Tumgik
#un léger décalage
datura21 · 3 months
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Aurélie en noir et blanc ou couleur avec un léger décalage du cadrage au smartfaune.
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NOTE DE LECTURE : Triste tigre. Neige Sinno. 2023
Partant d'emblée du postulat que la littérature ne l'a pas sauvée, Neige Sinno s'engage pourtant avec beaucoup d'empathie dans l'écriture de ce texte simplement fort pour explorer toutes les possibilités de donner à lire et à comprendre l'impensable.
Cela fait de ce témoignage un récit extrêmement authentique, sensible et intelligent, où les éléments de réel : photos, plaintes, etc. et les références bibliographiques ou autres, loin d'alourdir le sujet, ouvrent la pensée par les mots cherchés et choisis, dans un léger décalage toujours au plus près de la vérité indicible, du visible et de l'invisible.
C'est à la fois une biographie, une analyse et un essai, sur son vécu de la violence et de l'écriture, toute une galerie de PORTRAITS des protagonistes de cette histoire sordide, et puis un tour de force de changer plusieurs fois de point de vue, celui de l'enfant et celui de l'adulte, de la fille et de la mère, de l'autrice et de la lectrice, de la victime et du bourreau. Et puis il y a aussi les FANTOMES, ceux du traumatisme, du silence, de la honte, de la culpabilité, de la résilience, de la conscience et du libre arbitre.
Triste tigre, elle et lui, semblables par le mal intérieur et le besoin d'amour et de pouvoir, à la différence que l'usage du langage l'empêche elle de passer à l'acte dans la violence.
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vvosgo · 10 months
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"Égaré dans les Ténèbres. Survivre dans un Monde Nocif"
Parfois, je me demande si mes pas sont trop légers pour ce monde, si mes rêves sont trop fragiles pour ses réalités. Dans ce monde parfois si dur, où la cruauté et la noirceur semblent s’imposer, il m’arrive de me sentir en décalage. Chaque jour, je me confronte à cette violence, à cette toxicité qui semble s’infiltrer partout, comme un poison insidieux. Les espoirs s’amenuisent devant la rudesse des jours, et je me demande si c’est moi qui ne suis pas taillé pour cette réalité ou si c’est ce monde qui refuse d’accueillir la douceur et la sensibilité. Les questions affluent, les doutes s’accumulent, et parfois, il devient difficile de trouver sa place dans cet univers hostile. Pourtant, au fond de moi, persiste la quête d’une lueur d’espoir, d’un refuge où la bienveillance et la compassion triomphent. Peut-être que c’est là que se cache la véritable mission : chercher, créer, ouvrir des espaces où la vie peut respirer, loin de la nocivité qui étouffe nos âmes. Vvosgo ✍️
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Écouter : l'art de se mettre en veilleuse...
Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un. D’une certaine façon, c’est lui dire : « Tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là. Je suis disponible à ta présence. Je me sens touché par ce que tu es, parce que tu dis. »
Écouter, c’est commencer par se taire. Avez-vous remarqué combien de tentatives d’échange ou de pseudo-dialogues sont remplis d’expressions du genre : « Ah oui, c’est comme moi ! » ou « Moi aussi, j’ai eu affaire à telle situation. » Cette pseudo-compréhension, qui s’approprie le dit de l’autre pour mieux le phagocyter, n’est qu’une occasion pour parler de soi, pour s’emparer du discours de l’autre et développer le sien.
Écouter, c’est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser rejoindre et peut-être transformer par l’autre. C’est accepter qu’autrui entre dans notre intimité et mette en veilleuse nos pensées, nos ressentis, comme il entrerait dans notre maison et s’y installerait un instant, s’asseyant dans notre fauteuil et prenant ses aises, en sollicitant notre attention pour lui seul.
Écouter, c’est accepter. C’est laisser tomber ce qui nous occupe pour donner son temps à l’autre. L’écoute ouverte est semblable à une promenade avec un ami. On marche à son pas, proche mais sans gêner, on se laisse conduire par lui, on s’arrête à sa discrétion, on repart avec lui, on est là pour lui. Cela s’appelle cheminer en compagnie.
Écouter, ce n’est pas chercher à répondre à celui qui se cherche, se dit ou résonne devant nous. Il convient surtout de lui permettre de s’entendre, de se reconnaître, de se retrouver dans les errances ou le labyrinthe de ses pensées. C’est refuser de penser à sa place, de donner des conseils, et même de vouloir comprendre. C’est simplement entendre.
Écouter, c’est accueillir l’autre, le reconnaître tel qu’il se définit, sans se substituer à lui pour lui dire ce qu’il doit être. Bien sûr, il y a différents niveaux d’écoute. L’écoute active sera celle qui permet à celui qui parle d’entendre ce qu’il dit. L’écoute miroir, la plus rare et donc la plus recherchée, sera inconditionnelle; elle permet de vider les trop-pleins d’amertume et de regrets. L’écoute résonance sera celle qui amplifie le dit de l’autre en restant ouvert et positif à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à celui qui s’exprime le temps et l’espace de trouver sa voie.
