#La Maison ensorcelée
Explore tagged Tumblr posts
rhetthammersmithhorror · 4 months ago
Text
Tumblr media
The House of Ghosts | 1906
716 notes · View notes
dreadbythedecade · 2 years ago
Text
Dread by the Decade: La Maison ensorcelée
👻 You can support me on Ko-fi ❤️
Tumblr media
★★½
Plot: People shelter from a storm in a haunted house.
Review: What begins as a solid vehicle for slapstick and fun special effects wears out its welcome.
Tumblr media
English Title: The House of Ghosts Year: 1908 Genre: Horror Comedy, Ghosts/Haunting Country: France Language: Silent Runtime: 5 minutes 58 seconds
Tumblr media
Director: Segundo de Chomón Writer: Segundo de Chomón Cast: Unknown
Tumblr media
-----
Plot: 2/5 - Shallow. This would be less of an issue if the film had been shorter or featured greater spectacle.
Performances: 3/5 - Serviceable slapstick performances.
Effects: 4/5 - Whimsical use of substitution splices, double exposure, puppetry, and stop-motion animation.
Tumblr media
Sets: 2.5/5
Costumes, Hair, & Make-Up: 1.5/5 - The costume and makeup choices for this are cheap and bizarre.
youtube
10 notes · View notes
mrsines · 8 months ago
Text
Destinée Ensorcelée
Chapitre 2 : A la croisé des chemins
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Lucillia est une jeune femme  qui incarne la détermination et le sérieux. En tant qu'étudiante en criminologie, elle montre un grand engagement envers ses études, ce qui suggère qu'elle est passionnée par son domaine et désireuse d'apprendre tout ce qu'elle peut sur la criminalité et la justice.
Son comportement, qui consiste à ne jamais sortir les soirs de semaine, renforce l'image d'une personne disciplinée et concentrée sur ses objectifs académiques. Cela pourrait aussi indiquer qu'elle privilégie ses responsabilités sur les loisirs, ce qui peut être interprété comme une volonté de réussir dans un domaine exigeant.
Lucillia pourrait également avoir des traits de personnalité tels que la rigueur, la responsabilité et peut-être une certaine introversion, car elle semble préférer le temps passé à étudier plutôt que de socialiser. Cela pourrait aussi suggérer qu'elle a des ambitions élevées et qu'elle est prête à faire des sacrifices pour atteindre ses objectifs professionnels.
Aujourd'hui, c'était vendredi, et l'excitation flottait dans l'air. Lucillia se tenait devant son miroir, un sourire sur le visage alors qu'elle se coiffait pour l'anniversaire de sa meilleure amie, Maria. Elle avait choisi une robe élégante, avec des couleurs vives qui faisaient ressortir ses yeux. Les lumières de sa chambre brillaient doucement, créant une ambiance chaleureuse.
Soudain, la porte s'ouvrit et son père adoptif entra, un regard curieux sur le visage.
 "Alors, où comptes-tu aller habillée comme ça ?" demanda-t-il, avec une pointe de préoccupation dans la voix.
Lucillia se retourna, les mains dans les cheveux, et répondit avec assurance : "Je vais à la fête d'anniversaire de Maria. C'est important pour moi."
Son père fronça légèrement les sourcils, visiblement inquiet. "Tu sais que je préfère quand tu restes à la maison le vendredi soir."
Lucillia, sentant une vague de frustration monter en elle, répliqua fermement : "Je suis adulte maintenant. Je n'ai pas d'ordre à recevoir de toi. Je peux prendre mes propres décisions."
Un silence s'installa dans la pièce, et son père, réalisant qu'elle avait raison, soupira. "Je sais, Lucillia. Je veux juste que tu sois en sécurité. Mais amuse-toi bien, d'accord ?"
Lucillia acquiesça, un sourire apaisé sur le visage. "Merci. Je ferai attention." 
Elle se retourna vers le miroir, terminant sa coiffure, tandis que son père quittait la chambre, laissant derrière lui une atmosphère de compréhension et de respect mutuel.
☆○o。  。o○☆
Le soir était tombé rapidement, enveloppant la salle des fêtes d'une douce obscurité parsemée de lumières étincelantes. Les guirlandes lumineuses accroché aux murs projetaient des ombres dansantes, créant une atmosphère festive et chaleureuse. Lucillia, en entrant, fut immédiatement frappée par l'énergie qui régnait dans la pièce. Les rires et les voix s'entremêlaient, formant une mélodie joyeuse qui résonnait dans l'air.
La salle, décorée avec soin, était remplie de ballons aux couleurs vives flottant au plafond, tandis que des tables garnies de gâteaux, de bonbons et de boissons pétillantes attiraient les convives. Des amis de tous âges se mêlaient, certains dansaient déjà sur le rythme entraînant de la musique, d'autres discutaient avec animation, leurs visages illuminés par la joie de célébrer.
Lucillia, bien que ravie de voir tant de monde, se sentait étrangement à l'écart. Elle observait la scène, ses yeux parcourant les visages familiers et inconnus, se demandant ce qui avait bien pu inciter Maria à organiser une fête si grandiose pour un simple anniversaire. La foule semblait écrasante, chaque éclat de rire lui paraissant à la fois accueillant et intimidant.
Alors qu'elle commençait à se sentir submergée par le tumulte, une main douce et familière se posa sur son épaule. Elle se retourna brusquement et rencontra le regard pétillant de Maria. Sa présence était comme une bouffée d'air frais dans cette mer de visages. 
"Lucillia ! Je suis si contente que tu sois là !" s'écria-t-elle, sa voix chaleureuse se détachant du brouhaha ambiant.
