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#ça a l'air parti pour une femme
wine-dark-soup · 2 years
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Jour 1 partie 1. 1h40 d'écriture
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empiredesimparte · 1 year
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Joachim: Oyez oyez! The Emperor is back from Compiègne! Aimery: And in very good company!
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Napoléon V: Who could resist such beauty? I'll give her my hand, and... my life
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Philippe: A rare beauty, indeed, with a lot of character.
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Napoléon V: Just the way we like them, eh Philippe? Joachim: Are you jealous, Phil?
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Philippe: Not at all, I'm happy for Louis Grégoire: How does it feel, your last night as a free man?
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Napoléon V: I must admit, I don't feel much difference. Is that a good sign?
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Oliver: Don't worry, Louis, you'll soon feel the difference
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Joachim (laughs) Napoléon V: It should go well with a bit of your whisky
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Joachim: Between the whisky and Charlotte, our Emperor's in no position to reign! Thank you Oliver!
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Oliver: Well, I hope the Emperor is sure of himself. He'll soon be looking like a sober man with his soda, surrounded by tempting and delicious spirits
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Napoléon V (teasing): What women are you talking about, my dear friend? Shall I tell my sister?
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Oliver: I just want to point out that once you're married, you'll attract all the more women. Many want the benefits of a wife, without the official duties associated with it. And… In view of your ancestors, my theory seems to be borne out
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Napoléon V: Really?
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Grégoire: Charlotte can look after herself, don't worry Louis
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Napoléon V (can't resist the whisky, drunk): Anyway, I don't need your help, I'm guided by Providence Oliver: Come on
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Napoléon V: I'm doing all this for Phil', poor chap, he nearly became Emperor of the French
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Philippe: Don't talk nonsense Louis Joachim: It's nothing Phil', he's already completely drunk Napoléon V: Shut up!
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⚜ Le Cabinet Noir | Palais des Tuileries, 20 Prairial An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Napoléon V and a few friends celebrated his bachelor party at the palace. Joachim, his best friend and organizer, wanted to make it a rococo party, as he couldn't have fun outside the palace for security reasons.
(Thanks @officalroyalsofpierreland !)
⚜ Traduction française
Napoléon V et quelques proches fêtent son enterrement de vie de jeune homme au palais. Joachim, son meilleur ami et organisateur, a souhaité en faire une soirée rococo, à défaut de pouvoir s'amuser à l'extérieur du palais pour des raisons de sécurité.
Joachim : Oyez oyez! L'Empereur est de retour de Compiègne! Aimery : Et en très bonne compagnie!
Napoléon V : Qui aurait pu résister à une telle beauté? Je veux bien y laisser ma main
Philippe : Une rare beauté, en effet, avec beaucoup de caractère
Napoléon V : Comme on les aime, n'est-ce pas Philippe? Joachim : Tu es jaloux Phil' ?
Philippe : Nullement, je suis heureux pour Louis Grégoire : Ca fait quoi, ta dernière nuit comme homme libre ?
Napoléon V : Je ne ressens pas trop de différence, je dois l'avouer. Est-ce bon signe ?
Oliver : Ne t'en fais pas Louis, tu sentiras rapidement la différence
Joachim (rigole) Napoléon V : Ca devrait aller avec un peu de ton whisky
Joachim : Entre le whisky et Charlotte, notre Empereur est mal barré pour régner! Merci Oliver!
Oliver : Hé bien, j'espère que l'Empereur est sûr de lui. Il aura bientôt l'air d'un homme sobre avec son soda, entouré d'alcools tentants et délicieux
Napoléon V (taquine) : De quelles femmes parlez-vous, très cher ami? Dois-je en avertir ma soeur?
Oliver : Je veux simplement souligner qu'une fois marié, tu attireras d'autant plus de femmes. Beaucoup souhaitent les avantages d'une épouse, sans les devoirs officiels associés. Et... Au-vu de tes ancêtres, ma théorie semble se confirmer
Napoléon V : Vraiment ? Je ne souhaite pas faire de mal à Charlotte
Grégoire : Charlotte saura se défendre toute seule, ne t'en fais pas Louis
Napoléon V (ne résiste pas au whisky, bourré) : De toute façon, j'ai pas besoin de votre aide, je suis guidé par la Providence Oliver : Allons donc
Napoléon V : Je fais tout ça pour Phil', le pauvre, il a failli être Empereur des Français
Philippe : Ne dis pas n'importe quoi Louis Joachim : C'est rien Phil', il est déjà complètement saoul Napoléon V : Ta gueule toi!
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olympic-paris · 26 days
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saga: Soumission & Domination 254
Reprise 2013 PH reprend la danse
Les cours reprennent. Mes collègues flashent sur ma nouvelle montre et la bague qui orne mon annulaire. Je les sens brulants de me demander comment je l'ai eu, mais ils se retiennent, me sachant discret sur la provenance de mes " richesses ".
Quand je passe chercher PH le soir même, il me dit avoir été l'objet des mêmes remarques et attentions. Ses collègues nous bousculent un peu alors que nous nous roulons un patin sur les marches de sa fac. Certains, nous chambrent gentiment, nous demandant quand nous allions nous marier. C'est dans l'air du temps !
Nous retrouvons avec plaisir le Blockhaus et notre intimité. Seuls tous les deux, nous apprécions le retour au calme de la maison. Cette nuit là, nous faisons l'amour avec la tendresse qui nous submerge dès que nous sommes tous les deux seuls. Quand nous sommes trois ou cinq, avec Marc et/ou Ernesto et Hervé, c'est pas pareil. Avec Marc, il y a le souvenir qu'il a été mon premier mec et que c'est lui qui m'a poussé à assumer mes choix, plus son coté dominant, ça écarte souvent mes rares élans/ besoins de tendresse. Et avec Ernesto et Hervé, surtout quand ils sont ensemble, c'est sacrément sexuel !
Enfin ! Le temps file à une vitesse folle. Ma société marche bien et le volet service aux femmes seules commence à se développer. Heureusement que mes p'tits gars savent y faire aussi avec le sexe féminin ! La cliente de l'aéroport m'a apporté une demi-douzaine de ses amies. Du coup, mes Escorts ont des plannings bien chargés et des comptes en banques qui se remplissent. Ils doivent gérer leurs emplois du temps au plus juste et même Victor doit assurer plus que ses seuls contrats d'Escort-traducteurs. Ça me permet aussi de tester le petit dernier, François, sur des plans " meuf ", uniquement. Il s'y entend bien lui aussi.
Je maintiens quand même, le mardi soir au blockhaus, la soirée sport. Ils sont d'ailleurs tous présents ces soirs là. Jona nous coach dans la partie entrainement au close combat et après nous nous dispersons sur les appareils de muscu et la piscine pour la nage à contre courant. Même si nous sommes tous légèrement vêtus, shortys, boxers ou jocks, la fatigue physique freine nos excitations sexuelles et les bandaisons disparaissent vite !
Si pour certains, nous visons juste un bon tonic musculaire (Maxou) les autres cherchent à obtenir une silhouette bien faite avec des volumes intéressants à regarder.
Dernièrement, pour leur faire plaisir et parce qu'ils insistaient, PH et moi nous les avons accompagnés en boite. Notre arrivée a été remarquée ! 9 jeunes beaux mecs bien foutus et habillés sex qui passent ensemble l'entrée, c'est pas si courant. Je me suis aperçu que ma " petite bande " était quand même assez connue !! Le temps de traverser la piste et des consommations nous attendaient sur le bar, offertes par des clients, dixit les barmen. Je prévenais mes Escorts qu'on était là pour s'amuser mais de faire quand même attention. Tous m'ont gentiment dis qu'ils savaient faire attention à eux en ajoutant un " bien papa " vexant. Mouché, je les ai laissé se faire draguer. Ce n'est pas les plus moches ni les plus vieux qui cherchaient à s'accrocher à mes p'tits jeunes. J'ai pu remarquer aussi qu'ils ne se laissaient pas faire et savaient garder leurs distances. Quand j'en faisais la remarque à Simon en lui disant que c'était parce que j'étais là qu'ils se tenaient bien, il m'a tout de suite détrompé. Le fait qu'il soit en couple avec Morgan suffisait à ses besoins autres que sexuels qui eux étaient couverts par mes clients et que c'était la même chose pour les autres. C'était pas secret que Jona s'était trouvé avec François et que Benoit se faisait régulièrement Clem et inversement. Ils connaissaient tous le Nicolaï de Viktor. Et ils surveillaient Maxou comme s'il était leur petit frère à tous ! Les rares fois ou ce dernier s'était laissé aller vers un mec qui ne leur revenait pas, ils avaient géré et tout s'était bien fini. Faut dire qu'il n'y a personne d'assez inconscient pour se frotter à leur groupe.
Il me dit que par contre mon petit Maxou, finissait toujours ces soirées là dans le lit des uns ou des autres. J'apprends la chose. Cela me surprend mais il m'assure qu'ils font bien attention à lui. Je le laisser aller danser. Il rejoint Morgan et c'est Clem qui me rejoint au bar. Il me confirme qu'il a une petite histoire avec Benoit et qu'ils font tous bien attention à Maxou, conscients qu'il est plus fragile qu'eux psychologiquement. Je le remercie et c'est alors qu'ils arrivent tous pour nous pousser PH et moi sur la piste. Nous prenons le rythme, surtout PH qui se lâche. Je l'observe. La danse lui manque c'est sûr ! Il s'est collé à mon tempo et j'ai cru bêtement que cela lui suffisait, même s'il passe pas mal de temps à faire des exercices à la barre. Je m'aperçois ce soir là que ses yeux brillent plus que d'habitude. Je l'attrape et le serre dans mes bras et stoppe ses mouvements pour lui rouler un patin. Cela le surprend, même s'il sait que je ne crains pas l'exhibition ! Je lui glisse à l'oreille qu'il devrait reprendre des cours de danse classique. Il écarte l'idée d'un mouvement de tête. Je fixe mon regard dans ses yeux bleus, l'embrasse doucement sur ses lèvres et lui dis que je vois bien que cela lui manque trop, même s'il ne désire pas être danseur à l'opéra de Paris, son corps en a besoin !
Il me serre fort et avoue que cela lui manque un peu ! Je le traite de petit con, il avait toute latitude pour recommencer à danser. Comme si j'allais lui interdire quoi que ce soit !!
