé autre chose. J'ai mis les sept cartes les unes à côté des autres. 6 2 4 7 3 5 1. J'ai regardé fixement les cartes pendant une éternité. Rien du tout. Puis, j'ai déplacé quelques cartes pour qu'elles soient regroupées. 62 47 35 1. Plusieurs chiffres avant tout élément significatif. Sur une feuille de papier, j'ai inclus les cartes répétées. 62 62 47 35 1. Encore à un chiffre de tout ce qui a du sens, comme un numéro de téléphone.
Juste au moment où la musique s'est arrêtée, j'ai entendu le son d'un papier glissant sur le parquet. J'ai couru vers la porte, l'ai ouverte et je n'ai rien rencontré de l'autre côté. Mais à mes pieds se trouvait une enveloppe. Je le pris avec hésitation et retournai vers le canapé.
Les mains tremblantes, j'ouvris l'enveloppe. Une seule feuille de papier. Un poème.
Grand corbeau albinos Buvez toutes les ténèbres du ciel.
Les buses sombres, sombres Chantent pour le masque Qui appartenait autrefois à la vie.
Grand corbeau albinos Tu es l'antidote.
Le Pendu Verse des images Dans des yeux saturés.
Deux espions d'encre.
De l'autre côté de la note se trouvait un dessin.
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Le Mat de Leonora. Carte numéro zéro.
Le Mat indique de nouveaux commencements, comme le début d'un voyage. Bien que ce voyage ne soit pas sans obstacles, c'en est un pour lequel vous êtes plus que prêt et qui vous mènera à de plus grandes choses. Il ne sait pas où ce processus de découverte de soi le mène, mais il est heureux d'y aller. Dans les interprétations plus ésotériques des cartes de tarot, le Mat est connu comme le protagoniste de l'histoire, et les Arcanes Majeurs sont le chemin que le Mat emprunte à travers les grands mystères de la vie.
J'étais assis là à regarder les deux morceaux de papier posés sur la table; le dessin et les chiffres que j'avais notés plus tôt. 62 62 47 35 1. Presque dans un état de transe, j'ai pris le stylo et j'ai complété la séquence avec le numéro du Mat. 62 62 47 35 10.
Puis, j'ai retenu mon souffle, pris le téléphone et composé le numéro.
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De Magnus à Alec
Mon cher délicieux muffin d’amour,
J’espère que tu te portes à merveille au moment de recevoir cette lettre parfumée, et que toi et R et M passez un très bon moment pendant votre voyage en… euh, je crois que le mot que tu as utilisé est « Nord ». J’ai entendu des légendes sur ce Nord[1], mais jamais n’aurais-je pensé que ma famille verrait de ses propres yeux ses montagnes, ses marchés fermiers kitchs, son Onde de l’Hudson.
Mais plus sérieusement, j’espère que les enfants apprécient leur séjour chez Grand-mère, et j’espère bien que tu appelles Maryse « Grand-mère » aussi souvent que possible parce que j’adore la tête qu’elle fait quand elle nous entend dire ça. Sur un sujet moins plaisant mais plus pressant, j’espère que tu as eu l’occasion de discuter avec Luke de ce qu’il se passe avec la Cohorte et Idris.
Mais ne fatigue pas tes magnifiques mains à m’écrire une réponse. Je viendrai moi-même te rejoindre dans le « Nord » plus tard dans l’après-midi, puisque, je te l’annonce avec joie, l’affaire de la maison maudite des petits Blackthorn est plus ou moins résolue. Bien que ce fût une rude épreuve, crois-moi.
Je ne crois pas t’avoir montré la note que Jem m’avait envoyée, qui disait : « Emma et Julian essayent de ne pas t’embêter davantage avec leur maison, et c’est très gentil de leur part, mais contrairement à eux, je n’ai pas le moindre scrupule à t’embêter, alors c’est moi, maintenant, par cette note, qui t’embête. Nous avons besoin d’un sorcier et tu es le meilleur que je connaisse pour faire face à notre problème. Nous apprécierions tous grandement ton aide. »
Comme c’est souvent le cas, j’étais à la fois légèrement agacé et légèrement impressionné par Jem, qui avait réussi à être très gentil tout en me rappelant que, lorsque lui et Tessa sont concernés, je suis une vraie dupe qui volera à leur secours dès que possible. Parce que je suis une véritable dupe lorsque lui et Tessa sont concernés, j’avais tout de suite répondu que je viendrais.
Je sais ce que tu penses. « Pourquoi Tessa aurait-elle besoin d’un sorcier alors qu’elle est elle-même une sorcière ? » Différents sorciers ont différents domaines de connaissance, comme tu le sais, et même si Jem me flattait en disant que j’étais le meilleur choix, la vérité est que j’ai bien eu à gérer beaucoup plus de malédictions que Tessa. C’est ce qui arrive quand on a passé les dernières décennies à vendre ses services à n’importe quel mécréant que l’on croise, au lieu d’agir intelligemment et de mener une paisible vie de chercheuse en magie dans le Labyrinthe en Spirale. Tessa a toujours été la plus maligne de nous tous.
Quoi qu’il en soit, je dois accorder du mérite à Emma et Julian. Je m’attendais à les trouver en train de cogner les objets maudits les uns contre les autres ou quelque chose de cet ordre, mais ils avaient mis en place un cercle de protection plutôt convenable et avaient même trouvé un sort. C’était un vieux sort très général qui, d’après mon expérience, n’a souvent aucun effet sur les vraies malédictions à notre époque, mais tout de même.
Assez bêtement, j’ai établi le cercle dont je me sers habituellement pour rompre les malédictions, pour essayer. « Bêtement », parce que j’avais oublié qui avait créé la malédiction à l’origine. Ton pire ancêtre, Benedict Lightwood, passionné de démons en tous genres et amateur de nécromancie. A quel point Benedict était-il passionné par les démons ? Il est littéralement mort de la vérole démoniaque qui, si tu ne le sais pas, parce que tu es admirablement pur, mon Alec, est une maladie démoniaque sexuellement transmissible.
Mais j’avais oublié ça sur le moment, alors j’ai été étonné quand la malédiction a résisté avec force. Elle se tordait, se débattait, donnait des coups, comme Max quand on le plonge dans son bain. Une espèce de lueur vert fluo rayonnait aux points d’attache entre les objets maudits et la malédiction. J’ai finalement compris que je devrais précautionneusement détacher chaque objet de la malédiction un à un.
Je m’en suis sorti avec la flasque, la dague, et l’un des bougeoirs (ne me demande pas d’expliquer comment j’ai réalisé cet exploit), mais après ça, j’étais coincé.
Ce n’est pas terrible quand un sorcier prend une remarquable pose magique et qu’il ne se passe rien ensuite. Je suis certain que j’avais l’air ridicule, comme un magicien terrestre qui ne comprend pas pourquoi le lapin ne sort pas du chapeau. Julian et Emma, toujours très polis, ont patiemment attendu mais je me sentais fort idiot.
Et puis je me suis complétement déconcentré pendant un moment parce que la porte s’est ouverte et Kit est entré. Il a rapidement observé la scène avant de déclarer :
- Le Professeur Violet dans la bibliothèque avec le bougeoir, à ce que je vois.
- Le violet est toujours une couleur appropriée pour un sorcier, ai-je rétorqué. C’est la couleur ornementale de la magie.
- Ta magie est bleue, est intervenue Emma, évidemment, Madame-je-sais-tout.
