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#violemment
farafinetmedia · 3 months
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Soul Bang's et son épouse violemment agressés par la police sénégalaise à l'aéroport international Blaise N'Diagne
Dans un nouvel incident déplorable, le chanteur guinéen Soul Bang’s et son épouse, Manamba Kanté, ont été pris pour cible par la police sénégalaise à l’aéroport international Blaise Diagne, rejoignant ainsi la triste liste des artistes victimes de violences policières au Sénégal, après Khady Diop. Le mari de Manamba Kanté a décidé de diffuser en direct sur sa page Facebook la terrible agression…
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banqueenfrancecom · 1 year
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Nabilla violemment dézinguée à cause de sa robe de Noël sur Instagram !
Nabilla violemment dézinguée à cause de sa robe de Noël sur Instagram !
⚡Nabilla violemment dézinguée à cause de sa robe de Noël sur Instagram ! #Nabilla #violemment #dézinguée #robe #Noël #sur #Instagram #INSTAGRAM #france Nabilla violemment dézinguée à cause de sa robe de Noël sur Instagram ! Le dernier Reel de Nabilla n’a pas fait l’unanimité auprès des internautes qui n’ont pas hésité à critiquer sa robe de Noël… Coup dur pour Nabilla. La robe de Noël de…
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wolfsnape · 1 year
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C'est chiant la RSD parce que là j'ai pété un câble (justifié) auprès de Partenaire de galère et maintenant je me sens hyper coupable parce que j'ai l'impression qu'à chaque fois que j'exprime un désaccord et que je me plains de quelque chose (parce que la situation me fout beaucoup plus le seum que je pensais) j'en fais des tonnes et je fais chier les autres
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It has been brought to my attention that people are aware of my existence and also assume I'm American
Please do not assume I'm american, please, I'm Canadian but like, I'm barely Canadian, please, I've been to the US once and I never wanna go again, leave me out of it please-
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jelepermets · 3 months
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The Preface of this edition of Les Mis (Le Livre de Poche, Édition de Guy Rosa et Nicole Savy) is really good, but I wanted to highlight one passage in particular:
[...] la question de savoir ce qui en lui mobilise la conscience de vivre en société. -- La loi et l'ordre, répond Javert; rien, dit Thénardier; des souveniers pours Gillenormand, l'avenir pours les jeunes étudiants révolutionnaires... Jean Valjean se tait condamné à temps mais exclus à vie, la société ne lui autorise aucune réponse à cette question qu'elle ne cesse pourtant de lui poser violemment.
In English:
[...] the question of knowing what moves him to live in society. -- Law and order, replies Javert; nothing, says Thenardier; memories for Gillenormand; the future for the young student revolutionaries... Jean Valjean stays quiet. Condemned for a time, excluded for life, society does not allow him a single response to the question which it continues to demand of him.
(Sorry if the translation's a bit janky/if you speak French and notice it's not perfect word-for-word. I'm doing it myself, I'm going more for comprehension than word-for-word literalism. Translating decisions are so scary, have mercy.)
I didn't really think about this too much my last time reading through. Of course Valjean was a stoic character to me, but connecting his reticence to the fact that his voice has so long been crushed by society is a bit of a revelation. After all, no one can know who he is. And speaking is dangerous. Nor does the Law want to hear his opinions. Instead they punish him for what he has already done, not giving him the chance to discover the answer for himself.
There are other things mentioned that struck me, this one just did particularly.
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coolvieilledentelle · 5 months
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Tout le monde a une chanson douloureuse. Ou même plusieurs. Une chanson qu’on a aimée à deux, qui symbolise une histoire commune ou un moment intense, et dont les bienfaits nous sont arrachés quand elle se termine… Et tout cela se rappelle à nous de temps à autre. Il suffit que surgissent quelques notes et l’on est catapulté dans le passé, violemment ou bien avec une douce nostalgie.
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praline1968 · 7 months
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💙💙
MON GALOPIN
Tu nous quittais le 13 octobre 2010 me laissant anéantie à vie.
