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#- Ah oui! En effet
lolochaponnay · 2 months
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Un homme va consulter son médecin : - Docteur, je viens vous voir parce que mes testicules sont ridiculement petits! - Faites voir, dit le médecin! Le gars se déshabille et le médecin commente : - Ah oui! En effet, ils sont minuscules! Rassurez-vous, il existe un médicament pour ça. Il est très efficace, mais il a deux inconvénients. Il n'est pas remboursé par la sécurité sociale et il est conditionné par boîte de trente, alors qu'il faut en prendre un seul par jour, pendant dix jours! - Tant pis, répond le gars. J'en achèterai une boîte, puisqu'il le faut! - Voici votre ordonnance, revenez me voir dans deux mois pour faire le point. Le patient commence le traitement le jour même, et constate un grossissement de ses cacahuètes jour après jour. Alors il décide d'aller au bout de la boîte et prend les comprimés pendant un mois. Le jour de son rendez-vous, le médecin fait entrer une dame dans son cabinet et demande : - Que puis-je pour vous madame? - Je suis madame Dupont. Vous avez prescrit un remède à mon mari, pour lui faire grossir les testicules. - Ben oui, mais où est-il votre mari? - Dans le couloir, il est en train de faire les manoeuvres avec la brouette!
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Palais de Thornolie: 17 May 1850, 13:45
Le Roi Gaspard: Très bon, and there's still no update from Parlement?
Duc de Clèrisseau: They should be starting the voting process in the coming weeks.
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La Reine Arabella: Ah! Henri!
Duc de Clèrisseau: Arabella, bonne journée.
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La Reine Arabella: I'm so glad to have caught you. Perhaps you may be able to assist me in unearthing a rather curious situation.
Duc de Clèrisseau: I shall endeavour to do my best.
La Reine Arabella: Are you aware Eleanor has rejected Oliver's invitation to join him at the Prix de Thornolie?
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Duc de Clèrisseau: [Sighs] Oui...I am aware.
La Reine Arabella: Do you not find it...rather odd? At the opera everything appeared quite settled between them.
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Duc de Clèrisseau: En effet...truth be told, Arabella, Eleanor has been acting peculiar ever since that night. She's withdrawn, jumpy, and any time a letter is handed to her in my presence she goes deathly pale. Charlotte and I are growing more concerned by the day. Something is clearly amiss.
La Reine Arabella: Oliver has been utterly beside himself since she sent word rejecting him...[sighs] but I suppose until we can uncover what is happening I will have to arrange for another to accompany him....Perhaps...Mademoiselle Aubert?
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Le Roi Gaspard: Aubert? You cannot be serious, Arabella. You truly think it wise?
La Reine Arabella: You know as well as I Oliver must be seen making an effort, regardless if his heart has made its decision. Not to mention the Chronicle has spoken often enough regarding the two of them in recent weeks...
Duc de Clèrisseau: Perhaps...we can do something in the meantime? To reconcile whatever has happened between our two children?
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Le Roi Gaspard: Honestly, is this truly necessary?
La Reine Arabella: Oui...a wonderful idea, Henri. I shall arrange for an afternoon tea in two days time. I'll go and make the arrangements now and have an invitation ready for you before you leave. We shall get to the bottom of this. I'm certain of it.
Duc de Clèrisseau: Merci, Madame.
La Reine Arabella: Oh, and Gaspard? Do try not to look so sour-faced. It's never suited you.
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k-reblog · 2 months
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Story time rambling time~
L'histoire d'une soignante
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The tragedy of being nurse and being scared by her own blood test.....
I cried.... I prayed "anime god" to no it's not going to happen....
I am scarred...
So my co-worker just told me:
"Ne t'inquiètes pas voyooons, je passerai demain matin pour te la faire !"
....
"Ah oui en effet tu es terrorisée... Ça va aller on te pique où généralement ?/ Dans la main, ce n'est pas banal... Ah oui d'accord je comprend, tu as de touuuuutes petites veines !" *tapotte tapotte pour faire sortir la veine*
Cass grabbing Kuruella nui like the last Champagne bottle.
Cass (scared crying)...
Crewel:... Do you want to hold my hand ?
Cass (grabbing his hand)
Crewel: I SAID HOLD MY HAND NOT CRUSHING MY HAND!!!????
5 min later
Crewel: It's taking a while, isn't ?
Cass (collapsing sobbing)
Co-worker: Yes her blood vessels are tiny and she is struggling not passing out~
7min 32 s later (yes I put a chrono)
Co-worker: It's done, breath !!
Cass (passing out)
Co-worker Momo... : (slapping me) Wake up hahaha !!
Cass: OMG MOMOOO it hurts (talking about blood test) *crying like an alpaga*
Co-worker MOMO who is 70 y.o: You are not a baby !! Hahaha
Cass: huuuhhh
Crewel: Nice shoes by the way~
Cass: Don't tell anyone.....
...
I am not ashamed to be scarred of blood test.... Nope...
My health unity is so old xD look at that vintage floor !!
Don't tell anyone....
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selidren · 5 months
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Eté 1916 - Champs-les-Sims
2/15
Elle y a retrouvé un ancien camarade de classe de la faculté de médecine qui a travaillé au dispensaire français à Londres, un certain Armand Pradin (ou Pradier, je ne sais plus). Il a été appelé en qualité de chirurgien au début de la guerre. Elle n'avait jamais vraiment parlé de lui avant, mais j'ai cru comprendre qu'ils étaient plus ou moins amis, et qu'il a assisté de très près au pire horreurs quand notre vaillante armée a repoussé les envahisseurs à Verdun.
Transcription :
Armand « C’est incroyable de te retrouver par hasard après toutes ces années. Cela fait au moins… quatre ans depuis la faculté. »
Rose « En réalité, nous nous sommes revus au gala pour le dispensaire français à Londres. Tu étais assis près de moi pendant la représentation au Gaiety. Je crois que tu ne m’as pas reconnue. »
Armand « Vraiment ? Tu m’en vois désolé. »
Rose « Ce n’est rien tu sais. Il y avait une célébrité sur scène à ce moment. Et si mes souvenirs sont bons, tu étais bien plus intéressé par les jeunes femmes célibataires qui pouvaient croiser ta route, alors que j’étais accompagné de mon mari. As-tu finalement trouvé une femme qui veuille bien de toi ? »
Armand « On peut dire que tu n’y vas toujours pas par quatre chemins. En effet, je me suis marié un mois avant la guerre. Elle s’appelle Cécile, et elle doit supporter mon caractère puisqu’elle a dis oui de son plein gré. Quand ce sera fini, je devrai te la présenter. Et tu pourras me présenter ton mari. »
Rose « A vrai dire, Zéphir est décédé en Meuse l’année passée. Mais je serai ravie de rencontrer ta Cécile. »
Armand « Bon sang, je suis désolé. Et dire que je me moque de toi alors que je suis toujours aussi indélicat. »
Armand « D’ailleurs, à ce propos… je suis vraiment désolé pour le reste. »
Rose « Désolé pour quoi ? »
Armand « Tu sais… tout le reste. Tout ce pour quoi je ne me suis jamais excusé avant. J’étais un jeune crétin. Non pas que cela m’exonère de quoi que ce soit… Ce que je veux dire, c’est que quand j’y repense… je suis mortifié. »
Rose « C’est vrai que cette période n’a pas été facile. Au moins tu le reconnais. »
Armand « Je n’ai pas vraiment de mérite. Ma Cécile est médecin aussi. Tout ce que tu as vécu, elle l’a vécu aussi. C’était la petite jeune femme blonde qui était deux années en dessous de nous. »
Rose « Ah oui, la petite chose qui gardait les yeux baissés dès qu’un étudiant ou un professeur s’adressait à elle. A elle aussi ils lui ont fait la mauvaise plaisanterie de lui tourner le dos pendant toutes les premières leçons ? »
Armand « Oui... »
Rose « La pauvre. Je n’ai jamais vraiment eu l’occasion de parler avec elle et je le regrette. Moi au moins, quand j’étais à sa place, j’avais mon mari… enfin il était mon fiancé à cette époque. Il a toujours compris, et il n’a fait que m’encourager. Je pense que je lui doit en partie d’être allée jusqu’au bout. »
Armand « Comment était-il ton mari ? »
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leseffrontesfr · 9 months
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— Alphonse, cher maître, puis-je vous importuner dans votre travail ? — Mais entrez-donc, mon ami. Vous êtes venu accompagné ? — Point du tout ! C’est par coïncidence que Mademoiselle se présente à votre porte au moment où j’y frappe. — Monsieur Fauré, je dois vous parler ! — Vous êtes ? — Séraphine Lampion. Avez-vous une bouilloire ? — En effet, elle se trouve sur le poêle. J’en suis pleinement satisfait. Inutile de m’en vendre une nouvelle. — Je vais faire du thé. — Et bien faites. Et vous, mon cher Hypolite, quel bon vent vous amène ? — Une brise toute joyeuse ! J’ai été chargé par la Société des Artistes Méridionaux de la rédaction du catalogue de la prochaine exposition. La curiosité et une impatience toute enfantine m’ont portées jusqu’à votre atelier pour connaître les œuvres dont vous voudrez bien nous honorer. — Voilà une fort bonne nouvelle ! Je mets justement la dernière touche à… — Où rangez-vous les tasses ? — Dans la petite armoire chinoise, Mademoiselle. Près de la fenêtre. — Ah ? Quelle drôle d’idée. Vous n’avez que du thé noir ? — Oui, je m’en excuse. Je vous disais, mon cher Hypolite, que je mets la dernière touche à un magnifique bouquet de violettes qui fera oublier mes mimosas de l’exposition précédente. — Comment serait-ce possible ? Vos mimosas étaient si beaux qu’on croyait en sentir le parfum ! — C’est l’excellent indigo de chez Viollet-Roze qui m’a inspiré une toute nouvelle combinaison de nuances. Un ange a dû guider ma main pour me faire accomplir ce prodige chromatique ! — Je me réjouis d’avance de le contempler… Mais… Mais… Mademoiselle ? Votre robe tombe il me semble… — Vous n’avez pas de sucre non plus ? Pas de miel ? Il va être raide mon thé. — Ma parole vous voilà dénudée ! Perdez-vous toute pudeur ? — La pudeur ! Dans un atelier de peintre où défilent les modèles tirés du caniveau entrent deux séances de passe ! Que les hommes sont hypocrites ! — Je ne peins que des fleurs, des paysages et quelques fois des visages. Je le jure ! Dites-lui, Hypolite. — Jamais Alphonse ne s’est adonné à la peinture licencieuse, Mademoiselle, pas même au genre mythologique ou allégorique. Votre reproche est infondé. — Les hommes sont tous les mêmes. C’est pour cela que vous avez besoin de moi, Alphonse. Ce n’est pas en peignant des coquelicots dans un champs ou des nymphéas sur une mare que vous deviendrez célèbre. — Je suis sûr que mes violettes toulousaines marqueront tous les amoureux des fleurs et du Bel Art ! — Et pourquoi pas des tournesols fanés dans un vase en terre cuite, tant que vous y êtes ? Non, Alphonse, si vous voulez passer à la postérité, il vous faut peindre un nu. Voici mon nu, peignez-le. — Je… je ne sais que dire, Mademoiselle Séraphine. C’est un très beau nu. Votre offre est généreuse, mais je ne puis. Ce n’est pas moi, ce n’est pas mon art. D’autres peintres savent mieux que moi peindre ce genre de… ce genre là. — Je n’offre pas, je vous commande. Regardez ça… Et ça… Ah, vous regardez, cochon ! Alors peignez. Faites-moi belle et désirable, qu’on ne parle que de moi sur le Capitole. — Hypolite, que dois-je faire ? Est-elle folle ? — Je ne crois pas. Un peu plus impudente que les femmes de son temps, mais guère plus que les romaines des antiques orgies. Qui sait ? Un jour, sûrement, chaque jeune femme voudra que sa photographie soit exposée au monde entier. Dans quelle tenue ? Je n’ose l’imaginer. Il faut prendre en pitié les hommes des temps futurs, s’ils aiment encore les fleurs. Peignez-donc la scène, puisque Mademoiselle vous le demande. Quelle jolie vision que le tourbillon du thé…
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bigoudibouclebrunes · 2 months
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Bigoudi Bouclebrunes et les Deux Cours Partie 6 (La route d'Isentorche, partie 3)
Résumé des épisodes précédents : Grandoulf avait trouvé l’Anneau de pouvoir du Seigneur GrosCon et l’avait remis au gentil hobbit Bigoudi Bouclebrunes pour qu’il le détruise dans la Montagne du Destin. Avec l’aide de Laurentgorn Duvernay-Tardif, Broromir, Legrandslack, Kimchi, ainsi que le jardinier hobbit Samsauge et de leurs confrères Pépin et Méridien, ils étaient devenus la Communauté de l’Auto, aidant Bigoudi et Grandoulf dans leurs aventures. Après avoir perdu Grandoulf aux mains d’un France-Hélaine Duranceaurog et avoir perdu Broromir tombé devant les hordes d’orcs et goblins des zinternet en protégeant les hobbits Pépin et Méridien, ces derniers furent hobbitnappés et la Communauté de l’Auto fut bel et bien dissoute. Bigoudi et Samsauge prirent la route vers le Nord, prenant en pouce Conspiragollum. Ils venaient de s’arrêter lorsqu’ils furent pris en otage par les rôdeurs du Gondor et un certain Danslamire, frère de Broromir. Pendant ce temps, Laurentgorn, Kimchi, Legrandslack et Grandoulf avaient retrouver Pépin et Méridien qui avaient réussi à tourmenter Nantelroumane et Sogna-Languedeserpent.