Dans la semaine qui suit, il explore les possibilités de " classiques " de la région. Il rencontre les professeurs, et cherche celui avec qui le feeling passe. Il revient un soir, enthousiasmé par sa rencontre. Il me décrit le cours et son professeur, 35 ans, issu de la formation de l'opéra de Paris. Je fais mon jaloux. PH me serre dans ses bras et me dit qu'il a passé l'âge de tomber amoureux de son prof. Il me dit qu'il l'a d'ailleurs invité pour l'apéritif samedi prochain, comme ça je pourrais me faire une idée du mec. En attendant, il est tout content de se remettre à la danse. Il revient le vendredi soir de sa première séance ravi à plusieurs titres. Premièrement il n'est pas trop rouillé et deuxièmement il a impressionné son prof par le niveau de la démonstration qu'il lui a faite. Les heures passées à la barre d'exercices n'ont pas été inutiles. Comme il ne s'est pas changé, il m'excite un maximum dans ses collants. Je l'attrape et lui roule une pelle. J'ai le plaisir de voir sa bite gonfler et déformer le tissu ! Je le balance sur mon épaule et descend d'un étage pour le pousser sous la douche tout habillé. Bagarre et je me retrouve avec lui sous les jets croisés. Les vêtements trempés s'accumulent sur le carrelage et nous alternons les savonnages avec les caresses. Nous nous suçons alternativement alors que l'eau continue à couler sur nous. Après l'avoir sucer une dernière fois, je l'empêche de se remettre à genoux. Je le pousse en avant et il comprend de suite que je veux son cul. J'attrape le flacon de gel sur la tablette à coté et m'en enduit la queue alors qu'il écarte ses fesses. Je l'attrape par les hanches et me plante en lui. Nous crions ensemble notre plaisir. Son anneau bien serré m'accueille avec toute la résistance propre à augmenter nos sensations. Nous jouons à qui sera le plus fort de ma bite ou de sa rondelle. Par moment, il arrive à bloquer ma progression et alors mon élan le plaque sur le carrelage de la douche. Nous faisons l'amour comme nous l'aimons, avec une pointe de soumission / domination qui pimente nos jeux. Mon PH se cambre et il bascule la tête en arrière suffisamment pour que mes lèvres puissent se poser sur les siennes rien qu'en me penchant. Ça m'excite au point de me faire jouir. Alors que je le rempli encore, je sens des contractions anales propres à l'orgasme. Je fini de me répandre en lui alors que son sperme coule sur les carreaux.
Le lendemain soir, son professeur arrive vers les 19h. Il nous dit avoir hésité à sonner, il n'imaginait pas qu'un logement puisse exister derrière la façade industrielle en béton. Je suis qu'à moitié rassuré, le mec est non seulement beau mais intelligent ! Il fait plutôt 30ans que 35 et j'ai du mal à dissimuler mon inquiétude. PH fini par s'en apercevoir et vient s'installer entre mes cuisses et se lover entre mes bras. Alexandre ne s'en offusque pas, il avait deviné qu'il y avait plus qu'une colocation entre nous. Il nous dit que lui-même est en couple avec un homme. PH s'excuse de n'avoir pas su et de ne pas lui avoir dit de venir avec. Je tranche et demande à notre invité si son mec est libre à ce moment là et comme sa réponse est positive, je lui dis de l'appeler et de lui dire de nous rejoindre. Comme il hésite PH lui dit que ce n'est pas nous qui allions l'outer auprès de ses autres élèves ! Il finit par l'appeler et lui explique comment venir au Blockhaus. Il nous rejoint un quart d'heure plus tard. Nous sommes surpris par sa jeunesse et sa beauté quand il sort du monte-charge. Il doit avoir tout juste 18 ans ! PH comprend la réticence d'Alexandre, son petit copain est aussi un de ses élèves.
Je vois dans ses yeux que leur couple lui rappelle sa propre expérience. D'ailleurs il ne peut s'empêcher de demander à Alexandre si les parents de Kamal sont au courant de leur relation. Si Alexandre est surpris par la sécheresse de la question, il comprend aussitôt que PH lui explique son histoire. Il le rassure, sa mère est au courant et accepte la situation.
Ce nuage passé, je déshabille le dernier venu du regard. Un peu moins grand que nous et plus fin musculairement, il arbore une bonne tête, les cheveux noirs très courts, ses lèvres sont pulpeuses et ses yeux bleus pleins de curiosité. Si je me souviens bien, son nom veut dire perfection, beauté ! Sa mère ne s'était pas trompée lorsqu'elle a choisi son prénom.
A son tour, Alexandre nous demande comment nous vivons. En quelques phrases, je résume notre situation. Kamal ouvre de grands yeux au fur et à mesure de la description de notre façon de vivre. Le courant passe bien entre nous quatre et les retenues de départ s'estompent. Du coup je leur demande s'ils ont quelque chose de prévu après auquel cas ils pourraient rester diner avec nous. Ils acceptent, ça nous fait plaisir !
L'arrivée de Samir et Ammed nous oblige à quelques explications de plus. Kamal est complètement éberlué par la situation. Quand ils sont sortis du monte-charge comme d'habitude en shorty cuir, il s'est étouffé avec son toast !
Nous continuons à parler ensemble alors qu'ils préparent le diner. Je déduis de nos échangent qu'ils sont ensemble depuis déjà plus d'un an. Alexandre admire nos oeuvres d'art alors que Kamal est plutôt attiré par les tableaux vivants de nos amis. Alors que PH et Alexandre discutent danse et se disputent rapport à un obscure danseur, Je m'approche de Kamal et lui demande si son prof de danse est aussi son premier mec. Il me confirme mon intuition alors que son regard reste fixé sur les " déjeuner sur l'herbe " en photomontages.
Je sens que les images l'excitent. Il se tourne vers moi, les joues rouges et me demande depuis combien de temps je suis homo. J'ai le temps de lui dire 5 ans que Samir vient nous convier à passer à table.
Pendant le diner nos convives se décoincent et les échanges deviennent plus intimes. Kamal en arrive à reprocher à Alexandre leur relation exclusive alors qu'il s'aperçoit à notre contact que le monde est plus vaste que ce qu'il imaginait.
Alexandre se défend d'avoir voulu le brider, il pensait que leur relation le satisfaisait. Nous sommes gênés, PH et moi ! J'ai pas vu le moment où ça a dérapé ! Avant que la situation empire, je prends Kamal à part. Même à l'autre bout du salon, je le sens tendu. Je cris à PH et Alexandre que nous descendons d'un étage.
Arrivé dans une chambre d'amis, je l'oblige à s'assoir et à se calmer. Il commence à vouloir me raconter leur histoire. Je le stoppe et l'oblige à réfléchir pour savoir si c'est vraiment ce qu'il veut que je sache tout d'eux deux.
Il reste silencieux un bon moment et avoue que finalement, c'est pas ce qu'il veut !
Il semble tout fragile et tombe dans mes bras secoué de sanglots. Je le laisse s'épancher sur mon épaule. Quand je sens que ses sanglots s'espacent, je l'écarte de moi et, à bout de bras je m'aperçois qu'il est sacrément mignon et que je me mets à bander. Lui aussi le voit et avant que je n'ai pu l'en empêcher, il tombe à mes genoux en arrachant mon pantalon et il me suce direct. Je le repousse mais il revient à la charge ! Après tout c'est lui qui le veut et sa gorge me masse aussi bien que celle de PH. Pendant qu'il me suce, je lui dis que s'il va jusqu'au bout nous devront le dire à nos partenaires respectifs. Il me fait signe qu'il a compris et continu quand même. Je le repousse au moment où je jouis et lui en fous plein le visage. Il se branle et jute sur le sol.
Un brin de toilette plus tard, nous remontons. Maintenant que l'excitation est tombée, Kamal est tout penaud ! Il tombe dans les bras d'Alexandre et lui déballe tout dans le désordre. Il commence par lui demander pardon et comme l'autre ne comprend pas pourquoi il lui dit qu'il vient de me sucer.
PH m'engueule en me disant que c'était pas la meilleure chose à faire. Je lui réponds que si justement et que ça a évité qu'il aille faire des conneries avec n'importe qui.
De l'autre coté, Alexandre demande à Kamal si c'est ce qu'il veut de faire d'autres expériences. Comme j'entends qu'il répond positivement, je regarde PH dans les yeux et leur propose de rester avec nous cette nuit. Il hoche la tête et me dit que je suis incorrigible. Je prends ça pour un accord et secoue tout le monde, imposant ma décision. Alexandre me regarde et après un coup d'oeil à son petit mec qui semble ravi, accepte.
Cela fait, l'atmosphère se détend et nous finissons de diner.
Jardinier
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ernestinee · 1 month
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J'ai terminé de lire "Réparer les vivants" et j'en parlerai une autre fois.
J'ai commencé "Les papillons", c'est écrit par Barcella et c'est assez poétique, dans le sens où parfois ça rime, et j'ai zéro atome crochu avec les rimes en général. Parfois ça rime et parfois ça ne rime pas mais c'est le rythme de lecture qui semble induit par les mots utilisés.
Si ça rime, j'ai les mots qui riment qui se mettent en exergue, comme s'ils apparaissaient en gras, et j'ai du mal à me concentrer sur la signification. Pour les textes en prose, ce sont des citations, des mots importants, les mots des ressentis, les mots des portraits, et c'est tout un plan qui se crée entre mes yeux et les pages, avec du gras, de l'italique, du surlignage et des couleurs. Quand je dis "entre mes yeux et les pages", c'est presque littéral. J'ai comme un plan en surbrillance et je sais le consulter du coin de l'oeil. C'est comme ça que l'histoire s'installe dans mon cerveau, c'est très visuel.
Je suis incapable de comprendre aussi précisément une histoire écoutée. C'est pareil avec les podcasts. Ma perception auditive est tronquée car j'entends les tics de langage, je détaille mentalement la position des organes phonateurs, le placement un peu trop décalé d'un apex ou sa tension un peu trop forte par rapport au souffle qui doit sortir. J'entends l'accentuation des mots, la nasalité ou le voisement, j'entends où se crée le R, où se liquéfie le L, je sens la tension dans le risorius quand un CH est prononcé. Le contenu me demande une concentration profonde. Dans une conversation c'est différent, la dynamique du discours simplifie l'accès au sens.
