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eaujourdhui · 11 months
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Quelle que soit la tâche que vous effectuez, faites-la lentement, avec l'attention qu'elle mérite. Ne la bâclez pas pour en finir. Soyez relaxé en toute chose et portez-y toute votre attention. »
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90runes-100dunes · 2 years
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empiredesimparte · 5 months
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Europeansim Council Summit: Francesim, Iona and Pierreland play spoilsport
The 8 heads of state of Europesim met for a summit of the Europeansim Council, one of the major institutions of the Europeansim Union. The role of the Europeansim Council is to decide on the next directions of the E.U. in the coming months, and it is currently presided over by the Empire of Francesim for 6 months.
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Official photograph of the Europeansim Council summit.
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H.I.M Emperor Napoléon V of the French, who presided over the meeting, wanted to impose stricter police measures throughout the EU.
The topics discussed at the diamond table focused mainly on the security of member states. As a reminder, Francesim and Iona have been the victims of attacks on their sovereigns, Emperor Napoléon IV and Queen Viviana I, in recent months. These terrorist acts raise many questions about policing and surveillance measures in the Europeansim Union. A few years ago, Pierreland also had to deal with a regicide.
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H.I.M Emperor David of Pierreland brought his country's experience of crisis management to the diamond table.
While the national security vote is being prepared everywhere in the Europeansim institutions, uncertainty remains as to the severity of the legislation. This law is likely to have a major geopolitical impact on all Europeansim countries, allowing them to strengthen or not their surveillance measures, and leading to a clear reduction in individual freedoms.
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Pierreland's proposals did not meet with unanimous approval, particularly from the heads of state in Iona and Greecesim.
Some countries, such as Greecesim, condemned these exchanges as a "terrible mistake". Queen Viviana II called for calm, proposing "reinforced surveillance" rather than fully aligning herself with the vigorous police measures proposed by the French Presidency.
From this meeting, we can only conclude that the Europeansim Council Summit will require further sessions to achieve fruitful debates. A rift between the Europesim countries is more than tangible, and is worrying the people of the E.U.
Collaboration with @funkyllama and @officalroyalsofpierreland
⚜ Traduction française
Sommet du Conseil européen : Francesim, Pierreland et Iona jouent les troubles-fêtes
Les 8 chefs d'états d'Europesim se sont réunis pour un sommet du Conseil Européen, l'une des grandes institutions de l'Union Européenne. Le Conseil Européen a pour rôle de décider des prochaines directions que prendront l'U.E les prochains mois, et est actuellement présidé par l'Empire de Francesim pour 6 mois.
Photographie officielle du sommet du Conseil Européen.
L'Empereur Napoléon V, président de la séance, a souhaité imposer des mesures policières renforcées dans toute l'U.E.
Les sujets engagés à la table losange se sont principalement concentrés sur le thème de la sécurité des états-membres. Pour rappel, la Francesim et l'Iona ont été victimes ces derniers mois d'attentats sur leur souverain, l'Empereur Napoléon IV et la reine Viviana I. Ces actes terroristes soulèvent beaucoup de questions quant aux mesures de police et de surveillance dans l'Union Européenne. On se souvient, quelques années plus tôt, que Pierreland avait également dû faire face à un régicide.
L'Empereur David de Pierreland a apporté à la table losange l'expérience de son pays en matière de gestion de crises.
Alors que le vote de sécurité nationale se prépare un peu partout dans les institutions européennes, l'incertitude demeure quant à la sévérité des textes de lois. Cette loi devrait avoir un impact géopolitique majeur sur l'ensemble des pays d'Europesim, leur permettant ou non de durcir leurs mesures de surveillance et entraînant une diminution des libertés individuelles.
Les propositions de Pierreland n'ont pas fait l'unanimité, notamment auprès des chefs d'états d'Iona et de la Grèce.
Certains pays comme la Grèce fustigent ces échanges parlant d'une "terrible erreur". La reine Viviana II appelle au calme en proposant une "surveillance renforcée" plutôt que de s'aligner totalement sur les mesures policières vigoureuses proposées par la présidence française.
De cette réunion, on peut seulement conclure que le Sommet du Conseil Européen nécessitera de nouvelles sessions pour parvenir à des débats fructueux. Une fracture entre les pays d'Europesim est plus que tangible et inquiète les habitants de l'U.E.
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claudehenrion · 3 months
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Des escouades de pieds nickelés lancés à l'assaut de ruines
J'ai eu la chance, ces jours derniers, en lisant un de mes ''quotidiens-du-matin'', de tomber sur deux textes que j'ai trouvés excellents, au point de m'en inspirer plus que largement et de soumettre des parties de leur contenu à votre curiosité, comme nous le faisons de temps en temps. L'un d'entre eux est signé par Vincent Trémollet de Villers et l'autre par Arnaud Benedetti, tous deux chroniqueurs au Figaro : la finesse de leurs analyses comme les mots choisis m'ont semblé fournir une description particulièrement juste du drame potentiel que traverse notre France.
Non seulement, affirme le premier, la politique n'est pas un jeu, mais c'est une matière sensible et dangereuse, qui peut parfois exploser dans des violences imprévisibles et inattendues. Une décision impulsive peut déchaîner des dégâts en chaîne, sans que personne ne puisse arrêter la mécanique de destruction lancée. Nous y sommes. Des ministres ''zombifiés'', des députés dépités, des conseillers désemparés : la majorité avance, exsangue, vers une bataille qu'elle ne s'attendait pas à mener, pour laquelle elle n'est pas prête, et qu'elle a de fortes chances de perdre.
A Gauche, l'esprit manœuvrier des trotskystes l'emporte sur la morale la plus élémentaire : oubliées les déclarations assassines des Insoumis sur Israël et sur Gaza, et oublié aussi l'antisémitisme d'atmosphère qui entache la Gauche radicale... Le nouveau ''Front populaire'' ne s'encombre pas de principes, il veut un maximum de circonscriptions. C'est le génie de la soi-disant ''Gauche morale'' : faire des remontrances à la terre entière, en piétinant allègrement les pseudo-vertus qu'elle professe. Mais il y a longtemps qu'il est de notoriété publique que la Gauche sait, toute honte bue, se regrouper pour se présenter ''unie'' (que ne fait-on dire aux mots !) lors des ''distribution des sièges''...
A Droite, à l'inverse, ce sont les retrouvailles avec les grandes déclarations et les querelles microscopiques, les accords signés sur un coin de table et les manifestes des caciques-à-plumes... Après des années de silence, Laurent Wauquiez s'auto-extrait de sa tanière pour se précipiter dans une bataille partisane d'arrière garde, qui est de toute façon perdue d'avance, Après des mois de présidence, Eric Ciotti scelle une alliance dans la logique des choses et de son histoire personnelle, que rejettent les galonnés mais qui enchante une majorité des électeurs et des militants... qui l'espéraient depuis longtemps. LR n'est plus qu'un petit groupe de notables déconnectés du réel. Ce mouvement, analyse Arnaud Benedetti, s'est fracturé de l'intérieur, s'encalminant dans une indécision prudente et s'immobilisant dans le vain espoir d'un rebond. Il agonise sous nos yeux, faute d'avoir choisi.
Au gouvernement, les ministres vont chercher des insultes hors sujet au plus profond d d'analogies paresseuses et absurdes : ''collaboration'' (sic ! Il faut ne pas savoir de quoi on parle, pour oser !) ''Munich'' ou ''fascisme'' (mêmes commentaires) pour dénoncer une clarification qu'Emmanuel Macron appelle depuis longtemps de ses vœux et que nous voyons se mettre en place ''en direct''. Les ''demi-habiles'' qui prétendent conseiller le chef de l'Etat se frottent les mains devant les premiers effets de cette folle décision (Raphaël Glucksmann humilié par une Gauche qui perd son honneur, et une Droite qui s'entre-déchire...), en refusant de voir que c'est eux qui sont les vraies victimes de cette partie de ''à qui perd, perd''. Il faut remonter à 1968 et à toutes ses folies pour trouver une crise d'une violence comparable, où le pire ne fait plus partie des ''impossibles''.
Le très problématique et encore plus improbable ''dépassement'' (ça veut dire quoi ?) soi-disant souhaité par Emmanuel Macron (qui ne voit là qu'un gadget pour affaiblir ses opposants !) rétrécit comme peau de chagrin, et le clivage ''Gauche-Droite'', dont il avait annoncé la fin puis proclamé le Requiem, renaît de ses cendres, mais sous une forme plus radicale et infiniment plus violente. La France, à cause de cette faute majeure, est en passe de se retrouver réduite à deux blocs solides et sauvagement hostiles l'un à l'autre, l'un sous la tutelle ombrageuse de Marine le Pen et l'autre, ballotté entre les ''plus-disants'', selon les impressions de vote plus ou moins utile ici ou là... entre lesquels coule sans direction le magma informe et ratatiné de ce qui ose encore se prétendre ''une majorité''... de plus en plus minoritaire !