Écouter, ce n’est pas vouloir que quelqu’un soit comme ceci ou comme cela, c’est apprendre à se positionner silencieusement dans ce léger décalage entre ce qui est dit et ce qui est entendu.
Être attentif à quelqu’un qui souffre, ce n’est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c’est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son chemin pour s’en libérer ou continuer à la porter.
Apprendre à écouter dans cette liberté d’être, c’est l’exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos détresses, en retrouvant la part d’universel dans l’unicité de chacun.
Écouter, c’est donner à l’autre ce que l’on ne nous a peut-être jamais donné : de l’attention, du temps, une présence bienveillante. C’est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, dans notre corps, dans nos émotions. C’est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie ardente. C’est devenir un poète de l’« humanitude », qui sent le cœur et voit l’âme des choses.
À celui qui sait écouter est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure du vivant, il commence à découvrir l’infini qui vit à la fois la richesse et l’originalité de l’autre. C’est alors qu’il entrevoit combien la rencontre est source d’être et non pas d’avoir.
Jacques Salomé
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timorousghost · 1 year
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mon corps réagit à l'annonce de mon prénom. sitôt prononcé, je me retourne, mon oreille me dicte la juste direction, on s'adresse à moi, ce prénom c'est moi, je cherche la voix qui m'appelle, je me sens concernée. j'ai l'habitude de l'entendre dans la bouche des autres. en revanche, dans ma propre bouche, mon nom sonne un peu mal. comme à côté. comme à défaut. comme si j'utilisais un mot pour désigner une chose à défaut de connaître un autre mot plus approprié. comme s'il existait pour moi un mot plus approprié. c'est cet à-côté, ce léger malaise, ce décalage que j'entretiens avec mon prénom. comme avec mon pronom. et quand on me demande comment je souhaite être genré.e, je me retrouve face à un choix que je ne souhaite faire. [...] seul ce léger malaise, ce décalage entre ce qu'exprime mon corps et ce qui le nomme, me permet une marge de liberté. me permet d'exister dans le trouble.
Al Baylac, Colza, 2022.
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mabloom · 1 year
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Je me permets de reposter ce crackships, sur le précédent, j'avais oublié de rogner l'image, ce qui occasionne un léger décalage entre la superposition des gifs et c'est moche 😭 
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photos-car · 7 months
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choses-dingen · 10 months
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Un pétrole de plus en plus chahuté
En s’accordant sur une "transition hors des énergies fossiles" dont les contours manquent de clarté (cette transition étant ni contraignante, ni chiffrée), la COP28 rajoute du flou dans un marché déjà peu lisible. L’OPEP, le cartel du pétrole, a en effet annoncé début décembre une baisse volontaire de ses extractions pour soutenir les prix du baril et maximaliser les rentrées financières de ses membres. A l’opposé de cette stratégie, les extracteurs de schiste américains produisent à des niveaux records pour donner confiance à leurs investisseurs. De son côté, le Venezuela lorgne agressivement vers le Guyana pour mettre la main sur un pétrole d’excellente qualité et sortir de son marasme économique. Soubresauts avant d’atteindre son pic: la planète pétrole entre en ébullition.
Miroir des Emirats Arabes Unis
Preuve de son hégémonie et de sa puissance, le roi pétrole a projeté une image saisissante dans le ciel d’Abu Dhabi. En miroir à la COP28, l’accueil majestueux de Vladimir Poutine, survolé par les jets militaires émiratis traînant des fumigènes aux couleurs du drapeau russe, montre le décalage avec la realpolitik. Ici, pas de paroles creuses ou de vagues promesses climatiques, mais des plans concrets pour maximaliser les revenus pétroliers en 2024, et des options face à la guerre en Palestine. Quelques heures plus tard, le président russe a prolongé la discussion avec le prince Ben Salmane d’Arabie saoudite à Riyad. Et le lendemain, le président iranien Ebrahim Raïssi rencontrait Poutine à Moscou.
L'OPEP baisse ses extractions
Climat ou pas, les membres de l’OPEP+ estiment qu’en 2024, la demande mondiale de pétrole augmentera de 2,25 millions de barils par jour. Mais en attendant ce rebond, la demande mondiale va logiquement baisser, durant les mois d’hiver. Pour anticiper ce mouvement cyclique, les membres de l’OPEP+ s’accordent sur des réductions volontaires de 2,193 millions de barils par jour au moins jusqu’à la fin du premier trimestre 2024. Ensuite, les prix devraient regrimper, pour autant que la Chine ou des Etats-Unis ne sombrent pas dans une récession.