Je me recueille devant ton urne chaque soir, et la bougie sera allumée ce soir pour te rendre hommage 🕯️ 🕊️
Merci de tout mon cœur pour tout ce que tu m’as apporté durant ton vivant, cet amour inconditionnel qu’on ne trouve pas chez les humains 🙏🏻 🙏🏻
Je ne t’oublierai jamais, je t’aimerai toujours 💗
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(Poème écrit pour tes 20 ans le 12 février 2011)
🤍 MON GALOPIN 🤍
Mon petit cœur, Mon petit amour,
Mon fidèle compagnon, mon ami le plus cher,
Ce 12 février marque pour nous un jour anniversaire,
Celui qui, ce beau jour de 1991, en Ardèche, t’a vu naître,
Tu aurais eu 20 ans aujourd’hui, si seulement tu avais vécu,
Mais la grande roue impitoyable de l’univers ne l’a pas voulu.
Nous espérions tellement l’atteindre ce chiffre de 20,
Pour continuer ensemble vers de beaux lendemains,
Nous voulions tant battre tous les records connus,
Mon petit cœur, mon petit amour, t’en souviens-tu ?
Il y a 2 ans, un AVC sur toi, violemment s’abattait,
Te privant de l’usage de tes pattes, cruellement paralysées,
Devant le pénible spectacle, le désespoir nous envahissait,
Et des torrents de larmes de mes yeux jaillissaient.
Alors qu’à l’unanimité, la grande majorité te condamnait,
Après tant et tant d’efforts déployés et renouvelés,
Durant des heures entières et de longues journées,
Soudain, dans un ultime élan, tu te relevais et tu marchais.
Devant l’étonnement de nos grands yeux écarquillés,
Cet incroyable miracle, de bonheur nous remplissait,
Je t’ai admiré pour cette force unique, cette volonté.
Exceptionnel petit chien, battant, tu l’as toujours été,
Ce jour béni d’entre tous fût le plus beau de ma vie,
Dans cette douloureuse épreuve, tu m’as tant appris.
Cette rage de vivre, depuis, tu l’as toujours gardée,
Le 13 octobre 2010, un nouvel AVC destructeur te frappait,
Cette fois, brutalement et sournoisement, te terrassait,
Enfermant ton petit corps dans une paralysie totale,
Signant ainsi au fer rouge la condamnation finale.
Durant la dernière nuit, tes appels au secours retentissaient,
Et me contraignaient à prendre la décision tant redoutée,
D’abréger tes jours et ta souffrance, et choisir de te délivrer,
Effroyable décision que je ne pourrais jamais me pardonner,
Je le sais, tu voulais vivre encore et ne jamais nous quitter.
Sur la table du vétérinaire, ton petit corps sans vie gisait,
Devant mes larmes de désespoir et ma terrible détresse,
Dans un ultime pleur, tu me suppliais de m’accrocher.
La piqûre contenant le poison mortel ne voulait pas agir,
Sentant mon immense chagrin, tu refusais encore de partir,
Avant que tes yeux et ton cœur ne s’éteignent à jamais,
Me laissant là, abandonnée, impuissante et brisée.
Alors, en hommage à ta force et ton énorme courage,
Comme un emblème, je porte ton collier à mon poignet,
Pour que ton combat ne soit pas vain et ne finisse en mirage,
De me relever et d’être encore plus forte, je te promets,
Afin que ton âme si pure et si belle, puisse vivre en paix.
J’attends maintenant le jour béni de nos retrouvailles,
Ce jour sacré qui nous verra toi et moi à jamais réunis,
Ma seule volonté enfouie au fond de mes entrailles,
Celle de te retrouver enfin pour l’éternité, au paradis.
Je t’aime, à jamais, pour toujours,
Mon petit cœur, Mon petit amour.
💙💙
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🎤 Michel Pépé ~ L’ascension céleste 🎧
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jacquesdor-poesie · 10 months
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Les gens célèbres, on a l'impression qu'ils sont là depuis toujours et pour toujours. Quand ils s'en vont, c'est un peu la stupeur, un peu comme un glissement de terrain, un trou dans la couche d'ozone, une partie d'un paysage sentimental qui s'évapore sans prévenir. Comme s'ils faisaient, eux, ces étranges reconnus, partie de la famille, de toutes les familles, inconsciemment adoptés qu'ils sont : fond d'écran, images récurrentes, mélodies familières qui finissent par habiter un peu tout le monde, qu'on le veuille ou non. Année après année ils font partie du décor, sont le décor, l'ambiance sonore ; des présences parallèles partagées par tous avec passion ou indifférence. Il croise dans nos vies depuis si longtemps...
