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#Cérémonial
weirdlookindog · 10 months
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Jean-Michel Nicollet - Cérémonial nocturne, 1986
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empiredesimparte · 4 months
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Live broadcast of ‘Le Sacre de Napoléon V’ on the national channel Francesim 2, hosted by Stéphane Bernard
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(Stéphane Bernard) The Emperor will become a quasi-sacred figure through the anointing: it is a sort of transfiguration. The imperial canopy conceals this profoundly sacred moment because the rite must remain a mystery to the common mortals. We are witnessing a revival of the triple blessing from the Reims ceremonial of the kings of Francesim. Their Majesties, kneeling before the altar, receive the triple anointing from the Pope: one on the forehead, the others on both hands. First the Emperor, then the Empress.
In his prayer, the Pope asks God to bestow the treasures and graces of His blessings upon the Emperor. He prays that the Emperor will govern with strength, justice, loyalty, foresight, courage, and perseverance. The Emperor must combat Evil and defend the holy Christian Church. The Empress, for her part, receives God's support, and that of Christ, to preserve the Empire and the French people for eternity.
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(Stéphane Bernard) Such a ceremonial highlights the spiritual and mystical dimension of the imperial monarchy. It is a moment steeped in tradition, where every gesture, every word, carries deep symbolism, reminding us of the sacred bonds that unite the sovereign to his people and to God. (Mgr. Morlot) Almighty and eternal God, who have decreed that, following the example of David, Solomon, and Joash, the foreheads of Kings and Emperors should be adorned with a diadem, so that, through the brilliance of their gemstones and the splendor of their ornaments, they might serve as a vivid and striking image of the majesty that surrounds you to the peoples while they reign on earth…
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(Mgr. Morlot) … Pour out, we beseech you, your blessing upon these crowns, so that your servant Napoleon and his spouse, who will wear them on earth, may shine with the radiance of all virtues.
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(Pope) May God encircle your brow with the crown of glory and justice...
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(Pope) ... May He arm you with strength and courage so that, blessed by Heaven through our hands, filled with faith and good works, you may reach the crown of the eternal kingdom…
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(Pope) ... By the grace of Him whose reign and empire extend throughout all ages and ages. Amen.
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(Napoléon V) Amen.
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⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°11 | Francesim, Paris, 28 Thermidor An 230
While the bells ring out and the cannons roar, the Emperor and Empress of Francesim are crowned at Notre-Dame Cathedral in Paris. It was broadcast live on television by Stéphane Bernard, the famous journalist for the crowned heads in Francesim.
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⚜ Traduction française
(Stéphane Bernard) L'Empereur va devenir un personnage quasi-sacré grâce à l'onction : c'est une sorte de transfiguration. Le dais impérial cache ce moment tout à fait sacré car le rite doit rester un mystère pour le commun des mortels. Nous assistons à une reprise de la triple bénédiction du cérémonial de Reims des rois de Francesim. Leurs Majestés, agenouillées devant l'autel, reçoivent du Pape la triple onction : une sur le front, les autres sur les deux mains. D'abord l'Empereur, puis l'Impératrice.
Dans son oraison, le Pape demande à Dieu de répandre les trésors et les grâces de Ses bénédictions sur l'Empereur. Il prie pour qu'il gouverne avec force, justice, fidélité, prévoyance, courage et persévérance. L'Empereur doit combattre le Mal et défendre la sainte Église chrétienne. L'Impératrice, quant à elle, reçoit le soutien de Dieu et du Christ, afin de conserver l'Empire et le peuple français dans l'éternité.
Un tel cérémonial met en lumière la dimension spirituelle et mystique de la monarchie impériale. C'est un moment empreint de tradition, où chaque geste, chaque parole, porte un symbolisme profond, rappelant les liens sacrés qui unissent le souverain à son peuple, et à Dieu.
(Monseigneur Morlot) Dieu tout-puissant et éternel, qui avez voulu qu'à l'exemple de David, de Salomon et de Joas, le front des Rois et des Empereurs fût ceint du diadème, afin que, par l'éclat des pierreries et la splendeur de leurs ornements, ils fussent aux des peuples, pendant qu'ils règnent sur la terre, la vive et frappante image de la majesté qui vous environnement...
(Monseigneur Morlot) ... Répandez, nous vous en conjurons, votre bénédiction sur ces couronnes, afin que votre serviteur Napoléon et son épouse, qui les porteront sur la terre brillent de l'éclat de toutes les vertus.
(Pape) Que Dieu ceigne votre front de la couronne de la gloire et de justice ; qu'il vous arme de force et de courage, afin que, bénis du Ciel par nos mains, pleins de foi et de bonnes oeuvres, vous arriviez à la couronne du règne éternel...
(Pape) Par la grâce de celui dont le règne et l'empire s'étendent dans tous les siècles et les siècles. Amen. (Napoléon V) Amen.
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Un souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
Une autre soirée fut aussi tout autant une étape importante dans mon chemin vers le Candaulisme...
Une soirée étudiante ou presque d’Ana ma petite amie de l’époque.
Etudiante brillante et consciencieuse, elle avait voulu participer au fait que je lui avais ouvert mon appartement totalement et spontanément pour l’aider à réaliser ses études dès le premier jour de notre rencontre...
Quelques conflits récurrents avec ses parents lui pesaient.
Elle me les avait confiés le soir même de notre rencontre et je m’en étais aussi ému...
J’étais aussi pleinement amoureux...
Aussi, nous habitions ensemble depuis quelques mois sans que jamais je ne lui demande rien en retour.
Elle en était consciente et voulait-elle aussi participer.
Mener de front études et travail est un défi et un challenge où l’organisation et le rythme imposé sont parfois peu compatibles avec l’amour, les résultats et la fatigue...Elle le savait mais indirectement elle pensait me devoir tant sans pour autant ne lui avoir jamais rien réclamé en retour, ce qu’elle appréciait aussi beaucoup.
Elle avait quelques fois abordé le sujet mais je ne lui répondais toujours que d’un sourire, lui disant de vivre, de profiter, d’aimer, de travailler et d’être la plus heureuse possible...
Je crois, et je sais maintenant, que tout cela est aussi une racine profonde du Candaulisme...
Néanmoins, et c’est assez paradoxal, ce furent ses études qui lui permirent un jour de prétendre à un travail...
Il s’agissait en début d’année étudiante, sa deuxième année, d’être présente à la sortie des amphis et d’inviter et de sensibiliser ses jeunes collègues étudiants de première année à lire et surtout à s’abonner à des magazines divers et variés leur permettant d’élargir leurs connaissances dans des domaines voisins et importants de leurs sujets d’étude...
Aussi, se rendait elle en équipe pendant les quatre ou cinq  premières semaines de la rentrée dans les amphis, de tôt le matin jusqu’à parfois tard le soir, agrémenté de virées nocturnes dans les bars à étudiants de la ville.
Il le fallait selon les recommandations du responsable des ventes pour souder les équipes et faire connaissance de plus de monde encore au travers les premières soirées estudiantines organisées pour la cohésion des futures promotions...
Aussi, après des débuts enjoués et prometteurs sur le plan financier (chaque abonnement certifié faisait l’objet d’une ristourne de l’éditeur et comme il s’agissait d’abonnements annuels, les émoluments pouvaient parfois être réellement intéressants...) une certaine fatigue et quelques désagréments brisant notre agréable routine de jeune couple virent le jour.