Le schiste américain explose
Dans son combat, l’OPEP+ fait face à deux concurrents féroces. Les COP sur le climat, favorables à une forte diminution de l’utilisation des hydrocarbures; et paradoxalement les records historiques d’extractions pétrolières des Américains, qui atteignent 13,2 millions de barils par jour. Grâce à de nouvelles technologies, dans les gisements de schiste du Bassin Permien, la moyenne d'extraction par forage est passée de 183 barils par jours il y a 10 ans, à plus de 1'319 cette année. Les méga fusions et acquisitions permettent une économie d'échelle. Ainsi, certains producteurs couvrent leurs coûts d'exploitation avec un baril à moins de $60 dollars. Selon l'Agence internationale de l'énergie, les États-Unis, à eux seuls, sont responsables 80 % de l'augmentation de l'offre mondiale de pétrole en 2023. Cette constatation pose également une question : que se passera-t-il quand cette manne atteindra son plateau ? Certains experts parlent d'un horizon de deux à trois ans.
Le Venezuela est intéressé par le Guyana
Plus au sud, les tensions grandissantes entre le Venezuela et le Guyana au sujet de l’Essequibo, territoire riche en pétrole, inquiètent. Le président vénézuélien Nicolas Maduro verrait d’un bon œil l’annexion de ce territoire, qui lui permettrait de faire entrer des pétrodollars dans son pays en ruine. Sur le terrain, les Etats-Unis ont annoncé des exercices militaires aériens qualifiés de «provocation» par le maître de Caracas. Comble de l’ironie, la compagnie américaine Chevron est impliquée dans le pétrole du Venezuela et ExxonMobil dans celui du Guyana. Dans les deux cas, Washington compte sur ces pétroles d’excellente qualité afin de les mélanger à son schiste bien trop léger pour en distiller du diesel ou du kérosène. La Chine et la Russie connaissent cette épine dans le pied américain, mais quelle est leur marge de manœuvre pour tourner le couteau dans la plaie ?
Tirer un maximum du pétrole
Ces mouvements stratégiques devraient résonner comme une alarme pour les économies occidentales. Depuis 2006, l’accès sécurisé et pérenne au pétrole s’étiole et la volatilité des prix déstabilise. Face à des gisements qui s’épuisent et pour assurer leur survie, les pays exportateurs vont fortement monnayer le privilège d’accéder à l’or noir. Ils le savent très bien, sans hydrocarbures, pas de croissance économique. A ce jeu-là, aucun pays ne s’est mis en position de pouvoir quitter le navire; l’accord de la COP28 sur une contribution à une transition hors des énergies fossiles aux paramètres flous et sans objectifs chiffrés en est le symbole.
Originellement publié dans le Journal Le Temps
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docnad · 1 year
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Drawing in a copy of Sempé's Un léger décalage
Birdman:  Jean-Jacques Sempé for Lee Lorenz https://attemptedbloggery.blogspot.com/2023/09/birdman-jean-jacques-sempe-for-lee.html #Sempe #JeanJacquesSempe
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voxtrotteur · 1 year
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Qui aurait pensé qu'un jet d'esquive me convertirait finalement à l'église de Path of Exile ? Je suis toujours tombé du côté de Diablo 3 dans la grande guerre entre fans d'ARPG. Path of Exile était assez amusant quand j'y plongeais un orteil, mais je n'étais tout simplement pas intéressé par sa sensation Diablo 2. Et donc j'ai plutôt enregistré mes heures d'ARPG dans Diablo 3 au rythme effréné de Blizzard. Mais après ExileCon 2023, où Grinding Gear Games a lancé de nouvelles images pour Path of Exile 2 et a révélé qu'il s'agirait d'un jeu autonome plutôt que d'une extension, je me suis intéressé à donner une autre chance à la série. Et donc, quand le studio m'a offert une chance de jouer la même démo que les participants à l'ExileCon ont joué, j'ai plongé dans l'espoir que la série cliquerait enfin pour moi. Au début, la démo de Path of Exile 2 ressemblait au Path of Exile que je connaissais déjà vaguement – ​​bien que beaucoup plus joli. Je me suis déplacé dans l'environnement avec le léger décalage caractéristique du jeu sur mes mouvements. J'ai inséré des gemmes de compétence pour que mon personnage puisse frapper certains méchants avec de nouvelles capacités plus intéressantes. Et j'ai décoré mon Moine avec l'équipement de mise à niveau loufoque de début de partie auquel nous nous attendons tous dans les RPG. Ce n'est que lorsque le deuxième boss de la démo - un énorme ver souterrain - que Path of Exile 2 m'a finalement saisi. La créature m'a frappé sur le cul en un instant lors de mes premières tentatives. Ensuite, j'ai réalisé que j'avais utilisé le nouveau rouleau d'esquive du jeu uniquement comme un outil de repositionnement plutôt que comme une véritable esquive. Sur un coup de tête, j'ai essayé de passer à travers l'une des attaques mineures du ver – qui faisait généralement suffisamment de dégâts pour réduire de près de moitié ma santé – et à ma grande surprise, mon personnage est passé à travers. Et c'est ainsi que l'homme a découvert les iframes. J'ai donc commencé à analyser les schémas d'attaque