Pour les avoir imaginés plus beaux et plus forts que la mort, c'est leur disparition qui vient sonner violemment le rappel : oui, nous sommes bel et bien tous mortels. Et c'est pour cette raison, aussi, que leur effacement frappe autant les cœurs et les esprits.
jacques dor
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jeanchrisosme · 2 months
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Tout me touche, m'atteint, m'émeut, me submerge, me gonfle. J'ai mal pour moi, pour l'autre. Je ressens. Je pleure pour un rien, je ris facilement. Je sens les odeurs, la tristesse. Je n'ai aucune limite à ressentir. Je m'énerve plus facilement, Je suis à fleur de mots, de peaux, de beaux. Je suis différente. Remplie de poésie. Quelque chose danse en moi. Une lumière me rend bizzare, intouchable, indomptable. J'en demande toujours trop. Je parle pour ne rien dire, parce ce qu'il y a toujours quelque chose à en dire. Je suis empathe. Je décèle ce qu'on ne me dit pas, Je tire les vers du nez. Je respecte le silence, car je le parle couramment. Je suis ainsi. Un peu cabossée, tendre, et émotive. J'ai un orage qui gronde, et un arc en ciel qui brille. Je ressens plus fort, tout ce qui effleure l'autre. Je peux perdre pied. Plus vite, plus violemment que quelqu'un d'une sensibilité normale. La mienne n'est jamais banale. J'ai une petite boule qui bouge en moi. Qui se coince dans ma gorge, fait mal à mes yeux, ou fout le feu dans mon ventre. Je peux ressentir très fort, m'envoler très haut et redescendre brutalement. Je peux éclater en sanglots, et rire aux éclats pour quelque chose qui me fait peur, vibrer, ou vivre. Je vis toujours accrochée à ma boule d'émotion. Elle ne saute pas aux yeux des autres, mais prend toute la place en moi. C'ést ma fragilité. Mon cœur qui bat n'est pas un muscle chez moi, C'est un lieu d'immersion, de rendez vous, de petites morts et de profondeurs inégalées. Et celui qui peut me comprendre, alors seulement celui là, peut m'aimer... Je suis hypersensible.
Cyrielle Soares
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onlineviolence · 5 months
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violemence
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jloisse · 6 months
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Mais quels peuvent être ces barbares qui frappent indistinctement et violemment les participants à un convoi funéraire?
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gavroche-le-moineau · 10 months
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Montparnasse's Introduction
I guess I'm on a translation kick because I spent some time today while I was couch-ridden taking a stab at my own translation of Montparnasse's introductory paragraph. I just loved the writing of it and wanted to see if I could carry over some of the feelings I got from it in French into English. This isn't because I think any current translations are bad or wrong, I simply wanted to try my hand, and offer another version.
I tried to stick to 19th century dictionaries (both French and English) for usage of any words I wasn't sure about, but I did also use some more modern resources to get ideas or corroborate.
Un être lugubre, c’était Montparnasse. Montparnasse était un enfant ; moins de vingt ans, un joli visage, des lèvres qui ressemblaient à des cerises, de charmants cheveux noirs, la clarté du printemps dans les yeux ; il avait tous les vices et aspirait à tous les crimes. La digestion du mal le mettait en appétit du pire. C’était le gamin tourné voyou¹, et le voyou devenu escarpe². TRANSLATION - PART 1: A morose being, that was Montparnasse. Montparnasse was a child; less than twenty years old, with a pretty face, lips likes cherries, charming black hair, the brightness of springtime in his eyes– he had all the vices and aspired to all the crimes. Digesting the bad whet his appetite for worse. He was the gamin turned ruffian¹, and the ruffian turned killer².
NOTES - PART 1: 1. “voyou” can be used to mean “gamin”, but tends to carry the more negative connotations of “delinquent, gangster, bandit, thug, etc.” It was commonly used in Paris specifically, in the mid 19th century.
2. “escarpe” – an old term for a thief / bandit who kills in order to steal from victims.
