#très mortimer
Explore tagged Tumblr posts
Audio
(Très Mortimer)
0 notes
Text
hey don't cry I love you :)
16 notes
·
View notes
Text
La BD francophone du jour est...
Date de parution en album : 1950, réédition en 1984 avec un découpage différent
Numéro et série : n°1 des Blake et Mortimer
Pourquoi c'est une BD excellente :
Un mélange de seconde guerre mondiale et de potentielle troisième guerre mondiale.
première introduction de tout le monde ! Blake, Mortimer... et Olrik, qui tue un homme dans sa première apparition (iconique, tellement lui).
le suspense ! la tension ! l'intrigue !
le style artistique est pas mal et les dialogues sont un peu longs mais très dark academia.
3 notes
·
View notes
Text
Hmh, Jeremy needs to get more books- These ones are getting boring-
Riley?- Mon.. amie..?-
Hm? What is it...
Can we.. can we talk?-
... That's surprising, but sure. About what, exactly?
The.. thing?
I have not the slightest clue what you're talking about. You're going to have to be more specific.
... [sigh]
... You wouldn't really hurt me.. would you..?-
... Ah. I see.. that thing.
[Riley sighs heavily, placing down the book she's reading.]
I would never dream of it, Kelly. You should know that by now.
I know, I-I know.. it's just.. nice to get reminded...
[Sigh]
I-I'm.. I'm sorry for avoiding you, mon amour, I just..
... I love you.. so much.. and I feel très mauvais for believing Mortimer's lies for so long...
...
...
...
... Riley?-
[Aaaaand Riley is crying]
Oh- Mon chéri, please don't cry, I-I'm sorry-!
I'm not- I-I'm fine, I just-
I just have something i-in my eye-
Oh, come here...
-Kelly & Riley
2 notes
·
View notes
Text
First episode of the month! Playing tracks from Düzer, Milkwish, Très Mortimer, Redlight, Biesmans, Fred Falke, Model Man, Yuto., Moontalk, Moby, myself and many more. Schöne Woche an alle! #DeepTureAdventure
0 notes
Text

George Benjamin. Lessons in Love and Violence. Philarmonie de Paris, 12 octobre 2023.
PARTITIONS, NOTES (AUTOMNE 2023)
1-Lessons in Love and Violence, George Benjamin/Martin Crimp. Le 12 octobre 2023, Philarmonie de Paris, dans le cadre du festival d'automne. Direction du compositeur. Mise en espace. Ce qui est frappant : l'opéra et ses effets reculent devant la musique et la simplicité des enjeux de disposition et de mise en scène. Éclatent la complexité des moyens musicaux mis en oeuvre, et la richesse et la variété instrumentale. Très belle précision de la direction, renforcée par l'extraordinaire acoustique de la salle. Exemple : les éléments de percussions qui rythment l'ensemble, très curieux, sons rares à peine perceptibles. Renforcé également : la gémellité des deux barytons (Stéphane Degout, le roi et Gyula Orendt, Gaveston, son amant) qui sont très simplement rapprochés, et comme tendrement unis, par leurs voix (scène 6, entremêlement des voix, et aussi de nombreux moments de superposition. Rares duettos). Jouer des contrastes cependant, dans une même tessiture : prouesse.
Tout est bien là-dedans : progression dramatique sans effets, par la seule musique ; le pouvoir royal (arbitraire), bien rendu, avec ses basculements tragiques : l'amour vaincu, la rigueur (compréhensible, il s'agit de sauver l'État) de Mortimer, qui se transforme en dictature ambitieuse. Aimé aussi : le jeune homme, qui devient roi en remplacement de son père. Cruel à la fin, dont le rôle s'épanouit à ce moment seulement, sans pitié pour sa mère. Joué (ténor : James Way) avec retenue (donc : glaçant). A la fin, le jeune roi a interdit la musique. Puis, théâtre dans le théâtre, on représente une conspiration, où l'amant du vieux roi apparaît comme un spectre. Le spectacle condamne la reine...Un nouveau tyran est né. Ce seront donc les mêmes jeux de pouvoirs, la même cruauté, mais l'amour en moins.
Curieux aussi : le ton grave et guerrier du cor/Dissonances des timbales/longs moments de cordes pincées/un diminuendo de castagnettes/des accès violents et emportés à la harpe (surprenant). Deux harpes/Absence de mise en scène classique opéra : excellente compréhension musicale, élucidation et exposition de chacun des personnages très bien rendues. De ce point de vue la direction de George Benjamin est détaillée, très claire.
Lent retour, très tranquille. Songeur bien sûr. Taboulé frais vers Laumière. Soirée heureuse.
2-Lohengrin. Wagner, mise en scène Kirill Sebrennikov. Opera Bastille, samedi 14 octobre 2023.
Vu il y a peu, avec Jenny, à Valence, La femme de Tchaïkovski du même Sebrennikov, précieux et maniéré, mais qui témoignait d'un univers chargé et lourd, décoratif et outré qui pouvait bien convenir à Wagner, me semblait il. Heureux d'être là, à saisir peut-être une occasion de rentrer dans Wagner, qui ne m'a jamais vraiment emballé (fatras mythologique, embardées sans joie, religiosité et grandiloquence musicale etc...). Mais ratage à peu près total, évident dès les premières scènes. Il m'a semblé que la direction d'orchestre était trop étale et ne variait pas ses effets. Pas de grâce des héros, pas de liberté face à leur destin (ils ne 'jouent' rien, donnés d'avance...Sans doute : la guerre, incessante et oppressante, ne leur laisse-t-elle pas le choix) Le choeur, par exemple, 'suit' la pièce, ne transforme rien, ne pèse sur rien. Grandeur, certes, et ampleur mélodique, mais à quoi on ne s'attache pas. Le fracas de la guerre, son décor, ses ruines, (qui ne sont pas dans le livret), insistant, emportent tout.