En résumé, nous assistons à un face à face dans le grand bordel créé par cette décision absurde, entre, écrit Benedetti, le dernier des Mohicans (LR) qui continue à s'astreindre servilement à la ruse mitterrandienne (ruse en forme de piège vicelard, comme il l'était lui-même) du ''cordon sanitaire''... et une Gauche qui continue à se prétendre ''de gouvernement'' mais qui n'hésite pas, pour quelques sièges de plus, à s'allier avec des formations dont le degré de diabolisation (réelle, elle) est beaucoup plus nocif que celui –à peu près inexistant-- du Rassemblement national.
Le tout, au milieu d'un peuple français dont les quatre cinquièmes refusent d'écouter un seul mot de ce que tente de lui raconter un Président que plus de 80 % des électeurs rejettent, mais qui, confisquant la parole publique (pendant des heures d'ennui profond pour ceux qui n'ont pas tout de suite éteint leur récepteur), est le seul à n'avoir pas compris que, loin d'être une solution, c'est lui qui est ''LE'' problème......
H-Cl.
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chic-a-gigot · 1 year
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La Mode illustrée, no. 35, 27 août 1882, Paris. Ustensiles de table, modèles de chez Testevuide, Maison de l'Aluminium, boulevard Poissonnière, 21. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Le no. 187 est une pince à sucre en bronze d'aluminium (aluminum bronze sugar tongs), du prix de 6 fr. 50 c.
No. 526. Cuillère à confiture et fruits à l'eau-de-vie (Spoon for jam and fruit brandy): 3 fr.
No. 530. Cuillère à thé (forme russe) (Teaspoon (Russian form)): 2 fr. 25 c.
No. 171. Cuillère à sucre repercée à jours (Sugar spoon pierced with holes): 7 fr. 50 c.
No. 560. Ciseau à raisin (Grape scissors): 10 fr.
No. 214. Cuillère à punch avec manche d'ébène (Punch ladle with ebony handle): 7 fr.
No. 402. Couteau à fruits, avec manche japonais et lame en bronze d'aluminium (Fruit knife, with Japanese handle and aluminum bronze blade): 3 fr. 75 c.
No. 159. Même couteau entièrement en bronze d'aluminium (Fruit knife entirely in aluminum bronze): 3 fr. 75 c.
No. 158. Couvert à dessert en même métal (Dessert cutlery in in aluminum bronze): 5 fr.
No. 186. Pelle à tartre repercée à jours (Spatula pierced with holes): 15 fr. 55 c.
No. 173. Cuillère à verre d'eau (Glass of water spoon): 3 fr. 75 c.
No. 525. Cuillère à fraises (Strawberry spoon): 12 fr.
No. 399. Couteau à fromage avec manche d'ivoire (Cheese knife with ivory handle): 10 fr.
No. 170. Cuillère à compote (Compote spoon): 7 fr.
No. 192. Casse-noix simple ou double (Single or double nutcracker): 9 fr.
No. 185. Pelle à glace (Ice shovel): 10 fr.
No. 164. Cuillère à café grand modèle uni (Coffee spoon, large plain model): 1 fr. 50 c.
No. 676. Cuillère, à glace (Ice cream spoon): 1 fr. 75.
No. 520. Cuillère à café de forme russe (Coffee spoon, Russian form): 2 fr.
No. 720. Compotier guilloché à perle et cristal gravé (Guilloche dish with pearl and engraved crystal): 30 fr.
No. 545. Passe-thé repercé à jours (Perforated tea strainer): 3 fr.
No. 424. Surtout de table argenté avec cornet en cristal taillé (Silver table centerpiece with cut crystal cornet): 75 fr.
Nos. 410 à 413. Service à bonbons (Candy service): 15 fr.
No. 675. Sucrier de table, à pied rond avec cuillère repercée (Table sugar bowl, round foot with pierced spoon): 37 fr. 75 c.
No. 561. Pince à sucre en forme d'oiseau (très-commodé) (Bird-shaped sugar tongs (very convenient)): 7 à 9 fr.
No. 735. Cafetière Louis XVI guillochée avec deux écussons (Louis XVI guilloché coffee pot with two escutcheons): 55 à 60 fr.
No. 478. Tasse à café avec soucoupe (Coffee cup with saucer): 20 fr.
Corbeille pour milieu de table (Basket for middle of table): 200 fr.
Le luxe et l'élégance dans le service de la table ont marché d'un pas égal avec le luxe de la toilette et de l'habillement. Il serait choquant, en effet, de voir des maîtresses de maison vêtues de beaux atours, assises devant une table dressée avec incurie ou négligence. Quand on ne peut posséder des services en argent très-complet, on y supplée en employant des métaux moins coûteux. Ce que l'on recherche avant tout, c'est l'aspect soigné de la table, c'est aussi l'emploi d'objets spéciaux pour chaque usage: servir du thé ou du café dans une théière ou dans une cafetière de porcelaine est une hérésie en matière de confort élégant. On a porté cette recherche dans tous les détails. Pour les fruits à l'eau-de-vie et pour les confitures, on a fabriqué des petites louches microscopiques, cuillères rondes pareilles à celles que l'on emploie pour servir le potage. On a des cuillères à compotes, des pelles à tartes, des cuillères à sucre, à punch, à verre d'eau, etc., et beaucoup d'etc., ainsi que nos abonnées pourront s'en convaincre en examinant la collection d'ustensiles de table que nous plaçons sous leurs yeux. Les numéros du catalogue de la Maison de l'Aluminium accompagnent chaque objet, ce qui abrège les recherches et résout les doutes quant aux prix.
Luxury and elegance in the service of the table have gone hand in hand with the luxury of toilet and clothing. It would indeed be shocking to see hostesses dressed in finery, seated before a table set carelessly or negligently. When one cannot possess very complete silver services, one makes up for it by employing less costly metals. What we are looking for above all is the neat appearance of the table, it is also the use of special objects for each use: serving tea or coffee in a teapot or in a porcelain coffee maker is heresy when it comes to stylish comfort. We carried out this research in all the details. For fruits in eau-de-vie and for jams, small microscopic ladles were made, round spoons similar to those used to serve soup. We have compote spoons, pie scoops, sugar spoons, punch spoons, glass of water spoons, etc., and a lot of etc., as our subscribers will be able to convince themselves of by examining the collection of utensils that we place before their eyes. The catalog numbers of the Maison de l'Aluminium accompany each object, which shortens searches and resolves doubts about prices.
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coovieilledentelle · 3 months
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A table...
Salade d'avocat, roquette, radis et mozzarella
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INGRÉDIENTS
4 belles poignées de roquette
1 avocat
10 radis violets
8 petites boules de mozzarella
1 poignée de pignons de pin
INSTRUCTIONS
Faites dorer les pignons de pin à feu moyen, dans une poêle et sans matière grasse.
Préparez ensuite les assiettes individuelles, se sera plus joli.
Déposez la roquette dans chaque assiette, puis l'avocat coupé en lamelles. Ajoutez des radis découpés en quartier, déposez quelques petites boules de mozzarella et parsemez de pignons.
Assaisonnez avec votre meilleure vinaigrette maison et le tour est joué !
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75zit · 2 years
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… Mon maître rebeux avait décidé que nous allions sortir dans un bar gay, c’est un bar qui organise des soirées à thème. Ce soir là c’était soirée kiffeurs. Bien sûr c’est lui qui avait choisi les vêtements que j’allais porter. Son choix s’était arrêté sur un ensemble survet en cuir vegan, avec un jock strap, des cho7 blanches Lacoste que je portais par dessus l’élastique du bas du pantalon, qui était remonté au dessus de mes chevilles, et ma paire de TN noires. Sous la veste du survet il avait décidé que je ne mettrai rien d’autres qu’un harnais, qu’il voulait que tout le monde voit en ne remontant pas le zip jusqu’en haut.
Quand nous sommes arrivés au bar, l’endroit était gavé de monde, tous sappés dans le thème de la soirée. Je passais devant pour créer un passage à mon maître qui était collé juste derrière moi. Si je suis son soumis à dispo en privé, quand on sort, il me traite face aux gens comme son copain ou un pote en fonction des circonstances.
On est arrivé au bar pour commander un verre et ensuite on s’est frayé un chemin parmi la foule.
Il salua quelques connaissances et trouva un groupe de potes qui étaient installés à un table.
On s’est installés avec eux mais comme il n’y avait qu’une seule place de libre, mon maître s’asseya et me dit de m’asseoir sur lui.
Je kiffes quand il me considère comme son copain et qu’on a des attitudes de couple.
La soirée se passait, on discutais avec ses potes lorsqu’il me dit à l’oreille : « j’ai envie de toi salope, j’ai mon zob bien raide qui se frotte contre ton boule, j’ai envie de te pénétrer maintenant ».
Bien sûr ses paroles m’ont chauffé direct surtout que d’être à califourchon sur lui me donnait envie aussi de me faire ken.
Le pantalon de survet qu’il avait choisi a, en plus de la matière qui est kiffante, une autre particularité bien hot : il a un double zip devant et derrière.
Lui avait choisi de mettre un débardeur blanc qui marque bien sa musculature, une veste de survet adidas chile62 et un bermuda en jean un peu destroy avec des AM90 aux pieds.
Il me dit : « soulève toi un petit peu que je bouge ma queue qui est coincée ». Bien sûr c’est ce que je fît et me réinstalla sur lui quelques secondes après.