du ver. Chaque nouvelle tentative sur ce boss s'accompagnait d'un peu de progression supplémentaire, et avant longtemps, il était mort et j'avais le butin pour le prouver. Image: Jeux d'engrenages de meulage Une autre bataille de boss mettait en vedette une bête ressemblant à une chèvre sur une petite plate-forme. Alors que j'esquivais ses charges et ses coups, ses alliés me lançaient des lances depuis les falaises voisines. Et, à l'occasion, il invoquait un nombre comique de loups pour m'assaillir, me forçant à les tuer avant qu'ils ne me tuent. Il s'avère que vous êtes coincé si vous essayez d'esquiver une meute de 50 loups. J'ai dû adopter une stratégie complètement différente de celle de ma guerre rapprochée et personnelle avec le ver, mais le patron a fini par être tout aussi satisfaisant à tomber. Ces boss de Path of Exile 2 de niveau relativement bas m'ont donné un niveau d'épanouissement auquel je ne m'attendais pas d'un ARPG, car normalement une grande partie de l'expérience de combat dans des jeux comme celui-ci est basée sur l'équipement. Je ne m'attends à lutter contre un boss que lorsque je suis sous-équipé ou sous-équipé. Mais ces batailles ressemblaient beaucoup plus à battre des boss dans Elden Ring qu'à abattre des méchants dans Diablo 4 – un jeu qui partage par ailleurs beaucoup d'ADN avec Path of Exile. Path of Exile 2 m'a montré que, du moins en matière de combat, PoE et Diablo font des choses fondamentalement différentes. Tuer un grand patron dans Diablo 4 – à part peut-être Uber Lilith, le défi ultime du jeu – consiste davantage à vérifier l'équipement, à utiliser habilement vos temps de recharge et à vous précipiter dans l'arène pour préserver votre vie lorsque les choses vont mal. Mais les combats de boss de Path of Exile 2 sont des danses où vous reprenez de plus en plus la chorégraphie par l'échec et la pratique.
Et tout cela grâce au nouveau jet d'esquive, qui élève le combat d'un type loufoque s'éloignant rapidement d'un monstre fouisseur à une expérience active où la précision et l'expertise sont récompensées. En ce qui concerne le reste de Path of Exile 2, je ne peux pas dire que j'ai trouvé le gameplay minute par minute aussi engageant que les combats de boss – pas de loin, en fait. Et à ce stade, je dirais certainement que je préfère faucher des hordes d'ennemis dans Diablo 4 à Path of Exile 2. Mais un patron de Diablo ne m'a jamais eu sur le bord de mon siège comme l'a fait Path of Exile 2, et c'est plus qu'assez pour que l'attente d'un an pour la version bêta à part entière de PoE 2 semble vraiment très longue.
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martinique2023 · 1 year
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Bonjou Martinique! #lundi 15 mai 14h10#
...et bim, quand tu te prends près de 25 degrés en 8h de vol...J'ai cru à une blague: tu descends de l'avion, tu remontes un pti couloir de 20m et te voilà devant 4 tapis bagages... Comme je voyage léger cette année, je file direction la sortie, le douanier me fait un signe de la tête de passer...et hop, j étais dehors...soit un 4 min entre la descente de l'avion et la sortie: Martinique, région d'outre-mer de la France...Chaud et verdoyant... les cocotiers et les arbres du voyageur recouvrent le parking...j'adore, j'me sens déjà chez moi!Chanceuse, Marie est venue me chercher à l'aéroport...ça fait trop plaisir de se retrouver après 8 mois.Direction Rivière Salée, chez eux, pour déposer les affaires et enfiler le maillot. Puis, on rejoint Nils à la plage de Fond banane à Saint-Luce, plage de sable fin ombragée par de gros arbres: La carte postale... le pti plouf obligé, où tu crois rentrer dans une baignoire géante...( ce côté de l'île, on est dans le détroit de Sainte Lucie) et une p'te Lorraine...une bière locale. Bref, ça ne fait pas 2h que je suis arrivée et j'ai l'impression d'être déjà bien installée.Après le coucher du soleil, on rentre manger à la maison...Ba mwen an ti punch pour l'apero et au menu, patacones et christofines à la poêle...un régal!Une pte partie de makobé et au lit: avec les 6h de décalages horaires, ça fait une belle et longue journée...Je sens que cela va être un voyage riche...ch'ui trop contente..merci Marie, merci Nils!
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lignes2frappe · 1 year
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« VOODOO » DE D'ANGELO, L'ÉGLISE DE LA RELIGION SOUL
Et si le plus grand album du 21ème siècle était sorti le 25 janvier 2000 ?
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« Après Brown Sugar, D’Angelo aurait pu enchaîner directement avec une suite lambda de Brown Sugar. Il aurait pu battre le fer quand il était encore chaud et multiplier ses ventes par deux. Il aurait pu sortir un album qui sonne exactement comme Brown Sugar, réutiliser les mêmes formules, sampler des morceaux que tout le monde connaît. Le public aurait suivi sans même y réfléchir… sans même avoir besoin d’évoluer. Il n’aurait pas eu besoin de ‘faire l’effort’. »
Ça, c’est ce qu’écrit le poète Saul Williams à propos de Voodoo, le second album de D’Angelo, dans une longue note insérée dans le livret.