Le sourire de Maria était contagieux, et Lucillia sentit une vague de soulagement l'envahir. La tension qui l'étreignait se dissipa lentement, remplacée par une chaleur réconfortante. Elle savait que, tant que Maria était à ses côtés, elle pouvait affronter cette soirée animée. Les deux amies se mirent à rire, partageant des anecdotes et des souvenirs, tandis que la fête continuait de vibrer autour d'elles, transformant peu à peu l'appréhension de Lucillia en une anticipation joyeuse.
La soirée battait son plein, et Lucillia se laissait emporter par les rythmes entraînants de la musique. Les lumières clignotaient au rythme des basses, créant une ambiance électrisante. Elle dansait avec entrain, ses mouvements fluides et joyeux, riant avec ses amis autour d'elle.Après quelques heures de fête, Maria, les yeux pétillants d'excitation, s'approcha de Lucillia.
 "Hé, tu veux qu'on s'échappe un moment ? J'aimerais passer un peu de temps rien que toutes les deux," proposa-t-elle, un sourire complice aux lèvres.
Lucillia, surprise mais ravie, hocha la tête. "Oui, bien sûr ! J'adore cette idée. Ça fait longtemps qu'on n'a pas eu un moment juste pour nous," répondit-elle, sa voix pleine d'enthousiasme.
Les deux amies se dirigèrent vers la sortie, laissant derrière elles le tumulte de la fête. Une fois à l'extérieur, l'air frais de la nuit les enveloppa, apportant un contraste agréable après la chaleur de la salle. Elles se trouvèrent  dans la rue avec les lumière de la ville.
"Regarde comme c'est beau ! Ça me rappelle nos soirées d'été," dit Maria, les yeux rivés sur le paysage illuminé.
Lucillia sourit en se remémorant ces moments. "Oui, et toutes nos discussions jusqu'à l'aube. On devrait vraiment en faire plus souvent," ajouta-t-elle, un brin nostalgique.
Maria tourna son regard vers Lucillia, son expression devenant plus sérieuse. "Tu sais, je suis vraiment contente que tu sois là ce soir. Parfois, j'ai l'impression que tout va si vite avec les cours , et j'ai besoin de ces moments avec toi pour me recentrer," confia-t-elle.
Lucillia, touchée par ses mots, lui prit la main. "Moi aussi, Maria. On doit toujours trouver du temps l'une pour l'autre, peu importe à quel point nos vies sont chargées," répondit-elle avec sincérité.
Les deux amies restèrent là, à discuter et à rire, profitant de cette parenthèse enchantée dans la soirée, renforçant leur lien précieux.
Les deux amies marchaient tranquillement, profitant de la fraîcheur de la nuit. Alors qu'elles passaient devant un magasin encore illuminé, une enseigne colorée attira leur attention. C'était là que se trouvait Lilia Calderu, la fameuse femme qui lisait les lignes de la main. Les lumières scintillantes du magasin créaient une atmosphère intrigante, presque mystique.
Maria, les yeux brillants d'excitation, s'arrêta brusquement. 
"Regarde, Lucillia ! C'est là ! On devrait vraiment y aller. Ça serait super intéressant de voir ce que Lilia a à dire," proposa-t-elle, le ton enjoué.
Lucillia, cependant, ne partageait pas l'enthousiasme de son amie. Elle haussait les épaules, l'air perplexe. "Je ne sais pas, Maria. Je pense que c'est juste du commerce. Ces choses-là, ça ne me parle pas vraiment," répondit-elle, un soupçon de scepticisme dans sa voix.
Maria insista, un sourire charmeur aux lèvres. "Mais non ! Lilia est une vraie devineresse. Tout le monde dit qu'elle a des dons incroyables. Tu pourrais découvrir des choses sur toi-même que tu ne soupçonnes même pas," argumenta-t-elle, tentant de convaincre Lucillia.
Lucillia plissa les lèvres, hésitant. "Tu sais que je ne crois pas trop à ces trucs. Ça me semble un peu... farfelu," dit-elle, en regardant le magasin avec une certaine méfiance.
Maria, ne se laissant pas décourager, s'approcha d'elle et lui prit le bras. "Allez, fais-le pour moi ! Juste un petit tour, et si tu n'aimes pas, on s'en va. Promis, ça ne prendra pas longtemps," proposa-t-elle, avec un regard suppliant.
Lucillia soupira, mais un sourire commençait à se dessiner sur son visage. "D'accord, d'accord. Mais si je me sens ridicule, c'est sur ta conscience !" finit-elle par céder, amusée par l'insistance de sa meilleure amie.
Maria éclata de rire, ravie. "Merci, Lucillia ! Tu ne le regretteras pas, je te le promets !" s'exclama-t-elle, entraînant son amie vers la porte du magasin, impatiente de découvrir ce que Lilia avait à leur révéler.
En entrant dans le magasin de Lilia , Maria et Lucillia furent enveloppées par une douce odeur d'encens et un éclairage tamisé qui donnait à l'endroit une atmosphère presque magique.
Soudain, une porte s'ouvrit à l'arrière-boutique, et Lilia apparut. Ses cheveux longs et bouclés tombaient en cascade sur ses épaules, et son sourire chaleureux illuminait la pièce. Elle fixa les deux jeunes femmes avec des yeux pétillants de curiosité.
"Bienvenue, mes chères," dit-elle d'une voix douce et accueillante. "Que puis-je faire pour vous aujourd'hui ?"
Maria, pleine d'enthousiasme, se tourna vers Lucillia, un léger sourire sur le visage. Elle poussa doucement son amie, lui murmurant : "Allez, Lucillia, c'est à toi. Je vais te laisser."