Bigoudis Bouclebrunes et les deux cours : La route d’Isentorche partie 3
« Ah, mais vous savez, chers lecteurs… s’il y a des retards dans les dossiers pour des places en garderie, c’est de la faute aux immigrants. S’il n’y a plus de logements, c’est de la faute aux immigrants. S’il y a des longueurs dans les salles d’attente dans les hôpitaux? Les immigrants. Le coût de la vie qui monte, le transport public qui prend une débarque, les stationnements manquants, la réduflation, les nids de poule dans l’asphalte? Bin oui, les immigrants. C’est pas notre faute à nous, le gouvernement, si on fait rien pour régler ces problèmes-là, même si ça fait maintenant deux mandats qu’on s’asseoit sur notre steak… la vraie raison de pourquoi ça va mal, là… on va se le dire, c’est à cause de gens qui viennent dans un pays pour changer de vie, pour avoir une vie meilleure, qui pensent que le Québec est une terre d’accueil et qui n’ont généralement aucune idée des aides, des façons de faire ou encore de toutes les choses qui peuvent leur être offertes. Oui, oui, peu importe, si on est des lobbyistes, si on a l’air de faire de la collusion, si notre chef a choisi d’idolâtrer Maurice Duplessis alors que n’importe qui aurait voulu plus ressembler à Jean Lesage, ça n’est que hasard et fortuité. Non, en effet, le problème, ce sont les étranges. Parce que tsé… ‘sont étranges et on les connaît pas. Y viennent avec des costugnes bizarres, là, des tissus exotiques, y parlent en langues… faut leur apprendre qu’ici, c’est d’la flanelle pis le françâ! Au dible les polyglotte! »
Bigoudi referma le Mordor-Sud Matin. Décidemment, même en ces lieux, il n’avait pas de meilleure lecture que de lire l’expectorat littéraire de Bernarpaul Saint-Pierre Plamondrainville… même de la lecture de fond de cage à oiseaux était mieux que de lire ceci, ce dit-il. Mais encore « ceci » était mieux que de voir Conspiragollum s’exciter le seul poil du crâne qui lui restait avec Elon Musketaire et la reprise de toutes les Cybercharettes qu’il avait promis. En effet, Conspiragollum y allait d’un « MON BITCOIN!!! » par-ci, « POURQUOI NOUS TRAHIR, ELON?!?! » par-là et avec une cadence si effrénée que Samsauge avait gardé le kale de ses assiettes et les avaient mis dans ses oreilles en disant « quitte à ne pas manger ces choses-là, t’aussi bin s’en servir pour pas entendre l’autre »…
Bigoudi avait été un peu plus diplomate et avait tenté de parler à Conspiragollum, sans grand succès. Ce dernier tenait mordicus à dire que le libre-marché allait s’autorégulariser et que de donner tout son argent à un dragon reconnu pour garder son or allait finir par faire en sorte que ce même dragon allait créer de l’emploi pour partager son or.
Bigoudi secoua la tête. Il regarda à côté de lui. Samsauge avait ses touffes de kale dans les oreilles, mais à ses côtés se trouvaient des petits plats de fruits avec quelques feuilles de kale sur le côté, de la crème anglaise, du fromage cottages, un de la crème du Devonshire, une variété de scones dont : des natures, d’autres à la framboise et chocolat noir, au citron, à la lavande et au chocolat blanc, au chocolat au lait, aux bleuets et airelles, au sureau et caramel ainsi que quelques-uns à la fraise de la Comté. Il y avait des bagels, du fromage à la crème, du saumon fumé, des tartinades de crevettes, des saucisses natures, des saucisses au fromage, du bacon, ainsi qu’un immense plat avec des œufs brouillés, un bol avec des pommes de terres rissolées, une marmite remplie de fèves au lard et sirop d’érable, du jambon en tranche au sirop d’érable… il y avait même quelques oreilles de christ, des crêpes à l’érable, du pain doré à l’érable ainsi que des tartelettes au sucre d’érable nappées d’une triste crème fouettée qui était tombée à cause de la chaleur. Mais qu’à cela ne tienne, Bigoudi serait prêt à sacrifier ses papilles gustatives pour ne laisser aucune miette dans son assiette. Il y avait aussi un crime de lèse-majesté parmi le lot… un camembert froid. Bigoudi hochait la tête, se demandant qui, parmi les rôdeurs du Nord, tentait de les éliminer, Samsauge et lui. Un camembert, voyons… ça se mange chaud! Coulant, même! Et Conspiragollum s’était jeté sur cette moribonderie et l’avait goulument avalé. Bigoudi avait eu envie d’engueuler la triple couille qui leur avait servi une telle atrocité, mais il n’était pas en position pour quelque négociation. En effet, Danslamire, frère de Boromir, les avait pris sous son aile et les avait bien nourrit, malgré de maigres rations… « résolument, » se dit Bigoudi, « ces pauvres rôdeurs n’ont que la peau sur les os et ne peuvent nous donner plus. » Et il s’était résigné.
Danslamire entra alors dans la pièce et déclara « Je me dois de vous poser cette question encore, mes chers visiteurs… quelle est votre couleur préférée?
- Vert! Répondit Samsauge.
- BRUN! TADROSS! répondit Conspiragollum.
- Euh, oui! Répondit Bigoudi qui n’en avait pas la moindre idée… Mauve, mettons?
Danslamire le regarda encore… puis déclara « Et maintenant… quelle est votre quête? »
Samsauge feint n’avoir rien entendu en pointant ses feuilles de kale dans les oreilles.
Conspiragollum cria qu’ils allaient remercier les convois de camions et Bigoudi répondit qu’ils s’étaient aventurés dans le Nord pour y cueillir des framboises.
« Je sais que mon frère n’a pas été comme le devrait être un héritier du Gondor… » dit alors Danslamire, calmement. « Mais de grâce, dites-moi pourquoi mon frère aurait rejoint des cueilleurs de framboises… n’y a-t-il donc rien qui l’ait mis sur votre chemin? »
- Nous avons dû nous séparer de Broromir… il convoitait un anneau magique et… dit alors Samsauge, mais s’arrêta net en voyant le regard furibond de Bigoudi, l’intimant à se taire. « Euh…, reprit-il, On est allé checker les sources pour le 3e lien! »
Le regard de Danslamire s’éclaira. Et il comprit immédiatement. Il n’était aucunement question qu’il touche à l’anneau que portait Bigoudi. Il savait aussi que plusieurs groupes d’aventuriers avaient pris la grand route dans le but de détruire des anneaux fictis, pour décontenancer les forces obscures du Mordor… mais il ne s’essaierait pas avec ces anneaux. Même fausse, une ogive nucléaire renfermait une certaine force, une certaine crainte qu’il ne voulait pas touché.
« Vous pouvez finir votre goûter, reprit Danslamire. Puis, nous vous guideront vers les routes du Nord… et vous serez libres de poursuivre votre aventure. »
Ceci surpris Bigoudi. Mais il était reconnaissant envers les rôdeurs du Nord. Ils les avaient bien traité, au final.
Quelques heures plus tard, Bigoudi, Samsauge et Conspiragollum partaient en direction de Dol Guldur, la montagne du sorcier noir, appelé aussi communément St-Jérôme. Danslamire avait cependant averti Bigoudi de se méfier de Conspiragollum. Oui, c’était louable de lui donner de l’importance et de l’aider à avoir des outils contre les croyances étranges et pour l’esprit critique, mais que Bigoudi lui-même n’était pas à l’abris des croyances obscures et qu’il serait mieux d’être sur ses gardes. Bigoudi l’en remercia avant de trottiner vers Samsauge qui se secouait les oreilles, rejetant quelques restants de kale.
***
À Isentorche, Laurentgorn Duvernay-Tardif, Grandoulf, Pépin, Méridien, Kimchi et Legrandslack regardaient Nantelroumane tenter de s’extirper de sa tour en vociférant des inepties.
« Assez de ce monsieur… je doute qu’il puisse être bien méchant… » dit Grandoulf, regardant autour de la Tour d’Isentorche. En effet, Barbaboisbois, l’être-arbre, avait tellement foutu le bordel dans la carrière du sorcier qu’il était maintenant impossible de distinguer quoique ça soit… un peu comme les plans du présent gouvernement de la Terre du Milieu. Même les éructations de Sogna-Languedeserpent n’arrivait pas à faire remonter l’opinion publique du Brohan et son emprise sur les brohirrims avait bel et bien cessé. De telle sorte que le parti de Nantelroumane était tombé 3e dans les sondages. Mais un cri strident retenti au loin. Des cavaliers vêtus de noirs sur des montures volantes s’étaient envolées au Sud d’Isentorche et se déplaçaient vers le Nord.