Porté aux nus pour son premier essai Brown Sugar qui, en 1995, alliait subtilement tradition et modernité de la musique noire américaine (de la soul des années 70 au hip hop des années 90, pour aller vite), Michael Archer, alias D’Angelo, n’a en effet pas choisi le chemin de la facilité pour revenir aux affaires.
Lorsqu’en 1997, il part s’enfermer dans les très vintage studios Electric Lady de Greenwich (là où Jimi Hendrix, les Rolling Stones et Stevie Wonder ont enregistré parmi leurs plus grands chefs-d’œuvre), il ne le sait pas encore, mais il n’en ressortira que trois ans plus tard.
En quête de sonorités nouvelles, il s’est entouré de ceux que l’on n’appelle pas encore les Soulquarians, une dream team de musiciens tous unis par leur amour immodéré de la soul – le batteur Questlove des Roots, le beatmaker J. Dilla, le claviériste James Poyser, Common, Erykah Badu, le bassiste Pino Palladino, le trompettiste Roy Hargrove…
Voodoo naît ainsi de leurs interminables sessions d’improvisation, bien souvent démarrées tard le soir autour d’un classique de James Brown, Prince ou Sly Stone.
Aux confins du live et de l’expérimentation, Voodoo peut se confondre pour les oreilles les plus paresseuses avec une collection de pistes un peu trop abstraites, tirant un peu trop en longueur (aucune ne dure moins de 4 minutes 30, plus de la moitié durent plus de 6 minutes) et ne menant nulle part.
Sauf que non. Pas du tout. C’est même exactement l’inverse.
Voodoo est un disque éminemment personnel. Non pas que D’Angelo s’y dévoile avec l’impudeur d’un rappeur élevé à la télé-réalité, mais Voodoo n’est pas un disque qui s’écoute dans une pièce remplie de monde, ni même un disque qui se réécoute sans y penser.
Voodoo c’est de la musique qui avance à son rythme, et dont la valeur tient en grande partie au lien que vous tissez avec elle.
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1. Playa Playa
Après une quinzaine de secondes de fond sonore aux relents mystiques, l’instrumentale s’assemble par touches pendant près d'une minute (un riff de trois notes qui monte en puissance, des claquements de doigts, le bruit inversé de cymbales…), tant et si bien qu’avant même que la voix de matou de D’Angelo ne se fasse entendre pour lier le tout, l’atmosphère est posée.
Aussi lancinant qu’organique, Playa Playa annonce en grande partie la suite.
Oh, et pour ce qui est de ce léger décalage entre les instruments et le beat qui donne un côté beaucoup plus humain qu’une ligne de batterie programmée sur console, l’effet emprunte au regretté J.Dilla.
Bien que non crédité au générique, ce dernier a en coulisses énormément contribué à Voodoo.
2. Devil’s Pie
Une production DJ Premier qu’accompagne un grondement de basse particulièrement addictif sur lequel le maître des lieux murmure plus qu’il ne chante les excès du rap et ses compromissions.
[Une diatribe tristement prémonitoire lorsque l’on sait le tournant que sa vie va ensuite prendre.]
Et tant pis si le texte est à peine compréhensible. Pas franchement reconnu comme un parolier d’exception, l'émotion passe par l'interprétation.
3. Left & Right (Feat Method Man & Redman)
Mélange de rap et de rnb toujours, D’Angelo continue de jouer la carte de la retenue. Sa voix se fait planante, presque fantomatique, en complet contraste avec l’énergie de ses guests alors au sommet de leur art (mais quelle entrée de Redman !).
Trop souvent étiqueté neo soul, Voodoo ne comporte pourtant que deux morceaux répondant stricto sensu aux canons du genre (Devil’s Pie et Left & Right). La suite de l’album va d’ailleurs se faire plus diverse, embrassant tous les styles de « black music » qui l’ont précédé.
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4. The Line
Ce qu’il y a d’incroyable dans la voix de D’Angelo, au-delà de la singularité de sa texture et de ses placements, c’est son mélange de force et de fragilité. Comme si malgré son assurance de façade, il évoluait constamment sur un fil.
Morceau sur la tentation de mettre fin à ses jours, The Line en est l’illustration parfaite.
5. Send It On
La toute première chanson enregistrée pour Voodoo.
Devenu père d’un petit garçon peu après Brown Sugar, D’Angelo lui dédie cette ode écrite avec sa mère et compagne d’alors, Angie Stone.
Langoureux à souhait (merci le sample de Sea of Tranquility des Kool & the Gang, merci le multitracking, cette technique de studio popularisée par Marvin Gaye et Al Green qui superpose deux prises de voix en léger décalage), Send It On est l’un des morceaux les plus « conventionnel » de l’album.
Nonobstant, l’un des préférés de beaucoup.
6. Chicken Grease
Né d’un bœuf autour de Mother’s Son de Curtis Mayfield, ce funk minimaliste se révèle extrêmement fiévreux, pour ne pas dire contagieux.