La lecture associe une perception visuelle, les mots qu'on voit, à une évocation multimodale : verbale car je vois les mots en gras et en couleurs, je crée un plan, visuelle car je vois une sorte de petit dessin animé et auditive car les mots chantent, j'entends parfois une voix, pas forcément la mienne, qui me lit le texte. Une quatrième évocation pourrait exister, celle du ressenti, ça m'est arrivé dans "réparer les vivants". L'évocation varie d'une personne à l'autre, en général dans un mélange équilibré des 4 modalités. Lorsqu'une modalité est surinvestie au détriment des autres, on tombe parfois dans le pathologique, avec des troubles dans la compréhension. Cette association perception-encodage est la base de la gestion mentale et répond parfois à des questions auxquelles je ne savais pas répondre avec ma seule formation de logopède.
Whah ce billet est plus technique que ce que je pensais.
J'apprends dans la foulée que Barcella est un chanteur, du coup c'est un homme et j'ai cherché son identité quand les premières pages décrivaient la mini jupe d'une demoiselle. J'ai soufflé un peu pcq bon. Mais en vrai ça sert à l'histoire, il consacre plusieurs pages à être blasé des femmes avec qui il est et à ne voir que leurs défauts. Je crois que j'ai lu une majorité de livres écrits par des femmes cette année. Barcella a l'air cool et il est même le parrain d'une association dont je fais partie ("on souffle dans ton dos" pour l'immersion scolaire des enfants autistes et handicapés). Bref je vais essayer de m'imprégner du rythme propre à cette lecture qui a l'air assez poétique et au pire je viendrai râler ici si ça m'énerve.
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Ph. La bouquiniste
"Toute volonté d'introduire et de comprendre la femme dans la parole la plus constante de l'homme, et qui est celle du désir, est vouée à l'échec. Et quand je vois sous la plume d'un ami, un frère, un copain, soucieux de mettre lui aussi du cœur au ventre de nos luttes, quand je le vois se donner un mal fou, généreux qu'il est, pour nous assurer que nous aussi les femmes nous « bandons », que notre petit clitoris qui n'a l'air de rien se dresse lui aussi, tout comme un beau pénis, que le désir est donc pour nous aussi, que cette rage qui l'emporte est aussi la nôtre, je ris vraiment de tout mon cœur. D'abord parce que j'aime cette belle santé qui, pour évoquer le désir, laisse tomber « les ailes déployées », "l'arc tendu"  et autres « flèches dressées » et s'adresse crûment à ce qui le porte, l'érection. Ensuite parce que la courte vue d'une pensée toute entière née de la virilité, mais qui se veut asexuée à seule fin d'être approuvée de tous, s'étale ici de la façon la plus vive, la plus drôle… J'ai beau être touchée d'un tel parti pris de gentillesse, force m'est de reconnaître qu'un pénis bandé a tout de même plus d'allure, de conviction, de grandeur somme toute, que la secrète et confuse érection de mon petit clitoris… Eh non, mon clitoris n'est pas un pénis miniature, eh non je ne bande pas; pas plus que je n'éjacule… Et comme c'est drôle cette bonne volonté de me donner en propre ce qui ne me plaît pourtant que dans la mesure où ça ne m'appartient pas. C'est si mal deviner ce que j'aime. Est-ce à dire que je ne suis qu'une planche à pain, un réceptacle à désir, un trou à remplir, un manque à combler ? Est-ce à dire que je n'éprouve pas le désir ? Si vous vouliez entendre par désir autre chose aussi que la diurne fulgurance de votre érection, si vous pouviez pressentir un autre versant au désir, versant nocturne délié de contrainte ; appel, attente, attente ivre et gonflée d'attendre, élargissement, dilatation, , si vous pouviez un seul instant cesser d'associer désir à projet, émergence et jaillissement hors de soi, alors je pourrais aussi jouir de votre mot, en jouer avec ma langue, le cogner contre mes dents, m'en caresser les lèvres et le couler dans le creux de votre oreille… Mais si votre désir savait l'immensité de ce qu'il pénètre, la profonde matière de ce qu'il traverse, l'accueil déployé à sa parole, jamais il n'aurait la sotte impudence de me confondre à lui.
C'est que vous ne voyez jamais plus loin que le bout de votre queue, au point ultime et sans au-delà où s'achève votre désir. Jusque là vous êtes d'impénitents voyants ; au-delà aveugles même sur votre aveuglement. Ainsi je ne reproche pas à l'homme la virilité de sa pensée. Je lui reproche de ne pas compter avec elle. Je lui reproche de la dissimuler et, ce faisant, de l'imposer sous le vocable trompeur de l'Homme, où la féminité est réduite au silence."
P.122, 123.
Annie Leclerc « Parole de femme » Livre de poche
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mel-et-ses-histoires · 11 months
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Pourquoi c'est mieux quand c'est bien ?
Bonjour mes petits pingouins.
Parlons séries et réalisation. J'entrerais dans les détails quand je parlerais de One piece mais pour faire simple nous avons maintenant des séries qui coutent des centaines de millions et qui pourtant on l'air d'être tournées dans des garages. Il y a des raisons à ça et j'en parlerais, mais en plus du côté cheap de la production on constate egalement une platitude totale de la mise en scène.
Or, on peut vous raconter quelque chose sans le moindre dialogue, uniquement avec le cadrage, la mise en scène et la musique.
Exemple :
Le roi Viserys entre dans la salle du trône. Il est malade et l'intendance est assurée par sa femme et son beau père. Raenyra va perdre un semblant de jugement où personne n'est dupe, tout le monde étant très content de la mettre dans le caca.
Et la contre tout attente le roi débarque.
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Le roi descend les marches, passe devant tout le monde et monte sur le trone pendant que des servants vont chercher des serpillières parce que littéralement tout le monde s'est pissé dessus.
C'est une scène qui joue sur les contrastes. Au niveau du jeu des acteurs le roi se laisse tomber sur sa cane à chaque pas puis donne l'impression de se tirer pour avancer. Il souffle comme un bœuf et il est quasiment courbé à 90°. Pourtant tout le monde le regarde terrifié, l'entendant murmurer "si tu bouges je vais te defoncer la gueule tellement fort que même Panzani voudra pas de tes restes pour faire des lasagnes !".
Ce sentiment de puissance qui irradie du personnage alors que son corps est très faible est appuyé par la musique, des violons qui bouclent toujours sur la même mélodies mais qui montent dans les aiguës à chaque nouvelle itérations.
Niveau dialogue c'est pareil, contraste entre le papi qui avance et la longue litanie de ses titres qui est prononcé bieeeeeeen lentement et avec une pose de 4h entre chaque titre. Le mec pèse et si tu respire c'est parce qu'il le souhaite.
Niveau cadrage enfin même asymétrie, on alterne deux type de plans : soit des plan à hauteur du visage du roi, donc les têtes de tout les autres sont dans la partie supérieur de l'écran voir carrément pas visible (image 2,4,5) soit des plans où on domine la foule MAIS toujours en étant avec le roi au centre et en bien visible car ce que l'image dit c'est que c'est lui qui domine malgré tout.
Et puis des plans bien large encore une fois pour appuyer le décalage entre la faiblesse du roi et la distance qu'il parcours, etc etc. Oui parce que la j'ai mis 5 plan mais en fait il y en a bien 15 hein, juste pour un papi qui marche.
Bref, une mise en scène qui est signifiante, qui raconte des trucs, c'est juste mieux que le sexe ou bien ?
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wubblesred · 4 months
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Ghoulcy Week 2024 Day 4 NSFW French
Bonjour mes chers habitants d'abri, j'espère que vous allez bien. Nous revoilà parti avec la semaine ghoulcy pour ce jour 4. Cette fois ci avec le thème NSFW Tendre Touché. Donc personnes mineures ne pas interagir merci. Bonne lecture et bon voyage dans les terres désolées.
Cooper et elle étaient mariés, c'était complètement dingue. Cela l'a rendait même euphorique. Bon rien n'était vraiment légal et cela avait été une union entre eux seulement mais y a-t-il encore des unions légaux dans ce monde hors dans des abris Vault-Tec. Et honnêtement elle voyait mal Cooper accepté un mariage officié par cette maudite entreprise. Même si c'était cette dernière qui les avait réunis.
Sa petite tueuse lui appartenait enfin, elle était tout à lui. La goule ne pensait pas ressentir une telle joie à nouveau depuis l'apocalypse pourtant Lucy avait cette tendance à rendre meilleure sa vie depuis qu'ils voyageaient ensemble. Jamais il n'aurait imaginé retrouvé l'amour dans ce monde pourri cependant Lucy MacLean lui prouvait le contraire.
Les deux époux marchaient côte à côte, à la recherche d'un endroit bien précis. L'homme connaissait une ville dans les environs qui proposait des chambres assez décentes pour un nombre de capsules assez raisonnables. Une sorte de lune de miel en soi pour eux deux. Ils auraient du calme et de l'intimité sans Canigou pour une nuit. Ils aimaient beaucoup le chien mais l'avoir juste à côté d'eux pendant qu'ils couchaient ensemble c'était un peu désagréable. Et puis leurs dos les remercieront de le faire dans un lit pour une fois. Camille, une vieille connaissance de Cooper travaillait là-bas et le chien serait donc bien traité pendant qu'ils seraient occupés.
Cooper lui avait assurer que la ville allait l'accueillir malgré que seule des goules y résidaient mais une angoisse gagna tout de même la jeune femme. Cependant un regard vers son mari qui lui fit un magnifique sourire suffit à la rassurer à l'approche de leur destination. Tant que la goule était à ses côtés, l'habitante d'abri se sentait capable de tout. On les laissa entrer sans problème à son grand étonnement, les gens semblait se classer en deux catégories ceux qui respectait son homme et ceux qui fuyaient à peine approchait-il. Cooper la guidait par la main jusqu'à une énorme bâtisse sur laquelle on pouvait lire une pancarte « auberge » accrochée au dessus de la porte. Cela ne faisait pas de doute, l'homme connaissait cette ville comme sa poche. Néanmoins quelque chose avait nettement changé depuis son dernier passage, l'électricité était omniprésente dans la cité, sûrement grâce à l'invention de Moldaver. Lucy quant à elle, fut agréablement surprise de reconnaître la personne présente au comptoir.
« Alors le vieux enfin de retour en ville. Et avec ta petite peau douce. » Dit Camille en les voyant approcher. « Vous restez combien de temps ? »
« Juste une nuit. Y a moyen que tu surveilles le chien pendant qu'on est en haut ? » Rétorqua Cooper tout en pointant du doigt le dit chien.