La mise en scène surtout est morcelante, diffractée et parfaitement envahissante. Sebrennikov nous impose trois (!) Elsa, comme démultipliées, dont deux danseuses, agitées. Simplisme des choix et décors, des oppositions : héroïnes chevelues/tondues, par exemple. Une croix lumineuse, aussi, dont notre orthodoxe ne peut se priver. Des sabres laser...La video répète les scènes, certaines projetées à l'envers. La division de l'espace, en lieux de projection distincts, force à la dispersion et heurte la réception (du chant en tout cas) : on y perd la ligne chantée, bien sûr...Ces pièces d'un appartement sont autant de cases et de cages (on rajoute même des cloisons) qui empilent les éléments dramatiques, qui dispersent le regard et l'attention, un vrai labyrinthe de points de vue. Un gros plan insistant sur un tourne disque est gênant. On a même droit à un cercle de lumière = le cercle des dieux : tout ce qui apparaît comme des artifices de remplissage, littéraux. Je ne suis pas mélomane, mais il me semblait que l'orchestre n'arrivait pas à suivre, et pataugeait. Lohengrin : héroïsme des forêts et des grands espaces, qui est ici rapetissé à de trop nombreuses scènes d'intérieur.
J'assiste au désastre sans plus prendre de notes, à partir du moment où j'ai compris ; ne prends pas la peine de vérifier que tout sombre dans les dispositifs choisis, avec constance. Le tout est écrasé par la guerre, Lohengrin en soudard de journal télévisé, épais, aux déplacements sans grâce. Mais la vidéo est charmée par un jeune homme (effet publicitaire et homoérotique). Drame guerrier, contemporain, qui oublie la légende du chevalier au cygne, dont on a perdu la jeunesse. Je suis sans doute passé à côté du Lohengrin de Piotr Beczala, dont un article confus du Monde, lu après coup, m'apprend que c'est un grand wagnérien. Regrets supplémentaires, donc.
Payé trop cher (183 €, me force à l'économie pour le reste de l'année). Regrette mon argent. Bien placé cependant.
3-La femme sans ombre, Richard Strauss, opéra de Lyon, dimanche 22 octobre 2023, mise en scène Mariusz Trelinski. Direction Daniele Rustoni. Une grande 'machine', peu montée et réduite ici à un orchestre disons...normal. Pour une musique très riche, variée, sonore et éclatante.
Le livret est mythologique, féérique, et ça éclate dès la mise en place, dès les premières notes : une gazelle, fille du roi des esprits est blessée à la chasse par l'empereur ; elle est transformée en femme, qu'il aime. Elle vit au palais, mais rêve du royaume des humains, où elle doit chercher une ombre. Mais elle doit enfanter, sinon l'empereur sera pétrifié. Tout le spectacle va être marqué par la féérie du lancement. Très beau tout au long. Atmosphère magique et mythologique, féérique donc, à quoi s'oppose le prosaïsme du monde des humains, que l'héroïne veut rejoindre. La pièce est au point de rencontre des deux mondes, décors et chants, héros et héroïnes. Le décor est tournant : parfois dépouillé et sombre chez les dieux, et au contraire sordide et encombré chez les pauvres hommes/prolos : superbe rendu de cette situation de départ, tension tenue tout au long, les deux mondes sont constamment exposés, et opposés. La mise en scène tient les deux bouts de l'intrigue.
Passer de l'autre côté du miroir, accéder à sa véritable nature, pour l'impératrice, et, pour le teinturier et sa femme, ne pas tuer, rester du côté des humains et de la vie ...Le monde des dieux est radical, c'est celui des idées, de l'idéal qui dicte sa loi ; le monde des humains est bienveillant, hésitant, mais sûr finalement de sa vraie nature. Au point de rencontre des deux monde, la tragédie, forcément. Exemple : la nourrice (Lindsay Ammann, glaçante, très dure dans les aigus), guide de l'impératrice semble être la maîtresse de la nuit, très beau rôle, voix inquiétante. En regard, de l'autre côté du miroir, la très belle voix de basse, envoutante de Barak (Joseph Wagner), prolétaire au grand coeur, magnanime et généreux : 'je ne t'en veux pas/mon coeur est joyeux/Ich zürne dir nicht/Bin freudigen Herzens' (à sa femme qui se rebelle et ne veut pas d'enfant, au premier acte)
Très beau final : Barak : 'je vais chanter la joie/comme personne ne l'a chantée/Je vais travailler/comme personne n'a travaillé' (Nun will ich jubeln/Wie keiner gejubelt/Nun will ich schaffen/wie keiner geschafft). A quoi répond l'impératrice : 'Toutes deux élues/pour jeter une ombre/Toutes deux trempées/A la flamme de l'épreuve (Schatten zu werfen/beide erwält/Beide in prüfenden/Flammen gestählt) Importance et grande beauté (très conclusive) de ce final dans mes notes, que je complète ici de la citation exacte, prise dans le programme.
Suivre Joseph Wagner, très belle voix de basse, qui emporte le reste, qui tire vers les vibrations intimes, convaincant, chaleureux. Il insiste dans le final : 'à la flamme de l'épreuve...' (sous entendu, l'épreuve du monde...) Très beau.
Impeccable ouverture de saison à Lyon. J'ai distrait ce billet de mon abonnement offert par Jenny au prochain Noël. Vif plaisir, qui dure. Voyage (train) avec Patrick Bombrun, tout à sa passion opératique. Amical.
4-La Esmeralda, de Louise Bertin, à l'opéra de Saint-Etienne, mardi 7 novembre 2023, avec Anna et Liam. Mise en scène de Jeanne Desoubeaux. Avant les Bouffes du Nord, à Paris, en décembre. Réduction de la partition à un court ensemble chambriste, bien, précis tout au long, mais insuffisant à 'porter' le drame, perdu dans un spectacle de grand guignol.
Choisi pour Hugo et Notre Dame de Paris, pour 'montrer' à Liam : grande différence avec Hansel et Gretel, même endroit, qui lui avait tant plu la saison dernière.
Rareté de Louise Bertin , femme compositrice (en 1836.) Unique livret d'opéra de Victor Hugo. Direction de Berlioz à l'époque. Bref un morceau d'histoire : on y traîne le petit fils, qui se laisse faire, volontiers.