- Peut-être qu’il parlait de moi, a dit Julian. Je porte un sweat à capuche violet. Et c’est aussi la couleur ornementale de la magie, a-t-il ajouté avec un hochement de tête à mon attention, ce que j’ai apprécié.
- Vous pourriez peut-être mettre les objets sur une nappe violette au lieu d’une blanche, a suggéré Kit.
Tout en parlant, il s’est rapproché pour jeter un œil.
Et dès qu’il a été près du cercle, Alec, j’ai ressenti une sensation des plus étranges. Une sensation de… pouvoir, je suppose, qui résonnait en Kit. Tu vois la façon dont le corps vibre d’une manière particulière quand il y a des bruits vraiment très graves ? Cette sorte de grondement ? C’était comme ça, mais silencieux. Je n’avais jamais ressenti ça de toutes les fois où j’avais vu Kit. Je voyais aussi que Kit ne ressentait rien d’anormal. Et si c’était le cas, il était étonnement imperturbable.
Alors je lui ai proposé de nous rejoindre autour du cercle pour qu’il se concentre également sur la magie.
- D’autant plus que Jem et Tessa ont préféré aller se cacher quelque part plutôt que de nous aider avec ça.
- Ils sont dans le jardin avec Mina, a répliqué Kit, un peu sur la défensive.
J’ai redirigé l’attention de tout le monde sur les objets et concocté une version plus puissante de mon habituel sort anti-malédiction. J’ai pris l’autre bougeoir et BOUM ! Plus aucune résistance ! Il y a eu un grand éclat de lumière bleue et tous les nœuds magiques qui attachaient les objets à la malédiction se sont désintégrés.
Nous n’en croyions pas nos yeux. J’ai fini par prononcer quelque chose comme :
- Eh bien, c’était plus que ce à quoi je m’attendais. Peut-être que la présence de quatre personnes a fait la différence.
J’ai vérifié. La malédiction semblait… avoir disparu. Honnêtement, j’étais un peu secoué. Je n’en ai pas parlé à Tessa ni à Jem, parce que je ne veux pas en faire tout un plat, mais je pense que ça a fonctionné grâce à Kit. Pas parce que nous avions besoin d’une quatrième personne. Il se passe clairement quelque chose avec lui, une sorte de magie dont il ignore tout. Je suppose que c’est lié au fait qu’il est un descendant de la Première Héritière, mais je n’ai jamais été un expert en ce qui concerne ce genre de magie elfique. (Et brûle cette lettre après l’avoir reçue – nous sommes peu nombreux à savoir que Kit est le Premier Héritier, et il vaut mieux que ça reste comme ça.)
Cette idée m’attriste. Kit est un bon garçon qui mérite une vie agréable et ordinaire. Je sais que c’est ce que Jem et Tessa veulent pour lui, plus que tout, après le chaos qu’a été son enfance. Mais je ne suis pas sûr qu’il aura son mot à dire. Les fées ne lui laisseront peut-être pas le choix.
Julian a tendu la main pour prendre la flasque. Il l’a tenue pendant un certain temps en fronçant les sourcils.
- Qu’y a-t-il ? a demandé Emma.
- Rien, a répondu Julian.
Puis il a levé les yeux vers moi :
- C’est tout ? Plus de malédiction ?
- Plus de malédiction, lui ai-je assuré. J’espère.
Et puis est descendu du plafond Rupert le Fantôme. Je n’ai jamais rencontré Rupert quand il était vivant. Je ne sais pas quoi penser de lui. D’un côté, il semble avoir été un innocent qui se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment, un esprit enfermé dans une maison où il n’a jamais vécu à cause d’un mal dont il ne connaissait rien de son vivant. D’un autre côté, en rencontrant Tatiana Lightwood, il s’est dit « Cette demoiselle semble être un bon parti », alors il devait y avoir quelque chose de pas net chez lui.
Rupert était juste au-dessus de la table et est descendu jusqu’à la toucher. Il fixait un objet dessus.
- Qu’y a-t-il, Rupert ? l’a interrogé Emma. Que regardes-tu ?
Kit a suivi son regard et a commencé à mettre les objets sur le côté.
- C’est la bague, a-t-il annoncé.
- Quelle bague ? s’est étonnée Emma.
En effet, quelle bague ? Il n’y avait pas de bague parmi les objets maudits. Mais il y avait une bague sur la table maintenant. Kit l’a prise. C’était une bague sertie d’une pierre noire et gravée d’un motif d’épines.
- La bague de la famille Blackthorn ? s’est demandé Kit.
- La plupart des bagues de famille ne ressemblent pas à ça, a remarqué Emma.
- Peut-être une alliance ?
- Les Chasseurs d’Ombres n’utilisent pas d’alliances.
Mais Julian affichait son habituelle expression pensive.
- Je suis lié à ce lieu par un anneau en argent, a-t-il dit doucement.
- Les Chasseurs d’Ombres peuvent échanger des alliances, ai-je indiqué. Ils n’y sont pas obligés. Mais ils peuvent s’ils le veulent.
Quoi que ce soit, ça appartenait à Rupert. Il avait suivi du regard la main de Kit qui avait pris la bague, et à ce moment il en approchait son fin bras fantomatique. Il a enveloppé la bague de sa main, ce qui n’a eu aucun effet puisqu’il est un fantôme… Kit se contentait de la lui tenir. Puis il a fermé les yeux (je parle de Rupert) et son visage a affiché une expression de soulagement, de gratitude, de paix, et il s’est… évaporé, juste là. Il s’est lentement effacé puis a disparu. Plus de Rupert. Parti pour, je l’espère, ne pas retrouver sa femme, puisqu’elle était aussi sa geôlière pendant plus de cent ans.
- Il n’a même pas dit au revoir, a murmuré Emma.
- C’est mieux, ai-je affirmé. Il n’a jamais été censé être ici.
- Eh bien, Rupert, si tu m’entends, a lancé Emma, c’était sympa d’être hantés par toi.
- Cinq étoiles, a dit Kit sur un ton solennel en reposant la bague sur la table. Ça me plairait d’être hanté à nouveau.
Et toutes les bougies de la pièce se sont éteintes d’un coup. Ce qui était aimable de la part de Rupert, si c’était lui. Ça aurait très bien pu être un simple courant d’air.
Nous sommes tous sortis de la pièce en silence.
- C’est différent, a remarqué Julian en regardant dans le couloir. Je le sens déjà.
Je le sentais moi aussi. Il y avait une légèreté nouvelle. Une sorte de domesticité chaleureuse qu’on ressent dans une maison accueillante, et qui avait toujours manqué à Chiswick House depuis que je la connaissais. C’est difficile à décrire, mais tout d’un coup c’était la maison de Julian et Emma, telle qu’elle ne l’avait jamais été avant. Je l’ai toujours vue comme un endroit hostile, puis comme une monstrueuse ruine. Pour la première fois je me suis dit que c’était un endroit que les Blackthorn pourraient remplir de bonheur.
Et je suis certain qu’ils le feront.
A très bientôt, mon amour. Je t’embrasserai jusqu’à ce qu’un bambin nous force à nous séparer et réclame toute notre attention. Prévois donc un baiser d’environ trente à soixante secondes, d’après les expériences passées. Mais j’aimerais, comme toujours, que ça dure infiniment.
Je t’aime,
Magnus.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/693937002091053056/magnus-to-alec
[1] Blague de new-yorkais. Les habitants de la ville de New-York désignent l’intégralité de l’état de New-York, sauf la ville, comme étant « upstate » (« le nord de l’état »). Aller « upstate » (généralement juste au nord de la ville, dans la Vallée de l’Hudson) est souvent vu comme un voyage considérable même si c’est tout près.