"Alors, qu'est-ce qui t'amène ici ?" demanda Lilia, s'approchant de Lucillia avec une bienveillance palpable.
Lucillia se tenait dans le magasin de Lilia, entourée de l'odeur apaisante des bougies parfumées et des fleurs fraîches. Pourtant, malgré cette atmosphère réconfortante, elle se sentait piégée, comme si une partie d'elle voulait fuir cette situation, tandis qu'une autre partie désirait ardemment rester et profiter de ce moment.
Elle plongea son regard dans celui de Lilia, cherchant du soutien dans ses yeux pétillants. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres, et elle murmura,
 "C'est surtout ma meilleure amie qui m'a convaincue de venir ici." Sa voix tremblait légèrement, trahissant son hésitation.
Lilia, avec son sourire délicat et réconfortant, répondit, "Je suis ravie que tu sois là. C'est toujours bien d'avoir quelqu'un pour nous encourager à sortir de notre zone de confort." Elle désigna une petite table en bois, ornée de bougies allumées qui dansaient doucement dans la lumière tamisée. "Viens, installe-toi à cette table," invita-t-elle avec une gestuelle accueillante.
Lucillia, se sentant un peu plus à l'aise, acquiesça et se dirigea vers la table. Elle s'assit, ses doigts caressant la nappe en lin, un peu froissée mais propre, tandis que Lilia s'asseyait en face d'elle, créant une ambiance intime entre elles.
Dans le petit magasin de Lilia, l'air était chargé d'une douce chaleur, et le parfum des herbes séchées flottait autour d'elles. Les rayons de lumière filtraient doucement à travers les fenêtres, illuminant les coins sombres du magasin.
Lilia, avec une grâce presque féerique, s'approcha de Lucillia. Ses doigts, délicats et agiles, se déplacèrent lentement vers la main de Lucillia. Lorsqu'elle prit délicatement sa main, un frisson parcourut la colonne vertébrale de Lucillia, une sensation douce et réconfortante qui la fit sourire.
"Personne n'a jamais vraiment su lire mes lignes de mains," murmura Lucillia, sa voix teintée d'une légère hésitation mais aussi d'un amusement palpable. 
Ses yeux brillaient d'une curiosité nouvelle, tandis qu'elle regardait Lilia avec une tendresse palpable.Lilia, intriguée et amusée, leva les yeux vers Lucillia, un sourire espiègle se dessinant sur ses lèvres. 
"Est-ce que tu me mets à l'épreuve ?" demanda-t-elle, son ton à la fois sérieux et taquin, comme si elle était prête à plonger dans l'inconnu des mystères que recelaient les lignes de la main de son amie.
Lucillia, surprise par cette réponse, sentit son cœur battre plus vite. Elle hocha la tête, un sourire timide illuminant son visage.
  "Non je ne me permettrai pas.Peut-être que vous serez la première à pouvoir le faire," répondit-elle, sa voix douce et pleine d'espoir.
Les deux amies restèrent là, leurs mains entrelacées, créant un moment suspendu dans le temps, où le monde extérieur semblait disparaître, laissant place à leur connexion profonde et authentique.
L'atmosphère dans le magasin était devenue tendue, presque électrique. Lilia, avec une grande délicatesse, commença à passer ses doigts sur les lignes de la main de Lucillia, espérant déchiffrer les secrets inscrits dans sa paume. Mais à sa grande surprise, quelque chose d'étrange se produisit. Les lignes semblaient floues, comme si elles se dérobaient à son toucher.
Lilia fronça les sourcils, perplexe. "C'est bizarre," murmura-t-elle, ses doigts s'arrêtant brusquement. Elle tenta de se concentrer, mais plus elle forçait ses pouvoirs à fonctionner, plus le magasin semblait réagir. Les lumières vacillaient, et un léger bourdonnement se faisait entendre, comme si l'électricité elle-même était perturbée.
Lucillia, observant le visage de Lilia, sentit une vague d'inquiétude l'envahir. "Est-ce que ça va ?" demanda-t-elle, sa voix trahissant une légère anxiété. Elle pouvait voir que Lilia était troublée, comme si elle luttait contre une force invisible.
Lilia, toujours plongée dans ses pensées, finit par poser son regard dans celui de Lucillia. Il y avait une intensité dans ses yeux, un mélange de confusion et de curiosité.
 
"C'est vraiment étrange," dit-elle enfin, sa voix presque un murmure. "Je n'ai jamais rencontré une main qui refuse de se laisser lire.Peut-être devrions-nous essayer de comprendre ce qui se passe avant de continuer," proposa-t-elle, une lueur de détermination dans ses yeux.
Lucillia regarda alors Lilia dans les yeux, une lueur d'interrogation dans son regard. Leurs mains étaient toujours liées, comme si un fil invisible les reliait, et pour une raison étrange, cela ne dérangeait pas les deux femmes. Au contraire, un sentiment de sécurité émanait de ce contact. Leurs mains se serrèrent un peu plus, comme si elles cherchaient à capter une énergie. Puis, après un moment de silence, Lilia relâcha doucement la prise.
 « Tu devrais y aller. Fais attention à toi, d'accord ? »
Lucillia acquiesça, un mélange de gratitude et d'appréhension sur le visage. «Oui.. »
Lilia la regarda partir, son cœur battant un peu plus vite. Lucillia se dirigea vers sa meilleure amie, le cœur encore palpitant de cette rencontre inattendue.
« Tu ne devineras jamais ce qui vient de se passer, » commença-t-elle, les yeux brillants d'excitation. 
Sa meilleure amie, intriguée, l'écouta attentivement. « Qu'est-ce qui s'est passé exactement ? Raconte-moi tout ! »
Lucillia prit une profonde inspiration, prête à partager chaque détail de cette expérience qui pourrait changer leur vie.
