Tumgik
#putain que c'était bon
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France, 2024:
- T'as pris combien toi ?
- 1 an et toi ?
- 5 ans.
- 5 ans ? Putain mais t'as fait quoi ?
- Un soir, alors que tout le monde dormait dans la maison, j'ai entendu un bruit dans le salon, je pensais que c'était ce putain de chat qui avait fait tomber un truc. J'y suis allé pour aller voir et là, à peine en sortant de la chambre, y'a un mec qui m'a foutu un couteau sous la gorge. Il m'a amené dans le salon où y'avait un autre gars. Ils m'ont mis à genoux et ils sont allés chercher ma femme et mes enfants. Ça avait l'air de les faire rire. Quand mes enfants sont arrivés, j'ai vu qu'ils étaient terrorisés...
- Ils ont quel âge tes gosses ?
- 4 et 10 ans. Donc là, ces deux connards ont commencé à leur faire peur, comme si c'était un jeu. Tu vois, au début, j'étais tétanisé, mais quand j'ai vu la terreur dans les yeux de ma petite dernière, j'ai pété un plomb.
- Qu'est-ce que t'as fait ?
- Y'avait une paire de rollers Peppa Pig qui traînait à côté du canapé, j'ai profité d'une seconde d'inattention et j'ai réussi à assommer un des deux gars et l'autre s'est jeté sur moi, j'ai pris un coup de couteau dans le bide mais j'ai réussi à le faire tomber, là j'étais dans une rage de malade et je lui ai défoncé le crâne avec les rollers. Le mec est mort avant l'arrivée des secours. Le pire c'est que c'était même pas moi qu'ils visaient, c'était la maison de mon voisin, c'est le maire de ma ville.
- C'est chaud comme histoire. Mais je pige pas, t'étais chez toi, tu t'es défendu, je vois pas ce que t'as fait de mal.
- La juge n'en avait rien à foutre, soit disant que ces deux enfoirés avaient eu une enfance difficile. Bon et sinon, toi, pourquoi t'es là ?
- J'ai imité l'accent africain pendant un repas de famille.
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France, 2024:
- How much did you take?
- 1 year and you?
- 5 years.
- 5 years ? What the fuck did you do?
- One evening, while everyone was sleeping in the house, I heard a noise in the living room, I thought it was this fucking cat that had dropped something. I went there to have a look and there, as soon as I left the room, there was a guy who put a knife to my throat. He took me into the living room where there was another guy. They put me on my knees and went to get my wife and children. It seemed to make them laugh. When my children arrived, I saw that they were terrified...
-How old are your kids?
- 4 and 10 years old. So there, these two assholes started to scare them, as if it was a game. You see, at first, I was paralyzed, but when I saw the terror in my youngest's eyes, I lost my temper.
- What did you do ?
- There was a pair of Peppa Pig rollerblades lying next to the sofa, I took advantage of a second of inattention and managed to knock out one of the two guys and the other threw himself at me, I took a stab in the stomach but I managed to make him fall, then I was in a mad rage and I smashed his skull with the roller skates. The guy died before help arrived. The worst thing is that it wasn't even me they were targeting, it was my neighbor's house, it was the mayor of my town.
- It's a hot story. But I don't understand, you were at home, you defended yourself, I don't see what you did wrong.
- The judge didn't give a damn, saying that these two bastards had a difficult childhood. Well, if not, why are you here?
- I imitated the African accent during a family meal.
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marche-murmure · 2 months
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La culpabilité
La pièce finale de ma petit thérapie trumblerienne, j'espère. Le plus dur et le plus gros morceau, que j'ai même pas réussi a calé à ma brêle de psychologue.
J'étais parti pour vous écrire une énième longue tirade de romantisme bullshit. Je vous aurais bien raconté une fois de lpus comment j'avais "fondu mon âme dans la sienne" et tout un train train ouin-ouinesque qui aurait débouché sur la longue et transcendante phase mélancolique que je me tape actuellement. Mais ça n'a pas trop d'importance.
La vérité c'est que pour cette femme AKA "mon seul, unique et véritable amour", je n'étais au mieux qu'une épée, même pas, une machette. Alors je n'ai pas envie de céder à ça, au romantisme envers cette personne, parce que de toute façon, elle a sucé chaque centimètre de poésie, de sensibilité et de douceur qui résidait en moi.
Je suis un ancien militaire, un mec à l'air patibulaire, avec une mâchoire carrée, des épaules larges et un peu de vécu. Typiquement celui que tu veux embaucher quand ton ex est un peu relou, que les flics ont pas voulu t'aider, et qu'il faut qu'il te foute la paix. J'ai pas compris assez vite que c'était pour ça qu'elle m'avait choisi. Que j'allais être qu'un pion dans un jeu sordide entre deux gros tarés, deux monstres. J'étais le champion de cette femme, sacrifiable bien entendu.
Je vais pas vous donner tous les détails, mais lui, c'était l'incarnation du beauf crade qui se trimballe avec des armes pas déclarées, qu'il hésite pas à utiliser en dehors de toutes règles de sécurité élémentaire genre "tiens j'ai envie de butter un random piaff devant chez moi", qui est beurré H24, dangereux, instable et violent. Violent au point de tabasser le chien 2 à 3 fois par semaine jusqu'à ce qu'il tombe inconscient (je rentrerai pas dans le volet chien, ça me fait autant culpabiliser que le gosse). Violent au point de filer des bleus bien énervés à son gamin de 2 ans. Et suffisamment tordu pour faire d'autres trucs.
Et elle. Vous avez déjà vu de la lave se jeter dans l'eau ? Ca vous donnera une idée de ce qui lui coulait le long des épaules. Des cascades infinies... Un regard... Et surtout, dissimulé à l'intérieur, la digne compagne du mec précédemment cité. J'ai jamais vu quelqu'un d'aussi méchant, calculateur et froid. C'est un truc que j'ai compris que maintenant, en fait, eux deux, c'était genre "infinite loop de pervers hardcore" et tout ce qui était au milieux, moi inclut, on était juste des nouvelles pièces de l'échiquier. Genre ces deux personnes là, tout ça, c'était un jeu pour eux, une espèce de pièce de théâtre glauque asfuck. Vraiment je veux pas alourdir mon texte sinon ça va devenir imbuvable, mais sordide, c'est le mot qui me revenait tout le temps les concernant.
Alors vous me direz, bon du coup la messe est prononcée. T'es juste tombée sur une average tarée à peu prés aussi toxique que son ex.
Mais c'est pas ça le soucis, c'est pas ça qui me butte.
Découvrir que l'autre moitié de son âme c'est juste un truc tellement sordide que j'ai la nausée à l'idée de l'avoir aimé, c'est une chose et j'ai déjà assez posté sur elle par ici.
Vivre en ayant unlock une nouvelle peur tellement hardcore vis à vis des femmes que je suis terrifié à l'idée de retomber amoureux... Allez ça me passera, ça peut pas être pire que ma seule OPEX en RCA qui m'a vacciné de l'armée.
Je vais gober chacun de mes maux et les laisser me ronger l'estomac :) Je vais faire pénitence en quelques sortes.
C'est le gamin que j'ai abandonné qui me bouffe. Leur gamin. Pas le miens hein. Celui qui était déjà là quand j'ai déboulé.
Chaque putain de jour, je pense à lui.
Je comprends pas comment deux personnes aussi monstrueuses peuvent avoir un gamin aussi mignon, aussi intelligent, aussi doux.
Ce gosse, la première fois que je l'ai pris dans mes bras et que je lui ai fait un bisous sur la joue il m'a immédiatement demandé si j'étais son papa, parce qu'il savait même pas comment ça faisait. Parce que ça lui paraissait tellement incongru qu'on lui accorde de l'affection, qu'il en tirait déjà des déductions que tu tires quand t'es en détresse affective à 25 ans et qu'une nana daigne t'adresser la parole.
Au début c'était une boule de colère sur le point d'exploser, il était là à hurler "c'est moi qui décide" - ce que son père lui disait quand il lui tapait dessus. Du mieux que j'ai pu, j'ai tenté de remplacer tout ça par de la tendresse, du temps à jouer ensemble... A réparer. Je lui ai raconté et écris des histoires de chevalier qui sauvent les loups et les princesses. Je lui ai dit comme c'était important le courage, la bravoure, d'être cool avec les autres, de pas taper, de regarder les étoiles et ce genre de trucs.
Et il est très vite devenu, juste un gamin normal. Avec un gros brain quand même, parce que clairement, il sortait des phrases philosophiques, tu lui donnais pas 3 ans. Je l'ai amené à l'école le matin, je l'ai porté sur mon dos pendant nos randonnées, il est venu sur la terre où j'ai grandi, il a rencontré toute ma famille et chaque jour je me disais qu'à la longue, j'allais sans doute finir par l'adopter. Je lui avais monté sa petite playlist rien que pour nous deux, pour le bercer, l'apaiser, le tenir contre moi quand ça n'allait pas.
C'était il y a des mois. Une éternité.