Porté par le groove, D’Angelo se laisse presque à rapper.
Qui a dit que tous les morceaux de Voodoo se ressemblaient ?
Trivia : l’expression « chicken grease » renvoie à une expression utilisée par Prince lorsqu’il souhaitait que son guitariste joue un accord de neuvième mineur sur un rythme en double croche.
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7. One Mo’ Gin
Le genre de morceau qui, s’il avait été joué deux fois plus vite, aurait allègrement tourné en radio.
S’eut été dommage, tout l’intérêt de ces six minutes velouteuses dédiées à une relation passée tenant justement au côté contemplatif de l’exercice.
Bon après, libre à chacun de préférer le rnb mièvre et sirupeux qui squattait les hauteurs des charts à la même époque…
8. The Root
Inspiré par la guitare de Jimi Hendrix, The Root ne donne toutefois pas dans le gros riff qui tâche. Les notes se font discrètes, presque complices de D’Angelo.
La donne change néanmoins dans le dernier tiers : vocaux et instruments se livrent une bataille larvée pour prendre contrôle du morceau.
À réécouter autant de fois que nécessaire pour saisir toutes les nuances de ce crescendo.
9. Spanish Joint
Nouveau changement d’humeur : les cuivres de Roy Hargrove (paix à son âme) prennent ici la relève pour frayer habilement avec les sonorités endiablées d’Amérique du Sud.
Impossible de ne pas penser à l’album Sketches from Spain de Miles Davis. Impossible également de ne pas se dire que quel que soit l’angle abordé, Voodoo prolonge un glorieux passé.
10. Feel Like Makin’ Love
Habitué des covers (Cruisin de Smokey Robinson, Your Precious Love de Marvin Gaye et Tammiu Terrell, She’s Always In Your Hair de Prince…), D’Angelo reprend le standard de Roberta Flack enregistré en 1974.
La basse y est plus lourde, l’interprétation plus féline, le rendu plus charnel… Pas dit qu’il parle du même « love »…
Un son en tête des playlists pour « flâner dans le parc » et « voir le printemps laisser place à l’été ».
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11. Greatdayndamornin’/Booty
Petit moment d’accalmie calé entre deux mastodontes de la tracklist, cette onzième piste découpée en deux parties réussit à assurer une transition en douceur sans pour autant passer inaperçue.
Agréable juste ce qu’il faut
12. Untitled (How Does It Feel)
Le titre qui grâce à son clip a permis à Voodoo de décrocher une certification platine (D’Angelo y est vu se mordiller les lèvres en tenue d’Adam, vraisemblablement en train de se faire s****), mais pas que.
Pensé comme une variation des slow jams du Prince des années 80, How Does It Feel est un petit bijou de tension sexuelle. Sept minutes d’intimité où chaque seconde participe à faire grimper la température, jusqu’à ce final tout en rugissements responsable à lui seul d’un mini baby-boom.
Pas besoin d’intellectualiser plus que ça.
13. Africa
Une ultime piste dédiée à la Terre-Mère, à Dieu et à la création.
La préférée de Questlove, et pour cause : « Africa vous procure la même sensation que Higher sur Brown Sugar. C’est une chanson qui tue, mais que vous appréhendez, car vous savez que ce sera la dernière avant un long moment. »
À sa décharge, il faudra en effet attendre 14 ans, 10 mois et 20 jours pour que Michael Archer donne un successeur à Voodoo…
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« Voodoo », un disque précieux
S’il est un argument pour justifier le culte qui entoure Voodoo depuis bientôt un quart de siècle, au-delà de la maestria avec laquelle il amalgame ses influences, au-delà du fait que chaque réécoute apporte son lot de découvertes (dans l’orchestration, dans les arrangements, dans les superpositions…), c’est son côté résolument envoûtant.
Voodoo, c’est de la musique vers laquelle on finit toujours par revenir.
Voodoo, c’est d’ailleurs plus que de la musique. Voodoo, c’est de l’incantation.
Publié sur Booska-p.com le 26 janvier 2023.