Décevant. Manque d'ampleur et de moyens. Pas de belle voix. L'aimantation d'Esmeralda n'opère pas, sans désir objectif : Esmeralda est une jeune femme sans charme, mal sapée : on ne comprend pas le basculement de tous les hommes confrontés à sa beauté, mal rendue. Pas de grâce dans les mouvements, et pas d'envoûtement par le chant. Le viol d'Esmeralda est confus, très mal rendu (sous-vêtements couleur chair de contre-sens), avec un Phoebus bien peu dangereux, et approximatif tout au long, à la gestuelle par trop vulgaire et caricaturale. Frollo s'éjacule dessus : ça va bien comme ça.
On commence (trop long) par une cour des miracles (pauvres costumes, chorégraphie courte et confuse) qui alourdi tout le début et mélange tout : pas d'effet de contraste : laideur populacière//séduction du beau monde. On ne se relève pas de ce début laborieux. D'autant qu'une scène doublonne : une ripaille de cabaret, vraie redite. Dans les deux cas, un Quasimodo anecdotique et banal, qui ne signe pas l'amour fou du petit peuple pour une Esmeralda, dès lors sans soutien, qui sera laissée aux crimes (sexuels)(de premier degré) de Frollo et Phoebus.
On s'ennuie tous les trois, mais on décide que c'était une bonne 'sortie'...Prévu : Brundibar à Lyon, avec Liam, en mai...
0 notes
Photo









Marseille. Au MuCEM, la très intéressante expo “Pharaons Superstars” !
- Astérix et Cléopâtre
- affiche de “Cleopatra” de Joseph Mankiewicz... ressemblance troublante avec la précédente !!
- AGS Szabo - livret de partitions "Old King Tut" de William Jerome et Harry Von Tilzer - New-York, 1923
- “Blake et Mortimer - le Mystère de la Grande Pyramide”
- The Ritchie Family - “African Queens”, 1977
- cigarettes “Cleopatra" - Egypte, XXe s.
- moto "Kéops" - Oise, 1926
- machine à coudre "Néfertiti" - Egypte, 1960
- chaise avec Toutânkhamon - Le Caire, XXe s.
#Marseille#MuCEM#expo#pharaon#pharaons superstars#astérix#astérix le gaulois#astérix et obélix#astérix et cléopâtre#cléopâtre#cleopatra#joseph mankiewicz#liz taylor#ags szabo#old king tut#william jerome#harry von tilzer#parodie#the ritchie family#african queens#cigarettes#égypte#moto#kéops#machine à coudre#néfertiti#toutânkhamon#chaise
4 notes
·
View notes
Quote
L'ironie de la vie fait qu'à l'instant même Où mon encre pose les premiers mots de ce poème J'aurai tant aimé qu'elle puisse l'écouter Il y a une heure, petite maman, le ciel vient de te rappeler Sur mon t-shirt quelques larmes se dessinent J'ai vu l'abeille, la colombe, Dieu, j'ai vu les signes Ma mère a voué sa vie aux autres et les autres ont voué leur vie à eux-mêmes Lui laissant leurs chariots de peine Ses patrons, des fonctionnaires S'demandaient comment ils pouvaient stopper les actions de cette petite militante Ils l'ont assise un an et demi sous une trappe ouverte D'où tombait sans s'arrêter une pluie d'amiante Eux ont su dorer leur parapluie À cinquante ans, maman est tombée dans la maladie Elle m'a laissé ces quelques mots en héritage Alors je marche sur le champ d'honneur pour un combat véritable C'est l'économie qu'on vante et qu'on canonise Les forêts s'couchent et les animaux agonisent D'vant la télé, chacun veulent sauver la Terre Et ça pleure quand on prend dix eus' sur leur salaire Alors le poison est dans l'air, il en tue cinquante mille Mais c'est plus simple de fixer la peur sur le Covid C'qui nous arrive, c'est pas étonnant, c'est logique C'est la course poursuite où l'économie tue l'écologie J'crois toujours en Dieu si tu en doutes mais comme Ces vers l'expriment, j'ai fini d'avoir foi en l'homme Faut croire que c'est ainsi, faut croire qu'on le mérite De la toundra s'évadera la huitième plaie d'Égypte Quand je suis né, j'ai pas ri, j'ai pleuré Au fond, j'devais savoir où je mettais les pieds Un sacrifice, autel de la bêtise humaine Les insectes qu'on écrase font plus pour l'homme que l'homme lui-même Le système du capital tiendra Si les plats posés sur la table ont un partage injuste Capitalisme 2020 C'est Judas qui boit tout le vin, mange tout le pain et Jésus qui l'excuse De nos jours, on décrie des hyper-marchés Y a cinquante ans, le peuple a fait leur succès Et pour tirer les prx ils ont fait de la bouffe "chio" Comment les croire eux et leurs fausses étiquettes Bio Nous sommes responsables de cette situation On vote, on manifeste, on hait ce qui arrive On hait ceux qui arrivent, on rame à la dérive Mais la révolution s'fait par la consommation En France, santé, prévention, c'est divorce Du coup patient, client, c'est la même chose L'alimentation n'est pas c'médicament cher La sécu sera plus tard la consolation à ton cancer Combien de fois j'ai parlé au docteur vaniteux Combien de fois j'ai erré dans l'hôpital miteux Combien d'fois les miens ont subi la calamité De lutter pour leur vie en ces lieux privés d'humanité Notre médecine est à un tournant fragmenté Les docteurs fidèles à leur serment d'un côté De l'autre ceux que les labos ont transformés En associés du plus grand cartel du crime organisé Notre superbe, un homme sous stéroïde Qui ne veut pas mourir ni souffrir se shoote aux opioïdes Le dealer a une blouse blanche, un chercheur Qui ne trouve rien sur une terre de souffrance Quand tout se barre, seules comptes les intentions On peut se tromper si longtemps sans bouger d'position C'est que le plan alors diffère du remède J'pense à nos enfants, putain ! On est dans la merde Un carnaval consenti étalé sur le long terme Un bal masqué où les gamins sont déguisés pareil Un naufrage où survivent ceux qui peuvent La réussite de la répétition ratée de 2009 Des plateaux où les docteurs deviennent journalistes Et des journalistes docteurs en tenue affoliste Ca crucifie, ça juge, ça dépend qui On aimerait tout cet entrain pour