Demain c'est le jugement [15 jours à cette date]. Je ne saurais jamais ce qui a été décidé, je ne pense pas que la juge se rend compte que de toute façon, le père, la mère... à la fin ce gosse il est damné. J'espère à minima que le père ne le reverra plus jamais ça va de soi hein. Mais le truc, c'est que je sais que sa mère est un monstre aussi. Plus sournois, plus patient, mais tout aussi violente et dangereuse à sa manière. Et que l'un dans l'autre, la meilleur solution ça aurait été "aucun des deux" même si ça, le gosse lui même pourrait pas le comprendre.
Ca me rend dingue. Si j'avais su, si j'avais vu plutôt, si j'avais réfléchi... j'aurais au moins eu la présence d'esprit de juste les sortir de là, de les éloigner de lui et d'ensuite disparaitre. Pour qu'au moins il ne s'attache pas à moi.
Je suis désolé gamin. Je suis personne vis à vis de toi aux yeux de la loi, je peux pas juste t'emmener avec moi. J'entends encore ta voix au téléphone, je n'avais que mon impuissance à te répondre. Je suis désolé petit. Moi aussi tu me manques.
J'ai honte. Je peux juste rester là, à écrire sur internet en chialant, parce que je suis pas foutu de protéger des gamins de maintenant 3 piges.
Je sais que dans quelques années tu m'auras oublié, ça doit déjà être le cas.
Au moins comme ça t'auras pas à me pardonner.
Comme pour ta maman, notre chanson, une dernière fois, tu te souviens "la chanson du loup qui marche doucement ?". C'était dans le jardin de ton grand-père, on était sur le transat et tu dormais contre moi.
Je t'aime petit.
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manue-ringo · 1 month
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L'antidote partie 3
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Mulder hocha la tête en signe d'approbation. Le médecin injecta le sérum dans le bras de son amie. Les secondes s’écoulèrent, interminables. Puis, lentement, les paupières de la jeune femme s’agitèrent. Ses yeux s’ouvrirent, cherchant un point de repère. Elle fixa Mulder, et un sourire faible étira ses lèvres.
Salut… Murmura-t-elle.
Il prit sa main, les larmes aux yeux.
Tout va bien, Andréa. Tu vas t’en sortir. Dit-il pris d'émotions.
Le docteur Frost observait la scène, satisfait. L’antidote semblait fonctionner. Il contrôla avec attention, ses signes vitaux à l'aide des moniteurs. Tout était normal. Le docteur Frost n'en revenait pas. Cette guérison miracle le laissa sans voix. Jamais encore, il n'avait assisté à une telle chose dans toute sa carrière. Il se reprit avant de les laisser un peu seuls.
Mulder serra la main de la jeune femme, déterminé. Ils avaient survécu à bien des épreuves, et ils étaient prêts à en affronter d’autres. Leur combat n’était pas terminé. Ils devaient rester sur leurs gardes, prêts à affronter l’inconnu. Un soupçon d'espoir renaissait. Parker était vivante, et c’était tout ce qui importait.
L’agent Scully, alertée par les événements, arriva en hâte à l’hôpital. Son visage était marqué par l’inquiétude, et elle se précipita vers la chambre de son amie. Mulder était là, à son chevet, il se leva à son approche.
Tout va bien Scully, elle est hors d'atteinte. Dit-il d'une voix grave et assurée.
Ne me dis pas que… Ça a marché ? Bon sang Mulder, je n'arrive pas à le croire. Dit-elle abasourdi dans un murmure.
Parker tenta de décrypter leur conversation en vain. Elle reprit fébrilement :
Hé vous deux. Vous pouvez me dire ce qu'il se passe ? Je ne comprends rien.
Mulder et Scully prirent le temps de lui expliquer toute la situation. Après avoir fini leur récit, Parker marqua une longue pause avant de reprendre d'une mine très pâle :
Attendez une minute. Vous êtes en train de me dire que ce putain de sérum m'a sauvé la vie ? Comment saviez-vous que ça marcherait ?
Mulder croisa brièvement son regard puis répondit, quelque peu hésitant :
Je… À vrai dire, je n'en avais aucune idée. Seulement, au vu de l'urgence de situation, je devais prendre une décision rapidement. C'était ce sérum ou ta vie, alors je n'ai pas hésité.
Parker était furieuse. Ses yeux lançaient des éclairs en direction de Mulder, qui se tenait là, le visage tendu. Les mots qu’elle avait entendus résonnaient encore dans sa tête, comme un écho de colère et de frustration.
Mais pour qui tu te prends ? Tu n'avais pas le droit de prendre cette décision seul ! Imagine ce qu'il aurait pu se passer dans le cas contraire ?
Mulder baissa la tête, conscient de la gravité de ses actes. Il avait agi par désespoir, par amour pour elle, mais il savait que cela ne justifiait pas tout.
Andréa je… Commença-t-il, mais elle ne lui laissa pas terminer.
Ne me parle pas ! Gronda-t-elle. Tu n’es pas au-dessus des règles, Mulder.
Voyant la tournure des choses, Scully tenta d'intervenir en gardant un air calme et assuré :
S'il vous plaît tous les deux ! Calmez-vous ! Andréa écoute moi. Mulder n'a pas agi seul dans cette histoire. Contrairement à ce que tu pourrais penser, Mulder a pris soin de consulter le docteur Frost avant d'agir. Ton état était alarmant, ton traitement ne suffisait plus, il fallait faire quelque chose. Et si ce n'était pas ce sérum qui t'emportait, ça aurait pu être cette thérapie et tu le sais. Que tu le veuilles ou non, il était hors de question de ne rien tenter pour te sauver alors ils ont fait ce qu'ils devaient faire. Tu es là aujourd'hui et c'est tout ce qui compte.
Parker n'eut pas la force d'insister sur le sujet. Elle fit la moue avant de se recoucher dans son lit.
Le docteur Frost les avait rejoints un peu plus tard dans la journée afin de faire le point avec eux sur l'état de santé général de leur amie.
Il faut que vous sachiez qu'après cette rude expérience, votre amie pourrait potentiellement faire face à une variété de séquelles dues à l'implant et au traitement expérimental qu'elle a subi.
Oui, j'imagine. Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ? Demanda Scully d'une mine inquiète.
En temps normal, il est possible qu'elle éprouve des difficultés de coordination motrice, car les dommages causés à son système nerveux peuvent affecter sa capacité à contrôler ses mouvements avec précision. Des troubles de la mémoire pourraient également survenir, allant d'une légère perte de mémoire à court terme à des lacunes plus significatives liées à des événements antérieurs à son traitement. Des symptômes neurologiques comme des maux de tête persistants, des vertiges ou une sensibilité accrue à la lumière et au bruit pourraient être présents. Ces symptômes pourraient diminuer avec le temps, mais il est aussi possible qu'ils deviennent chroniques si les zones du cerveau affectées ne se rétablissent pas complètement. Elle pourrait aussi ressentir des changements d'humeur ou des épisodes de dépression en raison du stress émotionnel lié à son expérience traumatisante et à la lutte pour sa survie.
Et sur le plan physiologique ? Demanda Scully d'une petite voix trahissant son stress évident.
Et bien, elle pourrait développer un trouble de stress post-traumatique, caractérisé par des flash-back, des cauchemars et une anxiété sévère. Ces réactions sont courantes chez les individus ayant vécu des expériences extrêmement stressantes ou menaçantes pour leur vie. Il est également possible qu'elle manifeste une certaine paranoïa ou méfiance, surtout envers les procédures médicales ou les traitements futurs, étant donné les effets indésirables qu'elle a subis. Déclara le docteur Frost.
Les deux agents échangèrent à plusieurs reprises des regards contrariés au vu de ce qu'ils entendaient.
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rayondelun3 · 5 months
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Mon prof de littérature me rend zinzin : j'ai passé les 3/4 de l'après midi a corrigé son cours sur Victor Hugo. Il a donné des mauvaises dates, n'a même pas parlé de la querelle Hernani qui est super importante... Il a parlé de l'engagement politique sans par'er des faits. Vraiment je me suis dit tout le long « mais what the fuck ???? » ok l'erreur est humaine, et c'est pas parce que tu es dans l'enseignement que tu ne peux pas te tromper mais là on parle de TOUT le fucking cours en fait. Et en plus sur Victor Hugo, le monument LE MONSTRE LE BIG BOSS de la littérature française. Comment tu peux autant foiré ton cours sur Victor fucking Hugo à la fac en lisant littéralement tes fiches ? J'hallucine vraiment. J'ai dû tout refaire, tout reprendre... Je n'ai même pas encore fini ! C'est une blague ce prof.
Oui c'est ce prof qui nous a enlevé Flaubert du programme oui. Oui. FLAUBERT. J'ai beau faire des efforts mais je peux plus me le voir. En plus Victor Hugo que je peux pas me l'encadrer celui-là non plus. Heureusement j'ai changé d'avis à force de faire mes recherches sur lui etc. D'où la petite carte postale avec ses petits enfants là... Trop mims.