☆○o。  。o○☆
Le lendemain matin, Lucillia était debout dès l'aube, le ciel encore teinté de nuances orangées. En réalité, elle n'avait pas dormi du tout, son esprit tourbillonnant de questions. Pourquoi personne ne voulait lire les lignes de ses mains ? Pourquoi tout ce mystère autour de son destin ?
Elle se leva lentement, ses pensées encore embrumées par la nuit blanche. Dans la salle de bain, elle se regarda dans le miroir. Son reflet lui renvoyait une image fatiguée, mais déterminée. Elle prit une grande inspiration, essayant de rassembler ses pensées.
Ses yeux se posèrent sur son collier, une simple pierre noire suspendue à une chaîne. Elle l'avait toujours porté, ne l'ayant jamais enlevé depuis son enfance. Sa surface lisse et froide semblait lui murmurer des secrets oubliés.
« Qu'est-ce que tu es censée représenter ? » se demanda-t-elle.
Lucillia sentit une vague de curiosité l'envahir. Elle avait besoin de comprendre ce lien, ce symbole qui l'accompagnait depuis si longtemps. Elle se promit de chercher des réponses, de percer ce mystère qui l'entourait.
Avec une nouvelle détermination, elle se prépara pour la journée, prête à affronter ce qui l'attendait.
Lucillia avait donc décidé d'aller voir la seule personne qui pourrait l'aider : Lilia. Avec une détermination nouvelle, elle se dirigea vers la boutique de cette dernière, un petit endroit chaleureux rempli de senteurs envoûtantes et de couleurs vives. L'air était frais, et chaque pas la rapprochait de la réponse qu'elle cherchait.
Une fois arrivée, elle poussa la porte en bois, et un petit carillon retentit, annonçant son arrivée. Lucillia jeta un coup d'œil autour d'elle, ses yeux se posant sur Lilia, qui était en train de préparer du thé. La lumière douce du matin filtrait à travers les fenêtres, illuminant le visage de Lilia, qui semblait radieuse.
« Bonjour, Lucillia ! » s'exclama Lilia en levant les yeux, un sourire chaleureux illuminant son visage. Elle la trouva très belle, avec une aura de mystère. « Que puis-je faire pour toi aujourd'hui ? »
Lucillia, un peu nerveuse, s'approcha de la table où Lilia avait disposé des tasses délicates. « Bonjour, Lilia. Je… j'ai besoin de ton aide. »
Lilia, toujours en train de verser le thé dans une tasse, l'invita à s'asseoir. « Prends une tasse de thé d'abord. Ça te fera du bien. »
« Merci, » répondit Lucillia, s'installant sur une chaise en bois.
 Elle observa Lilia, qui lui tendit une tasse fumante. L'odeur du thé était apaisante, mais son esprit était encore agité.
« Alors, qu'est-ce qui te tracasse ? » demanda Lilia, s'asseyant en face d'elle, ses yeux pleins d'attention.
Lucillia hésita un instant, puis expliqua : « J'ai ce collier avec une pierre noire, et je sens qu'il cache quelque chose d'important. Personne ne veut lire les lignes de ma main, et je me demande pourquoi. »
Lilia l'écouta avec soin, son regard sérieux. « Les lignes de la main peuvent révéler beaucoup de choses, mais parfois, il faut aussi écouter les objets qui nous entourent. Dis-moi en plus sur ce collier. »
Lucillia prit une gorgée de thé, se sentant un peu plus à l'aise, prête à partager le mystère qui l'intriguait tant.
Lucillia, les mains tremblantes, tourna son regard vers Lilia, le cœur battant. « Je… je ne sais rien de ce collier, » avoua-t-elle, sa voix à peine un murmure. « Je l'ai depuis que je suis bébé. Mes parents adoptifs m'ont dit qu'il était déjà là dans mon berceau. »
Elle leva doucement la main, montrant le collier à Lilia sans l'enlever de son cou. La pierre noire brillait d'un éclat mystérieux, comme si elle contenait des secrets inavoués.
Lilia, fascinée, s'approcha lentement, son regard fixé sur la pierre. « Puis-je ? » demanda-t-elle, tendant la main avec précaution. 
Lucillia hocha la tête, son souffle se faisant plus court alors que Lilia touchait la pierre.Lorsque Lilia prit la pierre entre ses doigts, une chaleur douce se répandit dans l'air. Les deux femmes se retrouvèrent extrêmement proches, leurs souffles s’entremêlant. Lilia pouvait sentir l'énergie émanant du collier, et elle murmura, presque à elle-même : 
« C'est un collier de protection. »
Lucillia, surprise, écarquilla les yeux. « Protection ? Qu'est-ce que cela veut dire ? »
Mais en réalisant à quel point elles étaient proches, Lilia se sentit soudainement étrange. Elle recula légèrement, ses joues teintées d'une légère rougeur. « Avec ce collier personne ne peux t'atteindre. La personne qui te la donné tenez beaucoup à toi.»
Lucillia se mit alors à sourire, une lueur de bonheur illuminant son visage. Elle leva délicatement sa tasse de thé, la chaleur de la boisson réconfortante se diffusant dans ses mains. En prenant une gorgée, elle savoura le goût épicé qui dansait sur sa langue, puis se lécha les lèvres avec satisfaction, un geste à la fois innocent et séduisant.
Soudain, un bruit de cloche retentit, signalant l’ouverture de la porte du magasin. Lucillia tourna la tête vers l'entrée, son sourire s'élargissant à la vue de Lilia, Agatha et Ivana qui firent leur apparition.