Mediator et Dépakine Il n'y aura jamais d'entente Si certains cherchent le buzz et d'autres font de la science J'aurais jamais cru y assister Voir des sommités dénigrées par des amateurs matelassiers Le nul de la classe s'autoproclame génie Un peu d'ADN en commun avec les méchants terroristes Où la crème de la télé imbécile Chant de merde, la Star Academy d'la médecine Si on n'sait pas, on applique pas la mesure Dont les conséquences peuvent être la pire des choses Le mal est à venir, ce n'sera pas le virus Les perroquets ne sauront pas lier les dégâts à la cause À la vue de ces rageux athées je ris Inconscients que la peur de la mort est devenue leur Église La course au vaccin rend le monde solidaire ? Non, c'monde a faim et alimente un ver solitaire Ils veulent que pour les anciens, rien n'aille mal Et dépensent des milliards pour l'atome dans l'arsenal Les maths remplacent les mots, veulent expliquer les maux Quand ça les arrange, nos vies sont rangées dans les tableaux Lorsque ça les dérange, hop, coup d'éponge efface Les chiffres des vérités que leurs lettres voient les masques Où sont les procès ? S'il y en a pas, rideau, allez on a capté On vit avec des drogues dures légales dans l'armoire On peut insulter, menacer mais pas parler d'armoise Nos villes subissent la loi de douze salopards J'allume la télé, j'vois vociférer un cluster de connards Prise d'otage de l'émotion en live Le doute vient quand on chasse la raison pour la peur primale Portes ouvertes aux fachos, vannes ouvertes au max Arme absolue sur les terres du Xanax Monsieur l'ministre, nos mains n'arrêteront pas le sable Combien d'gens dorment dehors par ce froid ? Vous êtes irresponsables Tour de force des comploteurs Dénoncer leurs détracteurs comme des vilains complotistes Tout au long de l'histoire, tout n'est que guerres, pleures, beurs Désolé, le complot ça existe Ses pieds foulent nos corps, son destin est funeste Habillé en gentil, il s'appelle business Mensonge, arme de distraction massive Deux millions de morts, le complot ça existe On vend la guerre propre, sale, chirurgicale Chirurgie du pétrole lors d'opérations brutales Ça crie "sus à la drogue" et puis "sus au communisme" La drogue attendra, on tue les cocos contre la cocaïne Le crack dépasse les ghettos, rien ne les maîtrise Années 80 j'y étais, le complot ça existe Au mois d'mars débutèrent les analyses Aux heures de grandes écoutes ils annonçaient l'apocalypse Genre : "un million de morts c'est p't-être c'qui nous attend" Et eux alors, dis-moi, c'est pas des charlatans ? Alerte rouge au mercure, neige, à la pluie et au vent Ils font trembler les gens avec un souffle d'harmattan Un peu d'ramadan, la main sur la gégène C'est faux philosophes mènent un Milgram à grande échelle Tant de mensonges qui chacun ne croient plus en rien Chacun a sa vérité qui lui va bien Et ouais, la peur, la paranoïa sont addictives À chaque échec elles fouillent et trouvent un motif La division est telle que l'espoir est mince de recoller Notre société du verre brisé Honnêtement si t'as le temps de poster mille avis dénigrants C'est que t'en fous très peu dans ta vie des migrants Tu dis "pourquoi chez moi la Terre est vaste ?" T'y a pensé bourré à deux-cent sur l'autoroute avec ton masque Avec le masque tu porteras la veste Pour mieux la retourner quand le vent soufflera de l'Est Et Veust, j'ai encore la main sur le bouton Les porcs, les moutons, t'inquiète, j'ai leur temps d'cuisson Si c'est la mort qu'ils veulent nous éviter Un pour cent du budget de l'armement mondial suffit à sauver chaque année Huit ou neuf millions de vies En donnant accès à l'eau potable et pas contaminée Va faire accepter ça aux ploucs à carabine Les ventes de rafales ont de beaux jours en Arabie On fait un feu d'artifice en séjour mortifère La BST c'est pas Blake et Mortimer La vie, c'est pas blanc ou noir, c'est un joyeux bordel Vive la vie, l'amour la joie, car la vie c'est mortel Sur la selle qu'on chevauche le sort Combien sont morts de la mort en attendant le vaccin contre la mort ? Hypocrisie sur le visage On va aux enterrements de gens qu'on détestait pour lisser sa propre image Il me semble que beaucoup ont oublié qu'on n'est pas des ordis On ne peut pas nous réparer à souhait Dans nos pays, l'enchaînement des années belles A ancré dans les cœurs le sentiment d'être immortel Et lorsque tout bascule on dit "l'artiste est-il utile ?" Et pour traverser les épreuves la musique est trop futile Ca veut des noms pour collecter les fonds Quand ça va mal, on s'essuie les pieds sur nous comme sur un paillasson C'n'est pas nouveau, non, même pas ça m'éprouve Dans c'pays, un vrai métier, c'est un taf où on souffre Peu importe, si on coule, on filme La détresse de chacun est l'illusion d'sa couronne d'épine Il y a vingt ans les enfants du commerce ont violé la musique Le schéma s'est répété pour l'hôpital public Devant les yeux, l'unité un faux cil Dis merci aux philanthropes de la clique à Sarkozy Nos filles ne respirent plus et nos fils de respirent plus non plus Marche sur le fil, un futur de funambule J'vois le monde de main sur leurs visages On les trie, on les frappe et moi je sens qu'je m'ensauvage Parqués entre clichés, terreur et hommage Tôt ou tard déferlera un tsunami de dommage Car la France du papier est un tas de belles phrases Notre France du réel, on la subit de guerre lasse Ok, ne versons pas dans le communautarisme Les chiffres de l'INSEE sont là et l'État fait du walouisme À l'image d'un p'tit ministre mesquin Qui fait passer notre avenir bien après son destin Coincés dans un bras de fer infantile On est pas forcés d'blesser les autres pour montrer qu'on est libre Comme tous ces gens qui s'croient de gauche car Ils vont boire un coup