Un rythme de travail assez effréné était demandé ainsi qu’une grande disponibilité pour « écumer » les facs de la grande ville où nous habitions...
Nous ne nous voyons plus beaucoup et mon appartement servait surtout de base arrière pour les présentoirs et les exemplaires des magazines et autres quotidiens en vente.
La fatigue se faisait réellement sentir et moi je devenais surtout celui qui l’hébergeait, lui faisait à manger (repas qu’elle prenait en fait rarement car son équipe très dynamique et pour tout dire « fêtarde » allait très souvent « célébrer » les résultats des uns et des autres dans un bar pour encore et toujours souder les équipes commerciales et profiter des contacts étudiants qui pouvaient s’y faire encore plus aisément autour d’un verre...
Aussi, sur le plan sentimental et sexuel, c’était plutôt la disette...
Dur, dur pour moi alors que d’ordinaire, nous étions rarement plusieurs heures sans nous câliner et sûrement pas et encore moins un jour......
Un petit « cérémonial » s’était néanmoins instauré car je crois qu’elle m’aimait sincèrement, pâtissait aussi de cette situation et s’en sentait un peu coupable même si la fierté de ramener de l’argent dans notre couple la motivait et la recompensait.
Ainsi, chaque soir (plutôt en milieu de nuit du coup...) où elle rentrait, juste après s’être douchée et alors que j’étais bien souvent endormi, elle venait me câliner, me prendre en main sexuellement parlant (elle aimait depuis nos premiers jours mon sexe, sa forme, sa douceur...)
Bref elle aimait ma bite, jouer avec pour me faire bander...
Chose qu’elle obtenait très rapidement au vu de sa dextérité et de ses envies manifestes...
En trentenaire ardent et vaillant, qui aurait pu s’en plaindre... ?
Elle me prenait alors rapidement en bouche pour me sucer (elle raffolait des fellations... !) et me taillait une pipe experte, souvent rapide en ces circonstances mais toujours appréciée, appréciable, adroite et victorieuse...
J’en appréciais totalement le bonheur tout en devant souvent rester sur ma faim et sur « la béquille » tandis que, quasiment à chaque fois, elle s’endormait en me gratifiant d’un « Bonne nuit mon amour », la bouche pleine et comblée de l’expression de mes désirs et de mon plaisir...
Elle aimait le gout de ma semence, l’avalait depuis toujours et l’appréciait...
Jamais elle ne m’avait sucé sans déguster le fruit de ses audaces et expertises.
Parfois même, elle me déposait un baiser légèrement gluant et chaud sur les lèvres...
Au début de notre relation j’en avais été surpris mais m’étais habitué et trouvais cela touchant en termes de partages et d’audace...
Ce rituel effectué, elle se tournait rapidement puis s’endormait profondément tout aussitôt...
Profondément était le terme : j’avais une ou deux fois, dans un état érectile indécent et difficile à calmer, n’arrivant réellement pas à m’endormir, voulu la prendre mais devant son corps si tendrement abandonné, j’avais résisté à l’envie de le faire sans son consentement express, même si rien ne pouvait me faire douter de ses désirs une seconde, pour la pénétrer sauvagement...
Elle ne m’en aurait pas voulu...
Non, j’en étais pleinement assuré et je pense même qu’elle aurait pu percevoir cela comme tout à fait légitime, voire même coquin...
Mais pour moi sans conscience et sans consentement il n’en était pas question...
Question de principe, de respect, d’honneur et tout autant de bonheur du partage.
S’en serait-elle même aperçue... ?
Du coup, pour quel plaisir... ?
Si je ne pouvais partager, je trouvais assez absurde de ne satisfaire que moi...
Oui, elle dormait très profondément !
Pour autant, souvent pris par les désirs et la beauté de son corps alangui qu’elle abandonnait parfaitement et naturellement à ma vue, (elle ne dormait que nue et y tenait),  je la caressais tendrement, bandant là encore comme un fou, et la couvrais de baisers ...
Le spectacle de son corps abandonné et offert sans défense enchantait et régalait au plus haut point mes yeux... Et pas que...
Ce n’était rien qu’en cela et déjà un réel bonheur...
Je dois confesser que parfois, il m’arrivait même de me masturber en la regardant, si belle, innocente, ...
 Je m’autorisais aussi de mes lèvres et de ma langue à la humer, la titiller sans la réveiller, la couvrir de baisers et notamment sur son sexe...
Quelques gémissements parfaits attestaient qu’elle ressentait sûrement mes attouchements sans pour autant en être réveillée... C’était réellement délicieux...
Oui, je me satisfaisais et même me régalais de tout cela à défaut de pouvoir lui faire l’amour comme j’en avais envie et l’honorer pleinement comme à nos habitudes...
Cependant, un soir, elle rentra un peu plus tard et vint directement se coucher...
Elle ne manqua pas pour autant à nos nouvelles habitudes et me suça talentueusement, avec même une gourmandise et une ardeur qui me rappelaient les pipes interminables dont elle était experte et adorait me gratifier avant d’incorporer cette équipe commerciale et qui j’en étais sûr ne tarderaient pas à reprendre une fois cette parenthèse économique terminée...
Je fus bien entendu ravi de sa prestation et lorsqu’elle vint m’embrasser à pleine bouche avec délectation et gourmandises, je perçus un goût légèrement différent du mien et de l’ordinaire...
Je n’en fis pas un problème et mis cette différence sur le compte de l’alcool et de la soirée festive qu’elle venait manifestement de passer...
Je la laissais s’endormir et poursuivis seul mon cérémonial...
Non douchée et manifestement très fatiguée, certainement assez ivre, elle ne s’était pas couchée nue comme d’habitude à mon grand étonnement mais avait conservé sa robe légère de soirée ainsi que son string que je pouvais deviner alors qu’elle se lovait sur le côté remontant ses jambes et redressant du coup sa courte robe sur le galbe de ses sublimes fesses...
Comme d’habitude, je ne résistais pas au plaisir de la couvrir de baisers et de caresses me sentant même encore plus entrain de la voir m’être revenue guillerette et heureuse, encore plus que d’ordinaire de sa soirée...J’aimais la voir heureuse et satisfaite...
Poursuivant mes « voyages », je relevais d’avantage sa robe sur son cul...
Je baisais de mes lèvres entreprenantes ses fesses et m’approchais de sa fente...
J’avais pris l’habitude, quoiqu’il arrive d’y déposer tous les soirs un baiser et même parfois d’oser y introduire légèrement la pointe de ma langue afin de gouter aux douces saveurs de sa chatte aux effluves pour moi si envoutantes...Elles berçaient, enchantaient et embaumaient ainsi quoiqu’il arrive mes nuits d’une telle douceur...
J’entrepris alors de mes doigts agiles de déplacer légèrement son string, sans la réveiller, car la ficelle fermait partiellement l’accès à sa délicieuse fente...
Je fis glisser le trait d’étoffe de mes doigts et qu’elle ne fut pas ma surprise de constater qu’il était complétement trempé et même qu’une sorte de méat un peu gluant semblait y être déposé...
Une jouissance... ? Du sperme... ?