7 notes · View notes
briselegeredansletemps · 8 months ago
Text
J'avais envie de rentrer à pied. De faire les 7 km en aveugle. De tourner quand google le disait de tourner. De me perdre sur cette voie ferrée pas du tout désaffectée.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
De continuer quelques centaines de mètres plus loin. Toujours le goût chaud du cognac dans la gorge. Les voix d'ailleurs sur le côté des rues. Les jeux déjantés des enfants multicolores ensorcelés par une fée sous acide larguée sur le côté d'une grande avenue... encore 6km. Encore 5km... Arriver, ça n'a pas d'importance. Juste y être. Un sandwich une soupe un fò des nems des pizzas des nouilles japonaises ou pas. S'arrêter là.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Il est pas tard. 22h. Demain j’ai rdv avec une étudiante japonaise en rêve. Avec une baie terrestre en une image quasi cinématographique. Avec une journée de sortie sur le terrain, une visite guidée, la baie d’along terrestre, "j'avais une maison en Afrique..."
ah non...
"très vite dans ma vie, il a été trop tard", c'est plus dans le ton 🥰
Tumblr media
2 notes · View notes
secretsdeblackthornhall · 2 years ago
Text
De Emma à Bruce
Cher Bruce,
Oh, Bruce, Bruce, Bruce. Tu n’as pas idée (puisque tu es un journal et que tu ne sors jamais de la maison). J’ai passé la journée avec des Terrestres. Pas seulement des Terrestres. Des touristes. Tout bien considéré, je préfère le manoir hanté et maudit, merci.
La dernière fois que je t’ai écrit, nous avions découvert que le fantôme de Rupert pense qu’un objet ensorcelé se trouve dans cette propriété des Herondale sur Curzon Street ici à Londres. Après ça, nous n’en savons pas plus, ce qui va être un gros problème parce que les lignes de ley sont… tu sais… des lignes, alors les objets peuvent se situer n’importe où sur leur trajectoire. Mais une chose à la fois.
Il s’avère que le National Trust organise des visites de la maison de Curzon Street – et je suppose qu’un ancêtre des Herondale a eu l’intelligence d’enlever, ou au moins de dissimuler avec un puissant charme, tout ce qui faisait un peu trop Nephilim. C’est présenté comme la recréation d’une « maison typique du début du siècle », ce qui est assez proche de la période qui nous intéresse. Alors nous nous sommes déguisés en Terrestres (Julian a trouvé un superbe t-shirt vintage des Sex Pistols dans la Sensas Alcôve de l’Amour d’Arthur et Andrew Blackthorn) et avons acheté des tickets pour la visite de 14h le lendemain.
La visite de la demeure a prouvé que la décoration édouardienne serait plutôt jolie dans une maison moderne ! C’est lumineux et aéré, avec beaucoup de couleurs claires, d’agréables tissus à motifs, etc. Oh, et nous avons aussi compris que ce mouvement est complétement passé au-dessus de la tête de Tatiana, puisque Blackthorn House est tout l’opposé de lumineux et aéré. Julian a fait remarquer qu’elle n’a certainement rien changé après la mort de son père. Rien à voir avec Curzon Street : j’aimais beaucoup son atmosphère, c’était chaleureux. J’ai d’ailleurs pris une photo d’un papier peint pour demander à Tessa si elle se souvient d’où il vient et, euh, s’il est encore en vente peut-être. Que nous arrive-t-il ? Nous rénovons une maison. J’ai pris un coup de vieux.
La visite était sympa dirons-nous. Beaucoup de détails sur les différentes époques, les estampilles, les meubles. Les gens posaient des questions ridicules : un des couples américains a insisté pour savoir où se trouvait le piano et quand la guide a dit désolée, il n’y a pas de piano, ils se sont énervés et ont rétorqué qu’absolument toutes les maisons édouardiennes avaient un piano donc il devait y en avoir un. Elle a dû s’excuser un peu avant de passer à la suite. C’était embarrassant et je n’étais pas fière du peuple de mon pays.
Mais je ne faisais pas vraiment attention à tout ça. La maison était assez plaisante. Des tapis persans partout ! Un échiquier en ivoire ! Une baignoire en étain ! Oh, et il y avait une affiche de théâtre encadrée qui datait de cette époque et c’était évident qu’elle venait d’un cabaret de Créatures Obscures, c’était plutôt cool. Mais le plus important, c’est que rien de tout ça n’avait été ensorcelé par Tatiana.
J’ai passé la majeure partie de la visite à chercher des choses qui indiquaient clairement que des Chasseurs d’Ombres avaient vécu ici. Tout ce que j’ai vu, c’est quelques armes en guise de décoration, ce qui d’après la guide ne se faisait pas à l’époque. Mais bien-sûr, toi et moi, Bruce, nous savons que les armes en guise de décoration, c’est toujours quelque chose qui se fait. Mais comme Julian le dit souvent, parfois nous n’avons même pas besoin de charmes, parce que les Terrestres ne voient pas ce qu’ils ne veulent pas voir. Par exemple, la guide a parlé pendant des heures d’une magnifique sculpture en jadéite sur l’un des manteaux de cheminée et a expliqué que personne ne savait ce qu’elle était censée représenter. Alors que c’était, évidemment, un présentoir pour une épée qui a depuis longtemps disparu.
Enfin bref, nous
Mais attends…
Elle n’a pas disparu depuis longtemps. Je sais où elle est. Elle est sur la coiffeuse de l’autre côté de la pièce. Je la vois depuis mon siège.