« Pourquoi t'as un truc à fêter ? Parce que ça avait pas l'air de vous déranger qu'on vous voit la dernière fois. »
« On s'est mariés. » Sautilla Lucy en s'intégrant à la conversation. La jeune femme avait dit cela avec un tel enthousiasme que même son mari fut surpris. Il n'avait pas imaginé que son épouse soit si heureuse de proclamer leur union ainsi.
La goule aux cheveux roses se mis à éclater de rire, jamais depuis les années passées à côtoyer l'autre goule aurait-elle penser que ce dernier déciderait de se marier et encore moins à une peau douce aussi joyeuse que Lucy. Et pourtant en les voyant se regarder ainsi, leur yeux brillants et arborant un sourire aussi radieux, il n'y avait aucune doute que ces deux là s'aimaient. Elle balança un jeu de clés à l'homme tout en contournant le comptoir afin d'aller près du chien pour le caresser et l'amener à ses côtés.
La chambre était assez banale, un lit double, des draps simples, une couverture rouge légère, les murs, eux, étaient nus laissant apparaître le bois en dessous. Il y avait tout de même une salle de bain juste à côté et franchement malgré sa simplicité, c'était du grand luxe pour ce monde.
« Et bien, même pas vingt-quatre heures mariés et déjà mon époux me gâte énormément. Je suis chanceuse. » Lucy ne put s'empêcher de rigoler, un discours qu'elle voulait taquin dans l'espoir d'attirer son compagnon près d'elle.
« Faut bien sortir le grand jeu, poupée. J'ai pas envie que tu fuis avec le premier venu. »
Même si Cooper avait usé un ton semblable au sien, la brune comprit que ce dernier avait une crainte qu'elle choisisse un autre que lui. Elle s'avança vers lui et remonta sa main le long de son torse pour atterrir sur sa joue.
« Ça ne risque pas d'arriver, à moins qu'on m'arrache à toi de force et te connaissant tu ne laisseras jamais ça arriver. C'est peut-être fou à dire vu le nombre de jours qu'on se connaît mais je m'en fous, je t'aime Coop. »
« Je... Je t'aime aussi Lucy, plus que je n'aurai imaginé. »
Les deux amants se rejoignirent pour un baiser, un qu'ils savaient allait lancer le début de leur étreinte passionné. Cooper la porta jusqu'au lit avant de la déposer délicatement dessus, ce soir il allait savourer chaque instant, il ferait en sorte que sa femme ne ressente que du plaisir et de la douceur. Leurs vêtements chutèrent l'un après l'autre sur le sol afin que les deux amants puissent se découvrir sans entraves à nouveau comme si c'était la première fois. Cette fois-ci pas de pillards, pas de précipitation ou de distraction. Seulement eux deux dans cette pièce, rien d'autre n'avait d'importance en ce moment, pas de Vault-Tec ni même Henry, juste eux, leurs corps et leurs amours.
La peau de Lucy était vraiment une des choses les plus douces que la goule avait touché de toute sa vie. Il n'osait que l'effleurer du bout des doigts, la peur de la ruiner d'une manière ou d'une autre était omniprésente. Poupée était vraiment le surnom parfait pour elle, ce fut ses grands yeux qui lui avait donné l'idée du surnom, ils lui rappelait une des poupées dont sa fille faisait la collection. Il savait que ses longs mouvements de ses doigts rendait la jeune femme dingue mais il désirait savourer chaque seconde de leur échange cette nuit. Enfin il pouvait voir clairement chacune de ses réactions, quelles caresses lui procuraient le plus de sensations, ce qui lui plaisait ou non, tout ça lui était complètement visible et c'était grisant.
Lucy n'avait jamais été aussi mouillée et pourtant Cooper ne lui avait fait que de minimes caresses tandis qu'elle se préparait à le recevoir. Mais son regard était tellement intense tandis que son touché, lui, était d'une douceur que son corps ne pu qu'être émoustillé. Néanmoins son désir était trop grand et malgré qu'elle comprenait l'envie de la goule de faire durer le plaisir, la jeune femme désirait avoir son mari en elle, sentir sa virilité emplir son être tandis que leurs âmes se touchent et s'unissent dans une explosion intense de plaisir et d'amour. L'homme semblait être le seul à lui procurer une jouissance aussi immense et profonde. Et en cet instant ce n'était plus un désir mais un besoin de ressentir cela qui la poussa à attirer l'attention de son amant à elle pour lui susurrer à l'oreille « Fais moi tienne pour l'éternité. Je t'en prie Coop, prends moi. » Cette phrase eut le mérite d'enflammer son mari qui n'attendit plus et retirer ses doigts avant d'entrer en elle d'un coup.
Cooper ne se lassera jamais de l'expression que Lucy avait quand il entrait en elle, sa bouche qui s'ouvrait pour laisser échapper un hoquet de plaisir tandis que son regard se brouillait et ses joues qui prenait cette jolie couleur rosée. Tandis que la goule commençait des mouvements de hanches lents mais précis, ses mains continuèrent de se promener doucement sur le corps de sa femme ne sachant pas que cet acte tendre procuraient tout autant de plaisir que ces vas-et-viens les plus brusques. Peu importe ce que l'homme faisait, Lucy y trouvait de la satisfaction. Justement parce que c'était son homme qui l'a touchait et lui faisait l'amour. La tendresse dont il faisait preuve aujourd'hui était tout aussi intense que si il l'avait prise sauvagement, Cooper savait parfaitement quoi faire pour l'amener au septième ciel et Lucy espérait lui donné autant de plaisir. Au dire de l'homme et à sa façon de réagir face à elle, c'était le cas.
Les amants n'allaient pas tarder à atteindre l'orgasme ensemble, leur première fois en tant que mariés allait finir mais la nuit, elle, ne faisait que commencer. La sauvagerie ou bien la rapidité prendrait la relève sur la douceur dont les amants avaient fait preuve. Ils avaient ce qu'ils leur semblaient l'éternité face à eux et ils en profiteraient un maximum ensemble. Les deux amants improbables. Les tourtereaux invraisemblables qui s'aimaient et se vouaient l'un à l'autre malgré tout. Cooper et Lucy Howard, liés ce soir et à jamais.
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eiffel21 · 1 year
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Whisky
Un p'tit dernier, pour la route, qu'il m'avait dit
Il avait pas l'air si amoché que ça, alors je lui ai servi
Il l'a bu d'un trait, c'était pour fêter "quelque chose de spécial" qu'il m'avait dit
Même s'il avait pas l'air très gai
Sur le coup j'ai pas compris
Qu'il buvait pour (les) oublier, sa femme, ses mômes partis
A jamais
Sûrement le dernier whisky de sa vie
Ticket pour les rejoindre au paradis
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Scalp-El
Coup d'Esprit, dans la nuit, de scalpel, délicat comme un éclair de lune, un voile agité par le vent. Tranchant, froid et sec.
A moitié nu sur son balcon. Une clope. Avec une robe de chambre contre la marée montante. Armure de chevalier gueux paumé dans le temps, chaque parcelle de peau à vif, il se sent vivant. Une sorte de tourbillon qui prend forme, sensation fantôme d'être parti de lui et d'offrir à plus grand un intérieur infime. Et ainsi habité, de se recoucher.
Réveil, c'était un rêve, forcément, puisqu'il y a ce réveil. Et ce café, et le lendemain matin. Je me sens plein, les muscles, la nuque, les seins enfin la poitrine, le torse, marrant de parler de mes seins, jamais désignés comme "mes seins" mais des pointes tétonnesque sur une poitrine qui me couvre comme un gant. Hmm, ce gant, sur mes seins... C'est un matin étrange que de penser à ma propre sensualité m'était étranger, j'habite un corps comme s'il s'était donné à moi. Oh, je n'avais jamais... ça... non plus... A moitié habité de moi, normal qu'il y ait eu un tel vide, oh corps je ne te savais pas, excuse-moi. Il y a comme un pleur qui se change en douceur. Et autour, toutes ces sensations, filaments de sens qui relient, à l'organisme-temps; lui. Je me sens, et dans ce temps je le sais, lui. Appelons-le Leeil. La divinité soi, intégrée à son espace-temps.
Vivante chose vibrante, cordes tantriques de sensation temps qui relient, donc ; et en jouer, joue-t-on de cet instrument. Un danseur prend le pas. Danseur et donc il y a un chanteur, aux claviers noirs et blancs. Ambiance langoureuse des corps mi-homme mi-femme enfiévrés de désir.
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Trop neutres
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C'était encore un rêve, dans un rêve dans une nuit, mensonge qui masque l'irréalité du matin et d'un instant de créativité d'être à soi. je suis à moi et mon corps m'appartient. Très féminin comme sensation. Transformation comme lorsque un chant, d'une note, vrille l'espace jusqu'au tympan et se répand comme de l'encre sur l'eau, le son dessine dans mon cerveau une pensée-image de la perfection.
Il paraît que l'Univers est né de sons. Fondamentaux. Leurs vibrations dans la matière étaient celle de l'angoisse d'un être qui paraissait.
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Donc de la sensualité-moi, j'en suis arrivé à la théorie de l'univers-origine. Il y a résonance. Est-ce qu'y planer, c'est une question de vibration ? Alors Superman... Je me sens trop moi pour être lui ? (Heu, mec, c'est une évidence.)
Envie d'écrire, ce matin, intéressante forme, image-temps/image-mouvement, le fondement du cinéma est-il aussi celui de ma conscience ? A l'échelle de l'échelle de Planck ça doit avoir du sens. (Relire Deleuze - le dire, ça fait tellement classe : j'ai étudié Deleuze. En toute honnêteté, il faut avoir été confronté à de très très grands penseurs théoriciens pour faire sauter les limites. Ils étaient bien barrés dans leurs sensation-monde ! Comme de regarder Lynch en tentant de pénétrer sa pensée créatrice... Expérience transcendante, à ajouter au lâcher-prise total de son propre corps libéré de l'obligation d'être moi cet égo formé.
J'ai oublié une parenthèse
fermante
)
(Voilà c'est fait ne pas oublier de la refermer) (la parenthèse
Bon, je vais faire quoi aujourd'hui de cette sensation ? Lire. Passer l'aspirateur ? Lire et passer l'aspirateur. Etendre une lessive, non ? (Un doute, ai-je fait une lessive que je n'ai pas étendue ?)