Il m’avais tiré par les hanches vers lui de façon à être maintenant assis juste au dessus de son zob que je sentais en effet raide et bien dur.
Tout en continuant à parlait avec le groupe, je sentais qu’il commençait à baisser la fermeture éclair arrière de mon survet mais ne pouvait pas le faire en entier. Là j’ai compris : il voulait que je m’assois sur sa queue bien raide, devant tout le monde, sans que personne ne s’en rende compte et continuer à faire semblant de rien. Le bar était tellement full que personne ne s’en serait aperçu. Je décidais alors de l’aider dans son entreprise, me souleva à peine et discrètement passa ma main sous la table de façon à attraper la tirette du zip et l’ouvrit entièrement.
Je me suis calais à nouveau contre mon maître et doucement tira sur les côtés de mon pantalon de façon à ce que l’ouverture de la fente arrière s’écarte bien. Je pouvais maintenant sentir sa tige bien raide contre la raie de mon boule. J’en avait le vertige et des bouffées de chaleur. Il me dit à nouveau à l’oreille « soulevé toi encore un peu discrètement, fais en sorte que que personne ne remarque rien, je vais te foutre ma grosse queue de rebeux dans ton cul de salope et tu vas t’empaler dessus ». Putain j’avais vu juste, il voulait m’enculer devant tout le monde. Waouh j’en pouvais plus d’excitation. Je me suis donc soulevé discrètement comme si je cherchais quelque chose dans la poche de mon pantalon. Lorsque je sentis son gland contre mon trou bien ouvert, je me suis délicatement assis : fuck mon maître était entrain de me bzer devant tout le monde au milieu d’un bar sans que personne ne s’en aperçoive.
Je kiffais ma race, je sentais des petits coups sec dans ma chatte pendant que nous continuions à discuter. Nous avons continué comme ça pendant un bon moment, tantôt c’est moi qui bougeait mon boule, tantôt lui m’attrapait par les hanches ou passer sa main dans mon dos, sous la veste pour attraper le harnais et tirais à fond pour me niker bien profond. J’étais en extase d’avoir la teub de mon maître dans le boule tout en ayant l’air de rien devant ses amis. Et le plus excitant encore c’était quand de temps en temps il me susurrait des choses à l’oreille comme « Tu la kiff sale tapette la queue de ton maître et te faire bzer devant tout le monde » ou « je vais te féconder sale chienne comme une pute au milieu du bar »… putain c’est clair que je kiffais ça….
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... My Arab master had decided that we would go out to a gay bar, it's a bar that organises theme parties. That evening it was a kiffeurs evening. Of course it was he who chose the clothes I was going to wear. His choice had been decided on a vegan leather overcoat set, with a jock strap, Lacoste white soxs that I wore over the elastic at the bottom of the pants, which was raised above my ankles, and my pair of black TN. Under the overcoat jacket he had decided that I would put on nothing but a harness, that he wanted everyone to see by not raising the zip to the top.
When we arrived at the bar, the place was full of people, all covered in the theme of the evening. I was passing by to create a passage to my master who was stuck just behind me. If I am his submissive available in private, when we go out, he treats me in front of people like his boyfriend or a friend depending on the circumstances.
We arrived at the bar to order a drink and then we made our way among the crowds.
He greeted some acquaintances and found a group of friends who were sitting at a table.
We settled with them but as there was only one free seat, my master sat down and told me to sit on him.
I like it when he considers me his boyfriend and we have couple attitudes.
The evening was passing, we were talking with his friends when he said in my ear: "I want you bitch, I have my very stiff cock rubbing against your ass, I want to penetrate you now".
Of course his words warmed me up directly especially since riding on him also made me want to make myself fucked.
The overcoat pants he had chosen have, in addition to the material that is cheeky, another very hot feature: it has a double zip on the front and back.
He had chosen to put on a white tank top that marks his musculature well, an adidas chile62 overcoat jacket and a slightly destroyed denim bermuda shorts with AM90s on their feet.
He says to me: "lift yourself up a little while I move my cock that is stuck". Of course, that's what I did and resett down on him a few seconds later.
He had pulled me by the hips towards him so that I was now sitting just above his zob that I felt indeed stiff and very hard.
While continuing to talk with the group, I felt that it was starting to lower the back zipper of my survet but could not do it in its entirety. There I understood: he wanted me to sit on his hard dick, in front of everyone, without anyone realising it and continuing to pretend nothing. The bar was so full that no one would have noticed. I decided to help him in his business, barely lifted me up and discreetly passed my hand under the table so as to grab the zipper and opened it completely.
I fell against my master again and gently pulled on the sides of my pants so that the opening of the back slot moved away well. I could now feel his hard cock against the ray of my ass. I was dizzy and hot flashes. He says to me again in the ear "lift yourself up a little more discreetly, make sure that no one notices anything, I'm going to fuck you my big dick in your slutty ass and you'll stack yourself on it". Fuck I had just seen, he wanted to bugger me in front of everyone. Wow, I could do more excitement. So I got up discreetly as if I were looking for something in the pocket of my pants. When I felt his hard cock against my well-open hole, I gently sat down: fuck my master was bzering me in front of everyone in the middle of a bar without anyone noticing it.
It was fucking so good , I felt small dry blows in my pussy while we continued to talk. We continued like this for a long time, sometimes it was me who moved my ass, sometimes he grabbed me by the hips or passed his hand through my back, under the jacket to grab the harness and pulled hard to introduce me deep. I was ecstatic to have my master's dick in the hole while looking like nothing in front of his friends. And the most exciting thing was when from time to time he whispered things in my ear like "You like your master's dick and make you fucked in front of everyone" or "I'm going to fertilise you bitch like a whore in the middle of the bar"... damn it's clear that I liked that....
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morbidlongings-rpg · 1 year
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"According to Plotinus, ecstasy is the culmination of human possibility. He contrasted emanation (πρόοδος, prohodos) from the One—on the one hand—with ecstasy or reversion (ἐπιστροφή, epistrophe) back to the One—on the other. This is a form of ecstasy described as the vision of, or union with, some otherworldly entity—a form of ecstasy that pertains to an individual trancelike experience of the sacred or of God."
tw : rituels, meurtre, gore, langage psychophobe
Lové dans les plis de la vallée comme dans les bras d'un amant, les Green Mountains du Vermont veillent sur Falmouth comme on garderait un secret. Le campus tient toutes les promesses conjecturée par la brochure : il émerge des verdures luxuriantes tel un oasis anglican, gothique et sévère, la pierre et le lierre, la brise aromatisée au parfum des vergers ; une toile en devenir qui n'attend plus que l'automne de Nouvelle-Angleterre pour y déverser son brasier. Eux à son image et elle à la leur, les étudiants de l'université incarnent le mieux son esprit : bâtis pour l'érudition et tout particulièrement disposés à s'éventrer pour un goût d’Éternel. Ils parlent, parlent, parlent― et ils ne parlent que de ce ça. Dans les couloirs, les échos se chevauchent ; mythe et vérité fusionnent.
En exclusivité : le compte-rendu de notre rencontre avec Bill Carpenter, frère de Sam Carpenter, dont le corps sans vie a été retrouvé aux abords de sa ferme au nord de la petite ville de Falmouth, Vermont. "Une boucherie", raconte-t-il. En effet, Sam Carpenter est décédé dans des circonstances pour le moins troublantes : le médecin légiste avait à l'époque déclaré n'a avoir "jamais vu ça de [ma] carrière― un catalogue de traumatismes et de contusions, deux membres arrachés. Il est irreconnaissable." Tandis que le bureau du shérif accuse le coup, une attaque d'animal, Bill Carpenter est persuadé que les circonstances qui entourent le décès sont encore plus sinistres. "Aucun animal n'est capable d'une telle cruauté", nous dit-il. "Aucun, sauf un." Selon lui, c'est entre les murs de Falmouth College, l'université voisine à la ville, que se cache la clé du mystère ; il semblerait que Carpenter ait lui-même aperçu des "lunatiques en toges" parcourir les bois autour de sa ferme peu de temps avant le jour fatidique. Faute de preuves, et malgré l'opposition de la famille Carpenter, le bureau du shérif a classé l'affaire en juin dernier après deux ans d'enquête.
Ils parlent de transcendance. Parlent d'Absolu. D'une expérience si Sublime qu'elle aurait altéré la constitution de leurs atomes. Certains auraient été si transformés qu'il leur aurait fallu des jours entiers pour réapprendre le langage des hommes, crude et rugueux dans leurs gorges. Ils parlent d'apothéose. De festin à la table des dieux ; l'air lui-même se serait fait ambroisie. Ils en auraient été si pleins, les poumons enflés à la divinité ambrée, qu'ils auraient regardé le ciel fondre entre les doigts pour les laisser s'abreuver de la lumière des étoiles. Ils parlent d'extase. D'une euphorie comme aucune autre, si métaphysique que le temps en aurait perdu son emprise ; des saisons entières se seraient écoulées entre un clin d’œil et le suivant. Ils parlent d'existence en dehors de soi-même : ce serait comme renaître avec les yeux grands ouverts sur le monde, ne faire plus qu'un avec la fibre de sa Matière ; ce serait sentir son cœur battre sous ses pieds, primal et frénétique sous la croûte terrestre. L'entendre dans l'écorce des arbres et à travers les mouvements du ruisseau, entre les nuages comme les plus majestueux des coups de tonnerre. Ce serait comme regarder Dieu droit dans les yeux. 