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aforcedelire · 2 months
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Il était une fois un cœur brisé, Stephanie Garber
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Évangéline Fox a le cœur brisé : l’amour de sa vie va se marier avec une autre ! Désespérée, la jeune fille décide de faire appel à la Fatalité connue sous le nom du Prince de Cœur : en échange de son aide, il lui demande trois baisers (il choisira qui, où et quand) et même si une part d’elle pense que c’est une mauvaise idée, Évangéline accepte. Et ce n’est qu’après avoir donné son premier baiser qu’elle se rend compte que se fier à lui est dangereux et non sans conséquences…
Ça, c’est le plot principal. Depuis la fin de ma lecture, j’ai lu plusieurs avis sur Babelio, et certains soulèvent un des problèmes principaux de ce roman : ça part dans tous les sens. Il y a cette histoire, il y a l’histoire de Jacks-aka-le-Prince-de-Cœur, il y a une histoire de vampire (??), une histoire de prophétie dont ÉVIDEMMENT Évangéline est l’élue, il y a son histoire d’amour avec Luc, puis avec Apollon, il y a les contes et la magie (qui sont avérées et crues au Nord, et juste des histoires pour s’endormir au Sud, alors qu’il y a des preuves, eh ?)… Si on passe au-delà de ce gigantesque merdier, l’histoire est sympa et divertissante.
Par contre, c’est cliché. À commencer par Évangéline. J’avais envie de la secouer : tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, s’ils l’ont trahie c’était pas fait exprès. Elle trouve des excuses à tout, elle ne voit RIEN, même s’il y avait eu une pancarte « elle te veut du mal » au-dessus d’une personnage elle aurait trouvé le moyen de se dire « c’est sûrement une erreur », bref c’est fatiguant.
Autre chose qui m’a fatiguée aussi : le style. Qu’est-ce que c’est que ça ?? Je ne sais pas trop si c’est un problème de traduction, de correction, de style de base de l’autrice, mais en VF c’est lourd et indigeste, il y a des répétitions de partout, et une petite scène qui aurait pu être mignonne m’a complètement larguée tellement l’écriture était chiante. Jusqu’à la moitié du bouquin je passais plus de temps à me dire « j’aurais pas dit ça comme ça » ou « ON A COMPRIS QUE C’EST D’ELLE QU’ON PARLE IL Y A SON NOM 4 FOIS DANS LA PHRASE » qu’à lire. J’ai trouvé ça un chouia moins choquant en VO, mais clairement c’est pas pour le style de l’autrice que j’ai lu ce bouquin.
Malgré tout, j’ai apprécié ma lecture et j’ai passé un bon moment (une fois que j’ai laissé tomber le style, les incohérences et la protagoniste). J’ai lu un commentaire qui disait que la personne lirait quand-même le T2 pour savoir si c’était du génie ou un fiasco en bonne et due forme, et c’est un peu mon ressenti actuel.
31/07/2024 - 03/08/2024
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samsonsaez · 1 year
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"Vous savez, lorsque nous perdons quelque chose que nous aimons, le problème c’est notre attachement , ce n'est pas la perte. C’est notre attachement qui est la cause de notre souffrance. C’est pourquoi le Bouddha a enseigné que l’attachement engendre la peur et la souffrance. Nous avons peur de perdre ce à quoi nous sommes attachés et nous souffrons lorsque nous le perdons. Le Bouddha n’a jamais dit que c’était l’amour qui était la cause de la souffrance.
L’amour est une ouverture du cœur. C’est comme le soleil qui brille. Le soleil brille naturellement. Il ne fait pas de différence, ne brille pas pour une personne et pas pour une autre. Il brille simplement parce que c’est sa nature de répandre de la chaleur. Certains se retranchent à l’intérieur de leur maison et ferment portes et fenêtres ; c’est leur problème. Le soleil n’en continue pas moins de briller. Et c’est cette qualité de cœur que nous avons à développer. Cette qualité d’ouverture, d’amour inconditionnel, quel que soit l’objet de notre amour."
- Tenzin PALMO - Réflexions d’une nonne bouddhiste
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marabouts-blog · 4 months
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AVEZ-VOUS DES PROBLÈMES SPIRITUELS ET EN RECHERCHER VOUS DES SOLUTIONS EN 21 JOURS ? CONTACTER MOI SUR WHATSAPP: 00229 691 02375
VOICI LES PRODUITS MAGIQUES QUI PEUVENT VOUS APPORTEZ LE BONHEUR A VOS PROBLÈMES: -1)RITUEL POUR GAGNER UN PROCES –2)SAVON MAGIQUE DE PROTECTION ET DE RICHESSE -3)TALISMAN POUR EMPÊCHER LE DIVORCE -4)PUISSANTE BAGUE MAGIQUE D’AKARAM -5)LE PUISSANT TALISMAN DES 1000 POUVOIRS MAGIQUE -6)LE COFFRE AUX 05 ETOILES MAGIQUES –7)LA REUSSITE DE VOTRE ELECTION POLITIQUE, –8)TALISMAN SPECIAL DE L’ŒIL DE SEDUCTION –9)COUP MAGIQUE DE GUÉRISON –10)LE STYLO MAGIQUE (LE BIC MAGIQUE) -11)RITUEL D’AMOUR POUR RETROUVER SON AME SOEUR -12)L’EAU ,SAVON,ET LE PARFUM MAGIQUE -13)BAGUE DE PROTECTION 24/24 -14)RITUEL POUR OBTENIR UN EMPLOI -15)DETECTEUR DE POISON -16)LE PUISSANT TALISMAN DES 20 CARRES MAGIQUES -17)RENDRE UN HOMME ET UNE FEMME FERTILLE -18)BOUGIE DE PROTECTION ET DE RICHESSE -19)LA GUÉRISON DU SIDA PAR LA PLANTE MIRACULEUSE AFFAMA -20)LA PUISSANTE BOUGIE MYSTIQUE -21)PROTECTION DE LA MAISON CONTRE LES FANTÔMES,LA MAGIE NOIRE ET LA SORCELLERIE -22)COUTEAU MAGIQUE DE PÊCHE , DE CHASSE, ET AUTRE Wossou Dogboli Contactez-moi sur WhatsApp, signal 00229 691 02375 Que les bénédictions soient…
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elodieamet · 4 months
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La ''voie du coeur''
A l’époque où je cherchais ma voie, je ne supportais pas quand les gens qui me disaient : ‘’écoute ton coeur.’’ C’était quelque chose qui me foutait les boules au plus au point. 
Mais que ce que ça signifie ? Est-ce que ça veut dire que fais uniquement ce que j’aime, ce que je ressens comme agréable ? Mais moi si je fais uniquement ce que j’aime, alors je mange des frites au saindou toutes les 2 heures, je me descends des packs de bière et surtout, je fous kedall !
Ce que je ne supportais pas, c’était le côté flasque et conventionnel de ce conseil. Le côté impersonnel, mou, éteint, le côté : laisse toi aller et soumets toi, abandonne toi et tout ira bien. 
Sur mon chemin, j’en rencontré des pseudo maîtres qui disaient : ‘’Ma voie, c’est avant tout la voie du coeur.’’ Et ça m'aidait pas du tout.