L’ire et ma jalousie prirent immédiatement le contrôle de mon cerveau et de mes émotions
J’en restais, mentalement et physiquement sur le cul...Le sang affluant et bouillonnant dans mon esprit et mon corps...
Elle avait baisé... !
Elle avait dû baiser avec un autre... !
Un autre que moi dans cette putain de soirée...Et dans ce con qui était censé n’être qu’à moi... !
Je me sentais dans une telle rage, une telle colère...
Que faire... ?
Assis sur mes genoux, la regardant avec des yeux totalement différents de l’habitude...
Son string encore là...tout souillé du sperme d’un autre...j’en étais sûr...!
Instinctivement j’approchais mon visage et mon nez jusqu’ à y porter mes narines puis ma langue...
Oui, oui, c’était ce même goût que j’avais identifié dans le baiser donné avant qu’elle ne s’endorme...
La salope ! Elle m’avait trompé cette chienne..., c’était sûr...
Cette salope, ma salope... !
Ma chienne alors qu’on s’était toujours promis d’être complice quelque fut notre ou nos envies... !
Néanmoins, je ne parvenais pas à décoller mon regard de son cul et de son sexe encore gonflé et emplit d’un autre...Non je n’y parvenais pas, et même en moi j’arrivais à trouver des ressources et un calme doux qui maintenant m’envahissait…
J’avais bien des « papillons » dans le ventre..., un vertige dans la tête...
Mais étonnamment, pas ou plus de colère... !
A tel point que je me suis de nouveau penché...
De nouveau j’ai humé ce méat que je ne pouvais même plus détester... !
Son string était tellement imprégné de la mouille et de son odeur qu’il en devenait agréable, tant à la vue qu’à l’imaginaire...Oh oui elle avait du réellement jouir...
Je ne pus m’empêcher de retourner le sentir, le toucher, le « tester » même de mes narines...
Plusieurs fois...
Le goûter même...
Puis d’instants en instants jusqu’à la lécher consciencieusement, minutieusement avec, je devais me l’avouer, un plaisir grandissant, subjuguant et effaçant de manière incroyable toute colère ...
J’en profitais abondamment...J’aimais... !
J’en étais stupéfait mais j’aimais... !
J’aimais surtout à m’imaginer la saillie qu’elle avait subi, la saillie de son con et le plaisir qu’elle, qu’ils avaient dû connaitre...Je n’étais même pas jaloux de ne pas y avoir été...
Un peu vexé...j’aurais préféré que pour une première, même si je lui avais déjà confié ce fantasme du mari trompé avec son plein acquiescement mais présent...Elle était allée plus loin...
Plus vite même que je n’avais secrètement jamais imaginé ou désiré...
Pour autant c’est un rêve secret dont je lui avais fait la confidence et que par bravade je l’avais assurée que je ne serais pas jaloux...
En fait, si un peu, mais pas si fortement que cela ...
Assurément déçu qu’on n’ait pas partagé cette première et de ne pas avoir l’histoire de cette incartade ni d’avoir pu y assister...
Lorsqu’on en avait parlé et évoqué elle ne m’avait pas caché la possibilité que cela puisse arriver tant elle aimait le sexe, attirait les hommes et avait conscience de ses désirs et de ses faiblesses...
De plus, en lui ayant fait la confidence de ce Candaulisme naissant que je sentais déjà vivre en moi, je ne pouvais rien lui reprocher...
Elle avait seulement anticipé mes désirs et peut-être plaisirs...
Je ne les avais pas imaginés de la sorte et s’imposer aussi brutalement à moi...
Pour autant, qu’en restait-il pour moi... ?
Je venais de le constater...Je le constatais en direct...
Du plaisir, de la cérébralité, de l’amour pour le sexe, de l’amour pour elle, des envies...
Encore plus d’envies ...
Encore plus de désirs et d’amour pour elle comme je l’avais imaginé et quelque part voulu et demandé...Alors... ?
Plus encore quand je me rendis compte que je bandais comme un taureau et ne débandais pas alors que de longues minutes s’étaient déjà passées a regarder, que dis-je, admiré et fantasmé sur sa chatte épanouie, belle et manifestement comblée et heureuse...
 Je n’avais ainsi, à cet instant, que l’irrésistible envie de la baiser comme la chienne qu’elle était, celle que j’avais souhaité qu’elle soit...
Oui, je bandais comme un fou et contrairement à ma réserve et mes principes des soirs auparavant, je l’ai prise sauvagement, bestialement, jusqu’à la faire jouir comme peut-être jamais, ni elle ni moi-même n’avions jouis comme cela depuis longtemps et sommes partis dans un orgasme fulgurant et absolu qui me faisait de nouveau encore plus encore bander, devenir fou d’elle, fou de son corps, fou de son con, fou de ses jus...
Elle s’était réveillée...Jouissait ...hurlait...m’en demandait encore et encore... !
C’était incroyable... ! Irréel... !
Nous avons fait cinq ou six fois l’amour cette nuit-là  sans jamais nous lasser et nous nous sommes endormis tendrement l’un dans les bras de l’autre...
Au petit matin, elle est venue sensuellement me réveiller, me remercier de cette folle nuit et de la liberté que j’avais pu lui accorder, me disant qu’elle avait tant rêvé dans ses fantasmes les plus insensés de ce genre de nuit...
Elle me dit que toute cette intensité et ces besoins sexuels lui avaient manqués depuis un certain temps et son incorporation dans cette team de vente...Nous n’avions quasi plus le temps de faire l’amour... !
Que cette nuit un homme plus âgé mais beau lui avait fait du rentre dedans, l’avait fait boire, l’avait séduite et convaincue de passer à l’acte sans même me prévenir (elle était bien consciente de ce manque mais m’ayant informé que cela pouvait arriver et moi lui ayant tant parlé de ce fantasme du mari trompé consciemment... elle s’était dit avant de s’abandonner totalement à lui dans les toilettes du bar que cela ne changerait rien aux choses et que si notre amour était bien réel et celui qu’elle m’avait décrit et toujours imaginé était bien présent, alors cela ne poserai pas de problème...)
Oui elle s’en voulait de ne pas avoir pu le vivre avec moi en direct live...
Oui elle s’en voulait de ne pas me l’avoir dit directement en rentrant...
Elle ne voulait pas m’inquiéter et me priver de notre petit rituel jouissif et s’était endormie si ravie, heureuse et comblée surtout quand elle avait osé ce baiser fou dont elle avait si souvent rêvé, mêlant le sperme de cet amant de passage au mien dont elle appréciait tant la saveur...
Oui, bien évidemment elle l’avait sucé, avant, et surtout après qu’il l’ai prise sur un lavabo des toilettes communes du bar et alors qu’il s’essuyait le dard encore gorgé de semence sur son string qu’il avait adroitement écarté pour la pénétrer sauvagement, elle l’avait de nouveau sucé ... !
Accompagnés d’un autre couple se livrant aux mêmes exploits sexuels qu’eux, elle avait indirectement fait une compétition avec l’autre fille qui était par ailleurs sa chalengeuse pour obtenir une prime supplémentaire en raison du nombre de magazines vendus tout au long de leur journée de labeur...
La compétition faisait rage et n’avait pas de limite...
La fille s’était tournée vers la glace surmontant le lavabo pour se refaire une discrète beauté...