Grandoulf reconnu alors le chef de cette bande… Geneviève Nazguibeau, montée sur son coursier volant, avait l’allure de quelqu’un qui ne met jamais sa ceinture de sécurité en automobile… un air détaché, important, au-dessus de tout. La dernière fois que Nazguibeau était sortie de son antre, ça avait été pour dénigrer le transport public… c’était à peine sur la Sorcière-Reine n’avait pas sorti un « fuck you » de sa sacoche lorsqu’on lui avait demandé qui financerait les services publics qui sont sous autorité provinciale. Cette même Sorcière-Reine qui avait demandé à des parents endeuillés de payer 100$ leur place pour un cocktail-dinatoire afin de parler aux ministres des forces obscures pour faire en sorte d’avoir de meilleures interventions lors d’accident où l’alcool était en cause.
« Un vent de combat se lève, mes amis… ne restons pas ici. Nous devons prévenir les Brohirrims et aller chercher toute l’aide du Gondor pour nous aider à faire face à ces Nazguls… » dit alors Grandoulf.
- Des Nazguls? Dit alors Pépin, confus.
- Oui… 9 monarques humains, corrompus par le pouvoir des ténèbres. Nous connaissons la Sorcière-Reine de Louis-Hébert, Genevieve Nazguilbault… mais il y a aussi Simon Naz-Jolin-Barrettul… et ils ont accès à des France-Hélaine Duranceaurogs… des créatures faites de souffre, de feu et de souliers Louboutins, comme celui que j’ai vaincu et qui a failli causé ma perte lorsque nous avons traversé les mines de la Malarctic…
Pépin regarda le ciel, effaré.
« Le combat ne fait que commencer, mes chers amis… préparez-vous, il nous reste encore deux années complètes avec ces créatures viles et corrompues. » dit alors Grandoulf, une flamme révolutionnaire et furieuse dansant dans ces yeux.
Fin du chapitre.
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les pieds devant
J'ai pas réglé mon réveil depuis le changement d'heure.
Chaque matin, il faut que je calcule quelle heure il est vraiment. Ou alors que je me demande si j'ai changé l'heure.
C'est épuisant. J'ai rêvé toute la nuit un rêve à la con où je cherchais des toilettes, mais tous avait été baby-proofés ! Vraiment très con ! J'en trouve un que j'ouvre, il y avait un truc à défaire en plus, et en dessous une autre protection, mais qui baby-proof les toilettes !!? S'il y a un truc à pas baby-proofer, c'est bien les WC !
Bref, ça m'a réveillé.
5h18 au compteur.
2 minutes plus tard, mon réveil sonne 6h20. Donc j'allais pas me recoucher, dehors soleil, dedans chats qui miaulent. Café. Ah oui, je vais pas me plaindre, mais personne s'est soucié de ma santé alors que j'étais malade... Bon, pas tant que ça, mais on sait jamais, je pourrais avoir un truc grave du genre rhume ou allergie ! Ca fait 2 nuits que je me couche avant 22h, quand même.
Après ça, sur l'escalier devant la porte, il y avait un abricot qui était tombé. Je l'ai pas pris en photo, je l'ai mangé, comme un acte de résistance à l'exhib sociale ! (et en plus j'y ai pas pensé, zut, ça aurait été une chouette photo, mais cela semble être une preuve que je reviens à une vie normale).
Mon voisin était là, me demande si je suis en télétravail vu que c'est un jour férié décrété par Macron pour influencer le vote de la fin du mois. BIen sûr, à 6h20, avec mon sac sur le dos et un abricot dans la main, je suis en plein TT...
Je lui dit qu'il m'aura pas ! Je vais nettoyer l'abricot au robinet, vu que je l'avais pas encore mangé. Et je regarde dans le parterre municipal et là j'ai complété mon petit déjeuner avec 4 ou 5 fraises (je n'ai pas compté, l'information n'est pas fiable), et un abricot au milieu (c'est là que je l'ai mangé).
C'est même pas un rêve !
J'aurais pu éviter un accident sur la route. Prendre 4 espressos en arrivant au boulot. Blaguer avec la meuf assez canon qui m'aurait ferait un effet assez canon aussi. Arriver dans le bureau avec ma stagiaire, allumer mon ordinateur et me dire que j'ai toujours pas envie de bosser et que cet exam d'aikido de fin de semaine commence à se rapprocher sacrément trop à presque me toucher l'appel du pied ! Et mon prof d'aikido qui se la joue maître-d'arme-si-vous-m'aimez-pas-tant-pis-pour-vous... Alors qu'en tant que président du club, on cherche surtout à avoir des adhérents qui sont pas effrayés par un moment cool de pratique ensemble, hé !
Ca se mélange là, là. L'heure du repas, la diète forcée, la fin de journée, le début de journée ; yapu'd'temps linéaire, y'a qu'du temps littéraire. Matrice de probabilités d'un moment au suivant ? Quantisme ! Kantisme ! Noumène ?
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grompf3 · 3 months
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"Je ne contracte pas" - Faut-il vraiment se marrer ? Faut-il même en parler ?
C'est bon ? Vous l'avez toutes et tous vu passer cette histoire de Pierre et Laetitia, 2 "êtres souverains" qui refusent de se plier à un contrôle de police ?
Si c'est pas le cas, je vous mets plus bas 2 liens vers des journaux qui ont traité l'affaire (vous en trouverez un tas d'autres).
Est-ce que c'est bien de se marrer ? Est-ce que c'est bien, même, de montrer ces images vidéos, de donner de la visibilité à ces gens ?
J'ai vu passer des débats à ce sujet.
Je pense qu'il y a des dangers à en parler, à se moquer. Mais ce ne sont pas forcément les dangers qu'on a évoqué. Et ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas en parler. Au contraire.
Je m'explique.
J'ai vu des arguments du genre "En vous marrant comme ça, vous allez les renforcer dans leur croyance au lieu de les en sortir". Et j'ai aussi vu des arguments selon lesquelles le fait même d'en parler en public leur donnait de la visibilité et leur faisait de la pub.
Ce sont des faux problèmes.
(Parenthèse : j'adore l'image ci-dessous. Je ne sais pas qui a fait ça, mais j'adore.)
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Déjà, le coup de "les en sortir", on arrête tout de suite. C'est pas un critère.
Aucun post sur Twitter (ou Bluesky, Mastodon, Threads, etc.) ne va "sortir" un comploplo qui s'est enfoncé dans une croyance complotiste bien déjantée comme cette histoire d'êtres souverains et de fraude au nom de naissance. Et aucun billet de blog non plus. Et aucun article de journal.
Est-ce que les gens qui gueulent en mode "c'est pas comme ça que vous allez sortir les adeptes des théories du complot de leurs croyances !" ont une recette magique pour y parvenir ?
Ce genre de débats revient souvent sur la table et il faut arrêter. C'est pas le but.
Moi, là, en écrivant ce billet de blog sur Tumblr, est-ce qu'il y a quelque chose que je pourrais faire qui pourrait "sortir" un comploplo genre "êtres souverains" de ses délires sur la "fraude au nom de naissance". Une formule magique ? Une image hypnotique ?
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Non.
Alors c'est pas la question.
Et leur faire de la pub ? Le problème de la "visibilité" ?
Est-ce que vous imaginez M et Mme Tout-le-Monde regarder ces extraits vidéos qui circulent, trouver ça super cool et avoir envie d'en être ?
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Là, pour moi, c'est plutôt un argument pour en parler. Montrer aux gens, à M et Mme Tout-le-Monde, jusqu'où tout ça peut aller. Montrer que le complotisme, non, c'est pas "ouvrir le débat", "poser des questions", "proposer un autre regard". Ça peut aller très loin. Et c'est pas que du blabla, il y a vraiment des gens qui y croient.
Et oui, ça a des conséquences concrètes, de croire aux théories du complot. Et là on a un exemple bien déjanté, qui fait rire peut-être. Mais qui frappe les esprits. Et qui peut permettre de parler d'autres exemples de conséquences concrètes et directes, qui sont peut-être moins rigolotes à raconter.
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Mais je vous disais qu'il y avait des dangers.
Où est-ce que je voulais en venir ?
Ah ! Oui !
Déjà, je m'inquiète pour vous. Et pour moi.
Parce que se foutre de la gueule des gens, c'est pas bien. Se moquer d'un propos, c'est une chose. Se moquer d'une être humain, c'en est une autre. Et la frontière est mince. Et si vous vous retrouvez à afficher des gens, juste pour pouvoir rire à leurs dépends et vous faire mousser sur les RS... Et bien vous devenez un sacré connard. Ou une sacré connasse. Et je ne suis pas sûr que je sois immunisé contre ce genre de dérives. Bref, faisons gaffe au sens de ce que nous faisons et à la manière.
Et il y a un autre gros danger. C'est de montrer des cas bien caricaturaux, les complotistes les plus déjantés, les théories les plus pétées... et oublier des discours moins extrêmes, mais au final tout aussi mensongers, et plus dangereux, parce que plus insidieux et plus "acceptables" en apparence.
Il y a un danger à imaginer un monde où les choses seraient clairement séparées en deux. D'un côté, les gens sérieux, avec des infos sérieuses. Et de l'autre le monde des comploplos débiles aux théories complètement pétées. Et non, c'est pas ça.
Vous connaissez le dicton sur le journalisme ?
"If someone says it's raining and another person says it's dry, it's not your job to quote them both. Your job is to look out of the fucking window and find out which is true."
"Si quelqu'un dit qu'il pleut et qu'une autre personne dit qu'il fait sec, ton travail ce n'est pas de donner la parole à chacune. Ton travail c'est de regarder par cette putain de fenêtre et de trouver qui dit la vérité."
Faites une expérience de pensée à partir de là.
Imaginez un premier cas de figure.
Il ne pleut pas. Pas une goutte de pluie de toute la journée. Et moi, je suis assis sur un sofa. Il y a un gros rideau à la fenêtre. Je n'ai qu'à lever mon cul de ce sofa, faire 3 pas et tirer le rideau pour voir le temps qu'il fait. Mais je reste assis sur mon sofa. Et je vous dis qu'il pleut.
Et imaginez un deuxième cas de figure maintenant.
Il ne pleut pas. Pas une goutte de pluie de toute la journée. Et moi, je suis debout, à la fenêtre. Je regarde dehors. Il fait sec. Pas une averse à l'horizon. Et je vous dis qu'il pleut.
Dans ce deuxième cas, vous allez me dire que je suis un menteur, ou un mytho, ou un manipulateur...
Mais dans le premier ? Celui où je reste le cul posé sur mon canapé, alors qu'il suffirait de me lever et faire 3 pas pour vérifier ?
Dans les 2 cas, je raconte des conneries. Dans les 2 cas, mon propos est faux.
Vous voyez où je veux en venir ?
Est-ce que, parce que la fausseté d'un propos est plus évidente, c'est forcément plus grave ?
Là, on rigole sur ce couple et ses délires sur la fraude au nom de naissance. Mais il y a quelques jours, le service public français rendait complaisamment le micro à une personne qui partageais des récits délirants sur l'affaire Dupont-Ligonnès.
Il n'aurait assassiné personne et bosserait pour les services spéciaux US.
Et en matière de théories bullshitesques, les plus déjantées ne sont pas forcément celles qui font le plus de dégâts.
Je vous rappelle, par exemple, que à fin février 2020, une vidéo YouTube publiée depuis Marseille nous annonçait la fin de la pandémie de Covid-19, parce que les Chinois avaient trouvé la solution.
Et pas grand monde ne s'était demandé, par exemple, comment est-ce que ça se faisait que l'info nous arrive par une vidéo YouTube publiée depuis Marseille, tandis que les autorités chinoises ne faisaient aucune annonce...