Ce qui m’insupportais, c’était cette séduction par le mystère et cette vanité de l’élite qui garde son secret pour faire sentir aux autres, qu’ils sont inférieurs parce qu’ils pensent avant d’aimer (On a tous du mal à aimer, on manque tous d’amour et oui, on cogite à fond alors on se sens encore plus incapable d’aimer et de suivre son coeur.)
Concrètement je ne savais pas comment m’y prendre. Je me disais qu’il fallait peut-être que j’ouvre mes chakras, que je fasse du yoga, que je prie la pachamama et surtout, que j’éteigne ma révolte.
Le problème c'est que ces gens là étaient incapables d’expliquer ce que c’était, cette voie du coeur. Ils disaient : ça ne s’explique pas ! 
Donc quand on aime on est con ? On cesse d’utiliser son cerveau, c’est cela ? Il faut être un légume alors, une asperge de l'amour quoi.
‘’Si tu sais pas expliquer ce que tu as compris à un enfant de 5 ans, c’est que ce que tu crois savoir, tu ne le sais pas vraiment’’, disait Einstein. Baaam voilà ce que j’aurais du leur répondre.
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Quand j’ai commencé à parler et à m’enregistrer entrain de parler, j’ai développé une attention particulière aux mots et à leur sens. 
J’ai découvert que le secret était dans les mots, que lorsqu'on ouvrait ''le ventre du mot'', on trouvait son sens caché. 
Ainsi, ce qui m’a permis de comprendre ce qu’était la voie du coeur, ce ne sont pas les hommes mais les MOTS.
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Le coeur désigne un organe mais aussi, le centre de quelque chose. 
On parle du coeur d’une ville pour dire son centre, là où se concentre sa vie économique ou culturelle. On parle du coeur d’un problème pour dire son noeud et en déceler son origine. 
La voie du coeur, c’est donc avant tout, la voie du centre. 
Il n’y a aucune torsion à faire, aucun noble sentiment à tenter de faire émaner de soi, ni de jeun à pratiquer. Il n’y a pas à changer de voix pour se transformer en vierge ou en curée, ni à porter des pierres en bijoux et encore brûler de l'encens.
Il y a à faire un 180° et changer totalement de direction vis-à-vis de notre attention. Il y a à prendre sa bagnole pour quitter le périph' et rejoindre le centre ville. 
Quotidiennement, nous portons notre attention à l’extérieur de nous-même, sur nos activités, nos choses, nos relations. On cherche ce qu’on va manger, faire ou projeter de faire. Toutes ces activités là nous décentrent, nous amènent à la périphérie de nous-même. Au fur et à mesure de la journée, nous nous éloignons de plus en plus du centre jusqu'à se retrouver noyés sous les panneaux publicitaires, les champs de maïs, les stations essence. Tous ces trucs ne nous concernent tellement pas qu'on ressent le besoin, vers 17h, de ‘’tout oublier’’, de faire une amnésie, via notamment les écrans hypnotisant. 
Retourner au centre, c’est porter son attention non plus à l’extérieur mais à l’intérieur de soi.  
Mais là ça peut être piégeux…Parce nos pensées vont continuer de nous faire porter notre attention sur des choses extérieures, sur des événements passés, nous remettre en question etc…Donc on est à l’intérieur mais à l’intérieur les pensées veulent nous faire ressortir à l’extérieur (un peu comme des guides touristiques sur la place du village qui essaieraient de t'emmener visiter les catacombes et les traboules alors que toi t'es claqué et tu veux juste rester à la terrasse du café.)
Aller au centre, c’est aller sur la place du village, là où il y a de l’espace. 
Le centre est toujours spacieux. 
Aller au centre c’est donc effectuer une traversée totale de son intériorité, jusqu’à arriver dans cet espace vide.
La voie du coeur, c’est la voie du centre, c’est quand tu arrives dans ton espace vide. C'est tout con !
Tu ne vas pas chercher à ‘’aimer’’ (parce qu'on ne peut pas chercher à aimer) tu vas simplement suivre ce besoin originel qui est le besoin de respirer, le besoin d’air, le besoin d’espace, le besoin de vide. 
Quand tu entres dans ton vide, tu as de l’air et tu peux respirer. Ce vide va alors immédiatement se convertir en plein et là, tu vas te sentir bien. Tu seras comme un arbre ou plutôt comme une panthère endormie au soleil, dans sa sérénité et sa royauté de félin mais avec en plus, la conscience d’être, ce qui ajoute le sel à l’expérience.
Ce n’est pas l’amour que tu vas sentir, c’est ton être. Ce n’est pas ton coeur qui bat, c’est l'onde de vie qui le fait battre. 
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La voie du coeur n’impose pas d’aimer mais simplement d’être. C’est la voie de tout ce que tu entreprends pour te ramener au centre de toi-même. 
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Dans la philosophie islamiste, le vide est traduit par ''Adem'' (qui fait penser à Adam) et désigne ce que nous étions avant d'être, notre origine.
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Dans la philosophie hindouiste, on raconte que les dieux ont caché la vérité dans le coeur des hommes, non pas pour qu'ils galèrent à la trouver mais pour être sûr qu'elle soit bien gardée.
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Aujourd'hui, beaucoup cherchent la vérité à l'extérieur, dans des réponses compliquées à des questions qu'on n'a même pas compris... Mais la vérité des vérités, c'est que la vérité est dans le coeur et que le coeur, c'est le centre et que le centre, c'est le vide et que le vide... c'est la vie !
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lamangasserie · 9 months
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Bonjour à toutes et à tous,
Ça fait bien longtemps que vous ne m’aviez pas lu — si vous me lisez encore. Ce fut une année assez mouvementée pour moi, mais, globalement, une année enrichissante. Mais fut-elle enrichissante en lecture ? Je n’en suis pas si sûre. À l’heure où j’écris ces lignes, je suis un peu dans le creux de la vague. Je mets des jours à lire un manga. Parfois, je n’ai même pas envie d’en lire. Certains titres peinent même à m’intéresser, alors que je les aurais trouvé intéressants à d’autres moments. Enfin, plutôt que de finir sur cette triste note, et de tourner définitivement la page de 2023, revenons sur cette année.
Il y a un an, je nourrissais des envies de lectures pour 2023, mais m’y suis-je tenu ?
Un de mes grands objectifs de lecture pour 2023, c’était de continuer mon exploration du magazine Ribon, et j’estime que c’est un objectif que j’ai réalisé ! Issu du magazine, cette année j’ai lu…
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Le dernier tome de Tokimeki Tonight (nouvelle édition) de Koi Ikeno, publié dans les années 1980. Clairement un grand titre du magazine. C’est drôle, émouvant et plein d’aventures !
Gals! De Mihona Fujii, publié à la fin des années 1990. Gals! Était dans mes envies de lecture depuis des années. J’ai adoré toute la bande de filles, suivre leurs problèmes et tout. C’était très stylé et bien maximaliste, à l’image des gals de l’époque.
Designer de Yukari Ichijo, publié au début des années 1970. Alors ça, c’était vraiment ce qui se fait au début des années 70. Ça se passe dans l’inaccessible monde de la mode, c’est grave, dramatique et blindé de rebondissements. J’ai vraiment aimé ce personnage principal inlassablement en quête de vérité et d’un peu d’amour, rien qu’un peu. C’est une lecture où mon petit cœur a eu du mal à rester accroché.