Ana avait ressaisi le sexe de son partenaire et l’avait embouché pour le nettoyer scrupuleusement...
Oui ; elle craquerait sûrement sur d’autres, en d’autres lieux, en d’autres soirées, avec moi, sans moi, Elle aimait trop ça... !
Elle m’aimait à la folie... !
Tout comme elle aimait plus que tout sa liberté.
Elle m’assurait qu’elle saurait me récompenser au-delà de mes attentes si je lui procurais tout à la fois la sécurité et la folie de cette impensable liberté...
Dans les vapeurs de la nuit, j’acquiesçais à tout ce qu’elle disait...
Ses aveux étaient si authentiques, touchants et somme toute correspondant tellement à mes aspirations les plus secrètes que je lui pardonnais instantanément et pour toujours...
Elle parti comme d’ordinaire et nous n’avons plus jamais eut à parler de ces instants.
D’autres similaires se reproduiraient...
Beaucoup d’autres à mon et notre plus grand bonheur... !
Je savais qu’elle pourrait de nouveau me tromper...
Sans moi,...Avec moi...Peu importerait pourvu qu'elle me revienne et me conte ses exploits...
Elle savait qu’elle pourrait me tromper...
Nous savions l’un et l’autre ...mais nous le savions maintenant...
Et surtout nous en jouissions si intensément que nous n’en avons jamais eu à en reparler.
Je savais que j’étais réellement Candauliste...
Elle savait qu’elle était une terrible baiseuse, une amante hors-pair et là, maintenant devenue une Hot-Wife comme les nomment les anglo-saxons...
Pour le plaisir de tout le monde, le sien d’abord, le mien, celui de ses futurs amants celui d’avoir une vie sexuelle, libre, riche, épanouie et épanouissante...
Nous en avons réellement profité toutes ces années de fac...
Un jour elle partit étudier définitivement à l’étranger...
Cela ne changea rien...
Ni pour elle, devenue près d’un de ses professeurs de Fac américaine et beaucoup plus âgé qu’elle, la Hot-Wife respectable et respectée qu’elle avait toujours voulu être, la lady américaine classe et parfaite le jour et aux désirs "naughty" de chaque instant...Un des paradoxes de l'Amérique...
Moi, je lui dois d'être devenu pour toujours Candauliste...
Je me souviens tant et avec tant d’émotions, parfois même érectiles, de ces instants où j’ai découvert son string imbibé de sperme, admiré, vu et goûté sa chatte gonflée de plaisir, partagé tant et tant de fois avec elle ces plaisirs et d’autres ensemble, cette philosophie et ce style de vie...
J’ai parfois eu des nouvelles et surtout j’ai toujours eu depuis ses confidences érotiques écrites par mail sur un site dédié à ces pratiques outre-Atlantique, ses délires et ses escapades sexuelles...
Elle s’en était fait un principe de me les dire, comme un légitime devoir envers moi.
Je ne lui demandais rien mais forte et fière de cette liberté que j’avais su lui donner, elle m’informait toujours, parfois même avant son mari, de ses rencontres et péripéties sexuelles variées et nombreuses...
C’est encore aujourd’hui le cas et c’est si bon et intense...
Elle est même devenue BBC, je n'en fus pas surpris connaissant les descriptions des Blacks qu'elle pouvait parfois rencontrer à la Fac et qui à chaque fois qu'elle m'en faisait la confidence la mettait dans des états torrides dont je profitais allègrement...
Moi, j’étais devenu et serais Candauliste pour la vie...
Merci à elle....Merci Ana...Je t’ai enseigné la liberté...Tu es bonne élève, tu as dépassé et il en est fier et heureux, le « maitre »...
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francepittoresque · 6 months
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14 mars 968 : consécration de l’usage de baptiser les cloches ➽ http://bit.ly/Benediction-Cloches Entachée les premiers temps de superstition, la coutume de baptiser des cloches parrainées par de riches donateurs divise longtemps le clergé, avant qu’au Xe siècle le pape Jean XIII, bénissant celle de l’église Saint-Jean-de-Latran à Rome, lui confère une légitimité, le pontificat élaborant bientôt un cérémonial officiel
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annlocarles · 1 year
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Je ne peux te voir
qu’à travers une épure,
débarrassée de la durée
un cérémonial qui reprend partout
sa nécessaire importance et l’insensée
recherche du signe suivant.
Et je prends soin de son tendre chargement
j’assemble des morceaux de royauté
et puis d’enfance
je recompte les oiseaux qui ouvrent tes paupières
te rince de prairies au pouls puissant.
je te tiendrai loin de tout ce qui peut effrayer
la vie
avec des mots qui ne seront jamais des mots
mais un corps entier d’écriture
à la tendre salinité
et au regard toujours surpris
où tu pourras enfin dormir d’aimer.
Barbara Auzou - Épure
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justineportraits · 2 years
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Clovis Trouille    Cérémonial saphique   1971
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jeanchrisosme · 2 years
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Il fût un temps où l'on s'aimait n'importe où, Des amoureux transis, y'en avait de partout. Aux terrasses des cafés, sur les bancs publics, Sous les lumières tamisées de restaurants romantiques, En balade main dans la main dans la rue, Aux perrons des églises cérémonialement vêtus. On voyait des doigts s'entrelacer, Des mots d'amour invisibles qu'on pouvait deviner, Une fleur offerte qui donnait un sourire, La satisfaction qu'on exprime dans un soupir, On voyait une caresse sur la joue, On voyait encore l'amour autour de nous. Maintenant les gens se cachent pour s'aimer, C'est au grand jour qu'ils savent se détester. Comme si l'amour était devenu honteux, Et que la haine valait mieux...
Emmanuelle Girin
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reno-matago · 2 years
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I finally asked for my silkworm cocoons at museum collections service, my dudes!
My collegues: ''Oh, why do you need it?''
My soul: "These are offerings for Athena, may be Circé and probably to try magical things or spirit communication, and a perfect symbol of the land''
My real answer: ''I love nature curios!''
No seriously, this exhibition about silk workers in Lyon at the beginning of the century is a blessing.
My city, beside of the Lion ( which is not an original symbol of Lyon ('' Lugh-On'') was famous for silk work at Renaissance, under impulse of Napoléon, and also for the roses culture. we even have a suspended garden at work, based on vegetal symbolism of the XVIth, that's why I would love work with roses and offer it more often.
The origin of the name Lugdunum is not very clear. Some says it means Hill of Lugh, gaulish god of light and crafts, or Hill of the Light, but romans thought it meant ''Hill of the crows'' cause they saw crows when they founded the city.
And this hill, we call today Fourvière was probably the temple of the Juno-Jupiter-Mercury triad (i'm not sure) archeologists believed for a long time it was a sanctuaire for Cybele, but others disagree! Today, it's still connected to light, la Basilique de Fourvière, consecrated to Mary the Virgin. She was prayed for healing the plague, and Lyonnais celebrate it 8th december by lightning candles everywhere with Big light shows in the street.
Oh and I haven't even spoken of the legends ..we have a beautiful Park, Parc de la Tête d'or (''golden head'' of a legendary statue of Christ hidden in the Park), we have a dragon in the river, the Mâchecroute, and an Island with legends about the SangGraal & lavandières de la nuit, female ghosts washing the clothes of the dead in the river.