Il était gentil, efféminé, gracieux, robuste, mou, féroce³. Il avait le bord du chapeau relevé à gauche pour faire place à la touffe de cheveux, selon le style de 1829⁴. Il vivait de voler violemment. Sa redingote était de la meilleure coupe, mais râpée. Montparnasse, c’était une gravure de modes ayant de la misère et commettant des meurtres. La cause de tous les attentats de cet adolescent était l’envie d’être bien mis. TRANSLATION- PART 2: He was sweet, effeminate, graceful, hardy, apathetic, ferocious³. He had the side of his hat turned up on the left to make room for a tuft of hair, after the style of 1829⁴. He made a living stealing violently. His redingote was of the finest cut, but frayed. Montparnasse was a fashion plate fallen on hard times and committing murders. The cause behind all this adolescent’s criminal offenses was the desire to look sharp.
NOTES - PART 2: 3. “Il était gentil … féroce.” Choosing exact translations for each of these words was extremely difficult. “Gentil” can mean SO many things from kind, sweet, nice, to proper, agreeable, good, etc all of which have such different connotations. I can’t be sure which one is closest to what Hugo was going for.
For “féroce” I wanted to highlight that in the Littré dictionary entry the first definition says “One who takes pleasure in murder, when speaking of animals” and while we are speaking about a person, I can’t help but think Hugo was alluding to this idea.
4. Any fashion historians know what this is referring to? I found a Parisian fashion plate from 1828 at the Metropolitan Museum of Art that maybe looks like the left side of the hat is curled up but it could also be the angle.
La première grisette⁵ qui lui avait dit : Tu es beau, lui avait jeté la tâche des ténèbres dans le cœur, et avait fait un Caïn de cet Abel. Se trouvant joli, il avait voulu être élégant ; or, la première élégance, c’est l’oisiveté ; l’oisiveté d’un pauvre, c’est le crime. Peu de rôdeurs étaient aussi redoutés que Montparnasse. À dix-huit ans, il avait déjà plusieurs cadavres derrière lui. Plus d’un passant les bras étendus gisait dans l’ombre de ce misérable⁶, la face dans une mare de sang. Frisé, pommadé, pincé à la taille, des hanches de femme, un buste d’officier prussien, le murmure d’admiration des filles du boulevard autour de lui, la cravate savamment nouée, un casse-tête dans sa poche, une fleur à sa boutonnière ; tel était ce mirliflore⁷ du sépulcre. TRANSLATION - PART 3: The first grisette⁵ who had said to him, “You’re handsome,” had thrown the stain of darkness into his heart, and had made a Cain of this Abel. Finding himself pretty, he had wanted to be elegant; now, the start of elegance is idleness, and the idleness of a pauper, is crime. Few prowlers were as feared as Montparnasse. At eighteen, he already had several corpses behind him. More than one passerby, arms outstretched, lay in the shadow of this miserable wretch⁶, their face in a pool of blood. Curly and pomaded hair, a pinched waist, the hips of a woman, the chest of a Prussian officer, the murmur of admiration from girls on the boulevard all around him, tie smartly knotted, a bludgeon in his pocket, a flower in his buttonhole; such was this popinjay⁷ of the sepulchre.
NOTES - PART 3 5. I chose not to translate “gamin”, “redingote”, and “grisette” because they’re words that can be used in English and they all refer to a very specific thing or person from a specific time and place, that English just doesn’t have an exact equivalent for.
6. It certainly is a pity for this book in particular that we can’t translate the noun “misérable” into English as is. I just wanted to highlight that Montparnasse is another character to add to the list of those that fall under the category of the book’s title.
7. I chose “popinjay” (meaning a dandy, fop, etc.) for the word “mirliflore” because the French word used here is very pretty and may come from mille + flores (thousand + flowers) to refer to someone wearing perfume, and I think the juxtaposition between the pretty word Hugo chooses to use for Montparnasse and “the sepulchre” is very intentional. While the English word “popinjay” evokes birds rather than flowers (the word actually coming from “parrot” and in its current form also evoking “jay”), I thought it was a similar enough feel that it worked better than dandy or fop.
Corrections, additions, or comments are always welcome!
Resources: Dictionnaire de la langue française, Émile Littré, 1872-1877 Dictionary of the French and English languages, with more than fifteen thousand new words, meanings, etc. by Ferdinand E. A. (1876) Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales fr.wiktionary.org wordreference.com
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e642 · 24 days
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Et le mec en face de moi s'énerve à haute voix sur son livre, apparemment il se passe pas ce qu'il aurait voulu. Il a refermé super violemment son bouquin, il a attendu 1 min, il a réouvert et il a à nouveau crisé. Je sais pas à quoi il s'attendait ? Que le livre se soit réécrit tout seul ? Ça me fume. Faut les écrire les livres si les fins ne plaisent pas.