J'aimerais... Avoir du bois à couper ! Et les êtres, ça vous dirait pas d'avoir du bois à couper pour préparer un grand feu ? Retour du totalitarisme humanitaire et du joueur de corde danseur invisible dans l'air. C'est lui superman ? Il danse entre les courants de vent ! 100 costumes multicolorés en gloire de paillettes les neutrinos me traversent, hurle-t-il de plaisir, d'avoir été créé.
J'ai pris une douche, hier soir ? Oui oui, j'ai pris une douche. Ca va, j'ai toujours des repères cohérents. Ou est cette robe de chambre ? J'ai pas de robe de chambre, la seule ici, c'est celle de mon fils, et l'autre quelque part il doit encore y avoir celle de sa mère ! Y'en a au moins deux encore de robes. Purée, ça me rappelle que j'ai essayé une robe et que j'ai envisagé d'aller à la fête de fin d'année de ma boite... en robe ? ! Heu, je manque de limites, moi on dirait, quand même.
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Ouais, si, si jamais je me demandais encore...
Café.
Et fermer la parenthèse)
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gerceval · 2 years
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Le Choix - chapitre 3
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
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- Oui bon bah c'est pas non plus la peine de faire la gueule.
- Mais je ne fais pas du tout la gueule, sire.
- C'était la solution la plus logique, c'est tout, et pis c'est pas comme si on s'était jamais retrouvés à partager un lit non plus Lancelot, faites pas votre mijaurée.
Arthur n'aimait pas beaucoup les manières de Lancelot. Avec le sortilège merdique qui venait de leur tomber sur le coin du pif, ils avaient quand même d'autres chats à fouetter que de s'inquiéter de savoir si leurs doigts de pieds risquaient de s'effleurer pendant la nuit. À bien y réfléchir, c'était même limite vexant.
- Je n'ai aucun problème avec ça sire.
- Eh ben alors ?
- Eh ben alors je m'inquiète simplement des conséquences de cette situation, et si dormir ensemble ce soir ne risque pas d'ajouter des noises à notre moulin ?
Il n'avait pas tort, et le problème avait bien sûr traversé l'esprit d'Arthur, mais quelle autre possibilité s'offrait à eux ?
- Nan mais ça va, il suffit d'essayer de se réveiller tôt et de s'arranger pour croiser personne demain matin, vous en faites pas pour ça. Et pis de toute façon on a du pain sur la planche, il faut qu'on élabore une stratégie pour remédier à la situation, ça va peut-être nous prendre jusqu'au lever du soleil.
Surtout si vous continuez à faire la gueule, se retint-il d'ajouter.
- Et votre femme ?
- Quoi, ma femme ?
- Ne va-t-elle pas s'inquiéter de votre absence ?
- Oh vous savez, vu comme elle pionçait quand je suis parti, y a de grandes chances qu'elle se soit même pas rendue compte de mon départ, et puis bon, il a pu arriver deux ou trois fois que je me barre au milieu de la nuit pis que je revienne pas, ya pas de raison qu'elle en fasse un cake.
Il regretta d'avoir trop parlé. C'était encore l'effet irrésistible du fait d'être affalé dans un lit qui le poussait systématiquement à bavasser sans réfléchir ; avec la fréquence à laquelle il se retrouvait au plumard avec un de ses chevaliers, il fallait qu'il commence sérieusement à tenir sa langue. Mais Lancelot ne répondit rien. En voyant son propre visage reflété devant lui, Arthur s'interrogea. Était-ce vraiment à ça qu'il ressemblait quand il se retenait très fort de faire un commentaire ?
- Bon, alors. Qu'est-ce qu'on fait ? Vous pensez qu'on en parle à Merlin en priant pour qu'il arrive à régler le problème avant que ça en devienne un vrai ?
Mais Lancelot n'avait pas l'air d'avoir la tête à l'action. Il avait toujours les bras croisés, et semblait pensif. Il finit par répondre, les yeux légèrement plissés.
- Vous pensez que le sort nous a vraiment transformés en répliques exactes l'un de l'autre ? Je veux dire exactes exactes ?
- Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise moi, j'en sais pas plus que vous.
- Mais vous êtes pas curieux ?
Arthur était pris de court par la question.
- Ben... Je vois pas pourquoi ce serait pas exact, je veux dire... vous m'avez l'air plutôt... plutôt moi quoi, mais c'est difficile à dire.
Lancelot garda à nouveau le silence pendant quelques instants.
- Je sais pas, peut-être que si on se rendait compte que c'est pas exact-exact ça pourrait nous donner un indice. Par exemple, est-ce que vous avez des signes distinctifs un peu subtils, comme un grain de beauté ou une tache de naissance, je sais pas...
- Un indice de quoi ?
C'était au tour d'Arthur de plisser les yeux. Lancelot sembla rougir dans l'obscurité.
- Ouais nan mais vous avez raison, ça n'a pas de sens. Je sais pas pourquoi je... Du coup, Merlin.
- Ouais, je me disais que si on se lève un peu tôt et qu'on se dépêche d'aller le tirer du lit, on peut s'arranger pour qu-
Soudain, des pas retentirent dans le couloir. Il ne pouvait pas être plus que trois heures du matin, qui pouvait bien se balader dans cette partie du château à cette heure-là ? La réponse ne tarda pas à venir : c’est la voix de Guenièvre qui se fit entendre, en un chuchotement forcé et enfantin, en même temps que deux petits coups rapides contre le bois.
- Y a quelqu’un ?
Et sans attendre plus d’une seconde, Guenièvre ouvrit la porte.
[Votez ici pour ce qui se passe dans le chapitre suivant] [Lisez le chapitre suivant ici]
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anaalnathrakhs · 5 months
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2 11 12 <3
desuite <3
2. Song about sex
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Je vous aide pas en mettant des chansons bourrées d'argot, mais en même temps elle est tellement bien Avec ta zouz. Un chanson de chad qui ne correspond à aucune expérience vécue pour moi, mais bref, c'est pas pour ça que c'est pas une bonne chanson.
11. Song fit for a revolution
...toutes ?
Pardon, oui, je vais donner une vraie réponse
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Bien évidemment, Mort aux Cons par Tagada Jones, qui parle du parti d’extrême droite français. Bien du type à faire chanter le public, donc, très utilisable.
12. Song for drinking/party
Mdrrrrrr est-ce que j'ai l'air d'aller boire souvent ? Est-ce que je passe pour une alcolo sur tumblr point com ? Je connais pas les trucs récents. Le dernier bar où je suis allé ils passaient du Maître Gims de 2012. Je sais pas comment faire comprendre la qualité de la ref, mais ça commence à être fun qu'à partir d'un verre ou deux quoi. Et je dis ça, moi je trouve que ça passe, mais bon, est-ce que c'est quali ? Clairement non.
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Femme Like U, j'ai pas d'explication, c'est vieux, c'est cringe, mais j'aime bien au fond. J'assume. La chanson qui sera à mon mariage, sans dec. (c'est une blague) (ou peut-être pas)
Je sais pas si c'est l'image la plus flatteuse de mes goûts musicaux, mais why not. Merci de ton ask <33
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tournesolaire · 1 year
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J'étais vraiment superbe hier (imbue de moi même ?), chaque fois que je vois Jess ça me donne cette impression peut-être un peu étrange d'être la femme que j'ai toujours voulue être, d'être splendide et invincible haha
C'était vraiment une soirée incroyable
J'étais très touchée, je pensais qu'il revenait de Reims pour voir ses copains, pour faire un peu la fête avec tout le monde, voir sa famille etc et qu'il m'avait prévenue pour qu'on se voit "au passage" mais enfait non
Il est revenu hier en fin d'après-midi, on est arrivés chez lui en même temps et il est reparti cet après-midi en même temps que moi, il voulait juste me voir moi et ça m'a vraiment fait super plaisir
Quand je suis arrivée on a pas mal papoté dans sa chambre (elle m'avait vraiment manqué) en buvant des Heinekens comme à chaque fois, ça me fait rire
On a fini par partir en vélo jusqu'au drop comme d'habitude et le trajet avait un petit air de nostalgie pour lui comme pour moi, parce que c'est la dernière fois qu'on le faisait, la dernière fois que j'étais sur le porte bagage accrochée à lui, la dernière fois de l'année pour lui c'est sur et peut-être la dernière fois pour toujours pour moi
C'était touchant et étrange ce trajet, on reparlait de notre rencontre et tout ce qu'il s'était passé entre temps, a quel point le temps était passé vite
Et c'était bizarre de se rendre compte qu'au début il faisait grand soleil pendant les balades et que maintenant, on avait nos gros pulls et on regardait les étoiles les cheveux dans le vent frais et humide
Le temps est passé vite
"J'ai l'impression qu'on se connait depuis toujours"
Au drop aussi on s'est rendus compte que l'été était fini, on est montés a l'étage au lieu d'aller en terrasse
Il a mangé une poutine et prit une barbare comme a chaque fois alors pour la petite routine j'ai pris une Licorne Pills, pour retrouver un peu le goût de nos premières soirées hehe
Un copain a lui a finit par nous rejoindre, il s'appelle Roman et il est vraiment super super sympa
Apparemment mon haut leur faisait penser à la pochette d'un album des Smashing Pumpkins hehe
Au final dans la soirée on a quand même fini par aller se poser dehors, et je me suis retrouvée a un peu (beaucoup) trauma dump a propos de Batiste et plus largement des agressions sexuelles que j'ai vécu et c'était touchant de voir comme il était touché lui même et très à l'écoute
A un moment je suis partie vomir sans qu'il me voit alors quand je suis revenue les yeux humides il s'est inquiété parce qu'il croyait que ça allait pas a cause de notre discussion
Suite à ça on est rentrés, le trajet est passé vite et j'ai profité de l'air frais de l'automne pour me coller à lui pour le réchauffer et aussi pour me réconforter
On s'est posé au calme dans sa chambre, évidemment on l'a fait, une dernière fois, et j'ai failli pleurer parce que je savais que c'était la dernière fois et je voulais pas abandonner tout ça
Malgré tout c'était génial, c'était chouette d'expérimenter de nouveaux trucs et de se rendre compte que vraiment maintenant on se connait presque par cœur, on sait sur le bout des doigts ce que l'autre aime sans gêne, aucune