We have a White Lady, la Dame Blanche de la Croix Rousse. Lyon is also the city of Spiritisme and a true base of Freemasonry since the XVIIth.
We also have the famous Johan of Arc room for mediumship, and i can't continue it would be too long. (Nostradamus, devil worship, werewolves, heretical sects, cérémonial Magic, tempestari, catacombs and incredible tunnels, chapel of Saint-Expedite...)
Cool, isnt it?
( OH FUCK WAIT I DIDNT REALIZED...Loa Ghede Spider behind, must be pretty happy, Hello you! 😯 🕸️🕷️)
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graceandfamily · 11 months
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2023 : Le Prince chez lui. Rainier III en images
À l’occasion de la commémoration du centenaire de la naissance du prince Rainier III (1923-2005), les Archives du Palais et l’Institut audiovisuel de Monaco présentent, dans le cadre du parcours des Grands Appartements, une centaine d’images, fixes et animées, souvent inédites. Représentatives de la personnalité et de l’œuvre du souverain, prises au palais et dans ses autres lieux de résidence, ces images sont mises en relation avec des objets et des documents d’archives.
Le Prince Rainier était véritablement chez lui au Palais de Monaco. Premier souverain à y être né depuis Honoré IV en 1758, Rainier III s’est attaché tout au long de son règne à restaurer et défendre l’identité de son pays, fidèle au message qu’il adressait aux Monégasques, dans la cour d’Honneur du Palais, le 19 novembre 1949, jour de son intronisation : « L’avenir de notre petite patrie, c’est en nous-mêmes qu’il réside, en vous tous assemblés autour de notre drapeau, dans la volonté commune de lutter pour la sauvegarde de notre indépendance et la défense de notre souveraineté. Si nous restons unis, cet avenir nous appartient : c’est la garantie de notre existence même. Plus que jamais, il ne peut être question que de Monaco : n’oublions pas qu’au-dessus des partis il y a la Patrie, au-dessus des intérêts particuliers, l’intérêt du pays. »
Cette exposition présente la vie et le règne du prince Rainier sous trois angles.
Celui du souverain d’abord, dans l’exercice de ses fonctions, qui « paperasse au bureau » selon son expression, entouré de ses collaborateurs, fêté chaque 19 novembre selon un cérémonial bien précis. C’est là, dans la Maison des princes que sont reçus les chefs d’État et les hôtes de marque, que se déroulent les actes majeurs de la vie politique, que la tradition de mécénat artistique des princes de Monaco se perpétue. Là encore que se construit patiemment l’image publique du prince, à travers les médias.
Celui de l’homme ensuite, dont les différentes maisons correspondent aux différents âges de sa vie : le Palais de Monaco où il nait et grandit jusqu’à ses études et le tumulte de la guerre, la villa Ibéria à Saint Jean Cap Ferrat où le prince célibataire séjourne jusqu’à son mariage avec l’actrice Grace Kelly, la maison de Rocagel, qu’il destine à la vie de famille, enfin le château de Marchais, demeure historique des Grimaldi depuis 1854, refuge de toute une vie.
Dans ce parcours, ne sont pas oubliés les passions personnelles du prince, qui permettent de comprendre sa personnalité et ses engagements. Lorsqu’il quitte l’uniforme de souverain ou les habits du père de famille, Rainier enfile sa blouse de travail pour se retirer dans son atelier où il modèle des sculptures en fer forgé.
Le quatrième et dernier temps de l’exposition est consacré aux grandes heures du prince au Palais. Sept séquences ont été retenues dans le plus long règne personnel de l’histoire monégasque : Devenir prince (1944-1949) ; le « couronnement » (1949-1950) ; l’arrivée de la princesse (1955-1956) ; une nouvelle constitution (1962) ; la république au Palais (1951-2005) ; « le Palais de la mer » (1976) ; commémorer l’histoire (1966-1999).
Thomas Fouilleron et Vincent Vatrican
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malevolat · 9 months
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à force de traverser ces jungles d'ivoires ces terribles semaines passées il m'est devenu formidable de vider le sens à ce que j'ecarte de branches ou de brindilles. Ce matin amer, j'ai eu la vision d'un cérémonial numineux en l'honneur d'une déese infernale, nous étions tous invités chacun son tour à une table, où se trouvait fixée au mur une boîte énigmatique. Au moment de l'ouverture, c'est une hôtesse dont je ne verrais que les avant-bras qui vint m'ouvrir les battants, elle portait de très longs gants vert orné d'un bracelet diamanté et m'annonce l'air de rien qu'il n'y aura que la peur panique derrière mais une fois ouvert en voyant son front serti d'un croissant je ne puis m'empêcher d'un sourire et d'un murmure : Nec videamus labra Dianae !
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claudehenrion · 11 months
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Lendemain d'une marche triomphale...
Hier, dimanche, ''la France a marché'', et toute la bien-pensance s'est extasiée. Je ne sais pas pourquoi je reste avec un goût d'amertume au fond de la gorge, et la vague impression que s'il suffisait d'une ''Marche blanche'' pour tout résoudre --et Dieu sait si celle-là l'était, blanche. Même si ce n'est pas admissible de dire ça (on peut le constater et le déplorer in petto, mais on ne peut pas le dire) les non-blancs se comptaient sur les doigts de la main--, ça se saurait, depuis la grandiose unité du monde entier post ''Charlie-Hebdo''... qui n'a pas fait bouger les choses d'un ''iota''. Evidemment.
On devrait sérieusement se demander d'où vient et à quoi est due cette phénoménale appétence pour le dépôt de fleurs, les marches blanches et les cérémonies dans la cour des Invalides, car je ne sache pas (NB : l'emploi du subjonctif donne à toute affirmation une teinte atténuée. En disant ça, je me ménage la possibilité de modifier ultérieurement cette déclaration) que les autres pays se complaisent dans ce cérémonial répétitif mais toujours inutile ! Le premier avantage que j'y vois, c'est que ça permet de s'acheter pour pas cher une impression de ''faire quelque chose''... qui permet donc d'éviter d'avoir à se demander ce qu'on pourrait faire d'utile pour répondre au problème posé. C'est, dans le fond, assez tranquillisant, et ça excuse de ne pas aller au delà.
On peut tout de même se demander en quoi les 150 000 personnes qui ont bravé les éléments hier en battant le pavé de nos villes ont apporté la plus petite contribution qui soit à la libération des malheureux otages, ont accéléré le moins du monde la fin –pourtant si désirable-- du Hamas, ou ont lutté contre telle ou telle lecture du Coran, dite ''biaisée'' par l'Occident ? J'ai beau tordre mes circonvolutions dans tous les sens... je ne vois, comme Sœur Anne, que le soleil qui poudroie et (que Perrault me pardonne...) nos politiques qui merdoient...
Un bémol, peut-être (par pure honnêteté intellectuelle) à la phrase précédente : une des raisons pour lesquelles nos grands hommes politiques, tous uniformément si petits, adorent ce genre de sport urbain et dominical, c'est parce qu'ils leur permet de montrer aux foules (qu'ils supposent béates d'admiration) qu'ils n'ont rien à envier à personne en matière de grands coups de menton qu'ils imaginent volontaires : dans leur haine insondable pour le fascisme --dont la plupart ignorent le vrai sens : ils n'étaient pas nés lorsque le vrai fascisme a empuanti l'Europe !-- , ils en ont tout de même conservé, à leur usage exclusif, les ''coups de menton'' mussoliniens. Ils trouvent que ça fait viril... même ''être viril'' est honteux...