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spiritgamer26 · 1 year
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Curse of the Sea Rats
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Curse of the Sea Rats est un ratoidvania épique dessiné à la main mettant en vedette un groupe de héros transformés en rats par une sorcière pirate. Aidez Douglas, Buffalo, Akane et Bussa à sauver le   fils de l'amiral,   à capturer la méchante   pirate Flora Burn et à briser le sortilège. Curse of the Sea Rats regroupe toutes les meilleures fonctionnalités du genre Metroidvania avec de superbes animations 2D dessinées à la main et des environnements 3D , combinés à des mécanismes de combat uniques en temps réel, et bien sûr, beaucoup de rats !. https://youtu.be/iPZwoGoNOkA
L'intrigue
L'intrigue de Curse of the Sea Rats semble à la fois simple et un peu déconcertante. Nous sommes au XVIIIe siècle et une sorcière, Flora Burn, transforme l'équipage d'un navire en rats, y compris les criminels qu'elle transportait en tant que prisonniers. Quatre d'entre eux se voient offrir l'opportunité de retrouver leur liberté s'ils réussissent à briser le sort et à sauver le fils du capitaine, enlevé par la sorcière.Jusqu'à présent, tout est clair, sauf que les habitants de l'île où nous atterrirons, ainsi que la sorcière elle-même et ses partisans, sont également des rats ! En passant outre, on remarquera immédiatement les deux principaux atouts de la production : des graphismes délicieusement dessinés à la main et la localisation.Les quatre personnages, qui nous accompagneront dans cette aventure, seront jouables à tout moment à partir des points de réapparition.Petoons Studio propose une metroidvania linéaire, de structure classique et en général avec peu de fioritures. L'un des premiers problèmes rencontrés concerne la carte. En effet, seuls les points de réapparition, les emplacements des marchands, des morts, des boss et des déplacements rapides y sont indiqués. Dans ce cas, nous devrons atteindre toutes les portes marquées sur la carte pour comprendre, par exemple, ce qu'ouvre une clé nouvellement acquise.Ou nous devrons compter uniquement sur notre mémoire pour retrouver un PNJ qui nous a confié une mission secondaire terminée, afin de récolter la récompense. Les combats, en revanche, sont très amusants. Bien qu'il y ait un léger décalage d'entrée, les quatre rats sont vraiment agréables à utiliser. Les sections de plate-forme sont plaisantes et équilibrées, tout comme les compétences liées au mouvement.Il convient de souligner la présence du saut en longueur, qui remplace la capacité gonflée (et souvent hors contexte) de voler. Nous pourrons charger le saut mais pas ajuster sa direction, réussissant néanmoins à atteindre les zones souhaitées.Point négatif pour les super attaques (acquises au sommet de chaque arbre de compétences) et les attaques spéciales, qui seront souvent moins efficaces que les attaques normales. En revanche, l'utilisation d'objets tels que les potions de soin est bien pensée, grâce à un menu rapide pratique, accessible à tout moment.
Malgré quelques soucis
Un autre problème non négligeable de Curse of the Sea Rats est la courbe de difficulté. L'aventure commence avec un niveau de défi assez satisfaisant, mais au fur et à mesure de sa progression, les choses deviennent si faciles qu'elles en sont presque énervantes. La cause réside dans les personnages, qui deviennent beaucoup trop forts, trop rapidement.En conséquence, même les boss peuvent être vaincus sans trop de problèmes, ce qui est dommage car ils sont très bien caractérisés. De plus, nous rencontrons parfois des pièges (et quelques ennemis spécifiques) qui peuvent éliminer notre personnage en seulement 2-3 coups. Bref, il semble manquer d'équilibre à cet égard.Les commerçants deviennent également "ennuyeux" presque immédiatement, car hormis les potions et quelques objets de quête initiaux, ils n'ont rien de particulier à offrir. Curse of the Sea Rats manque vraiment de profondeur, car à un certain moment, continuer à jouer devient lourd. Les missions annexes sont presque toutes banales, du type "J'ai perdu cet objet, pouvez-vous le retrouver?" etc.L'arbre de compétences des quatre personnages peut être complété très facilement. En progressant convenablement, nous pourrons maximiser les compétences des quatre protagonistes dès la moitié de l'aventure. Les quatre rats sont bien différenciés en termes d'apparence et de capacités, mais ceux ayant des attaques à distance auront tendance à avoir un avantage.En termes de mécanique, comme on peut s'y attendre d'une metroidvania respectable, nous avons à la fois l'esquive et la parade. On utilisera presque exclusivement la première pour éviter les pièges, tandis que la seconde sera rapidement oubliée malgré les bonus dans l'arbre de compétences qui encouragent son utilisation, en raison du "pouvoir excessif" des personnages.Dans l'ensemble, Curse of the Sea Rats manque de personnalité et de quelques raffinements. Il ne s'agit pas tant des rares bugs rencontrés, mais plutôt du fait que certaines astuces auraient été nécessaires pour rendre l'expérience globale plus efficace. Un niveau de difficulté, peut-être sélectionnable au début de l'aventure, aurait été appréciable. De plus, le jeu peut être joué en coopération avec trois autres joueurs, rendant l'expérience plus amusante, mais aussi plus facile (oui, encore plus). Read the full article
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l-avis-de-klervie · 2 years
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Rendre le cirque attractif
Au détour de mes recherches de stage, j’ai découvert le travail de Lisa Sturacci. Cette graphiste a réalisé le catalogue de l’exposition actuelle au Musée d’art moderne de Paris sur le peintre Oskar Kokoschka. Mais nous allons parler aujourd’hui du site web qu’elle a conçu pour la compagnie Le Troisième Cirque : http://letroisiemecirque.com/. Comment évoquer l’univers cirquassien et le rendre attractif ?