Et au niveau conséquences, on en est où, avec cette histoire de chloroquine et "fin de partie" ?
Et ça ? Un tweet d'un directeur de recherche au CNRS. Ce genre de conneries sur le sang des vaccinés et les transfusions, en on voit depuis 3 ans. C'est toujours des conneries. Mais, là, je le répète, c'est un chercheur rattaché à de prestigieuses institutions.
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C'est pas les deux là, Pierre et Laetitia, refusant de se soumettre à un contrôle d'alcoolémie...
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Et puis je pourrais continuer avec plein d'exemples.
Vous me connaissez.
Je vais toujours revenir aux mêmes cas.
Tel documentaire pourri produit ou diffusé par le service public...
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Telle théorie pseudo-historique à qui on déroule le tapis rouge sous prétexte de "récit émancipateur"
Etc.
Et je pourrais vous parler de l'époque où, plus jeune, je me passionnais pour certains récits pseudo-historique. Et je ressentais cette excitation de celui qui accède à un savoir spécial, différent de ce qui est diffusé auprès des masses...
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(Si, si, j'ai cru en ce genre de trucs. À une époque.)
Et vous voulez que je vous parle d'un certain remède, élaboré à partir de foie de canard pourri, dilué à raison d'1 molécule dans la masse de plusieurs galaxies (ou un truc du genre) ? Remède sensé soigner la grippe. Remède vendu, et souvent présenté bien en vue, dans la majorité des pharmacies.
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Je pourrais aussi vous parler de thèses ésotériques diffusées sur le service public, thèses qu'il vaut mieux éviter de critiquer si l'on veut conserver son job.
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Bref, en parlant de théories complètement pétées, genre "fraude au nom de naissance", on s'expose à un risque. Celui de s'en servir comme repoussoir, de dire montrer ça du doigt pour dire "nous on n'est pas comme", de croire que le complotisme et la désinformation, c'est bon, nous on est pas concernés, parce que nous on n'est pas comme ces givrés-là.
Parlons de ces théories complètement pétées. Parlons de Pierre et Laetitia qui délirent avec un jargon pseudo-juridique grotesque, et qui se filment et diffusent ça.
Mais n'en parlons pas comme s'il s'agissait d'un monde radicalement différent du nôtre. Il n'y a pas une frontière nette. Et aucun d'entre nous n'est immunisé contre le bullshit.
Ne nous servons pas de Pierre et Laetitia pour nous moquer d'eux et nous croire à l'abri de certaines dérives. Parce que ça, c'est dangereux. Pour nous.
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homomenhommes · 9 months
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story: JOURNAL D’UN CUL JOUISSIF / 17
17 | BRANLETTE DEVANT PORNO HÉTÉRO
Cette aventure s'est déroulée quand j'avais 26 ans.
Vous vous reconnaissez dans mes souvenirs ou vous les appréciez ? Envoyez un petit message à [email protected]
Ce dimanche-là, le temps était pluvieux et venteux. À peine levé du lit, je ne pus m'empêcher d'allumer mon ordinateur afin de me connecter sur mon site de drague préféré. C'était un temps à passer sa journée bien au chaud chez soi à se faire défoncer le cul.
Je me préparai un petit déjeuner et retournai devant mon écran d'ordinateur. Aucun mec ne se semblait être disponible le jour-même. Les propositions qui m'étaient faites n'étaient que pour la semaine à venir. J'allai me préparer en laissant mon profil en ligne.
Je pris le temps de me raser le cul avant de me doucher et de me faire un petit lavement au cas où. Puis je me suis enduit les fesses de crème hydratante et apaisante avant de retourner devant mon écran.
Pendant ma préparation, plusieurs mecs avaient tenté de rentrer en contact avec moi. Certains avaient quitté le tchatte et d'autres semblaient ne pas être dignes de confiance.
Un, par contre, piqua ma curiosité bien qu'il n'ait aucune photo.
"Salut. Moi c'est Sylvain, je cherche un pote de branlette. Avant de répondre, je te demande de bien lire mon annonce car nos recherches sont à l'opposées l'une de l'autre. Après, si t'es intéressé, on peut dial."
Intrigué, je me rendis sur son profil afin de l'éplucher. Comme je le soupçonnais, aucune photo, ni même un seul indice sur son physique. Il se qualifiait d'hétéro et il avait 28 ans. Son annonce disait à peu près ceci : "Recherche pote viril pour branlette devant porno hétéro. Je refuse toutes autres choses que la branlette. Je ne touche pas, je ne me fais pas toucher. Pas d'accessoires ou lingeries féminine, ça ne marche pas avec moi. Juste, deux mecs qui se branlent côte à côte, chacun de son côté devant un porno. J'aime me branler longuement, même très longuement. M'arrêter juste avant de cracher m'excite pour pouvoir reprendre ma branlette. Je ne reçois pas Si tu n'es pas capable de respecter mes choix et le fait que je sois hétéro, passe ton chemin. C'est moi qui ramène le porno."
En effet, nos recherches n'avaient rien à voir. Lui, voulait se branler, moi je voulais me faire défoncer le cul. Mais, n'ayant pas d'autres propositions et, j'avoue, étant curieux, je lui répondis.
"Salut. Désolé, j'étais sous ma douche. Ton annonce m'intrigue et me plaît."
"Super. J'ai cru que tu n'étais pas intéressé. Si t'as des questions, n'hésite pas."
"J'en ai quelques-unes oui. T'inquiète, j'ai bien compris que seule la branlette était ton trip. J'aurai simplement savoir d'où te venait ce fantasme, si s'en est un. Et pourquoi tu étais venu sur un site de rencontre gay pour ça."
"C'est bien un fantasme. Il remonte à mon adolescence quand, avec mon meilleur ami, on se branlait devant les pornos de son père. Je n'ai jamais eu d'attirance pour lui mais cette complicité me plaisait. Plus vieux, j'ai tenté de retrouver cette complicité mais sur tous les sites de rencontres hétéros que j'ai fréquentés, les mecs me traitaient de pédés. Je me suis donc tourné vers les sites gays."
"Je comprends. Ça n'a pas dû être simple pour toi. Je suis partant mais je ne peux pas te garantir que j'arriverai à bander, surtout devant un porno hétéro."
"T'inquiètes. Comme je t'ai dit, ce n'est pas forcément ça que je recherche, enfin pas seulement. C'est une complicité entre mec viril. Je sais ce que tu recherches et des concessions que tu fais pour mon fantasme."
"Viril... Eu t'as conscience qu'habituellement je me fais défoncer le cul."
"Oui. Mais ça n'empêche pas que tu fais viril. Tu fais vrai mec en tout cas. T'as une belle petite gueule de mec viril. Et, je le sens bien avec toi. Tu n'es vraiment pas comme les autres."
"Ah oui ? J'espère que c'est un compliment."
"Carrément. D'une, tu t'exprimes bien. De deux, tu ne m'as pas demandé comment j'étais. Et de trois, tu n'as pas insisté pour autres choses. Ça m'est même arrivé de devoir partir de chez un mec en plein milieu car beaucoup tentent plus qu'une branlette."
"Pourtant, je te trouve clair dans ta recherche. Puis pour ce qui est du physique, peu importe puisqu'on ne fera que se branler."
Nous convînmes d'un rendez-vous en début d'après-midi. En attendant, je me suis changé en enfilant un boxer sous mon jean pour ne pas le mettre mal à l'aise en me voyant porter un jockstrap.
Peu après quatorze heures trente, on sonna à l'interphone. C'était lui. Je lui ouvris en lui précisant que j'étais au pas de ma porte. Vivant au rez-de-chaussée, il était simple de recevoir mes plans en toute discrétion.
Il était beau gosse le salaud et avait l'air sacrément bien foutu. Je compris pourquoi certains mecs tentaient plus qu'une petite branlette avec lui. Il n'était pas beaucoup plus grand que moi, les cheveux noirs, les yeux noisette, le teint bronzé et il semblait musclé sous une veste en cuir marron, une chemise cintrée et un jean Levis 501.
Il me serra la main, ce qui me fit sourire.
Je lui proposai une bière tout en l'invitant à s'installer dans le canapé. Il posa le DVD du porno hétéro sur la table basse et s'assit sur le sofa. Nous discutions en sirotant notre bière de tout et de rien comme de vrais potes qui se connaissaient depuis longtemps.
Au bout d'un moment, il me demanda une seconde bière et s'il pouvait se permettre de mettre le DVD qu'il avait amené. Je lui expliquai rapidement le fonctionnement de la télé et du lecteur de DVD avant d'aller chercher les bières. De retour avec les bouteilles, le film avait commencé. Je me suis réinstallé sur le canapé et regardais ce film qui ne me faisait aucun effet.
Lui, continuait à me parler, relax, en décrivant la scène et la façon dont la "blonde" suçait le mec. En l'écoutant s'extasier ainsi, j'eus un début d'érection.
"Je peux me mettre à l'aise, mec ? J'ai la braguette de mon jean qui va exploser." Demanda-t-il calmement.
D'un signe de tête, je lui fis comprendre qu'il pouvait. Je l'observais, la gorge serrée, se dévêtir consciencieusement en commençant par sa chemise qui cachait un torse et des abdos à faire pâlir certains sportifs.
"Mets-toi à l'aise aussi. Ne sois pas gêné. Pas avec moi, on est pote après tout." Ajouta-t-il en retirant son jean, me dévoilant ainsi ses cuisses musclées et son boxer bien rempli.
Je me déshabillais en ayant honte de mon corps d'éphèbe et de mes cuisses bien fines comparées aux siennes.
"T'es bien fait mec." Dit-il, essayant, sans doute, de me mettre à l'aise.
"Merci. Mais franchement, tu n'as rien à m'envier. T'es foutu comme un GI-Joe."
"Laisse, va. Je te dis que t'as un corps bien fait. Ne te compare pas. T'es bien comme ça. Aller, à trois, on retire notre boxer." Dit-il alors que nous étions tous les deux en boxer.
A trois, il retira son boxer sous mes yeux. Une bite énorme en sortit. J'ôtai le mien également pour libérer ma queue qui bandait un peu plus à la vue de la sienne.
Il se rassit et commença à se masturber. Je pus écarter mon regard de ce spectacle qui me mettait dans tous mes états.
"Détends toi mec. Je te sens tendu. Viens te branler aussi." Me dit-il tout naturellement.
"Euh... Oui... Excuse-moi... C'est juste que... Enfin, elle fait combien ta queue ?" Demandai-je en salivant.
"23 cm. Pourquoi ?" Répondit-il sans se rendre compte qu'elle me rendait de plus en plus bâtard.
"Euh... Non... Pour rien." Dis-je en m'asseyant à ses côtés sur le canapé.
Nous nous branlions ainsi durant un petit moment quand il me demanda si tout allait bien.
"Oui, ça va pourquoi ?"
"Tu ne bandes pas vraiment. Si tu veux qu'on arrête, faut me le dire."
"Non. T'es fou. Ça me plaît. C'est juste que, comme je suis homo, le porno hétéro, ce n'est pas trop mon truc."
"Pourtant, tu bandais bien au début."
"Pour tout t'avouer, c'est ta queue qui me faisait bander."
"Bah, pas de problème, tu peux me mater me branler si tu veux."
"Ce n'est pas si simple malheureusement."
"Explique-moi, on est pote maintenant. Franchement, je t'apprécie vraiment. Je veux que toi aussi tu prennes plaisir."