Vraiment ça me détruit : mon prof a préféré s'attarder sur les funérailles nationales (en donnant les mauvaises dates sinon où est l'intérêt ???) pendant les 15 dernières minutes du cours et se tromper dans l'explication de Notre-Dame de Paris pendant 30 minutes (oui sinon encore une fois où serait l'intérêt right ????). C'est pour nous pranker qu'il fait ça ? Parce que ça ne me fait ABSOLUMENT PAS rigoler. J'ai d'autres trucs à faire, j'ai eu zéro vacances à cause des fucking 3 semaines de partiels et là je reprends et on me sort que des mauvaises informations pendant une heure ?
Je suis affolée. Ça veut dire que les gens de ma classe qui auront pris en notes certains trucs (parce qu'aussi la prise de notes dans son cours c'est un bon gros bordel hein on va pas se mentir sur ça non plus mais on est à la fac alors on va pas chouiner)... S'ils ne vérifient pas ils auront littéralement que de la merde.
C'est génial. Bien joué. J'hallucine vraiment. J'hallucine. Tu m'étonnes qu'il ne met pas ses cours sur cursus le boug. Ça serait mettre à la vue de tous toutes ses fucking erreurs là. VRAIMENT JE N'EN PEUX PLUS.
Et c'est encore que «la reprise» lol.
J'imagine que comme nous sommes jeunes ils se disent qu'on ne sait rien peut-être ? Mais putain heureusement que j'applique la méthode de Descartes.
FUCKING HELL.
Après j'aime bien faire des recherches etc. Normal. Toujours je fais du complément de cours MAIS J'AI AUSSI D'AUTRES MATIÈRES AVEC D'AUTRES LIVRES À LIRE EN FAIT.
When you are young they assume you know nothing.
J'avais tiqué sur des dates, sur les noms des recueils pendant le CM alors que bon, je ne suis pas du tout une pro sur V. Hugo... Mais je pensais pas QUE C'ÉTAIT À CE POINT LA MERDE.
Allô j'ai Plaute à lire, Ovide et Callapée. J'ai mes recherches sur la mythologie greco-romaine ok ? J'ai un million de trucs à faire à côté dans ma vie. J'ai zéro temps pour mes loisirs et après ils viennent nous engueuler parce qu'on finit en burn out ?
Allez c'est bon aussi.
Anyway je suis dans le car pour rentrer j'vais taper un bon run comme d'habitude et essayer de pas péter mon crâne bien que ce ne soit pas l'envie qui manque.
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romain8959-blog · 8 months
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mon premier pipi au lit par plaisir
½ début : Mon premier pipi au lit exprès, la découverte du plaisir J'aime bien me mouiller pour jouer et ça depuis que je suis enfant ou dans la cour de l'immeuble y avait le meilleur copain avec qui on jouait à ça ne se regardant... bon pas tous les jours, on se serait fait tabasser ! 
Plus tard, j'avais eu la chance de partir avec un copain dont la famille m'avait invité à partager leurs vacances à la neige... merveilleux ! on avait alors 12 ans. Les vacances se passaient super bien, sauf qu'un matin, contrairement à fougue habituelle, il ne se levait pas, et pour cause je n’ai pas mis longtemps à comprendre quand il m'a dit tout con… "j'ai pissé..." moi je n’y croyais pas, je ne pensais même pas qu'on puisse pisser au lit à 12 ans. Mais si c'était vrai, je l'ai vu quand il a descendu la couette. Il avait sous les fesses un beau rond mouillé et le bas du pantalon de pyjama ainsi que le bas de la veste étaient encore tout mouillé aussi... j'étais médusé et terriblement attiré...
Il avait fait quelque chose, bien malgré lui surement, que je rêvais de faire sans jamais avoir osé, à cause de mon Age... je n’y croyais pas... Par contre il était terriblement vexé que je le voie dans ce type d'intimité ! pour rester copain avec lui et qu'il s'en remette, je lui ai dit que ça m'arrivait aussi des fois de pas s'inquiéter ! Et pour le rassurer, je me suis même inventer un pipi au lit quelques semaines avant, lié à un rêve à con que je lui avais raconté, et dont la finalité était aussi un pipi au lit... j'ai dû être convainquant !
Je lui ai même dit que le matin, en me réveillant, j'avais toujours l'angoisse d'avoir fait pipi !!! j'avais eu raison d'agir comme ça, on est resté les meilleurs copains du monde, il avait oublié son accident au lit, et il n'y en eu plus d'autre. 
N'empêche, j'avais vu qu'à 12 ans on peut des fois encore faire pipi au lit, et dans mon fort intérieur j'aurais rêve d'être à sa place, surtout qu'au niveau de ses parents, ça n'avait même pas été un scandale ! le soir là on avait juste été au lavomatique plutôt que de s’amuser dans la neige comme les autres soirs. Quelques semaines après, j'allais passer quelques jours chez une vieille grand-mère, comme ça arrivait des fois pendant les petites vacances scolaires.
 Je dormais au 2éme étage, là ou mamie allait rarement.... et, j'en mourais d'envie depuis que j'avais vu mon copain, mouiller son lit je voulais le faire aussi pour voir... à la maison j'osais pas trop ! là peut  être ? 
J'y pensais sans oser depuis déjà un petit paquet de temps, et puis j’ai décidé de  "ne plus prendre mes précautions». avant de me coucher.
 2/2  suite
y a fort longtemps que j'étais propre la nuit donc une nuit ça m'a réveillé, un mal connu, envie de pipi .... mais j'ai décidé de pas me lever et d'attendre... surtout que les wc étaient 2 étages plus bas... et cette maison, qui, je l'avoue maintenant, me foutait la trouille, surtout la nuit, d'autant plus que j'étais pas du style aventurier....
 d'un coté je voulais le faire, faire pipi au lit…, de l'autre côté tout me pousser à ne pas le faire ! En fait ce n’est pas moi qui ai décidé, à un moment j'en pouvais plus et au lieu de courir au wc, j'ai attendu encore un peu pour voir...je me suis même un peu rendormi. Mais je me suis vite reréveillé…  je savais que le point de non-retour allait être franchi et que j'allais finir par faire pipi dans les draps si je me levais pas et......l'instant d'après c'était parti.j’en pouvais plus de me retenir ça me faisait mal...et.. j’ai senti mon pyjama qui commençait à se mouiller... ça y est putain...je faisais pipi au lit !!!!! j’étais en train de faire pipi au lit…. Vous me croirez si vous voulez, contrairement à l'horreur que ça aurait dû m'inspirer, j'adorais ça!!!! d’un coup je me suis senti léger, léger et bien comme on a pas idée, la douleur que j’avais ressentie de me retenir si longtemps s était immédiatement transformé  en une énorme onde de plaisir,  après m'être retenu si longtemps. et de sentir le pipi qui coulait dans la culotte et dans le pyjama hmmmm je réaliser mon fantasme. J’arrétais pas de me répéter « je fais pipi … je fais pipi au lit…. » je sentais que ça coulait entre mes jambes et je sentais un petit filet glisser entre mes cuisses... et là je savais que je mouillais tout, y compris le matelas qui n'étais meme pas protéger ! mais à ce moment précis je m'en foutais j'étais simplement heureux d’un bien être tellement fort. et puis trop vite ça s'est arrêté. sur le coup j'y croyais à peine, c'était un peu comme dans un rêve, une chose est sûre ,ça me faisait tout chaud... doucement j'ai mis nez sous la couverture... ça sentais le pipi tout chaud... c'en était limite enivrant j'ai du me résoudre à la vérité, je l'avais fait ! j'avais osé pisser au lit comme ça exprès.. avec mes mains j'ai touché le mouillé pour vérifier ! c'était bien trempé et ça m'a terriblement excité tellement que d'un coup j'ai bandé comme jamais. je n'avais pas encore découvert la jouissance à cette époque... je me suis retourné et je me suis frotté dans le mouillé pour me calmer... je me frottais dans mon pipi… j’ai senti un plaisir nouveau monter dans mon corps… et j’ai senti quelque chose monter …. Quelque chose de fort…. d'un coup j'ai senti la plus formidable onde de bonheur et de plaisir de ma vie… comme un feu d’artifice dans mon corps.. tous mes sens venaient de se vriller d’un coup,  je venais de jouir pour la première fois de ma vie. 
dans mon pipi , j'avais même pas honte.... après ça je me suis endormi comme une masse, ce n'est que le lendemain que j'ai eu la surprise de me réveiller mouillé, surprise de courte durée ! bon le lendemain tout ça à séché discrètement...... de cette expérience j'ai gardé le plaisir de faire de temps en temps pipi au lit, même encore maintenant, jamais de plan crade !, toujours pipi au lit dans des draps propres ! Pour les couches, j'ai découvert ça plus tard, c'était plus pratique et ça permettait de jouer plus souvent ! mais bof c est pas pareil
voila ça c est passé comme ça la première fois je sais c est contre nature on m’a dit mais c est comme ça
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bienvenuechezmoi · 7 days
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Putain faut que j'exteriorise.
J'avais un crush au travail mais comme j'ai passé la pire année de ma vie et que pécho en entreprise c'est une angoisse il s'est rien passé.