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jeux-raconte · 6 months
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Festival Internationnal des Jeux de Cannes, 2024 : Troisième jour
Mieux vaut tard que jamais !
Rallyman Dirt, de Jean-Christophe Bouvier
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L'année dernière, on s'est essayés à Heat : Pedal to the metal. Et il faut avouer qu'en matière de jeu de course, il nous a laissé une forte impression positive, d'ailleurs un ami se l'est acheté et un grand prix est prévu pour bientôt ! Alors, est-ce que Rallyman Dirt tiendra la comparaison ?
J'ai un rapport compliqué avec Rallyman. Il s'agit d'une nouvelle boîte d'une licence déjà existante, avec de nouvelles mécaniques, de dérapage par exemple. La première fois que j'ai voulu tester Rallyman, c'était déjà au FIJ. Mais les gens avec qui on a joué n'ont rien écouté des règles, étaient sur téléphone ou en train de discuter pendant la partie, et ont vraiment gâché l'expérience de tout le monde. Je pense que c'est la seule fois de ma vie que je me suis levé d'une partie de jeu de société en cours et que je suis parti. Depuis, je le regarde de loin, avec envie de tester parce que le jeu m'avait parru intéressant, mais sans avoir l'occasion. Et cette année, la disposition du stand répondait parfaitement à mes craintes. En effet, le jeu était présenté sous la forme de tables de challenge solitaire, où il fallait faire le meilleur chrono sur deux circuits consécutifs, avec un classement par jour. Des tapis-bâches souples avaient été imprimées exprès, et cela rendait très bien !
Du coup même en étant deux, on a joué chacun sur son circuit et à son rythme. Le jeu a alors pris un aspect casse-tête très plaisant, où on essaie d'optimiser les trajectoires et de prendre des risques. Là où le jeu peut avoir plus d'aléatoire que Heat, c'est parce qu'il comporte des lancés de dés. On prépare la trajectoire qu'on veut faire ce tour-ci en préparant les dés que l'on va lancer sur les cases que l'on veut franchir. Les dés sont tous des dés à 6 faces et correspondent aux différentes vitesses de la voiture. Donc on commence au point mort, on met le dé de la première vitesse sur la case devant nous, puis la seconde, et ainsi de suite. Certains dés permettent de freiner fort, d'autres de conserver la vitesse actuelle. Il faut prendre les virages plus ou moins vite selon leur angle. Vient ensuite le second choix du tour : lancer les dés un par un et s'arrêter quand on a pris trop de risques, ou alors tous les lancer d'un coup et croiser les doigts pour ne pas faire de sortie de piste. Les dés ont un symbole danger, et si on en tire trois dans le tour, on sort du circuit, on repartira au point mort au prochain tour, sans doute avec des dégâts ou pénalités dans les règles "normales" du jeu.
Je me suis vraiment régalé durant cette expérience, mais elle a un côté frustrant. En effet, le plaisir vient en grande partie du fait d'avoir pu caculer comme j'en avais besoin, de jouer à mon rythme. Mais j'ai peur qu'en multijoueur, le jeu perde de ce rythme, puisque chaque joueur joue chacun son tour. On attend pas mal de temps entre deux de ses tours donc. Malgré tout, j'ai du combattre l'envie d'en refaire une partie à chaque fois qu'on passait devant le stand. Je vais donc peut-être guetter les offres d'occasion sur le jeu...
Pina Coladice, de Yann Dupont
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Petit jeu ensuite, par la taille peut-être, mais pas par le plaisir ! On a été attirés par la direction artistique du jeu, très peaufinée et à la fois colorée et chic !
Dans Pina Coladice, on essaie d'être le meilleur barman avec le plus de points avant la fin de la partie. Ou alors on gagne en découvrant la recette du mythique Pina Coladice, en alignant des pions de sa couleur sur 4 cartes du jeu. Comment place t-on des pions ? A son tour, le joueur lance les 5 dés, et un peu à la manière d'un yams, va pouvoir en garder une partie ou en relancer, jusqu'à 3 lancés en tout. Enfin, si son lancé correspond au critère de placement d'une des cartes du plateau, il pourra poser son pion dessus, si elle est libre. Par exemple, certaines cartes demandent de dépasser 26 en somme des dés, ou d'avoir une paire de deux, etc... Quand on pose des pions, on score des points, qui grosissent si on a des pions de sa couleur de façon adjacente ! Si mon lancé ne correspond à aucun critère de carte disponible, une mécanique de bonus de compensation permet de ne pas perdre son tour. Un peu de chance donc, d'opportunisme, un très beau jeu et une très chouette partie !
Volto, de Yusuke Emi
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Volto est une sorte de version moderne du Stratego. Voilà, est-ce que j'ai vraiment besoin d'en dire plus ? Oui ? Bah quoi, si on a grandi dans les années 90-2000, tout le monde connait Stratego non ?
Bon d'accord, j'explique. Dans Volto, chaque pion possède un type de déplacement inspiré des échecs et qui est imprimé derrière lui, de sorte à ce qu'un joueur voit tous les types de ses pions, mais ceux de son adversaire sont cachés. Le but est de prendre le Roi (le Doge je crois) de son adversaire, mais il existe une condition alternative de victoire : faire tomber l'adversaire deux fois dans le pièce de la maîtresse (terminologie approximative). En effet, comme aux échecs, si on tombe sur une case occupée par une pièce ennemie, on la capture. On essaie donc de deviner aux déplacement de l'ennemi quelle pièce est quel personnage. Mais le piège de la maîtresse, c'est que quand elle est capturée, elle entraîne le pion qui l'a capturé avec elle. Et si on se fait capturer sa 2e maîtresse, c'est perdu pour l'adversaire qui est tombé deux fois dans le panneau ! Du bluff, de la stratégie, du déplacement et de la déduction au rendez-vous de ce jeu assez abstrait et qui peut bien faire chauffer la cervelle !
Oasis New Hope, de Monsieur V
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(Bon, disclaimer : le jeu ne m'a pas plu, et comme j'ai attendu pas mal de temps après Cannes pour écrire le billet de blog, je vais devoir forcer un peu sur la mémoire, je m'en rappelle assez peu...)
Oasis New Hope se déroule dans un univers post-apocalyptique. Le but est de faire progresser votre expédition jusqu'à un oasis. Pour cela, il faudra jouer des cartes lieux, numérotées de 1 à 13 de mémoire, 13 étant forcément un oasis. A mon tour, je peux piocher des cartes, du paquet ou d'une défausse centrale ou commune. Mais je peux aussi dans le jeu recruter des personnages qui ont des pouvoirs par faction, cumulatifs quand j'en ai plusieurs identiques. Ou acheter des équipements, sortes de bonus disponibles en permanence à l'achat sur le côté de la table de jeu. On essaie de piocher les cartes avec les valeurs suivantes pour progresser dans son expédition jusqu'à l'oasis (j'en suis au 5, il me faut un 6, etc...). Mais même si les mécaniques fonctionnent, j'ai trouvé qu'elles grinçaient un peu dans la gestion des pouvoirs et des personnages. Mais surtout, pour un jeu qui se veut stratégique avec des pouvoirs qu'il faut bien réfléchir pour optimiser et combotter, on est au final beaucoup trop tributaires de la pioche... De bonnes idées, mais le souvenir qu'il m'en reste, c'est surtout de la frustration.
D'orge et de blé, Scott Almes
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Je trouve que les jeux qui ont une thématique autour de la bière ont toujours des traductions de titre géniales. Ici, le jeu s'appelle Beer & Bread dans la langue de Niki Minaj. Mais la palme reste quand même au jeu Heaven and Ale (des moines qui brassent de la bière, le titre original est déjà fantastique), traduit en : Le bien et le malt. Mais je digresse.
Peut-être la palme du mal de crâne du week-end, pas forcément dit négativement cela dit (pas forcément positivement non plus, je n'ai pas encore décidé...).
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Le jeu nous propose de gérer la production de pain et de bière dans un village au rythme des saisons. On jouera donc 6 grands rounds de jeu, alternant entre round faste de production, et round de misère.
Là où le jeu commence à faire mal au cerveau, c'est avec les cartes. A chaque tour, le joueur joue une carte. Mais chaque carte possède 3 zones d'effet : soit elle est jouée dans la zone de récolte, et produira des ressources AU PROCHAIN TOUR, soit elle est jouée pour la recette de pain ou de bière qu'il y a au milieu, et il faut payer les bonnes ressources pour réaliser cette recette, soit la carte est jouée pour son pouvoir en bas de la carte, qui peuvent être des améliorations passives pour les prochaines récoltes, ou des scoring de points supplémentaires pour la fin, par exemple. C'est en jouant une carte pour son pouvoir du bas qu'on déclenche également la vente des pains et bières déjà fabriquées et stockées, qui compterons donc pour le scoring final.