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perduedansmatete · 3 months
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l’impression que ma hanche se disloque violemment par intermittence depuis mardi mais je vais faire comme si je ne sentais rien
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 97
Jeudi après midi :
Toute la journée je n'ai pensé qu'à mon rendez vous avec Emma et au fait que nous avons jusqu'au matin du vendredi ensemble.
Comme il fait sec (à défaut de faire chaud), je suis en moto. J'arrive et rentre direct dans le garage. Elle a entendu le portail s'ouvrir et me rejoint alors que je pose ma Ducat sur sa béquille. J'ai beau être gelé, elle se colle à moi pour me rouler un patin. Je referme mes bras sur son dos et de mes doigts gantés grossement, je lui caresse la colonne vertébrale jusqu'à son fessier que j'empoigne. Je bande dur et elle le sent. Elle attrape le zip du bas de ma combi et entreprend de le relever, dégageant ainsi mon shorty déformé par ma bite. De mon coté, mes mains gantées se sont coulées sous sa jupe et l'ont relevée jusque sur ses hanches. Malgré l'insensibilité de mon toucher du à l'épaisseur de mes gants d'hivers, comme je n'accroche pas de bord de culotte, je devine qu'elle n'en porte pas. De son coté elle est arrivée à sortir ma queue de son emballage. Quittant ma bouche, elle glisse à genoux pour me faire une pipe. Ça me réchauffe bien après le parcours en moto ! je pose mes mains sur sa tête pour bien imprimer le rythme que je désire. Pas trop vite, cool, nous avons tour notre temps. Elle pompe de mieux en mieux, rien ne vaut la pratique pour améliorer le " gestuel " ! elle prend le temps de sortir mes boules qui se contractent au contact du cuir encore frais. Elle prend plaisir à me bouffer la tige, glissant la langue entre le prépuce et le gland, jouant des deux avec ses dents, elle excite les milliers de terminaisons nerveuses qui partent de la surface de mon gland.
Le passage dans le fond de sa gorge commence à me faire trop d'effets. Il est temps de passer à autre chose je lui dis de fouiller une de mes poches pour trouver un préservatif mais elle avait prévu le coup et en sort un de son soutient gorge. Aussitôt après quelle me l'ai enfilé, je l'ai relevé et plié en travers de la selle de ma Ducat. Maintenant les pans de sa jupe sur ses reins et après m'être confirmé de visu qu'elle ne portait pas de culotte, d'une botte je lui ai écarté les pieds, ouvrant grand son entrejambe. Je pliais légèrement les genoux pour placer mon gland sur ses grandes lèvres et d'un coup de rein, je me suis enfoncé dans la moiteur de son vagin. température garantie, je la limais un peu histoire de bien lubrifier la kpote.
De mes mains encore gantées de cuir, j'écartais ses globes fessiers tout en les maintenant vers le haut pour bien me donner accès à sa chatte. Je maintenais un bon rythme, ce qui commençait à la chauffer grave. D'elle même, en prenant appui sur la selle, elle donnait des coups de reins pour venir à la rencontre de ma queue, augmentant ainsi le choc de nos corps.
En maintenant ses fesses écartées, j'ai sous les yeux le trou plissé et palpitant de son passage arrière. Il me tente !! il me tente tellement que bientôt je décide d'y faire un tour. Je sort de son vagin et pointe ma bite sur son anus. Elle ne fait pas de chichi et d'elle même, dès qu'elle a senti le gland se poser au bon endroit, elle recule et je l'encule. Je la laisse faire. Son premier mouvement n'a fait entrer que mon gland. L'anneau serré juste derrière la couronne, elle ondule du cul. L'effet est garanti, je bande encore plus fort. Puis progressivement, reculant par à-coups, elle " avale " mon sexe en entier (enfin jusqu'à sentir sur sa peau le métal du zip.
Je la laisse encore quelques instants gérer. Elle me retire d'elle presque complètement avant de se planter de nouveau plus violemment. Je pose alors mes mains sur ses reins, appuyant pour forcer sa cambrure, et commence un bon travail d'assouplissement de sa rondelle. Grand coup de reins et je la lime sur la totalité de mes 20 cm, petit coups à l'entrée, sortant puis emprisonnant mon gland seulement. Là elle me supplie de lui défoncer le cul. J'attends encore quelques instants qu'elle soit vraiment en manque, et je m'enfonce alors d'une seule traite, écartant ses fesses au maximum pour pouvoir entrer la partie la plus épaisse de ma bite (à la base je fais presque 6cm de diamètre).