assis au bar au milieu des noirs Et croisent ces gens tous les jours, ignorent tous d'eux Seulement, ici le loyer est divisé par deux Jusqu'au soir où ça reçoit une claque Une grosse tarte et ça passe de gauche direct à l'extrême-droite Je juge pas, enfin chacun peut changer J'suis un enfant de la violence donc un adulte de la paix Mes impôts s'évadent pas, ils restent Ouais, j'me sens plus français que tous ces chanteurs de Marseillaise Fais ton p'tit livre sur le roi du Maroc Et peu d'choses sur tes potes, qu'ont des lois et les fuck Insupportable ces leçons à l'Afrique Clientélisme.fr, bananière devient la République "Nous sommes égaux" : pipeau ; "Nous sommes frères" : pipeau "Écoutez" : pipeau ; "Considérez" : pipeau Méprisé comme un seul bloc dans la balance Y a pas égalité des chances mais fatalité d'échéances Libéraux réacs grimés en socialistes ou gaullistes Inventent des mots de merde genre "islamo-gauchistes" Si j'fais l'idiot j'réponds "athéo-fascistes" Étrange comme la guerre des pauvres garantit la paix des riches Déforestation, démantèlement d'usine Un œil sur la bourse et l'index pointé sur le crime Capitaux forgés par les travaux d'esclaves Palaces en Amérique avec en Afrique une escale Entassés dans ces rafiots, c'monde se fout d'eux On a tout pris dans leurs pays, ils doivent crever chez eux Nous on signe des contrats, on s'démène On s'en fout, on encaisse, amen, tant pis pour le Yémen Mais qui veut de l'obus ou du canon César Combien de gamins morts par jour, pourtant aucun ministre crie Allahu Akbar Comme le Cambodge, avec le temps ils digèrent Que c'monde a statufié Kissinger sans le juger Comme quoi on peut tuer quatre cent mille d'innocents Et être Nobel de la paix, décoré pour autant Les civils effrayés n'ont que faire de la théorie Ca s'appelle pas la guerre, ça porte un nom : le terrorisme Articulé des idées devient compliqué Dans ces situations où l'émotion est impliquée Et que demain, ce seront des larmes qu'on versera Oui, pour revenir ne serait-ce que là où on est aujourd'hui Je repense au pilote de la Germanwings Et à celui qui a foncé dans la foule à Nice Même colère, même folie derrière un pare-brise, suivez la flèche "Lui c'est la dépression et le bronzé là c'est Daesh" C'est la culture de nos contrées qui est en cause Où il faut faire le buzz, être quelque chose À être quelqu'un, sortir enfin de l'anonymat Où la mauvaise nouvelle dope la courbe de l'audimat Où on met ses chiottes sur Facebook, pour du vent on tweet Photos d'vacances, on scénarise sa vie On montre cette plage, on y a vu la cour Diaporama, mise en scène de notre amour, puis Mots d'insultes pour un scénario de rupture Exhibe sur YouTube un pauvre talent sans futur Et quand la dépression et la haine s'abordent Ils tuent, scénario glorieux de la mort Ne cherche pas de causes, de convictions à tout ça L'incendie se cache derrière un feu de broussailles Et tout ce qui importe, c'est que reste le nom Pour ne pas crever à la piaule, seul comme un con J'y réfléchis, ne vois pas le remède Face à une armée de cons tous centrés sur eux-mêmes Qui confondent leur vie avec le Big-Bang Inspiré par le destin de mythes de brigands Aux infos, les hooligans moi j'les ai pas vu Anglais et Russes, à Marseille criaient "ISIS où es-tu ?" Depuis des mois sur le net, ils planifiaient la bastonnade Qui devait terminer en ratonnade Ca n'fait même pas une ligne, même pas un mot Et si des gars les avait shooté, c'était Guantanamo Nous aussi on en a marre, chaque fois batailler On n'veut pas la main au fion et parler comme Tatayet Du coup, silencieux en cent-quarante caractères, j'm'exprime en rimes Avec un flot d'amour dans les artères À l'heure où le discours fasciste est banal C'n'est pas dans les stades mais à l'Assemblée qu'on nous jette des bananes Depuis les tours jumelles en 2001, l'esprit étriqué Me sachant musulman de confession me somme de m'expliquer À chaque tuerie, le téléphone sonne Comme si j'connaissais les raisons d'ce foutu boxon Les mêmes actes, différentes chroniques Joseph Kony tue en silence, sur Arte à minuit Peu à peu, on prend le siège du rival La France ignorante nous regarde comme si on priait Shiva Dans la victoire, peu importe la peau C'est dans le sport et le rêve qu'on se rallie au drapeau Je suis fatigué de chanter les mêmes problèmes trente ans Vendre un monde binaire est tentant Si on lit l'histoire en bloc, ça devient easy Artisan de notre défaite, auto-biaisés On n'fait plus rien en public, on sécurise les cœurs Et chaque seconde qu'on vit est régie par la peur C'est l'but du terroriste, non ? Effrayer Si c'est ça, on y est, on peut le dire : "les armes, elles ont gagné" Et on nous hèle comme des Français honnis Avec des mots de maîtres d'école méprisants dans les colonies Et la liste des crimes auxquels il n'y a pas d'solution À part les châtiments corporels Sans bruit aucun, loin de votre réalité Combien de potes portés en terre et que j'ai dû pleurer ? Combien de proches trop jeunes, brutalement fauchés ? C'n'est pas un pays en guerre, mais vie et mort dans les quartiers français Pour qui n'a pas vécu ça, dur de comprendre Comme de se faire contrôler au faciès sans arrêt Voilà donc le monde par le "no future" menacé Sauf que la douleur, c'est vers les autres qu'elle dirigée On ne l'inflige plus à soi, ça suscite Des futurs assassins, ex-candidats au suicide Discriminés à l'emploi, aux études aux logements Aux loisirs, au sport et à la culture Les mômes finissent par croire qu'être français n'est pas possible Et s'tournent peu à peu vers la culture des origines En même temps, par les écrans émerveillés Copies de délinquant en col blanc au pays des yéyés Les bons sentiments ont tellement été moqués Que même les plus