Après ça on a beaucoup beaucoup discuté
Jusqu'à 5h du matin
Il m'a parlé de Reims et de Justine
Ça m'a fait plaisir qu'il m'en parle
Ça m'a fait plaisir qu'il me dise qu'il pensait être amoureux, et j'étais vraiment étonnée d'être seulement très heureuse pour lui, sans jalousie
J'espère qu'il finira par vivre quelque chose de joli avec elle, même si pour l'instant ça se passe un peu mal parce qu'il fait n'importe quoi et qu'elle cherche pas du sérieux
Je lui ai donné plein de conseils sincères, mais malgré tout
J'ai senti un élan d'amour dans mon coeur
Peut-être du vrai amour, je sais pas trop
Quand il m'a raconté comment ça se passait, que c'était compliqué, qu'il retenait jamais rien a propos d'elle, qu'il proposait pas vraiment de trucs à faire ou quoi
J'étais touchée et étonnée parce que
"Oui mais toi je retiens tout sur toi, les moindres petits détails, je crois que t'es plus intéressante qu'elle enfait, mais oui je retiens tout, regarde je me suis souvenu que tu veux aller à Londres, que Mr Park te pistonne, que t'aimes le jaune, que t'as un peu honte mais que t'écoutes Fauve "
Et puis il a dit qu'avec moi c'était simple
On se prend pas la tête et on vit juste des jolis moments doux, on fait le tour des friperies, on boit des coups, on se promène, on fait des photos a l'argentique, on va boire des milkshakes
Je sais pas si c'est moi qui sur-interprete ce qu'il a dit
Mais je pense qu'au fond de lui il ressent un peu la même chose que moi
Je sais pas si on s'aime
Mais en tous cas ce qu'on ressent c'est joli
On s'est endormis dans les bras l'un de l'autre et j'aurais aimé que la nuit ne s'arrête jamais
Le matin s'est encore étiré jusqu'à environ 13h30
On a fait comme d'habitude, on a traîné au lit en écoutant de la musique et je l'écoutais me raconter des anecdotes sur ses groupes préférés
Il m'a montré plein de photos et vidéos aussi
Et puis au final
C'était pas la dernière fois hier soir
Il m'a serré fort dans ses bras et nos lèvres se sont égarées
On l'a fait tout doucement, avec tendresse
On a prit notre temps
On a fait l'amour avec un grand A et c'était beau, c'était beau "parce que c'était vrai et parce que c'était sincère, parce que c'était nous"
J'ai mangé chez lui du coup, on a fumé quelques cigarettes qu'il tenait à allumer au bord de mes lèvres avec son zippo
On a beaucoup ri et beaucoup discuté de ce qui allait se passer maintenant dans nos vies
On s'est promis de se donner des nouvelles et de parler à l'autre si jamais ça allait pas où qu'il se passait quelque chose
On s'est fait la bise
Et puis je suis partie
On se reverra à sa pendaison de crémaillère le 14 octobre mais ça y est
C'est fini
La jolie parenthèse est fermée
C'était vraiment joli à vivre
C'était joli les moments avec lui
Peut-être qu'un jour on se retrouvera qui sait
Peut-être qu'un jour
On vivra une belle histoire
Ou peut-être pas
Seul l'avenir nous le dira
Mais je suis reconnaissante pour tout ça
Je pense que je penserai toujours un peu à lui au fond de mon coeur, même s'il ne s'est rien passé, je pense que quand j'aurais 40 ans je penserai encore a ses beaux yeux bleus, sa petite barbe mal rasée, son sourire angélique, son t-shirt Johnnie carwash et ses cheveux doux
Je crois que je l'aime
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fallenrazziel · 2 years
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Les Chroniques de Livaï #550 ~ L'INSOUCIANCE NE S'IMPROVISE PAS (septembre 846) Mike Zacharias
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
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Tu es machiavélique, Erwin. Il a suffit de quelques ragots pour que la moitié de Trost ait décidé de prendre d'assaut le Mur Rose. Ces pauvres gardes sont dépassés. Il faut croire que la fascination pour le bataillon n'est pas tout à fait morte. Regarde ce peuple !
Les remparts sont noirs de monde. Les militaires ont bien tentés de refouler les premiers curieux, mais ils ont laissé tomber maintenant. Il faut dire que tous les éléments sont présents pour attirer les gens : une machine qui permet de capturer des titans et le caporal Livaï en plein boulot avec son escouade d'élite... On pouvait pas mieux faire. Il est bon de rappeler à nos concitoyens que nous sommes toujours les meilleurs soldats du Royaume et que nous valons notre salaire. Erwin a marqué tous les points possibles.
Enfin, seulement si cela se passe comme prévu. Je prends la longue-vue des mains de mon supérieur et observe un peu comme cela se passe en bas.
Les explorateurs ne se sont éloignés que d'un kilomètre ; cela permet au public de les scruter sans trop de problèmes. Les équipes ne sont pas passées par la porte principale mais sont descendues en rappel le long de la paroi ; les chevaux ne sont pas de la partie, mais le coin est assez boisé. Erwin a pris soin de poster nos unités sur une trajectoire excentrée, afin de ne pas se trouver sur le passage de la masse des titans. Ceux qu'ils affrontent sont peu nombreux et je ne vois pas de déviant. Hanji doit enrager... non, elle est trop occupée à placer correctement ses deux captureuses aux endroits propices. Je ne vois pas très bien comment elle procède mais apparemment, elle a réussi son coup. Il ne manque plus qu'à attirer des cibles. Elles ne doivent pas être trop grandes... C'est le rôle de l'escouade de Livaï d'éliminer ceux qui ne font pas l'affaire.
J'entends un "ooooh !" admiratif courir sur tout le rempart. Je braque la longue-vue vers le bas du Mur, au sud-est ; j'ai juste le temps de voir Livaï virevolter vers un dix mètres et l'abattre d'un coup sur la nuque. Evidemment, le nain fait sensation... Il ne se force jamais là-dessus, c'est une seconde nature chez lui. Quand j'y pense... Erwin a dû donner tout ce qu'il avait pour le convaincre de venir. Erwin ordonne et nous obéissons, mais avec Livaï, il faut toujours finasser. Une vraie diva, celui-là...
Erwin me reprend la longue-vue et observe à son tour ce qui se passe. Ton caporal fait hurler les foules, on dirait. C'est ce que tu voulais, non ? Mais ça n'avance pas bien vite, une capture serait une bonne chose. Mon équipe est censée servir de leurre pour attirer les titans dans le piège. Ces jeunots-là, ils sont infatigables, ils viennent tous de la même promo, je crois...
Je me sens bousculé par derrière, me retourne et aperçois une femme avec une robe très volumineuse se frayer un chemin parmi la foule. Toutes les strates de la société sont là, Erwin. Les nobles s'ennuient encore plus que les prolétaires, on dirait... Bon, qu'est-ce qui se passe ? Raconte.
Il me dit qu'un petit titan est sur le point de se faire capturer, il avance dans la bonne direction. Mes soldats lui font de grands signes pour attirer son attention et ça a l'air de fonctionner. Ils ont peur de rien... L'escouade de Livaï tourne autour de la scène à bonne distance, prête à agir en urgence. Erwin voit Hanji gueuler quelque chose au caporal, qui s'éloigne alors en bougonnant. Elle ne le veut pas dans ses pattes, je parie ! Et il doit en être bien content !
Tu sais, Erwin, quelle que soit l'issue de cette journée, je pense que ton vrai tour de force, c'est de les avoir amenés à collaborer. Ces deux-là s'engueulent tout le temps sur le champ de bataille. Erwin sourit en coin en me rendant la longue-vue. Il répond qu'il en est conscient, que Hanji et Livaï sont totalement opposés de caractère, mais que cela ne doit pas les empêcher de travailler efficacement. C'est une mise à l'épreuve pour eux aussi alors ? Bien joué. En tout cas, ils ne se sont pas encore entretués, donc c'est bon signe !
Erwin se rapproche du bord du rempart et je suis presque obligé de le retenir par l'épaule pour l'empêcher d'aller trop loin. Oui, tu as bien vu, je crois que Hanji a lâché les câbles ! Le monstre est bien ficelé, il tombe par terre. Voyons voir si la théorie se vérifie dans la pratique... Les explorateurs entourent la prise - pas trop près - et Hanji sautille de joie en s'approchant - trop près... Moblit n'en mène pas large ! Et le public semble aux anges ; j'entends même des applaudissements. Bien, que vont-ils faire de ce gros bébé maintenant ? Une fois ligoté, comment le transporter ? C'est quelque chose que nous n'avons...
Mmmh, Erwin ? Je lui rends la longue-vue mais lui signale par un tapotement sur le bras que j'ai senti quelque chose de désagréable. Ouais, ça sent les ennuis, vieux. Te retourne pas tout de suite mais je crois qu'on a de la visite. Il me signifie qu'il a compris et je le vois changer imperceptiblement d'attitude. Il est sur le qui-vive tout en paraissant totalement absorbé par le travail de ses soldats, en bas.
Connaissant Erwin, il est tout à fait capable de faire les deux en même temps.
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lilias42 · 1 year
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On se remet au dessin en faisant la tête de Pyrkaïa !
Bon ! Je m'étais dis que j'essayerais de me remettre au dessin alors, j'ai dessiné Pyrkaïa, l'ancêtre de Catherine, dite la Flamme Passionnée et Brave liée au feu ! Son inspiration est surtout à trouver dans la période grecque et la cité de Sparte / Lacédémone.
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Bon, déjà, Pyrkaïa est très musclée ! C'est une sorcière qui s'entraine tous les jours à manier le feu et la chaleur, ainsi qu'une forgeronne qui manie le marteau toute la journée dans des ateliers où il fait très chaud (mais c'est pas elle qui va être gêner par la température) et qui sait se battre pour mener une bataille à elle toute seule à mains nues alors, elle a du muscle Déesse !
En plus, elle est vraiment très grande. Catherine est déjà la plus grande femme jouable du jeu avec son 1m75 mais, elle est limite petite à côté de Pyrkaïa qui fait tout de même 1m90 (ma fanon des Charon, c'est que toutes les femmes de la famille soit très grande, même si c'est souvent moins le cas chez les hommes). Elle est aussi grande qu'Hanneman, Raphaël ou Lambert et dépasse même beaucoup de ses contemporains, ce qui l'aide à obliger les hommes à l'écouter, vu que de toute façon, elle est plus grande et plus forte qu'eux donc, on ne peut pas la faire taire par la force.