Handsome na Kanojo de Wataru Yoshizumi, publié à la fin des années 1980. Le plus grand titre de l’autrice (avec plus tard Marmalade Boy). C’était les années 80, très chic et très frime. Ils sont beaux, jeunes, à l’aube de leurs carrières dans le showbiz et ils s’aiment. Quoi vouloir de plus ?! Eh bah du drame ! Des quiproquos, des incompréhensions, des hésitations et que sais-je encore. Le tout, pendant 9 tomes. Ça ne m’a pas transcendé, mais j’ai passé un bon moment.
Ultra Maniac de Wataru Yoshizumi (encore !), publié au début des années 2000. Le titre que l’autrice semble le moins aimé dans sa carrière… Pendant que moi j’ai beaucoup aimé, et que j’ai même trouvé ça innovant et rigolo pour un magical girl.
Le Vaisseau Étoilé de Yoshimi Uchida, un recueil d’histoires courtes publiées dans le magazine durant le milieu des années 1970. Quelle lecture étonnante ! J’ai adoré l’univers fantastique de l’autrice. Ça m’a tout de suite rappelé les illustrations de Kay Nielsen ou de Warwick Goble. En gros, ce qu’on appelle l’âge d’or de l’illustration (aux États-Unis). C’est très alimenté par les contes de fée ! Puis quel mise en page singulière parfois. Plus j’y repense, plus je me dis que c’était bien. Je me pencherai sur Liddell au clair de lune l’année prochaine !
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C’est un magazine pour lequel j’ai développé de l’affect car c’est le magazine d’Ai Yazawa. Adolescente, j’ai été vraiment marquée par Je ne suis pas un ange, et ce manga représente la quintessence du magazine à mes yeux. L’histoire est émouvante et drôle, on s’attache énormément aux personnages, le manga est bourré de free talks, il y a eu une tonne de furoku et autres produits dérivés, et en plus c’est mignon, coloré et stylé. Tout ça, particulièrement les free talks, permet de développer de l’affect pour le magazine. C’est limite une relation parasociale avec l’entité « Ribon ». Adolescente, c’était la première fois que je voyais ça, et j’ai trouvé ça extraordinaire. Depuis j’adore les free talks LOL Je pense que ça relève de la même obsession otaku girly que j’ai pour les stickers. Bref, pour 2023, je voulais m’y intéresser de près, et globalement, j’ai surtout exploré le siècle dernier. Je pense continuer cette exploration l’année prochaine, mais aussi faire un bond vers notre siècle, notamment avec la publication de Honey Lemon Soda (hihi!!!)
Pour 2023, je voulais aussi lire davantage de manga pour enfant, avec l’exploration du catalogue de Nobi-nobi. Autant le dire, je n’en ai rien fait. Mais en réalité, c’est un petit plus compliqué que ça. Au début de l’année, j’imaginais vraiment du manga pour enfant, au même niveau qu’un album jeunesse. J’imaginais Doraemon par exemple, du gag et de l’épisodique. J’ai lu Les petits en-cas de Monsieur Matcha de Sato Horokura, et c’est à peu près tout. Mais j’ai aussi lu Tant qu’il est encore temps (je t’aimerai) de Keiko Notoyama. Contrairement à Monsieur Matcha, ce manga a été pré-publié dans un vrai magazine de manga. C’est un pur shôjo manga. Issu du magazine Ciao, il est clairement destiné à un jeune public. Avec le recul, c’était un peu difficile de lire du manga pour enfant, quand j’ai déjà eu du mal à définir « enfance » dans ma tête. Dans une vie, l’enfance est bien courte, mais qu’est-ce que c’est dense et changeant. J’imagine que ça coule de source pour les parents, mais c’est évident qu’on ne donne pas la même chose à lire à un enfant de 4 ans, de 7 ans et de 10 ans.
Il y a un an, j’avais aussi envie de découvrir Inoue, de lire Soul Eater, Pandora Hearts et Kamui-den, mais je n’en ai rien fait ! Je n’en suis même pas déçue. Ce sera pour une autre fois, peut-être. Par contre, qu’on se rassure, j’avais aussi envie de me replonger dans l’univers de Leiji Matsumoto, et même si je n’ai pas relu Galaxy Express 999, j’achète les tomes. Ton tour viendra, train de l’espace ! J’ai tout de même lu Albator, que j’ai trouvé moins bien que les animes, mais dans lequel j’ai retrouvé ce qui fait le charme de l’univers de Leiji Matsumoto. Paix à son âme.
Pour revenir véritablement sur mon année de lecture, je trouve que c’était une année assez moyenne. Bien sûr, j’ai eu de très bonnes lectures, mais le reste était finalement moyen. Sur Twitter j’ai fait un calendrier de l’Avent en classant les nouveautés que j’ai testées, en allant du moins bon au meilleur. Le milieu de panier commence à Terukan Boys et se termine à not simple. Juste un aparté sur Terukan Boys: il est bas dans le classement, mais j’ai tout de même passé un très bon moment. Ce sont les aléas des classements, malheureusement. Puis c’est un classement que j’ai tenu toute l’année dans mes notes, il a été réalisé à chaud. Je ne sais pas s’il serait le même si je devais le refaire aujourd’hui. Mon classement se clôt avec les exceptionnels Mademoiselle Mozart (ici l’article que j’ai écrit dessus), À vos côtés (quelques mots ici) et Hoshi dans le jardin des filles. Je trouve ce dernier vraiment exceptionnel, c’est le summum de l’humour pour moi, mais quand je repense au coup de cœur que j’ai eu pour Mademoiselle Mozart, c’était vraiment quelque chose ! Je pense que c’est ma lecture coup de cœur de l’année même. Avec Tant qu’il est encore temps (je t’aimerai). Ce sont deux mangas que j’ai lu un peu au pif, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre, et je les ai trouvé formidables.
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Enfin, la partie du bilan que je préfère, la partie qui titille le côté nerd de mon cerveau: le bilan en chiffres !
Cette année, j’ai lu 275 mangas, soit 45 tomes de moins qu’en 2022. Mais 275 reste un score honorable pour moi.
83% de mes lectures étaient en français, 12% en italien et 5% en anglais. Comparé à l’année dernière (bilan de 2022), on observe une chute de la langue de Shakespeare, une très légère montée de la langue de Dante, ce qui laisse largement la place à la langue de Molière pour se hisser encore plus haut dans le classement. Tout ceci est dû au fait que cette année j’ai eu plus de moyens financiers pour acheter, donc un recul de la lecture en scans. De plus, j’avais l’habitude de lire en scans en étant chez mes parents (j’allais pas me trimbaler avec une bibliothèque à chaque fois). Comme je les ai moins vu cette année, ça a aussi été un manque d’occasion pour lire en scans.
65% de mes lectures provenaient de ma propre collection et 24% de la bibliothèque, ce qui est à peu près égal à l’année dernière. Mon habitude d’aller à la bibliothèque n’a pas vraiment changé, malgré les moyens financiers supplémentaires de 2023.
Cette année encore, j’ai renseigné chacune mes lectures avec leurs éditeurs. Sur le podium, nous retrouvons…
🥇 Pika avec 43 tomes lus
🥈 Taïfu avec 21 tomes lus
🥉 Glénat et Kana avec tous les deux 20 tomes lus
Puis, si j’établis un classement par mangas différents lus chez chaque éditeur, nous avons…
🥇 Taïfu, Pika et Kana, avec 7 mangas
🥈 Ki-oon et le Lézard noir avec 6 mangas
🥉 Akata et Noeve Grafx avec 5 mangas
Je dois bien avouer que je suis étonnée de voir Pika et Taïfu à la tête de ce classement !