jeunes pouffent à la lecture des mots de Guy Môquet Les mots, on nous les a volés Et les fachos, ils en ont joué Kidnappeurs de la laïcité, ils l'ont changé en laïcisme Le fondamentalisme athée Une société où eux seuls sont bien Et ceux qui croient en Dieu sont des crétins Vraie guerre d'imbéciles, je refuse d'y adhérer Comme à la mécanique brutale et sanguinaire de petits bandits ratés Il ne peut y avoir que deux camps en tout "Je suis Charlie ou ne le suit pas", mec, je suis, c'est tout Comment des blessés ont-ils pu shooter l'ambulance ? Comment un peuple si fin a pu gommer les nuances ? Changer sa vie en chronique nécrologique Avec l'esprit inondé de négativité pathologique Depuis qu'j'suis né, j'entends "on est en crise" Les anciens me disent qu'c'est pareil depuis 46 La compassion fuit, déserte les villes On retrouve la nation qui avait peur de l'an mil Face au drame, le peuple cherche des coupables Telle religion, tel élu, l'ENA est responsable Il serait sage de dire qu'il n'y a pas de parade On est libre et quand on est libre, on est vulnérable Imagine si j'disjoncte, rien n'arrêtera le massacre On me tuera mais mon arme aura craché la salve Je sais c'est navrant Consolation, l'opinion dira "il s'est radicalisé cinq minutes avant" On prend note, la ferme et subit La police n'est plus ici pour jouer au rugby Les assos sur le terrain n'ont plus un sou et le crient Aujourd'hui, la société entière en paie le prix Quel système pour s'faire entendre, je n'sais pas Aucun candidat nous ressemble, ni nous rassemble Nos vies c'est comme les feux du 31 décembre Et même si on a rien à voir on nous prie d'balayer les cendres Trois-quarts des gens croient le pays en guerre Mais la guerre c'est quand sur les têtes il pleut du fer Où sont les sages qui ont subit les méfaits nazis ? Les vieux aujourd'hui ont connu la guerre, oui, mais celle d'Algérie Sur les sujets sécurité, économie À demi-mot j'entends qu'il était bon le temps des colonies Tout est ramené au choc des civilisations Violence globale, effet d'mondialisation Le fric passe les frontières, l'info passe les frontières La drogue passe les frontières, le brut passe les frontières L'argent ne voyagera seul alors sans surprise Le sang et les larmes aussi passent les frontières En treize ans et trois présidents On a rejoint les ricains autour du globe dans le rôle du méchant On demande pas grand chose vraiment Si c'n'est que mère France aime tous ses enfants Merci d'avoir accueilli si bien les miens Quand ils ont quitté le pays alors qu'ils crevaient de faim À chaque fois que des personnes meurent, des larmes pleuvent Et nous on chante avec les tripes les couplets d'United De la paix seulement, j'ferai l'apologie Je pense juste qu'on subit le poids d'la technologie En dix ans, on a prit un siècle, c'est la gifle, l'échec Les mœurs n'ont pas réussi à suivre Les générations ne parlent pas le même dialecte J'imagine trente ans en arrière avec Internet On peut débattre et affirmer c'qu'on veut Les membres d'Action Directe auraient été mille fois plus nombreux Les politiques ne passeront pas à l'action On ne touche pas à la toile par peur du vote sanction Donc les idées tordues ont l'espace pour ramper Les intolérants du globe peuvent y gerber en paix Et chacun veut réduire tous les autres au silence Les comptes au Panama et tous leurs grands laïus en France On prend leurs minerais, "pas grave, c'est des nègres" Et ouais, notre appétit d'oiseau, c'est celui d'un aigle Avec la téléréalité ils ont vidé les têtes Avec des amalgames, ils ont vidé les cœurs Avec YouTube, Facebook, ils ont dopé l'égo Et ont comblé tout ce vide avec des mots de fachos Est-ce que ce monde va plus mal ? J'en doute, c'est que notre mal-être Et le mauvais en nous qui passe en boucle Ils tournent dans nos âmes et ce pendant des heures On entend rien des autres, juste l'écho de leur peur Assis d'vant un doc, pensées bleues, j'préfère voir des singes Que des hommes parce que j'y ressens Dieu en eux Si je meurs, c'est en aimant sans arme ni bombe J'attends toujours la fin de ce monde
Akhenaton - La faim de leur monde
11 notes
·
View notes
Audio
(Très Mortimer)
0 notes
Link
https://ift.tt/399X2El
Eh oui, encore un Blake et Mortimer! Un peu moins d’un an après le deuxième tome de La Vallée des Immortels, voici Le Cri du Moloch, qui conclut l’histoire lancée par L’Onde Septimus, lui-même suite du légendaire La Marque Jaune.
Posons déjà la base: Blake et Mortimer, c’est de la bande dessinée à l’ancienne. Un trait « ligne claire » ultra-classique, des narrations kilométriques qui, souvent, dupliquent l’action de la case et une histoire aux accents pulls pas toujours très bien assumés. Faut aimer. Moi, je suis un peu né avec, ou peu s'en faut.
Le Cri du Moloch rebondit sur la présence du vaisseau extra-terrestre sous Londres, surnommé Orpheus. Un vaisseau venu en éclaireur pour une force d’invasion, mais pas tout seul. Et, du coup, il y a un extra-terrestre survivant, le Moloch. Et ça ne va pas se passer très bien.
Je vais être honnête, je m’attendais à pire. D’abord, parce que le précédent tome des aventures de Blake et Mortimer était très moyen, pour dire le moins. Ensuite, parce qu’il fait suite à un autre album semi-médiocre.
Quelque part, j’ai l’impression que le peak-WTF est passé dans L’Onde Septimus et que Le Cri du Moloch se contente de dérouler sur cette lancée. Dit autrement, passé le choc de l’épisode précédent, le reste est plus supportable.
Il reste encore quelques scories franchement douteuses, avec des scènes d’actions très moyennes et des choix graphiques très discutables dans la taille des phylactères et des textes qu’ils contiennent. Tout ceci donne à cet album un côté un peu « amateur », par moments.