Et puis il y a les discours, savamment parsemés de petits mots frappants, con-coctés (mais moins ''coctés'' que cons !) depuis des semaines par des con-seillers en con-munication payés pour ça par vos impôts. Dans le feu de l'action inactive qu'est une marche blanche (car même en gris ou en bleu, ça reste une marche blanche, allez savoir pourquoi !), ou un peu après la dislocation de cette belle utilité inutile, ils peuvent se répandre en mots creux alignés comme à la parade (sauf que là, c'est joli et ça a un sens). Et il faut reconnaître que, dans leur vacuité prétentieuse, ils pourraient presque valoir le déplacement, parfois, tant ils sont ridicules, outranciers, insensés !
Dans le genre ''plus comique, tu meurs'', il faut ré-écouter l'intervention ahurissante de Gérard Larcher, Président du Sénat, ''Deuxième personnage de l'Etat'' dans l'ordre protocolaire --qui veut dire ''premier'' (seul sens de ''prôtos''), ce qui est curieux, pour un second !-- comme dans l'ordre politique. C'était en fin de parcours. Une micro forêt de micros devant lui, il a commencé à débiter des mots sans lien entre eux, les préférant ''ronflants'' à ''justes''. Devant mon écran, j'écoutais cette logorrhée avec effarement : on aurait cru la crue du fleuve Aa au même instant, et je me demandais comment il était possible de parader (car il y prenait ostensiblement plaisir, s'imaginant parler pour l'éternité) si longtemps sans dire quoi que ce soit qui se tienne. Chapeau, l'artiste !
Parmi ses ''petites phrases'', celle-ci, qui a du à la fois terrifier les tueurs du Hamas et soulager les otages : ''Cette marche doit être suivie de démarches''... Il y a de quoi pleurer d'émotion, non ? Mais ça ne devait pas suffire, car dans la foulée, le Président, lui-même-personnellement, s'est dédouané d'une absence très critiquée par tout le monde, en en remettant une couche : ''La France ne tolérera pas l'intolérable'', promesse grandiose qui sera sûrement tenue... comme toutes les autres fois. ''Verba volant'' disaient les anciens., et les verba de nos élus doivent être particulièrement volatils : outre qu'ils sont répétés ''kif-kif'' à chaque manifestation de la haine islamiforme, ils n'ont évidemment jamais empêché quoi que ce soit : on les prononce en prenant un air guerrier... puis on rentre ''au Château'' et la vie continue, jusqu'à la prochaine fois..
Mais ces deux platitudes ridicules contiennent un énorme ''non-dit'' : il y transparaît que nos ''liders minimos'' sont devant une première : ils découvrent quelque chose qu'ils ne soupçonnaient pas. Et soudain, on comprend tout : leur système de référence ne les a en rien préparés à voir le réel : ils vivent dans un monde virtuel, fait d'abstractions, de mots qui ont perdu leur sens, sur une planète ''bisounours'' où les méchants sont, en fin de compte, ceux qui les empêchent de ronronner bien au chaud et qui leur posent des problèmes qu'ils n'ont pas été formés pour les résoudre.
D'ailleurs, juste après avoir prononcé les mots soi-disant définitifs ci-dessus, nos leaders vont ressortir leurs dossiers vides ou viciés, et l'Assemblée (pour notre malheur progressiste et à Gauche en majorité), va se dépêcher de détricoter l'excellent boulot qu'ont fait les sénateurs, et imposer aux français –qui n'en veulent pas-- leur absurde ''loi sur l'immigration'' (leur ''sparadrap du Capitaine Haddock'' depuis plus d'un an), qui n'a pas la plus petite chance de résoudre un seul des vrais problèmes, mais qui va continuer à ''rendre probable l'intolérable''. On est en droit de se poser la question : sommes-nous au lendemain d'une marche triomphale ou à la veille d'une bonne cuite, la ''Cuite finale'', déjà en route ?
H-Cl.
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weirdlookindog · 2 years
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Henri Lievens - Cérémonial nocturne
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empiredesimparte · 1 year
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"Soon an imperial wedding!" - article in the celebrity magazine Voici
In a speech delivered in the presence of representatives of the nation's bodies and institutions, His Majesty called on Parliament to postpone his coronation ceremony, out of love for her.
"Ladies, gentlemen, representatives of the French people, I have come to tell the Francesim that I wish the woman I love and respect, Mademoiselle Charlotte, to marry me."
This funny address to the French is not insignificant! His Majesty has decided to submit a new ceremonial calendar to Parliament, so that his fiancée can also obtain a coronation. The matter is currently being debated in the National Assembly. A wedding should therefore take place soon, postponing the coronation by several months.
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A new official portrait of the imperial couple, shared by the Tuileries Palace on the same day. Many French people wonder about the Belle of the Emperor!
Who is "Mademoiselle Charlotte"?
Still unknown a few months ago, Mademoiselle Charlotte is now on everyone's lips. She revealed herself to the French with a superb appearance at the Cannes Film Festival, covered by the Canal + channel, where you can replay the event.
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Charlotte Athénaïs Henriette de Rochechouart de Mortemart comes from a noble French family, sometimes dubbed "the oldest family in Francesim". She was 19, just like the Emperor. She is his childhood friend, as revealed in the engagement interview. They shared many memories together, from early school days to imperial family vacations. His Majesty has repeatedly stressed that this is not an arranged marriage:
"It's a private matter, a personal choice. I admire her sincerely, because she is endowed with all the qualities of the soul, and will be for me and the Crown a fundamental support. I place the happiness of my family and the qualities of the heart above dynastic prejudices."
Mademoiselle Charlotte is described by her parents and relatives as a beautiful woman with great presence, conscientious, intelligent, but with a strong character. This is what would please His Majesty. She also followed the Emperor to the Ecole Polytechnique, and the couple are due to sit their annual exams very soon. Mademoiselle Charlotte also took part in the school's military training course, in Napoléon V's group.
"Mademoiselle has already been very much in evidence at the Tuileries Palace in recent weeks, and is easily projected into a life with His Majesty. The staff of the Imperial Household have received numerous orders to be able to welcome her as she should be," according to the Emperor's Grand Chamberlain.
Indeed, the young lady's presence at the palace is often noticed by journalists. According to several sources, Mademoiselle Charlotte will soon be officially accompanying the Emperor on his imperial appearances and travels.
As our royal expert points out, an imperial marriage would give Mademoiselle Charlotte de facto the title of Empress of the French. The coronation in Francesim does not confer any title, it only has a religious value and allows for numerous national celebrations. Will the Pope appear in Paris for the advanced wedding of his godson, Emperor Napoléon V?
We can't wait to see more images of the imperial family, and especially of the young couple!
(Thank you @officalroyalsofpierreland for allowing me to feature Oliver and Henri on the cover of People magazine!)
⚜ Traduction française
"Bientôt un mariage impérial!" - article du magazine people Voici
Dans un discours en présence des représentants des corps et des institutions de la Nation, Sa Majesté a appelé le Parlement à repousser la cérémonie de son couronnement, par amour.