J’ai littéralement eu des frissons en remarquant ça. Pendant la visite de la maison tout à l’heure, je pensais aux personnes qui avaient vécu là, James Herondale et Cordelia Carstairs, mais pour être honnête je n’ai ressenti aucun lien, aucune émotion pour eux là-bas. Ça s’explique peut-être par le fait que la maison avait été vidée de tous ses objets très personnels avant qu’elle ne devienne un musée. Mais aussi, simplement… le fait que je ne les connaissais pas. Contrairement à Tessa et Jem, évidemment, et à Magnus aussi, et bon sang, peut-être même à quelques autres sorciers, je ne sais pas. Mais moi, je ne les connaissais pas et je ne pourrais jamais les connaitre.
Mais tu sais qui d’autre les connaissait ? Cortana. J’aurais aimé pouvoir la prendre avec moi à Curzon Street. (Mais noooooon, Julian a décrété que nous ne prendrions que des armes que nous pourrions entièrement dissimuler. Et si la guide avait en fait été une Eidolon prête à nous bondir dessus ? Je l’aurais affrontée avec un couteau de botte plus petit que ce que j’utiliserais pour éplucher une pomme. Ça aurait tout de même été une Eidolon qui en connaissait un rayon sur le mobilier du début du siècle. ENFIN BREF, nous étions là-bas pour trouver un objet, alors reprenons cette histoire.)
Nous étions dans une des chambres et observions les rinceaux sur le lit, peu importe. La guide présentait des objets sur les tables de nuit, et le Détecteur s’est allumé avec un bruit démentiel.
La guide nous a lancé un regard noir. « Eteignez votre téléphone » m’a-t-elle dit, puis le groupe de visiteurs s’est allégrement dirigé vers une autre pièce pendant que je faisais semblant de chercher mon téléphone dans mon sac banane affreusement moche. Jules a pris le Détecteur, qui nous a mené à… une boite à musique sur l’appui de fenêtre. Une boite à musique vraiment laide. Enfin, pas exactement laide. Très surchargée, recouverte de bricoles, bien trop ornementée pour une boite à musique. Il y avait même une figurine de singe. Ça faisait beaucoup. Bref, c’était un parfait exemple du milieu de l’ère victorienne bla bla bla, mais c’était aussi un objet ensorcelé par Tatiana, et peut-être que quelqu’un l’appréciait suffisamment pour aller le chercher et le ramener là ???
Après ça, il nous a suffi d’attendre que les visiteurs s’éloignent pour nous camoufler avec un charme, nous emparer de la boite à musique et sortir discrètement, en espérant qu’aucun des employés n’ait le don de Seconde Vue. Ce n’était pas le cas. Donc maintenant nous avons une boite à musique que nous montrerons à Rupert demain matin et au sujet de laquelle nous interrogerons Tessa. J’espère que ça ne lui appartenait pas à elle ou à sa famille. Je pense qu’elle a de meilleurs goûts.
Voilà, c’est tout pour l’instant, Bruce. Je vais aller chercher Cortana pour que je puisse la toucher en étant dans le lit. Julian me taquine toujours quand je fais ça, mais ce soir ça me semble approprié. A plus tard.
Emma.
Tumblr media
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustration de Cassandra Jean ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/682519835606958080/emma-to-bruce
8 notes · View notes
videopsychose · 1 month ago
Text
LES YEUX DE LA FORÊT (The Watcher in the Woods), QUAND DISNEY SE FAIT PEUR * ( ⚠️ spoilers ⚠️)
Tumblr media
Synopsis :
Un couple d'Américains, Helen et Paul Curtis, s'installe avec ses deux filles, Jan et Ellie, dans un manoir de la campagne anglaise. Cette grande bâtisse est la propriété d'une mystérieuse vieille dame, Mme Aylwood, qui vit dans la maison d'hôte voisine. Jan, l'aînée des enfants, ressemble à Karen, la fille de madame Aylwood, qui a disparu trente ans plus tôt, dans une chapelle abandonnée de la forêt. Jan ne tarde pas à percevoir des phénomènes étranges et inquiétants…
Tumblr media
********************
DISNEY ET LES FILMS POUR ADULTES
« La célèbre formule de Disney : Du divertissement pour toute la famille n’est en fait qu’une pirouette marketing. Ceux qui croient encore que le géant du loisir ne vise que le divertissement strictement familial sont de grands naïfs. » C’est ainsi que parle en 1998, Patrick McDurrah, ex exécutif de chez Miramax** à propos de l’histoire cinématographique de la firme Disney ***.
Car dès le début des années 70, peu après la mort du grand chef Walt Disney (1966), la société, souffrant d’une image de plus en plus vieillotte, veut élargir ses horizons. Si en premier lieu, les Studios Disney restent en terrain sûr avec des comédies bon enfant — comme Du Vent dans les Voiles (1970) ou Superdad (1973) — très vite, suivant la montée en puissance mondiale d’un cinéma d’horreur ultra créatif (Suspiria, Alien, Halloween, L’Exorciste, Les Dents de la Mer…), la Walt Disney Company lorgne volontairement du côté horrifique. En 1981, l’une de ses premières fictions « d’épouvante » se nomme Les Yeux de la Forêt (The Watcher in the Woods).
UN RÉAL' QUI CLAQUE
À la tête du projet, le producteur Ron Miller accompagné du réalisateur John Hough, tous deux déjà connu des circuits Disney. La filmographie de Hough est impressionnante : en plus d’avoir travaillé quelques épisodes de la célèbre série Chapeau Melon et Bottes de Cuir (1961-1969) ainsi qu’un film de la Hammer (Les Sévices de Dracula (1971)), il dirige d’autres pépites à suspense comme La Maison des Damnés (1973), La Montagne Ensorcelée (1975) et sa suite Les Visiteurs d’un autre monde (1978). De sérieux projets qui convainquent les Studios Disney de le laisser prendre les rênes des Yeux de la Forêt. Mais les choses vont s’avérer plus difficiles que prévu.