Et voici comment elle aime s'habiller quand on ne lui dit rien et qu'on ne lui casse pas les pieds. Sa tenue est composé d'un chiton arrivant à ses genoux qui la laisse libre de ses mouvements, avec très peu d'accessoires ou de fibule pour le tenir mais là, la raison est assez simple : c'est que quand elle utilise ses pouvoirs et sa sorcellerie, elle s'enflamme et la température de son corps augmente beaucoup alors, elle fait fondre à peu près n'importe quoi. C'est aussi la raison pour laquelle, elle se bat toujours à mains nues, elle fait fondre ses armes alors, elle trouve que c'est du métal gâché. Elle préfère donc coudre certains pans de ses vêtements (ça peut arriver avec les vêtements grecques, surtout sur la fin) ou les attacher avec des nœuds, plutôt que de les accrocher avec des fibules qu'elles feraient de toute façon fondre.
Au début, elle était obligée de se couper les cheveux afin de les tisser, pour se refaire des habits qui supportent la chaleur qu'elle dégage quand elle se bat (ou juste s'énerve quand elle était jeune et qu'elle maitrisait encore un peu mal ses pouvoirs, et même sur la fin de sa vie, son contact devient vraiment brûlant dès qu'elle se prépare au combat). L'étoffe qu'elle porte ici par contre est un cadeau de son mari, un nabatéen qui est arrivé à fabriquer avec l'aide du dragon des flammes (celui qui a l'emblème de Daphnel) un tissu qui supporte les températures extrêmes. C'est pour ça que le motif sur le bas de sa tunique est le même que celui que porte Sothis, Rhéa, Seteth et Byleth, c'est l'étoile céruléenne telle que la représente les nabatéens.
Cela lui a aussi permis de garder ces cheveux très longs comme tous les sorciers car à cette époque, ils pensaient que la magie était stocké dans le corps (ce qui est vrai à Fodlan) alors, plus on aurait les cheveux longs, plus on aurait de place pour la stocker. Elle met donc la grosse majorité de ses cheveux en chignon avec une partie qui retombe dans son dos.
Son chiton est un peu particulier car, l'étoffe est en fait plus longue qu'elle en a l'air, assez pour faire un péplos (la tunique féminine grecque pour faire vite) et dans ces cas-là, elle ressemble plus à ça :
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(en bas à droite, vous avez à peu près l'échelle de taille entre - de droite à gauche - Pyrkaïa, Catherine et Shamir [Pyrkaïa rencontre la femme de sa petite-fille en parlant épée ^^])
La jupe est alors bien plus longue et tombe jusqu'à ses pieds ou un peu plus haut étant donné que c'est tout de même une étoffe principalement drapée alors, c'est assez facile pour elle de l'ajuster. Dans le premier dessin, sa jupe est relevé très haute, d'où la sorte de volant / côté bouffant qui est accroché sur ses hanches avec une première ceinture, puis maintenu près du corps avec une seconde ceinture. C'est pour ça qu'elle en porte deux même en péplos, ça lui permet d'ajuster rapidement ses habits en cas de besoin. Le pan de tissu sur sa tête lui sert à se protéger du soleil d'Almyra, étant donné qu'elle est née là-bas avant qu'une partie de sa cité migre en Fodlan afin de trouver de meilleures terres pour nourrir tout le monde. Elle laisse toujours deux mèches de cheveux s'en échapper, simplement parce qu'elle aime bien et ça permet de montrer sa chevelure blonde assez rare en Almyra, tout comme ses yeux bleux qui vont bien avec son teint assez sombre (elle a la couleur de peau de Cyril, et ça passe pour ses cheveux blonds vu que c'est rare mais, on a tout de même des femmes blondes en Grèce, c'est juste plus rare)
Si elle n'est pas tout le temps en chiton, c'est moins parce qu'elle aime aussi porter un péplos que parce qu'elle veut être tranquille dans sa vie de tous les jours. C'est une périèque (soit des libres sans être citoyen) vivant dans l'équivalent de Lacédémone puis une de ses colonies une fois arrivé en Fodlan donc, ça aurait pu être pire, c'est pas une hilote (donc une esclave avec un statut assez particulier car, Sparte est assez particulière au milieu des cités grecques, j'y reviendrais dans son billet) mais son principal problème qui va la suivre toute son existence longue d'environ 800 ans, c'est que c'est une femme dans une cité grecque. Elle n'a donc pas de statut autre que celui de mineur soumise à son père, puis à son mari (et à la cité si vraiment elle a plus personne). Bon, vu le caractère très volontaire, déterminé et fort qu'elle a - elle ne s'est pas tournée vers la maitrise du feu pour rien), c'est pas elle qui va faire la femme parfaite qui reste gentiment dans le gynécée à s'occuper de l'économie domestique et de la famille (surtout que n'étant pas fille de citoyen, elle n'a pas accès à l'éducation qu'on réserve aux femmes spartiates qui est très musclée pour qu'elles fassent des citoyens forts, même si étant fille d'artisan, son père tenant à elle et qu'il a vite remarqué que sa fille ira loin, elle a eu une bonne éducation, rien que pour avoir un bon mariage) elle va vite envoyer ça sur les roses, même si ça va être un combat permanent afin qu'on la respecte. Elle continue à porter un péplos dans la vie de tous les jours afin de ne pas devoir se justifier à chaque coin de rue. Etant donné que cela ne la gêne pas et que ses vêtements restent solides et mis de manière pratique, ça ne la gêne pas, même si elle a dû se battre pour avoir le droit de porter sa tunique comme les hommes.
Pour ses fiertés, il s'agit de vaisseaux qui traversent tout son corps mais, ça fait comme si elle était craquelé, un peu comme j'ai essayé de le dessiner en haut à droite du deuxième dessin. ça fait vraiment une peau assez épaisse et dure (limite pierreuse à l'aspect) qui est séparé par des veines assez sombre quand elle n'utilise pas sa magie mais, qui se mettent à briller et surtout brûler quand elle commence à l'utiliser ou à s'énerver. ça la rend assez résistante à des coups d'épée vu que sa peau est solide et que de toute façon, elle dégage une telle chaleur qu'elle va surement faire fondre la lame de métal ou réduire le bois en cendre dès qu'on l'attaque. Elle a aussi ses orbes où sa magie se concentre et qui sont également extrêmement chaud. C'est de là que partent ses flammes quand elle attaque ou se défend, ou alors quand elle entoure son corps de flammes pour impressionner son adversaire. Elle ne se voie pas très bien ici mais, son oeil gauche est très souvent enflammé en permanence, même si elle peut l'éteindre au besoin.
Son autre fierté la plus importante est son sang qui est très chaud en permanence et qui ressemble plus à de la lave à la fin de sa vie. Faites vous toucher par une seule goutte de son sang, et vous serez brûlé au dernier degré, si elle ne s'en sert pas pour vous enflammer au combat. Pyrkaïa le fait rarement mais, elle peut faire tomber quelques gouttes de ses blessures sur le sol, histoire de montrer de quoi son sang est capable et prévenir son adversaire que si elle s'énerve, il n'a aucune chance de s'en ressortir sans séquelles alors, il ferait mieux de s'enfuir. Elle peut être très dure et ne machera pas ses mots mais, elle préfère éviter devoir finir par tuer quelqu'un alors qu'elle aurait pu trouver d'autres solutions. Pendant sa longue vie, elle a vu que c'est souvent quelque chose qui empire la situation plutôt que l'améliorer alors, elle évite un maximum de devoir en arriver à tuer quelqu'un, surtout avec sa sorcellerie où si elle ne tue pas, laisse gravement brûlé et handicapé à vie donc, Pyrkaïa est très prudente avec son utilisation et se contente souvent de sa force et de son endurance surhumaine pour se battre.
En fait, elle est une personne qui détesterait Lonato de toute son âme et n'aurait aucun problème à le défoncer quand il attaque GM : il prend la décision pour tout le monde sans consulter son peuple, les emporte dans sa décision stupide et les fait tuer stupidement en faisant souffrir ceux qu'ils croisent car LUI était en colère. Elle le traiterait surement de connard irresponsable, surtout qu'étant grecque, elle hallucinerait de voir qu'une seule personne peut décider pour tout un peuple sans passer par le vote, qui n'est même pas élu et verrait cette situation comme une tyrannie bonne qu'à être renversée, surtout que les rois de Lacédémone sont extrêmement contrôlés et ont encadré par les lois de la cité et peuvent être puni s'ils se comporte mal, c'est qu'en expédition militaire qu'ils ont beaucoup de pouvoir (ils sont même deux issus de deux familles différentes à Sparte, comme ça, ils se tirent dans les pattes et c'est les éphores et la gérousia qui dirigent la cité en période de paix)... et Déesse, ce serait vraiment la galère autant pour Lonato que pour GM si elle atterrissait en plein milieu de la mission contre lui ! D'un côté, elle serait un excellent élément pour arrêter Lonato vu que comme côté GM, c'est surtout des mineurs et qu'elle sent que Catherine est de sa famille, elle irait se battre pour les protéger mais de l'autre, elle n'aurait aucun état d'âme à affronter des civils, vu que quand c'est la guerre dans le monde grec, c'est les citoyens qui vont défendre la cité selon l'idéal du citoyen-soldat et là, on prend tout le monde vu qu'il n'y a pas d'armée professionnelle (sauf plus ou moins à Sparte mais, là encore, c'est un cas à part) et techniquement, c'est pas un problème pour un grec d'attaquer quelqu'un qui s'enfuit du champ de bataille, c'est même à ce moment qu'on fait des dégâts (cf cette vidéo et allez voir cette chaine, elle est géniale sur l'histoire militaire), même si elle, elle les laisserait s'enfuir sans trop de souci s'il n'y a pas de risque qu'ils reviennent. Et il y aurait surement de belles incompréhensions entre une grecque qui connait le système de la cité avec une certaine forme de démocratie pour tous ses voisins, et des prises de décisions collégiales ou collectives (on vote la guerre à Athènes par exemple, c'est l'ensemble des citoyens qui disent si oui ou non, on fait / continue la guerre ou non), à des monarchies, ça passerait mal et elle aurait beaucoup de mal à comprendre pourquoi ils acceptent cela, même si elle reconnaitrait qu'il doit y avoir des avantages si les habitants de Fodlan ont adopté ce système plutôt qu'un autre.