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Rajoutons un peu de noeuds dans la tête : lors d'un tour faste, on joue sous forme de draft. Le joueur 1 joue une carte, le joueur 2 aussi, puis on échange les mains. Et ainsi de suite jusqu'à vider les deux mains... Lors d'un tour de famine, on ne drafte pas, mais on met moins de ressources dans les champs, et les ressources qu'on peut récolter sont limitées par ce qu'il y a dans les champs. Les joueurs sont limités en ressources qu'ils peuvent stocker par leur grange, et en cas d'excédent, c'est l'adversaire qui récupère... Enfin, à la fin de la partie, on regarde pour chaque joueur son score de pain et son score de bière, et on ne garde que le plus faible des deux !
Un jeu pour deux joueurs assez expérimentés donc, avec des mécaniques de jeu vraiment sympa et qui changent, mais il faut venir avec sa boîte de cachets...
Inheritors de Jeffrey CCH et Kenneth YWN
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Commençons par le commencement : le jeu est très beau, et on a complètement été happés par son style d'illustrations !
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Le jeu a des concepts de jeu de collections assez classiques, qu'il même à de nouvelles idées sympatiques. Il existe 5 couleurs de carte dans le jeu, numérotées de 1 à 6, de plus en plus rares quand la valeur monte. A la fin de la partie, chaque joueur marque autant de point que la carte la plus forte de chaque couleur qu'il a devant lui. En effet, les joueurs se construisent tous un paquet de chaque couleur, qui doit commencer à 1 dans chaque couleur, et sur lequel on ne peut jouer que la valeur strictement suivante. On ajoute au score de fin de partie une forme de majorité sur les cartes spéciales qu'on a en main, des tomes. Et enfin d'éventuelles missions secrères qu'on peut récupérer à son tour en défaussant trois cartes de la même couleur.
Mais alors où l'originalité du jeu se trouve t-elle ? Dans le système de pioche / défausse des cartes. Pour ramasser des cartes, on peut soit défausser une carte de sa main pour en prendre deux de la pioche, soit en prendre de la défausse. Cette défausse est organisée en trois colonnes, et quand je défausse des cartes, je choisis dans quelle colonne je défausse. Mais quand je veux prendre des cartes de la défausse, je défausse d'abord une carte dans une colonne pour récupérer dans une autre colonne toutes les cartes qui ont soit la même valeur soit la même couleur que la carte défaussée...
Ajoutez à cela une petite course à la collection, puisque chaque faction/couleur possède une carte de clan, que l'on récupère en dépassant la valeur 3 dans la couleur associée, et qui me donne un pouvoir pour le reste de la partie (1 clan max par joueur), et vous avez un jeu sympa de collection, pioche et opportunisme.
Terraforming Mars : Le jeu de dés, de Jacob Fryxelius
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Encore un Terraforming mars ? Ils abusent avec leurs déclinaisons quand même. Mais imagine, ils font un roll/flip and write...
Bon d'accord, s'ils font un "& write" un jour, bien sûr que je l'achèterai... On est plutôt amateurs de TM dans notre groupe de joueur. On y a pas mal joué à sa sortie, j'ai acheté les extensions mais on y a assez peu joué au final. J'ai pris Arès Expedition dès sa sortie, et son rafraîchissement de la formule de Race for the Galaxy marchait très bien, pourtant il n'est jamais sorti autant que son grand frère. Qu'en est-il de la toute dernière mouture des frères Fryxelius ?
Alors autant j'ai commencé le jeu précédent en louant sa qualité graphique, autant ici on va se calmer tout de suite : il est aussi moche que le premier ! Ce que je ne comprends pas, c'est qu'ils avaient fait un super effort sur Ares expedition avec un design de carte et des illustrations très sympas. Mais ici, c'est retour à la case départ avec les belles photos libres de droit ou issues de banques d'images... Heureusement que ce n'est jamais pour sa qualité graphique (ou d'édition hein, aucun rangement et les cubes ressources qui s'effacent, on voit voit hein) qu'on joue à un TM.
Ici, on a affaire à une version diluée de TM classique, tant en terme de complexité qu'en terme de richesse potentielle. Attention cependant, la qualité n'en est pas forcément diluée pour autant. Ce que le jeu perd en richesse potentielle de combo de cartes, mais surtout d'interaction sur le plateau central (inexistante ici, on pose toujours des forêts, des villes et des océans, mais ils font des points immédiatement et n'appartiennent à personne ensuite), on le gagne en fluidité de jeu et en huilage des mécaniques.
A son tour, chaque joueur doit choisir entre produire ou effectuer des actions. Si il choisit de produire, il ne garde que 3 dés maximum devant lui (qui représentent les ressources qu'on a pour jouer), peut défausser des cartes et refaire sa main, mais surtout lancer autant de dés qu'il en produit actuellement, pour les ajouter à son stock de ressources.
Si au contraire il choisir de jouer, il fera d'abord une action de soutien, ou "petite action" (comme lancer un dé qu'on prend dans la réserve du jeu, ou rendre un dé à la réserve pour tourner un autre dé sur la face de son choix, ce qui permet un jeu de pondérer l'aléatoire des dés, avec les jetons joker). Puis il fera une action principale : jouer une carte de sa main en payant les ressources nécessaires, qui peuvent permettre d'augmenter ses prochaines productions de dés, ou de marquer des points, ou encore de débloquer des nouvelles actions à faire au tour d'action ; ou encore payer 3 ressources celcius pour faire monter la température, 3 gouttes pour placer un océan ou 4 feuilles pour placer une forêt. On retrouve comme dans TM les trois paramètres globaux que sont la température, les océans et l'oxygene, et une fois qu'on a terminé de faire monter deux de ces trois paramètres, cela annonce la fin de la partie.
On retrouve donc le goût de TM, le même genre de plateau, de pose de tuile et de paramètres globaux, mais aussi des missions sur lesquelles on fait la course (être le premier à avoir X cartes de la même couleur, etc...), mais vu qu'on fait des micro actions assez rapides, les tours s'enchaînent bien, on gère ses dés de ressources mais aussi les cartes dans sa main, qu'on n'hésite pas à jeter pour en chercher des meilleurs. Le jeu a moins la sensation d'un jeu de coudes pour se faire de la place à la surface, qu'une course au scoring et à l'optimisation de ses ressources. Il a déjà été sorti plusieurs soirées depuis son acquisition, et il fait son effet : un effet de reviens-y.
C'est tout pour les découvertes de cette journée là, bien sûr la journée ne s'est pas terminée comme ça, et il a bien fallu faire un peu d'Altered, re tester Terraforming Mars au logement, et faire tester Cyberion au joueur qui ne l'avait pas testé... Prochain billet : le dernier jour !
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bremser · 2 years
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Agnès Varda: Calder et 21 Feuilles Blanches, Paris 1954 & Pierre et Anne-Maria Székely posant à côté de la Table des matières (1955), assemblage en vitrine de Pierre Székely. Marcoussis, ca. 1956
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clhook · 2 years
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chercher un logement à acheter c'est aussi se rendre compte que la plupart des gens ont vraiment des goûts affreux en matière de décoration, pièce à conviction n°1 : cette sublime table mobylette
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aurevoirmonty · 8 months
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“Nous, poétesses, poètes, éditrices et éditeurs, libraires, bibliothécaires, enseignantes et enseignants, actrices et acteurs de la scène culturelle française refusons la nomination de Sylvain Tesson comme parrain du Printemps des poètes 2024.”
La tribune aux 600 signatures parue dans les colonnes de Libération est claire : pas tout le monde n’a le droit de cité dans le milieu culturel. Ce milieu, c’est le leur et ils entendent bien le garder. Quitte à incarner ce qu’ils entendent dénoncer : la réaction.
Breizh-info.com : La tribune contre le parrainage de Sylvain Tesson à la 25e édition du Printemps des poètes, qui se tiendra du 9 au 24 mars prochain, n’a pas dû vous échapper. De quoi est-elle le signe selon vous ?
Xavier Eman : De l’étonnante passion pour l’exclusion et « l’entre-soi » de tous ces braves gens qui se prétendent – et, pire encore, sont persuadés d’être – particulièrement « ouverts » et de grands chantres de la « diversité ». Ces pétitionnaires sont en réalité de parfaits schizophrènes, ils s’affirment libertaires mais n’ont de cesse que d’interdire, proscrire, écarter, dresser des listes de suspects, dénoncer les mal-pensants. Ces athées, farouches bouffeurs de curés, se comportent dans les faits comme des torquemadas de sous-préfecture, petits kapos de la nouvelle religion du « vivre-ensemble » et de « l’inclusivité », qui consiste en fait à ne tolérer de vivre qu’avec les gens qui pensent comme soi et à « n’inclure » que ses propres clones idéologiques.
Breizh-info.com : Pour justifier leur mise à l’index, les signataires reprochent très sérieusement à Sylvain Tesson d’avoir préfacé « un ouvrage de référence de l’extrême droite » à savoir, Le camps des saints de Jean Raspail. Lamentable erreur : le recueil de Jean Raspail préfacé par l’indésirable ne contient pas ce roman-là ! Il aurait suffi de lire la table des matières pour s’en assurer. Crime de lèse majesté ?