C’est vrai que c’était une année très Pika pour moi. J’avais commencé Nodame Cantabile (que je n’ai pas continué car les tomes ne sont plus disponibles à la bibliothèque), j’ai commencé Toilet-Bound Hanako-kun, La courtisane d’Edo et Billy Bat. J’ai aussi enfin terminé Mon coloc’ d’enfer, et Ton visage au clair de lune poursuit sa publication tranquillement. Quant à Taïfu, il y a eu The Night Beyond the Tricornered Window, ma fringale de Scarlet Beriko en début d’année et aussi Rendez-vous sous la pluie que j’ai emprunté à la bibliothèque ! Et bien sûr, leur nouvelle collection Esquisse que je suis de très près, avec mon chouchou À vos côtés. L’année dernière, je n’avais tenu entre mes mains que 19 tomes de chez Pika et 5 tomes de chez Taïfu. Une belle ascension pour ces deux là donc. Kana est toujours là, dans les bons élèves, mais qui ne se dépasse pas plus que ça. Par contre, on peut observer une petite chute de Ki-oon. C’est toujours leur catalogue historique qui m’intéresse, donc j’ai évidemment commencé Du mouvement de la Terre. J’ai continué Le Requiem du roi des roses et entamé une relecture de Cesare. Je suis curieuse de ce que Ki-oon me réserve pour l’année prochaine. Je vais évidemment me jeter sur DRCL Midnight Children, mais pour le reste… Nous verrons. Enfin, petite note amusante (ou énième tacle) sur Noeve Grafx, leur place dans mon classement est à l’image de leur catalogue: très varié mais en quantité insuffisante ! J’ai lu 5 mangas différents avec seulement 8 tomes tenus entre mes mains.
Concernant les achats, 221 mangas ont fait leur entrée dans ma collection. 114 achetés neuf (52%), 99 en occasion (45%), et 8 en version dématérialisée. Je termine l’année avec très exactement 1008 mangas dont 139 dématérialisés.
En conclusion, c’était une année assez étonnante pour moi. Je me suis beaucoup laissée porter par ma curiosité (un vrai luxe), ainsi que par ce qu’il y avait en bibliothèque. Ça a parfois payé, parfois moins payé.
Pour 2024, je ne me fixe aucun véritable objectif de lecture, car je sens déjà que je ne vais pas les tenir. De plus, je suis vraiment trop du genre à me laisser porter par mes envies plutôt que de suivre un planning. Je me suis tout de même fait une liste de mangas à lire en 2024 sur Anilist. J’y ai surtout mis des nouveautés à paraitre, des mangas qui sont déjà dans ma pile à lire, puis d’autres titres qui passeront peut-être entre mes mains dans le courant de l’année. Je pense que 2024 nous réserve de jolies surprises donc je me laisserai certainement porter par celles-ci !
Tout de même, voilà les nouveautés que j’attends le plus…
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# DRCL Midnight Children de Shin’ichi Sakamoto
La Croisade des Innocents de Usamaru Furuya
Fashion!! De Lemon Haruna
Migi & Dali de Nami Sano
Honey Lemon Soda de Mayu Murata
A-Girl de Fusako Kuramochi
Et les mangas que je rêve de voir sous le sapin pour le prochain Noël…
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Sanda de Paru Itagaki
7Seeds de Yumi Tamura
Glass no Shiro de Masako Watanabe
Doyou no Gogo no Cheerful Tearful de Mutsu A-ko. À vrai dire, n’importe quoi d’elle. Je vois bien une belle anthologie otome-tique.
Tobaku Mokushiroku Kaiji de Nobuyuki Fukumoto
Pyuu to Fuku! Jaguar de Kyousuke Usuta. Une comédie absurde en 20 tomes, je pense que voir débarquer ce titre en France restera du domaine du rêve.
Orpheus no Mado de Riyoko Ikeda
Nagi no Oitoma de Misato Konari
Et tant d’autres encore…
C’est tout pour mon bilan de 2023, et mes perspectives de lecture pour cette nouvelle année. Merci infiniment de m’avoir lu jusqu’ici. Je n’ai pas dressé de bilan du blog tellement il y a peu à dire, mais pour 2024, je me suis fixée comme objectif de publier au moins un article par mois. Je ferai donc en sorte que nous nous retrouvions ici bientôt pour un nouvel article ! En attendant, on se retrouve sur ce bon vieux Twitter (oui, Twitter). Merci pour votre patience, et à bientôt. Des bisous.
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jananabananawithnopeel · 10 months
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Bonjour 🎅
Ton Santa attend la neige en prenant des notes.
En attendant, il se demande :
Quels sont tes ships exotiques préférés ?
Coucou 👋
J’ai l’impression que ça fait des années que j’ai pas vues de noël blanc. En même temps où j'habite, y’a pas trop de neige sauf parfois en février. En tout cas, je te souhaite de jolies matins plein de flocons !
Pour répondre à ta question, je vais considérer qu’exotique, c’est tout ce qui n’est pas canon ?
J’adore Guenièvre vraiment très beaucoup, c’est une cutie I mean just look at her 🥰
Dans ma tête, j’essaie toujours de lui donner un peu d’amour et de bonheur. Donc je pars du principe que tout le monde tombe plus ou moins amoureux d’elle 😌
J’ai un faible pour Guenièvre/Demetra (another cutie). Je partage d’ailleurs un headcanon/AU avec yumeka où Demetra est en fait la maîtresse de Guenièvre et pas celle d’Arthur.
Guenièvre/Edern friendship et/ou romance. J’ai plusieurs headcanons où Guenièvre et Edern se connaissent depuis qu’elles sont nées/petites puisqu'elles viennent toutes les deux de Carmélide et que Léodagan connaît assez son père pour la recommander à Arthur. Aussi, le trope du chevalier avec sa princesse toussa 👉👈 [insert le clip de “Cup Runneth Over” by Kiki Rockwell here]
Guenièvre/Alzagar un autre ship que je dois à Yumeka ❤️
Guenièvre/Attila (vous avez dit exotique ???) Celui là ca vient de l’episode 317
Arthur a ramené Grüdü, déguisé en femme. Attila : C'est la plus belle femme de Kaamelott ? Arthur : La plus belle. Attila : C'est Guenièvre ?
Et du coup la première fois qu’Attila voit Guenièvre pour de vrai c’est le coup de foudre (pour lui en tout cas).
Léodagan/Séli/Lancelot Bon, je dis pas ça que parce que j’ai co-écrit la seule fic avec ce ship mais listen si on prend le mec le plus puceau de Kaamelott et qu’on le met avec le vieux couple qui n’a aucun scrupule, aucune gêne et qui a probablement déjà tout essayé bin ça donne ce ship et c’est bien
Mevanwi/Lancelot listen LISTEN. EUX. Juste. Two vilain bitches. Ils se détestent, ils sont toxiques et ça me suffit.
Nessa/Kolaig Les deux disparaissent dans KV1 au même moment et on entend plus jamais parler d’eux
Le headcanon ici, c’est que Nessa non plus elle était pas complètement insensible au brun à bouclette qui écrit de la poésie en secret à sa maîtresse et vient de temps en temps leur parler à la fenêtre. Après sa chute, Kolaig n’est pas mort, mais il a quand même pris cher et n’est pas en état d’aller au rocher avec Arthur pour retirer Excalibur. Heureusement, sa sœur (celle dont le pâtissier de Kaamelott est amoureux) habite pas loin. Le choc initial passé d’avoir le roi et la reine de Bretagne (tous les deux présumés morts), ainsi que deux illustres chevaliers (c’est comme ça qu'ils se sont présentés) et son frère à moitié mort chez elle, elle accepte de garder son frère jusqu’à son rétablissement. Le problème ? C’est qu’elle doit aller chercher quelques herbes pour soigner son frère, mais Kolaig ne peut pas rester seul. Nessa, restée silencieuse jusque-là, saute sur l’occasion et se propose de rester et veiller sur lui. Arthur, Guenièvre, Perceval et Karadoc (enfin surtout Guenièvre) finissent par reprendre la route avec la conscience tranquille, Kolaig est entre de bonnes mains.