Blake et Mortimer - Le Cri du Moloch, page 6
Blake et Mortimer - Le Cri du Moloch, page 7
Cela dit, il y a aussi des bonnes idées. D’abord, l’idée de présenter les protagonistes comme des personnalités plus complexes. Le capitaine Francis Blake doit batailler contre des conspirations politiques qui cherchent à le discréditer, puis à la Raison d’État. Quant au professeur Philip Mortimer, il doit faire des choix pas toujours faciles entre la curiosité scientifique et l’éthique. Et on a également Olrik presque à contre-emploi.
Et puis l’intrigue de base, malgré son côté fumé, est réalisée avec intérêt. La traque de certains des commanditaires de tout le bazar est plutôt bien amenée et l’affrontement avec le Moloch est bien foutu.
Je réitère ce que je disais de L’Onde Septimus: cette histoire a un petit côté « La Laverie 1950 », avec Winston Churchill aux commandes qui s’amuserait sans doute beaucoup à ressusciter le SOE pour s’occuper des tracasseries inhabituelles (invasions extra-terrestres, malédictions égyptiennes, super-agents malveillants, la routine).
Cependant, si Le Cri du Moloch est dans l’ensemble agréable à lire, il me laisse aussi un net sentiment d’occasion manquée. Quelque part, je me dis qu’il faudrait carrément rebooter la série Blake et Mortimer, mettre à plat un certain nombre de trucs qui tiennent pas debout et en relier d’autres. Un Blake-et-Mortiverse, en quelque sorte (heureusement que Blake ne s'appelle pas Richard).
Mais bon, pour une série qui a plus de septante ans, il ne faut peut-être pas trop en demander, non plus.
L’article Blake et Mortimer: Le Cri du Moloch est apparu en premier sur Blog à part.
Pour soutenir Blog à part / Erdorin:
Blog à part est un blog sans publicité. Son contenu est distribué sous licence Creative Commons (CC-BY).
Si vous souhaitez me soutenir, vous pouvez me faire des micro-dons sur Flattr, sur Liberapay, sur MyTip ou sur uTip (si vous n'avez pas de sous, uTip propose également de visionner des pubs). Je suis également présent sur Tipeee pour des soutiens sur la longue durée.
2 notes
·
View notes
Audio
PIERRE MAC ORLAN •• LES SIX ÉLÉMENTS Musique : Lino Leonardi Interprète : Monique Morelli Les palais de justice Regardons, en suivant la Seine et ses ponts déjà célébrés, les fillettes des vingt quartiers qui s’en vont deux fois la semaine, un renard chauve autour du cou, avec la morgue du hibou, oiseau rebelle à l’allégresse, chez les médecins du Palais où la Main de gloire est au frais chercher franchise pour leurs fesses. Les Champs-Élysées Rien n’est encor plus détestable que les retraits des boulingrins où l’on voit errer des putains qui semblent grand’mères du Diable. Seigneur où vont en de tels lieux ces ombres dévorées au feu qui flambe à leurs tristes bouzines. Les Bilitis d’un jour sans pain se mêlent dans la limousine ronflant en douce et feux éteints. Montmartre Les bougnats bordent le cratère de ce petit mont de Vénus et chacun d’eux y désaltère Cartouche et Jenin l’Avenu. On estime ici les pucelles autant qu’un pet de veau mort-né. L’art n’a besoin de chasteté et la muse ici n’est cruelle qu’à ceux qu’elle doit restaurer. Montparnasse On y voit venir d’Amérique les yeux encore à peine ouverts sur la perversité publique les blondes girls de Mortimer. Mais sur leurs muqueuses trop neuves elle attendent de l’amour la très intime extase pour en établir enfin la preuve, les yeux cernés au point du jour. L’école militaire La Grande Roue est démolie avec ses boudoirs aériens ; la culotte rouge est bannie d’un tableau jadis quotidien ; les bobinards parés de glaces, dont Mars absorbait tous les dons, n’offrent que des décors sans fonds où les servantes se prélassent dedans leur peau bleu d’horizon. Cimetière Saint-Vincent Comme un bonbon frais dans la bouche d’un soldat blessé en juillet et le repos de qui se couche ayant pour un soir son lit fait, le charnier Saint-Vincent s’impose aux amateurs de ce quartier, mais pour ceux-ci et leurs péchés l’avenir n’est pas peint en rose. Pourtant je les crois guerdonnés. — Poésies documentaires complètes
4 notes
·
View notes
Note
Perhaps you could start by telling us what exactly was the misunderstanding about? Of course you dont have to if your uncomfortable Kelly.
[Sigh..]
So.. back at the studio.. before all this, right after the uhm.. original fire-
I had lost my arm due to the fire, but.. not entirely?- From the elbow down, it was all.. charred. I couldn't move it at all...
Of course, being her logical self, she thought it would be a good idea to.. a-amputate...-
And it hurt... ça fait très mal-
And so.. Mortimer thought it would be a good... "opportunity", for whatever reason...
He told me.. Riley wanted to hurt me... a-and that she would again, if given the chance...
Now, I-I know that she wouldn't, bien sûr! But, I just.. can't help but think back, every time I'm near her...
... I haven't spent almost any time with her ever since.. and I hate it..
I love her, I truly do, I just...
...
... I-I'm scared..
-Kelly
2 notes
·
View notes
Text
#Famille Lothario
(petit résumé de l’histoire pour @ggof19 et les autres qui prendraient tout ça en route et se sentiraient un peu perdus) (attention y’a de la lecture)
Et dire que je détestais Montsimpa... Des 3 quartiers de base, c’est pour moi le moins intéressant. Une vulgaire série télé à l’eau de rose, rien d’autre à mes yeux. J’y ai toujours joué faute de mieux, pour passer le temps, sans poursuivre bien loin l’aventure, je me lassais bien vite. Cette fois, pourtant, quelque chose a tout changé ou plutôt quelqu’un : Yelinda, qui m’a emmenée très loin...