Tumblr media
DES BÂTONS DANS LES ROUES
La production du film est un vrai cauchemar. L’équipe de production, craignant pour l’image lisse de Disney, se perd dans d’interminables tergiversations techniques et narratives. Jugeant par exemple le récit d’origine trop sombre et effrayant —il est tiré du roman A Watcher in the Woods (1976) de Florence Engel Randall — la production contraint maintes fois les scénaristes de remanier l’histoire d’origine. Le script final n’est alors validé qu’en juillet 1979, soit un mois à peine avant le début du tournage.
Tumblr media
UNE FIN INDÉCISE
Si le choix des acteurs et leur jeu satisfait pleinement les décideurs, la scène finale, par exemple, présente de sérieux problèmes… La version finale du film doit révéler un dénouement en partie tourné dans un immense vaisseau spatial avec la découverte d’un extraterrestre insectoïde, créature géante sensée entrer en interaction subtile avec les protagonistes. Malheureusement, la scène est si ambitieuse que les studios d’effets spéciaux externes employés par Disney n’ont pas le temps de terminer la séquence climax du film avant son avant-première, à New York en 1980. Un événement capital ne pouvant être repoussé en raison de la célébration prévue de longue date des 50 ans de carrière de Bette Davis, actrice du film (Miss Aylwood), icône du cinéma hollywoodien et caution qualité du projet…
Tumblr media Tumblr media
SORTIE CATASTROPHE
Au pied du mur et pour garder la face, le studio bricole à la hâte une scène de climax sans vaisseau. La créature, quant à elle, bien que finalisée à temps, manque de subtilité par son aspect « cheap » exposé frontalement aux yeux du public. Un détail pas si insignifiant qui casse tout bonnement l’atmosphère énigmatique de départ.
Le bon scénaristique utilisé pour colmater les manquements du studio voit ainsi les protagonistes expliquer gauchement ce qu’il s’est passé une fois le « danger » surmonté. Un « danger » qui n’est jamais montré, ni même suggéré. Le climax du film, sa scène sensée être la plus marquante n’existe pas. Les critiques sont acerbes et le public déçu.
 Pire encore, à la suite de la débâcle, les studios Disney se passent des services du studio additionnel, puis décident de confier la fin des travaux, non pas à John Hough, mais à deux internes de la boîte : Vincent mcEveety à la réalisation et Harisson Ellenshaw en tant que responsable des effets spéciaux. S’ils rattrapent tant bien que mal les écueils de leurs prédécesseurs, aucuns des deux hommes ne seront cependant crédités au film pour des raisons contractuelles.
Tumblr media
TOP OU FLOP ?
Après tant de péripéties, le film sort le 7 octobre 1981 dans sa version revue et corrigée. Ne reste à Disney qu’à tenir ses engagements : attirer un public plus adulte tout en gardant la signature « Disney ». Mais malgré les efforts publicitaires colossaux de la firme, rien n’y fait. Le public est confus et The Watcher in the Woods se plante au box office. La pellicule, bien que très correctement distribuée en salles ne récolte alors que 5 petits millions de dollars sur les 9 millions investis.
Malgré la débandade, Disney réitère deux ans plus tard avec La Foire des Ténèbres (Something Wicked this Way Comes) pour un résultat similaire.
Tumblr media
RENAISSANCE CULTE
Cependant, les années passant, les deux productions se voient réhabilitées au statut de films cultes par une grande fourmilière d’amateurs de cinéma de genre. Leur atmosphère sombre et leur statut d’outsider expérimentaux « made in Disney » continuent à ce jour à séduire de nouveaux cinéphiles. De son côté, Disney change de stratégie en 1984 sous la direction de son nouveau PDG, Michael Eisner, premier directeur non-affilié à la famille Disney. Ce dernier procède à l’achat direct de sociétés de productions cinématographiques comme Touchstone Films ou Miramax, ce qui permet par la suite à la multinationale de ne plus afficher directement son nom à l’écran. Ainsi, la firme continue à ce jour ses expérimentations filmiques à l’abris des regards…
Fun Fact : En 2017, un remake du film sort sur la chaine américaine Lifetime. Réalisé par Melissa Joan Hart — actrice phare de la série 90s Sabrina l’Apprentie Sorcière (1996-2003), il remet en lumière l’actrice icône Anjelica Huston, célèbre figure 90s des films Les Sorcières (1990), La Famille Addams (1991) et sa suite Les Valeurs de la Famille Addams (1993).
Tumblr media
********************
*Crédits au site Chronique Disney.
**Ancienne société appartenant aux frères Weinstein et rachetée par la Walt Disney Company en 1993.
***Citation tirée du livre Disney The Mouse Betrayed, Peter & Rochelle Schweizer, 1998.
0 notes
lachasseauxjeux · 3 months ago
Text
Escape game “L’École Ensorcelée” — Une aventure magique à la maison !