Entre temps je me suis barrée puis j'ai dormi pendant 3 mois pour me remettre de mes émotions (Aka mon burn out) .
Il y a une semaine je fais mon pot de départ officiel en comité très restreint (donc le gars n'est pas là). Après ce pot je me dis que c'est la dernière possibilité de tenté un truc. Je me dis en plus que je ne fais plus partie de l'entreprise donc ça me convient davantage.
Samedi dernier je le follow sur insta pour le dire "petit clin d'œil". Je lui envoie pas de message direct parce que déjà c'était une étape pour moi de le folllow et ensuite les élections arrivent (l'apocalypse as you know it) et en emme temps une otite de derrières les fagots.
Aujourd'hui jeudi, 5 jours après ma demande de follow je suis prête à lui envoyer un message pour lui proposer un verre, le bougre m'a unfollow entre temps.
Ce que j'ai pas dit c'est qu'il avait des eyes contact obvious. Je n'y suis pas allée en kamikaze, c'est pas mon genre.
Vos pronostiques : il a une meuf ? Ça l'a soulé d'attendre tout ce temps ? Il n'a pas compris pourquoi je l'ai follow sur insta ?
En vrai je ne suis pas triste pour lui en particulier mais plutôt ce que ça dit de moi : que je suis incapable de connecter avec les gens et surtout avec ceux qui me plaisent ainsi que mon anxiété me paralyse.
Je soulée parce que je me suis enfin détacher de mon ex et je voulais me prouver à moi même que j'étais capable de pécho un autre gars. Bon bah échec de la mission.
La je suis vraiment en colère et triste en même temps.
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tournesolaire · 13 days
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CE SOIR C'EST LA FÊTE !!!!
C'était aujourd'hui la parution des résultats de partiels et je viens d'aller voir
J'AI VALIDÉ MON ANNÉE AVEC MENTION !!!!
Je savais que j'avais géré mes partiels comme une cheffe mais j'imaginais pas à quel point, j'ai vraiment fait le BRAQUAGE DU SIECLE ????
C'est le meilleur semestre que j'ai eu en 3 ans de licence, et également la meilleure année, je suis trop forte putain
J'ai tout raflé
ALORS ÇA Y EST
C'EST FINI
C'EST OFFICIEL
J'AI MA LICENCE EN ENTIÈRE
Je suis vraiment choquée de ouf par certaines de mes notes, par exemple j'ai eu 15 en phonétique ??? Alors que j'ai même pas lu le cours ??? Depuis la L1 j'essaie de réviser cette matière de ouf mais j'ai jamais rien compris et jamais réussi à dépasser les 8 en partiel c'est dingue
MONSIEUR PARK M'A MIS 18 🥹 Je savais que j'avais fait le bon choix de focus mes révisions uniquement sur la civi UK et pas la civi US mais j'imaginais pas que ça paierait autant
PAREIL J'AI EU 16 À MON ORAL DE LITTÉRATURE, ça me donne sincèrement envie de pleurer de joie, cet oral me faisait tellement peur depuis le début de l'année et au final j'ai tout niqué (d'autant plus qu'il ne faut pas oublier que c'est Mme Galiné qui me l'a fait passer et qu'elle est super sévère dans sa notation)
Enfin voilà voilà
Je suis heureuse
Je suis fière de moi
Ça a été 3 années qui sont passées super vite, il s'est passé des tas de trucs positifs comme négatifs, j'ai beaucoup évolué et je suis infiniment reconnaissante d'avoir eu l'opportunité de vivre tout ça
(mon point de repère pour me rendre compte de tout ce qu'il s'est passé pendant cette licence c'est de me dire qu'à mon arrivée en L1 je venais de me re-raser le crâne mdrrr)
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swedesinstockholm · 10 months
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8 juillet
je me demande, en pourcentage, combien de mes pensées ont un rapport avec le monde virtuel par rapport au monde monde. j'espère que c'est pas plus.
bonne grosse soirée de merde à regarder schitt’s creek affalée sur le canapé au lieu d’aller rejoindre shariel au karaoké comme on avait décidé hier soir, mais 1. pour me faire sortir de la maison après dix heures il faut un cas de force majeure et 2. j’avais peur. hier soir je fanfaronnais mais j’avais oublié que malgré mes récents progrès, j’étais toujours moi. et pourtant, sortir au bar à karaoké aurait été la meilleure chose à faire pour noyer mon chagrin revenu me heurter de plein fouet cet après-midi, assaillie par la maudite icône bleue électrique avec les petits trucs qui ressemblent à des churros au milieu de r. sur instagram. elle me hante. je vais écrire un poème sur les photos de profil d’instagram, c’est un gros sujet. dès que je vois un truc vaguement bleu électrique dans mon champ de vision mon cerveau crie R.! j'ai l'impression de devenir folle.
à défaut du karaoké avec shariel j’ai regardé une discussion de laura vazquez avec un artiste qui s’appelle françois durif qui lui raconte sa rencontre avec gaëlle obiégly dans un café parisien, avant qu'il parte en résidence à la villa médicis. il parle de sa façon d’être attentive, de son phrasé, de sa voix, il dit que quand tu lui parles, ou même quand tu la lis, elle te réanime quelque chose, qu’elle a une telle vivacité d’esprit, qu’elle accorde une telle attention aux êtres animés et inanimés que tout fait signe, que tout fait récit. (je cite) il dit que quand il l’a quittée, il était heureux heureux heureux. il l’a dit trois fois. elle lui a dit que son existence était une source de joie. je me suis demandé si quelqu’un avait déjà pensé ça à mon sujet, après m’avoir rencontrée. quand il a eu fini les beaux arts, il a travaillé pour un service de pompes funèbres parce que son bilan de compétences lui avait indiqué que c'était la voie à suivre et parce qu'il voulait pas être tributaire de son travail d’artiste pour gagner sa vie. il disait que pour la première fois de sa vie, il s’était senti à sa place, que ça l’avait redressé et que ça lui avait donné goût à la vie. est-ce que je devrais faire un bilan de compétences? est-ce que c'est ça la clé pour trouver ma place dans le monde?
9 juillet
j'ai recommencé à penser à cette phrase que j’avais lue sur la page wikipedia de sophie calle un jour qui disait: elle est partie à new york pour sublimer sa douleur et je me dis que j’ai loupé une occasion de faire un truc plus radical pour échapper à la douleur de mon coeur brisé. rester enfermée à la maison à scroller ig n’est sans doute pas la stratégie la plus efficace. vendredi soir à la kulturfabrik j’étais absolument pas intéressée par les filles de nouveau, mon homosexualité est cassée, zéro trace de sentiment d’appartenance à la communauté queer. bon, quand shariel a commencé à discuter avec le seul couple hétéro de la soirée qui était également le plus horripilant, je me suis quand même dit putain comment je fais pour toujours me retrouver avec les gens les moins queer du monde? j’étais littéralement à une soirée de la pride. je l’avais invitée à venir avec moi voir la perf de r22. même si j’apprécie leur engagement politique, sur un plan artistique on a toutes les deux trouvé ça cringe et pas drôle et on a décidé qu’on pouvait faire mieux. même si on arrivera jamais à travailler ensemble parce qu’on est toutes les deux obsédées par nous-mêmes, persuadées d’être des stars au potentiel inexploité, ce qui nous mènera probablement nulle part. quand je parle de mes ambitions de performeuse à des gens comme shariel, débordants de charisme et d’exubérance, des soleils qui attirent la lumière et charment tout le monde avec leur énergie chaude, j’ai toujours peur de paraître complètement incongrue, avec ma personnalité de timide, de réservée, d’effacée. ma personnalité de trou. comment un trou peut attraper la lumière? je suis un trou, elle est un soleil, et pourtant on veut la même chose. mais au moins j’arrive à le dire maintenant. même si je me sens incongrue quand je le dis. tant pis. j’en ai marre de ce stupide concept de timidité, ça vient d’où cette ineptie? j'ai envie de bannir ce mot de mon vocabulaire, il m’encombre et ne sert à rien. je suis pas timide, je suis juste moi.
après on a vu un show de drag queens un peu moyen et une fille a fait une danse sexy triste avec un coeur en laine rouge qui se détricote pour parler de son coeur brisé et j’ai shazamé la chanson parce qu’elle était triste et la femme à côté de moi a pris une photo de mon shazam parce qu’elle était sûrement triste, elle aussi. ça m’a rappelé r. qui shazamait toutes les chansons à la soirée où on est allés et quand il les shazamait pas il me demandait et c’était moi son shazam et j’espérais secrètement qu’il soit impressionné par ma culture musicale encyclopédique. y compris mourir demain de natasha st. pier et pascal obispo qu’on a chanté ensemble en se regardant dans les yeux comme si on devait vraiment mourir demain.