Pour sa palette de couleur, c'est assez varié étant donné que les grecs adoraient les couleurs vives et que c'était un symbole de richesse d'avoir de belles couleurs. Elle est cependant issus d'un milieu relativement modeste, même si elle n'a pas trop de problème d'argent (elle a réussi à posséder sa propre forge d'où elle tire ses revenues) alors, Pyrkaïa aborde des couleurs relativement courantes et abordables. Pour les tissus que lui a offert son mari, je pense que c'est plus dans les tons de bordeaux avec des motifs blancs à la nabatéenne qui s'accorde avec ses cheveux blonds, ou des bleus qui vont bien avec sa peau sombre et font ressortir ses yeux et ses flammes qui sont devenus bleus tellement elles sont chaudes. Sinon, elles ressemblent énormément à Catherine pour ce qui est du visage et de son apparence générale.
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clemjolichose · 1 year
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you won't have to hide away - partie 3
Fandom : Nassau : la nuit des canons
Pairing : Anne Bonny x Mary Read, Jack Rackham x Stede Bonnet, Charles Vane x Lucy Greenwood
Nombre de mots : 716 mots
Avertissement : Violence, mort
Résumé : Qui est ce mystérieux personnage venant au secours de la fugitive ? Quelles sont ses motivations ? Serait-il un allié ?
Note d’auteurice : Vous pouvez aussi lire ce texte sur Wattpad ou AO3 ! Cette fanfiction, basée sur une comédie musicale indépendante, a plus d'un an et je suis fièr-e de vous la partager enfin !
Partie : 3/11 - Le Démon de Nassau
Partie 1 | Partie 2
Chanson : Run Boy Run de Woodkid
Le tintement du métal semblait effroyable dans le silence de la forêt. Mary se leva dès qu'elle put, avec la volonté d'aider quiconque l'avait sauvée. Elle se battit ainsi contre le corps de chasse de Calico, au côté d'une personne qu'elle n'avait encore pu voir. Mais le combat ne fut pas long puisque pour une obscure raison, Woodes Rogers fit battre les hommes en retraite. Stede Bonnet se tenait à ses côtés et venait de lui murmurer à l'oreille - c'était sûrement ce qui l'avait dissuadé de mener bataille. Tant mieux. Mary s'étira, sa chute ayant été douloureuse, et se tourna vers le mystérieux inconnu- la mystérieuse inconnue, à vrai dire. "Anne Bonny, lança Bonnet. Où est ton maître ? Il doit être perdu sans son soutien moral... -Oh, t'as pas un thé à siroter le petit doigt levé en léchant les bottes de la Navy ? répliqua la susnommée du tac au tac. T'es sur mes terres, et tu le sais très bien, alors dégage tes sales pattes d'ici avant que je ne déclenche un incident diplomatique." Le roi leva les mains en signe d'apaisement et récula doucement. Comme Rogers ne faisait pas de même, il le tira. "Je préfère ça." Anne Bonny rangea sa lame. Un dernier regard, et elle fit volte-face pour rejoindre son propre royaume. Mary Read la suivit en boitant, à cause de sa blessure, et tenta d'attirer son attention. "Eh ! Merci, pour- pour m'avoir défendue face à eux. -Je défends surtout mon territoire. La Navy n'a aucun droit sur Nassau, répliqua Anne avec énervement." Puis elle regarda Mary de la tête aux pieds. "Sympa le déguisement. T'as l'air d'avoir les épaules d'une pirate, dommage que t'en ai pas le nom. -C'est quoi le problème avec mon nom ?! -Mary Read ? C'est pas un nom de pirate ! -Et Anne Bonny alors ?!" Mary était vexée, et Anne ne faisait que rire. La première se relaxa tout de même, apaisée de sentir sa bienfaitrice aussi détendue et amicale auprès d'elle. Elle avait vraiment cru qu'elle allait tuer ce Stede Bonnet d'un regard...
Anne Bonny invita Mary dans la forteresse de Nassau, qui était à peu près le seul bâtiment se tenant sur les terres de Nassau, mais elle était bien remplie : des pirates en tout genre et de tous genres l'habitaient, bien que le port semblait bien vide. Nassau était pauvre et en difficulté, à côté de la resplendissante Calico, ou du troisième royaume de l'île, plus menaçant : La Vanerie. Les deux jeunes femmes traversèrent la place du marché, au sein de la forteresse, et se rendirent dans une taverne appelée Le Goulot des Sirènes. Encore une taverne, pensa Mary. À l'intérieure, elles saluèrent la propriétaire qu'Anne présenta brièvement : "Lucy Greenwood, la maman de tout le monde ici." Ladite Lucy sourit en saluant Mary. Elle avait un regard perçant, comme si elle pouvait percer tous les secrets d'une personne par sa simple vision. Et elle semblait déjà en voir long. Mary était un peu mal à l'aise de cette contemplation insistante, mais ne dit rien. De toute manière, Anne était en train d'expliquer sa bien mauvaise situation et en deux temps trois mouvements, Mary se retrouva à l'abri des regards, dans une chambre, sans pantalon, Lucy soignant sa jambe. Les crocs ne s'étaient pas enfoncés trop profondément et la blessure avait cessé de saigner pendant sa marche jusqu'à la forteresse, mais la propriétaire de la taverne semblait tout de même inquiète. "Anne m'a dit que c'est un chien de chasse de Bonnet qui t'a fait ça..." Elle se faisait étrangement plus douce que lorsqu'elle était derrière son bar. Mary pouvait voir pourquoi on disait d'elle qu'elle était la maman de tout le monde. Elle hocha la tête. "Que s'est-il passé ? -J'étais prisonnière de la Navy et- -Oh mon Dieu, Lucy la coupa-t-elle. C'est eux qui ont dû partir à ta recherche avec l'aide des chiens de chasse de Bonnet. -C'est ça, oui. Il y avait ce corsaire, Woodes Rogers." Lucy soupira. "Une chose est sûre, il ne te lâchera pas de sitôt. Mais ne t'en fais pas, Nassau te protégera." Elle sourit doucement en terminant de bander la jambe de Mary. "Et voilà, évite de marcher pendant deux-trois jours et tu seras sur pied en un rien de temps ! -Merci madame Greenwood- -Oh appelle-moi Lucy, la coupa-t-elle encore." Les deux femmes sursautèrent en entendant des cris au rez-de-chaussée. "Reste là." Lucy sortit précipitamment de la chambre.
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bourbon-ontherocks · 2 years
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(Précédemment, dans le Coeur a ses raisons rewatch HPI...)
Cet épisode a une place à part dans mon cœur parce que c’est littéralement le tout premier que j’ai vu. Oui j’ai commencé par la fin. Comment vous vouliez que je ne tombe pas la tête la première dans cette obsession, après avoir vu ces deux idiots FLIRTER A FOND LES BALLONS ?
Pour moi, Morgane qui danse dans sa cuisine dès que les enfants sont partis, c’est ça (100% convaincue que c’est une ref d’ailleurs.  Et c’est un de mes films préférés, btw) :
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“A vue de nez je dirais qu'il est mort.” “Oui, ça m'en a tout l'air” Ce dialogue n’a aucun sens, on se croirait dans la Cité de la peur 😅
“Je suis à ça  🤏 du burn out !” Et Bonnemain qui se marre...
Karadec qui apporte un café à Morgane, mais c’est trop mims comment il pense à elle ! 😍
Aksjsksj, j’aime trop comment Gilles dragouille Daphné et elle l’ignore totalement ! 😆 Et oui, on veut voir Daphné sur le terrain
“Je serais vous je chercherais un remplaçant pour les quinze prochaines années, quoi” -> Mais Daphné est pire que Morgane, question tact, en fait !!
La tête de Morgane quand Adam et la psy s’affrontent 🤭
Céline : “J'ai pas raison ?”, le regard de Karadec à ce moment-là, c’est la genèse de l'enquête en off 🙊
Adam qui attend Morgane devant chez elle... 🥰🥰
“Sauf que là je vais pas vous laisser y aller toute seule. [...] Je pensais que vous alliez être un peu plus rapide” -> Mais...  🥵🔥😭 *grabby hands*
“A moins que vous soyez là pour mon corps de déesse et mon regard de braise avouez que vous aussi vous doutez” -> Alors comment dire... Je pense qu’il y'a d'ça aussi, hein
“Vous êtes vraiment une gosse” ! La musique bretonne ! Profitez de ces derniers instants de complicité entre Morgane et Adam, parce qu’après y’en aura plus pendant un moment... 😩
Le. Fake. Dating. 🙉
Ok alors je sens que je vais le regretter, mais là on nous dit que “il y a cinq mois, en novembre” le monsieur avait reçu des menaces. Donc cet épisode se déroule en avril. Retenez bien cette info pour le prochain épisode...📅
“Bros ? [...] Pas très focus, hein. [...] Ah non mais vous faites ce que vous voulez de votre temps libre, Karadec, y’a pas de problème” -> J’adore comment Morgane est comfortable with him 😭😭
“On est de la baise” ?? Mais c’est quoi cette expression ?
Morgane qui essaye subtilement de se faire inviter au resto, “je rêve ou vous venez de vous enfiler deux glaces ?”, Karadec qui lui paye une robe à deux cents balles et un 3 étoiles, shut up, they are in love 🤩🤩
“Faut vous en remettre, là...” -> QU’EST-CE QUE JE DISAIS 😱
Le flirt. Karadec qui rit aux blagues de Morgane. THEY ARE IN LOVE 🥵
Morgane qui fait le geste de waxer la planche me fait toujours hurler de rire
“Vous étiez au courant que votre femme vous trompait avec un surfer mort ?” ->  🤣🤣 (je suis désolée mais on dirait qu’elle parle de nécrophilie)
LE. FLIRT.  😱🔥😱🔥😱🔥
“Vous êtes bonne. Coéquipière” -> I’m gonna pass out 😱
Le regard de Morgane quand il lui dit qu'il veut continuer a bosser avec elle 😭😭😭
Sur le papier, une enquête qui part en vrille, de la violence, et Karadec qui tire sur un mec pour protéger Morgane, c’est juste mon trope préféré, mais je sais pas, il manque un truc à la scène, je trouve ça mal fait...
Je sais pas vous, mais moi je suis fan de la belle relation qu’ont Ludo et Théa, même si c’est pas son père biologique 🥲
“J'te reconnais plus, mais qu'est-ce qui t'a pris ?” HE IS IN LOVE OMG  🙊🙊🙊
Oh bordel, le concert des Celtic Legends !!!  La tête de Morgane quand elle comprend qu’il viendra pas !! Tri Martolod... 😭😭😭😭
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