Uther!Yvain/Ygerne  Je suis tellement désolé de ressortir des trucs du fin fond de Tumblr mais ce crackship ne m’a jamais quitté depuis qu’il est discuté dans ce post. Je n’ai rien a dire pour ma défense I’d still read this ship.
Capito/Sallustius Je trouve qu'ils agissent comme un vieux couple marié. Ils me rappellent des gens que je connais.
Très curieuse de savoir ce qu'il leur est arrivé après qu’Arthur les ai viré de Bretagne et de l’ambiance sur le bateau pendant le voyage du retour.
La Dame du Lac/La Dame du Feu Je sais qu’elles ont genre 2 répliques, mais c’est pas ça qui va m'arrêter. Si elles sont pas besties elles sont soulmate, l’un comme l’autre ca me va.
J’ai beaucoup d’autre ship bizarre mais je me suis retenu et j’en ai mis que 10 voilà 😊
Et bientôt et passe une bonne fin de semaine petit Santa 💖
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e642 · 2 years
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J’aime bien me laisser croire que tout est carré sentimentalement parlant dans ma tête. En réalité, ce n’est pas le cas. Il ne subsiste aucune ambiguïté sur le fait que mon deuil est fait. En revanche, tout le reste c’est du néant. Lorsque nous nous sommes séparés, j’ai réalisé que j’aurais du mal à aimer à nouveau mais, qu’en plus de ça, je devais changer drastiquement mon comportement et mon état d’esprit de sorte à devenir meilleure pour favoriser des rencontres et surtout bien m’occuper des personnes qui pourraient être amenées à être quelqu’un pour moi. C’est pour cela que depuis ma première -puis ma seconde- rupture, je n’ai eu de cesse de me remettre en question et de faire attention du mieux que je pouvais aux cœurs des autres. Il m’est bien sûr souvent arrivé de faillir à la tâche. Et actuellement, je me sens juste prête sans l’être à tomber amoureuse une nouvelle fois. Mais je vois bien que j’ai d’énormes problèmes d’attachement -sans jamais parler d’amour-. Non pas que je m’attache à n’importe qui, n’importe quand sans réelle raison comme ça peut être le cas pour certains -réflexion dépourvue de jugement, comme toutes-. Bien au contraire, je suis rarement intéressée et je me laisse rarement le droit d’être intéressée sûrement par crainte que ça me dépasse mais aussi car j’ai perdu les codes du langage amoureux. J’ai une vision bien noire et nihiliste des relations en fait. Parce que je crois que c’est extrêmement peu commun d’aimer et d’être aimé sincèrement et en même temps. Il y a toujours une sorte de jet lag sentimental. C’est rare d’avoir mêmes cheminements de pensée, d’être aux mêmes étapes, d’avoir les mêmes réflexions, les mêmes attentes, les mêmes définitions de ce qu’englobe le champ lexical de l’amour. Et ça me fait peur de rater quelqu’un, si peur que je n’entreprends jamais rien et que je me cache derrière des deadlines imaginaires qui feraient que c’est impossible que j’additionne quelqu’un d’autre à ma vie car je vois ça comme un effort d’énergie, de temps, de don de soi, de tout. Et ça m’effraie tout simplement. Je préfère me dire que je suis immonde et repoussante pour me rassurer sur le fait qu’on ne m’aimera jamais réellement et j’y crois. Ce n’est pas parce que je suis quelqu’un qui ose et qui laisse croire qu’elle est bien dans ses baskets, son assiette, son corps, ses cicatrices, son passé, l’amour, la confiance, tout ça, que c’est vrai. 
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uneessencesensible · 1 year
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Pourquoi c'est si dur de se sentir apaisée ?
N°2028 – Dimanche 18 juin 2023
« C’était une journée où j’ai pu me rendre compte que nous avons beaucoup d’amour l’un pour l’autre et aussi, une solidité face aux remarques des gens, sur certaines choses que nous ne faisons pas. Pas comme la plupart des couples. Cela peut sembler invraisemblable pour les autres, mais je préfère une relation telle que nous avons. Qu’est-ce qui est plus utile dans un couple : des cadeaux, des voyages à tout va ou un petit cocon douillet, rempli d’amour et de partages ? Les cadeaux ne sont que du matériel et nous en faisons suffisamment dans l’année. Je préfère, par-dessus tout, partager de bons moments avec lui, en jouant, en faisant la cuisine ensemble, en parlant pendant des heures. Je préfère ses moments où nous sommes dans notre bulle, chacun de notre côté, et que nous venons voir l’un et l’autre par moment. Je ne me suis pas justifiée plus que ça. J’ai taquiné mon cher et tendre et c’est vrai que je m’en veux un peu pour cela. Mais je l’ai défendu, sans problème. Après, les gens pensent ce qu’ils veulent, après tout. Qu’est-ce que cela peut m’apportait que untel ou untel sache les choses ? Chacun interprète à sa sauce, de toute façon. Nous avons trouvé un équilibre. Avec le temps, notre relation se lie de plus en plus, se consolide. Nous y allons tranquillement sur notre petit chemin. Nous profitons de chacun instant. Alors, est-il vraiment nécessaire de se justifier ? »
Je l'aime. Il m'apaise et je ne fais plus les montagnes russes avec mes émotions. C'est encore nouveau, alors je n'ai pas cette habitude. Cela me perturbe et m'angoisse, mais ça veut dire que j'avance. J'avance, grâce à moi, grâce à lui.
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frenchdrarry · 2 years
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Draco : Harry ?
Harry, en train de cuisiner : Oui ?
Draco : Tu m’aimes ?
Harry : Oulah.
Draco : C’est ça ta première réaction ?!
Harry : Va droit au but, Draco. Qu’est-ce que tu veux ?
Draco : T’es sérieux là ? Tout ce que je veux c’est un peu d’amour ! C’est m’assurer que mon mari m’aime toujours !
Harry, finit d’éplucher ses carottes : Mais encore ?
Draco : Va chier.
Harry : Tu fais chier donc ça ne devrait pas poser de problèmes.
Draco : Tocard.
Harry : *commence à couper ses carottes*
Draco : Arrête de m’ignorer.
Harry : *fait chauffer une poêle*
Draco : J’aimerais bien aller au concert des Fioles Folles le 25 janvier.
Harry : Nous y voilà.
Draco : Je te déteste.
Harry : Je t’aime aussi.
Draco : Du coup, c’est oui ?
Harry : Nan. Vas-y avec Pansy, c’est la seule qui aime ta musique de merde.
Draco : S’il te plaît Harry ?
Harry : Nan.
Draco : T’es le pire des hommes.
Harry : *l’ignore et poêle ses carottes*
Draco, scandalisé : NE M’IGNORE PAS !
[Harry continua de l’ignorer et Draco commença à réfléchir à des stratagèmes de persuasion. Qui des rouges ou des verts remporteront cette bataille, c’est la question que se pose les Fioles Folles, qui aimeraient bien avoir au moins 3 personnes à leur concert.]