11 juillet
r. m’a raconté qu’il avait fait une performance avec gaëlle obiégly et un autre écrivain y a quelques années, avec son groupe de l’époque, et j’arrive pas à y croire. je l’ai raconté à n. et elle a dit wow the universe is a bitch. je lui ai demandé s’il avait discuté avec elle et il a dit que non parce qu’elle était timide, mais il disait qu'il l'avait trouvée très drôle, et je me suis demandé s’il avait fait une corrélation avec moi. je me suis demandé si moi aussi je le rendais heureux heureux heureux mais de manière platonique, comme gaëlle obiégly rend françois durif heureux heureux heureux, de manière platonique.
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homomenhommes · 9 months
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story: JOURNAL D’UN CUL JOUISSIF / 12
12 | À LA FENÊTRE
Vers une heure du matin, je rentre chez moi après une soirée très animée entre amis. Malgré l'heure avancée, je n'avais pas envie d'aller me coucher. En plus, il faisait très chaud en ce mois d'août. Je me suis dit que prendre une bonne douche me ferait du bien et m'aiderait, sans doute, à trouver le chemin de mon lit. Première erreur, ça n'a qu'accentuer mon manque de sommeil. Comme il fait chaud, je reste nu avec le ventilateur en marche.
Je n'ai même pas envie de me faire baiser, ce aurait pu m'aider à passer le temps. Il est plus de deux heures du matin et je n'ai toujours pas envie de dormir. Ayant laissé de la vaisselle sale dans l'évier avant de partir chez mes amis, je me résous à la faire. Avant, j'enfile un jockstrap pour ne pas être totalement nu à faire la vaisselle alors que j'habite au rez-de-chaussée et que la fenêtre de la cuisine donnait sur la rue. Juste un petit bout de tissu en cette chaleur aoûtienne ne peut pas me faire de mal. Je me convainc que, vu l'heure, je ne prenais pas de grand risque à me vêtir ainsi car tout le monde devait dormir et que personne ne traînait dans les rues. Seconde erreur, car la première chose qu'un éventuel passant verrait serait mon dos.
Avec insouciance donc, je commence à faire ma vaisselle. Après quelques minutes, j'entends taper sur la vitre de la fenêtre que j'avais, bien entendu, ouverte. Troisième erreur. Je sursaute et me retourne. Je vois un mec de mon âge me sourire. Il est de type méditerranéen, avec un air de demeuré qui lui donne un certain charme et le rend particulièrement beau, les cheveux bruns plutôt courts, les yeux marrons et la barbe naissante. Je reste totalement immobile, paralysé par la peur, caché derrière une chaise.
"Excuse-moi mec. Je ne voulais pas te faire peur. Je rentrais chez moi quand j'ai vu de la lumière. Je voulais juste te demander si tu avais une clope à dépanner." Me dit-il calmement tout en arborant un large sourire.
Je sors de ma torpeur et lui réponds que je ne fume pas. Il me demande donc un verre d'eau si c'était possible car il avait encore un bon bout de chemin à faire avant d'arriver chez lui. Je lui sers donc un verre d'eau et lui l'amène. Bien entendu, pour cela, je me suis approché de la fenêtre, lui dévoilant à nouveau mon jockstrap. Il me jauge très rapidement, mine de rien, et me remercie. Il boit une gorgée et entame la conversation. Des choses banales, du genre "Il fait chaud cette nuit." "Pas encore couché ? Tu n'as pas sommeil ?" Puis sans crier gare, il me dit qu'il adore ma façon de faire la vaisselle. Je perds une fois de plus mes moyens.
"Eh. Relaxe mec. T'inquiète, je ne suis pas un tueur en série. C'est ma façon de te dire que tu as un superbe cul."
Je le remercie en soulignant que j'avais été complètement insouciant d'avoir fait ma vaisselle, vêtu ainsi, dos à la fenêtre que j'avais, en plus, laissée grande ouverte.
"Moi, je ne regrette pas ton insouciance. Et sinon, on peut le toucher ton boule ?"
Je réponds par la positive en balbutiant légèrement et je me tourne pour lui présenter mon cul. Il passe sa main par la fenêtre pour me peloter les fesses.
"Putain, je kiffe. Il est super lisse et doux."
Il me caresse délicatement la raie. Instinctivement, je me penche pour lui donner accès à ma rondelle qu'il titille doucement.
"Trop bon. Tu me fais bander, putain. Je peux entrer pour te baiser ?"
J'hésite un peu avant de lui dire oui et lui donner le code d'accès de l'immeuble.
"T'embête pas va."
Le voilà qu'il s'appuie sur le rebord de la fenêtre afin de se hisser jusque dans l'appartement en un bon. Note à moi-même, ne jamais plus dormir la fenêtre ouverte. Il s'approche de moi et m'attire contre lui pour m'embrasser goulûment. Sa bouche avait le goût de tabac mêlé à de l'alcool. Il se saisit de mes fesses et les tâte tout en continuant son baiser fougueux.
"Putain. Tourne toi que je te bouffe le cul."
Je me retourne, m'appuie contre la table et lui présente mon cul. Il se déshabille et vient rapidement s'agenouiller devant lui pour le couvrir de baisers. Puis il le bouffe généreusement. Je l'entends se branler en même temps qu'il me fouille cul avec sa langue.
"Putain. Tu mouilles du cul non ?"
J'acquiesce et le supplie de continuer.
"Trop bon. J'avais jamais vu ça."
Il lèche ma rondelle et la dilate avec sa langue. Il continue son bouffage de cul puis me demande s'il peut me la mettre. Ce à quoi je réponds oui. Il se redresse et frotte son gland sur mon trou humide et pousse pour en forcer l'entrée. Sa queue me pénètre progressivement jusqu'à la prostate qu'il stimule en tapant doucement dedans. Je kiffe tellement que j'en oublie mon poppers, puis faut avouer, également, que la situation était incroyablement excitante. Je me croyais dans un porno. Tout en faisant glisser son énorme queue dans mon cul, il me caresse le dos, les fesses, le torse... Puis il me force à redresser le corps contre lui et m'embrasse dans le cou. Ses coups de bites se font de plus en plus violents et son baiser dans le cou s'est transformé en suçon. Il me pousse dans le dos m'obligeant à s'aplatir contre la table et il se déchaîne dans mon cul. Il accélère tellement le mouvement que j'ai l'impression que sa bite entre et sort de mon cul en même temps. Il me fesse et décule.
"Penche-toi à la fenêtre."
Je m'exécute en appréciant la légère bise de la nuit. Il vient derrière moi et me remet sa belle queue dans le cul. Il me pète littéralement la rondelle. Me faire baiser par la fenêtre fut une première pour moi. J'appréciais ses bons coups de bite mais je priais pour que personne ne passe ou que personne des immeuble de l'autre côté de la rue ne me voit me faire éclater le cul. Lui, cette situation à l'air de l'exciter à mort. Il me défonce longuement trou. J'ai même cru, à un moment, qu'il n'allait jamais jouir. Puis, après avoir entré et sorti sa queue de nombreuses fois, il la remet bien profond et m'inonde la prostate de sa semence.
"Putain, le pied." Dit-il après avoir déculé pour de rhabiller.
Je me redresse complètement épuisé. Il s'approche tout en fermant les boutons de son jean et m'embrasse passionnément. Puis, en un saut contrôlé, il sort de chez moi par la fenêtre en me promettant de revenir me voir. Je regarde l'heure et constate avec stupeur qu'il était six heures passées. Je suis allé me coucher en jockstrap sans même prendre la peine de me rafraîchir.
Nous nous sommes revus, après cela, cinq ou six fois. Mais il est, ces fois-là, passé par la porte d'entrée.
LE CUL JOUISSIF
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meixjake · 3 months
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✈︎ (premier poste j'espère que sa vous plaira ) jalousie — [ Enhyphen Jake ] genre ⋆ cochonnerie
"Je pensais que nous étions censés rester un peu plus longtemps." Vos mots sont sortis brouillés, votre petit ami Jake vous tirant derrière lui par le poignet et jusqu'à la voiture.
il était furieux et tu avais beaucoup trop bu pour comprendre pourquoi. ce que vous saviez, c'est que le voir si frustré vous excitait au-delà de toute croyance.
ce soir était censé être amusant. Jake a toujours aimé sortir et boire avec les garçons. il pensait que vous inviter à le suivre serait une bonne idée, mais bon sang, il avait tort.
il lui a suffi de surprendre Heeseung en train de vérifier vos fesses pendant que vous vous penchiez sur la table de billard, la lèvre coincée entre ses dents, pour qu'il vous traîne hors du bar. vous portiez votre jupe plissée préférée, ignorant innocemment qu'elle était un peu trop courte et, en vous penchant, vous pouviez voir un petit aperçu de votre culotte lacée en dessous.
Jake l'a remarqué bien sûr. il l'a toujours fait. cette jupe était sa préférée et tu le savais aussi. c'était la seule raison pour laquelle vous l'aviez mis en premier lieu. pour lui .
la mâchoire serrée et les sourcils froncés, il vous a ouvert la portière passager de la voiture. même quand il était énervé, il était toujours un gentleman. votre esprit bourdonnant ne pouvait s'empêcher de fourmiller des pensées les plus sales alors qu'il montait dans le véhicule.