Xavier Eman : Et quand bien même l’aurait-il fait ? Où serait le crime ? « Le Camp des Saints » est-il un livre interdit, criminel, ordurier, pédophile ? Non, bien sûr, c’est simplement un ouvrage qui dérange les convictions et les certitudes de tous ces gardiens du temple du conformisme du temps. On peut comprendre que cela les agace, mais bousculer leur « confort intellectuel » (dans le sens que lui a magistralement donné Marcel Aymé) n’est pas encore un délit, même s’ils travaillent activement pour que cela le devienne.
Sylvain Tesson est un bourgeois, fils de famille, comme nombre sans doute des signataires de cette fameuse tribune de dénonciation vertueuse, mais, lui, a le mauvais goût de ne pas cracher dans la soupe, de ne pas haïr ce qu’il est et d’où il vient, de ne pas se sentir coupable de tous les maux du monde, et de profiter de son statut pour voyager, marcher, contempler, s’isoler, décrire la nature, s’en émerveiller et dénoncer les tares de la modernité qui la menacent. On pourrait, en caricaturant un peu, le voir comme comme une sorte de Yann-Arthus Bertrand de la littérature, s’il n’avait pas ce coté farouchement français, allergique au politiquement correct et à ses génuflexions obligatoires. Des crimes apparemment inexpiables pour l’armada des « poètes, écrivains, enseignants, éducateurs, bibliothécaires » qui n’aime rien plus que chasser en meute.
Breizh-info.com : Sylvain Tesson y est qualifié d’ « icône réactionnaire ». S’il y a peut-être du vrai – même s’il se définit plutôt comme un « anti-moderne », ce qui avouons-le est nettement plus classe – on est en droit de se demander : effacer les réactionnaires du panorama littéraire français ne serait-il pas un tantinet désastreux pour notre culture ? 
Xavier Eman : Toute forme de censure de la littérature sur des critères idéologiques est forcément désastreuse. L’art doit échapper aux grilles de lectures politiques. Bien sûr cela n’empêche pas les affinités et les préférences personnelles, les goûts et les couleurs… C’est tout à fait naturel, le problème commence lorsque l’on en vient à vouloir imposer ses propres appétences comme une règle morale, puis comme une obligation. Aragon et Drieu sont deux grands écrivains. Je préfère Drieu, c’est mon choix et mon droit. Je ne dénie pas pour autant à Aragon sa valeur et son importance et ne cherche pas à en dissuader ou à en interdire la lecture. C’est une attitude dont la gauche est apparemment incapable. Par ailleurs, il convient de se méfier et se défier des étiquettes, extensibles à l’infini… « Les précieuses ridicules » n’est-il pas un brûlot machiste ? Proudhon n’est-il pas un odieux antisémite, tout comme Shakespeare?
Le désir de censure est toujours une défaite de l’intelligence, un refus de l’altérité et un aveu de faiblesse.
Breizh-info.com : Outre l’intéressé, le collectif cite Michel Houellebecq et Yann Moix, tout en déplorant « la banalisation et la normalisation de l’extrême droite dans les sphères politique, culturelle, et dans l’ensemble de la société. » Cette droitisation est-elle un mythe ou une réalité ? 
Xavier Eman : C’est évidemment une vaste plaisanterie… Le monde culturel et médiatique est colonisé à 98 % par les diverses tendances de la gauche. Il suffit de se rendre dans une salle de cinéma, dans un festival de théâtre ou d’observer l’étal d’une grande librairie pour le constater. Mais les deux petits pour cent restant représentent néanmoins une insupportable atteinte à l’hégémonie absolue de cette gauche persuadée (contre tout évidence historique) que la « culture » est un domaine qui lui appartient par nature.
Par ailleurs, je dois dire que je ne vois rien de commun ni le moindre rapport entre le grand écrivain naturaliste qu’est Michel Houellebecq – sans doute le Balzac de notre post-modernité – et un pathétique histrion, aussi lâche et veule humainement que médiocre artistiquement, comme Yann Moix.
Breizh-info.com : « Nous soutenons que la banalisation d’une idéologie réactionnaire incarnée par Sylvain Tesson va à l’encontre de l’extrême vitalité de la poésie revendiquée par le Printemps des poètes. » Sort-il encore quelque talent de ces petites sauteries où règnent l’entre-soi et l’intolérance ?
Xavier Eman : Ne connaissant pratiquement pas un seul des signataires de cette tribune, je suis assez mal placé pour jauger, même de façon forcément subjective, leur hypothétique talent… Ce qui est certain par contre, c’est que la plupart des événements littéraires, en France, sont devenus des pince-fesses endogames, des séances d’auto-célébration d’un petit milieu fort satisfait de lui-même, d’autant plus que, malgré les subventions étatiques et les micros ouverts dans tous les médias du grand capital, il se croit encore « rebelle et subversif ». C’est sans doute l’aspect le plus tragi-comique de l’affaire, voir des petits fonctionnaires du ministère de la Culture, perroquets de tous les mantras les plus éculés de l’époque, s’ériger en grands défenseurs de la liberté et de l’indépendance de la littérature et de la poésie. Ces gens débitent exactement la même soupe politico-moraliste que « Plus belle la vie » mais se considèrent toujours comme des farouches révolutionnaires.
On peut penser ce que l’on veut de l’oeuvre de Sylvain Tesson et du personnage qu’il s’est forgé, que l’on est tout à fait en droit de ne pas apprécier et de critiquer, mais il est incontestable que ses livres ont un grand succès populaire (ce qui ne devrait pas être un crime pour des gens prétendument « de gauche »…), qu’ils ont ému et fait rêver un large public, et que, par ailleurs, il a rendu accessible au plus grand nombre l’un des plus grands poètes de l’histoire, à savoir Homère. Ce n’est sans doute pas aussi méritoire qu’apprendre la poterie à des migrants clandestins à la MJC de Villetaneuse, mais cela ne me semble pas devoir interdire d’être nommé parrain d’un festival de poésie (dont, accessoirement, la plupart des gens ignoraient l’existence jusqu’à cette polémique).
Breizh-info.com : La poésie, parlons-en. Et citons le texte : « La poésie ne saurait être neutre, sans position face à la vie. La poésie est en nous, elle porte nos douleurs. Elle est dans la masse. Le quotidien. L’infâme. La tendresse. La rue. L’épuisement. Le quartier. Elle est dans nos silences. Nos joies. Elle est dans nos corps broyés, nos corps souples, nos regards flamboyants et nos brèches. Dans ce qu’on a vu, mais qui ne se dit pas. Dans les souffrances de nos sœurs. Dans ce qui résiste. Elle est aussi dans le queer, le trash, la barbarie, le vulgaire.» Qu’est-ce que cela vous évoque ?
Xavier Eman : Cette définition de la « poésie » aux relents de salle des profs de collège de ZEP en vaut sans doute d’autres, mais je m’interroge un peu sur la légitimité des signataires de cette poussive dissertation à prétendre qu’elle soit la bonne et surtout la seule, exclusive de toute autre, et donc totalitaire … A ce compte là, ni Baudelaire ni Rimbaud ne sont des poètes… Par ailleurs, si la poésie peut sans doute sortir de « la barbarie et du trash » (« Là où le péché s’est amplifié, la grâce a surabondé »), pourquoi ne pourrait-elle pas également exsuder de la contemplation d’une panthère des neiges ou d’un cheminement sur des sentiers de randonnées ou de pèlerinage ?
Encore une fois, nos grands artistes ouverts sur le monde se montrent particulièrement mesquins et réducteurs. Ce sont eux les esprits étroits et bornés qui ne veulent pas voir plus loin que leurs habitudes mentales et leur horizon idéologique. Ainsi, ils affirment avec beaucoup de hardiesse et sans expliciter le moins du monde le propos que « la poésie ne saurai être neutre ». Fort bien, admettons… La poésie, selon eux, doit donc être « engagée » mais, bien sûr, dans un seul camp, le leur. Ils admettent de ce fait ne pas défendre « la poésie » mais simplement leur propre engagement.
Xavier Eman est auteur, directeur de la revue littéraire Livr’arbitre, et rédacteur en chef adjoint d’Éléments. Dans ses chroniques d’une fin de monde sans importance, il nous fait plonger dans toute l’absurdité, la perfidie et le manque de cohérence de l’individu post-moderne. Sur son blog A moy que chault !, il commente l’actualité avec le cynisme et l’humour caustique qui le distinguent. C’est donc vers lui que nous nous sommes tournés pour avoir un avis sur cette énième et déplorable “affaire”.
Propos recueillis par Audrey D’Aguanno.