Je recommence les grands coups de reins plusieurs fois, lui tirant des gémissements qui alerteraient les voisins si la porte du garage était restée ouverte ! Je passe mes mains sur ses seins, (avec mes gants, je ne m'autorise pas l'accès à sa chatte). D'un coup sec je déchire son chemisier, arrache son soutient gorge et commence à les lui pétrir. Je veux la faire jouir sans utiliser ni sa chatte ni son clito. Elle commence à haleter dur. J'augmente le rythme et elle finit par céder. Elle se contracte, ses seins durcissent et son anus étrangle ma bite. Moi même je n'arrive plus à me retenir et je jute dans ma kpote les couilles plaquées sur sa chatte.
Je quitte l'abri chaud de son corps avant de débander complètement et retire la kpote pleine. Elle se redresse et se tourne vers moi. Sa jupe encore entortillée autour de sa taille son chemiser et soutient gorge déchiré, on la croirait rescapée d'une agression ! mais quelle est bien foutu ! je baisse les yeux et je vois mon sexe rose pendre sur le cuir noir de la combi. Je rentre le tout pour la dézipper correctement du haut que je puisse l'enlever. Elle m'aide et je la laisse sur la moto avec mes botte et le casque.
Nous entrons dans la cuisine où elle me fait un café. J'ai faim !! j'ouvre le frigo et y pille un morceau de fromage (pâte cuite, pas question de puer de la gueule).
Elle se coule dans mes bras se serrant contre mon corps. Le café dans une main, je passe l'autre autour de sa taille et la maintient ainsi. Elle à l'air d'apprécier.
Nous papotons de choses et d'autres, ma semaine, mon taf, la sienne (de courses, musée...). Une fois restauré, je lui demande à nous doucher. En passant dans sa chambre, je vois préparé sur des cintres une robe de cocktail et un costume gris. Je l'interroge du regard. Elle me dit que puisqu'elle m'a à sa disposition pour la soirée complète, j'allais l' " escorter " dehors. Surprise, étonnement, stupéfaction. Je reste muet. Elle continue que comme je suis " escort " (je le lui avais confié quand mon banquier m'avait trouvé cette façon de déclarer mes rentrées annexes d'argent), et qu'elle me rémunérait, j'allais donc l'accompagner dans un grand restaurant avec les parents de Pierre. Ouf avec eux ça va, ils connaissent la réalité de notre relation et en réfléchissant, y'a peu de risque que j'y croise un autre de mes " clients ".
Je me venge sous la douche. Je la savonne, insistant sur ses seuls seins et tétons jusqu'à ce qu'elle crie grâce. Je descends alors mes mains sur sa chatte taillée/rasée récemment. Sa peau est douce, elle doit plutôt se faire épiler. Je masse ses grandes lèvres uniquement jusqu'à ce qu'elles soient gonflées de sang alors seulement je passe au clito. Il est déjà tout raide d'impatience. L'eau nous ayant bien rincés, toutes traces de savon parties, je glisse à genoux et ventouse mes lèvres aux siennes du bas.
Ma langue écarte les " obstacles " pour atteindre son clitoris. Quand je le prends entre mes dents, elle se cabre. Je le suce, l'aspire, le râpe de ma langue. Elle fléchit sur ses jambes, je la bloque de mes mains pour éviter quelle ne tombe. Ma langue s'enfonce dans son vagin, je l'étire au maximum au delà de mes dents pour la faire entrer le plus profondément possible. Plus je lèche plus elle se lubrifie ! Quand je me relève, elle glisse à son tour à mes pieds et s'acharne sur ma bite avec la même voracité avec laquelle je lui avais mangé la chatte. Mon gland passe dès la deuxième fois la barrière de sa glotte et je lui défonce la gorge. Je dois la maintenir écartée à bout de bras, j'ai faillit juter direct !!