"Tu es tellement sexy quand tu es en colère." les mots sont sortis comme du vomi, les yeux de Jake se sont tournés vers toi pendant qu'il mettait la clé dans le contact, "tu sais que tu m'appartiens, n'est-ce pas ?" ses mots sortaient à travers les dents serrées, brisant le silence qui remplissait la voiture.
ses doigts serraient si fort le volant que ses jointures devenaient blanches. tu ne pouvais pas t'empêcher de penser à quel point sa main serait jolie autour de ta gorge, la serrant tout aussi fort.
Tu as hoché la tête d'un air penaud et tu as tendu la main pour passer tes doigts dans ses cheveux noirs pour le rassurer, "je suis à toi, Jake." ses épaules se détendirent immédiatement, sa prise sur le volant se relâchant également. tu as adoré voir l'effet que tu avais sur lui.
il ne savait pas qu'il avait un effet très durable sur vous. ta jolie culotte était maintenant trempée dans ta propre excitation. Jake tendit la main pour caresser ta cuisse. c'était un geste innocent de sa part. pourtant, ta chatte palpitait et tes hanches bougeaient, la chaleur de sa main te donnant une sensation de chaleur insupportable.
"Je ne supporte pas de voir d'autres gars te regarder, _____. ça me rend fou. Les ongles de Jake s'enfoncèrent en toi, serrant ta peau somptueuse. "je sais bébé." tu gémissais, ne voulant rien d'autre que qu'il te touche. te touche vraiment .
il savait aussi ce que tu voulais. Jake l'a toujours su. il adorait juste te taquiner. c'était sa partie préférée, t'entendre supplier et plaider pour qu'il te baise. il aimait à quel point ta voix devenait pleurnicheuse, à quel point tu te tortillais contre lui. mais par-dessus tout, Jake aimait le fait qu'il était le seul à pouvoir vous faire ressentir cela.
vous ne saviez pas si c'était l'alcool ou les doigts magiques de votre petit ami, mais dès qu'il a trouvé votre clitoris, la zone autour de vous a commencé à tourner. ta tête retomba contre le siège et tes cuisses s'écartèrent immédiatement pour lui.
"Putain, tu es trempé." sa voix était rauque, de jolis yeux scrutant l'extérieur du bar. il y avait quelques personnes qui fumaient près des portes d'entrée et des voitures vides remplissaient la majeure partie du parking. n'importe qui pouvait s'approcher et vous attraper tous les deux et, d'une manière ou d'une autre, cette pensée l'excitait encore plus.
Quand Jake a tenté de tirer ta culotte sur le côté, tu as tenu son poignet en place pour l'arrêter, "non". ta voix était ferme et tu as retiré sa main. au début, il a été blessé. mais tu avais pas mal bu et ce n'était pas le genre de petit-ami à profiter de toi. même s'il était déjà visiblement dur dans son jean.
puis ta voix était douce, se déplaçant pour s'asseoir sur tes jambes pendant que tes mains tendaient la console centrale pour tâtonner avec impatience avec la boucle de sa ceinture. "laisse-moi te montrer combien je t'aime." tu voulais être celui qui lui plaisait cette fois. pour prouver à quel point vous l'adoriez, lui et sa belle bite. comment il était le seul que l'on puisse souhaiter.
Une fois que vous avez baissé sa fermeture éclair, vous avez rapidement retiré sa queue de sous son slip. et la bite de Jake s'est redressée, toute prête à être touchée par toi. il avait l'impression qu'il avait dû rêver lorsque vous avez léché une longue bande allant de la base de sa queue jusqu'à son bout, pour finalement le prendre dans votre bouche.
sa main saisit rapidement tes cheveux, te tirant plus près et enfonçant sa longueur plus loin dans ta gorge. "Putain, c'est ma gentille fille." ses louanges ont fait serrer vos cuisses, votre mâchoire s'est relâchée pour prendre davantage de lui. tu en prendrais autant que Jake le voulait. toujours.
ce n'est que lorsque sa pointe a touché le fond de ta gorge qu'il a arrêté de pousser ta tête vers lui. tes doux yeux se sont fermés et tu as creusé tes joues avant de rapidement balancer ta tête sur son manche.
"Oh mon Dieu. juste comme ça." Les sourcils de Jake étaient froncés, ses lèvres légèrement entrouvertes et, sans même réfléchir, ses hanches relevées pour rencontrer votre visage. tu l'as bâillonné et tes ongles se sont enfoncés brutalement dans ses cuisses, ce qui lui a valu un gémissement pleurnichard.
avec la prise serrée que Jake avait sur ta tête et les contractions incessantes de sa bite dans ta bouche, tu savais que ton petit ami était proche de son apogée. en plus, il devenait beaucoup plus bruyant. les louanges et les malédictions sortaient de ses lèvres de manière incohérente. tu as accéléré sur lui, sa tête a fini par tomber en arrière et ses jambes ont tremblé lorsque sa charge chaude a finalement recouvert l'intérieur de ta bouche.
vous vous êtes assuré de le sucer lentement de la base à la pointe, en faisant tournoyer votre langue le long de chaque courbe et veine striée de sa bite pour le nettoyer entièrement. le sourire qui dessinait les lèvres de Jake était absolument magnifique. de belles petites gouttes de sueur coulaient sur son front et il gémissait de manière audible lorsque vous le retiriez avec un pop. Vos yeux se sont croisés dans les siens et il a immédiatement pressé ses lèvres contre les vôtres.
vous vous êtes immédiatement fondus tous les deux dans le baiser, vous vous penchant encore plus sur la console jusqu'à ce que vous soyez penché à quatre pattes avec votre jupe retroussée au niveau de vos hanches. Jake ne put s'empêcher de sourire narquoisement lors du baiser. puis il s'est reculé, tendant sa main derrière vous pour vous gifler les fesses à moitié nues, ce qui vous a fait crier bruyamment. et cette fois, Jake ne se souciait pas de savoir qui te voyait ou qui voyait ta jolie culotte parce qu'après tout, tu étais à lui.
#enhypen #enhypen x lecture #enhypen charbon
#jake enhypen#enhypen jake#jake sim#jake x lecteur#jake cochonnerie
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marche-murmure · 1 month
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2 RUSKOVS 1 SUV
Quelque part dans la galaxie 2015
Du côté de Brétigny sur Orges
Je sais pas quelle heure il est, 15h00, un truc du genre, la rue est calme.
Ca fait une semaine qu'on se tape la même garde de merde devant cette putain de synagogue que personne aurait trouvé si on y avait pas planté 9 connards avec des flingues.
J'ai mal au bas du dos, true fact d'ailleurs j'ai toujours mal depuis, à cause de cette fucking "frag".
Un gilet pare balle plus vieux que moi, qui arrête même pas le 7.62 qui est souvent utilisé par les débiles mentaux qui se trimballent des AK.
Donc c'est un peu le comble, parce que le machin est trop lourd, mais en plus il te sauvera pas.
Je répétais souvent "le jour où on nous tire dessus, d'abord je bute le SCH, et ensuite j'enlève ma frag, j'aurais une chance comme ça".
Déjà ça vous donne une idée, j'ai toujours le dos niqué à cause d'un truc qu'on m'a obligé à porté et qui, en plus de servir à rien, diminué efficacement ma mobilité (sans compter ma manœuvrabilité au niveau de l'armement, ne serait-ce qu'épauler c'était une galère pas possible avec ce truc).
Bon je reprends, 15h01, la rue est calme, je suis avec D.
D. je le connais depuis le premier jour, j'ai fait mes classes avec lui, il vient de la réunion. C'est un grand métis beau comme un camion, bon il faudrait qu'il bouffe un peu plus à la cantoche mais au moins s'il se fait dézinguer il sera pas trop lourd à porter.
Mon D. quand il est arrivé, le premier jour, j'ai passé 1h à lui faire des câlins parce qu'il chialait, il voulait se tirer dans l'autre sens. J'ai surnommé ça l'effet "arrivée en lorainistan en provenance de Saint-Denis, bjr g froi chef". La grosse virilité de l'armée, toi même tu sais.
On a tout fait ensemble, il a été avec moi du début à la fin, et après les classes, on a terminé dans la même compagnie. 18 ans, 21 ans à ce moment là. Un enfant.
Je disais quoi déjà ? Ha oui, 15h02, la rue est calme, je suis avec mon D.
Il pleure à petites larmes parce que sa nana l'a quitté. Comme tous les autres. Parce que ça fait 6 mois qu'on enchaine, qu'on se fait baiser non stop par le Capitaine qui prend TOUTES les missions. Il faut bien qu'il sauve sa carrière ce gros porc, vous comprenez ?
"Vague de célibat' à l'armée, ça vous apprendre à pas être là".
Comme si on avait le choix.
Comme si on avait demandé ça.
Les mecs qu'on surveille, même eux ils nous demandent de nous casser.
Ils nous disent "ils vous ont mis là, avant personne savait, maintenant tout le monde sait, et vous, vous allez pas rester là pour toujours, alors ils attendront juste et ils nous tueront plus tard".