Breizh-info.com
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dykeboi · 9 months
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Jean Hélion Couterne, 1904-Paris, 1987, Nature morte à la citrouille. 1948, Hulle sur toile
Une énorme citrouille trône sur une table, entourée d'autres objets du quotidien: un parapluie, un journal, une allumette, une baguette de pain, un godillot et une lettre à l'adresse du peintre. Béante, se vidant de ses graines, la cucurbitacée a perdu une tranche, tombée sur le sol. Dans un espace simplifié, gris à l'exception de la plinthe orangée, chacun des objets est cerné d'un trait sombre. Rien ne les relie, ni leur nature, ni leur matière, à l'exception de leur rôle de figure dans cette composition très orchestrée. Jean Hélion, défenseur engagé de l'abstraction dans les années 1930, retourne en 1947 vers l'art figuratif. Ce virage étonnant est mal compris dans le climat de l'après- guerre qui voit l'émergence de l'abstraction comme un signe de libération. Cette nature morte illustre les préoccupations nouvelles du peintre ébloui devant l'or ruisselant de ce légume vulgaire.
An enormous pumpkin sits on a table surrounded by other everyday objects: an umbrella, a newspaper, a match, a baguette, a shoe, and a letter addressed to the painter. Gaping and emptying its seeds, the gourd has lost a slice, fallen to the floor. In a simplified space, grey except for the orange table, each of the objects are darkly outlined. Nothing connects them, not their nature nor material, except their roles in this highly orchestrated composition. Jean Hélion, a committed defender of abstraction in the 30s, returned in 1947 to figurative art. This surprising shift was poorly understood in the climate after the war, which saw the emergence of abstraction as a sign of liberation. This still life illustrates the new interests of the painter, dazzled by the gold steaming from this common vegetable. (Pictures and translation my own)
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sacrilegious-designs · 10 months
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Référencement naturel et artiste: comment mettre en place une stratégie SEO pour les artistes
Table des Matières
L’Importance Cruciale du référencement naturel pour les Artistes dans le Monde Numérique
Qu’est-ce que le référencement naturel, et pourquoi est-il si crucial pour un artiste dans le monde numérique d’aujourd’hui?
Dans notre ère numérique, l’art ne se limite plus aux galeries et expositions physiques. Le monde digital a ouvert des portes immenses pour les artistes, leur…
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swedesinstockholm · 1 year
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15 mai
parfois je me demande pourquoi je me suis embarquée là-dedans. surtout à cause de l’argent que ça me fait dépenser, même si on sera probablement défrayées, mais je sais pas à combien. samedi dans le bus le jour de la perf on s’est pris une amende de cent francs et je m’en suis toujours pas remise. ça m’a miné le ventre toute la journée, à chaque performance que je voyais venait un moment où je décrochais pour me repasser la scène où j’ai du sortir ma carte pour payer cent francs aux tpg, cent francs bordel comment je vais faire pour les récupérer? en attendant le début de notre perf je répondais à toutes les offres de cours de luxembourgeois online de cours at home que j’ai reçues ces derniers jours dans un élan de panique, mais ils me les donnent jamais de toute façon. je déteste l’argent et je déteste la suisse. point très positif d’être à genève par contre: j’ai pas le temps de penser à r. d. ce matin au wc je regardais des vidéos de stand-up d’une humoriste américaine et dans une des vidéos elle disait qu’elle était techniquement bisexuelle, mais qu’elle préférait et choisissait activement d’avoir des relations qu’avec des femmes parce qu’elles se lavent les mains après avoir fait pipi et ça m’a fait retomber du côté gay de la bascule. et puis j’ai repensé à la conversation des ami.es de r. hier et x. disait qu’elle était trysexual et que donc elle essayait tout et s. l’égyptien disait qu’il avait d’abord été hétéro à cause de la société, puis quand il a déménagé au caire il était gay parce qu’il se sentait libre, et une fois qu’il a eu fait la paix avec ça il a de nouveau couché avec des femmes. mais il disait qu’il était d’abord attiré par l’énergie des gens et non leurs attributs sexuels et qu’en fait il s’en fout. peut être qu’on a la même sexualité. sauf que moi je peux être très excitée par la nuque d’une fille, ou un side boob, ou un bras, ou n’importe quoi.
18 mai
hier soir je suis allée à un atelier d’écriture d’élodie petit/gorge bataille de l’anthologie douteuse, j’avais vu l’affiche mardi collé sur la porte du couloir en partant de l’école et je me suis inscrite sur le champ, alors que j’aime pas des masses sa poésie et puis cette histoire de sexe omniprésent me faisait un peu peur, parce que je me suis dit et si tout le monde écrit sur le sexe parce que c’est à la mode et qu’elle nous fait écrire des trucs trash et moi je sais pas faire du trash etc. le truc qui m’a décidée à y aller c’est que dans une vidéo avec laura vazquez elle encense violette leduc et l’affamée et j’ai forcément quelque chose en commun avec les gens qui encensent violette leduc. pour le tour de table elle nous a demandé de nous présenter en citant le dernier livre qui nous avait marqué et j’ai jamais été aussi à l’aise dans un tour de table. j’ai parlé de ma passion pour eva baltasar et elle la connaissait et c’était très agréable de pouvoir partager mon enthousiasme avec quelqu’un d’autre. j’ai dit que c’était exactement ça que je voulais écrire et on a parlé de la sortie de son prochain livre et quelqu’un a dit une vraie fan! et j’ai dit ah ouais trop et ça m’a fait du bien de me retrouver avec des francophones plus ou moins littéraires, après tout ce temps passé avc r. et s. j’étais pas la seule intruse à l’atelier, y avait quelqu’un des beaux arts de paris, mais j’étais quand même la seule à ne pas être en école d’art. même élodie petit a fait les beaux arts. elle a 38 ans. je me sentais plus proche d’elle que des étudiant.es qui était tous habillé.es comme quand je suis entrée au lycée avec des gilets en coton côtelés à col montant et des baskets en cuir marron hideux et de la dentelle mélangée à d’autres matières aux couleurs moches comme crème beige et marron ou orange. je comprends pas cet engouement pour le moche, ça doit être comme un jeu, qui trouvera les habits les plus moches qui trainent au grenier ou dans les fripes, je sais pas.
on a parlé des bios et à quel point elle détestait ça parce que ça l’étouffe de se définir et d’être mise dans une case, la case queer transgressive blabla, elle disait qu’elle avait l’impression que ça voulait plus rien dire et que les mots ne voulaient plus rien dire, se définir comme gouine anticapitaliste and then what? elle disait que les seuls moments où elle avait l’impression de faire un truc vraiment politique, c’était quand elle donnait des ateliers d’écriture dans des écoles de banlieue défavorisées et qu’elle leur faisait désacraliser les auteurs classiques comme rousseau etc. on a parlé de comment ne pas trahir d’où on vient aussi, parce qu’elle vient d’un milieu populaire, et elle disait que quand elle écrivait, elle écrivait toujours de manière à ce que sa mère et sa grand-mère puissent comprendre ce qu’elle dit. moi j’ai l’impression que quand je fais des trucs d’artiste et d’écrivaine, je veux leur montrer regardez ce que je fais, je suis pas comme vous, je vis dans un autre monde, je suis une artiste. mais je sais pas, peut être qu’en fait je veux juste leur montrer que je fais quelque chose, par opposition à rien du tout. de toute façon on me demande jamais rien et tout le monde s’en fout de ce que je fais. mais j’ai quand même une espèce de fierté, quand je fais des trucs artistiques/intellectuels. même si au bout d’un moment j’ai besoin de rééquilibrer les choses et de redescendre à la mer. dans les toilettes de l’école l’autre jour en me lavant les mains j’ai pensé à l’autoroute et ça m’a donné une envie intense de faire le trajet en voiture pour y aller. même si je déteste ça.
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frenchwitchdiary · 2 years
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The Witch Wardrobe 1/2
Magie sympathique, Loi de résonnance et vestiaire symbolique : comment manifester des intentions magiques tout en s’habillant
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Introduction
Je suis tombé sur cet article, qui a fait écho à pas mal de réflexions que je me faisais depuis un moment autour de la mode et de comment se l’approprier comme un outil à des fins magiques. 
L’acte de s’habiller est tout à fait banal et à première vue tout simplement profane. Pourtant, dans d’autres cultures, plus reculées et/ou ancestrales, le vêtement avait une forte dimension symbolique : il représentait le statut social de la personne au sein de son groupe, mais pouvait aussi faire office de talisman ou de tenue rituelle (voir cet article pour en découvrir un peu plus). Notre société occidentale a, de toute évidence, perdu ce lien au sacré et au symbolique dans bien des domaines - c’est d’ailleurs pour ça je pense que de plus en plus de personnes se tournent vers la spiritualité et la magie de nos jours, pour tenter de resacraliser le quotidien, d’exorciser le banal et de lui trouver un sens, une utilité pour son propre développement personnel.
En considérant certaines lois en magie, je veux montrer ici qu’on peut tout à fait se servir de cet acte banal comme d’un outil ; un moyen pour apporter de la magie à son quotidien et manifester certaines choses dans sa réalité. L’acte de se vêtir en pleine conscience et en accordant ses choix avec ses intentions, devient alors porteur de sens et peut constituer une forme de rituel quotidien.
“Magie sympathique”, “Loi de résonnance” : piqûre de rappel
Même si en lisant ceci, vous vous dites peut-être “kezako?”, vous avez forcément déjà du en entendre parler dans votre parcours de sorcière, ou l’avez vous vous-même intuité ? C’est un peu la base de la base, parmi les “lois” (comprenez : règles de fonctionnement) de la magie, et même s’ils en existent plein auxquelles vous pouvez faire appel dans votre pratique, celles-ci sont parmi les plus connues et les plus couramment utilisées dans un rituel.