En tant que grande fan de Harry Potter, j’étais très emballée à l’idée de tester cet escape game sur le thème de la magie et de l’univers des sorciers. Il faut dire que cet escape game est l’un des plus populaires du site Escape Kit — je ne pouvais donc pas passer à côté ! Après avoir testé “Enquête au château des sorciers”, voici un nouvel opus qui nous plonge une fois de plus dans une ambiance…
0 notes
o-the-mts · 6 months ago
Text
365 Movies in 365 Days: La maison ensorcelée (1907)
This year I’m trying to watch one movie every day of the year, with the provision that the movie be no longer than 36-1/2 minutes long. I’ll be selecting movies randomly from this list that’s already way too long, but I still welcome suggestions for short films. Title: La maison ensorcelée (The Bewitched House) Release Date: December 21, 1907 Director: Pathé Frères Production Company: Pathé…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
lewisconrada · 1 year ago
Text
Un journaliste au Maroc révèle les activités d'une sorcière marocaine
youtube
Dans cette émission en direct de Chouf TV, des habitants de la région d'Ain El Barja font part de découvertes alarmantes de photos de sorcellerie trouvées dans leur communauté. Les photos représentent des personnes ensorcelées, notamment des enfants, des femmes et des hommes, ainsi que des établissements tels que des magasins et des cafés. Face au nombre impressionnant de photos découvertes, la communauté se mobilise pour les partager dans l'espoir de trouver des solutions pour les personnes touchées. La diffusion révèle des détails choquants, tels que les noms associés aux photos et les soupçons d'implication des habitants des environs dans des pratiques de sorcellerie. L'ampleur de la situation devient évidente lorsque l'on découvre que même des maisons sont la cible de sortilèges.
Pour en savoir plus, consultez le site https://www.sneakyshowbiz.com/
0 notes
mdp-maxroma1959-blog · 1 year ago
Video
youtube
[4k, 60fps, colorized] (1907) The haunted house - La Maison Ensorcelée, ...
0 notes
fizimedia · 1 year ago
Text
Fizi: une maison brûlée et plusieurs biens endommagés à Mboko
Il s’agit d’une élève dont l’âge était entre 13 et 15ans de la 8eme Éducation de base qui étudiait à l’institut NEEMA de Abondoki dont le décès est survenu mercredi 10 janvier 2024 dans l’avant-midi,et après que ses collègues aient appris sur sa mort,ils sont descendus au lieu du deuil avec un trouble énorme disant que leurs collègues a été ensorcelée par son grand-père, qui a été sauvé de…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
rhetthammersmithhorror · 4 months ago
Text
Tumblr media
The House of Ghosts | 1906
734 notes · View notes
christophe76460 · 2 years ago
Text
Tumblr media
LA RÉSOLUTION DÉFINITIVE DE LA PROBLÉMATIQUE DU PÉCHÉ DANS LA VIE DES HOMMES PAR JÉSUS-CHRIST.
Texte : Galates 5 v 24.
4e partie de la thématique
_____________________________
Pour comprendre cet enseignement, lisez le a partir de la 1ere partie.
Cet enseignement a pour objectif de vous guérir, vous sauver, vous délivrer, vous libérer définitivement du péché afin que tout aille bien dans votre vie.
Si votre vie est en mauvaises état, c'est simplement parceque le péché règne et domine encore sur votre vie, dans votre vie.
L'ÉGLISE DE DIEU EST UNE CLINIQUE SPIRITUELLE.
l'homme de Dieu établi sur L'Église est l'instrument, le canal du guérisseur par excellence, le Seigneur Jésus-Christ.
Les Âmes qui viennent à L'Église sont malades du péché.
Elles viennent a l'Église pour être guéries du péché par l'enseignement approfondie de la Parole de Dieu, par la prédication de la croix, la révélation de l'œuvre de Christ a la croix.
Pour que le problème du péché soit résolu définitivement dans votre vie afin que les choses aillent bien, vous devez connaître la source, la racine du péché.
En Galates 5 v 19-21, l'Apôtre Paul nous révèle la source, la racine du péché.
LA SOURCE, LA RACINE DU PÉCHÉ, C'EST VOTRE CORPS, VOTRE CHAIR.
Vos péchés sont les œuvres de votre chair.
C'est votre chair qui pèche contre Dieu.
C'est votre chair qui pratique le péché.
Votre chair pèche parce-qu'elle convoite les choses du monde, les Bénédictions matérielles, les biens de nos prochains.
En Exode 20-17, Dieu nous a donné ce commandement :
Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain, tu ne convoiteras point la femme de ton prochain ; ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne a ton prochain.]
Selon Jacq 1-15, c'est la convoitise qui enfante le péché, et le péché étant consommé, commis, produit la mort.]
La convoitise des choses qui a appartiennent à notre prochain nous emmènent à commettent des péchés tels
que l'envie et la jalousie.
La jalousie conduit à la sorcellerie, a la pratique de la sorcellerie.
LA JALOUSIE EST LE FONDEMENT DE LA SORCELLERIE.
La sorcellerie, c'est jalousée, haïr, détestée, salir, dénigré, calomniée, maudire, envoûté, ensorcelé, détruire, tué une personne parceque nous le convoitons.
NB : Pour ne plus que nous convoitons, pour ne plus que nous péchons et ayons pour salaire la mort, sur la Croix a Golgotha, Jésus-Christ a crucifié, détruit, tué notre chair qui convoite, qui pèche.
La suite dans la 5e partie...
0 notes
mymoviemania-coffee · 3 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
La Maison ensorcelée (1906)
(lit. The Ensorcelled House; The Haunted House)
6 notes · View notes
moviemosaics · 4 years ago
Photo
Tumblr media
The Haunted House
directed by Segundo de Chomón, 1906
20 notes · View notes
anahanbee · 5 years ago
Text
Tumblr media
Dois homens e uma mulher param em uma pequena casa na floresta. Lá dentro, eles experimentam vários exemplos de atividade paranormal , incluindo móveis que desaparecem; um fantasma estereotipado ; movimentação de talheres e alimentos por conta própria; relâmpago bola ; inclinação inexplicada de toda a casa; e um ser grotesco com dedos em forma de garra que tenta comer o trio.
Tumblr media Tumblr media
🎬: The House of Ghosts (1908)
Dirigido por: Segundo de Chomón
1 note · View note