Bah ouai ma gueule, on sait, on sait. Content de desservir le pays.
Mais Hollande il a des élections à gagner dans pas longtemps alors il a placé ses petites pompoms girls en kakis pour faire jolie.
Vous vous sentez bien sécurité maintenant ?
Défendu par un gamin qui chiale parce que sa meuf l'a quitté et un suicidaire qui en a déjà plus rien à foutre de tout ?
Du coup, il est 15h03, la rue est calme. D. est toujours en train de chialer.
D'ailleurs je vous ai dit que la synagogue, bah elle est vide en fait ? Et ouai, c'est ça aussi la blague.
Non seulement on surveille des trucs que personne connaissait, mais en plus ils sont vides.
Et D. il est célib.
Et on est tous flingué.
On a signé des décharges pour pouvoir venir tellement on est flingué.
"Je soussigné le 1 TRS B. atteste sur l'honneur que si je venais à défaillir dans ma mission en commettant un acte répréhensible d'une forme quelconque, je retire toutes responsabilités à mon CDU qui m'a envoyé en mission".
Oui. Parce qu'ils savaient.
Et ils nous ont mis au milieu de vous tous.
Mdr.
Ha, il est 15h04, ça va commencer.
Enfin un truc.
Y a un SUV avec 2 RUSKOVS qui déboulent dans l'avenue à FOND.
Et qui freine au moins aussi fort quand ils arrivent à notre hauteur.
Ils disent des trucs, on pite rien, ils se marrent et ils reprennent leur course folle.
Bon eux ils ont capté qu'on est pas flic et qu'ils peuvent bien rouler à 90 au lieu de 50, on en constatera pas grand chose.
En bas de l'avenue, à genre 200m, y a un feu rouge, long. Je sais qu'il est long parce que quand je me fais chier (tout le temps), je compte les secondes pour voir sa durée.
J'ai compté sa durée des dizaines de fois.
180 secondes.
2. 3. 4.. 102... bruit de marche arrière, moteur qui hurle.
Il est 15h07 et des brouettes.
Ces deux fils batards nous foncent dessus en marche arrière où je rêve ?
Mais oui ils nous foncent dessus en marche arrière !
Alors que ces pensées fusent dans ma tête, j'ai déjà quitté D.
En fait je m'avance vers le SUV en plein milieu de la route, l'arme pointée vers eux.
Je raque.
Clac. Clac.
La balle d'obturation de mes couilles tombe par terre.
Je fais quoi maintenant ?
15h07 et des brouettes de temps interminables dans un océan de confusion qui dépasse l'entendement et la raison.
"ALLEZ BATARD, BUTTE MOI, AZY ECRASE MOI TU TE FERAS CREVER PAR LES AUTRES"
C'est ce que j'ai de mieux en tête, registre suicide, pas envie de tirer, pas la capacité à engager.
Lets go die.
Je vois le gros cul du SUV qui se rapproche, et je reste là. A la limite je sais pas, j'aurais pu tirer, arme par destination, un gros cul de SUV dans la gueule, ça reste mortel.
Et moi je me dis juste, allez c'est bon, on va y passer, c'est les vacances ce soir je dors sans médicament, whoohoo.
15H08 j'imagine.
Ces deux glands se sont arrêtés un peu avant.
J'arrive à leur hauteur, l'arme braquée, je les pointe par la fenêtre.
Ils ont les mains levés.
"PAS TIRER, PAS TIRER, BLAGUE, BLAGUE
TOI PRENDS BIERE, BLAGUE, COPAIN PAS TIRER"
J'éclate de rire, je regarde D. et je lui dis "TU VEUX UNE BIERE D. ?"
Avec son accent à couper au couteau "euhh ouai pourquoi pas ?"
Il est 15h10.
Y a déjà plus de bière, 1L pour deux c'est pas assez, svp renvoyez des RUSKOVS et un gros cul de SUV.
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On en arrive à Illian ! Chapitre 1 (toujours dans le tome 1, en sous partie).
- Salim qui change de vocabulaire pour faire plaisir à Ewilan et qui en plus est au sommet du comique XD
- Quand on pense que la mère d'Ewilan avait juré de tuer Eléa pour protéger sa fille et maintenant elle est en road trip en terre inconnue et sa fille qui entre temps s'est fait kidnapper et torturer a décidé de finalement faire le sale boulot. En ben tient.
- L'écrivain qui est celui qui survit au serial killer insectoïde...ben tient ben tient.
- J'adore quand même la plongée dans le psychologique de cet aspect plus "dark" de cette nouvelle trilogie (ou en tout cas de ce tome) et l'exploration de ce que ressent Ewilan face à l'injustice et les tortures qu'elle a subi. Parce que oui, des putain de tortures, c'est très glauque et très vif de ressenti ("Suis-je responsable si, en remontant le jouet, on s’aperçoit qu’il manque des pièces ? Si certaines sont désormais abîmées ?"). C'est simple mais net et tranchant.
- Et encore une fois l'équilibre dans la relation Ewilan/Salim fait plaisir à voir. C'était un peu déséquilibré dans le premier tome (même si on était pas exactement en reste et Salim avait son propre arc et ses problématiques) mais ici ils sont unis, soudés, et ils ont de la répartie, une union fusionnelle. Ils se comprennent et ils s'aiment, de manière si compliquée et pourtant si simple.
- l'organisation gardée une organisation paramilitaire liée à des mouvements extrémistes...sentez vous poindre un nouveau thème ? (Morienval travaille avec des nazis)
- Encore une fois Salim montre qu'il est très cultivé (des vapeurs de colle sous pression bon sang ! Je devrais regarder plus de films policiers).
- Bon Ewilan qui murmure à un type "c'est pas bien d'être méchant" (équivalent) ça fait un peu culcul mais j'imagine qu'il en avait besoin à force d'être perdu dans ses programmes informatiques.
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chifourmi · 2 years
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Bon décidément soit j'ai vraiment un TDA soit j'ai un Qi de -100. Aujourd'hui j'ai fait une faute professionnelle que je savais qu'il ne fallait pas faire mais wtf je l'ai faite et genre ça ne m'a pas traversé l'esprit sur le moment. Depuis, ça tourne en rond dans ma tête. J'ai encore perdu confiance en moi et ça arrive à chaque fois que je fais des conneries pas intentionnelles. C'est même pas de la maladresse ni de l'inconscience. En fait je sais même pas comment le décrire. Comme si sur le moment j'avais plus rien dans le cerveau, comme de l'alzheimer. Et pourtant je ne suis pas stressée donc ce n'est pas l'anxiété qui me fait perdre mes moyens. Est-ce que je suis complètement débile? Ça pourrait, mais je savais que je ne devais pas le faire alors pourquoi sur le moment j'ai pensé à tout sauf à ça? Qu'est-ce qui se passe dans mon cerveau quand ce genre de trucs arrive?
J'en ai marre de ne pas savoir ce que c'est mon putain de problème. C'est vraiment comme si c'était un dysfonctionnement dans mon cerveau, c'est ultra étrange. Et à cause de ça, je ne me fais pas du tout confiance en général. J'ai presque peur de moi parce que je sais que je ne peux pas être digne de confiance. C'est aussi pour ça que je note tout partout, parce que j'ai peur de ne pas penser aux choses.
J'en ai parlé à Ju' et elle a rigolé. En même temps elle a un esprit tellement logique, terre à terre, pratique. D'ailleurs elle doit me trouver bien conne, vu le nombre de fois où elle traite les gens de débiles. Et je pense que les gens qui ne vivent pas ça doivent juste se dire que c'est de la débilité en fait, c'est un raccourci facile. Après c'est peut être juste vraiment ça. Je suis peut être juste une meuf complètement conne et j'ai peut-être juste conscience de ma connerie. C'est un peu triste.
(09/12/2022)
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femmedesannees2020 · 1 year
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Partie 1: Les racines
L'expérience sentimentale, sociale, psychique, familiale, déroutante que je vis depuis quelques mois me donnait envie d'écrire dessus. Une expérience si commune, banale même, partagée par la plupart des gens, et en même temps, une telle traversée du désert, me paraissait, depuis son commencement, un bon sujet pour m’essayer à l'écriture autobiographique. A l'écriture tout court d’ailleurs… Cette expérience, je vous la donne en mille (comme dit ma mère) : une rupture.. 😭
LA rupture! Celle qui fait mal. Rien à voir avec les petits ecueilles de la jeunesse, - en tout cas de la mienne, j'avais beaucoups de mal a m’engager sur ce terrain - les ruptures qui font, certes, mal à l’égo et pour lesquels on verse une petite larmes car on avait investi du temps et de l’énergie pour cette relation.
Non! Je parle de celle où on y croyait. Le grand amour, celui qui survivra à tout, qui leur montrera à tous... La rupture qui te laisse non pas le cœur en mille morceaux mais plutôt comme un plaie béante, avec un lambeau de chaire qui pandouille. Cette rupture, qui ressemble plus à une dégringolade qu'à une séparation.