COULEURS Dès la page d’accueil, l’association entre l’omniprésence des images et les photographie des spectacles confère au site web une ambiance artistique. Les couleurs présentes sont les suivantes : jaune primaire, rose saumon, magenta, bleu sarcelle (dans Contact), bleu majorelle (dans Newsletter), rouge bismarck (dans Calendrier) ; puis dans la liste des spectacles : mauve pâle —couleur identique que le bandeau pour montrer que le spectacle est d’actualité— et enfin rouge et bleu primaire.
CARACTÈRE Afin que l’utilisateur ne sature pas par un trop-plein de couleurs, la palette est limitée à huit couleurs. De plus, la couleur est contrebalancée par le texte composé dans un seul caractère typographique en une seule graisse, un seul corps et seulement deux variables.      Deux caractères sont employés dans le site web : une linéale qui ont une fonction signalétique et un sérif pour le texte de labeur et les titres —qui sont différenciés uniquement par leur emplacement spatial. Ce dernier est composé en grand corps. Ce choix témoigne de l’accessibilité des spectacles proposés par la compagnie. Il renvoie également aux livres pour enfants dont le texte est en grand corps. Ainsi, la compagnie se rend accessible pour un jeune public.      Comme l’écrit Jost Hochuli dans son essai Le détail en typographie : « la spécificité formelle d’un caractère joue un rôle dans le processus de lecture, qu’elle participe d’une tonalité d’ensemble ou, au contraire, qu’elle s’en distingue. ». Ici, il s’agit des deux à la fois. En effet, le choix d’un roman light évoque le langage formel de la légèreté puisque le cirque est en partie aérien. Et d’un autre côté, le choix de caractère à empattement souligne l’aspect littéraire car une pièce jouée (et dansée ici) repose sur un texte littéraire.
INTERACTIVITÉ Quant à la mise en pages, le site fonctionne par un système de juxtaposition de deux pages dans un même écran—on comprend qu’elles sont distinctes par le léger décalage. La « signalétique » est sous la forme de bandeaux placés en bordure. L’information textuelle est minimale sans être austère. En effet, une multitude de surprises sont présentes, comme par exemple le bandeau qui déroule une phrase manifeste ou encore le lien vers un interview qui apparaît quand on remonte en haut de la page d’accueil.      De nombreux éléments interactifs et ludiques motivent le visiteur à rester sur le site pour le plaisir du jeu. C’est également un signal d’inclusion du visiteur : il est considéré dans ce site web. Ainsi, le visiteur se sent impliqué dans la navigation. Par exemple les titres romain passent en italique lorsqu’on le curseur navigue dessus. De plus, le filtre coloré des photos disparaissent lorsque le curseur les rencontrent. Enfin, les textes descriptifs existent en deux versions, c’est la version synthétique est visible en premier; et lorsque le visiteur clique sur les trois points entre parenthèses, la version longue se déploie.
MISSION ACCOMPLIE ? Pour conclure, la présence de la couleur renforce « l’image de marque » du Troisième cirque car elle témoigne de l’univers incarné et vivant du spectacle vivant. On constate une majorité de couleurs chaudes qui visent à évoquer la chaleur humaine du cirque. Afin de rester attractif et d’élever la valeur symbolique de la compagnie, le texte est composé avec un minimum d’effet avec pour caractère principal un sérif qui renvoie au domaine littéraire. Quant à l’interactivité, elle permet d’intégrer le visiteur dès le site web afin qu’il deviennent, plus tard, un spectateur dans le réel.
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3943 signes 12 mars 2023 Klervie 
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goodkingbad · 2 years
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"PIPO" Fiction sur le thème du franchissement - Animatique-
Réalisé avec TVPaint, Photoshop /2’ 10’’w / 2022
Synopsis : Pipo vit en dehors de la forêt dans un arbre qui est à la fois son ami et son protecteur. Un matin, l’appel de la forêt se fait entendre. Mais son ami l’arbre de l’entend pas de la même oreille…
J’ai choisi un style de dessin qui m’a notamment permis une grande liberté pour les mouvements des « branches bras » de l’arbre. Pour mon personnage principal, ce qui m’importait c’était de retranscrire au mieux ses attitudes et ses expressions pour illustrer cette amitié qui prend fin sous un mode tragicomique. Techniquement, c’est la petite plante sur la tête de mon personnage qui m’a donné le plus de difficulté car je voulais qu’elle suive ses mouvements mais avec un léger décalage.
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Litho surchargé : variété sur une double apposition
Un bloc de 10 du Hellas #230a avec deux variétés : 230K et Σ38. A retrouver sur le site ! @philately
Dans la continuité du bloc publié en Septembre, voici un bloc de 10 sur la faciale de 1 lepton. Il s’agit de la surcharge ΕΛΛΗΝΙΚΗ ΔΙΟΙΚΗΣΙΣ de 1913 appliqué sur des timbres de 1912. Ici la surcharge fût apposée deux fois avec un léger décalage ce qui nous offre une belle pièce. En soit ce timbre est le Hellas #230, ainsi surcharger en double il s’agit du Hellas #230a. C’est aussi l’occasion…
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