"Bon, ok. Ta queue m'a fait bander, oui, mais elle a aussi réveillé le passif que je suis. Donc, mon plaisir doit passer par mon cul. Quand c'est comme ça, ma bite devient juste un accessoire. Je ne sais pas si tu comprends."
"Si, je comprends. Enfin, dis-moi si c'est ça. En fait, t'es comme une femme qui veut une queue dans sa chatte. Toi, tu veux jouir avec ton cul et pas avec ta bite "
"Oui, voilà, même si je ne me serais pas comparé à une femme. Mais c'est ça oui."
"Bah si tu veux te masturber le cul, ça ne me dérange pas."
"Sérieux ? Je peux ? Pour ça j'aime me mettre à quatre pattes. Ca te va ?"
"Oui, t'inquiète." Dit-il en continuant à se branler.
Je poussai la table basse devant le canapé et m'installai à quatre pattes sur le tapis au sol, face à lui afin qu'il ait la vue sur mon cul. Je commençai à me caresser la rondelle en passant ma main entre mes cuisses. J'ai voulu choper mon poppers qui se trouvait dans un des tiroirs de la table basse, mais j'ai eu peur de le faire fuir. Je jetai un œil sur lui et le surpris à mater mon cul alors que l'un de mes doigts titillait mon anus qui commençais à suinter de désir et à s'ouvrir. Nos regards se croisèrent.
"Euh..." Commença-t-il en balbutiant. "Je peux te poser une question ?"
"Bien sûr, on est pote, non ?" Dis-je, espiègle, en introduisant deux doigts dans mon cul qui mouillait déjà.
"Je me demandais si ton cul était imberbe naturellement. On dirait le cul de la meuf qui se fait sauter."
"Je le rase de très près en fait. J'aime avoir les fesses très douces." Répondis-je en me doigtant plus énergiquement.
"T'as l'air de prendre ton pied en tout cas. Autant que la salope du film quand le mec lui avait mis dans le cul. Ça fait plaisir." Réagit-il à mes gémissements de bâtard et en s'agenouillant à mes côtés au sol pour se branler avec moi.
"Pas possible. Je ne peux que prendre plus de plaisir en me faisant enculer, qu'elle." Ajoutai-je encore plus excitant le voyant se branler à quelques centimètres de mon cul.
"Ah oui ?"
"Oui. La prostate est très érogène. Ce que les femmes n'ont pas. Quand je me fais enculer, la queue du mec stimule la prostate en tapant dedans. Il m'est même arrivé de juter, sans même me toucher, sans bander, juste en ayant une queue dans le cul."
"Véridique ? A croire que la prostate a été créée pour les mecs se font sodomiser prennent leur pied. Et là, en te doigtant, tu vas éjaculer aussi ?"
"Non, il me faut vraiment une bonne bite comme la tienne dans le cul pour ça." Plaisantai-je en l'espérant très fort.
"Tu veux que t'encule ?"
"Ne me demande pas ça. Je vais me laisser tenter. Regarde ça, je mouille du cul et mon trou est grand ouvert tellement j'en ai envie." Dis-je en écartant mes fesses pour lui montre ma rondelle humide et palpitante.
"Non, mais je suis sérieux. Je sais que t'es un mec mais on a une telle complicité que j'ai envie que tu jouisses. Et c'est grave comme ton cul me fait penser à un cul de meuf. Ce sera comme me branler dans un gant de toilette."
"Merci pour le gant de toilette." Ris-je.
"Non mais arrête. T'as très bien compris. Alors, je t'encule ou pas ?"
"Avec plaisir." Osai-je dire avec enthousiasme. Sur le moment, je ne voyais que cela à dire.
"Ok. Je fais comment ? Je ne veux pas te faire mal."
"C'est gentil mais, franchement, vu mon état d'excitation, tu peux y aller comme un bourrin. Fait comme si j'étais l'une des meufs de ton porno. Ne te préoccupe pas de moi. Dans tous les cas, vu la taille de ta queue, je jouirai du cul."
Toujours à genoux, il se plaça derrière moi, entre mes jambes, et mit maladroitement une main sur l'une de mes fesses, et se servit de l'autre pour guider son énorme bite devant mon trou humide et palpitant. Il se contentait de caresser ma rondelle avec son gland, tout en se branla, puis tenta de légers va-et-vient timides.
Je sentais qu'il n'osait pas introduire son gourdin en moi. Sûrement que l'idée de baiser un mec le répugnait vraiment. J'ai pensé, un court instant, lui dire qu'il n'était pas obligé de m'enculer mais j'étais en mode bâtard et hyper chaud. Alors, dès que j'ai senti son gland à nouveau sur ma rondelle, je tentai un mouvement de recul afin d'engloutir entièrement sa queue dans mon cul et fis de légers mouvements de bassin.
"Oh putain. Oh putain." Cria-t-il.
"Ça va ? Je suis désolé. J'en avait trop envie. Tu veux qu'on en reste là ?" Réagis-je en faisant coulisser mon cul le long de sa queue.
"T'es fou. Non. C'est trop bon. J'ai juste été surpris. C'est rentré facilement. Ça sert plus qu'une chatte."
"Et c'est mieux ?" Demandai-je, toujours le cul embroché sur son énorme bite.
"C'est différent mais super kiffant. On peut arrêter de parler s'te plaît."
En silence, je continuais à faire glisser mon cul d'avant en arrière sur le long de son gourdin quand il me prit par les hanches. Je ralentis net la cadence.
Je sentis alors ses mains m'agripper plus fermement par les hanches puis il commença à m'imposer son propre rythme. Je vis son reflet sur l'écran de la télé qu'il fixait presque maladivement. Je pris conscience qu'il ne me baisait pas, mais qu'il se servait de mon cul comme d'un sex-toy ou d'une poupée gonflable. Ce qui, sur le moment, ne me posait aucun problème puisque je jouissais du cul.
Il me défonçait le cul sans se soucier de ma personne. Mon cul n'était qu'un objet qu'il utilisait pour branler sa queue. Il ne parlait plus. Je prenais mon pied alors que je n'avais pas imaginé que ce "plan" aurait pu déboucher sur une baise sauvage et bestiale.
Comme il aimait se branler, il faisait durer le plaisir. Il cessa à plusieurs reprises ses coups de bites pour les reprendre quelques secondes après. Je savais qu'à chaque fois, il était sur le point d'éjaculer et cette pensée m'excitait encore plus. Il était très endurant et j'étais heureux qu'il se serve de mon cul comme d'un branle bite.
J'étais en totale extase. Même sans mon poppers, je n'avais plus aucun repère. Seul sa grosse queue qui me ravageait le cul me semblait réel. Je me donner à lui et ma rondelle avait palpitait autour de sa bite qui ne demandait pas. Il stimulait ma prostate comme s'il savait où taper pour me faire jouir du cul.
Je sentis une nouvelle fois qu'il voulut se retenir d'éjaculer. Seulement, pour cela, il logea sa queue au fond de mon cul en tapant violemment sur ma prostate, ce qui a provoqué ma propre éjaculation alors que je ne bandais pas. Ma jouissance a eu pour effet de provoquer la sienne car mon anus battait autour de sa queue au rythme des jets de sperme qui jaillissaient de ma bite molle.
"Putain. Trop bon. Quelle branlette. Je ne m'étais jamais branlé comme ça." Dit-il en déculant de manière désinvolte.
J'étais épuisé et l'écoutait s'extasier sur cette branlette mémorable. Je me suis relevé le cul suintant de sperme.
"Content que cette branlette dans mon cul t'ait plu. Tu m'as défoncé comme une bête et tu m'as fait jouir du cul pendant un bon quart d'heure tout en me faisant cracher tout mon jus sur le tapis. Puis sentir le tien m'inonder le cul m'a plu à un point, t'as pas idée." Dis-je afin de lui rappeler que mon cul l'avait largement aidé dans sa branlette.
Nous sommes restés très amis durant plusieurs années après ce jour-là. Plus rien ne s'est jamais passé entre nous. Il refusait même d'en reparler. Je respectais ce choix. Seule chose qui m'avait dite était le fait qu'il avait cessé ces plans branles après notre rencontre. Nos conversations lui suffisaient d'après ces dires.
Nous nous sommes perdus de vue lorsque je me suis installé avec celui qui est mon mari aujourd'hui. Notre complicité me manque.
LE CUL JOUISSIF
F I N
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gerceval · 1 year
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Le Choix - chapitre 1
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
Arthur se réveilla avec un mal de tête tonitruant. À côté de lui, Guenièvre dormait, un léger ronflement s'échappait de son larynx, une mèche de cheveux lui tombait devant les yeux. Il se retourna deux ou trois fois dans le lit avant de se rendre à l’évidence : impossible de se rendormir. C’était bien sa veine. La réunion du lendemain matin commençait probablement dans quelques heures, et elle finirait assurément de l’assommer. Il se leva, dans l’espoir de trouver aux cuisines quelque chose pour faire passer ce mal de tête.
En passant devant la fenêtre du couloir, il fut décontenancé par la taille de la pleine lune qui illuminait les murs d’un éclat blanc. On eût presque pu croire que le soleil était levé en pleine nuit. Sans se laisser démonter, il poussa la porte de la cuisine.
- Ah mais ça va pas la tête !
- Pardonnez-moi sire !
Lancelot avait l’air d’un faon égaré dans les bois, et une fois remis de sa surprise, Arthur se radoucit.
- Oui nan bah ça va, mais faites gaffe quoi, vous m’avez foutu une frousse d’enfer ! … Vous vous faisiez un casse-croûte ?
- En effet sire. Enfin du coup j’ai fini, je vous laisse le champ libre.
- Oh bah vous déconnez, vous allez pas vous barrer comme ça, prenez un verre de lait avec moi. J’ai une migraine qui me scie la tête ça m’a réveillé, vous savez s’il y a de la poudre d’absinthe quelque part ?
Les deux hommes restèrent quelques minutes assis côte à côte dans la cuisine, pris d’une gêne silencieuse. Arthur n’avait pas voulu rester tout seul, mais il se rendait compte à présent qu’il n’avait rien de particulier à dire à Lancelot, et que se dernier ne désirait rien d’autre que de se remettre au lit. Décidément, ce n’était toujours pas la joie entre eux deux, et Lancelot n’avait pas l’air de vouloir faire le moindre effort. Il se hâta de terminer sa tisane, et se leva pour reposer dans le placard la pomme qu’il n’avait finalement pas mangée.
Tandis qu’il se tenait debout dans le coin de la cuisine, une lueur étrange attira son œil. Il fit signe à Lancelot de le rejoindre en silence, et celui-ci s’exécuta. Dans le corridor attenant aux cuisine, une commode massive et poussiéreuse. Derrière les portes de cette commode, une lumière jaune qui pulsait de manière irrégulière.
- Qu’est-ce que ça peut bien être… murmura Lancelot.
- Alors là…
- Ça m’a tout l’air d’être surnaturel, sire.
- Bah c’est soit ça, soit un incendie dans une commode avec des portes ignifugées.
Il n’y avait pas à tortiller. Arthur attrapa les deux épées qui trainaient dans un coin de la pièce, en tendit une à Lancelot, prit son courage à deux mains, et tira la poignée.
La commode les aspira tous les deux, et ils disparurent dans la lumière étincelante.