Dégringolade, oui, voilà le bon mot pour exprimer ce que j’ai vécu. Mais comme je suis têtu, ou tenace - certains disent forte, comme ils sont gentils, d'autres disent conne - plutôt que de rester à terre j’ai tout tenté pour ne pas accepter la réalité. Je me suis bien débattu avec elle.
Il m’aura fallu 4 mois, quelques centaines d’euros de plus a mon budget réel, généreusement offert par ma famille, - l’argent ne fait pas le bonheur mais aide à soigner le malheur à mon avis - un long voyage en Espagne avec une de mes meilleures amies et quelques soirées à toucher le fond pour accepter cette réalité : ce qu’il y avait entre Axel et moi, c’était fini. 😭
C’est cette histoire que je voulais raconter, mais un tel chaos d’émotions et de pensées s’entrechoquant à l’intérieur d’un être, demande une plume experte et un esprit organisé. Et le malheur, on n'a pas trop envie de le partager.
Mais là je sais. Je vais tenter de commenter en “real-time”, comme une sorte de blog a la Sexe and the city, la re-rencontre avec Axel.
Depuis une semaine, l'idée de créer un nouveau genre de relation entre nous est née. Une relation libre autrement dit. Pas forcément libéré de la fidélité, mais libéré des carcans, des modèles, des injonctions. Vaste programme. En tout cas c’est intéressant.
Donc, plutôt que de raconter un épisode triste , commun et où j’ai pas vraiment été au plus haut de ma gloire, - 4 mois c’est long ou pas pour se remettre? - je veux parler de notre envie de tout envoyer promener pour réécrire les règles à notre avantage. Changer le monde quoi! Un petit peu quoi... Ça commence par changer mon monde intérieur je crois, et c’est en ça que c’est stimulant.
Intellectuellement cette idée me séduit directement. Ces derniers mois j’ai écouté pas mal d'émissions de radio sur le sujet du couple et de sa réinvention. Presque toutes menées par Ovidie.😅 Et ça faisait du bien d’apprendre que ce piège du couple qui finit par se faire du mal, dans lequel nous étions tombés, était partagé par beaucoup et pas seulement mon entourage. Des fois je me demandais si c'était pas nous le problème. Moi et mes amis biscornus. Mais j'en suis venue à penser que le problème venait plutôt du couple, selon le modèle actuel généralisé, issu d’une époque révolue, en total inadéquation avec les aspirations des personnes modernes aujourd'hui.
Mais... “pas intellectuellement”, j’avoue que ca me fait mal “je sais pas trop où”. Certainement là où il y a mes rêves de princesse et de prince charmant et de famille bruyante mais unie à la “Malcom”.
Ma fierté en prend un coup aussi. Un homme qui m’aime, enfin qui a “des sentiments” comme il dit prudemment, et qui ne veut pas tout laisser tomber, ses choix et son épanouissement pour moi… Ah quelle douleur!
Putain les rêves qu’on a dans la tête sont tenaces! C’est vrai que j’ai regarder beaucoup de films. Des bons et des moins bons. Le cinéma nous colle des modèles de vie lissés, pimper, inatteignables. Et même si je ne suis clairement pas la caricature de la midinette qui attend son homme pour exister et que j’ai les ressources culturelles pour qu’on s’attende de ma part à une femme indépendante, le fantasme d’un homme qui prendrait soin de moi car je serai une petite fleur fragile malgré ma grande gueule persiste en moi.
Le problème des fantasmes c’est que ça entre vite en collision avec la réalité. La réalité c’est que je ne supporte pas qu’on me dise ce que je dois faire même si c’est pour prendre soin de moi - le comble c’est que je suis une championne pour faire cette ingérance dans la vie des autres 😑- et que je suis pas si fragile que ça. (4 mois c’est long ou pas pour s’en remettre?).
Enfin bref, voilà mon premier billet sur ce blog. Je dévoile ici les racines de mes futurs réflexions et souffrances.
Le désir de sortir de cette rupture avec quelque chose en plus plutôt qu’en moins, l’envie candide de faire parti du changement, ces deux motivations seront les sujets que j’aborderais le prochains billet. (Il y a aussi le grand amour que je porte à Axel, mais l’amour ça fait pas tout).
😽
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saecookie · 2 years
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Vdf le film thoughts
- Pigeon 'je suis pas un pigeon' (mais où est Toto ?)
- le gens qui disent que c'est bourré de feats useless: pardon mais know your history. Non.
- Constance turning like Joseph.
- Constance qui keep on going vers le vdf sur la fin. Vous me ferez pas croire que c'est la première fois que ça arrive. Sa hatred personnelle devenue plus grande puis qui a dégénéré, et pourtant elle continue d'aller vers lui, même si elle le cache sous des baffes. Et lui continue d'être désolé pour elle.
- Déso Louise mais clairement on t'avais pas fait le cours Constance 101, la menacer c'était pas le bon call.
- CHAQUE putain de scène avec Matteo et l'un du trio. Cette TENSION
- "Matteo en vrai on s'est jamais posé pour en parler-" Si. Si. Mille fois. Mille fois.
- Belette qui se laisse mourir parce que sans doute que c'est déjà arrivé mille fois. Parce qu'elle sait que c'est toujours un saut de la foi, que peut-être elle reviendra, qu'il faut juste occuper les enfants.
- Renard et les enfants. Je.
- Merci pour votre collaboration. Juste. Vos gueules.
- Je suis personne. Cette scène de résolution. Quel enfer.
- Alice Gilbert Alibert, vraiment ?
- Renard Belette occasional lovers my beloved.
- Regardez le générique. Tout le monde est là. Anaïs est là, Jimmy est là, tout le monde est là, c'est putain d'incroyable. Justine me manque.
- Final song.
- Clairement, la suite.
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vabazeri · 8 months
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Jour 24
Ouais ouais je sais, ça fait un moment. En vrai, j'avais pas trop le moral de vous racconter quoi que ce soit, eh puis, j'en ai un peu marre de vous raconter au final, toujours la même choses...
Bon, j'vous fait un mini bilan quand même : ça va, il est toujours gentils et cash, il est "jaloux" ou "inquiet" je sais pas trop comment le qualifié mais il a eu mal sur un truc à la con concernant un autre homme en jeu, et j'ai eue de la peine pour lui aussi alors j'ai tout stopper, il est très présent attentionné et... Bah j'ai la dalle voilà. La seule question que je me pose en ce moment (et depuis qu'il est malade et que ça traîne) c'est qu'il a vraiment pas l'air mal l'aise avec la gentillesse et l'attention, je me demande s'il a déjà eu quelqu'un qui s'est vraiment inquiéter de lui, qui a déjà fait preuve de gentillesse sans rien attendre en retour...
À part ça, aujourd'hui j'ai un peu de nouveau si je puis dire.
J'ai quitter le boulot si prometteur et si bien payé ! Ouais, j'me suis barré et en vrai, la raison est simple, j'ai pas tant besoin de gagner autant. En fait, à la réflexion, j'aurais peut être jamais à m'occuper de qui que ce soit à part moi et mes animaux alors autant ne pas ce fatigué pour rien.
J'avais envie d'un boulot chill, un truc de bureau pour une fois, de la paperasse à faire, un truc ou j'ai la même choses en boucle à faire, de la routine quoi pour pouvoir rentrée à heure fixe et passé du temps à autre chose en fait. J'avais envie de passer mes soir en jeu et en live surtout.
En rp, baaah, pareil, des hauts et des bas en fait. Y avait des trucs qui me faisait vraiment plaisir, j'adorais jouer avec les membres de mon secteur (enfin presque) mais je supportais de moins en moins certaines choses et les émotions liées avec que j'avais du mal à contenir genre la colère, la jalousie ou même pire, la méprise.
À côté, j'ai profité à fond de mon temps de maladie et de recherche de nouveau taff, j'ai beaucoup streamer et pas forcément que du rp, j'ai jouer et dessiné, j'ai ENFIN pu passé chez le coiffeur (et putain ça fait du bien !) j'ai récupéré des logiciels et diverses choses que je ne pouvais pas avec Red et qui me donnaient la sensation de me récupérer moi même. Bon, j'avais pas récupéré toute mes affaires chez lui encore et au fond, je me disais que je les récupérerai probablement jamais ...
Niveau santé c'était pas dingue dingue il faut avoué MAIS je retenais quand même une choses qui me rendait vraiment fière : je n'étais plus sous traitement ! Et surtout, je n'en sentais plus le besoin réel !
Ouais alors OK, on va remettre les choses à plat, je faisait parfois des chutes de morale impressionnante et partant de rien mais, en vrai, c'était de plus en plus rare et j'arrivais à gérer à peut près. (et puis putain, je peu de nouveau boire et manger du pamplemousses ! Et juste ça, ça a pas de prix !) J'arrivais aussi à sortir de plus en plus, j'avais récupéré un semblant de corps qui m'appartenait et le regard des autres commençait à ne plus peser si lourd. C'était un sacré boulot mais je m'en sortais, je me battais et c'était le plus important.
En vrai, la vie commençait doucement à avoir une apparence "normale" eh putain... Ça fait du bien en fait !
Merci Bunny !
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