Je la tire vers moi et nous nous roulons un patin d'enfer. Elle enjambe ma bite et fait glisser mon gland sur sa chatte puis son périnée jusqu'à son anus. Elle s'accroche à mon cou, lève une jambe après l'autre et me ceinture avec. J'écarte les pieds pour assurer notre équilibre. Elle se tortille jusqu'à ce que mon gland glisse et perfore son anneau. Un basculement de bassin et je me retrouve entier dans son cul. Elle s'appui sur mes épaules et mes hanches pour se limer toute seule. Je la laisse faire bien que sans kpote (elle n'a pas fait l'amour depuis des années avant que je la rencontre et moi je suis clean, analyses pour le prouver). Néanmoins, je titube jusqu'au lit et nous écroule dessus. J'en profite pour me retirer et me kpoter quand même. Je reprends là où nous en étions restés et nous partons une nouvelle fois pour une nouvelle jouissance. Elle est dos sur le lit, je relève ses jambes sur mon torse et m'enfonce de nouveau dans son cul. Elle aime cela ! je me penche pour trouver ses lèvres. Nous nous fixons par une longue pelle. Mes reins, indépendants ne cessent les va et vient de ma queue dans son anus. Trop trop bon !!
Elle écarte sa bouche de la mienne pour me demander dans un souffle de la prendre en levrette. Doucement je la fais pivoter sur ma bite et sans déculer, la place à genoux devant moi. Mes mains sur ses épaules, j'y vais franchement. Elle gémit, puis ses gras lâchent et je lâche ses épaules qu'elle pose sur le lit. En fait c'était pour pouvoir de ses mains écarter ses fesses et me permettre d'entrer le dernier cm de ma bite (ce cm le plus épais des queues). Je la sens chaude comme jamais. Je l'encule brutalement en prenant soin d'entrer à chaque fois au maximum. Elle est la première à jouir, et que du cul puisque mes mains sont sur ses hanches à aider au mouvement et les siennes posées sur ses fesses à les écarter. Je suis au bout moi aussi et m'enfonçant une dernière fois tout au fond, j'ai craché dans la kpote.
Exténués, nous restons un bon moment couchés l'un à coté de l'autre sur le lit, nos regards perdus dans le blanc du plafond.
Nous n'avons pas vu l'heure passer. Il faut se presser. Douche rapide pour nous laver de la sueur due à nos efforts passés, et nous nous habillons.
Outre le costume, elle a tout prévu, ne sachant pas comment je serais vêtu. Elle ouvre un tiroir d'une commode et j'y vois slips et chaussettes. Sans me demander mes mensurations, elle a deviné juste. J'ai le choix entre des Calvin Klein, des Aussiebum, des Unico pour les slips. J'ai un faible pour les Aussiebum wondeerjock qu'elle m'a acheté en " propriété française " bleus, ça met bien mon paquet en valeur (serait ce de la vanité ?? Non !).
Elle me tend une chemise blanche à bouton de manchette. Elle est obligée de me les mettre elle-même je n'en n'avais jamais portées avant. Les boutons de manchette sont de vrai bijoux, deux barrettes en or d'environ 2cm par 1/2cm pavées de diamant et rubis. J'enfile le costume. Il tombe super bien. Je n'ai pas l'impression d'avoir ce type de vêtement sur moi. Je suis aussi à l'aise avec que dans un jogging ! Quand je lui en fais la remarque elle me dit que c'est toute la différence entre un costume de prêt à porter et un taillé sur mesure. A ma question sur comment elle avait pu avoir mes mesures, elle me dit m'avoir " cartographié " en utilisant sa main comme instrument de mesure, et que le tailleur de feu son mari était un magicien.
Mon premier costume ! Je me tourne vers l'armoire à glace. Je n'y vois qu'un, frère, cousin.... Je ne me reconnais pas. Quelque part si je rencontre une de mes connaissances, au moins il ne pourra être sûr que ce soit moi.
Emma se colle à mon dos et je l'entends se murmurer à elle-même " j'en étais sûre ".
Je lui demande : sûre de quoi ? Elle me répond : sûre que je serais parfait avec.
Je tourne sur moi-même, m'inspecte sous toutes les coutures, ça me change vraiment. Je suis plutôt jeans / t-shirt, cuir moto. Mais je dois le reconnaitre dans un genre différent c'est pas mal ! (Je limite là à cause de mes chevilles lol).