[votez ici pour ce qui se passe dans le chapitre suivant] [chapitre suivant]
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Chateau de Deauville: 6 May 1850, 15:30
Douairière Comtesse de Deauville: Ma chérie, are you certain you’re alright? You look terribly bothered-
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Madame Adelaide: I assure you I am more than fine...I notice le Comte de Deauville is once again absent.
Douairière Comtesse de Deauville: [Sighs] Ah...oui. I’m afraid he’s left quite early yet again. Mentioned something about having to deal with some matters regarding the estate. I doubt I’ll even lay eyes on him today. 
Madame Adelaide: He does seem to work very hard. Though I must say it is rather unkind of him to leave you alone so often. 
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Douairière Comtesse de Deauville: En effet, though hopefully with la saison now in full swing he may seriously begin to consider settling down. Perhaps if he were I would finally have a companion to pass the time with when visitors are few and far between. 
Madame Adelaide: You know I’d never forget to make time for our weekly tea.
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Douairière Comtesse de Deauville: You are a darling, Madame, and you will never understand just how grateful I am to your Maman for suggesting the idea when she did. Though, with your position I cannot expect you to always have the time for me. 
Madame Adelaide: Perhaps...though may I ask, might it be possible his long absences could mean he may actually be courting someone?
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Douairière Comtesse de Deauville: [Laughs] As much as I wish that were true, I sincerely doubt it to be the case. A shame too...If only he could take a page out of the book of his friend. 
Madame Adelaide: His friend? 
Douairière Comtesse de Deauville: Oui. Le Marquis de Tourac. I’m certain you’ve heard of him, or at least seem him about?
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Madame Adelaide: Oh? Oui, I think mon frère has mentioned him to me before...But I don’t follow.
Douairière Comtesse de Deauville: Ma chérie, have you not heard? Le Marquis and Mademoiselle Robin are engaged to be married. In fact, they received a special license to marry a few days from now. Le Marquis was just here yesterday evening asking for my Arthur to be his best man. So curious to want to marry so quickly...I do wonder...
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frisquette27 · 1 year
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En écrivant ET SI .. j'ai retrouvé dans mes vielles notes des idées completement farfelues ce qui m'a donné l'idée de les regrouper et d'écrire une histoire completement barge. J'avais prévu de faire qu"un chapitre mais elle est trop longue donc je partage déjà un premier chapitre.
Cette histoire est à prendre 3eme degres (voire plus) mais ça m'amuse. Et comme d'habitude écrit à la va vite ...
Un philtre sans philtre…
Jamais il n’avait vu ça, comment cet énergumène avait pu se tromper à ce point et surtout comment avait-il fait pour créer une potion qui aurait de tels effets. Il savait depuis longtemps que la réputation de Merlin était surfaite et que c’était disons-le sans langue de bois, un gros nul. Mais là, il avait fait très fort. Certes cela entraînerait surement des conséquences mais Elias avait eu une superbe journée, il n’avait jamais autant ri. Les habitants du château eux n’avaient certainement pas trouvé cela très drôle. Prendre ses quatre vérités en pleine figure ce n’était déjà pas facile mais personne n’aurait pu soupçonner que la vérité c’était la Reine qui allait la donner. Quel caractère ! Jamais Elias n’aurait pensé que Guenièvre était aussi volcanique et amusante. Elle cachait bien son jeu derrière son minois angélique.
Tout avait commencé par une commande un peu inhabituelle émanant d’un crétin du château, l’autre bourgeois voulait une potion qui rendrait sa femme moins coincée, il voulait une potion qui la désinhiberait un peu. Il avait donc concocté pour une somme rondelette une nouvelle potion, entre la potion de vérité et une potion d’euphorie mais voilà Merlin vexé avait essayé de faire de même. La potion de Merlin était d’un vert étrange avec une fumée violette qui s’échappait de la fiole. Elias l’avait donc invectivé en lui conseillant fortement de se débarrasser de cette mixture rapidement avant d’empoisonner quelqu’un. Mais comme à son habitude l’enchanteur n’avait pas rangé ladite mixture et elle avait trainé sur la table pendant des jours jusqu’à ce matin.
Cela faisait quelques semaines qu’elle avait réintégré le château et son rôle de pante verte, heu non de Reine pensa-t-elle, tout avait repris comme avant. Mis à part le fait qu’elle était plus loquace avec son mari, elle osait maintenant lui dire ce qu’elle pensait, en tout cas elle avait vu juste pour l’arrivée du Roi Loth. Elle reprenait doucement ses marques dans la vie du château même si elle évité soigneusement la femme de Karadoc tout avait à peu près pris le même chemin. D’ailleurs il fallait absolument qu’elle demande au Roi quand avait-il prévu de laisser partir les seigneurs Karadoc et Perceval pour qu’ils puissent monter leur clan autonome car éviter son ancienne amie était particulièrement désagréable. Elle se sentait coupable envers elle ce qui était un comble, peut être devrait elle lui offrir un présent. Du coup ses nuits étaient tourmentées et ce matin une migraine lui donnait la nausée. Elle décida donc de se rendre chez Merlin dès l’aube pour soulager sa douleur.
« Ah ben si vous avez mal à ce point il vous faut une potion »
« C’est justement pour ça que je suis là, je suis vraiment désolé de vous déranger Merlin »
« Non mais vous ne le dérangeait pas ! Il ne sait juste pas faire ce genre de potion »
« Non mais ça va oui, on ne vous a pas sonné Môssieur Elias, c’est à moi que la Reine demande d’abord »
« Oui justement c’est la Reine, vous allez donc pas l’empoisonner ! »
Elias posa sur la table une fiole au milieu de tout le bazar de son acolyte.
« Je pense que ma potion sera plus efficace ma Reine si vous voulez ne plus avoir mal à la tête avec l’autre agité vous risquez d’être transformé en pigeon »
« Ah non beurk pas en pigeon »
« Et puis quoi encore ! Vous en connaissez-vous des potions qui transforment les gens en pigeon »
« Oui ça existe mais vous ne savez pas les faire »
« Ah vous voyez ! » dit Merlin en le pointant du doigt
« Non mais ce n’était pas un compliment »
« Je m’en doute venant de vous cela tiendrait du miracle »
« Je disais juste que vous êtes un GROS nul et que c’est dangereux de prendre la moindre de vos potions »
« Désolé Messieurs, je ne voulais surtout pas vous déranger, je vais prendre la potion et vous laissez d’accord »
Les deux enchanteurs n’entendirent pas la Reine, trop occupé à se disputer et surtout ils ne virent pas qu’elle prit la potion verte avec elle.  
Dans le couloir Guenièvre se rendit compte qu’elle ne savait quelle dose prendre, entendant encore les cris émaner du laboratoire, elle n’osa pas y retourner pour demander. Tant pis elle prit toute la fiole, cette potion avait un gout affreux et lui fit tourner la tête, elle n’aurait certainement pas du tout prendre.
En se rendant dans sa chambre, elle réalisa que son mal de tête était bien parti mais elle se sentait étrange. Elle était un peu euphorique tout d’abord elle mit cela sur le compte du soulagement, le fait de ne plus avoir mal devait la rendre heureuse. Tiens ce dit-elle en ouvrant la porte, son mari était levé et déjà parti ce qui était plutôt surprenant car depuis son retour il avait tendance à trainer longtemps dans leurs lits. Peut-être en ne la voyant pas ce matin, il s’était décidé à se lever plus tôt mais non ma pauvre fille pensa-t-elle, on a dû venir le chercher pour une urgence. Enfin une urgence, il la faisait bien rire avec leurs urgences, on dirait plutôt une bande de môme qui ne sais rien faire sans leur Roi.  Oh non comment pouvait-elle avoir ce genre de pensée, elle était étrange ce matin, les chevaliers n’étaient pas une bande d’attardé, oh mon dieu, si, c’était tous des idiots. Alors c’était vrai, elle-même manquait cruellement de culture, on ne lui avait jamais vraiment permis d’accéder au savoir mais finalement se dit elle, elle n’était pas stupide il suffisait que l’on lui explique un peu et elle percutait bien. En revanche les chevaliers, parce que c’étaient des hommes on partait du principe qu’ils étaient réfléchis, ce matin elle en doutait fortement.
La nouvelle servante fit son apparition avec le plateau du petit déjeuner, elle se planta devant le lit vide. Guenièvre qui était assise devant sa coiffeuse regardait perplexe la jeune femme ne pas bouger.
« Vous attendez quoi du coup »
La servante sursauta et fixa la Reine.
« Je dois servir le petit déjeuner »
« Posez donc le plateau sur la table »
« On m’a dit que je devais servir le petit déjeuner de Monsieur au lit »
« Oui peut être, posez le plateau sur la table, il n’y a personne dans le lit »
« Ni Monsieur ni Madame ne sont dans le lit, on ne m’a pas dit de le poser sur la table »
Réflexion faite les chevaliers devaient quand même paraitre vachement plus réfléchi du coup.
« C’est pour ça que vous ai demandé de le poser sur la table, vu que ni monsieur ni moi-même étions dans le lit »
« Du coup c’est vous madame »
« On s’est déjà vu Nessa, vous ne vous rappelez pas de moi, je suis la Reine Guenièvre »
« Votre prénom je ne m’en rappelais plus, du coup c’est plus pratique de vous appeler Madame, mais comme Monsieur il change pas mal de Madame je m’y perds »
« Oui je comprends, Monsieur a tendance à beaucoup changer de Madame mais c’est pas grave vous pouvez reprendre votre plateau je n’ai pas très faim »
« Et Monsieur ? »
«Il est pas là ! »
« Il n’a pas faim du coup »
« Non voilà il n’a pas faim et de toute façon il est pas là »
« Mais il ne va pas revenir, faut pas que je l’attende avec le plateau ?»
« Vous voulez l’attendre avec le plateau devant le lit jusqu’à son retour, c’est ça »
« C’est peut-être mieux, on m’a pas dit si je pouvais partir si Monsieur était pas là »
« Pfff Ok moi je vais m’habiller correctement faites ce que vous voulez »
Elle entreprit donc d’enfiler une robe plus convenable, enfin plus Reine derrière le paravent, en regardant de plus près la robe préparer par Angharad, elle eut un doute. Elle sortit de derrière le paravent la robe mal attachée et se planta devant la servante.
« Qu’est-ce que vous en pensez ? »
« De quoi ? »
« De la Robe ! Qu’est-ce que vous en pensez ! Sincèrement ! »
« Sincèrement ? »
« Oui , oui avec vous je pense que je peux avoir la vérité »
« Ben c’est une robe de bourge »
« Ok mais sinon »
« C’est une robe pour les vielles bourgeoise »
« Donc cette robe me vieillit c’est ça »
« Non disons que, vous ne donnez pas envie »
« Ah oui carrément »
« Ben c’est ça qui est bien avec les bourgeoises c’est qu’il n’y a pas beaucoup de peau qui dépasse et puis ça met pas en valeur vos formes et du coup les messieurs ils préfèrent les p’tites servantes car on fait plus… vous voyiez quoi »
« Je voulais la vérité ben je l’ai eu »
Pourtant Guenièvre n’était absolument pas contrariée par les réflexions de la servante bien au contraire elle était même d’accord avec cette dernière. Ce matin elle se sentait joueuse et avait bien envie d’être un petit peu plus outrageuse dans sa tenue, c’est vrai après tout elle était jeune et la nature lui avait donné des jolies arguments à mettre en valeur. Et la cerise sur le gâteau se dit elle, cela risqué de faire parler la cour et pour une fois qu’elle l'aurait fait exprès, elle s’en réjouissait d’avance. Elle fit donc appeler Angharad, qui ramena rapidement une multitude de robe.