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pourprecry · 2 years
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mon problème, c’est que quand j’aime quelqu’un je l’aime comme j’aurai envie d’être aimé, et les autres ca les étouffes. Alors ils finissent par partir, à croire que d’un trop d’amour ils risqueraient d’en mourrir. Et moi je pleure sur un amour qui n’est plus.
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COMMENT EVITER LES RUPTURES OU DIVORCES ? CONTACTER MOI SUR WHATSAPP OU SUR LE SIGNAL: 00229 691 02375
Un sorts au-delà de l’imagination humaine. J’ai ramené des sorts d’amant perdu qui peuvent ramener un amant perdu en 24 heures. succès 100 % garanti. Ramener un amant perdu, peu importe la distance et combien de temps s’est écoulé depuis votre rupture. Ce sort est sous différentes formes et fonctionne différemment avec chaque situation unique que je reçois. Nos êtres chers sont souvent partis loin de nous par nos rivaux ou des erreurs que nous faisons dans une relation ou un mariage. Mon sort d’amour est fortement recommandés lorsque votre problème est difficile à comprendre par d’autres Marabout. Wossou Dogboli Contactez-moi sur WhatsApp ou sur signal. 00229 691 02375 Que les bénédictions soient…
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swedesinstockholm · 1 year
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21 mars
j’ai un sérieux problème d’organisation de mon emploi du temps. j’arrive à rien faire et j’ai tout à faire. hier soir j’ai rouvert mes projets sur premiere, après des mois de négligence, pour voir si ça marchait toujours après la mise à jour de mon ordi (au moins j’ai enfin fait ça et ça me change la vie) et non seulement ça marche toujours mais en plus ça m’a rappelé à quel point j’aimais ça, la vidéo, les images qui bougent, ça m’a vraiment donné envie de continuer ce projet de film sur les journaux de mon père et les miens, et puis aussi de faire un truc avec toutes les images de flamants roses et d’étang et d’éoliennes et d’algues de l’année dernière. je les regardais avec le live de vitalic sur france 4 en fond et ça allait très bien ensemble. j’ai rouvert waveform aussi mais je m’en sors toujours pas. je veux apprendre à m’en servir pour faire de la musique pour mes films, et puis une fois que je saurai m’en servir je dois m’acheter un micro avec un câble comme celui qu’on avait au studio de genève, rien que pour le plaisir de chanter dans un micro. rien que le fait de le tenir dans la main déjà ça me plait. c’est peut être une question d’expression, d’avoir la parole, d’être vue et entendue, regardée et écoutée, au centre de l’attention. look at me, toujours ça.
ça me rappelle brieuc du workshop de bruxelles. je sais pas à quel point il était sincère, mais dans une des impros il racontait qu’il avait pas reçu assez d’amour quand il était enfant, et lui aussi il aimait tenir le micro. et chanter, être au centre, raconter sa vie et parler d’amour. il a lu des extraits de la correspondance de virginia woolf et de vita sackville west le dernier jour, et puis il a chanté hentai de rosalía, d’une façon archi vulnérable. je me reconnaissais un peu en lui mais en même temps il me mettait trop mal à l’aise. il était tout mou. parler avec lui c’était comme de marcher sur des machins en plastique qui flottent sur l’eau, ou n’importe quelle surface instable, sans prise. je savais jamais vraiment où on en était. le dernier soir on s’est brièvement pris dans les bras et c’était l’étreinte la plus molle et inconsistante que j’aie jamais vue.
à genève sophie de prague est venue nous voir au studio et quand je lui ai dit au revoir je l’ai serrée fort et ça l’a surprise et elle a dit oh i wasn’t expecting a big hug like this! mais j’étais à peine embarrassée parce que j’étais vraiment contente de l’avoir revue et j’avais pas envie de m’en cacher. j’adore l’énergie de sophie, elle me met toujours à l’aise. en rentrant j’ai réécouté le message vocal rempli de belles choses qu’elle m’avait envoyé en rentrant de prague, pour me rappeler de ce que les gens me disent, dans l’espoir toujours que ça finisse par me donner confiance en moi, que ça solidifie mes bases, mes bases aussi molles et tremblotantes que l’étreinte de brieuc. et en même temps, j’ai quand même l’impression d’avoir quelque chose de très solide au fond de moi.
23 mars
j’ai rêvé du réchauffement climatique, pour la deuxième fois je crois cette semaine, il y avait des énormes feux de forêt tout près de la vieille bâtisse austère où une vieille dame s’occupait de notre résidence. j’ai commencé à voir les collines rougeoyer mais personne ne me prenait au sérieux et il a fallu que les cendres commencent à voler pour qu’on décide de m’écouter et partir mais c’était trop tard, les routes étaient saturées de voitures, alors que si on m’avait écoutée plus tôt on aurait pu partir sans problème.
10 avril
j’ai passé les trois dernières semaines à écrire sur l’ordi, principalement le scénario pour le concours littéraire national dont le thème cette année est le scénario et le maudit texte sur wittig que j’avais proposé d’écrire pour les cahiers qgf et qui m’a causé beaucoup de tourments. après avoir plusieurs fois décidé d’abandonner j’ai fini par leur envoyer mon texte hier et maintenant je suis morte de peur parce que j’y parle de dragons et de téléfilms de tf1 et de a. (ENCORE) et j’y fais mon coming out de lesbienne non pratiquante et dans le mail j’ai mis qu’elle hésitent surtout pas à ne pas le mettre dans la revue si elle le jugent pas assez pertinent. si elles le mettent pas j’oserai plus jamais les regarder en face. j’oserai même plus jamais les voir tout court. qu’est-ce qui m’a pris. les histoires de genre et de sexualité me sortent par les oreilles. j’ai passé la semaine entière à travailler dessus du matin au soir, je sais pas pourquoi je voulais pas abandonner, je voulais tenir bon, me donner une chance, me faire confiance, me dire que ce que j’avais à dire était valide et pertinent et intéressant. je me sens proche et à la fois très éloignée de ces questions. j’y réfléchis beaucoup et en même temps j’ai l’impression que ça me concerne pas, que je vis en dehors de tout ça, en dehors de la société. laissez-moi tranquille.
mercredi soir je regardais l’auberge espagnole tout en travaillant sur mon texte et y a tellement de choses qui vont pas dans ce film mais j’avais trop envie de revoir les scènes avec cécile de france pour voir la représentation des lesbiennes que j’ai eue en grandissant et essayer de me rappeler ce que j’en pensais, mais je m’en rappelle pas. je crois juste que la scène de drague avec la prof de flamenco a très inconsciemment beaucoup influencé mes fantasmes, cf. laura a. et puis y a une scène où wendy a un comportement très lesbophobe et wendy c’était mon personnage préféré à l’époque, alors bon. ensuite, samedi soir à the voice y avait un candidat très ambigu et androgyne et maman était très focalisée sur le fait de savoir si c’était un homme ou une femme et j’ai dit on s’en fout un peu non? mais après j’ai pensé à moi l’autre jour à la performance de la fille dans l’aquarium à genève qui pouvais pas m’empêcher de me poser la question moi aussi et à la force incroyable de cette idée de la binarité, de l’emprise qu’elle a sur notre cerveau, que ce système a sur notre cerveau. si j’ai bien compris wittig, tout ça remonte à aristote. j’en parle un peu dans mon texte mais je suis en train de me rendre compte que j’aurais pu en parler plus et mieux.
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