"Mesdames, messieurs, les représentants du peuple français, Je viens dire à la Francesim que je souhaite que la femme que j'aime et que je respecte, Mademoiselle Charlotte, m'épouse."
Cette drôle adresse aux Français n'est pas anodine! L'Empereur a décidé de soumettre au Parlement un nouveau calendrier cérémonial, afin que sa fiancée puisse obtenir elle aussi un couronnement. Le sujet est actuellement débattu à l'Assemblée Nationale. Un mariage devrait donc bientôt avoir lieu, repoussant le couronnement de plusieurs mois.
Un nouveau portrait officiel du couple impérial, partagé par le Palais des Tuileries, la même journée. Beaucoup de Français s'interrogent sur la belle de l'Empereur!
Qui est "Mademoiselle Charlotte" ?
Encore inconnue il y a quelques mois, Mademoiselle Charlotte est maintenant sur toutes les lèvres. Elle s'est révélée aux Français avec une superbe apparition lors du Festival de Cannes, couvert par la chaîne Canal + qui permet de revoir l'événement en replay.
Charlotte Athénaïs Henriette de Rochechouart de Mortemart est issue d'une noble famille française, parfois surnommée "la plus ancienne famille de Francesim". Elle a 19 ans, tout comme l'Empereur. Elle est son amie d'enfance, comme l'a révélé l'interview des fiançailles. Ils ont partagé ensemble de nombreux souvenirs, des premiers jours d'école aux vacances de la famille impériale. Sa Majesté a de nombreuses fois rappelé qu'il ne s'agit pourtant pas d'un mariage arrangé :
"C'est une affaire privée, un choix personnel. Celle qui est devenue l'objet de de ma préférence est d'une naissance élevée. Je l'admire sincèrement, parce qu'elle est douée de toutes les qualités de l'âme, et sera pour moi et la Couronne un appui fondamental. Je place le bonheur de ma famille et les qualités du coeur au-delà des préjugés dynastiques."
Mademoiselle Charlotte est décrite par ses parents et ses proches comme une belle femme avec beaucoup de prestance, intelligente, mais avec un fort caractère. C'est cela qui plairait à Sa Majesté. Elle a aussi suivi l'Empereur à l'Ecole Polytechnique, le couple doit d'ailleurs passer leurs examens annuels très prochainement. Mademoiselle Charlotte a également participé au stage militaire de l'école, dans le groupe de Napoléon V.
"Mademoiselle est déjà très présente au palais des Tuileries ces dernières semaines, et se projette aisément dans une vie auprès de Sa Majesté. Le personnel de la Maison Impériale a reçu de nombreux ordres pour pouvoir l'accueillir comme il se doit." selon le Grand Chambellan de l'Empereur.
En effet, la présence de la demoiselle au palais est souvent remarquée par les journalistes. Selon plusieurs sources, Mademoiselle Charlotte devrait bientôt accompagner l'Empereur officiellement dans ses apparitions impériales et ses déplacements.
Comme le rappelle notre expert royal, un mariage impérial donnerait de facto à Mademoiselle Charlotte le titre d'Impératrice des Français. Le couronnement ne confère en Francesim aucun titre, il a seulement une valeur religieuse et permet de nombreuses réjouissances nationales. Le pape se présentera-t-il à Paris pour le mariage avancé de son filleul, l'Empereur Napoléon V ?
Il nous tarde d'obtenir davantage d'images de la famille impériale et surtout du jeune couple !
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lalignedujour · 1 year
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Le moment n'était pas particulièrement émouvant. Marina, 46 ans. Sa sœur, 44 ans. Sa fille, 20 ans. Sa mère, 71 ans. Elles vident la maison de sa grand-mère, décédée à 94 ans.
Elles étaient encore dans le mouvement. Elles avaient toute la journée à l'écart du reste de la famille. Toute la journée pour trier les affaires du grenier. Des strates de cartons, de photos, de cahiers, de factures. Un tri par moment parcimonieux, par moments très grossier : le sac pour Emmaüs, le sac pour la poubelle, le sac à garder/trier/répartir.
Et elles ont eu faim. Marina est tombée sur le dernier bocal de macédoine de sa grand-mère. La macédoine lactofermentée mythique de sa grand-mère. Elles l'ont ouverte sans cérémonial. Juste parce qu'il fallait bien manger, il était déjà 13h30.
Elle faisait toujours la même macédoine. Elle avait dû passer sa jeunesse à peaufiner la recette, mais du point de vue de Marina, ça avait toujours été la même macédoine. Elle était excellente cette macédoine, tout le monde le disait. Rien à voir avec celles du Leclerc, alors là, non. Vraiment rien à voir, c'est presque abusé de comparer même si c'est pour dire que ça n'a rien à voir.
Tous les étés, Marina passait un mois avec sa sœur à la ferme. Leur grand-mère prenait un peu de temps pour s'occuper d'elles, mais à condition d'avoir un peu de main d'œuvre. Elles ratissaient le foin, elles ramassaient les œufs, elles allaient chercher le lait à la ferme voisine, elles se baignaient parfois dans le ruisseau sur le chemin et se faisait gronder car elles étaient pleines de boue, elles récoltaient les courgettes, les carottes, les oignons nouveaux. Elles équeutaient des montagnes de haricots verts, avec la télé en fond sonore (parfois, Mémé l'éteignait car elle disait que ça déconcentrait les filles et qu'elles équeutaient moins vite - en vérité, elles équeutaient plus vite au moment où elle menaçait d'éteindre, pour prouver que la télé ne les déconcentrait pas, alors elle les menaçait régulièrement). Et, elles préparaient les conserves de macédoine. Avec la recette sous les yeux. Il fallait couper les carottes en petits dés de cinq millimètre de côté. Pas huit. Si c'était huit, elles les recoupaient. Il fallait mieux quatre millimètres de côté, que huit. Elles y passaient des journées, arrivaient enfin au bout de la pile de légumes, et le lendemain au réveil, leur grand-mère leur livrait de nouvelles caisses de petits pois, de carottes et d'oignons. Il leur était venu à l'idée de saboter le potager pour échapper à la corvée. Le dernier été, Marina avait 15 ans ; sa sœur, 13.
Et là, elles mangent le dernier bocal de macédoine. Mamie en faisait de moins en moins, mais elle continuait. Celui-ci date bien de cet été, c'est écrit au marqueur sur le couvercle (et pas sur le côté, "sinon ça s'efface quand ça bulle"). On savoure, oui. On le sait que c'est le dernier. Mais on ne pleure pas. C'est si intense autour, et il reste tant à gérer d'ici l'enterrement après-demain, alors on pleurera plus tard.
La fille de Marina est tombée sur le cahier rouge, le cahier de recettes. Entre les cahiers bleus, qui recensent la pluviométrie et les lunes, et les cahiers jaunes qui indiquent toutes les fois où elle a reçu des convives, comment elle s'était habillée et ce qu'elle avait cuisiné. Les recettes précises étant consignées, comme on a vu, dans le cahier rouge.
Sa mère travaille et préfère acheter chez Leclerc. Sa grand-mère est à la retraite et préfère acheter chez Leclerc. Alors, c'est elle qui préparera la prochaine macédoine de légumes de Mamie.