« Je n’ai pas bien compris la demande de Madame, je me suis permise de ramener de multiple choix, même des robes que vous aviez étant princesse »
« C’est une excellente idée mais je ne suis plus une jouvencelle »
« Que Madame me permette cette réflexion, mais vous avez perdu un peu de poids suite à votre aventure dans la forêt »
« Vous avez raison mais j’ai gardé des formes que je n’avais pas étant jeune fille »
« De très jolie forme ! » dit la servante au plateau
« Mais pourquoi vous êtes encore là avec votre plateau, vous devriez déjà être de retour en cuisine, vous n’avez rien à faire dans les appartements de Madame »
« Non mais laissez là Angharad, elle attend Arthur »
« Mais Madame le Roi a déjà pris son petit déjeuner dans la salle »
« Ah bah vous voyiez vous pouvez partir Nessa »
« Ah non il va encore me crier dessus, une fois je lui repris le plateau et il a rouspété »
« Arthur rouspète tout le temps alors ça va rien changer ! »
Pourtant Nessa ne bougea regardant amusé la Reine essayer plusieurs robes différentes. Guenièvre finit par jeter son dévolu sur robe simple qui souligné parfaitement son buste, les épaules nues, elle était à la fois jolie et désirable.
« Bon parfait celle-là me ressemble plus »
« Vous êtes sur ma Reine, elle et quand même très serrée au niveau de la poitrine et beaucoup décolleté, ce n’est pas vraiment le genre de tenue que Madame porte habituellement »
« Bah justement ! je préfère ce type de robe »
« Votre mère risque de ne pas apprécier votre initiative »
Avec un grand un sourire, la Reine tourna sur elle-même, réellement ravie de porter enfin quelque chose qui lui plaisait.
« Bah tant pis ! Elle fera avec ! Tout le monde fera avec voilà c’est dit !»
Ce n’était plus qu’une simple euphorie, elle était bien, totalement en accord avec elle-même. Elle ferait ce qu’elle voudrait quand elle le voudrait. Elle était tellement transparente d’habitude, que là tout de suite elle voulait dire et faire ce qu’elle avait toujours voulu.
« Angharad arrêtez de faire les gros yeux, allez plutôt vous occuper de votre fiancé enfin fiancé je m’entends, d’ailleurs qu’est ce que vous attendez pour qu’il devienne vraiment votre fiancé »
« Disons que c’est plus compliqué qu’il n’y parait avec le seigneur Perceval nous entretenons il me semble une relation courtoise mais il me parait toutefois que nous nous dirigeons vers la bonne direction »
« Dans dix ans vous y êtes encore, je ne suis pas la mieux placé pour vous donner des conseils mais je vais lui parler, c’est beaucoup trop long ! »
Elle sorti en trombe de la chambre laissant les deux femmes estomaquées par son aplomb. Elle se dirigea d'un pas rapide vers la cour sans vraiment trop savoir ce qu’elle allait pouvoir dire au chevalier mais persuadé que si elle lui parlait simplement elle pourrait débloquer une situation qu’il n’avait pas lieu d’être. A défaut d’être elle-même heureuse dans son couple, elle ferait tout pour que sa suivante le soi.  
Dans la cour se trouvait son mari qui houspillait aprés les seigneurs Karadoc et Perceval, la Reine sourit contente d’avoir trouvé le chevalier aussi rapidement.
« Non mais ça fait un quart d’heure que je vous explique la même chose et je n’ai pas le temps à perdre avec deux abrutis qui pige que dalle à ce que je leur raconte ! Alors vous allez ouvrir grand vos écoutilles ! »
« Mais du coup on est un clan autonome on a plus besoin de vous obéir non, c’est pas un peu le concept »
Arthur était hors de lui, quelle perte de temps, il était Roi bon sang ! Il sorti excalibur de son fourreau et brandit l’épée devant les deux hommes en hurlant.
« Je suis le Roi et vous voyez ça ! » dit il en le mettant l’épée flamboyante sous le nez «  ça c’est excalibur qui fait de moi le chef suprême donc clan autonome ou pas vous prenez trois secondes pour m’écouter »
Il n’avait pas entendu Guenièvre arrivée, il fut donc surpris quand elle posa sa main sur son bras en signe d’apaisement. Sursautant légèrement au contact de cette dernière. 
« Oh mais vous n’allez pas nous la sortir dès que quelque chose vous contrarie mon ami on va finir par croire que vous avez des complexes »
Elle se pencha à son oreille et lui murmura doucement pour qu’il soit le seul à l’entendre
« Ah mais c’est peut-être pour ça ! vous avez un complexe en même temps je suis la moins bien placé pour soutenir le contraire »
Les joues du Roi virèrent aux rouges, muet par l’audace de sa femme, elle n’avait quand même pas osé lui dire ça, elle avait bien sous-entendu ce qu’il venait de comprendre. Son regard espiègle le transperçait de toute part et son petit sourire mutin lui donnait des frissons. Il l’examina de la tête au pied, elle était magnifique et même beaucoup trop désirable dans cette tenue, il eu un coup de chaud.
« Seigneur Perceval, il faut absolument que je vous parle »
Elle avait lâché le bras de son mari pour prendre celui du chevalier et l’entraina avec elle au loin sans se soucier nullement de ce que pouvait penser les autres, et en particulier son mari.
« Je vous le rend après ! Ne vous inquiétez surtout pas vous pourrez continuer à leur hurler dessus, comme d’habitude quoi ! »
Arthur était totalement abasourdi par le cran de sa femme et il était resté là, la bouche ouverte.
« Qu’est ce qu’elle vous a dit ? »
« La ferme Karadoc »
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ehbahpu · 11 months
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Le chantier où jsuis c'est dans un ancien moulin réhabilité + les dépendances autours et c'est un endroit qui a été acheté par une vingtaine de personne ya 3 ans et depuis ya des chantiers participatifs les étés pour retaper ou construire fully des trucs, et sur le tout ya plusieurs chantiers en non mixité tpgi, et moi jen ai entendu parler que par des gouin.es donc jetais en mode ah work ça va être queer land
Turns out oui mais non pcq ya énormément de cismec et de straights et je comprend juste au fur et à mesure que en fait oui ok dans les gens à la base du truc ya des queers mais ya AUSSI une majorité de cismec et d'heteras et que les queers sont potes avec ces gens
Et que du coup Oui yaura des queers qui ramènent des queers mais ya surtout des cismec et des heteras qui ramènent leur pote
Pcq depuis le debut ya un mélange complètement fucké des gouines et de meufs trans et de transmasc mais au milieu de tout ça ya pleins de cismec qui sont complètement buggé en mode ah mince je suis un oppresseur et la proximité est genre là LÀ et depuis le début je comprend pas et maintenant je comprend : non mixité c'est non mixité et ca marche pas si elle est en coloc avec des cismec straights
Et en effet Jarrive pas à trust les queers qui sont potes avec des straights mdr
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borisdunand · 6 months
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Un silence insupportable
Un silence particulier. Un silence plus intense que celui des dimanches. Je marche sur le trottoir, dans Carouge, je fais mon tour habituel, mes pas du réveil. L'air est mordant, le ciel bleu foncé avec de grandes rainures pâles, le soleil pas encore levé a déjà effacé les étoiles. Pas une voiture. Un cycliste roule les mains dans les poches. Ah mais oui, c'est parce que c'est Noël, tout est fermé, tout est en congé. Presque : dans le café en bas de mon immeuble, une dame ajuste l'emplacement des viennoiseries. Le silence est frappant. Je l'entends fort.
J'entends aussi d'autant plus fort les bruits qui le recouvrent habituellement. Leur intensité, leur omniprésence, leur agressivité. À la même heure, en semaine, je suis entouré de plusieurs dizaines de voitures, de vespas, de motos, de précipitations, d'accélérations, de grincements, claquements, craquements, de voix et de cris, de silhouettes pressées qui s'entrecroisent. Là, rien. Le cliquetis poétique et bref du vélo. Le visage distinct d'une femme qui vient poser une lettre dans la boîte. Des chants d'oiseaux !
J'écoute ce silence, je me souviens du bruit, je soupire. Toujours, toujours la même interrogation, le même vacillement : est-ce que j'ai vraiment choisi ? Est-ce que l'habituation annule les effets de l'agression ou bien la rend-elle faussement indolore ? Est-ce que je fais avec sans m'en rendre compte ou est-ce que ça ne m'atteint réellement plus ? Quel est le coût de cet effacement, de cet oubli ? Cet oubli qu'il y a un silence dessous, un calme, des pépiements mélodieux, il y a tout ce que je sens à l'instant : du calme, de la douceur, de la tendresse, de la beauté, un possible moment de tranquillité, voire de plénitude.
La réalité de mon quotidien, si radicalement différente de ce que cette promenade me fait vivre, au même endroit, à la même heure, dans le même corps et les mêmes humeurs, cette réalité me saute au visage, comme un monstre fendant la toile de silence qui m'entoure en me gueulant soudainement dessus. Pourquoi ? Pourquoi je vis ça tous les jours ? Pourquoi je ne vis pas ça plutôt ? Comment faire ? Est-ce que ça changerait vraiment ? Où aller chercher ça ? A la campagne ? Et les trajets pour le travail, la culture, la vie sociale alors ? Dans un coin privilégié de la cité ? Avec quelles ressources financières ? En passant d'un mi-temps à un temps complet, mais alors quel temps me restera-t-il pour profiter, créer, rêvasser, faire ma promenade du matin ? Donc je reste là, j'oublie, je m'habitue, je retourne dans mon immeuble où tous les jours des gens claquent les portes pour les fermer, marchent en tapant du pied sur le sol à deux heures du matin malgré qu'on leur aie demandé d'éviter de le faire, descendent les escaliers à la façon d'un pachyderme saoul et paniqué, poussent et tirent à hue et à dia chaises, tables et meubles en oubliant les capacités motrices de leurs membres supérieurs… Jusqu'à quand ?
Dans ces moments, j'ai des micro-crises épileptiques, des fractions de convulsions neurales où je me vois habiter radicalement ailleurs, et tout mon système psychique et physique semble à deux doigts de s'effondrer sur lui-même. Je me vois en train de marcher le long d'un champ, d'une plage, d'un lac, ces images me traversent comme des éclairs et sont absolument insupportables.
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lvladame · 10 months
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L'histoire de lvladame :
Je suis née six mois après un drame familial (un accident qui a failli coûter la vie à mon frère) un an plus tard ma grand mère maternelle tombera malade (tumeur au cerveau), après son décès j'ai 18 mois et je ne marche toujours pas, le pédiatre est direct :
" Votre fille n'a pas un soucis aux jambes mais au cerveau " le scanner révélera une Paralysie cérébrale de type diplegie spastique. Le Dr sera pessimiste il dira à mes parents : " n'attendez rien de votre fille, elle ne marchera jamais "
Ma mere a pris la main de mon père elle lui a dit " il est hors de question qu'elle soit en fauteuil roulant, on est d'accord " mon père les larmes aux yeux a hoche la tête...