La magie sympathique, très simple d’application, réside dans le postulat suivant : “le semblable attire le semblable”. Aussi appelée Loi d’analogie, elle consiste à utiliser des similitudes pour parvenir à l’objectif recherché. Le lien matériel entre deux choses va persister une fois le contact rompu : par exemple, en agissant sur un morceau d’une personne (cheveux, ongles, fluides corporels...), on agit sur la personne elle-même. Le matériau de base du charme fera office de symbole analogique de ce sur quoi on travaille : un cheveu pour une personne, mais également un objet pour représenter telle situation de la vie. Il est important ici d’établir un lien entre l’objet ou matériau utilisé et ce que l’on souhaite atteindre, manifester ou attirer à soi.
La magie par résonnance, aussi appelée Loi de mimétisme, consiste à incarner une notion, on va la “devenir” le temps du charme/rituel pour incarner symboliquement le résultat recherché. On vient créer une projection de cette chose qu’on va incarner pour travailler dessus et opérer des changements à une dimension plus élevée. Ce type de magie repose sur le postulat que tout est constitué de parallèles entre différentes échelles, entre le microcosme et le macrocosme, et qu’en agissant sur l’un dans le cadre d’un rituel, on agira sur l’autre par la loi de résonnance/mimétisme. C’est aussi l’idée qu’on retrouve résumée dans la maxime alchimique de la Table d’Emeraude : “as above so below” : ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, le monde tangible est le reflet du monde spirituel, et agissent entre eux tels des vases communiquant.
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Du coup, à la vue de ces deux notions du travail magique, on peut en déduire qu’en travaillant sur son habillement de façon symbolique (couleurs, matières, mais aussi symbolique des parties du corps ciblées), alors on peut reproduire les effets d’un charme sur soi.
S’appuyer sur la symbolique des couleurs pour composer sa tenue
La première chose qui saute à l’esprit, c’est qu’on peut se baser sur les correspondances des couleurs pour créer sa tenue, afin de manifester une idée spécifique, un domaine ou un concept global, ce qu’on souhaite attirer dans sa vie, sur une journée spéciale - oui parce que pas besoin de faire ça tous les jours quand vous voulez vous habiller non plus, perso le matin je m’habille souvent en speed lol, ça peut être un effort/rituel à mettre en place seulement aux dates importantes à vos yeux, une sorte de petit coup de pouce magique ponctuel dans votre vie.
Je vous remet le lien qui regroupe tous mes posts sur la symbolique des couleurs (à savoir les correspondances que j’utilise, mais vous pouvez aussi avoir une interprétation plus personnelle de chaque couleur) : PAR ICI.
Exemples :
Besoin de stimuler votre éloquence ou votre calme pour une présentation à l’oral importante ? Tournez vous plutôt vers du bleu, couleur apaisante, calmante, et associée au chakra de la gorge (donc votre façon de vous exprimer). Si c’est pour palier au stress en général, juste porter une bonne dose de cette couleur de façon globale dans votre tenue peut suffire, mais si c’est pour influencer de façon ciblée votre expression personnelle, il sera alors plus judicieux de porter cette couleur près de votre cou (via un collier, écharpe, col roulé ou col de chemise, cravate, etc).
Prenons aussi l’exemple d’une paire de chaussures rouges. Le rouge est la couleur de l’ancrage (matérialisme, chakra racine), mais aussi de l’action, de l’énergie vitale. Les chaussures quant à elles sont notre intermédiaire direct avec le sol, elles évoquent l’action de marcher et symbolisent par extension le chemin de vie que l’on prend, le parcours qui nous attend. Donc avec un combo des deux, on obtient un accessoire pertinent pour manifester un ancrage solide dans la réalité et un boost d’énergie pour avancer dans la vie.
Pour maximiser l’impact d’une couleur sur votre psychisme (chromothérapie) et les qualités associées que vous souhaitez manifestez dans votre journée : osez le look monochrome, ou un camaïeu d’une même couleur.
Plus vous ferez travailler cette forme de pensée symbolique, plus vous y arriverez facilement à la longue, sans même avoir besoin de vous creuser la tête : ça deviendra petit à petit une évidence pour vous, votre pratique magique et votre mythologie personnelle.
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Sur quelle partie du corps se focus, pour quelle intention magique ?
Toujours dans l’esprit de la loi d’analogie et de résonnance, il est intéressant de penser à la symbolique de chaque partie du corps sur laquelle on va déposer le-dit vêtement ou accessoire à vocation magique.
Tête : développement du mental et des facultés cérébrales, réflexion, concentration, mais aussi protection mentale/spirituelle, vision
Cou/gorge : son expression de soi (via le langage mais aussi par l’expression artistique), capacité à faire entendre et respecter sa voix
Epaules : gestion des responsabilités, capacité à supporter quelque chose de difficile (”avoir la tête sur les épaules”, “avoir les épaules pour...”)
Bras : force et pouvoir (bras de fer, ”avoir le bras long”, capacité à tenir/porter), sens de l’effort (”à bout de bras”, “à bras le corps”), mais aussi pour symboliser son côté chaleureux et ouverts aux autres (acte d’enlacer, “à bras ouverts”, “bras dessus bras dessous” : connexion à autrui)
Mains : potentiel de création, d’action (la main = premier outil de l’homme)
Torse/poitrine : potentiel d’aimer et ressentir des émotions car siège du cœur, aussi tout ce qui est lié au souffle et la respiration (siège des poumons)
Ventre : tout ce qui nous nourrit, tout ce qui a besoin d’être décanté/digéré (par le corps mais aussi symboliquement par l’esprit), siège des émotions plus profondes (celles qui nous prennent aux “tripes”)
Dos : siège de la colonne vertébrale donc notre équilibre (vertical) et notre droiture, élévation/lien entre la terre et le ciel, pourquoi pas aussi tolérance à la fatigue (“en avoir plein le dos”)
Bassin : énergie sexuelle, instincts primordiaux, fertilité, siège de la vessie et colon donc aussi tout ce qui a besoin d’être “évacué”/rejeté/abandonné à un moment
Jambes : ce qui nous fait avancer, nous porte. Faculté de marcher, donc se mettre en mouvement (physique ET/OU métaphorique) vers l’avant
Pieds : ancrage au sol, à la réalité, équilibre (horizontal)
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En astrologie, chaque partie du corps a été associée depuis la nuit des temps à un signe du zodiaque (voir ci dessus : l’image du corps-zodiaque), lui même associé à un élément et une phrase/affirmation :
Bélier : tête, visage / feu / “Je suis” Taureau : cou, nuque / terre / “J'ai” Gémeaux : bras, mains / air / “Je pense”  Cancer : poitrine, torse / eau / “Je ressens” Lion : cœur / feu / “Je vais” Vierge : ventre / terre / “J’analyse” Balance : reins, vessie / air / “J’équilibre” Scorpion : sexe / eau / “Je crée” Sagittaire : hanches, cuisses / feu / “Je perçois” Capricorne : genoux / terre / “J’utilise” Verseaux : jambes / air / “Je sais” Poissons : pieds / eau / “Je crois”
Du coup, en fonction de l’affirmation/verbe qui décrit ce que vous voulez développer/manifester, vous pouvez aussi vous reporter aux correspondances des signes et à leur partie du corps associée pour maximiser l’impact de vos intentions.
Définir une symbolique de vos vêtements
Les matières et formes d’un vêtement ont aussi leur part de dimension symbolique.  Là où des vêtements aux formes douces et arrondies, coupes loose, tissus souples et moelleux, invitent à la douceur, au repos et au lâcher prise, des formes pointues, coupes droites et lignes anguleuses impliquent plus de discipline, de contrôle, de force et d’énergie pointée vers l’extérieur. (Voir pourquoi pas être une sorte d’armure symbolique pour se défendre, tel un cactus aux piquants acérés, contre un environnement jugé hostile...)
Des épaulettes sur une veste, visant à se donner une carrure plus large, pourrait symboliquement booster sa capacité à assurer ses responsabilités, à “avoir les épaules” pour affronter une période-challenge de sa vie qui nous fait douter de notre capacité à encaisser. 
Des matières luxueuses et délicates, finement décorées (broderies, perles, sequins, fils métalliques, etc) pourraient être utilisées comme moyen de s’attirer prospérité et bonne fortune dans le domaine financier.
Satin, tissu duveteux, mohair, cachemire deviennent des artefacts textiles pour s’attirer douceur et réconfort, pour manifester un quotidien moins rude. A contrario les matières plus rigides (cuir, jean ciré, pvc...) peuvent permettre de s’attirer plus de force, de structure, à un moment où on s’en sent dépourvu.
Dentelle, tulle, mesh (où l’on peut voir à travers le tissu) pour manifester plus de transparence et de clairvoyance à un moment où notre vision serait floue ou limitée. Les éléments tricotés peuvent aussi être mis en parallèle avec la pratique de la knot magic.
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La suite bientôt ~
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