Elle me sort une paire de chaussures tout cuir, noires, fines et pointues. L'ensemble en jette un maximum, quand je lui en fais la remarque, elle me dit que c'est fait exprès et qu'un escort doit savoir être à l'aise en toute circonstance. Et pour cela, elle compte bien me coacher. Je l'attrape, la serre contre moi pour l'embrasser. Elle proteste que nous sommes déjà en retard et que du coup il faut qu'elle se repasse du rouge à lèvres.
Elle me jette les clefs du cabriolet Mercedes. Pas mal, très différente du Z8 qu'elle m'a offert, mais pas mal dans le genre bourge plein de fric !
Je conduis doucement et nous rejoignons les parents de Pierre devant le restaurant. Je sors de la voiture en fait le tour pour ouvrir la porte pour Emma. Quand nous arrivons auprès d'eux, ils me regardent à deux fois avant de féliciter Emma pour ma transformation. Ça m'énerve un peu et je leur sors que sous l'apparence, il y a toujours le même mec, pas plus honorable à cause du costume. La mère de Pierre, Hélène, me prend par le bras et me " gronde " de ne pas me dire plus méchant que je ne le suis.
Je lui souris, et nous entrons tous les 4 dans le restaurant, les hommes en premier comme le veut la politesse.
Le père de Pierre, David, demande la table qu'il a réservé pour nous. Nous traversons la salle. Comme nous sommes décalés par rapport au début du service, toutes les tables sont déjà prises et je m'aperçois qu'une est occupée par mes parents !
Ils me regardent passer sans voir leur fils dans ce jeune homme stylé avec au bras une belle femme même si cela ce voit qu'elle est plus âgée.
Du coup je me place de façon à leur tourner le dos. Je ne tiens pas à entrer dans des explications vaseuses s'ils en venaient à me reconnaître.
Je les oublie vite et nous passons un dîner très agréable. La conversation passe de Pierre et son ami, pour nous dire qu'il n'avait jamais eu d'aussi bons résultats que depuis qu'ils étaient ensemble et que pour le BAC et l'entrée à l'école d'architecture, ça ne devrait pas poser de problème. Emma se fait résumer l'histoire et j'ai droit à un coup d'oeil amusé de sa part. Je pense qu'au retour il va falloir que j'explique un peu. Emma à ma gauche ne cesse de poser sa main sur ma cuisse. Heureusement que je suis en shorty, un simple caleçon laisserait ma trique pousser le tissus du pantalon de façon indécente. Je bande pendant presque tout le repas.
Evidement, à un moment, Hélène nous demande " et vous ça va ? ". Je ne suis pas à l'aise pour répondre, que dire de notre situation. Emma me paye toujours, je suis donc son " gigolo ". Mais il y a plus que cela aussi, une tendresse entre nous s'est installée doublée de sa part de beaucoup d'indulgence. Je pense que si je n'avais pas rencontré Marc, j'aurai pu aller très loin avec elle, sentimentalement parlant. Je suis toujours à chercher ce que je vais dire quand je l'entends distinctement dire que je suis son escort boy, juste ce qui lui fallait pour sortir de la torpeur où l'avait plongé la longue maladie de son mari. Je la regarde un peu surpris, elle me gratifie d'un clin d'oeil rassurant, ce qu'elle vien de dire c'est pour la façade. Ouf quelque part ça me rassure de savoir qu'il y a quand même un peu plus que cela. Dans mon dos mes parents partent, ils passent à mes cotés sans signe de reconnaissance, ouf ! Après avoir passé un bon moment, je raccompagne Emma chez elle. Comme elle m'a fait bander toute la soirée, je l'entreprends dès la cuisine, la poursuivant jusque dans la chambre ou nous faisons l'amour comme des bêtes, ça lui apprendra à me chauffer pendant des heures !!
Il n'est pas loin de 2h du matin quand je rentre à la maison. Le trajet en moto est plutôt hard, je n'ai plus de force ! Mais rester chez elle aurait changé le type de relation que nous avons ensemble, trop risqué !
JARDINIER
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prosedumonde · 2 months
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Tel doit être aussi le mode d’expansion de la pensée, non pas un écoulement, mais une tension ; qu’elle ne se heurte pas violemment et furieusement contre les obstacles qu’elle rencontre ; qu’elle ne tombe pas, mais qu’elle se fixe en éclairant l’objet qui la reçoit ; car cet objet se priverait de lumière, s’il ne se laissait pas atteindre.
Marc Aurèle, Pensées
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