Ils ont proposé une place dans un iem mes parents ont refusé " dites nous ce qu'il faut faire "
L'école publique de quartier a refusé de me prendre, alors ils ont opté pour une école privée et y ont inscrit mes deux frères par équité... Quand j'ai commencé à marcher j'usais 1 paire de chaussures à 500 francs tous les 15 jours... Ils percevaient uniquement l'AEH
Les séances de kiné sont une torture en période de croissance, les muscles sont déjà au taquet sollicité avec la croissance alors avec en plus les étirements manuels c'est horrible, mes parents n'assistent pas aux séances tellement mes hurlements leur brisent le cœur
C'était sans compter mon sale caractère, qui a fait son effet très tôt, un kiné a dit à mes parents qu'il ne pouvait rien pour moi je ne voulais pas me laisser faire...
Ils ont fait alors le déplacement 3x par semaine chez un autre kiné à 50 km de la maison...
En plus de la rééducation j'ai le droit à des attelles de nuit et de jour, puis une magnifique coquille qui va d'en dessous des aisselles aux orteils... J'appelle ma mère la nuit pour qu'elle me retourne. J'ai aussi des plâtres 1x par an l'été bien souvent pr pas louper l'ecole
On m'a dit " tu ne peux pas faire ça " j'ai regardé mes parents, ils ont compris :
- 3 semaines pr apprendre à faire du vélo comme une grande j'avais 7 ans alors que c'était impossible selon les medecins
- 2 semaines pr apprendre à nager à la force des bras (merci les freros)
J'ai connu la discrimination, le rejet, les moqueries, les menaces de mort durant ma scolarité par mes camarades, j ai également des enseignants qui ont été ignoble mais j'ai eu la chance de croiser des personnes exceptionnelles...
Mon enseignante de CE2 m'a tenu la main tout le long de la course de plusieurs kms parce que je voulais le faire comme les copains... On a couru on a marché, elle me disait aller tiens bon on y est... J'y suis arrivée...
On m'a dit que je ne ferai rien de ma vie, on m'a dit qu'il était impossible que je sois intelligente car je suis handicapée... On m'a dit que c'était impossible qu'un homme s'intéresse à moi car je suis handicapée...
Quand je montre une photo de notre mariage à mes collègues j'ai comme réponse : " Ah ouais il est pas mal ton homme " parce que forcément les handicapées n'attirent que les moches...
Quand je revois ceux et celles qui ont tenté de m'humilier et me briser, qu'ils me demandent ce que je suis devenue, quand je leur donne le nom de ma profession, ils disent : " Ah oui t'as réussi quand même "...
J'aurai pu répondre à tout ceux qui ont été abjecte avec moi par la violence, j'aurai pu me lamenter sur mon sors...
J'ai utilisé tous les coups que je recevais pour en faire une force et j'ai démonté un a un tous leurs propos.
Qu'importe l'avis des gens, qu'importe le regard des gens... On est seul à savoir ce qu'on vaut, ce qu'on veut... On peut toujours trouver le moyen de réussir, c'est difficile, c'est épuisant mais ça vaut vraiment le coup...
Je n'ai jamais cédé à la haine, à la violence, j'ai eu une chance inestimable d'avoir été élevé en guerrière, je n'aurai jamais assez de toute cette vie pour remercier mes parents et mes frères...
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claudehenrion · 7 months
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Et après ?
Ceux de nos concitoyens dont le système mémoriel n'a pas été trop gravement endommagé par les agressions incessantes de la Doxa --cette vision progressiste du monde, prétendue correcte mais qui ne peut déboucher que sur une catastrophe-- n'ont pas oublié les jours maudits où on leur imposait des confinements inutiles, des masques sans effet, des humiliantes ''autorisations dérogatoires'', des boutiques fermées, des familles privées de deuil, une sous-vie au rabais et des non-vaccins qui ni n'empêchent, ni ne guérissent, ni ne protègent ! En ces temps de malheur, les faux beaux esprits dissertaient sur ''le monde d'après'' (sous-entendu : ''après-le-covid'', qui était pour eux la clé du monde futur !  Ah! Les idiots )
En avons-nous rigolé, ici-même, de cette prétention des plus nuls à se prendre pour Nostradamus, copiant la célèbre grenouille de la Fontaine qui se voulait plus grosse qu'un bœuf ! Or, le temps ayant passé, je suis obligé de reconnaître qu'ils n'avaient pas entièrement tort et je n'avais, moi, que partiellement raison : car oui,un monde ''autre'' est arrivé... ou plutôt est en train de s'installer sur la planète : sans que le covid ni aucune des mauvaises ''bonnes raisons'' qu'ils invoquaient n'y soient pour quoi que ce soit... un ''monde nouveau'' ou, plus exactement, un ''ordre nouveau'' est bel et bien en train d'étaler ses horreurs devant nos yeux incrédules et effarés, et ce monde est, hélas, ''post-occidental'', pour notre plus grand malheur et celui du futur de l'humanité.
L'ordre ancien, en tout cas, n'est plus, ou s'en va. Et ça, c'est une horreur acquise. L'état actuel de la Terre fait plus pitié qu'envie et, franchement, je ne connais personne qui se réjouisse de ce drame (sauf mélanchon... mais justement, c'est ''personne'' !). L'ordre ancien s'éloigne, et aucun, je dis bien : aucun remplacement n'apparaît à l'horizon. Voici le monde replongé dans des périodes sombres de son Histoire : une civilisation meurt... et rien de bon ne vient la remplacer. Un jour, peut être... Et dans ce clair-obscur crépusculaire, ressurgit le plus vieux système du monde, celui qui n'a besoin ni de règles ni de gendarmes : la loi du plus fort... à ceci près que cette débâcle de l'esprit est activée par et au seul profit de ceux que les wokistes et les islamo-progressistes désignent par ''les minorités opprimées''. Des opprimés opprimants ? Allez comprendre !
Le spectacle du monde d'aujourd'hui ne peut que faire penser à Gramsci : ''Lutter contre les idées dominantes, en transformant les idées existantes en idées ''justes'', c’est-à-dire révolutionnaires, en particulier dans les classes exploitées et opprimées''. Dans la folie de ce qu'il appelle ''sa justice'', le Hamas se sent autorisé à transgresser les limites ultimes de l'humanité, la mettant plus bas que l'animalité, et va chercher aux sources les plus éloignées de notre proto-histoire, le massacre des néandertaliens par les sapiens, --y compris les otages et les viols... qui nous valent quelque 4 % du génome néandertalien dans notre ADN-- ce ''pogrom'' avant l'heure, dont l'horreur a survécu et s'est imposé dans notre mémoire collective à travers l'image d'un Caïn tuant son propre frère. Les assassins du Hamas nous ramènent aux pires moments de nos origines !
Loi du plus fort ? Contre la lamentable ''voix de l'ONU'' totalement dévaluée, Israël trouve dans l'immensité de cette horreur un droit au talion, sous le noble prétexte de ''détruire le Hamas'' –ce qui serait une opération de salut public. Oui mais, lorsque les ''dégâts collatéraux'' dépassent 5 ou 10 fois ce qui les a justifiés, on doit se demander ''Et après ?''. Le Conseil de Sécurité et l'Union européenne sont inaudibles, comme ils l'ont été dans les crises du Donbass russo-ukrainien, de la corne de l'Afrique --et de l'Afrique en général--, entre les deux Chines, en azéro-arménie, et dans toutes les folies, à venir mais quasi certaines (= en préparation) dues à celle du satrape turc... et / ou n'importe où ailleurs dans le monde, aujourd'hui ou demain. La présidente du Comité International de la Croix Rouge parlait hier d'un ''échec catastrophique que le monde ne doit pas tolérer''... en oubliant de préciser duquel elle parle : ''pas d'amalgame'', n'est-ce pas !
La colère du monde contre sa partie européenne ou occidentale (on n'ose plus dire ou écrire ''blanche'', ce qui est pourtant la seule explication sérieuse, mais fait de vous un paria) pose le problème de l'ordre sur la Terre. En l'absence du chat, dit le proverbe, les souris dansent ! La civilisation-référence, celle qui maintenait l'ordre du monde et des choses, est en train de sombrer dans et par sa propre incapacité à se souvenir de qui elle était, de pourquoi elle est là, de qui elle est, et de pourquoi l'Humanité avec une majuscule a besoin qu'elle reste à la place qu'elle occupe depuis plus d'un demi-millénaire. Bien sur, qu'elle n'était pas parfaite ! Qu'est-ce qui l'a jamais été, et qu'est-ce qui peut l'être ? Mais –répétons-le haut et fort-- elle est, et de très loin, ce qui pouvait arriver de mieux à la-dite Humanité. Toutes, je dis bien : toutes, les tentatives qui ont été lancées par des idéocrates destructeurs ou des rêveurs rarement doux, ont tourné au fiasco –quand ce n'est pas à la catastrophe, comme le communisme sous toutes ses formes...
Le 12 novembre, la vraie France est descendue dans la rue. 150 ou 180 000 braves gens, blancs pour la plupart, ont crié –sagement-- leur réprobation. Ça ne servira strictement à rien, sinon à des postures, à des promesses insincères et à des déclarations creuses, préparées à l'avance (''La marche doit se transformer en démarche !'' --dixit Larcher-- ou ''la France ne tolérera pas l'intolérable !'' --dixit Macron, truismes qui mériteraient de figurer sur le ''mur des cons'', eux !). Pendant ce temps, les foules du monde dit ''non-occidental''hurlent par millions leur haine profonde de l'Occident... devant toutes les Ambassades des pays qui leur ont permis –à de très rares exceptions près-- d'être qui elles sont. Pire encore, elles font ça en invoquant des vertus dites judéo-chrétiennes, revisitées et réécrites jusqu'à les rendre insensées, pour réfuter ceci un jour, autre chose le lendemain, et une troisième le jour suivant...
Mais que proposent-elles, en échange ? L'ordre actuel, qui est en passe de devenir un ''désordre mondial'' par la faute d'imprécateurs malveillants et masochistes, avait été imposé au monde par les vainqueurs de 1945, et sans doute était-il, en ce temps-là, le moins mauvais possible (un exemple ? l'intangibilité des frontières...). Qu'en reste-t-il vraiment ? Principalement des mots et une phraséologie qui ont été vidés de leur sens, des idées faussement générales sans le moindre intérêt quand elles ne sont pas mortifères, des torrents de contre-vérités honteuses, une ''lecture du monde orientée à en faire perdre le nord''... et une planète qui ne sait plus où elle va... et n'arrive même plus à aller ''nulle part'', mis à part une haine inexplicable pour (ou contre) le CO²... qui est pourtant vital pour elle. Au fou...
Même la solide Eglise catholique, qui a résisté à tout jusque là, cette ''seule structure humain qui ait tenu 2000 ans'', donne des signes de grande faiblesse, puisque c'est de l'intérieur qu'elle se fissure : sa hiérarchie semble chercher, dans un mouvement-pour-le-mouvement très progressiste, à s'adapter au monde en folie, qu'elle avait pour seule mission –sacrée-- de maintenir dans une Vérité qu'elle croyait éternelle... Par attrition de tout ''modèle'' auquel se rattacher, le seul destin qui nous est proposé est un mélange de cacophonie, de violence de tous contre tous, à tous les étages (les exceptions ayant plutôt tendance à se raréfier), et une forme jusque là inconnue de ''guerre mondiale en tranches, par petits morceaux''. Il y a de quoi s'inquiéter...
H-Cl.
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