Yelinda, c’est la petite simette née de la liaison entre Don Lothario et Sandra Gothik (Cassandra Goth pour les anglophones). Pour moi Don et Sandra n’ont rien à faire ensemble, ils sont trop différents. Ils ont rapidement rompu leurs fiançailles, puisque Don cumulait les liaisons, d’autant qu’il avait pour Désir à Long Terme d’en avoir 20 à la fois : je m’y suis attelée très sérieusement, pour m’amuser. Il a donc obtenu son aspiration platine pour le restant de ses jours.
Entretemps, Yelinda, qui est sa fille aînée, était née. Elle a d’abord grandi chez les Dourève (Dreamer) car Sandra a épousé Darren avec qui elle a eu un second enfant, un petit Gabriel. Cela dit, Don est rapidement devenu proche de sa fille. Dans le même temps, il a eu un fils, Jamie (d’abord appelé Donnie) avec Dina Caliente, qui avait épousé Vladimir (Mortimer Goth). Grâce à Simpe j’ai donné à Yelinda et Jamie le nom de Lothario.
Dans la foulée, Don a aussi eu deux jumeaux ET, garçon et fille, qu’il a rapidement confiés à Olga Teurrie (la fille alien de l’université de Zarbville) qui les élève sur sa planète. Cette expérience a laissé un mauvais souvenir à Don, pensez donc, se faire inséminer par un sim masculin... lui qui adore les femmes... quelle horreur ! Il a facilement renoncé à ces deux enfants-là.
Quand il a réalisé son désir à long terme (en buvant beaucoup d’élixir de vie), Rose est entrée dans sa vie. C’était une ravissante étudiante pnj de l’université où Lilith et Dirk étudiaient. Don l’a rencontrée en boîte de nuit puisque j’ai un mod qui permet aux étudiants de se balader dans les autres quartiers. Coup de foudre, mariage et bébé (la petite Scarlett) dans la foulée. Rose a transformé la vie de Don qui s’est assagi en sa compagnie. Leur mariage a eu lieu sur une plage de l’île Twikki, Don était en costume débraillé, c’était drôle.
Peu après, l’hôpital de la baie de Belladonna lui a proposé un poste de chef de staff car, durant sa longue vie de séducteur, Don n’a jamais cessé de grimper les échelons dans sa carrière. La petite famille a donc quitté Montsimpa pour s’établir dans ce nouveau quartier, que j’ai récemment rebaptisé Charlette-Plage. Yelinda a absolument voulu partir avec eux. Dina et Jamie ont suivi eux aussi. Dina était veuve, Don et elle sont toujours restés très liés.
Une seconde fille, Libby, est née au foyer de Don et Rose. Yelinda est maintenant mariée et maman (ça me fait drôle, moi qui l’ai vue naître...). Scarlett est à la fac (ça me fait drôle aussi...). Don vient de prendre sa retraite pour voir grandir ses petits-enfants. Jamie, lui, est un grand sportif et aussi un grand séducteur, comme son père avant lui. Il a eu des jumeaux avec sa petite amie tout en étant fiancé à une autre (je m’amuse beaucoup avec lui...).
A noter que Yelinda, Jamie et Scarlett sont, comme Don, fan de fitness. Tous trois sont du signe du Gémeaux et.... très négligés eux aussi, du genre à faire pipi sous la douche (et m... flûte).
A noter aussi que j’ai laissé tomber tout ce petit monde sept années durant avant d’y jouer de nouveau, par chance j’avais une sauvegarde du quartier en bon état. C’est donc reparti pour un tour...
Voilà !
Pour aller plus loin (les débuts de cette drôle d’histoire)
4 notes
·
View notes
Photo

51ème jour de notre #1j2sparjour de #confinement avec #LexpéditionPerdue chez #NutsPublishing. C'est un jeu coopératif de Peer Sylvester, illustré par Garen Ewing, pour 1 à 5 joueurs, à partir de 12 ans et des parties qui durent en moyenne 45 minutes. Dans ce jeu on incarne une équipe de 3 explorateurs lancée sur les traces de Percy Fawcett, dans les profondeurs de l'Amazonie, à la recherche d'El Dorado. On va alterner les journées et les soirées au cours desquelles on va explorer, affronter des rangers, faire des rencontres... etc. Le principe est qu'à tour de rôle les joueurs vont jouer une des cartes de leur main, lors des phases de jour, elles seront classées par ordre croissant. On devra alors faire des choix en commun sur la manière d'affronter chaque carte. Les cartouches de couleur jaune sont obligatoires, pour les rouges on doit en choisir un et en ce qui concerne les bleus on décide si on en fait ou pas. Le but est de parvenir à déplacer notre Meeple jusqu'à la cité d'El Dorado. Comme @luna.rela jouait pour la première fois on était en mode facile et nous avions donc 6 mouvements à faire avant de l'atteindre (contre 8 en temps normal). On a réussi à l'atteindre en un jour et demi (2 matinées et une soirée) puisque tout s'est bien goupillé, on a même croisé des dinos (la mini extension goodies). Ce jeu est vraiment très sympa et il n'est pas toujours aisé de gagner en fonction de la façon dont tourne l'expédition. Tous les dangers qui interviennent sont plausibles et auraient pu être rencontrés à l'époque, ce qui rend le jeu très immersif. Je suis très fan des illustrations qui me font penser au style de la ligne claire en bd, comme par exemple Blake et Mortimer, et colle bien à l'époque des années 30. Le jeu peut aussi se jouer en compétitif et chaque équipe essaye d'atteindre la cité en premier, avec deux chemins différents lors de chaque journée ou soirée. Chaque équipe en explore un des deux. #j2s #jeu #boardgames #gamer #boardgamers #tabletopgame #instagame #instaboardgame #boardgamephotography #brettspiel #boardgamegeek #juegodemesa #gamenight #bgg #bggcommunity #dailygamechallenge #boardgamefamily #boardgamelovers https://www.instagram.com/p/CAgDp-YhWgG/?igshid=1ogz4h2lpuswg
#1j2sparjour#confinement#lexpéditionperdue#nutspublishing#j2s#jeu#boardgames#gamer#boardgamers#tabletopgame#instagame#instaboardgame#boardgamephotography#brettspiel#boardgamegeek#juegodemesa#gamenight#bgg#bggcommunity#dailygamechallenge#boardgamefamily#boardgamelovers
2 notes
·
View notes