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Le couronnement de Charles III et de son épouse Camilla Parker Bowles en tant que roi et reine consort du Royaume-Uni et des autres royaumes du Commonwealth aura lieu le samedi 6 mai 2023 . Charles III a accédé au trône après la mort de sa mère, le 8 septembre 2022. Des stars ont refusé de participer au couronnement de Charles III. Alors que le couronnement du roi Charles III et de la reine consort Camilla est annoncé comme un événement historique qui sera suivi à travers le monde, il semblerait que certains Britanniques ne soient pas du même avis. Et pour cause, plusieurs stars anglaises n'ont pas hésité à décliner l'invitation du palais de Buckingham à chanter lors du grand concert organisé au lendemain de la cérémonie officielle à l'abbaye de Westminster. En effet, Elton John, Adele, Ed Sheeran ou encore Harry Styles, des artistes britanniques de renommée internationale, n'ont pas souhaité prendre part aux festivités et ont ainsi démontré leur faible engouement à propos de cet événement des plus importants pour la famille royale. Si Charles III a donc dû avaler le fait qu'il n'y aura aucune superstar britannique pour le soutenir sur scène, il pourra en revanche compter sur la présence d'autres stars et pas des moindres. La chanteuse Katy Perry, l'icône Lionel Richie et le ténor Andrea Bocelli assureront le show le 9 mai prochain, au lendemain du couronnement. Parmi les autres artistes annoncés pour le concert, il y aura tout de même le boys band anglais Take That (mais sans son leader Robbie Williams), ainsi que le compositeur de musique classique Alexis Ffrench
À 6h du matin, les accès seront ouverts pour pouvoir voir la procession depuis Buckingham Palace jusqu’à Westminster Abbey. Les premiers arrivés pourront assister au passage du carrosse royal depuis The Mall et Whitehall. Les autres pourront y assister depuis les écrans qui diffuseront l’évènement à Hyde Park, Green Park et St James’s Park. La procession aura lieu à 10h20. Le roi Charles et la reine consort Camilla seront dans le carrosse d'État du jubilé de diamant, plus confortable et avec climatisation intégrée . Le roi Charles III devrait arriver à la Westminster Abbey un peu avant 11h. Le roi devrait d’ailleurs arborer un habit militaire (sous sa robe cérémoniale), en s’éloignant donc de la tradition britannique. La cérémonie devrait durer environ deux heures devant 2000 invités, dont des représentants du Commonwealth ou encore Emmanuel et Brigitte Macron. Le « coronation » se déroulera en cinq étapes
Le roi Charles III sera d'abord présenté au peuple et proclamé « roi incontestable ». Après une déclaration de l’archevêque de Canterbury puis de représentants de la Dame de la Jarretière, de la Dame du Chardon et de la Croix de George des forces armées, l’assemblée criera « God Save the King ». L'archevêque de Canterbury déclarera que l'Église d'Angleterre « s'efforcera de favoriser un environnement dans lequel les personnes de toutes confessions pourront vivre librement ». Le roi Charles III devra ensuite prêter serment deux fois, la première sur son respect de la loi et de l’Église d’Angleterre et un autre sur le fait qu’il est un « fidèle protestant ». Le roi Charles III pourra retirer sa robe de cérémonie et s’installer sur la chaise de couronnement (datant de 1300). Il recevra alors l’onction de l’archevêque de Canterbury. Le roi sera ensuite couronné de la couronne de Saint Edouard, la seule fois de sa vie. La couronne dédiée au couronnement a été fabriquée en 1661. Six monarques l’ont portée avant Charles III. Le roi recevra un manteau d’or, l’orbe, l’anneau et deux sceptres. Au moment du couronnement, les cloches de l’abbaye de Westminster sonneront pendant deux minutes. De même, dans toutes les églises du Royaume-Uni. Des salves d’armes seront également entendues dans tout le pays et notamment depuis la Tour de Londres. Le roi sera enfin intronisé et pourra donc monter sur le trône. Le prince William sera le seul à venir s’agenouiller devant son père. Toutes les personnes présentes dans l’abbaye mais aussi devant chez elles ou les écrans en extérieur seront appelées à prêter le serment d’allégeance, une première pour le pays. La Reine Camilla sera également ointée, couronnée et intronisée. Après la Sainte communion, le couple royal pourra quitter la chapelle Saint-Edouard. Le roi Charles III retirera la couronne Saint Edouard et portera la couronne d’Etat impériale, créée en 1937. Ils repartiront ensuite à bord du carrosse d’Etat en or et feront le chemin inverse vers Buckingham Palace, dans une procession plus courte que celle d’Elizabeth II. Le Roi Charles III et la Reine Camilla, sortiront ensuite depuis le balcon du palais de Buckhingham Palace et seront accompagnés de leurs familles. Le Prince Harry a d’ailleurs confirmé sa présence .Un défilé aérien de six minutes illuminera le ciel londonien.
En plus des nombreux expatriés français à Londres, les Français semblent se passionner pour ce couronnement. Selon le site Expedia.fr, les recherches pour des vols à destination de Londres ont augmenté de 265% suite à l’annonce officielle du Palais de Buckingham. Les recherches d’hôtels pour le weekend du couronnement ont connu un boom de 435%... Qui sera présent au concert du couronnement le 7 mai 2023 ? Le lendemain du couronnement, le dimanche 7 mai, un concert géant se tiendra au château de Windsor, devant 20.000 personnes tirées au sort. L’évènement retransmis par la BBC verra des performances des artistes Lionel Richie, Andrea Bocelli ou encore Katy Perry. Peu d’artistes britanniques ont répondu présents. Ed Sheeran ou encore Adèle avaient déjà des performances programmées à cette date. Y’aura-t-il un jour férié pour le couronnement ? Le couronnement ayant lieu un samedi, le lundi 8 mai a été déclaré férié. Ce Coronation Day ne sera malheureusement valable que pour l’année 2023. Lors de ce 8 mai, le Big Help out sera organisé pour inciter les habitants du Royaume à faire du bénévolat.
Quelle est la véritable raison de l’absence de Meghan Markle au couronnement de Charles III, le 6 mai prochain ? Selon Stéphane Bern, la duchesse de Sussex aurait pris sa décision En spécialiste des têtes couronnées, Stéphane Bern a bien sa petite idée. « Elle a calculé qu’elle avait plus à perdre en venant qu’en s’abstenant », a estimé le présentateur Meghan Markle : un nouveau tournant et d’éventuels projets Meghan Markle semble vouloir tourner la page des polémiques et des intrigues de cour. La duchesse, qui avait mis en pause sa carrière d’actrice après son mariage avec le prince Harry, a récemment signé un contrat de représentation avec la WME, l’agence de représentation artistique la plus influence au monde depuis sa greffe avec Endeavor. Celle-ci représentera Archewell, le label de création de contenus des Sussex. De quoi faire fructifier les engagements du couple, et leur offrir une portée d’ampleur sur la scène internationale
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parisies · 2 years
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Une porte s’éclaire
Sur le chemin du promeneur.
Et cette seule lumière
Apporte la chaleur.
L’entrée est cossue,
Cérémoniale.
Mais la petite ampoule
Et les vitres claires
Lui donnent une âme
Comme si un sourire
Venait adoucir
Le visage sévère
D’une vieille aristocrate
Acariâtre.
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